2117 20 avril 2025
Et si le travail au black
était l’avenir de l’humanité ?
Suite aux troubles innombrables que subit notre humanité, on peut se demander si certaines mesures radicales ne vont pas finir par s’imposer.
La tentation des gouvernants est devenue trop grande et, au détriment des peuples, l’abus de pouvoir se généralise. S’il n’échappe à personne que notre planète part à vau l’eau et qu’une gouvernance mondiale vertueuse est de plus en plus nécessaire, on craint à juste titre qu’elle soit pire que la gabegie actuelle. Alors, une idée nous vient à l’esprit : Et si d’assistés exploités nous passion à un monde un peu plus solidaire ? Et si nous remplacions l’abus de pouvoir par une dose un peu plus importante de solidarité ? Et si nous faisions moins appel à l’Etat et plus à la solidarité familiale, entre voisins, entre collègues, etc. ? Y perdrions-nous quelque-chose ? C’est à voir. Mais une chose est sure cependant, nous subirions moins cette pression insupportable de l’Etat qui ne profite qu’aux paresseux et aux asociaux. Comme la planète, chaque village, chaque ville, chaque région du monde doit se suffire à elle-même. Et au sein de chaque famille, chaque tribu humaine, un minimum de solidarité doit permettre d’éviter à tout bout de champ l’intervention pesante et onéreuse pour tous, de l’Etat. Laissons à la gouvernance mondiale les grands problèmes des droits de l’homme, de communication, de justice, etc.) et résolvons nos petits problèmes entre nous. Si un voisin veut m’aider à réparer ma maison contre rémunération ou service à lui rendre en retour, pourquoi lui refuserais-je ? La consolidation des liens sociaux a ceci d’extraordinaire, c’est qu’elle rend la vie plus facile pour tout le monde, à moindre cout pour l’Etat qui du coup, devrait baisser les impôts qu’il me réclame. C’est un changement de paradigme qui va à l’encontre du « politiquement correct ». Mais justement, peut-on affirmer que la politique actuelle des nations est toujours correcte ? Le constat global actuel semble démontrer le contraire.
François-Michel MAUGIS