INTERNACIONAL
El llamamiento de Gadafi a islamizarse irrita a los católicos y al entorno de Berlusconi
Le film « Des hommes et des dieux » sortie le 8 septembre, sur les moines de Tibhirine (Algérie)
OPINION
Tolerancia y multiculturalidad. Autor: Eva Lapiedra - Blog Araboislámica. Sobre el sentido medieval de la tolerancia y en concreto sobre la tolerancia en el Andalus.
Por Françoise Kadri (AFP) –
31-08-2010
ROMA — Los llamamientos a una conversión de Europa al islam lanzados por el líder libio Muamar el Gadafi durante una visita oficial a Roma, que terminó este martes, provocaron malestar en los medios católicos y hasta en la conservadora mayoría gubernamental del primer ministro Silvio Berlusconi.
El Vaticano observó un silencio calificado de desdeñoso por la prensa. Su diario L'Osservatore Romano ni siquiera mencionó la presencia en Roma, el corazón del Papado, del líder libio, con su tienda beduina, sus "amazonas" (guardaespaldas) y sus 30 purasangres con sus jinetes bereberes.
Sin embargo, el secretario de la Congregación para la evangelización de los pueblos, Robert Sarah, lamentó las declaraciones de Gadafi sobre el islam y las calificó de "provocación" y "falta de respeto hacia el Papa e Italia, país mayoritariamente católico".
"Hablar de un continente convertido en bloque al islam no tiene ningún sentido porque son las personas las que deciden solas y en plenitud de conciencia ser cristianas, musulmanas o de otra religión", declaró al diario romano La Repubblica.
Gadafi hizo esas declaraciones el domingo ante 500 mujeres seleccionadas por una agencia, y luego al recibir a otras 200, todas ellas pagadas para escuchar al líder libio.
El diario del episcopado italiano, Avvenire, también criticó una "sesión de propaganda islámica", "deliberadamente folclórica", preguntándose cómo en una "Italia tolerante y pluralista", "de profundas raíces cristianas" pudo librarse Khadafi a "un espectáculo de proselitismo".
No obstante, salvo la oposición de izquierda que denunció un mercadeo económico entre Berlusconi y Gadafi, nadie criticó abiertamente la actitud comprensiva del jefe del Gobierno italiano con su turbulento invitado.
Hubo quienes subrayaron la utilidad del tratado de amistad bilateral entre Italia y Libia, cuyo segundo aniversario celebraron el lunes los dos líderes, para reforzar sus vínculos económicos.
Pero el malestar era palpable en los medios católicos. Maurizio Lupi, vicepresidente de la Camara de Diputados, y miembro del PDL de Berlusconi, se preguntó en una carta publicada por La Stampa, si "es oportuno ofrecer nuestro país como escenario de los 'shows' del rais".
"Es ciertamente fundamental para nosotros desarrollar relaciones diplomáticas privilegiadas con Libia, pero ¿por qué no se ven escenas semejantes en Alemania u otros países?", se pregunta.
Reacción similar se produjo por parte del popular presidente de la región de Venecia (noreste), Luca Zaia, alto responsable de la Liga Norte, partido aliado de Berlusconi.
"Que Gadafi vaya a hacer en su casa sus llamamientos a la conversión. No me gustó nada su proselitismo de la islamización", declaró al diario Mattino di Padova. "Como invitado, no tiene un gran sentido de la educación. Debería limitarse a las cuestiones del acuerdo económico y comercial suscrito por Italia y por Libia", dijo Zaia.
El diario de la Liga, la Padania, fue incluso más directo: "Europa debe ser cristiana", titulaba el martes en toda su primera página.
Para este diario, "el deseo, o quizá la amenaza de Gadafi, hacen reír" ya que ha acostumbrado a su auditorio "a su folclore y a sus excesos". Pero su invitación a la conversión al islam debe llevar a Europa a replicar afirmando sus valores cristianos, según la Padania.
EL WATAN
Pages hebdo France-actu
le 30.08.10 | 03h00
Le film Des hommes et des dieux consacré aux derniers mois des moines de Tibihirine dans leur monastère de l’Atlas, près de Médéa, sortira le 8 septembre prochain. Déjà au cours de quelques projections savamment distillées en guise de promotion astucieuse, plusieurs centaines de spectateurs se sont pressés pour compatir au destin tragique des religieux assassinés en mai 1996.
Lyon De notre correspondant
Pour ce projet difficile de faire revivre les moines de Tibhirine, le cinéaste Xavier Beauvois, et son scénariste Etienne Comar, ont choisi un angle consensuel qui ne risquera pas de créer la polémique, mais plutôt la compassion. Ils y ont réussi en donnant un film profond et humaniste. Gommant tous les aspects litigieux, et particulièrement les conditions de leur assassinat qui ont alimenté la chronique ces derniers temps, ils se sont concentrés sur les derniers mois de la vie des religieux. Alors que la violence gagne du terrain, les moines se posaient de légitimes questions sur les raisons de leur présence, et ils s’interrogeaient sur l’opportunité de se mettre à l’abri. Dès lors, le public français, chrétien de préférence, sera sensible à l’indéniable dimension spirituelle qui parle aussi au musulman et à n’importe quel humain de conviction sincère.
