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Pourquoi?
1) d'abord et avant tout, la Diaspora Haïtienne semble épouser le refus catégorique apparent des haïtiens,d es haïtiennes de l'intérieur qui disent non à une AUTRE Force Multi-nationale d'Intervention parce qu'il y eût un douloureux précédent, savoir la souillure de notre territoire par cette Force de malotrus, petits voleurs, de déchêts de la terre qui sont venus sur notre territoire qu'ils ont prouvé être indignes d'y venir ;
2) les Torts qu'ont causée cette Force destabilisatrice, sont irréparables mais......., vu que les haïtiens,les haïtiennes sont un peuple résilient, nous allons surmonter ce premier échec, apprendre de lui et aller de l'avant ;
3) Vu que la majorité d’entre nous savons à peine ce qu’est la Solution Militaire, parce que l’ayant démontré répétant en veux-tu, en voilà “NOU PA VLE FÒS MILITÈ DENTÈVANSYON ANKÒ” E KI PI MAL “NOU PA KONNEN SA KI POU RANPLASE SOLISYON SILA A”, Nous SPP, suggérons que nous passions de passer la Parole aux experts en la matière :
A) HIMLER RÉBU, cet ancient Colonel de l’Armée défunte d’Haïti qui, à notre connaissance, A TOUJOURS OFFERT SES SERVICES EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ ET DE REMOBILISATION DE L’ARMÉE D’HAÏTI (mais que tous les Gouvernements passés de 1986 à nos jours ont complètement ignores à commencer par Titid) ;
B) Aux Haïtiens, Haïtiennes qui sont soient versés en la matière et ou en ont acquis une Expérience en terre étrangère,
DE NOUS PRÉSENTER UN PLAN DE SÉCURITÉ NATIONALE QUE NOUS PRÉSENTERONS Á L’ONU ET AUX USA L’UN DES POTERNTS DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DES NATIONS UNIES.
Serge (SPP) ne veut pas vous faire de leçon mais ce PLAN DOIT INCLURE :
1) L’effectif de La Force de Police qui devrait envisager d’allouer au strict mimimum Cinq (5) Policiers par Section Communale qui seront dénommés Police de la Section Communlae (PSC) ;
2) L’effectif de la Nouvelle Armée qui devrait avoir un effectif d’au moins dix (10.000) mille Soldtats qui seront recrutés au fur et à mesure à travers un Plan National de Recrutement parmi nos jeunes hommes, jeunes femmes ayant obtenu leurs BACC I et II et leurs diplômes universitaires (dans ce cas, ils/elles reçevraient une prime spéciale) pour s’enroller. Les Haïtiens, les Haïtiennes de la Diaspora de partout qui on déjà une Expérience en la matière seraient aussi permis de s’inscrire car Nous avonms un besoinpressant de ces cadres sécuriatires ;
3) Une Liste détaillée des Équipements nécessaires pour assurer lasécurité, savoir, Chars d’Assaut, Hélicoptètes, Véhicules de transports divers, blindés, Fusils de tous calibres, Bateaux de patrouille maritime, Avions, Systèmes de Coomunications permettant à notre Force de Sécurité d’avoir des instructions en ligne immédiates, e la triye;
4) Un plan de sécurisation immédiat pour restaurer la paix partout dans le pays qui pourrait inclure un nombre spécifique d’instructeurs étrangers venant des usa, du canada, de la france et des pays de l’amérique latine, argentine, chili, équateur, pérou qui forment actuellement nos militaires et aucuns de la dominicanie et ou des pays du monde arabe (quand bien même nous quémanderions, nous pouvons encore choisir le type d’aide dont nous avons besoin) car dans le cas Spécial et Précaire d’Haïti, vu les expériences douloureuses endurées avec la Force Multinatioale passée : “Beggars can be choosy” ;
5) Un Plan de Soulagement Monétaire Immédiat aux Résidents/Résidentes des 573 Sections commumales de la République d’Haïti entière qui Reçevront l’Allocation Monétaire dans la Section Communale qu’il/elle choisira en remplissant le Formulaire d’Application enligne et ou dans diveres agencies de l’État Haïtien : CIRCULATION, DGI, ONA, FAES, Département des Affaires Sociales, Ofatma et autres. De plus, les Bénéficiaires de l’Aide Monétaire RECEVRAIENT dans une Agence de Transfert de la Zone, d’une Banque ou Coopérative existant dans la zone ou toute Compagnie qui accepte de prélever des paiements une somme minimale telle que prescite par L’État Haètien) ;
6) Il faut qu’Haïti aie un budget adéquat pour couvrir les dépenses annuelles durant les trois (3) prochaines années au grand minimum ;
7) l’État Haïtien devra suspendre tous types de frais ordinairement accordés aux fonctionnaires publics, sauf les frais de transports. plus d’issue de coupons car les fonctionnaires les vendent pour du bon cash ;
MALE TOU WI!
