Si l'on tentait donc de remplacer l'énergie nucléaire par l'énergie
éolienne, il en résulterait des dommages innimaginables pour la Terre et même
tout l'univers. Elle pourrait carrément s'arrêter de tourner et bouleverser
totalement l'équilibres des forces dans le système solaire et modifier l'axe
de rotation de notre galaxie....
Sachant par ailleurs que "l'Effet de serre" n'est qu'un mythe, que le
réchauffement planétaire n'est qu'un complot des Illuminatis pour nous faire
payer toujours plus cher le pétrole indispensable à nos bagnoles et dont on
a excessivement exagéré la pollution engendrée...
Il est clair, une fois de plus, que les écologistes mettent donc
l'humanité en péril !
Qui donc aura le courage de les faire taire et de les enfermer tous à
l'asile ?
(Témoignage, authentique, du célèbre journaliste scientifique de
l'AESN, Michel SEGUY : << Une éolienne coule du béton stérile dans un sol
productif pour des millenaires..... Et ralenti la rotation de la terre.... Etc. >>)
(*) La terre ayant déjà pris quelques minutes de retard, les scientifiques
proposent de faire tourner à l'envers les moulins à vent pour remettre les
pendules à l'heure !
(CF.
"http://energie-verte.blogspot.com/2009/04/les-eoliennes-rotation-de-la-terre.html")
*************
Confessions d’un agent secret du Vatican à propos de la planète Niribu
s'approchant de la Terre
L’homme est jésuite, il se présente à moi comme étant un familier du
Vatican travaillant pour le Saint Siège. D’abord sceptique et méfiant à l’égard
de ce contact soit disant « initié », j'analyse et vérifie ses références
(en se gardant, comme le veut mon éthique de journaliste, d’indiquer ma
source) : il s’agit bien d’un prêtre jésuite, oeuvrant à la Cité du Vatican.
Après quelques échanges par mails, je demande que notre dialogue se poursuive de
vive voix. Malgré le danger, vraisemblablement conscient que cette
rencontre est préférable vu l’énormité des révélations qu’il s’apprête à faire,
l’homme du Vatican accepte. Deux rencontres ont donc lieu à Paris, en ce début
d'année 2010.
J'apprend notamment que des dissensions règnent au sein du SIV, un groupe
minoritaire désapprouvant la politique conduite à propos de la planète X. À
partir de là, il est clair que la démarche du jésuite ne procède pas d’une
simple trahison ; mais d’une révélation dont l’enjeu est de taille : la
survie de notre civilisation.
Avant même notre rencontre à Paris, le contact du Vatican m'avait fait
parvenir en guise de preuve, une bande vidéo - que je nomme la « vidéo jésuite »
- destinée à alerter le public. D’une durée d’environ deux minutes, elle
évoque l’observation d’un planétoïde couvert d’une atmosphère épaisse (la
présumée planète X) se dirigeant vers le système solaire, bien qu’encore en
dehors de l’orbite de Neptune. La bande, que j’ai eu plusieurs fois
l’occasion de visionner, est assortie de diverses lassifications, dont la « Secretum
Oméga », le plus haut niveau de secret du SIV, comparable au « Top Secret
Cosmique » (CTS) de l’Otan. Il paraîtrait que l’image a été prise par une
caméra embarquée dans une sonde spatiale secrète appelée Siloe. Mon contact
m'explique que la sonde, commandée secrètement chez Lockheed Martin, est
équipée d’une caméra infrarouge sophistiquée ainsi que d’un système de propulsion
à impulsion électromagnétique. L’engin a été assemblé à l’aire 51, dans le
Nevada, et placé en orbite par un appareil secret hypersonique de type
Aurora, dans les années 90. Selon le jésuite, la sonde Siloe a envoyé des images
du planétoïde en octobre 1995 vers un radiotélescope secret, entièrement
géré par des jésuites appartenant au SIV, et dissimulé dans une raffinerie de
pétrole désaffectée en Alaska. Il précise que le radiotélescope a été
construit en 1990 dans le but d’observer les corps célestes inhabituels
s’approchant du système solaire. Quant au planétoïde visible sur la vidéo, le jésuite
indique qu’il s’agit de la planète X (la Nibiru des Sumériens ; voir NEXUS
n” 50, p. 10).