Les yeux vers les souffrances de leur Seigneur Jésus-Christ qui, selon les chrétiens a donné sa vie pour sauver l’humanité, les moines trappistes ne pouvaient que se sentir petits, le disciple n’étant pas supérieur à son maître. C’est ce que confie l’un des moines. Pourtant le doute broie ces individus qui se questionnent bien évidemment sur l’intérêt d’un martyr de plus. Le cinéaste filme ce désarroi avec justesse, instruit qu’il l’a été par les courriers laissés par les
moines, et les témoignages des familles consultées au moment de la préparation du film. Il fait dire à l’un des religieux, une sentence qu’on ne peut inventer : «je ne suis pas venu ici pour participer à un suicide collectif». Face à cette force de vie, transcrite avec lucidité, un autre moine rétorque : «Peut-on abandonner un peuple dans la détresse et qui souffre plus que nous ?» Et une femme algérienne dans le village explique aux moines qu’ils sont «comme la branche pour un oiseau.» «Après votre départ, où se posera-t-on».
Les comédiens du film sont entrés jusqu’à la perfection dans la peau de leurs personnages, jusqu'à les faire revivre. Il faut les citer : Lambert Wilson qui joue le supérieur Christian de Chergé, Michael Lonsdale (Luc) Olivier Rabourdin (Christophe) Philippe Laudenbach (Célestin) Jacques Herlin (un Amédée plus vrai que nature !) Loïc Pichon (Jean-Pierre) Xavier Maly (Michel), Jean-Marie Frin (Paul). Pourtant le film pêche par un certain nombre de manques. D’abord, son tournage au Maroc. Les paysages proches du monastère de l’Atlas marocain à Midelt, et les habits des figurants, et particulièrement des femmes et des enfants, ne sont pas ceux de l’Algérie. Le cinéaste a tout fait pour atténuer cette difficulté, jusqu’à travailler les expressions en arabe pour qu’elles sonnent «algérien», mais cela n’y suffit pas.
Sur le plan du récit d’autre part, Xavier Beauvois a tout simplement supprimé le mot de Tibhirine, que l’on n’entend à aucun moment. Enfin, plus grave, rien n’est dit sur les autres religieux assassinés, dont certains fréquentaient régulièrement le monastère, «poumon spirituel». Entre mai 1994 et mars 1996, 11 religieuses et religieux chrétiens sont morts, dont les quatre pères blancs de Tizi Ouzou, après le détournement de l’Airbus d’Air France, à la fin 1994. Cela n’est pas neutre car ces morts conditionnent bien sûr les questionnements des moines sur leur départ éventuel. Cependant, en dépit de ces défauts, avec des prix aussi avantageux pour le succès que le Prix oecuménique, ou encore celui de l’Education nationale, tout est paré pour que le film cartonne. Sur les écrans commerciaux, mais aussi dans les cadres plus informels que sont les écoles, les associations cultuelles et autres, où le film, suivi de débats, attirera un public avide d’échanges.
Avant la sortie officielle sur les écrans français, le 8 septembre prochain, plusieurs rencontres de ce type sont annoncées, particulièrement à Paris et Lyon. Enfin, le grand prix du festival de cinéma de Cannes, décroché en mai dernier, sera là pour pousser les plus réticents à faire le déplacement vers les salles obscures. Et le moins qu’on puisse dire c’est que ça marche déjà. Dès la première projection publique, le 15 août (fête catholique de l’Assomption vouée à la Vierge Marie), à Lalouvesc, en Ardèche, le monde se pressait, comme à Cavaillon (Vaucluse) le 26 août. A guichets fermés, la salle a dû refuser des spectateurs. L’émotion suscitée par la mort de ces hommes de religion, n’est pas retombée. « L’émotion, cela ne se décrète pas », disait en juin 1996 l’évêque d’Oran, Pierre Claverie, à un journaliste qui s’étonnait de l’émoi public relayé par les médias alors. L’évêque, assassiné en août de la même année, ne sera pas là pour constater cet engouement, mais sa phrase reste d’actualité, seize ans après.
tomado de webislam
Una interpretación positiva de la tolerancia
Dedicado a M.de Epalza
El concepto de “tolerancia” es un concepto moderno que se utiliza referido al pasado medieval. Se utiliza profusamente para hablar del islam,tanto en su aspecto religioso teórico, doctrinal como en su aspecto práctico socio-político.
Dado el interés que suscita actualmente el tema de la tolerancia relacionada con la cuestión de la multiculturalidad, como uno de los temas claves de nuestro tiempo, es importante situar esa tolerancia medieval y, concretamente, islámica, en unas coordenadas espacio temporales adecuadas para no caer en exageraciones y visiones poco realistas de lo que pudo ser esa tolerancia y de cómo la podemos interpretar desde nuestra perspectiva del siglo XXI. Tanto un acercamiento idealizado como, por el contrario, uno que satanice el islam, se alejan de cualquier interpretación de la realidad medieval que busque un mínimo de objetividad. Una realidad que, en lo poco que podemos aprehenderla, siempre será compleja y con muchos matices.
Históricamente, la tolerancia como relación entre los hombres entra tardíamente en la historia. Excepto algunos brotes en la antigüedad y en la Edad Media, hay que esperar a la modernidad para que se abra paso poco a poco.
Primero surge en el ámbito religioso como una herramienta para afrontar las guerras de religión que asolaban Europa durante los siglos XVI y XVII, después en el político y, por último en la vida cotidiana.
