Par Raphaël Paul Gustave Magloire Le 9 mai 2025 / Dernier mise à jour, 16 juillet 2025

2 views
Skip to first unread message

Paul G Magloire

unread,
Jul 17, 2025, 10:02:51 PMJul 17
to Paul G Magloire

Lançons un cri de ralliement pour sortir Haïti du trou.

Par Raphaël Paul Gustave Magloire

09 mai 2025 / mise à jour du 16 juillet 2025

La présente est pour annoncer le lancement d’une nouvelle entreprise, dont le nom de lancement est la MSLJR, SA. La mission principale de cette entreprise est de travailler dans le domaine du développement agricole, industriel, d’infrastructures, de logement, et de s’engager aussi dans des activités touristiques, dans la réhabilitation de jeunes déviants et délinquants, dans les 5 grandes régions du pays, telles que la région de la Capitale, celle du Grand-Nord, du Grand-Sud, du Grand-Centre et de la Région Transfrontalière. La MSLJR, SA aura son siège social à Port-au-Prince et étendra ses activités dans au moins 40 communes du pays dans ses premières 5 années de fonctionnement.

 

En effet, le 9 février 2025, j’avais écrit une lettre ouverte au Sécrétaire d’État Américain, Marco Rubio, pour décrire la situation que traversait, mon pays, Haïti. Car, le Président Donald Trump dès son arrivé au pouvoir avait annoncé qu’il allait déporter les Haïtiens en masse dans leur pays. Haïti connait déjà de grandes difficultés avec un chômage presque généralisé et l’insécurité que fait régner les gangs équipés d’armes de guerre dans presque tout le pays. Donc, éventuellement, la déportation massive de nos frères et sœurs sur une courte période pourrait nous enfoncer dans une situation plus compliquée. J’avais demandé, dans cette lettre, un sursis au gouvernement américain qui pourrait nous donner plus de temps pour voir comment réinstaller nos congénères dans leur pays. Ce projet était déjà en gestation, bien avant, mais à partir de ce moment j’ai accéléré l’effort en appelant des professionnels chevronnés que je connaissais depuis quelques temps, à nous rejoindre dans cet effort patriotique. J’ai aussi reçu l’appel de plusieurs entrepreneurs bien placés qui m’ont promis leur support. Donc, quatre mois environs après la lettre au Sécrétaire d’État Rubio, le projet est en train de se matérialiser. Car, après maintes discussions, nous allons avoir une étude de faisabilité de ce grand projet préparée par une équipe internationale avec une grande expérience dans le domaine.

Donc, nous ne sommes pas appuyés seulement sur le narratif, qui répète toujours à ceux qui ne le savaient pas déjà, que Haïti est le premier pays nègre indépendant du monde. Nous avons gagné notre indépendance au nom de l’égalité, de la fraternité et de la liberté de tous les êtres humains, le Premier janvier 1804, seulement 28 années après les ÉtatsUnis d’Amérique, en 1776, comme la Première République indépendante du Nouveau Monde. Et, comme les Etats-Unis avaient gagné leur indépendance par les armes et le sang, contre l’armée coloniale britannique après 8 années d’une guerre qui n’avait pas fait de quartier, l’armée indigène de Saint- Domingue avait gagné son indépendance aussi après une guerre de 13 années qui n’avait pas fait de quartier non plus, contre la plus grande armée de l’époque, celle de Napoléon Bonaparte, qui elle aussi prônait, en quelque sorte, les principes d’égalité, de fraternité et de liberté qu’avaient préconisés les philosophes des lumières du XVIIIème siècle, tels que Diderot, Montesquieu, Rousseau, Voltaire.

Mais, c’est une tranche d’histoire, en fait, chargée de contradictions. En effet, ce sont des négres affranchis de la Colonie de Saint-Domingue, avant même l’indépendance de leur pays, qui avaient répondu «Nous voici» à l’’appel du Chevalier Lafayette. Le noble, Lafayette, était venu de France sous la demande du grand patriote Américain, Benjamin Franklin, partisan de la liberté pour tous, (les noirs aussi) à apporter son concours au Général George Washington qui était à la tête de l’armée anticoloniale américaine pour libérer son pays sous les bottes du colonialisme anglais. Les volontaires de Saint- Domingue ont vaillamment combattu en Géorgie dans la guerre de l’indépendance des Etats-Unis d’Amérique. Parmi eux, le jeune Henry Christophe qui après l’indépendance de Saint-Domingue, deviendra le Roi Henry Premier d’Haïti.