Cette planète massive encore ignorée de l’astronomie moderne produit des
perturbations analogues à celles que décelèrent Lowell, dans les mouvements
d’Uranus, et Pickering, dans ceux de Neptune. En 1978, James Christie,
astronome à l’observatoire de la Marine américaine, découvre Charon, le satellite
de Pluton et calcule la masse du couple Pluton-Charon. Au passage, les
calculs indiquent la présence probable d’une très grosse planète encore
invisible*... Toutes ces années, Il s’est efforcé de rassembler des indices confirmant
l’existence de la planète X/Nibiru et du SIV. Concernant ce dernier, il a
trouvé des indications historiques explicites importantes dans le livre de
Mark Aarons et John Loftus Ratlines (chapitre i). J’ai moi-même trouvé une
référence indirecte dans un livre du lieutenant-colonel italien Umberto Rapetto
et du journaliste Roberto di Nunzio {L’atlante délie spie, BUR, Milan,
2002). Dans le chapitre V {Lo spionaggio in porpora : il Vaticano), p.89, §2.3
(Le nunziature) il est question d’un certain Robert A. Graham, un jésuite qui
fit jadis allusion à l’existence d’un Service Secret du Vatican.
Parmi tout ce que le jésuite du SIV m'a raconté , deux choses sont, de mon
point de vue, inquiétantes : la planète X aurait commencé à faire sentir ses
effets sur le système solaire au plus tard au début de 2004, ce qu’un
certain nombre d’indices tend à prouver. D’autre part, le soleil et certaines
planètes et satellites du système solaire ont également manifesté des signes
anormaux.
Prenons d’abord le Soleil. Avec de la patience, vous pourrez consulter les
données enregistrées par le radiohéliographe de Nobeyama (NoRH), un
radiotélescope japonais qui fonctionne en tant qu’interféromètre spécialisé pour
l’observation solaire (voir la newsletter cosmologique mensuelle Shooting Star
du 21 mars 2003, http://www.detailshere.com/solar activity.htm).
Dans l’article intitulé « The truth about global warming : it’s the Sun
that’s to blâme » [La vérité sur le réchauffement global : c’est le Soleil
qui en est la cause], de Michael Leidig et Roya Nikkhah, publié dans le
Telegraph de Londres le 18 juillet 2004 (http://www.telegraph.co.uk), on peut lire
ceci :
« Le réchauffement global est enfin expliqué : selon des recherches
récentes, la Terre se réchauffe parce que le Soleil brille plus fort qu’il ne l’a
jamais fait depuis le dernier millénaire. Une étude menée par des
scientifiques suisses et allemands indique que le rayonnement croissant du Soleil est
la cause des changements climatiques récents... Le Dr Solanki a déclaré que
ce sont à la fois l’accroissement du rayonnement solaire et le niveau des
gaz à effets de serre, tels que le dioxyde de carbone, qui contribuent à la
modification de la température terrestre, mais qu’il est impossible de dire
lequel des deux est prédominant ».
Parmi les planètes et satellites du système solaire présentant des
activités atypiques, citons :
- Pluton : Selon les astronomes, « bien que son orbite très excentrique
l’éloigné en ce moment du Soleil, Pluton connaît un réchauffement de sa mince
atmosphère » (voir « SUV sur Jupiter ?- réchauffement du système solaire :
les hommes seraient-ils responsables de changements climatiques aux confins du
système solaire, ou serait-ce le Soleil ? », sur
http://www.redicecreations.com/specialreports/2006/11nov/solarsystemwarming.html.
- Triton : James Elliot, astronome au MIT déclare : «... depuis 1989,
Triton (un des satellites de Neptune) subit un réchauffement global ».
(http://www.scienceagogo.com/news/19980526052143data_trunc_sys.shtml).
- Mars : En 2001, le JPL (Jet Propulsion Laboratory) de la NASA fit savoir
que la caméra de la sonde Mars Orbiter avait observé, au pôle sud de Mars,
des changements qui témoignaient d’un changement de climat sur cette planète,
(http://mars.jpl.nasa.gov/mgs/msss/camera/images/C02_Science_
rel/index.html).