En el plano de las ideas, la reivindicación de principio de la tolerancia llega con el holandés Spinoza (1632-1677) y el filósofo inglés Locke (1632-1704) en el siglo XVII y con Voltaire en el XVIII. Locke reivindicó la tolerancia religiosa en su “Carta de la tolerancia” en el año 1685. Este autor defendía que la identidad religiosa no jugara ningún papel público en la vida política sino que se privatizara y, en ese ámbito, se desenvolviera en libertad y sin interferencias, mientras liberaba a lo público de su insoportable peso. No obstante, aunque Locke toleraba toda creencia religiosa, en contraste con la tradición premoderna, no admitía el ateísmo.
En el concepto ilustrado, la tolerancia está vinculada al concepto de libertad y autonomía; el individuo es “señor de sí mismo y propietario de su persona” –dice Locke. En el siglos XVIII con Voltaire y los ilustrados se defiende la tolerancia política y a ella se suman en el s. XIX J. Stuart Mill y otros autores. La tolerancia étnica o sexual sólo se reivindica ya en el siglo XX.
Etimológicamente Tolerantia o tolero son términos latinos que hacen alusión a sufrir con paciencia, a soportar o resistir. Se tolera lo que no se comparte.
Con este primer sentido resaltamos tres puntos:
1) Si tolero es porque puedo no tolerar, es decir, la tolerancia se halla vinculada al poder.
2) No simpatizo con lo que tolero, de hecho, frecuentemente me repugna, pues tolero precisamente lo que considero un mal.
3)Las razones para tolerar se refieren a nosotros, a las consecuencias que para nosotros, los que tenemos el poder de tolerar, tendría no hacerlo.
Es decir, hay dos puntos importantes, la desaprobación por lo tolerado y el poder de obstaculizar o prohibir en el tolerante. En principio, pues, se trata de un concepto negativo, pragmático, prudencial, que contempla la tolerancia como un mal menor, nunca como un bien en sí mismo.
Pero el concepto de tolerancia se ha transformado para adaptarse a nuestra nueva sensibilidad pluralista. Surge la idea de tolerancia como un derecho, una exigencia, tanto política como moral, de reconocimiento del otro y de su derecho a elegir con libertad. Se definiría entonces como “respeto del derecho a la diferencia”. En este nuevo concepto de tolerancia se reconoce y respeta la identidad ajena y dicha tolerancia presupone un horizonte de libertad. Pasa, pues, a ser un concepto positivo. Nótese la diferente connotación en este sentido de “tolerar” y “tolerancia”. Mientras el verbo “tolerar” tiene un sentido negativo, “tolerancia” es un concepto con connotación positiva. De “soportar pacientemente” se pasa a “respetar y considerar”.
En los últimos tiempos se han dado enfoques o perspectivas modernas de la tolerancia debido a que el tema de los grupos culturales ha irrumpido en el ámbito del problema de la tolerancia y así surge el concepto multicultural.
Desde el punto de vista de los multiculturalistas lo crucial no son las diferencias individuales sino las grupales, culturales y políticas. Nos movemos en el ámbito de la tensión mayorías/minorías –el de los rasgos o comportamientos peculiares o “extraños” y desagradables para el grupo mayoritario; en el de la minoría que aparece como amenazante al orden tradicional mayoritario-. Se quiere el reconocimiento público de las diferencias minoritarias.
Frente a los multiculturalistas, que defienden, en contra de los neutralistas, que no hay que neutralizar las diferencias de los ciudadanos privándoles de su identidad, los neutralistas quieren –como los ilustrados- que dichas diferencias se “privaticen”, piden su “no visibilidad pública”.
Ahora vamos a pasar a centrarnos en la época clásica del Islam. En primer lugar, habría que apuntar, tal y como hemos dicho, que la tolerancia como concepto, como idea, no existía en la Edad Media. En la mentalidad premoderna no existe un valor de convivencia entre comunidades distintas. Es decir, para los hombres medievales es irrelevante las buenas o las malas relaciones con los “Otros”. Somos nosotros los que –desde nuestra perspectiva-, valoramos, o etiquetamos como tolerante o intolerante una sociedad del pasado.
No obstante, como nos tenemos que servir de conceptos actuales para denominar realidades del pasado, vamos a ver, hasta qué punto y en qué aspectos se puede comparar el concepto moderno, en su evolución ya mencionada, con las realidades medievales que conocemos.
Para hablar de mentalidades, de concepciones del mundo, me referiré a la mentalidad premoderna –anterior a la modernidad, como su mismo nombre indica-, que es la que corresponde a la Edad Media.
Me parece que hay que tener en cuenta dos aspectos:
I) De los distintos tipos de tolerancia que hemos mencionado: religiosa, política, étnica, cultural, sexual…, la tolerancia medieval es del primer tipo, religiosa porque la identidad en ese periodo se define por la pertenencia a una religión. Dicha tolerancia lleva consigo consecuencias socio-políticas pero, el punto de partida, es la pertenencia del tolerante y el tolerado a confesiones religiosas distintas.
II) En el concepto moderno y contemporáneo de “tolerancia” hemos utilizados términos como libertad, autonomía, individuo y reconocimiento del otro. Sin embargo, al referirnos a la Edad Media, hablamos de sociedades en las que no existen estos conceptos, como tampoco la idea de lo civil, del ciudadano y, sobre todo, de los Derechos Humanos. Como dice F.J. Ugarte en su “Ensayo sobre la intolerancia” (p. 61), “la mayoría de las cosas que nos parecen naturales y permanentes no existían en el pasado”.
