Fwd: OHRC statement to mark International Women’s Day | Déclaration de la CODP pour marquer la Journée internationale de la femme

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Nick Mulé

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Mar 8, 2022, 12:20:09 PM3/8/22
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Nick

Nick Mulé
Member at Large,
Queer Ontario


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From: Ontario Human Rights Commission | Commission ontarienne des droits de la personne <communi...@ohrc.on.ca>
Date: Tue, Mar 8, 2022 at 8:43 AM
Subject: OHRC statement to mark International Women’s Day | Déclaration de la CODP pour marquer la Journée internationale de la femme
To: Nick J. <nick...@gmail.com>


 

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March 8, 2022

OHRC statement to mark International Women’s Day:

from surviving to thriving

 

Every day is International Women’s Day, but today, at the Ontario Human Rights Commission (OHRC), we pause to honour the achievements women have made towards gender equality in the workplace and towards a more equitable society.

 

Today we celebrate how far we have come, but we know that more and greater change is possible – and needed. For example, gender equity has not yet been achieved in the boardroom, in C-suites and in compensation. According to the Osler report on 2021 Diversity Disclosure Practices – Diversity and leadership at Canadian public companies, while women are being recruited onto company boards at a steady pace, women are making very little progress at the executive officer level. For Indigenous women, Black women, women from other racialized groups and women with disabilities, the situation is even more disappointing.

 

Women have contributed significantly to all aspects of our social and economic society, including in science, technology, engineering and math. While some of us may never have our names etched into our history books, all of us are worthy of recognition. We are mothers, daughters, sisters and friends. We are neighbours and colleagues. We are leaders making an impact internationally and in our local communities – such is the case for the remarkable Black women the OHRC featured on our social media channels during Black History Month.

 

Women deserve a gender-equal world, free from bias, stereotypes and discrimination. And we should lift as we climb up this precipitous and arduous mountain – or as we aim to shatter the glass ceiling. In doing so, we are creating a critical mass. And that, too, is our duty.

 

The COVID-19 pandemic has exacerbated disparities for women, and especially women in the work force. It has negatively affected their health, social and economic well-being, resulting in resilience fatigue and a “she-cession” that is still prevalent, especially among women in the 55+ age-bracket. Among the women bearing the fiercest brunt of the pandemic are women with intersecting Code-protected identities, such as our Black, other racialized, Indigenous and LGBTQ2S+ sisters. The disproportionate impact these women experience is well-documented, including in the OHRC’s Policy statement on human rights in COVID-19 recovery planning.

 

On International Women’s Day, let us keep women, and other vulnerable groups, at the forefront of our collective consciousness. Anything short of equipping them with the tools they need to not just survive, but thrive, would be an abdication of our collective responsibility.

 

Patricia DeGuire

Chief Commissioner

 


Le 8 mars 2022

Déclaration de la CODP pour marquer la Journée internationale de la femme : de la survie à la prospérité

 

Chaque jour est la Journée internationale de la femme, mais aujourd’hui, à la Commission ontarienne des droits de la personne (CODP), nous marquons une pause pour honorer les réalisations des femmes vers l’égalité des genres au travail et vers une société plus équitable.

 

Aujourd’hui, nous célébrons les énormes progrès accomplis, sans oublier que d’autres grands changements sont possibles... et nécessaires. Par exemple, l’équité des genres n’est pas encore atteinte dans les salles de conseil, aux postes les plus importants et à l’égard de la rémunération. Selon le rapport d’Osler sur les Pratiques de divulgation en matière de diversité 2021 – diversité et leadership au sein des sociétés ouvertes canadiennes, bien que des femmes soient recrutées dans les conseils des sociétés à un rythme soutenu, elles progressent très peu vers des postes de cadre de direction. Pour les femmes autochtones, de race noire, issues d’autres groupes racisés et en situation de handicap, la situation déçoit encore plus.

 

Les femmes ont apporté d’importantes contributions à tous les aspects de notre société socioéconomique, dont en sciences, en technologie, en ingénierie et en mathématiques. Bien que certaines d’entre nous pourraient ne jamais graver leur nom dans la mémoire collective, nous méritons toutes d’être reconnues. Nous sommes des mères, filles, sœurs et amies. Nous sommes des voisines et collègues. Nous sommes des chefs de file qui s’affirment sur la scène internationale et au sein de nos collectivités, comme les admirables femmes de race noire mises en vedette par la CODP sur ses réseaux sociaux pendant le Mois de l’histoire des Noirs.

 

Les femmes méritent un monde fondé sur l’égalité des genres exempt de partialité, de stéréotype et de discrimination. Nous devons nous épanouir tandis que nous gravissons cette montagne escarpée et ardue – ou que nous cherchons à faire éclater le plafond de verre. Ce faisant, nous créons une masse critique, ce que nous avons également comme devoir de faire.

 

La pandémie de COVID-19 a aggravé les disparités pour les femmes, surtout au travail. Elle a eu une incidence néfaste sur leur santé et leur bien-être socioéconomique, ce qui a occasionné de la fatigue découlant de la résilience et une « récession des femmes » qui reste prévalente, surtout parmi celles de 55 ans et plus. Parmi les femmes qui portent le poids le plus considérable de la pandémie, il y a celles avec des identités protégées par le Code qui s’entrecroisent, telles que nos sœurs de race noire et autrement racisées, autochtones et LGBTQ2S+. L’incidence disproportionnée vécue par ces femmes est bien documentée, dont dans la Déclaration de principes de la CODP concernant les droits de la personne dans le cadre de la planification de la relance suite à la COVID-19.

 

Lors de la Journée internationale de la femme, maintenons les femmes, et les autres groupes vulnérables, à l’avant-plan de notre conscience collective. Seul les doter des outils dont elles ont besoin pour non seulement survivre, mais s’épanouir nous permettra de nous acquitter de notre responsabilité collective.

 

Patricia DeGuire

Commissaire en chef

 

 

The Ontario Human Rights Commission promotes and enforces human rights
to create a culture of human rights accountability.

La Commission ontarienne des droits de la personne promeut et met en œuvre les droits de la personne,
afin de créer une culture de responsabilité en matière de droits de la personne.


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