Le problème n'est pas l'imputabilité toujours difficile, mais le
maquillage du cas dans le rapports successifs.
Terrible témoignage... Un médecin qui poste un message sur
un forum de discussion en utilisant un pseudo...
Heureusement que tu es là pour relayer l'effroyable vérité...
Tiens, à ce propos, j'ai vu sur un autre newsgroup, un message
disant qu'un type s'était fait vacciné et que trois jours plus tard
sa voiture était tombée en panne. Je pense que la CIA est dans
le coup, alors le type ne peut pas révéler sa véritable identité,
mais c'est sûrement vrai !
> Une scl�rose en plaques, survenue chez un m�decin trois jours apr�s sa
> vaccination
Cause � effet ou simple corr�lation ?
Encore plus fort, on doit aussi pouvoir trouver des cas de SEP survenues
trois jours apr�s une vaccination, mais chez le conjoint non vaccin�.
--
Roland Garcia
"Dominique Dupagne" <dominiqu...@gmail.com> a �crit dans le message de
groupe de discussion :
a8ae182c-962c-4a8a...@m16g2000yqc.googlegroups.com...
> Une scl�rose en plaques, survenue chez un m�decin trois jours apr�s sa
> vaccination, est pass�e sous silence par l'AFSSAPS. Il n'y a pas que
> les DASS � vivre le pistolet sur la tempe :
> http://www.i-med.fr/spip.php?article359
>
> Le probl�me n'est pas l'imputabilit� toujours difficile, mais le
Comme toujours, il est bon de remonter à la source pour juger d'une
information. Donc, dans ce document:
http://www.emea.europa.eu/pdfs/influenza/78468109en.pdf
On peut lire:
"Since the start of use of Pandermix as an authorised vaccine,
a total of fifty-five case reports have been received by the
EudraVigilance system which have a fatal outcome. There is
no indication that the vaccine contributed to those deaths."
(page 5)
Ce qui peut se traduire par:
"Depuis le début de l'utilisation du Pandermix comme vaccin
autorisé, un total de 55 cas avec issue mortelle a été reçu
par le système EudraVigilance. Il n'y a pas d'indication que
le vaccin ait contribué à ces décès".
Je ne parle pas d'imputabilité, toujours difficile en effet. Je parle
de masquage de l'information brute. J'ai bien sûr vérifié la véracité
du témoignage. Ce n'est pas parce qu'un effet n'est pas forcément
imputable qu'il faut le dissimuler.
Dans ses rapports successifs, l'AFSSAPS cumule les effets bénins mais
ne le fait pas pour les effets graves. Seuls ceux de la semaine sont
cités dans le rapport. Ce n'est pas normal. Je m'en suis ému auprès de
membre de l'institution, le prochain rapport devrait corriger cet
"oubli".
--
Dominique Dupagne
>On 13 d�c, 23:19, Roland Garcia <roland-gar...@wanadoo.fr> wrote:
>> Dominique Dupagne a crit :
>>
>> > Une scl rose en plaques, survenue chez un m decin trois jours apr s sa
>> > vaccination
>>
>> Cause effet ou simple corr lation ?
>>
>> Encore plus fort, on doit aussi pouvoir trouver des cas de SEP survenues
>> trois jours apr s une vaccination, mais chez le conjoint non vaccin .
>
>Je ne parle pas d'imputabilit�, toujours difficile en effet. Je parle
>de masquage de l'information brute. J'ai bien s�r v�rifi� la v�racit�
>du t�moignage. Ce n'est pas parce qu'un effet n'est pas forc�ment
>imputable qu'il faut le dissimuler.
>
>Dans ses rapports successifs, l'AFSSAPS cumule les effets b�nins mais
>ne le fait pas pour les effets graves. Seuls ceux de la semaine sont
>cit�s dans le rapport. Ce n'est pas normal. Je m'en suis �mu aupr�s de
>membre de l'institution, le prochain rapport devrait corriger cet
>"oubli".
"Informer", c'est bien (n'est-ce pas, docteur "pourquoi me vacciner,
si je l'attrape, je reste au fond de mon lit, et voil�").
Mettre en contexte, c'est mieux.
Rappelons que g�n�ralement (et pour tous les cas que j'ai vu), les
premi�res pouss�es de SEP surviennent DANS LES SEMAINES suivant un
�v�nement infectieux viral. Ce vaccin doit �tre particuli�rement nocif
si les signes surviennent 3 jours apr�s l'injection.