Por ello, para situar la relación medieval entre tolerantes y tolerados hay que tener en cuenta la mentalidad que regía las relaciones humanas en un marco más general. Hay que tener presente, expresado de forma muy sucinta, los siguientes puntos:
a) Desigualdad étnico-cultural: los griegos, romanos, bizantinos y árabo-musulmanes, es decir, los representantes de las civilizaciones clásicas y medievales, eran pueblos profundamente persuadidos de su superioridad intelectual y moral respecto a otros pueblos a los que llamaban bárbaros.
b) En relación con el primer punto se encuentra la desigualdad según la geografía: el determinismo geográfico. Los pueblos eran considerados cultos o ignorantes y estúpidos según la zona climática en la que están situados. Es decir, el ambiente influye en la formación del carácter de los pueblos. Y los que hemos dicho que se consideran superiores étnica y culturalmente consideran que viven en un espacio intermedio.
c) Desigualdad ante la ley: el derecho natural. Como argumentan L. Ferry y Alain Renaut en su artículo “El fundamento universal de los derechos del hombre”, el derecho natural antiguo implica una visión desigualitaria del derecho; puesto que lo justo es lo que corresponde como propio a cada cosa en virtud de su naturaleza y dado que las naturalezas están jerarquizadas, conforme al derecho natural quienes tienen una naturaleza baja se someten a la autoridad y quienes tienen una naturaleza elevada ejercen el poder. Así pues, el principio de lo justo no es la igualdad sino la proporcionalidad, es decir, el establecimiento de un orden jerárquico a imitación del orden cósmico.
Por ello estos mismos autores consideran que aunque la expresión derechos del hombre tenga indiscutiblemente raíces fuera de la modernidad (tanto en la tradición judeo-cristiana como en el pensamiento estoico) sigue siendo cierto que la expresión “jura hominum” no aparece hasta 1537 y que es evidente que semejante concepción del derecho natural, que rechaza por definición la idea de derecho igualitario, es radicalmente incompatible con la problemática moderna de los “derechos del hombre”, que supone, por el contrario, la afirmación de la existencia de una naturaleza humana común, por lo que habría que admitir que en el mundo premoderno la desigualdad jurídica era la regla. Existían pues, jerarquías entre los nobles y el pueblo, los libres y los esclavos.
En el tratado de Hisba de Ibn ‘Abdún se dice que “a nadie absolverá el zalmedina por una falta contra la ley religiosa, más que si se trata de personas de elevada condición a quienes se absolverá según el hadiz: «Perdonad a las gentes de condición elevada, pues para ellas la reprimenda es más dolorosa que el castigo corporal». Otros ejemplos, tanto orientales como andalusíes, recogidos por E. García Gómez redundan en la misma idea:
“Al esclavo se le castiga con el
palo;
Pero al hombre
libre le basta la amenaza”.
O: “No corrige el esclavo nada más
que el golpe en la cabeza;
Mientras al libre
le basta que lo encuentres censurado”.
No hay que perder, pues, la perspectiva de que la tolerancia religiosa medieval se da en sociedades jerarquizadas en las que se tiene la idea de que hay seres humanos superiores e inferiores.
Es algo comúnmente aceptado que es el islam la religión que sentó las bases de la tolerancia medieval entre las tres religiones monoteístas. El islam, al ser la tercera religión revelada establece desde el principio unas normas de convivencia con judíos y cristianos. Muy brevemente mencionaremos las bases de dicha convivencia:
- los judíos y cristianos que quedan en un territorio conquistado por musulmanes pueden conservar su religión acogiéndose a un pacto entre ellos, los sometidos, y los musulmanes, los vencedores. Según ese pacto –dimma- judíos y cristianos se someten al poder socio-político musulmán y obtienen la protección del Estado islámico a cambio del pago de un impuesto –yizia. Dicho impuesto ha sido interpretado como un símbolo de humillación y sometimiento –por el texto coránico en el que se cita- o como una contraprestación mediante la cual judíos y cristianos no combaten en el ejército pero son protegidos por él.
Las comunidades de judíos y cristianos protegidos por el islam pueden, como hemos dicho, vivir en una sociedad árabo-islámica sin abandonar la práctica de su religión, pero deben aceptar una serie de condiciones que se pueden resumir en los siguientes puntos principales: no traicionar a los que les protegen ( es decir, no insultar al islam ni apoyar a sus enemigos), no molestarlos, pasando lo más desapercibidos posible (es decir, no hacer sonar las campanas, no celebrar procesiones, no hacer proselitismo…), saber que, en el ámbito social, se encuentran por debajo de los musulmanes, sometidos, subordinados, y que el ámbito político les está vedado.
Bajo estas premisas –más estrictamente puestas en práctica o menos según las épocas- es donde hay que situar la tolerancia del islam hacia judíos y cristianos en la época clásica. Es decir, judíos y cristianos son tolerados a pesar de estar equivocados –según la concepción islámica-, a pesar de no haberse dado cuenta de que la última revelación, la del Profeta Mahoma, es la que corrige, completa y cierra el ciclo de las revelaciones de Dios a los hombres. Por ello, podemos afirmar que, si hablamos de tolerancia islámica medieval, solo lo podemos hacer según la primera de las definiciones modernas analizadas, es decir, el de la tolerancia como un concepto negativo y pragmático, como un mal menor, no como un bien en sí mismo. Por consiguiente, no podemos hablar de la tolerancia medieval, en ningún caso, como un derecho, una exigencia, tanto política como moral, de reconocimiento del otro y de su derecho a elegir con libertad – tal y como hemos visto que evoluciona el término hacia una concepción positiva. Pues el “respeto del derecho a la diferencia” donde se reconoce y respeta la identidad ajena no se da en la Edad Media, ni en una sociedad regida por los musulmanes ni en la dominada por los cristianos.