Une autre grande contradiction de cette tranche d’histoire, que nous n’apprenons pas à l’école en Haïti, c’est que le Général Rochambeau, grand noble de l’empire français, accompagné de son fils, jeune officier, que le Roi Français Louis XVI envoya avec un contingent de l’armée française pour aider les forces anticoloniales de Général George Washington remporté la victoire sur les troupes coloniales anglaises pour libérer les 13 colonies américaines de l’oppression britannique. (N’oublions pas que George Washington est ce fameux jeune officier de la milice américaine qui commença la guerre contre le colonialisme en Amérique en tirant un officier français de la Nouvelle- France en Amérique, un territoire qui partait des iles caribéennes jusqu’au Canada- français. Mais, les troupes envoyées par l’Angleterre, avec le support de la milice des colons américains, gagnèrent cette guerre contre la France à un coût exorbitant.

Le Parlement Anglais, à Londres, demanda que ce soit les colons des 13 colonies d’Amérique qui payent pour cette guerre. Les patriotes américains mécontents de payer plus de taxes à l’Empire Britannique réclamaient l’indépendance des 13 colonies américaines. Au congrès des Patriotes Américains, à Boston, Massachusetts, pour signer la Déclaration d’Independence des 13 colonies américaines, le 4 juillet 1776, ils formaient une armée pour défendre leur pays. Benjamin Franklin, un grand partisan de la liberté des noirs, proposa pourtant George Washington, un chef de milice très brave, pour diriger les troupes des patriotes américains. Malgré que Général Washington fût un ancien chef de milice qui était créé pour faire la chasse aux esclaves noirs en fuite, il enrôla des noirs dans son armée pour leur bravoure quand son armée perdait batailles après batailles contre les troupes régulières anglaises. Les troupes françaises conduites par les Rochambeau père et fils et par le Chevalier Lafayette, appuyé par une flotte française, jouèrent un rôle décisif dans la victoire de l’armée continentale conduite par George Washington, le Grand Héros de la guerre d’indépendance des États-Unis.

Dans la guerre anti-coloniale haïtienne, c’est le jeune général Rochambeau, au dernier moment, qui était à la tête des troupes françaises pour défendre farouchement la domination coloniale française, dans la colonie de Saint-Domingue, qui allait devenir la République d’Haïti. En effet, les troupes indigènes sous les ordres du Général Jean- Jacques Dessalines le Grand remportèrent le 18 novembre 1803, à Vertières, une fulgurante victoire contre les forces coloniales françaises. Rochambeau accepta sa défaite et prit des bateaux pour laisser l’ancienne colonie française. A sa sortie des rades haïtiennes, lui et le reste de ses troupes furent capturés par les navires anglais qui les attendaient pour les emmenés en Angleterre, où ils furent enfermés pendant un certain temps comme prisonnier de guerre.

Une autre grande contradiction est la suivante. Après la victoire des troupes de George Washington contre les troupes anglaises, une conférence fut convoquée à Paris, et les 13 anciennes colonies britanniques des Amériques signèrent des accords de respects mutuels et de coopération avec l’Empire britannique. Mais en Haïti, en 1825, sous le règne de Charles X, le dernier roi de France de la lignée des Capétiens, une vraie rançon de 150 millions de franc-or fut extorquée de la jeune république haïtienne, sous la menace des canons d’une flotte française, comme paiement pour la reconnaissance de notre indépendance. Cette charge, ses intérêts et les privilèges douaniers concédés à la France sous la pression des canons furent portés par la nation haïtienne comme un fardeau économique très lourd pour plus de 126 années, sur le développement économique de notre pays.

Aujourd’hui, il n’est pas à écarter que la France, de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789, va choisir de rembourser à Haïti ce paiement injuste. Car nous avons gagné notre indépendance sur les champs de bataille par les rigueurs de la guerre. Ce remboursement pourrait, en quelque sorte, aider à relancer notre économie qui accuse beaucoup de retard par rapport aux autres pays de la région. Mais, la priorité, est de nous rassembler quel que soit nos différences en tant que nation pour sortir du trou où nous sommes.