- Jupiter : Le 4 mai 2006, un article qui titrait « De nouvelles tempêtes
sur Jupiter laissent supposer un changement de climat » rapportait que « ...
le télescope Hubble photographie le développement d’une nouvelle tache rouge.
.. » Baptisée Red Spot Jr [Tache Rouge Junior], elle s’est formée après
l’apparition de trois tempêtes blanches de forme ovale, dont deux doivent
avoir au moins quatre-vingt-dix ans, et qui se sont fondues l’une dans l’autre
entre 1998 et 2000.
(http://www.space.com/scienceas-tronomy/060504_red_jr.html).
- Saturne : Des images de la sonde Cassini du 11 octobre 2006 montrent un
ouragan, dont le diamètre égale les 2/3 de celui de la Terre, qui fait rage
au pôle sud de la planète,
(http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/6135450.stm). ....
Ces événements du système solaire, ainsi que les découvertes troublantes de
Cristoforo Barbato, réclament toute notre attention. Ils devraient alerter
le public sur l’arrivée de la planète X .... Je pense que la seule façon de
savoir ce qui se passe réellement sur la Terre et dans le système
solaire, c’est de soutenir des chercheurs tels que le Dr Steven M. Gréer,
le professeur Michael Salla (http://www.exopolitics.org), l’historien Richard
Dolan, le journaliste Cristoforo Barbato (http://www.secretumomega.com) et
bien d’autres qui, tous, comprennent l’importance d’élargir les horizons de
l’humanité dans toutes les dimensions.....
En 2010, je rencontre donc le père jésuite qui me révèle alors la genèse
des services secrets du Vatican, les contacts de Pie XII et Jean XXIII avec
une certaine race d’aliénigènes, et la scission au sein du SIV entre les
partisans du secret et ceux qui, comme lui, estiment urgent de divulguer
l’information à l’humanité tout entière.
Moi : Comment êtes-vous devenu membre du SIV ?
Jésuite : Le SIV se compose de divers éléments, tous reliés à l’Église et
constitués, au moins pour le Directorat, principalement de prêtres, dont la
majorité sont des jésuites, de moines bénédictins et de nonnes ; au total un
peu plus d’une centaine de membres. On pourrait réduire cette estimation,
mais il faut prendre en compte toutes les parties du monde où il y a un prêtre
ou une religieuse susceptibles d’apporter des informations précises.
Certains éléments du SIV viennent du monde laïque et de soixante-six institutions
reliées à l’Église ; par exemple des associations humanitaires, des groupes
politiques proches du Saint Siège, des mouvements de « jeunes catholiques »
et d’autres. Je viens moi-même d’un de ces milieux. En résumé, les membres
sont secrètement évalués, dirigés et formés selon des critères précis en vue
de certaines fonctions.
M : Pourriez-vous donner plus de détails sur le SIV ; pourquoi a-t-il été
créé et depuis quand est-il opérationnel ?
J : La structure est top secrète, mais je peux vous dire qu’elle est
organisée de manière analogue à la CIA, au MI6, au KGB, etc. Il n’y a pas de siège
officiel, mais on change régulièrement de lieu de réunion, toujours sous le
regard de la Cité du Vatican. Du point de vue chronologique, l’événement
qui a déclenché la création du SIV s’est produit aux États-Unis en février
1954. Ce fut la rencontre à Muroc Airfield (future Edwards Air Force Base), en
Californie, d’une délégation d’aliénigènes avec le président Dwight D.
Eisenhower, en présence de l’évêque de Los Angeles, James Francis Mclntyre. La
rencontre fut filmée par des militaires utilisant trois caméras 16 mm placées
en des endroits différents et chargées de pellicules couleur. Les
opérateurs devaient changer de bobine toutes les trois minutes et les caméras avaient
des moteurs à ressorts parce que, en présence des aliénigènes, les moteurs
électriques ne fonctionnaient pas. Au total, ils ont tourné vingt minutes de
film en sept bobines de trente mètres chacune. À la fin de la réunion,
chaque membre de la délégation terrienne prêta serment de ne jamais révéler à
quiconque ce qu’il avait vu et entendu. Ne me demandez pas où sont les films,
je crois que vous connaissez la réponse...