Canal 33. Dijous:
21:30
Catalans de ...
Catalans del Marroc
Com a primera proposta, les nits temàtiques oferiran una nova sèrie de reportatges de producció pròpia, "Catalans de..." (Marroc, Equador, Colòmbia, Romania, Bolívia), elaborats per l'àrea de Nous Formats de TVC. Aquests reportatges de mitja hora presenten un retrat de cadascuna de les comunitats de referència, a partir del testimoni de diversos personatges i del seguiment de la seva vida quotidiana a Catalunya.
COMUNIDADES
El Ayuntamiento de Figueras (Girona) entrega una fortaleza militar a los musulmanes
Concentración de protesta de PxC delante de la nueva Mezquita de Badalona
INTERNACIONAL
El gobierno de Dinamarca aprueba la difusión del adhan en las mezquitas
Musulmanes participaron rescate 11-S protagonizan campaña contra intolerancia
El líder tayiko insta a las mujeres a rechazar la burka y el niqab
LVL
martes, 31 de agosto de 2010, 14:36
El Ayuntamiento de Figueras entrega una fortaleza militar a los
musulmanesEl
Ayuntamiento de Figueras entrega una fortaleza militar a los musulmanes
Gerona.- El ayuntamiento de Figueras (Gerona), en manos de Convergencia i Unió, ha entregado parte del Castillo de San Fernando, antigua fortaleza militar del Ministerio de Defensa, a los musulmanes para que practiquen los ritos del Ramadán.
El consistorio de Figueras, en la comarca del Ampurdán, cedió directamente a la asociación Attawhid el uso de esas instalaciones. La licencia permite a los fieles rezar en el recinto cada noche desde el 11 de agosto hasta 10 de septiembre, que concluye el Ramadán.
Entre
200 y 400 musulmanes se concentran en la puesta del sol en el castillo para
rezarle a Alá y desde el
ayuntamiento sostienen que con la cesión del espacio "se
ha querido terminar con la congestión que registraban otros locales de la
ciudad, que venían siendo habilitados como improvisados centros de culto,
sobretodo en el barrio del Culubret".
El ayuntamiento
añade que con la medida se busca mejorar la convivencia entre los distintos
colectivos que viven en Figueras. El Partido Popular ha denunciado que la cesión
se haya hecho sin ninguna contrapartida económica, "ya que
cobrar por alquilar espacios municipales viene siendo práctica habitual en la
ciudad".
Los
militares también han mostrado su disconformidad, ya que consideran que la
fortaleza de San Fernando, del siglo XVIII, es patrimonio histórico del
Ministerio de Defensa.
El ayuntamiento,
por su parte, recurre a la Ley de Centros de Culto de la Generalitat catalana
que obliga a las autoridades municipales a facilitar suelo público para las
actividades de las distintas confesiones religiosas.
http://www.laredgualda.com/wordpressmus/?p=19435
Miércoles, septiembre 1st, 2010 | Publicado por Javier Marcos
Como sabéis en Badalona nuestras autoridades han entregado el antiguo cuartel de Bomberos a los musulmanes para que lo utilicen como mezquita. Si las autoridades no hacen marcha atrás la PxC convocarà una concentración de protesta delante de la nueva mezquita (Avenida Marquès de Montroig 188-190) el sábado 18 de septiembre a las 18.00 horas
La noticia ha de corer para que todo el mundo se entere.
Los de fuera reciben la mayoria de la ayudas: alquiler de viviendas, sus negocios no pagan los mismos impuestos, la mayoria de sus hijos se quedan con las becas escolares, de libros, transporte y comedor y tienen prioridad para elegir las plazas en lo colegios, etc, etc., ahora solo falta que nos metan más mezquitas.
Plataforma per Catalunya (PxC)
Estocolmo,01/09/2010,IQNA
Los
responsables del gobierno de Dinamarca, han aprobado la difusión del adhan en
las mezquitas y se han opuesto a las pretensiones de aquellos que sugieren que
los parlantes de las mezquitas son molestos.
Según el periódico turco “Zaman”, la organización del Medio
Ambiente de Dinamarca, encargada de las investigaciones sobre las repercusiones
negativas de la difusión del adhan por las mezquitas, ha rechazado la
pretensión de aquellos que sugieren que el adhan es molesto, agregando que la
difusión del adhan desde los minaretes de las mezquitas no representa ningún
problema.
Algunos grupos que se oponen al Islam en Dinamarca, han demandado a la
organización del Medio Ambiente de Dinamarca, poner como condición previa la no
difusión del adhan a toda autorización de construcción de lugares de culto para
los musulmanes; pero después de las investigaciones efectuadas esta demanda ha
sido rechazada.
En la actualidad, aproximadamente 300,000 musulmanes viven en las diferentes
regiones de Dinamarca.
Islam España es el
portal del islam en lengua española , un proyecto de futuro para la
convivencia,la cooperación y el diálogo.
