ANALYSE PSY... DE LA PSYCHANALYSE !

10 vues
Accéder directement au premier message non lu

DaneelO...@aol.com

non lue,
25 avr. 2010, 16:01:1625/04/2010
à culture...@yahoogroupes.fr,destina...@googlegroups.com,pas-...@yahoogroupes.fr
FREUD N'A ETE QU'UN PILLEUR SANS VERGOGNE DE SOURCES QU'IL A PRIS BIEN SOIN
D'OCCULTER !

C'est notamment ce que l'on pouvait lire dans le précédent opus de ce
dossier
(Cf.
"http://groups.google.fr/group/destination2013/browse_thread/thread/88424ec19d9dc531"
Ou : "http://fr.groups.yahoo.com/group/culturenet2013/message/1546"... Ou
encore : "http://fr.groups.yahoo.com/group/forum_anti_censure/message/46"...
(et bien d'autres encore plus ou moins apparents, à l'image de ces fameuses
"Fondations" dans l'Oeuvre si sublime d'Isaac Asimov, génial fondateur de la
"PSYCHO-HISTOIRE" !!!))...

Petite illustration ou l'on voit que, contrairement à une légende tenace,
ce n'est pas Freud qui a découvert "l'Inconscient", que de nombreux
chercheurs étudiaient déjà longtemps avant qu'il n'ait l'idée de s'y interesser lui-m
ême (cette notion était également présente en philosophie, par exemple dans
l'œuvre Leibnitz au XVIIe siècle et amplement débattue dans les milieux
médicaux de son époque !) :
- « Lorsque le docteur viennois Josef Breuer commença à utiliser l'hypnose
dans les années 1880 pour soigner les troubles du comportement, il avait à
ses côtés un de ses élèves, Sigmund Freud.
Pendant plusieurs années, ils traitèrent des patients ensemble, les plaçant
sous hypnose légère et les encourageant à parler.
Freud conclut que pratiquement tous les souvenirs et toutes les motivations
rejetées dans l'inconscient sont d'origine sexuelle (obsession majeure de
l'observateur, obsédé sexuel notoire qui en avait déduit que le monde entier
était forcément aussi obsédé que lui par le pénis, ou son manque !!!) (...)

En 1894, après s'être brouillé avec son maître Breuer à cause d'un
désaccord sur l'importance qu'il fallait accorder à la sexualité (pour Freud en
effet, l'enfant n'avait qu'un désir : se substituer au parent du même sexe dans
le lit conjugal !), il se lança donc seul dans le développement de ses idées
si fallacieuses et tendancieuses sur les causes et le traitement des
affections mentales ! (Si quelqu'un aujourd'hui osait répéter les paroles qu'ils
professaient alors, il serait immédiatement emprisonné pour incitation à la
pédophilie et aux viols "thérapeutiques" de jeunes filles de 13 ans !!! (un
bonjour en passant à notre grand cinéaste défendu par notre aussi grand
Ministre de la Culture (!))) ... »

Cf. "A propos de l'INTELLIGENCE ... : Résumé essentiel !!!"
http://fr.groups.yahoo.com/group/culturenet2013/message/324
(Et aussi : "A propos de l'INTELLIGENCE, de ses tests d'évaluation..."
http://fr.groups.yahoo.com/group/culturenet2013/message/155)


-------------

Dans son émission du 27-01-96 “A l’ouest d’Edern”, Jean-Edern Hallier
avait invité une jeune femme pour témoigner de son calvaire face aux
agressions et harcèlements sexuels sur son lieu de travail (dans l’Administration
des Postes je crois). Un psychanalyste, totalement insensible, monstrueux
dans son indifférence méprisante, a alors fustigé cette pauvre femme - déjà
accusée de malade mentale à cause de son refus de céder à ces harcèlements
sexuels -, en clamant que c’était une honte que les femmes dérangent les
tribunaux pour de “si banales raisons” ; qu’elle n’avait qu’à se faire baiser au
lieu de se refuser. Le sexe étant dans la nature humaine, c’est elle qui
était malade pour se traumatiser ainsi des harcèlements au lieu d’y prendre
plaisir !... (sic)

(Est-il vraiment besoin de faire un commentaire ?...
On croirait entendre cet obsédé de Freud prétendant que Dora, la jeune
fille de 14 ans, est forcément une hystérique pour ne trouver aucun plaisir à se
faire violer par un vieux con aux neurones de toute évidence en
décomposition avancée !...)

Dans “Univers santé” de Février 1996, on peut lire également : « Hier
considéré comme un péché mortel, la masturbation est aujourd’hui encouragée
par certains thérapeutes (...) Au XIXe siècle, se masturber était considéré
comme une maladie, ne pas se masturber était un traitement : aujourd’hui, ne
pas se masturber est une maladie, se masturber un traitement (...) Ainsi,
début 1995, la responsable de la santé publique aux États-Unis a préconisé
l’enseignement de la masturbation dans les cours d’éducation sexuelle (...) Le
bébé comme le jeune enfant prend plaisir aux attouchements sexuels !... »
(SIC)

Là encore, le 19-11-96 aux environ de 14h30, j’entendais sur
France-Inter les propos du psychanalyste Bruckner, spécialiste des enfants et auteur
de nombreux livres soi-disant intelligents concernant la psychologie des
enfants, qui prétendait encore que “l’enfant porte en lui toutes les
perversités, turpitudes et monstruosités dont sont capables les adultes. Les enfants
ont déjà ça en eux depuis leur naissance et il ne faut pas croire que c’est
la société qui le leur inculque”...
Connerie !!!
Comme tous les freudiens ou néo-freudiens, ce pauvre hère, que les
autres écoutaient béa d’admiration, n’est qu’un dément psychopathe qui
n’exprime que des débilités sans nom. Les seules “turpitudes, perversités, etc.”
sont dans son cerveau malade, et ses filtres corticaux dégénérés !!!...

-------------

Dans un message daté du 6 mars 2004, j'avais écrit sur le Forum 2013
(le fameux "forum qui n'existe pas" ! (sic)) :
« Alors qu'en ce moment, sur ARTE, on assiste aux grandes soirées
thématiques consacrées à la psychanalyse freudienne... surtout à une nouvelle
HAGIOGRAPHIE (!) du grand, du beau, du bon, du formidable Sigmund Freud, "si
odieusement persécuté par les affreux et abominables nazis"...
... voiçi une intéressante "réponse" que publiait déjà mon ami Georges
Krassovsky en 1968...
Et qu'il vient juste de rééditer dans son journal ESPRIT LIBRE de
janvier 2004 : "L'ANALYSE DE LA PSYCHANALYSE" !

Extrait :
Il faut que je précise tout de suite que par psychanalyse, j'entends
surtout la psychanalyse classique, telle que l'a enseignée Freud, et non les
différentes formes de psychothérapie instaurées par certains de ses
"disciples", et, notamment, par Jung et par Adler qui, tout en se référant à Freud -
sans doute pour profiter de l'engouement général que suscitaient ses
théories - ont en réalité créé des systèmes bien à eux, n'ayant qu'un rapport très
lointain, et parfois même aucun rapport, avec les conceptions de leur
prétendu maître. (Pour ma part, je ne suis jamais arrivé à me passionner pour
l'oeuvre de Jung qui m'apparaissait bien plus touffue et plus compliquée que
l'âme humaine qu'il cherchait à nous expliquer. ------- (Daneel : et pour ma
part, ce que j'ai essentiellement retenu du message de Jung, qui a si bien su
décrire ce phénomène "d'Inconscient Collectif", que des scientifiques de
haute volée tel Rupert Sheldrake redéfinissent maintenant sous le concept de
"champ morphique"... c'est cette phrase qui explique tellement bien que toute
compréhension ou connaissance vraiment neuve ne peut venir que de la
confrontation des savoirs et des opinions les plus différentes : "C'est du choc des
contraires que jaillit la lumière !") ------- Par contre, les conceptions
d'Adler, qui mettait l'accent sur le complexe d'infériorité et le jeu subtil
des "compensations", m'ont paru très valables.