Quelques jours plus tard, regrettant probablement de s’être engagé dans le
secret, Mclntyre partit d’urgence avec l’intention de rencontrer le Pape
Pie XII et de l’informer de cet événement incroyable. Mais pour atteindre
l’Italie, il fallait qu’il vole d’abord jusqu’à New York, puis de là à Rome,
toujours en avion privé. Environ une demi-heure après le décollage de Los
Angeles, l’appareil connut quelques difficultés techniques et fut contraint
d’atterrir à Sky Haven Airport, à Las Vegas, Nevada, pendant la nuit. Pendant
la réparation, un colonel de la US Air Force monta à bord pour s’entretenir
avec l’évêque. La conversation dura une vingtaine de minutes au cours
desquelles il tenta de dissuader l’évêque de révéler tous les détails de la
rencontre à laquelle il avait assisté, car les questions extraterrestres
relevaient exclusivement par la USAF. Le militaire précisa que tout ce que désirait
le président Eisenhower, c’était un avis sur l’aspect spirituel de la
question et un soutien, mais le Saint Père ne devait pas être mis dans le secret.
On craignait à l’époque l’infiltration éventuelle du Vatican par des
espions soviétiques. L’évêque répondit qu’il avait précisément l’intention
d’informer le Pape de cet événement incroyable. Nous pensons aujourd’hui que la
panne de moteur avait probablement été prévue et organisée par les militaires
pour provoquer cette rencontre, et cela à l’insu du président Eisenhower.
Avant de prendre congé, le colonel rappela à l’évêque les risques d’une
divulgation à Rome. Deux jours plus tard, Mgr Mclntyre fut reçu par Pie XII.
Après une profonde méditation sur les implications possibles d’une relation
exclusivement militaire avec les aliénigènes, le Pape décida de créer un
service secret d’information organisé de façon analogue aux renseignements
fascistes, que l’on nommerait SIV, et qui aurait pour mission de glaner toutes les
informations possibles concernant les aliénigènes et les données déjà
recueillies par les Américains. Il était très important d’assurer une
communication ouverte avec le président Eisenhower. Le SIV fut donc conçu pour acquérir
et gérer, en coordination avec les services de renseignements d’autres pays,
toute information secrète concernant les aliénigènes et traiter
particulièrement des aspects moraux, philosophiques et religieux de la question.
M : Qu’est-ce qui permettait au Pape de croire que les militaires
américains seraient prêts à partager des informations aussi sensibles avec le Vatican
? Que penser de l’officier que fit son apparition à l’aéroport de Las
Vegas ?
J : Le fait qu’un président ait cherché une aide et un soutien spirituel
dans une telle situation, unique dans l’histoire de l’humanité, constitue un
témoignage de confiance et d’estime. D’ailleurs Mclntyre et l’archevêque de
Détroit, Edward Mooney, devinrent plus tard les principaux coordinateurs de
la transmission d’informations vers le Vatican. Les affaires prirent
cependant une tournure inattendue lorsque Mclntyre et d’autres membres du SIV
furent directement contactés, à l’insu des militaires, par des aliénigènes de
type « nordique »4, manifestement amicaux, prétendant venir des Pléiades. Ces
gens mirent les contactés en garde contre les autres créatures que les
Américains avaient côtoyées dans le désert de Californie. Ces rencontres avec les
membres du SIV se produisirent souvent aux Etats-Unis, et par deux fois
dans les jardins du Vatican, au voisinage de l’Académie pontificale des Sciences
, en présence du Pape PieXII...
M :Le Padre Pio de Pietrelcina a parlé de l’existence d’autres êtres dans
d’autres mondes, qui avaient atteint un niveau élevé d’évolution parce
qu’ils étaient sans péché... est-ce exact ?