Par ailleurs, les patients qui ont une SEP (je le reconnais bien
volontier, il s'agit g�n�ralement de patients qui ont une SEP
"vieillie" avec des s�quelles), il y a souvent r�activation lors de
n'importe quel �pisode f�brile (comme le syndrome f�brile de quelques
jours li� � une vaccination).
Nous sommes d'accord pour dire que cacher les choses, �a n'est pas
bien. Maintenant, "informer" sans aller jusqu'au bout de son
information (par exemple, en rappelant que les pouss�es de SEP, c'est
entre 1500 et 2000 nouveaux cas par an (sans compter les r�activations
de patients au diagnostic d�j� connu), soit 5 � 6 par jour, surtout
des gens jeunes, ce qui correspond � pas mal de vaccin�s), �a ne
correspond pas au type d'information que j'essaie de prodiguer en tant
que professionnel de sant�.
Bonjour,
Pardon d'interf�rer, mais ne pense pas qu'il y ait r�activation. Je
dirais plut�t plus grande sensibilit� � la fatigue. La preuve est que
ces sympt�mes disparaissent au repos complet, mais pas dans le cas d'une
pouss�e.
Les performances d'un sportif de haut niveau sont alt�r�es par un
syndrome f�brile, un chagrin d'amour ou un pet coinc�, et celles d'une
personne porteuse de SEP aussi, voire plus, sans qu'il s'agisse d'une
nouvelle pouss�e. La diff�rence entre fatigabilit� et pouss�e c'est
l'am�lioration par le repos.
--
Jean. Moins de pouss�es, moins d'interf�ron...
C'est vrai, la pr�cision est importante
Raté. Le dernière rapport continue à détailler les accidents bénins,
et à donner le total des accidents graves cumulés, mais sans les
nommer. Ne sont décrits que ceux de la semaine.
Encore une fois, même si l'imputabilité est discutable, le problème
est tout simplement de donner l'information et non de la cacher.
--
Dominique Dupagne
C'est bien le problème, et ça risque de ne pas s'arranger, puisqu'au
niveau européen, l'EMEA signale 55 décès pour les 5,7 premiers
millions (le 3/12), puis 2 décès pour les 11,7 millions suivants
(16/12) : c'est tellement miraculeux qu'il manque même 6 ou 7 décès
prévisibles avec ou sans vaccination ! Mieux encore : un autre miracle
s'est produit ! Le bulletin 2 signale 60 décès, et le bulletin 3 en
signale 57 : 3 ressuscités ! (en fait, ces 3 "ressuscités" semblent
être dûs à des doublons, ce qui donne une indication de plus sur la
fiabilité de la pharmacovigilance tant en France qu'en Europe ...)
(Voir http://www.revoltes.net/spip.php?article1711 pour les liens
directs vers les sources)
3 doublons pour plusieurs dizaines millions de cas analys�s...
--
Christophe Dang Ngoc Chan
secouriste b�n�vole, moniteur
cd...@wanadoo.fr
Non : 3 doublons sur 60 décès notifiés.
>On 19 d�c, 17:19, Christophe Dang Ngoc Chan <cdang@wanadoo;fr> wrote:
>> 3 doublons pour plusieurs dizaines millions de cas analys�s...
>
>Non : 3 doublons sur 60 d�c�s notifi�s.
Il faut savoir, ils sous-d�clarent ou ils sur-d�clarent ?
Qu'il y ait des doublons, c'est normal, �a prouve que les gens se
sentent concern�s par la d�claration des d�ces, et que la structure
n'est pas optimale, ce qui arrive.
Qu'on les rep�re, �a prouve qu'il y a un certain degr� de contr�le,
c'est plut�t bien aussi
Certainement. mais ça n'explique pas pourquoi le taux de notification
de décès à l'EMEA est d'un décès pour 100 000 injections de Pandemrix
lors des 5,7 premiers millions d'injections, et de de 1 pour 6
millions d'injections pour les 11,7 millions suivants. Et ça
n'explique pas non plus pourquoi les évènements notifiés surviennent
ensuite pour certains (dont les décès) en nombre nettement inférieur à
ce qui aurait été prévisible avec un simple placebo !