 

Nous devons prendre sérieusement l’engagement de créer du travail et d’augmenter la croissance de notre maigre économie, afin d’améliorer considérablement les conditions de vie de la population dont la grande majorité croupisse dans la misère, et rêve en plein jour de quitter le pays à la recherche d’une meilleure vie ailleurs. Notre plus grande ressource connue est la jeunesse de la population. Plus de 63% de cette population est au-dessous de 40 ans. Nous devons encourager nos jeunes à s’éduquer, à valoriser l’honnêteté, et à créer des entreprises. Notre projet est dédié à offrir un bon environnement où les jeunes seront encouragés à donner le meilleur d’eux-mêmes. C’est l’une des premières missions de ce projet. Nous devons produire pour réaliser une croissance accélérée. Mais, nous devons continuer aussi à explorer les autres ressources qui existent dans le pays, (si elles existent vraiment), et voir la meilleure façon que la population, dans son intégralité, pourrait en profiter.

Dans le cas où nous choisissons de produire nous devons arriver à vendre sur notre propre marché où nous devons être compétitifs. Mais, notre succès dépendra aussi de notre capacité à exporter beaucoup plus que nous importons. Pour le faire nous devons cibler les plus grands marchés de la région de façon systématique. Nous devons viser celui des Etats-Unis, du Canada, du Mexique et celui des pays de la région, principalement des pays du CARICOM, de la République Dominicaine avec qui nous avons un grand déficit de la balance commerciale. Dans tous les cas, la première plateforme à considérer sera certainement les communautés haïtiennes de la diaspora, en Amérique et ailleurs. Mais, l’approche devra être très professionnelle. Nous tiendrons compte des contraintes de chaque marché. Rien ne sera laissé au hasard. (Pas de voyer monté.) Nous allons tester tous les marchés où nous avons des avantages comparatifs. Nous nous établirons sur les marchés graduellement avec tout le support marketing nécessaire. Nous continuerons à avancer autant que ce sera possible, dans les marchés des communautés ethniques avec lesquelles nous partageons des similarités. Nous serons sur tous les tableaux où il sera possible pour nous de faire de bonnes affaires.

Mais, nous ferons des Etats-Unis une grande priorité. Donc, la loi hope/help, avec toute la gamme de produits que nous pouvons travailler (plus de 5000) est très importante pour le projet.

De toute façon, comme pour la majorité des pays de la zone Caraïbe nous devons chercher à obtenir aussi une part de marché important dans le domaine touristique, en utilisant la richesse de notre histoire, les attractions de notre culture, de nos sites naturels, et la beauté de nos plages et de nos montagnes.

Les termes de références du projet

Nous sommes en train de former une compagnie, une société par action, afin de lancer le projet à l’échelle nationale.

1- Les espaces Initiaux

Le siège principal sera localisé à la capitale, Port-au-Prince. Nous aurons graduellement des activités dans au moins 40 communes, dans les 5 grandes régions du pays :

1-    Le Grand-Nord

2-    Le Grand-Sud

3-    Le Grand-Centre

4-    La Région Transfrontalière

5-    La Région de la capitale

 

2-  Les principaux acteurs

1-    La compagnie dont le nom provisoire est: (MSLJR, S.A.)

2-    Des instances de l’État d’Haïti

3-    Les syndicats

4-    Les coopératives

5-    Les autorités et organisations dans les 5 grandes régions du pays

6-    Les autorités et organisations dans les 10 départements géographiques du pays

7-    Les autorités et organisations dans 40 municipalités ciblées du pays

8-    Des organisations de la diaspora haïtienne

9-    Des partenaires haïtiens et étrangers

10- Des investisseurs haïtiens et étrangers

11- Des cabinets d’études et de services légaux en Haïti et à l’étranger

 

3-  Les principales activités

3-1     : Activités agricoles, agro-industrielles et des services

3-1-1  : Fermes d’Excellences de différentes capacités : 1 par département géographique pour la formation continue et le support technique

A.   Un Maximum de 10,000 micros et petites entreprises privées par Fermes d’Excellence, soit environ 100,000 micros et petites entreprises en contrat avec la compagnie