J: Sans aucun doute ! Mais ces êtres vivent sur un plan dimensionnel
différent et ce ne sont pas, stricto sensu, des anges ; et d’autre part, les
aliénigènes « nordiques », dont je parlais, sont en chair et en os, même s’ils
sont beaucoup plus évolués que nous tant spirituellement qu’au plan
technologique. Ces créatures ont déclaré avoir trouvé dans l’Église catholique, ou
plus exactement dans le message christique, la pure présence divine et ils ont
proposé leur co-opération pour le bien de l’humanité. C’est ce qui a
convaincu le Pape Pie XII de collaborer avec eux et de les considérer comme de
véritables convertis à la foi chrétienne. Le pontife considérait probablement
que l’Église universelle devait transmettre son message même à des êtres
issus d’autres mondes. Ces aliénigènes entendaient assister, au fil des ans,
l’Église de Rome dans toutes ses missions, particulièrement en matière sociale
et en politique internationale*. Par la suite, le Pape Jean XXIII bénéficia
du même soutien de ces êtres qui avaient épousé la cause chrétienne, mais
il préféra garder le secret, ne faisant allusion qu’à des « interventions
angéliques ». Jean XXIII avait en somme hérité des accords de collaboration
établis par son prédécesseur entre le Saint Siège et ces aliénigènes amicaux de
type nordique. Cet accord secret fut maintenu tout au long du pontificat d’
Angelo Giuseppe Roncalli qui, cependant, exprima souvent aux cadres du SIV
ses réserves quant à la confiance qu’il fallait accorder à ces êtres. C’est
pourquoi nous pensons aujourd’hui qu’une des principales motivations de la
convocation du Concile œcuménique du Vatican fut le besoin de prendre les
premières dispositions concrètes pour le renouvellement de l’Eglise en vue
d’un éventuel et imminent contact.
M : Y a-t-il un rapport entre cette intervention, ou « médiation céleste »,
et la rencontre présumée de 1963 entre le contacté américain George Adamski
et le Pape ?
J : J’allais en parler. Adamski a rencontré le Pape. Il est allé à
Saint-Pierre une fois, précisément après que le pape eut décidé qu’il ne fallait
plus poursuivre les contacts avec les aliénigènes, même si ceux-ci étaient
amicaux. En outre, Jean XXIII refusait que cette relation soit révélée à la
population chrétienne. Adamski se présentait comme chargé de mission par les
aliénigènes pour tenter d’obtenir du Pape, qui était mourant, un accord
définitif. Il apportait en outre un don pour le saint père : une substance liquide
qui devait le délivrer de la gastro-entérite dont il souffrait et qui,
évoluait en péritonite aiguë. Le pape ne prit pas cette potion et avant de
mourir, tenant le crucifix, déclara : « Les bras ouverts de Christ furent l’objet
de mon pontificat. Ainsi que vous le voyez, un pontificat simple et humble
dont j’assume toute la responsabilité. Je suis satisfait de ce que j’ai fait
et de la manière dont je l’ai fait. » En outre, ce geste de la part des
aliénigènes convainquit le Pape mourant, dans le peu d’énergie et de lucidité
qui lui restait, que même si les « frères de l’espace » se comportaient avec
bienfaisance envers l’humanité, il convenait qu’ils agissent de façon
autonome, séparément de l’Église et des activités humaines en général, par la
prière et des actes conformes à la loi de Dieu et particulièrement sous la
direction du Saint Esprit. La tentative d’Adamski mit fin au contact direct
entre ces êtres et le pape ainsi que ses successeurs qui, faisant confiance en
la clairvoyance de Jean XXIII, comprirent qu’il ne fallait pas que l’Église
etretienne ces contacts. Dans un manuscrit secret du Pape Jean XXIII à ses
successeurs, qui comprend un dossier spécial sur le SIV, est cité un passage
de l’évangile de Marc qui expose clairement la position que doit adopter
l’Église vis-à-vis des êtres bienfaisants venus d’autres mondes. Marc 9 : 38-
412 : « Jean lui dit : “Maître, nous avons vu quelqu’un qui chassait les
démons en votre nom et nous l’en avons empêché, parce qu’il ne nous suit pas.
” Mais Jésus lui répartit : “Ne l’en empêchez pas. Car il n’est personne
qui puisse en même temps faire un miracle en mon nom, et parler mal de moi.
Celui qui n’est pas contre nous est pour nous. Et quiconque vous donnera à
boire un verre d’eau parce que vous appartenez au Christ, en vérité je vous
l’assure, il ne perdra pas sa récompense” ». Cela signifie que les activités
supposées positives des aliénigènes qui acceptent le message christique
doivent être « bénies » et non contrées, mais maintenues distinctes et parallèles
à l’Eglise. Ces êtres doivent être comparés à l’étranger qui porte secours
au nom du Christ et ne doit pas en être empêché.