Mais ne nous évadons pas du sujet.
Revenons à Freud et à la psychanalyse classique : la libido, les stades
oral et anal de l'enfant, le complexe d'Oedipe, le conscient et le
subconscient, la censure moral, les refoulements, les rêves et leur symbolisme, le
sentiment de culpabilité, le processus d'auto-punition, les névroses et les
psychoses, les maladies organiques d'origine nerveuse, la mise en scène des
séances de psychanalyse : le patient allongé sur un divan et le psychanalyste
assis à côté en lui tournant le dos...
Il fut un temps où j'ai eu le courage d'ingurgiter tout cela à travers
les livres.
J'avais toujours, en les lisant, l'impression d'être en présence de
quelque chose d'artificiel et sans relations avec les faits réels.
Tous les enfants que j'ai approché, en commençant par les miens, m'ont
toujours paru n'avoir rien de commun avec ces petits démons pervers que
seraient les enfants selon Freud. L'enfant vu par freud m'avait tout l'air
d'être un enfant inventé, imaginaire, différent des enfants réels !

------------- (Daneel : en fait, le pauvre Sigmund, profondément
déséquilibré, et n'ayant pas eu la chance de rencontrer un vrai "psychothérapeute"
capable de le guérir de sa névrose obsessionnelle, avait tout simplement
effectué un "transfert" ;o) de ses propres sentiments, très personnels et
particuliers,... sur l'ensemble de la population humaine !) -------------

Or, si, comme l'affirme Freud, les maladies des adultes ne sont le plus
souvent que des conséquences des troubles subis dans l'enfance, il en
résulterait que tout son système serait bâti sur des prémisses pour le moins
arbitraires.
En effet, tout s'écroule à partir du moment où l'on constate que
l'enfant réel n'est pas conforme à l'image qu'en donnait Freud...

Passons maintenant à l'adolescent et à l'adulte. Comment ne pas
éprouver un malaise ------- (Daneel : de la nausée même... tant le discours est
affligeant de niaiseries et de délire pur... ce qui n'était probablement, en
fin de compte, que le propre enfer mental de Sigmund Freud, et de ses nombreux
confrères "spirituellement décérébrés par les morbides élucubrations
psychanalytiques") ------- à la description de l'enfer que serait leur subconcient
selon Freud : instinct de la mort, tendances incestueuses, pulsions
criminelles et sadiques, masochisme, etc., ...

En principe, Freud voulait en libérer les être humains...
MAIS JE ME SUIS TOUJOURS DEMANDÉ SI SES CONCEPTIONS N'ÉTAIENT PAS PLUTÔT
DES POISONS QU'IL INTRODUISAIT DANS LES ÂMES SAINES !!! ...

... Et si en fin de compte, il n'a pas rendu malades bien plus d'êtres
humains qu'il n'en a guéri !...

Au lieu d'exalter ce qu'il y a de meilleur en l'homme, Freud s'est
acharné à généraliser ce que, chez certains individus dégénérés, il pouvait y
avoir de pire !

------- (Daneel : On ne le sait évidemment pas, et ce n'est certes pas
avec des films ou documentaires comme ceux qui passaient sur Arte ces deux
derniers soirs qu'on risque de l'apprendre : mais Freud à son époque, faisait
déjà une véritable apologie de ces monstrueux individus dont on parle
beaucoup actuellement : les pédophiles !!!
Pour Freud, toute jeune femme "saine d'esprit" (sic) devait prendre
plaisir à se faire violer par de vieux vicieux et obsédés sexuels comme lui ;
l'inverse était forcément signe de grave névrose... chez la jeune femme qui
se refusait ! (???) (Après-ça, on se demande pourquoi, comme on le voit dans
ce film avec Deneuve, le "National-Socialisme" ait tant cherché à éliminer
les mouvements psychanalytiques à ce point... "inhumains" !!!)) -------

Et cela est très grave du point de vue psychologique, les gens
impressionnables ayant tellement tendance à "reconnaître" en eux les troubles et la
monstruosité dont ils lisent la description (Daneel : mettez-vous donc à
lire le "Vidal" ou n'importe quel autre dictionnaire médical... vous vous
sentirez tout d'un coup la proie de toutes sortes de maladies bizarres ! :oD)
... »

------------- Et ces toutes dernières années on a enfin entendu parler
de ces ravages provoqués par cette technique de manipulation mentale
typiquement freudienne qui amène ses clients à retrouver de faux souvenirs d'abus
sexuels infantiles que l'on nomme aujourd'hui "Syndrome des Faux Souvenirs
Induits"... (Voir notamment : "http://www.psyfmfrance.fr/index.php"... Ou :
"http://psychotemoins.veille.inist.fr/spip.php?article339"... Ou encore :
"http://www.cicns2.net/Faux_Souvenirs_et_Antisectarisme.htm"...

Comme on peut le lire également ici (Cf.
"http://www.lepost.fr/article/2009/07/14/1619510_faux-souvenirs-fausses-accusations-elisabeth-loftus-a-gene
ve.html") : « Impliquant plus de 20 000 participants, les travaux
d’Elizabeth Loftus ont permis de révéler la malléabilité de la mémoire humaine.
Elle a ainsi démontré que le témoignage oculaire est souvent peu fiable
et que de faux souvenirs très durables peuvent être provoqués chez près
d’un quart des individus, par de simples suggestions.
Selon Jean-François Marmion dans "Psychothérapies Vigilance" :
« Au début des années 1980, dans les médias des États-Unis, s’est
répandue l’idée que les souvenirs enfantins d’abus sexuels pouvaient être
réprimés dans la mémoire, oubliés durant de longues années, puis resurgir à la
faveur d’une psychothérapie. Dans la lignée du féminisme, le simple fait qu’un
tel sujet devienne un débat de société représentait une victoire majeure
sur la loi du silence. En quelques années, l’opinion publique américaine a été
secouée par des milliers de procès, parfois retentissants, de patientes se
retournant contre leur père pour l’accuser d’attouchements jusqu’alors
insoupçonnés. En 1992 est née une association de parents accusés publiquement
d’avoir abusé leurs enfants, et clamant leur innocence.
Or, on sait aujourd’hui que dans de nombreux cas, ces souvenirs d’abus
sexuels étaient bel et bien faux.
Les scènes retrouvées étaient parfois authentiques, mais, le plus
souvent, il s’agissait vraisemblablement de pures inventions.
Comment des patientes de bonne foi pouvaient-elles se souvenir de
traumatismes qu’elles n’avaient en réalité jamais vécus ??? »
(Et ne manquez pas non plus cet excellent site sur les psychothérapies
: http://www.retrouversonnord.be/psychoapproprio.htm) -------------

Mais revenons-en au témoignage de Georges Krassovsky, publié en 1968 :
« Etant moi-même sans doute assez équilibré, je n'ai pas été atteint,
ni détraqué par l'étude de la psychanalyse. Bien au contraire, tel un agent
pathogène, cette dernière a suscité en moi une production d' "anti-corps"...
et le présent article en est la démonstration ! :oD

