Senegambian Studies Group Virtual Conference *** Updated CFP ***

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Apr 29, 2021, 11:11:33 PM4/29/21
to Senegambian Studies Group/Groupe d’Études Sénégambiennes

Senegambian Studies Group Virtual Conference

 

*** Updated CFP ***


Mobility in the Greater Senegambian Region: Migrations, Politics, and Popular Culture

Saturday, October 2, 2021

Held virtually

The greater Senegambian region is one of the major hubs in the Euro-Mediterranean migrant/refugee crisis, and scholarship from across the social sciences and humanities have deeply engaged with questions of migration, the factors driving it, and the multiple transformations that people who experience the journey and the cultures they carry go through. Senegambian mobility has always been a norm rather than exception, as shown by historians like Boubacar Barry, Ousmane Kane, and others. From the forced and inhumane mobility of the Atlantic Slave Trade to the phenomenon of nawettan, from the region’s role as a “gateway to Sudan,” as Barry put it, to the importance of international tourism, Senegambia has always been a place where people come, go, and sometimes stay. Senegambians themselves are mobile both within and outside the region, as seen, for example, in the robust diasporic enclaves in places from New York City, Atlanta, and Paris to Rome.

At the same time, people are not the only things that move since ideas and elements of culture travel as well. From the global stardom of Youssou N’Dour to the transnational origins of the Baye Fall movement and the renown of Senegalese film, Senegambia is a place of cultural generation and innovation whose products have moved across the world. There is, of course, a dark underbelly of mobility as well, as seen in recent seizures in Dakar and Banjul of illegal narcotics smuggled from Latin America on their way to Europe. Furthermore, mobility—of ideas, people, money, etc.—is not always encouraged by national and international actors as seen most vividly in visa regimes and, at the time of a global pandemic, border shutdowns due to public health.

We are looking for papers from any discipline that engage in creative and insightful ways with the idea of mobility in Senegambian studies and in the Senegambian region (broadly understood to include not just Senegal and the Gambia but also Guinea-Bissau and Guinea-Conakry and parts of Mali and Mauritania).  We accept proposals both for individual paper submissions as well as for fully formed panels of no more than three papers (Note: not sure about this—I guess we need to discuss the parameters over email).

Please email paper proposals of no more than 250 words to Niklas Hultin (ihu...@gmu.edu), Babacar M’Baye (bmb...@kent.edu), and Mariame Iyane Sy (sms...@columbia.edu)  no later than April 30, 2021. Accepted presenters will be notified by May 10, 2021.

 

 

 

Cheikh Thiam

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Aug 22, 2023, 9:55:25 AM8/22/23
to senegalese-s...@googlegroups.com
Chers tous,

Nous vous donnons rendez vous aujourd’hui, Mardi 22 Aout pour parler d’un événement récent qui a bouleversé plus d’un: La mise à feu de l’université Cheikh Anta Diop.


L'impuissance des mots ou la limite de la barbarie : peut-on brûler l'université ? c'est aujourd'hui a 16:00GMTM et 12:00 EST

Resumé: Il y a quelques semaines, des étudiants de l'UCAD mettaient le feu à la faculté de droit, au CESTI et à la faculté des lettres. Au delà de l'émotion suscitée par cet act a priori inqualifiable, quelles leçons peut-on tirer de tout ceci? Nos intervenants, Hady Ba (philosophe), Aissa Mboub (études africaines), et Yankhoba Seydi (Angliciste, spécialiste du libéralisme), réfléchirons sur le sens de cet évènement qui est, pour certains, une manifestation radicale de la barbarie collective et pour d'autres, un tournant dans notre relation avec l'université (post)coloniale. Vile émotion ou engagement fanonien? reaction épidermique ou praxis révolutionnaire? Espérons que de cette conversation surgira de la lumière.

Merci de cliquer sur le lien ci dessous a 16:00 GMT et 12:00pm EST: 





Pour plus d’informations sur cette série de conversations, merci de continuer la lecture.

Pourquoi cette serre:

Les raisons immédiates et les objectifs de cette série de discussions, intitulée "L'exception sénégalaise est elle menacée?" et parrainée par Global Africa, sont simples :
• Une nécessité politique :
Il n'est pas rare que d'importantes discussions académiques sur le Sénégal se déroulent en dehors du continent. Il est déconcertant que la majeure partie des recherches sur les élections de 2011 ait été faite en dehors du Sénégal, à quelques exceptions près. La plus part des réflexions sur le mouvement :Y en a marre" par exemple s'est produite dans des universités occidentales. En tant que chercheurs sénégalais, nous pensons qu'il est impératif que nous engagions une réflexion radicale, surtout à une époque où réfléchir au bord de l'extinction devient de plus en plus difficile. L’université sénégalaise et africaine doit penser cette crise. Ne serait-ce que pour le principe de le faire.
• Une responsabilité historique :
Dans 50 ans, lorsque qu'un.e étudiant.e décidera de rédiger une thèse ou un livre sur la crise politique actuelle, quelles d'archives seront disponibles ? Comment auront-iels un aperçu sur la façon dont le peuple sénégalais pense ces questions ? Diakarlo et Banc Public représentent-ils véritablement le paysage intellectuel sénégalais ? Il est crucial que ces conversations aient lieu, ne serait-ce que pour documenter nos perspectives sur cette crise pour les générations futures.
Format :
Nous inviterons, pour chaque panel, un.e specialiste des sciences sociales, un.e specialiste des sciences humaines et un membre de la société civile. Chaque conversation durera 90 minutes. Les 45 premières minutes seront modérées par un collègue et les dernières 45 minutes allouées aux questions avec l'auditoire.
Thèmes :
Pour chaque conversation, nous choisirons un thème distinct. Notre objectif est de mieux comprendre ce qui est en train de se passer au Sénégal. Nous aspirons à dépasser les querelles, les insultes et les attaques ad hominem, nous nous efforçant de comprendre les véritables implications de cette crise pour le Sénégal, la région du Sahel et le monde.
Fréquence:
Les Mardis et Jeudis de 16h00 a 17h30.
Cette série, "L'exception sénégalaise : Mythe ou Réalité ?", comprendra dix conversations, chacune axée sur un thème spécifique.
Conversation 1 : Le Sénégal en crise : La conversation est-elle Encore Possible ?
Conversation 2 : L'Impuissance des Mots ou les Limites de la Barbarie : Une Université Peut-elle être Incendiée ?
Conversation 3 : Impérialisme, Panafricanisme et Décolonialité : La Crise Sénégalaise vue de l’extérieur
All reactions:
Maodo Diouf, Ibra Sene and 43 others

Cheikh Thiam

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Aug 24, 2023, 11:05:12 AM8/24/23
to senegalese-s...@googlegroups.com

Chers tous,
Rejoignez nous dans une heure pour ce webinaire sur la crise au Senegal. 
C


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