B.   Agriculture à haut rendement : 10 spécialités et un total de 100 produits par période et par région

C.   E. Élevage : a) volailles b) petits et grands bétails c) chevaux de race

 

 

3-1-2  : Environnement : reforestation indigène (25,000 has ; 5,000 has par région

3-1-3  : Cultures de café et de cacao en sous-bois ou sous-forêts

3-1-4  : Pèches et Pisciculture (Existence de 72 ports rudimentaires et anses)

3-1-5  : Fabrication de semences sélectionnées et d’intrants

3-1-6  : Service de location de petits équipements améliorés et service de support technique par les Fermes d’Excellences

3-1-7  : Systèmes d’achats et de ventes local et international à travers des services spécialisés des Fermes d’Excellences

3-1-8  : Service de formation continue en technologie et informatique par les Fermes d’Excellences dans 40 municipalités afin de préparer nos jeunes à l’avènement d’une économie de croissance accélérée basée sur une force de travail, dépassant plusieurs dizaines de milliers de cadres, de partenaires et d’employés, qui maitrise l’intelligence artificielle et des technologies très en demande sur le marché international. Le succès du projet va dépendre grandement d’un capital humain hautement motivé et performant.

3-1-9  : Activités artistiques et sportives

1-          Formation et shows: art plastique, galerie d’art, shows de musique, danse, spectacle, théâtre, cinématographie, etc.

2-          Formation et compétitions sportives : Judo, karaté, basketball, volleyball, football, etc.

 

 

3-2     Activités industrielles dans des micro-parques bien alimentés en énergie et dotés d’excellents systèmes de communication, et bien localisés à proximité de

ports et d’aéroports bien équipés et bien sécurisés de jour et de: nuit. Les zones industrielles qui seront développées de façon accélérée seront en mesure d’offrir ou de faciliter des emplois de qualité à des dizaines de milliers de femmes et d’hommes des 40 municipalités ciblées.

3-2-1  : Usines de fabrications de pièces électroniques avec des partenaires

3-2-2  : Usines de montage de matériels électroniques avec des partenaires

3-2-3  : Factories de fabrication de produits textiles avec des partenaires

3-2-4  : Usines de mise en boite de produits agricoles avec des partenaires

3-2-5  : Production de matériaux de construction tels que marbre, ciment, sable calcaire et briques d’argile, des constructions préfabriquées avec des partenaires

3-2-6  : Production de panneaux solaires.

Nous faisons remarquer que tous les villages dans chaque municipalité seront liés à un système électrique municipal, et tous les bâtiments et maisons seront équipés d’énergie renouvelable, tels que solaire, éolienne et hydraulique.

 

 

3-3     : Construction d’infrastructures, d’immeubles, de logements, de centre de loisirs, et de centres de réhabilitation de jeunes délinquants, et déviants.

3-3-1  : Construction de villages modernes à prix modérés pour retraités et des maisons pouvant accueillir des vacanciers dans les 40 municipalités ciblées.

3-3-2  : Construction de villages pouvant accueillir des étudiants locaux et des étudiants étrangers en collaboration avec des universités étrangères

3-3-3  : Construction de routes secondaires dans des villages ciblés construits par le projet

3-3-4  : Construction d’immeubles pour les services publics des villages construits par le projet

3-3-5  : Construction de centres de rééducation et d’apprentissage en art, métiers et sports pour les jeunes délinquants et déviants dans 10 municipalités ciblées, 2 par région.

3-3-6  : Construction des allées pour le jogging, le cyclisme, les randonnées en montagne et en forêt, etc.

3-3-7  : Construction de 5 larges complexes touristiques, 1 par région, atteignant un total de 50,000 chambres. Les complexes seront équipés de grande capacité d’accueil, de loisir et de shopping. Chaque complexe sera doté d’un centre capable d’accueillir des compétitions sportives de haut niveau, et des activités artistiques et culturelles, comme des festivals, des concerts, et autre...

3-3-8  : La liste des complexes

A.   Le Complexe de la Région de la Capitale

B.   Le Complexe de la Région du Grand-Nord

C.   Le Complexe de la Région du Grand Sud

D.   Le Complexe de la Région du Grand Centre

E.   Le Complexe de la Région Transfrontalière

 

 

3-4     : Activités touristiques

4.0 : L’offre à la clientèle et la structure des coûts correspondants.