Il ne s'agit donc pas d'une rancune personnelle (ou de je ne sais quoi
de "refoulé" qui devrait m'inciter à me faire psychanalyser au plus vite,
comme ne manqueront pas d'en déduire, tels que je les connais, les
psychanalystes.) Mais j'ai flairé le danger, j'ai vu tout de suite dans l'oeuvre de
Freud, et chez les psychanalystes qui s'y réfèrent, quelque chose de malsain,
de dégradant.
L'Homme n'y est pas saisi dans sa totalité, et le peu que l'on nous
décrit est une généralisation outrancière de quelques cas particuliers.
------------- (Daneel : "Cas particuliers" par surcroît totalement
inventés par Freud, qui, évidemment, à part lui-même, n'avait trouvé aucun autre
cas pour illustrer ses ahurissantes divagations) -------------

C'est à se demander si Freud, lui-même, n'était pas un malade et un
obsédé sexuel, car ramener tout au sexe et à la recherche de la jouissance
sensuelle, qu'est-ce, sinon une obsession ? (...)

Je ne peux vraiment pas m'empêcher de citer à l'appui de ce qui précède
quelques réflexions d'un psychanalyste qui, suivant son propre aveu : "a
réussi à échapper à la psychanalyse".
Ces réflexions ont paru dans le numéro de mai 1952 de la revue "AVANT
TOUT GUÉRIR" (page 6).
Selon cet ex-psychanalyste : "La psychanalyse consiste à soigner, de
façon à les éterniser, des troubles qui s'aboliraient d'eux-mêmes si on ne
s'en préoccupait pas ... à appeler les pompiers pour éteindre une allumette ...
à fabriquer du morbide avec de l'imaginaire, du grave avec de l'inexistant,
du drame avec n'importe quoi..."

Je finirais par une anecdote... ou plutôt une histoire vraie :
Il y a quelque années, j'avais parmi les adhérents d'un Club que
j'avais fondé ("Le Club de la Bonne humeur"), un garçon timide, dont l'apparente
réserve cachait une profonde insatisfaction sentimentale. A un moment donné,
il cessa de fréquenter le Club. Je le rencontrai par hasard trois ou quatre
ans après. Selon toute évidence, il n'avait guère changé. A ma demande "que
devenez-vous ? Pas encore marié ?" il me dit qu'il suivait depuis plusieurs
années un traitement chez un psychanalyste. "Et alors ?" lui demandais-je.
"ça m'a coûté très cher, me répondit-il, et je n'ai même pas pu acheter une
voiture, comme je le voulais. Et vous savez quand on n'a pas une belle
voiture, il est difficile d'avoir du succès auprès des filles".
Et il ajouta d'un air triste : "C'est le psychanalyste qui vient
d'acheter une nouvelle bagnole avec l'argent que je lui ai donné... »

(Georges Krassovsky, "ESPRIT LIBRE", BP 164, 75664 Paris cedex 14 / Fax :
01.45.40.08.06)


-------------

A connaître également : l'ouvrage de Guy Baret : "COMMENT RATER
L'ÉDUCATION DE VOTRE ENFANT... AVEC FRANÇOISE DOLTO", aux éditions Ramsay

- « Les incontestables qualités humaines de Françoise Dolto ont masqué
la difficulté de la tâche qu'elle prescrit aux parents. Et les risques que
l'on prend à la suivre aveuglément. Ce n'est pas pour rien que les
thérapeutes soignent aujourd'hui "l'enfant-tyran" - ou ses parents, épuisés.
Oui, on peut "rater" l'éducation de son rejeton si l'on suit Françoise
Dolto en prenant ses ouvrages comme des livres de recettes ; en suivant à la
lettre ses conseils, parfois contradictoires ; en se soumettant à la menace
angoissante du "tout se joue avant quatre ans" ; en renonçant à son propre
bon sens pour lui substituer les impératifs doltoïens ! (impératifs
doltoïens fortement influencés par les impératifs freudiens !!!)...

Dolto est devenue un phénomène de société... jusqu'à l'absurdité !
L'auteur de cet ouvrage nous livre ici des tranches de vie "à mourir de
rire" ... qui illustrent avec brio les incohérences et parfois même
inepties de la "psychanalyse dolto-freudienne" »

-------------

- A connaître également à ce propos :
- Regard conscient sur la psychanalyse :
"http://www.regardconscient.net/archives/psychanalyse.html#top"

(Bref extrait : « Les théories de Freud sont un reflet de ses propres
névroses qu'il croit universelles. Il accepte de fermer les yeux sur les fautes
sexuelles des pères, le sien compris. Il soutient une théorie, celle du
complexe d'Œdipe, qui lui permet de répondre aux femmes qui se souviennent avoir
été violées par leur père alors qu'elles étaient enfant que leur souvenir ne
se rapporte pas à un événement réel mais à leurs fantasmes sexuels ayant
leur père pour objet. Freud n'est pas allé chercher bien loin son complexe d
'Œdipe. Ce mensonge, c'est celui de tous les violeurs du monde qui affirment
que la femme violée ment, ou, en dernier recours, que c'est elle qui était
porteuse du désir. C'est trop facile ! (...)
Ce que confie Freud sur son père à son ami Fliess est en tout cas dépourvu
d'ambiguïté : il accuse son père d'abus sexuels sur ses frères et sœurs, et
peut-être sur lui-même. Ce fait est très peu connu en France car l'édition
française de la correspondance Freud-Fliess est expurgée. Les rares personnes
qui prennent la peine d'en lire l'édition intégrale anglaise ou allemande
sont la plupart du temps des psychanalystes qui évitent donc de jeter le
discrédit sur les idées défendues par leur propre profession...

Et connaissez-vous le cas d’Emma Eckstein ?
Une des premières analysées de Freud, dont le calvaire - et pour cause - a
été pratiquement occulté dans l’histoire de la psychanalyse.
Pour Freud, cette femme de 27 ans souffrait de « symptômes hystériques »
qui découlaient d’abus sexuels survenus dans l’enfance. Dans l’Esquisse
d’une psychologie scientifique écrite à l’intention de Wilhelm Fliess, il
suggère dans un premier temps que des traumatismes refoulés pourraient
effectivement être à l’origine de sa névrose : « À l’âge de huit ans, elle était
entrée deux fois dans la boutique d’un épicier pour y acheter des friandises et
le marchand avait porté la main, à travers l’étoffe de sa robe, sur ses
organes génitaux. »
Cependant, il ne fait pas de lien entre ces attouchements et le fait que la
jeune femme se masturbe de façon compulsive, une pratique que Freud et
Fliess considèrent au contraire comme cause du déclenchement des maladies
névrotiques.
Pour Fliess, le seul moyen d’y remédier est d’avoir recours à une
intervention chirurgicale sur le nez de la patiente, qu’il considère comme le lieu
physique d’un déplacement de ses problèmes sexuels. Freud lui abandonne la
jeune femme - en « toute confiance », lui écrit-il - et Fliess mène
l’opération de telle sorte qu’Emma fait plusieurs hémorragies dont elle faillit
mourir. Au bout de quinze jours, Freud découvre que Fliess a laissé au moins
cinquante centimètres de gaze imprégnée de teinture d’iode dans sa cavité nasale,
empêchant toute cicatrisation de la plaie (*)....
Pour ne pas mettre en cause son ami et interdire le dévoilement de sa
propre vérité, Freud se livre alors à une véritable contorsion sémantique qui
débouchera sur l’élaboration de sa théorie du fantasme, selon laquelle les abus
évoqués par ses patients au cours de l’analyse sont le fruit de leur
imagination. Il soutient que les hémorragies d’Emma n’avaient rien à voir avec
une chirurgie désastreuse, mais étaient « d’origine hystérique, provoquées par
des désirs inassouvis et survenaient probablement lors des périodes
sexuellement propices ».... » (sic)