M : Parlons de votre mission dans le SIV...
J : Mes tâches sont purement techniques, la plus importante étant, par
exemple, de transmettre des informations très secrètes provenant du
radiotélescope du Vatican situé en Alaska et de les acheminer à qui de droit.
M : Un instant, de quel radiotélescope parlez-vous ? Je ne savais pas que
le Vatican possédait pareil matériel dans cette région.
J : Le Vatican possède et utilise un radiotélescope qui est à l’avant-garde
de la technologie et manipulé seulement par des jésuites. Il est installé
dans un parc industriel de stockage de pétrole apparemment à l’abandon, situé
en Alaska. Ce complexe constitue un camouflage, parce que les activités qui
y sont conduites sont top secrètes et ne sont pas celles, plus officielles,
du VATT [Télescope de Technologie Avancée du Vatican] situé, lui, en
Arizona.
M : Quand cet appareillage a-t-il été construit, et surtout dans quel but
le Vatican utilise-t-il autant d’installations astronomiques dans le monde ?
J : Je peux vous dire qu’il a été construit dans les années 90 dans le but
d’observer tous les objets célestes inhabituels s’approchant de la Terre.
C’est ce que fait la CIA avec l’un des ses « yeux secrets », le jumeau de
Hubble, appelé SkyHole-12 [aussi nommé KeyHole-12 ou KH- 12 ; pour plus de
détails, voir http://en.wikipedia.org/wiki/KH-12]. Il se trouve qu’au moment des
rencontres entre les aliénigènes et Pie XII, le SIV fut informé de
l’approche d’un corps céleste habité par des êtres très avancés et très belliqueux.
Bref, je savais que ce que je j’allais recevoir à Rome et analyser par
l’informatique était très intéressant et extrêmement secret. C’est en analysant
certaines données issues du radiotélescope de l’Alaska que nous avons
découvert qu’une sonde spatiale du programme d’exploration Siloe, lancé dans les
années 90, avait pris un cliché d’une énorme planète s’approchant du
système solaire. Cette information fut captée en Alaska en octobre 1995, et c’est
alors que mes problèmes commencèrent. Je me rendis compte que je n’avais pas
été désigné pour décoder cette transmission particulière et que la
situation devenait dangereuse. À ce moment, mon contact me révéla qu’il y avait, au
sein du Vatican, deux factions luttant pour la possession et le contrôle de
cette information classifiée bien au-dessus de « top secrète ».
M : Pouvez-vous me donner d’autres détails sur le programme spatial Siloe ?
Qui en sont les commanditaires et les opérateurs ?
J : La sonde Siloe a hérité du nom d’un programme d’exploration spatiale
initié au début des années 90. Ce programme faisait partie d’un autre,
beaucoup plus ambitieux, nommé Kerigma**. Pour le moment, je me contenterai de
vous dire que cette sonde fut fabriquée à l’Aire 51 [Nevada, USA], qu’elle a
un moteur à impulsion électromagnétique et qu’elle a été placée sur orbite
par un avion spatial de type Aurora3. La sonde n’était pas chargée de données
de calcul, ni de trajectoire, ni d’indications précises quant à la position
de Nibiru, car elle devait s’approcher de la planète, corriger sa
trajectoire pour éviter l’impact et revenir dans le système solaire à une position
suffisamment proche que pour pouvoir transmettre les données et les images au
radiotélescope secret situé en Alaska. Son lancement eut lieu en même temps
que la mise en service du radiotélescope et elle fut en mesure d’émettre des
images dès 1995.
M : Ce que vous me racontez me fait penser aux théories du chercheur
Zecharia Sitchin concernant le retour prévu d’une mystérieuse douzième planète.
Connaissez-vous ses œuvres ?
J : Oui, j’en connais les principaux éléments. Le SIV, en collaboration
avec Lockheed Martin, a envoyé cette sonde dont j’ai par la suite analysé les
images. Ce sont des vues d’un énorme objet céleste dont la présence se fera «
sentir » dans notre système solaire tout au plus dans les trois ans après
2001.