Publicado por ISLAMEDIA
01-09-2010 / 22:00 h
Nueva York, 1 sep (EFE).- La mayor organización musulmana de defensa de derechos civiles en Estados Unidos lanzó hoy una campaña protagonizada por varios musulmanes que participaron en las tareas de rescate del 11-S y que está pensada para combatir lo que considera una creciente actitud anti-musulmana en este país.
El Council on American-Islamic Relations (CAIR) presentó hoy su campaña "9/11 happened to us all" ("El 11-S nos ocurrió a todos") e hizo públicos diversos vídeos que se distribuirán para su emisión en canales televisivos de difusión nacional y también a través de redes sociales en internet.
Los vídeos pretenden "mostrar las cosas que tienen en común las religiones (Judaísmo, Cristianismo e Islam) y cuestionar a aquellos que dividen a EEUU según aspectos religiosos, como en el caso de los feligreses de una iglesia de Florida que planean quemar ejemplares del Corán el próximo 11 de septiembre.
En las imágenes aparecen por ejemplo un bombero neoyorquino y una enfermera, que cuentan brevemente, pero con evidente emoción, sus experiencias al colaborar en las labores de rescate después de los ataques al World Trade Center el 11 de septiembre de 2001, y dejan claro al concluir su declaración que son musulmanes.
Al final de esos testimonios aparece en la pantalla la frase "el 11-S nos ocurrió a todos".
La organización recuerda en su web que 32 musulmanes murieron en la tragedia del 11-S, 29 de ellos en el World Trade Center y otros 3 en los aviones secuestrados.
Esta campaña de concienciación incluye además otro vídeo en el que aparecen líderes musulmanes, judíos y cristianos, y que concluye con la frase "Tenemos más en común de lo que pensamos".
El lanzamiento de esta campaña pública sucede en medio de la controversia que ha generado en este país el proyecto de edificar un centro islámico en Nueva York y a escasa distancia de donde ocurrieron los ataques terroristas, que incluirá además una mezquita.
Esa iniciativa, que ha recibido el visto bueno de las autoridades municipales, ha suscitado una actitud mayoritaria de oposición entre los neoyorquinos, según revelan diversas encuestas, y también expresiones de rechazo por parte de algunos líderes políticos y familiares de algunas víctimas, que consideran que el centro debería ubicarse más lejos de la zona cero.
Un sondeo de la Universidad Quinnipiac divulgado este martes reflejaba que un 71% de los votantes registrados en el estado de Nueva York consideraba que, debido a la oposición de los familiares de las víctimas que perecieron en esa zona de Manhattan, la organización que promueve el proyecto debería de manera voluntaria construir la mezquita en otra parte.
Un 54% de los encuestados reconocía no obstante que, atendiendo a la libertad de religión en EEUU, los musulmanes tienen derecho a construir la mezquita cerca de la zona cero, frente al 40% que manifestaba lo contrario. EFE
EFE
1 sept 2010
El presidente de Tayikistán, Emomalí Rajmón, instó hoy a las tayikas a renunciar al uso de los velos integrales islámicos, la burka y el niqab, que consideró ajenos a la cultura de ese país musulmán laico de Asia Central.
"En las calles de la ciudad observo que algunas muchachas y mujeres andan cubiertas con esos velos religiosos y copian así el modo de vestir de otros países", criticó Rajmón durante una visita a la Universidad Nacional tayika.
Rajmón indicó que esas prendas islámicas, que cubren totalmente la cara y el cuerpo de la mujer, son ajenas a la cultura del país y contrastan con la ropa tradicional de la mujer tayika, pañuelos y largos vestidos y faldas de llamativos colores.
"Si se sienten parte de nuestra cultura y de nuestra milenaria nación, sean agradecidos a este país y elijan el estilo de vestir tayiko, que ofrece mucha más libertad que los de otros países. Sean agradecidos por esa libertad", puntualizó el líder tayiko.
"Si prefieren el modo de vestir de otros países, tendré que enviaros allí", bromeó Rajmón, que hace poco instó a los tayikos a que devuelvan al país a sus hijos que estudian en centros religiosos extranjeros para mantenerlos alejados de corrientes radicales del islám.
Un 98 por ciento de los habitantes de Tayikistán son musulmanes, fundamentalmente suníes, pero la Constitución refrenda el carácter laico del Estado, y la legislación nacional prohíbe usar los velos integrales islámicos en los centros docentes estatales.
Varias estudiantes tayikas intentaron querellarse al respecto con el ministerio de Educación, pero ninguna logró ganar un proceso.
INTERNACIONAL
Mosquée de Marseille: l'Algérie gèle sa participation financière
Los alevíes piden el reconocimiento del Tribunal Europeo de Derechos Humanos
FRANCFORT
(ALEMANIA), 2 Sep. (EUROPA PRESS) -
La junta directiva del Bundesbank ha solicitado por unanimidad la
dimisión del consejero Thilo Sarrazin tras las declaraciones que hizo éste
sobre los judíos y musulmanes, según anunció el banco central alemán.
"La junta directiva del Bundesbank decidió hoy por unanimidad solicitar al presidente la dimisión de Thilo Sarrazin como miembro del consejo", indicó la entidad en un comunicado.
Sarrazin ha dividido el país por sus críticas contra la comunidad musulmana y por sus declaraciones afirmando que los judíos tienen un gen específico, provocando llamamientos por parte de la clase política al banco central para que le destituya.
De hecho, en declaraciones anoche a la cadena N24, el presidente germano, Christian Wulff, ya dio a entender que la salida de Sarrazin de la junta directiva del Bundesbank sería la mejor opción, mientras un diario germano asegura que el banco ya ha tomado la decisión de destituirle, si bien no se ha tomado aún la decisión oficial.