-------------

(*) « ... La liturgie, l’idéologie, les manipulations et les comportements
des membres de la secte freudienne restaient ignorés du fait de la rétention
des informations depuis 80 ans.
A lire ce qui a paru des échanges épistolaires, on est pris d’un vertige
et, ainsi que l’écrivait Ernest Gellner, "on est en droit de se demander si
l’on étudie l’histoire d’une association scientifique ou si l’on s’est
égaré dans Le parrain". C’était, dira le psychanalyste français François
Roustang, "au sens propre, une bande de délinquants, ou un gang de tueurs", ou
encore "une horde sauvage"...

Désinformation et totalitarisme de la pensée sont les deux mots clés
définissant l’histoire de la psychanalyse freudienne.
Cela dans un dessein précis : cacher l’une des plus grandes supercheries du
siècle dernier.
Freud le maître, Freud le plus grand chercheur, Freud thérapeute
extraordinaire, voilà ce que nous entendons dire. Pourtant, ces éloges sont loin de la
réalité. Jacques Bénesteau, dans son livre étonnant : Mensonges freudiens,
nous livre les témoignages jusqu’alors cachés et bien gardés par les
cerbères de la psychanalyse. Il nous donne la véritable image de cet homme
fondateur d’une science qui n’a pas fini de faire des ravages.
Fort heureusement, le voile commence à se lever et peut-être sommes-nous
sur le chemin qui délivrera la psychologie d’un tel fléau....

« Échec » est le mot qui caractérise la carrière médicale de Freud.
Ses recherches commencent en 1877 sur le problème des testicules de
l’anguille. Après avoir disséqué plus de 400 spécimens de la bête, il ne trouve
rien. Puis, en 1878 dans le laboratoire d’anatomie expérimentale de Stricker,
il travaille avec acharnement durant six mois sur des glandes, sans aucun
résultat. Stricker reprend son travail et réussit aussitôt.

En 1879, il met au point une préparation chimique permettant d’isoler les
tissus nerveux pour le microscope, sa découverte n’a aucun succès à
l’extérieur du laboratoire. Freud finit quand même par obtenir son diplôme de
Docteur en médecine en 1881, après 13 années d’études, il est en retard de trois
années sur sa génération. Sa carrière est alors en panne : travaux
biologiques et zoologiques avec Claus, assistant dans le laboratoire d’histologie de
Brücke, deux semestres en chimie chez Ludwig, trois mois en chirurgie chez
Billroth, six mois en médecine interne, quelques mois chez Meynert au service
des maladies nerveuses, puis au laboratoire d’anatomie cérébrale, trois mois
en dermatologie, quatorze en neurologie, cinq en ophtalmologie, trois
semaines en pédiatrie. Freud touche à tout et ne trouve pas sa vocation. Il
cherche la gloire. Il ne la trouve nulle part.

En 1882, la théorie des neurones lui échappe ; mais l’échec le plus cuisant
est sans doute celui de la découverte par Karl Koller de l’anesthésie
locale par la solution muriatique de cocaïne. Freud travaillait avec lui dans le
laboratoire de Stricker. Il passe à côté de la gloire en raison de son
absence durant l’été, trop occupé avec Martha Bernays. Freud ne digère pas son
échec. Il tente alors de faire d’autres découvertes sur les propriétés de la
cocaïne, dont il est grand consommateur.
De novembre à décembre 1884, il entreprend une série d’expériences pour
évaluer les effets de l’alcaloïde dans la force musculaire grâce au dynamomètre
d’Exner. Son rapport est publié le 31 janvier 1885, on y cherche vainement
des renseignements sur le rapport entre les doses de cocaïne ingérées (il
fut lui-même le sujet de son expérience) et les variations de la force. « 
C’était un travail d’amateur, bâclé dans l’urgence du besoin de se racheter et
de rattraper le temps perdu ». Vexé par ce deuxième échec, Freud essaye de
compenser ses insuccès et ses déboires en affirmant avoir déjà appelé bien
avant Koller l’attention sur les propriétés anesthésiques de la cocaïne au
niveau local. Il affirmera en 1934 dans une lettre au Professeur Meller, lui
avoir transmis son idée.
 
Cependant, Freud n’en a pas fini avec la cocaïne. Il essaye, après ses
expériences sur la cocaïne et la force musculaire, de guérir avec cette « potion
magique » Ernst Fleishl von Marxow devenu morphinomane en raison d’un
névrome sur le moignon d’un pouce amputé.
Seule la morphine pouvait calmer à l’époque les douleurs des névromes
(prolifération nerveuse terriblement douloureuse). Freud prétendit l’avoir guéri
en quelques jours de sa dépendance à la morphine (dérivée de l’opium) grâce
à l’injection de cocaïne.
Or aux opiacées, il ajoutera chez ce patient la dépendance à la cocaïne.

Peu lui importe, la cocaïne, c’est formidable, et il la recommande à tout
le monde pour ses vertus euphorisantes et analgésiques, particulièrement dans
les maux d’estomac.

Le 18 juin 1884, il écrit son célèbre article Über coca, rédigé à la hâte,
bourré de fautes d’orthographe, brouillon, se trompant sur la formule
chimique de la cocaïne, mélangeant les dates et les noms.

Pourtant, sa réputation devient internationale ; les deux continents font
l’éloge de sa méthode de soins des morphinomanies par la cocaïne. Freud
édifie alors la société savante du Procédé-Freud destiné à soigner la toxicomanie
à l’opium et dérivés comme la morphine.

Pendant ce temps, Fleischl est dans un état lamentable au bord suicide
luttant à la fois contre la douleur, la morphine et la cocaïne.
Freud le sait parfaitement, puisqu’il lui rend visite régulièrement. Il
écrit à Martha : « avec Fleischl, les choses vont si mal que je ne puis me
réjouir d’aucun succès ».

Après avoir enduré d’horribles souffrances pendant de nombreuses années,
Fleischl finit par mourir en 1891, et son portrait ornera le mur du cabinet de
Freud jusqu’à la fin de sa vie...

... Au même moment, Freud traite une patiente, Emma Echstein pour des
troubles hystériques de « conversion », des douleurs gastriques et une
dysménorrhée avec hémorragies génitales depuis l’adolescence. La patiente rapporte ces
perturbations à des facteurs organiques, mais Freud refuse de l’admettre et
ne demande aucun examen médical car la cause est pour lui indiscutable une
masturbation mal refoulée et conflictuelle.
Freud reconnaît là une névrose nasale et fait examiner sa patiente par
Fliess. Ils décident alors de l’opérer, c’est une première mondiale : une
trépanation d’un os des fosses nasales doit guérir sa névrose. Il s’agit de
l’ablation du cornet nasal moyen gauche. Un mois s’écoule la malade n’est
toujours pas remise et souffre d’un œdème facial, d’hémorragies nasales, de
sécrétions purulentes devenues fétides, de douleurs et d’un état infectieux.
Le 8 mars 1895, Freud décide de la faire ausculter par un médecin ORL qui
lui retire lentement, après inspection de la fosse nasale, une interminable
bande de gaze d’au moins un demi-mètre oubliée par le professeur Fliess.
C’est alors l’hémorragie foudroyante. Emma est hospitalisée et finit par se
remettre au bout de quelques mois, mais plusieurs opérations sont nécessaires
pour réparer les dégâts et la mettre hors de danger.
Pour excuser cette faute médicale majeure, Freud affirme que ces
saignements étaient hystériques et liés au désir sexuel inconscient d’Emma, celle-ci
se laisse convaincre. Emma deviendra la première femme analyste, ce qui en
dit long sur le pouvoir de persuasion de son maître.

