Procès des 9 paysans de la Conf
contre la ferme-usine des 1000 vaches
Un bus pour la Loire,
mais aussi un pour l'Ardèche et la Drôme (passage à Chanas)
Soyons nombreux
Vous souhaitez monter à Amiens pour le 17 Juin :
Les Conf’ Ardèche et Drôme affrètent un bus au départ d’Aubenas
Pour les personnes intéressées, merci de vous rapprocher de la Conf’ 07 : confp...@wanadoo.fr / 04 75 64 49 93
ou de la Conf'26 :dr...@confederationpaysanne.fr / 04 75 25 21 72
Merci d'indiquer l'arrêt souhaité, un contact téléphonique (portable si possible), le prix du trajet sera en libre participation (le coût du trajet est estimé à 50€/pers)
Départ Mardi 16 Juin: Aubenas à 19h de l’ancienne gare SNCF
Arrêts possibles Mardi 16 Juin:
Montélimar: 19h45
Sortie Autoroute Montélimar Nord
Valence: 20h15
Parking Géant Casino proche de la sortie Autoroute
Valence Sud
Tain: 20h45
Parking Intermarché proche de la sortie Autoroute Tain
l’Hermitage
Chanas: 21h15 Sortie
Autoroute
Le bus repartira d’Amiens Mercredi 17 juin en fin d’après-midi pour un retour dans la nuit de mercredi à jeudi
Vous ne pouvez pas monter à Amiens le 17 Juin
mais vous souhaitez aider financièrement la lutte contre l’usine des 1000 vaches
Vous pouvez nous faire parvenir vos dons par chèque à l’ordre de la Confédération Paysanne de l’Ardèche. Adresse : BP 129, 07000 Privas
En indiquant au dos du chèque : soutien contre les 1000 vaches
Cet argent nous permettra de payer les bus pour Amiens et, en cas de surplus, de participer aux frais juridiques.
Infos
1000 vaches / Procès du 28 octobre : La Conf’ fait appel d’un jugement inique (communiqué de presse du 3 novembre 2014)
Il aura fallu moins d’une heure au tribunal d’Amiens pour condamner neuf militants à des peines allant jusqu’à 5 mois de prison avec sursis. Les débats avaient pourtant duré toute la journée et nombre d’argument juridiques avaient été soulevés pour justifier la relaxe des prévenus. Dans ces conditions, la Confédération paysanne choisit de faire appel de ce jugement.
En prenant la responsabilité de stopper le projet d'usine des 1000 vaches, nous avons agi pour l'avenir des paysans et de l'ensemble de la société. Nous ne pouvons accepter que la défense de nos emplois, de notre environnement, de nos territoires soit considérée comme un acte criminel. C’est là l’essence même de notre travail de syndicaliste.
Nous avons été condamnés, comme d’autres, parce qu’il faut faire taire toute contestation. C’est un état de fait que nous ne pouvons accepter. C’est pourquoi nous faisons appel. C’est aussi pour cela que nous continuerons à nous battre.