Bonne chance á Haïti,
Bonne Chance aussi aux haïtiens/haïtiennes de partout qui disent OUI pour une Haïti qui Renaîtra de ses Cendres dans un avenir très proche et Reçevra sa Diaspora à bras ouverts.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, s'est rendu à Port-au-Prince, en Haïti, pour rendre compte de la situation humanitaire particulièrement difficile dans ce pays.
Photo : Reuters / RALPH TEDY EROL
· · · · · Agence France-Presse
Publié le 1 juillet 2023
Depuis Port-au-Prince « encerclé » par les gangs « prédateurs », le secrétaire général de l'ONU a appelé samedi le monde à faire du « drame » des Haïtiens une « priorité », déplorant les « hésitations » à envoyer une force internationale pour aider la police.
Il faut mettre Haïti sur la carte de la vie politique internationale et faire du drame du peuple haïtien la priorité absolue de la communauté internationale, a plaidé Antonio Guterres à l'issue d'une visite de solidarité de quelques heures, sa première dans ce pays des Caraïbes en tant que chef de l'ONU
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J'ai été à la rencontre d'Haïtiennes et d'Haïtiens et j'ai ressenti tout l'épuisement d'une population qui fait face depuis trop longtemps à une cascade de crises et à des conditions de vie insoutenables, a-t-il ajouté, disant avoir écouté leur appel à l'aide.
Ce n'est pas le moment d'oublier Haïti, a-t-il martelé après avoir rencontré notamment le premier ministre Ariel Henry, des responsables de divers partis politiques et des membres de la société civile.
Antonio Guterres a exhorté le Conseil de sécurité, qui doit discuter à nouveau de la situation en juillet, à autoriser le déploiement immédiat d'une force de sécurité internationale robuste.
Il avait relayé en octobre cet appel d'Ariel Henry pour une force non onusienne destinée à épauler une police dépassée par la violence des gangs, qui ne cesse de se propager.
Toutefois, neuf mois plus tard, l'appel est resté lettre morte. Si quelques pays ont indiqué être prêts à participer, aucun ne s'est porté volontaire pour prendre la tête d'une telle opération dans un pays échaudé par de multiples interventions étrangères.
J'appelle les États qui ont la capacité de fournir une force sécuritaire robuste à ne plus avoir d'hésitations et à être prêts à suivre une décision du Conseil de sécurité, a insisté Antonio Guterres.
« Chaque jour compte. Si nous n'agissons pas maintenant, l'instabilité et la violence auront un impact durable sur des générations d'Haïtiens. »
— Une citation de Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies
De nombreux responsables de l'ONU
se sont succédé ces derniers mois pour décrire le cauchemar vécu par les Haïtiens : tireurs sur les toits, enlèvements, écoles prises pour cible...
Port-au-Prince est encerclé par des gangs armés qui bloquent les principales routes qui mènent aux départements du nord et du sud et qui contrôlent l'accès à l'eau, à la nourriture et aux soins de santé, s'est alarmé le secrétaire général.
Il a condamné avec la plus grande fermeté les violences sexuelles généralisées utilisées par les gangs armés comme une arme pour instiller la peur.
Une femme avec son bébé dans le camp de la Nouvelle Église du Dieu de la Délivrance pour les personnes déplacées, à Port-au-Prince.
Photo : Reuters / RALPH TEDY EROL
Horreurs sur le terrain
Ces propos font écho aux horreurs décrites cette semaine par la patronne de l'UNICEF,
Catherine Russell, qui a parlé d'une situation jamais pire qu'aujourd'hui.
Une petite fille de 11 ans m'a dit de la voix la plus douce que cinq hommes l'ont attrapée dans la rue. Trois l'ont violée. Elle était enceinte de huit mois quand nous avons parlé et a accouché quelques jours plus tard, a-t-elle raconté.
Et près de la moitié de la population, soit 5,2 millions de personnes, a besoin d'assistance humanitaire, dont près de trois millions d'enfants.
Cependant, l'aide humanitaire n'est pas suffisante pour faire face à ces besoins. Antonio Guterres a lancé un appel à la communauté internationale : C'est une question de solidarité, mais c'est aussi une question de justice morale.
Il a d'autre part appelé à un retour à l'ordre démocratique dès que possible, demandant à chacun de dépasser ses intérêts personnels et de faire des concessions afin de faciliter l'émergence d'une vision commune et d'un chemin électoral viable et crédible.
Aucune élection n'a eu lieu depuis 2016 et Ariel Henry, nommé premier ministre 48 heures avant l'assassinat du président Jovenel Moïse, en juillet 2021, fait face à des questions sur sa légitimité.
Après Haïti, Antonio Guterres se rend à Trinité-et-Tobago pour le sommet des pays de la Communauté caribéenne (CARICOM), sommet auquel doit également participer le secrétaire d'État américain Antony Blinken pour discuter du dossier haïtien.
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