Cependant, Emma est peut-être guérie des conséquences de l’intervention
chirurgicale, mais absolument pas de ses douleurs abdominales et des
hémorragies génitales. Désespérée, elle finit par consulter un médecin qui lui retire
un énorme abcès abdominal. Elle semble tirée d’affaire, mais Emma est
toujours victime de saignements génitaux. On lui retire la totalité de l’utérus.
Diagnostic fibromyome, tumeur bénigne du tissu musculaire utérin probablement
responsable des hémorragies cycliques depuis l’adolescence. Emma Eckstein,
cloîtrée, inactive et alitée en permanence depuis 1905, défigurée par la
trépanation de 1895, mourra en 1924 d’un accident cérébral.
 
Au sein de ces déboires, de ces fraudes, de ces erreurs et de cette
inexpérience chronique va naître la psychanalyse. (…)

... Enfin, le cas de L’homme aux loups considéré comme le plus
démonstratif, qui suivit une psychanalyse durant 70 ans (on se demande où est la
guérison !), par dix psychanalystes qui se sont relayés jusqu’à sa mort en 1979. Il
aurait été guéri successivement de plusieurs maladies mentales.
L’homme aux loups, ruiné par la révolution bolchevique fut subventionné par
le mouvement psychanalytique. Freud lui fournissait des livres en quantité
et organisait une collecte chaque année à Pâques. Puis, Kurt Eissler prend
la relève et lui obtient une pension à vie sur les fonds des archives Freud,
en plus d’analyses gratuites, en échange de son engagement pour la cause.
Toutefois, il ne garda pas le silence jusqu’au bout et finit par avouer le
mal que lui avait fait la psychanalyse. Il garda des troubles psychologiques
durant toute sa vie.

Six cas seulement sont à peu près étudiés sérieusement par Freud, six cas
absolument contestables, ce qui en dit long sur l’efficacité de la Méthode
psychanalytique. La psychanalyse est un procédé développé sans aucune
objectivité scientifique. Elle tient du rêve, et des délires d’un homme imbu de
lui-même, ne supportant pas l’échec, malhonnête, et sous l’influence de la
cocaïne.

La psychanalyse n’a jamais fait ses preuves et causa la perte de beaucoup
de patients.
Des malades parfois connus comme Marylin Monroe ont été victimes du
freudisme, et se sont donné la mort, sans compter les psychanalystes eux-mêmes.

Jacques Bénesteau nous donne une proportion étonnante : sur une population
de 100 000 personnes, on estime qu’entre 10 et 30 personnes se donnent la
mort. Sur les 350 psychanalystes officiellement recrutés en Europe centrale
avant la seconde guerre mondiale, plus d’une vingtaine s’est suicidée. Nous
pouvons en étant indulgent, considérer cette fréquence de 20 psychanalystes
sur 350, contre environ 20 pour 100 000 dans la population générale. Ceci
signifie qu’il y a 285 fois plus de suicides chez les psychanalystes que dans
une population générale. C’est effarant.

Mais est encore plus effarant la renommée du freudisme devant tant
d’inexpériences, de manque d’objectivité, de fantaisies, de fraudes et d’échecs
thérapeutiques.
Nous nous rendons compte alors de l’ampleur de la supercherie propre au
système freudien.
eaucoup de lettres ou de conférences ont été supprimées par Freud ou
cachées par sa fille et ses disciples. Tout ce qui peut desservir la cause est
écarté. Malheur à celui qui, du temps de Freud, disait du mal du maître.
Certains ont eu leur carrière détruite pour avoir osé critiquer le maître.
Finalement tout comme Edmond Rostand disait du darwinisme qu’il était « un
conte de fée pour grandes personnes », le freudisme est véritablement un « 
conte de fée pour scientifiques ». Ces deux fameuses révolutions ne sont que
des impostures à la stature de géant !!! »

(Cf. "http://www.salve-regina.com/Catechisme/Freud_et_la_psychanalyse.htm
")


-------------


Petit extrait de la première mouture - un millier de pages écrites
quasiment d'un seule traite en 1995 et 1996 - de ma fameuse "Encyclopédie Non
Conformiste du Troisième Millénaire de R. Daneel Olivaw" :
« ... Si vous combattez les paranoïaques idées de Freud à la lumière
d’une haute conscience scientifique et spirituelle - ÉCRIVAIT ROGER DOMMERGUE
DANS SON OUVRAGE DE 1981 "LA POLLUTION MÉDICALE, concrète et abstraite
(allopathie et freudisme)") -, et que vous en parliez à un psychanalyste, il
n’essayera pas d’accéder à votre hauteur - ce dont d’ailleurs il sera
parfaitement incapable -, mais il vous dira péremptoirement : “cette lutte contre le
génial Freud masque mal votre angoisse et votre névrose”, et le tour est
joué : dans un monde de barjos et de demeurés, l’être sain est considéré comme
fou !...

Ajoutons que ce genre d’interprétations ne sont pas du tout
exceptionnelles dans les livres de Freud : on les retrouve partout, même et surtout lo
rsqu’il parle de gens remarquables comme Goethe ou Léonard de vinci, qui
dépassent, O combien, la fantomatique ombre de Freud (j’ajoute que même Marx,
que je n’aime pourtant pas - pour diverses raisons qui n’appartiennent qu’à
moi -, avait dénoncé la psychanalyse freudienne comme : “une manifestation
majeure de la pourriture bourgeoise” !...)

Toutes ces notions sont aujourd’hui (en 1981!) largement utilisées dans
le domaine de la publicité et des enquêtes de marché. La plupart des
chercheurs en motivation contesteront que la jeune fille que l’on voit sur une
grande affiche déguster une banane, nous attire par son charme (ou simplement
parce que nous aimons les bananes, fruits excellents pour la santé). Non, ce
serait trop simple : les freudiens nous diront que le dessin correspond à un
acte de fellation. De même, méditez la dessus mes amis qui vous détruisez
avec le tabac : nous ne voulons jamais fumer une cigarette, mais subir la
fellation ; Que les hommes qui fument soient plus nombreux que les femmes (ce
qui commence maintenant à changer, en 1995 (NDLR)), cela n’impressionne pas
notre psychanalyste en motivation, qui nous parlera alors d’homosexualité
inconsciente et omniprésente...