5.0 : Le service à la clientèle et les ressources qui seront nécessaires.

6.0 : Flux de revenue et clientèles ciblées.

7.0 : Marketing et promotion.

8.0 : Les structures d’investissements et les stratégies de financement.

9.0 : Les questions légales.

10.0 : Protection des innovations et des droits.

 

 

Ces derniers points qui ne sont pas développés dans ce texte appartiennent à une gamme de réflexions qui a été accumulée dans un parcours de plus de 40 années de vie professionnelle, dans le pays et à l’étranger. Nous aurons avec nous aussi des partenaires qui apportent avec eux un trésor d’expérience professionnelle et de succès. Nous sommes là pour apporter, autant que possible, notre contribution à la relance de l’économie du pays pour arriver à une Haïti prospère. Le succès de cette entreprise va exiger un capital humain très éduqué, très performant et vraiment dédié à la mission de servir d’exemple aux plus jeunes.

Vous allez remarquer aussi que nous n’avons pas parlé de l’insécurité qui est un grand problème pour le pays. Il ne s’agit pas que nous n’avons pas grande chose à offrir dans le domaine. Bien au contraire. Dans la transition de 2004 à 2006, personnellement, j’ai été le conseiller spécial du gouvernement Alexandre/Latortue. Et, en tant que tel, j’ai siégé dans le Conseil de Sécurité de la Police Nationale pendant 27 mois. J’ai été aussi appelé à devenir le Ministre de l’Intérieur et des Collectivités Territoriales où j’ai lancé, entre autres, le programme de la Déconcentration de la Capitale, Port-au-Prince. Mais, aujourd’hui, je suis très préoccupé à créer des emplois et à réduire la misère. Car, l’absence d’emploi et la misère jouent un rôle important dans l’insécurité dans le pays. Mais, nous allons offrir un service d’éducation et de réhabilitation pour les jeunes du pays qui se sont égarés avec les gangs. Et nous serons prêts à leur offrir un travail afin qu’ils et elles puissent reprendre une vie normale et honorable dans la société.

Dans le cas où ce projet serait exécuté avec rigueur, (nous ferons notre possible pour qu’il en soit ainsi) il aura la capacité d’absorber dans cette première période de 5 années des investissements importants, venant de partenaires locaux et internationaux, avec une place spéciale réservée à la diaspora haïtienne. Nous ne voulons pas oublier de dire que nous avons eu le privilège de rentrer en Haïti avec des entrepreneurs de classe internationale tels que M. Michael BLOMBERG et M. Ingo PYKO, pour ne citer que ceux-là.

Le projet vise à créer dans cette même première période de 5 années plus de 250,000 emplois, sans tenir compte des emplois indirects. La priorité sera donnée aux déplacés domestiques et aux déportés de la République Dominicaine et des Etats-Unis, surtout pour les jeunes filles et les jeunes garçons, que nous allons encourager pour la plupart, à avoir leur propre entreprise. La MSLJR, SA comme une société anonyme sera publique et respectera toutes les règles de l’art. Tous ceux qui voudront nous rejoindre pourront le faire comme investisseur ou partenaire.

Nous pensons beaucoup aux membres de la diaspora éparpillés dans le monde entier qui voudront revenir dans leur pays, soit pour offrir leur service et partager leur expérience pour le succès du projet. D’autres pourrons tout simplement choisir de revenir dans leur pays pour jouir du vieux-jour tranquille qu’ils méritent.

L’entreprise sera gérée avec la plus grande rigueur. (Je le répète encore). C’est mon plus grand engagement. Car, c’est un rêve que je caresse depuis plus de 40 ans après avoir lancé la Société Agricole et Industrielle, Co., à l’Acul-Samedi dans le Nord-Est d’Haïti. Aujourd’hui n’est pas trop tard ! Je compte sur vous tous. L’Union fait la Force !

Que Dieu bénisse Haïti et chacun de nous !

 

 

Par Raphaël Paul Gustave Magloire

Le 9 mai 2025 / Dernier mise à jour, 16 juillet 2025

 

Reply all
Reply to author
Forward
0 new messages