L'explication la plus probable à ces MULTIPLES incohérences est donc
très clairement un "bidonnage" des compte-rendus n°2 et n°3 de l'EMEA,
ET une sous-notification dramatique dans la plupart des états
d'Europe, y compris par l'Afsapps, qui trouve moyen de compter moins
de décès notifiés et d'effets indésirables que prévisibles avec un
placebo, sans pour autant s'interroger sur cette étonnante surprise !
> L'explication la plus probable � ces MULTIPLES incoh�rences est donc
> tr�s clairement un "bidonnage" des compte-rendus n�2 et n�3 de l'EMEA,
Trop gros.
Ce sont des sp�cialistes des stats, ils n'auraient pas fait une bourde
aussi grossi�re.
Si l'on cherchait du c�t� de l'intervalle de confiance ?
Sur les �v�nements rares, l'intervalle de confiance relatif est plut�t
cons�quent.
Alors, �a donne quoi ?
Sur des millions de personnes, certains évènements rares sont
prévisibles : ainsi, une étude du Lancet "prévoit" que sur 10 millions
de personnes, 5,7 décèderont subitement dans les six semaines
suivantes, statistiquement, vaccinées ou non. Avec un assez bon
intervalle de confiance, puisque cette estimation repose sur des
statistiques de mortalité annuelles assez nombreuses.
Les autres raisons plausibles de ces incohérences pourraient être des
différences méthodologiques problématiques entre systèmes nationaux de
pharmacovigilance, avec des "effets de flux" importants selon les
semaines, ou de fortes hétérogéneïtés dans les lots de vaccin, ... et
il existe sans doute beaucoup d'autres explications possibles : mais
s'il n'y avait aucun "bidonnage" dans les chiffres publiés, ce qui est
tout à fait imaginable (mais inquiétant), il y aurait alors bidonnage
évident dans l'estimation du ratio bénéfice/risque, avec d'aussi
énormes hétérogénéïtés et incohérences dans les données qui servent à
en juger !
Sans vouloir tout justifier, dire qu'il y a moins de monde qui meurt
apr�s injection de vaccin que dans une population normale hors
�pid�mie de grippe parce qu'il y a une volont� de sous-estimer les
effets ind�sirables me semble plus relever du conspirationnisme que du
raisonnement rationnel.
Imagine : tu es m�decin, tu signes le certificat de d�c�s d'un homme
jeune qui a eu un accident de voiture, s'est suicid� ou est mort de
froid. Est-ce que ton premier r�flexe est de voir s'il a �t� vaccin�
dans les 3 semaines ? Moi, non.
Ensuite, pour avoir d� travailler sur le probl�me, corr�ler une base
de donn�es au registre des morts d�clar�es est tr�s, tr�s compliqu�,
m�me plusieurs ann�es apr�s le d�c�s, alors dans le mois...
Comme tu le vois, on est l� dans le tristement (pour la sant�
publique) quotidien, pas dans le plan machiav�lique pour tous nous
vacciner...
(d�j�, si on avait le nombre d'effets ind�sirables li�s � la prise
d'aspirine dans notre beau pays, �a serait un pas de g�ant pour
l'�pid�miologie fran�aise, et � mon avis, d'un impact un peu plus
important sur les soins � apporter � nos compatriotes que chercher �
voir combien de Guillan Barr� se sont d�clar�s apr�s vaccination sans
comparer � combien apr�s grippe)
Je constate au vu d'incohérences majeures des carences évidentes de la
pharmacovigilance : je n'affirme strictement rien de définitif sur
leur origine "volontaire" ou non. Ce n'est tout simplement pas mon
propos. J'en reste au constat facile à vérifier par quiconque : les
données publiées indiquent à l'évidence une sous-notification
inquiétante partout, mais variable d'un pays à l'autre. Cf.
http://www.revoltes.net/spip.php?article1711
"> Imagine : tu es m decin, tu signes le certificat de d c s d'un
homme
> jeune qui a eu un accident de voiture, s'est suicid ou est mort de
> froid. Est-ce que ton premier r flexe est de voir s'il a t vaccin
> dans les 3 semaines ? Moi, non."
Ce type de décès n'est pas notifié car ne correspondant pas à des
effets secondaires potentiels du vaccin. (Regardez les tables : si
tous les décès étaient notifiés même lorsqu'il est évident qu'il
n'existe pas de lien avec le vaccin, il y en aurait nettement plus).