(Daneel : Comme on le constate, ce système freudien est encore plus
diabolique et machiavélique que le système Ptoléméen, qui lui, pendant des
générations de savants et d’érudits, avait emprisonné dans l’erreur tant de
brillants penseurs, chercheurs et scientifiques !!!
Souvenons-nous quand-même que c'est pour défendre ce système qu'à
l'époque de Copernic, Galilée et Kepler, leurs savants contemporains avaient fait
pression sur l'Église - dont l'autorité morale était alors très influente -
pour que celle-ci condamne ces affreux contradicteurs (alors que l'Eglise,
elle, était plutôt encline à encourager ce renouveau culturel).
On retrouve aujourd'hui parmis les défenseurs du freudisme - mais on
pourrait aussi tout aussi bien évoquer les défenseurs de ces autres "religions
sectaires" que sont le vaccinalisme, le vivisectionnisme, le viandisme, le
"chimisme", l'allopathisme, etc. - exactement le même genre d'individus qui,
il y a quelques siècles, envoyaient volontier aux bûchers ou à
"l'inquisition" ceux qui osaient contredire une "croyance sociale" implantée depuis déjà
bien trop longtemps dans les consciences !...)

Il est évident que le bien fondé de telles affirmations échappe à toute
démonstration.
Aussi, ces sottises ne peuvent s’habiller d’un semblant de réalité que
lorsque la masse a été profondément marquée par un freudisme aussi
pathogène que le système allopathique ! (...) Freud nous a réservé toute les
turpitudes : les enfants sont des pervers, les femmes des putains potentielles, et
les hommes des homosexuels patents, latents, ou platonniques ! Ce dernier
terme est l’arme finale : au cas où il est absolument impossible de fournir la
moindre preuve d’homosexualité, comme ce fut le cas pour Léonard de Vinci
!... Dans ce dernier cas, c’est “l’inconscient du sujet qui est atteint de
cette homosexualité platonnique” Allez-y donc voir !!! »

------------- (Daneel : Cela me rappelle d’autres anecdotes toutes
aussi stupides, mais en ce qui concerne les vaccinations ; Mon Amie Marina
Reynouard me racontait un jour, que, refusant pour son enfant les tératogènes et
iatrogènes vaccinations obligatoires (et après, on s’étonne encore de la
progression de toutes ces maladies infantiles pour lesquelles l’“A.R.C.”, le
“Téléthon” et compagnie, nous demande toujours plus de fric d’années en
années !... C’est bien, c’est même très bien de s’occuper de tout ces pauvres
enfants handicapés, de leur apporter soutien, confort et réconfort,... mais
ils auraient certainement été plus heureux s’ils étaient nés en bonne santé
; Dans les années 70 , les neurologues H. et M. Stiller, nous avaient
pourtant déjà avertit : «Les médicaments allopathiques sont responsables de 61% de
toutes les malformations»), des médecins de son entourage lui avaient
prophétisé qu’il attrapperait forcément telle et telle maladie d’enfance. Les
années ont passés, l’enfant est toujours en bonne santé, et que lui disent
aujourd’hui les grands prophètes de la médecine officielles ? : “il a quand
même attrapé les maladies, mais sous une forme invisible” (sic).
N’a t’on jamais rien entendu de plus stupide et ignare ???!!!...
Ah si, tout récemment, alors que nos chers fabricants de vaccins - qui
seront un jour ou l’autre jugé pour “Crime contre l’Humanité”, comme ces
criminels de Cogema et compagnie - se défoncent dans d’odieuses campagnes de
désinformations sur les vertus inimaginables du vaccin antigrippe, j’ai
rencontré plusieurs malades de la grippe et qui s’étaient pourtant fait vacciner
; Voici deux des justifications majeures : “nous l’avons vacciné trop
tard, le virus était déjà là, et le vaccin n’a donc pas eu le temps d’agir”
(cela n’a pourtant pas empêché leur idole Louis Pasteur de vacciner contre la
rage des chiens qu’il avait préalablement enragé !!!), et “le vaccin
correspondait à une autre forme de grippe que celle que vous avez attrapé” (sic)
!...

Comme on le constate, que ce soit les freudiens, les vivisecteurs, ou
les vaccinateurs,... ils n’admettront jamais leur insondable bêtise, à la
limite de l’animalité (et encore, c’est faire injure à l’intelligence animale
!)) -------------


« Qui ne perçoit pas la folie de Freud dans l’histoire de Dora, encore
plus démente que celle du petit Hans? : Dora, une toute jeune fille, est
attirée dans la chambre d’un homme âgé. elle est tout à coup saisie et
embrassée par cet homme. Il y a vraiment, nous dit Freud, de quoi éveiller les sens
d’une jeune vierge de quatorze ans. Dora éprouve un sentiment d’horreur et
de dégout, s’arrache à l’étreinte et s’enfuit dans l’escalier. La conduite
de la jeune fille, conclut Freud: “est purement et absolument hystérique.
Toute personne chez laquelle une cause d’excitation sexuelle provoque un
sentiment de répulsion, est à mon avis, incontestablement une hystérique. Au
lieu de la sensation qui n’aurait pas manqué de se produire chez une fille
saine, il se produit chez dora une impression d’aversion qui agit sur les
muqueuses de l’estomac et y provoque l’horreur”(sic)
Un tel texte aurait signé l’internement de n’importe quel éducateur il
y a trente ou quarante ans!!! si Freud avait donc à psychanalyser une jeune
fille, il l’aurait tout simplement incitée, pour la rendre “normale”, à se
donner aux premiers venus !!!
Remarquons que c’est exactement ce que fait la psychanalyse freudienne
mondialement : il y a dans tout Freud une incitation dialectique, sournoise
et hypocrite, à la débauche...
(Avec les récents évènements de ces toutes dernières années qui ont vu
se succéder sans discontinuer de plus en plus de scandales liés à la
pédophilie, nul doute que de nos jours, ce Freud encore tant admiré aurait tenu
compagnie à l’immonde Dutroux) (...)

Le Freudisme est décidément unique dans l’histoire de l’humanité.
Cette fable hymalayenne n’a de réalité ni en fonction de la science
éternelle, qui est macroscopique, synthétique et qualitative, ni en fonction de
la science moderne, qui est microscopique, analytique et quantitative... Et
cette imposture gigantesque qui détruit les individus par la
“thérapeutique”, et les nations par son influence, est remboursée par la sécurité sociale
(...)
Il est vrai que le Freudisme promouvant l’obsession sexuelle, quand
tout le monde sera obsédé sexuel, le freudisme aura davantage d’autorité,
d’autant que les obsédés sexuels sont totalement incapables de pensée élevée et
objective. Ils seront convaincus par la logique la plus corticale, surtout
si elle s’intègre dans les perspectives de la liberté démocratique et la
satisfaction de leurs bas instincts. Il y a en effet dans le freudisme, comme
d’ailleurs dans l’allopathie vivisectionniste et chimiothérapique, une
véritable démagogie pathologique et pathogène ... »
(Cela, je le rappelle, fut écrit en 1981 !) (...)

Dans “l’Union” du 22 Décembre 1995, c’est encore le père François
Lefort, figure emblématique de la lutte contre la misère et la prostitution
enfantine, qui est à son tour accusé de dizaines, voire de centaines de
viols... de “nombreux témoignages d’enfants l’accablant” !...
(On peut retrouver aujourd'hui sur le net des nouvelles de ce curé si
injustement accusé, comme le curé de la si tristement célèbre "Affaire
d'Outreau" :
"http://www.marianne2.fr/Le-pere-Francois-Lefort-est-victime-de-calomnies_a124818.html" ;
"http://www.francisrichard.over-blog.com/article-36110228.html"...)