"Creo que la junta del Bundesbank puede hacer bastante para que este debate no dañe a Alemania, especialmente a nivel internacional", aseveró Wulff, quien tendrá ahora que aprobar la destitución de Sarrazin tras la decisión de la junta del Bundesbank.
http://www.diariodemadryn.com/vernoti.php?ID=122541
2 sept. 2010
"Somos
25 millones" repite Izettin Dogan, presidente de honor de la Federación de
Fundaciones Alevíes. 25 millones de almas, un tercio de la población de
Turquía, que son simplemente invisibles. En todas las estadísticas, el 99,9% de
los turcos son musulmanes. Pese a que Turquía es un país oficialmente laico, en
la práctica, el islam suní recibe tratamiento de religión de Estado.
Eso debe cambiar, anuncia Dogan ante las cámaras
de televisión: la Federación irá al Tribunal Europeo de Derechos Humanos de
Estrasburgo para reivindicar lo que el Tribunal Constitucional turco le ha
negado: la equiparación de su religión con el islam suní. En primer lugar, el
reconocimiento de que un templo aleví es un lugar de culto, como lo es una
mezquita, una iglesia o una sinagoga.
El debate es a veces confuso porque muchos alevíes
consideran que su fe es, de hecho, el islam. Incluso el islam verdadero. Tan
verdadero que no necesita normas: los alevíes no realizan las oraciones
islámicas, no suelen leer el Corán, no peregrinan a La Meca, no ayunan en
ramadán, mujeres y hombres tienen estrictamente los mismos derechos... En lugar
de ir a la mezquita, los practicantes se reúnen los jueves por la noche en un
centro comunitario, conocido como ´cemevi´, donde invocan la
trilogía Dios,
Mahoma, Alí. Su veneración por Alí, yerno de Mahoma, hace que a menudo sean
definidos como chiíes, aunque éste sea el único rasgo que compartan con el
islam chií. El rito culmina con un baile de 12 jóvenes -seis chicos, seis
chicas- y el reparto de pan y fruta que todos comerán juntos.
"Somos ciudadanos, pagamos nuestros
impuestos", reitera el profesor Dogan, flanqueado por seis altos cargos de
diferentes comunidades alevíes, que le respaldan en el momento de lanzar el
guante al Estado. Los impuestos que recoge la Diyanet, la
Autoridad Religiosa turca, tienen un único destino: las mezquitas y la
educación religiosa obligatoria, siempre islámica suní. Los templos de los
alevíes se definen como "centros culturales" y no reciben
financiación pública. "Que vayan a la mezquita para rezar", responde
la Diyanet, que considera a los alevíes simplemente una rama musulmana y manda
construir mezquitas incluso en pueblos puramente alevíes, donde nadie va a usar
el edificio ni levantarse con la llamada a la oración.
02/09/2010 16:14 |
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PARIS, 2 sept 2010 (AFP) - L'Algérie a gelé sa participation financière au chantier de la future grande mosquée de Marseille, qui doit débuter dans six mois, a déclaré jeudi à Paris un responsable du pays, après des dissensions à la tête de l'association marseillaise qui gère le projet. L'Algérie "a décidé de suspendre une contribution envisagée à la construction de la grande mosquée de Marseille", a dit Halim Benatallah, secrétaire d'Etat à la Communauté nationale à l'étranger, lors d'une conférence de presse, confirmant de récents propos tenus à Marseille. "La décision prise va dans le sens souhaité par notre communauté sur place", a souligné M. Benatallah, qui effectue une visite en France, principalement consacrée aux questions du culte. "L'Algérie soutient fortement le projet de la mosquée dans son principe" mais nous "espérons une gestions plus consensuelle". Fin juin, un nouveau président a été élu, à la suite de dissensions, à la tête de l'association "La Mosquée de Marseille", chargée de la construction de l'édifice. L'imam Abderrahmane Ghoul, vice-président du Conseil régional du culte musulman (CRCM), en a pris la tête, ses opposants dénonçant un putsch interne orchestré par une élue PS au conseil régional. "J'ai fait un déplacement en Algérie et j'ai eu un son de cloche complètement différent. Mon pays compte donner sa part au projet, il ne remet rien en cause, j'ai une confiance totale", a réagi M. Ghoul. "Les élections au sein de l'association se sont déroulées de façon démocratique", a-t-il dit. "Ce qu'on demande à l'Algérie, comme aux autres pays, c'est de participer, sans condition, et pas de gérer", a-t-il ajouté, alors que des membres de la communauté algérienne à Marseille revendiquent un rôle moteur de leur pays dans le projet. Le chantier de la mosquée, un projet de 22 millions d'euros, doit débuter en février. Selon M. Ghoul, l'association a reçu pour l'heure 310.000 euros et l'engagement de cinq pays, aucun n'ayant encore précisé le montant de son enveloppe, qui ne peut dépasser 30% du total. Le secrétaire d'Etat algérien n'a pas dévoilé le montant de la contribution envisagée par l'Algérie, rappelant que son pays a déjà contribué au financement des études à hauteur de 160.000 euros. Pour l'Union des familles musulmanes, le retrait de l'Algérie est "la réaction logique d'un investisseur qui ne sait pas où il met les pieds". "Personne n'y voit clair dans ce projet, c'est donc forcément ce qui allait arriver", a ajouté Nassera Benmarnia, directrice de l'association qui juge que "l'intérêt général des Marseillais et des musulmans marseillais a été oublié". |
AGENDA
Barcelona: Tercera edició de les "Nits de Ramadà"
Data: 09/09/2010
Lloc: L'Auditori (Lepant,
150. Barcelona)
Acte central: concert d’homenatge a Oum Kalsoum. Actuacions de Said Hafani (Egipte) i Dorsaf Madani & Ensemble (Tunísia).Programa complet (del 5 al 9 de setembre).