M : Comment avez-vous obtenu ces informations ?
J : Je dispose d’une autorisation de supervision de ce qu’on appelle le
Secretum Oméga. C’est le plus haut niveau de secret du Vatican, l’équivalent
au Top Secret Cosmique de l’Otan. Celui-ci est divisé en trois niveaux
d’informations : depuis le Secretum Oméga degré III, le moins détaillé, jusqu’au
Secretum Oméga degré I, le plus complet. Ma mission était d’initier les
nouveaux membres du SIV et de les entraîner à l’usage des systèmes de
communication de l’organisation.
M : Comment les données recueillies par le radiotélescope sont-elles
envoyées en Italie ?
J : La compagnie américaine de télécommunication Sprint International
possède des radios et des antennes paraboliques situées au nord et au sud de
l’Italie et deux satellites géostationnaires avec lesquels elles sont en
liaison. Cette compagnie a un contrat particulier avec le SIV et une fréquence
d’émission/réception de données chiffrées utilisant, depuis 1994, des
algorithmes et une cryptographie personnalisés. Avant cette date, le SIV utilisait un
système cryptographique inventé par une société suisse ; il a été abandonné
parce qu’un membre de cette société l’a secrètement vendu à des Israéliens.
Je ne puis vous donner davantage d’information technique pour l’instant.
M : J’aimerais que vous me parliez d’un légat de l’Église bien connu,
Monsignor Balducci, qui a publiquement abordé le thème des extraterrestres. Ce
prélat connaît-il le SIV et agit-il de concert avec eux ?
J : Le Père Balducci a fait des études et mené sa recherche de façon tout à
fait autonome sans suivre un programme pré-existant. Il n’a jamais été
empêché ; au contraire, on l’a plutôt encouragé.
M : Vous permettez... À vous entendre, il semblerait qu’il y ait un
programme de divulgation. Et ne serait-ce pas pour cela que vous avez décidé de me
rencontrer et de me communiquer ces informations ?
J : Du point de vue du système, nous sommes en pleine dissidence, mais nous
savons que des événements vont se produire qui affecteront tous les êtres
vivants de cette planète, personne n’y échappera. L’humanité vit une période
particulière de son histoire, des circonstances intimement liées à des
événements clés annoncés dans l’Apocalypse. Il importe que l’humanité se rallie
entièrement au message de salut et de rédemption du Christ, que Saint Paul
a appelé kerigma, un message que Jean-Paul II et Benoit XVI essayent de
répandre dans toutes les nations. Pensez-vous que le pape ne connaisse pas
l’imminence de ces événements ?.
B : Mais que sait le pape de tout cela, particulièrement si l’on se
souvient de sa déclaration passionnée de 2000***?
J : Deux groupes s’opposent au sein du Vatican : l’un d’eux préconise la
divulgation et est soutenu sans réserve par Jean-Paul II et Benoit XVI ;
l’autre tente de bloquer par n’importe quels moyens toute information. Certains
membres de cette faction font partie de groupes de pouvoir occultes qui, par
exemple, contrôlent le marché du pétrole et influencent de nombreux
secteurs de l’économie internationale dans le seul but d’étouffer l’information
sur le développement des sources alternatives d’énergie, dites « énergie libre
». Ceci a été confirmé par l’affaire « Gardian » [Canada, 1989-91],
spectaculaire mais peu concluante, du groupe ufologique CUFORN [Canadian UFO
Research Network], qui fit sensation mais dont les photos de présumés aliénigènes
n’ont pas été montrées.
De toute façon ces documents exposent une réalité : les opérations
complexes de manipulation-désinformation dépassent souvent la fantaisie la plus
folle. Le sommet de toutes ces organisations occultes appartient au Gouvernement
de l’Ombre, et n’est connu que sous l’acronyme SVS. ...
Ou Pd'A !!!
-------------
PS : Désolé, ce sera mon seul message aujourd'hui. Je suis exténué de
toutes ces précieuses informations que j'ai réuni pour vous en ce jour très
spécial. (Ah, attention aussi aux "Chemtrails" : ils existent, je les ai
rencontré !)</HTML>