Mais serait-ce le même genre de témoignage accablant de tout ces
enfants affabulateurs aux États-Unis, accusant leurs propres parents des crimes
les plus atroces ?!... (c’est pas moi qui le dit, mais “science et vie”, le
n°1 de la presse scientifique européenne, dans son fameux article sur les
rêves éveillés et les crises d’épilepsies !... Dans ce dossier, Philippe
Chambon va même encore plus loin que ce que je citais précédemment de Maria Berg (
“Science Illustrée”, Août 1995 : “La vérité trahie en toute bonne foi”) ;
Ainsi donc, non seulement aucun témoignage ne peut-être fiable, même avec
100% de sincérité,... mais même les “témoignages sous hypnose” ne sont pas
plus solides, dignes de confiance : « L’un des pères de l’hypnose dite
expérimentale, Martin Orne, rappelle que l’hypnose - phénomène encore très mal
compris - peut-être un dangereux outil de manipulation. il peut appeler des
souvenirs faux mais qui s’imposent avec un écrasant sentiment de vérité et de
précision !... »
(Bref, comme le constatait déjà Maria Berg dans les interrogatoires
“normaux” (!) : l’interrogé et l’interrogateur fabriquent la vérité qu’ils
recherchent, ou sont prêts, inconsciemment, à accepter et comprendre !!!)
(...)

On peut supposer que tout dépend de l’hypnotiseur, qui peut induire ces
souvenirs par la simple orientation de ses questions (...)
D’autre part, il est possible que l’imagination plus ou moins
fantasque ou morbide de l’hypnotisé et ses sentiments de culpabilité ou de haine le
conduisent à élaborer des scénarios imaginaires qui prennent valeur de
vérité objective!... (...) Il paraît très imprudent de déclarer quelqu’un
coupable sur la seule base de souvenirs issus de séances d’hypnose, subies par le
ou les témoins ; Cela s’est pourtant déjà vu aux États-Unis où, entre autres,
des parents ont ainsi été accusés par leurs enfants des crimes les plus
atroces !... »)

L’explication serait cependant toute autre dans ce cas, car l’accusé
-le père François Lefort, prétend que c’est une cabale montée contre lui, et
surtout contre ses activités qui en gênent plus d’un !!!... Que tout cela
est compliqué, mais où va donc notre pauvre monde, égaré dans une telle mêlée
de mensonges et de vérités que l’on ne parvient plus à les distinguer l’un
l’autre ?!... Peut-être ces témoignages accablants sont-ils simplement dûs à
la perturbation mentale des pensionnaires, cet Institut étant spécialisé
dans l’hébergement des filles de 6 à 18 ans issues de familles violentes !?...

J’avais expliqué un peu plus tôt - via mon expérience personnelle avec
mon amie algérienne, elle aussi issue d’une famille violente -, combien
“l’activité perceptive” de l’individu ainsi traumatisé peut lui faire vivre
des choses qui n’ont aucun rapport avec la réalité. (...)
Et il n’y a de surcroît pas besoin d’être traumatisé pour porter de
faux témoignages, même “bien intentionnés”...
Rappelons nous de ce beau film de Jacques Brel, “Les risques du métier”
, réalisé par André Cayatte et Armand Jammot - en 1967 !!! -... Où,
finalement, on y retrouve presque cette conclusion lapidaire : “Il y a des milliers
“d’élèves” qui ne se sont jamais plaintes du Maître. On va croire deux ou
trois filles qui ont des problèmes de libido ! Elles n’ont qu’à se soigner
!... Voyez vous, des gens viennent ici avec des problèmes sexuels. Ils
projettent leurs fantasmes sur sa sainteté (dans le film précité, il ne
s’agissait pas d’un “professeur spirituel”, mais d’un professeur d’école (un
Maître)). Ils réclament eux-mêmes le contact sexuel. Mais il les a toujours
rejetés et nous les renvoyons. Alors ils se vengent !...” ») (....)

Mais si ces témoignages étaient pourtant vrais ?!...
J’ai en souvenir le bouleversant film de Miguel Courtois “Parole
d’enfants”, diffusé sur M6 le 7-02-96, où la vérité fut extrêmement complexe à
dénicher, où tous les témoignages se contredisaient, et où, finalement, même
si un semblant de vérité se fait enfin jour (n’oublions pas la grande
subjectivité de ces “téléfilms vérités”, illustrée plus tôt avec l’esemple de
“l’affaire Amy Fisher”), on ne sait toujours pas qu’elle est la responsabilité
de chacun des protagonistes de cette affaire de “viol incestueux” !... Et
une fois encore, un nouveau fait divers vient semer le doute : je lis ainsi
dans “l’Union” du 22-03-96 qu’un instituteur d’Arcis sur Aube, près de
Troyes, en poste depuis de nombreuses années, et “insoupçonnable”, a reconnu
avoir eu des relations sexuelles avec des élèves (pratiques sexuelles avec
deux garçons de 12 ans), et commis d’autres agressions...
(M6 diffusait encore le 4 Juin 1996 cette histoire authentique (!) et
bouleversante de Kristin, victime d’une machiavélique organisation de
commerce d’enfants, juridiquement propre : “Voleur d’Amour”, de Gabrielle
Beaumont)

Tout cela est bien consternant, mais montre en tout cas que ce ne sont
pas les sectes les responsables de telles pratiques, mais bel et bien la
société elle-même (rappelons-nous aussi cet individu abjecte dont parlait
Robert Pesquet dans son livre-témoignage : “Le Troquer, troisième personnage de
l’État, président de l’Assemblée nationale, qui, possédant un nombre
conséquent de bordels (dont Marthe Richard, une des premières féministes actives,
avait obtenu la fermeture), me demandait tout bonnement, à moi jeune député
fraichement élu, et moyennant une reconnaissance concrète, que je dépose une
proposition de loi pour demander la réouverture... de ces maisons closes
(Dans son ouvrage sur l'affaire de l'Observatoire, Robert Pesquet raconte
notamment le scandale des “bordels”, gérés pare des politiques influents)) !...

Dans son émission du 27-01-96 “A l’ouest d’Edern”, Jean-Edern Hallier
avait invité une jeune femme pour témoigner de son calvaire face aux
agressions et harcèlements sexuels sur son lieu de travail (dans l’Administration
des Postes je crois). Un psychanalyste, totalement insensible, monstrueux
dans son indifférence méprisante, a alors fustigé cette pauvre femme - déjà
accusée de malade mentale à cause de son refus de céder à ces harcèlements
sexuels -, en clamant que c’était une honte que les femmes dérangent les
tribunaux pour de “si banales raisons” ; qu’elle n’avait qu’à se faire baiser au
lieu de se refuser. Le sexe étant dans la nature humaine, c’est elle qui
était malade pour se traumatiser ainsi des harcèlements au lieu d’y prendre
plaisir !... C’est dingue, on croirait entendre cet obsédé de Freud prétendant
que Dora, la jeune fille de 14 ans, est forcément une hystérique pour ne
trouver aucun plaisir à se faire violer par un vieux snock en décomposition
avancée !...

Là encore, le 19-11-96 aux environ de 14h30, j’entendais sur
France-Inter les propos du psychanalyste Bruckner, spécialiste des enfants et auteur
de nombreux livres soi-disant intelligents concernant la psychologie des
enfants, qui prétendait encore que “l’enfant porte en lui toutes les
perversités, turpitudes et monstruosités dont sont capables les adultes. Les enfants
ont déjà ça en eux depuis leur naissance et il ne faut pas croire que c’est
la société qui le leur inculque”...
Connerie !!!
Comme tous les freudiens ou néo-freudiens, ce pauvre hère, que les
autres écoutaient béa d’admiration, n’est qu’un dément psychopathe qui
n’exprime que des débilités sans nom. Les seules “turpitudes, perversités, etc.”
sont dans son cerveau malade, et ses filtres corticaux dégénérés !!!...

Rappelez-vous ce que j’expliquais plus tôt, à propos des “maîtres du
monde” de l’information - tel Rupert Murdoch - et notamment de cet article
très intelligent et sensé de Jean-Baptiste Loin dénonçant l’intoxication
intellectuelle et la pollution mentale qui dépassent le seuil de tolérance (“Un
monde sous influence” (“la Vie Naturelle”, Janvier 1996)) :
« La “Psychanalyse Intégrale” de Norberto R. Keppe établit
scientifiquement ce que tout le monde - sauf, peut-être, Freud - savait empiriquement,
à savoir que la sociopathologie et la psychopathologie sont étroitement
liées, et que toute maladie mentale (et ses conséquences somatiques) a pour
origine l’impossibilité de vivre sainement dans le cadre de structures sociales
corrompues. Or, d’après Keppe (auteur de “La libération des peuples;
pathologie du pouvoir” aux éditions Proton), ce sont précisément “les individus
les plus malades, les plus froids, les plus agressifs, les plus malhonnêtes”,
qui dirigent la société pour satisfaire aux exigences d’une monstrueuse
mégalomanie !... »

(Il existe, certes, des “femelles” vraiment obsédées par les sexe, et
se prostituant pour leur seule plaisir personnel, mais, contrairement à la
thèse démente de tous les psychanalistes freudiens, ce genre d’individu ne
représente pas la mentalité ordinaire et courante du genre humain - et encore
moins une mentalité saine d’esprit -, mais relève, elle, de la
psychopathologie névrotique et psychotique !... Il s’agit d’une << maladie des boyaux de
la tête >>, et ne représente en aucun cas “l’inconscient” de l’humanité
!!!)

Oui, Freud a totalement altéré le discernement de notre malheureuse
société !...
Société de plus en plus névrosée, capable de mettre dans la rue des
centaines de milliers de “pauvres hères” manifestant nombrilistement pour
conserver leurs chers privilèges, mais incapable de les faire bouger pour
refuser que des femmes et des enfants soient de nos jours encore contraints de
vivre sous des bâches, sans toits et presque rien à manger,... ou pour
protester contre les cancérigènes et criminels essais nucléaires (soi-disant pour la
sécurité de notre société, mais conçus tout spécialement pour génocider
impitoyablement, des millions d’êtres humains, sans compter les dégâts sur
notre biosphère et sur notre propre santé), qui coûtent aux contribuables des
sommes considérables qui seraient certainement bien mieux employées à
renforcer notre... “sécurité sociale” !... Quelle mentalité pitoyable !!!...
Et ce sont les mêmes qui, grâce à leurs boucheries et abattoirs,
festoieront ensuite pour Noël, vaste marché lucratif, bien loin de commémorer les
grands enseignements de ce “Jésus de Nazareth”, qui, en son temps,
s’indignait déjà contre ces “marchands du temple”, tout en prêchant le jeûn et le
végétarisme !!!...

Bref, comme on le constate avec les récents exemples de ces religieux
accusés “d’agressions sexuelles”, ou encore l’exemple de ces grands savants
de “Science et Vie” (Le n°1 de la presse scientifique européenne!!!)
empressés de réhabiliter le génial freudisme (cf: “Freud avait raison, des
expériences le prouvent” (?!)) : Freud a totalement altéré le discernement de
notre malheureuse société !...
Dans “Univers santé” de Février 1996, on apprend par exemple que
l’homme moderne ne serait décidément plus qu’un obsédeé sexuel et rien d'autre :
« Hier considéré comme un péché mortel, la masturbation est aujourd’hui
encouragée par certains thérapeutes (...) Au XIXe siècle, se masturber était
considéré comme une maladie, ne pas se masturber était un traitement:
aujourd’hui, ne pas se masturber est une maladie, se masturber un traitement (...)
Ainsi, début 1995, la responsable de la santé publique aux États-Unis a
préconisé l’enseignement de la masturbation dans les cours d’éducation sexuelle
(...) Le bébé comme le jeune enfant prend plaisir aux attouchements sexuels
!... » (SIC)

Eh oui, après nous avoir brillamment démontré que les gamines de 13 ans
qui refusaient de se donner au premier venu n'étaient rien d'autres que des
hystériques (dont il fallait donc s'appliquer particulièrement à soigner
par encore plus de pratiques sexuelles (!)).... voilà maintenant qu'il
faudrait même appliquer cette thérapie aux bébés. Bravo le freudisme. C'est
vraiment le paradis absolu de tous les pédophiles et déviants sexuels !!!


*************


EN RÉSUMÉ :
FREUD ET SES DISCIPLES SONT À LA PSYCHIATRIE CE QUE MADOFF ET SES
LIEUTENANTS SONT À LA FINANCE !!!...



Les diverses sciences de la psychologie et de la psychothérapie ne doivent
absolument rien aux nombreuses élucubrations de Freud où se mêlaient
anarchiquement tout son imaginaire fertile et débridé, avec ses fantasmes et
délires névrotiques !


Prétendre que "critiquer Freud c'est critiquer les psychothérapeutes - et
même psychanalystes - d'aujourd'hui", ressort du même processus d'inculture
et de stupidité que "prétendre que critiquer les connaissances scientifiques
de "Madame Soleil" ce serait aussi critiquer nos astronomes et
astrophysiciens" !!!


Et je précise bien une fois encore, que les critiques ici ne portent QUE
sur "la psychanalyse freudienne"....
Cela n'inclue évidemment pas ce que Carl Gustav Jung et d'autres penseurs
plus sérieux et "sains" ont apporté de leur côté à l'analyse scientifique de
la psychologie humaine, qui n'a franchement rien à voir avec le freudisme,
mais y est pourtant si souvent associé à tort ! (A ce propos, il existe
d'ailleurs un magnifique film de Yves Lavandier avec un Gérard Jugnot excellent
en "psychanalyste" et que je recommande vivement : "Oui mais..." (Voir par
exemple : "http://www.commeaucinema.com/film/oui-mais,1201" et
"http://www.clown-enfant.com/ouimais/film2.htm"))


EN CLAIR, ET POUR RÉSUMER L'AFFAIRE : LE "DOCTEUR FREUD" A AUTANT APPORTÉ
AUX SCIENCES DE LA PSYCHOLOGIE QUE LE "DOCTEUR ÉLISABETH TEISSIER" À APPORTÉ
AUX SCIENCES DE L'ASTRONOMIE !

Autrement dit :
Le "Freudisme" est à la psychothérapie ce que le "Vaccinalisme" est à la
Médecine...
UNE VASTE MYSTIFICATION A LA FOIS INTELLECTUELLE ET SCIENTIFIQUE !!!


-------------


Woody Allen :
"Si votre psychanalyste s'endort devant vous, il y a un truc infaillible
pour le réveiller :
ouvrez doucement votre portefeuille."
</HTML>

--
Vous recevez ce message, car vous êtes abonné au groupe Google Groupes Destination2013.
Pour envoyer un message à ce groupe, adressez un e-mail à destina...@googlegroups.com.
Pour vous désabonner de ce groupe, envoyez un e-mail à l'adresse destination20...@googlegroups.com.
Pour plus d'options, consultez la page de ce groupe : http://groups.google.com/group/destination2013?hl=fr

Répondre à tous
Répondre à l'auteur
Transférer
0 nouveau message