COMUNIDADES
Madrid: Fijan la limosna para la ruptura de ayuno en 5 euros por persona
COMUNICADO DE LA FEERI ANTE LAS ACUSACIONES VERTIDAS CONTRA EL SR. HALIFA MOHAMED CHAIB y aparecidas en algunos medios.
INTERNACIONAL
A Pakistani Minister wants Obama to be ''leader of all Muslims''
Las cheerleaders del Mundial pierden la batalla con el Islam. Vetadas por Turquia en el Mundial de Basket.
Austria prohíbe un videojuego antimusulmán de ultraderecha
OPINION
* El Cardenal de Barcelona invitado por el Consell Islàmic Cultural de Catalunya a celebrar el Ramadán. Jaume Flaquer. Blog: Cristianisme i Justícia
Id al-fitr. Blog: Jordi Lopez. “Ahir el Consell Islàmic Cultural de Catalunya convidà a diversos representants polítics, institucionals i religiosos a celebrar l’Id al-fitr...”
Madrid,03/09/2010,IQNA
La la Unión
de Comunidades Islámicas de España ha estipulado en 5 euros por cada persona,
la limosna para la ruptura ayuno en toda España.
la Unión de Comunidades Islámicas de España, ha anunciado que la limosna de la
ruptura de ayuno por cada musulmán en toda España era de 5 euros.
El portavoz de esta Unión, ha declarado: «Es deber de todo musulmán pagar la
limosna de la ruptura de ayuno y lejos de ser una acción voluntaria, el pago de
esta limosna representa una forma de purificar el alma y los bienes de los
musulmanes.»
Él ha agregado: «La limosna de la ruptura de ayuno -Zakatul Fitr- es la mejor
forma de testimoniar su solidaridad social y de ocuparse de los asuntos
materiales y espirituales de los otros.»
El portavoz de la Unión de Comunidades Islámicas de España ha precisado que las
mezquitas españolas, son las encargadas de recolectar las limosnas para
redistribuirlas entre los necesitados. «Hay que animar a los musulmanes
españoles a pagar la limosna que les corresponde lo más pronto posible, a fin
de que ellas puedan ser entregadas a los pobres.»
Islam España es el portal del islam en lengua española , un proyecto de futuro para la convivencia,la cooperación y el diálogo.
03/09/2010
MSN News
Islamabad,
Sep 2 (PTI) A Pakistani minister wants US President Barack Obama to offer Eid
prayers at Ground Zero in New York and become the "Amir-ul-Momineen"
or Caliph of Muslims.
Minister of State for Industries Ayatullah Durrani, who belongs to the ruling
Pakistan People''s Party, said the upcoming Eid-ul-Fitr festival, expected to
be observed on September 11, would be a "golden opportunity" for
Obama to offer Eid prayers and declare himself the leader of all Muslims.
"In this way, all the problems of the Muslim world would be solved,"
Durrani told The Nation newspaper.
Durrani, a former member of the Pakistan Ideological Council, contended that
the Muslim world is in "dire need" of a Caliph and occupying this
distinguished slot would provide Obama "exemplary titles" like
"Mullah Barack Hussain Obama" or "Allama Obama".
He said: "The time is approaching fast. Barack Hussain Obama must act now.
This is a golden opportunity, Muslims badly need it."
Obama''s elevation to the Islamic Caliphate would be the "key to success,
he claimed but did not offer any explanation for his remarks.
''Ground Zero'' is the former site of the fallen twin towers of the World Trade
Center.
http://www.facebook.com/group.php?gid=154593324551953
Nombre:
11/09 Día internacional del Hijab (grupos locales)
Categoría:
Organizaciones - Organizaciones sin ánimo de lucro
Descripción:
El 11/09
unos repugantes extremistas americanos han convocado els día internacional de
quemar Coranes. En respuesta, todas las chicas nos pondremos hijab (pañuelo en
la cabeza) aunque no seamos musulmanas.
Se puede hacer a título individual (seguro que amigos, familiares y vecinos os
preguntarán el porqué del hijab) o de manera colectiva, que así causamos más
impacto en la calle. En este último caso s etrata de invitar a otr@s amig@s y
quedar en un sitio concreto con alguna parcanta o similar
Foto: UNITED PHOTOS
ÁMSTERDAM, 3 Sep. (Reuters/EP)
-
Un clérigo musulmán de nacionalidad australiana, Feiz Muhamad, ha
pedido la decapitación de un político holandés, Geert Wilders, conocido por su
política contra el islamismo, según informa un diario holandés.
El Partido Libertad de Wilders consiguió los mejores resultados en los comicios celebrados el pasado mes de junio y está negociando en la actualidad para formar un nuevo Gobierno en minoría con los Liberales y los Cristiano Demócratas. Las encuestas muestran que Wilders ganaría las elecciones de nuevo si se celebraran ahora.
Por su parte, Wilders solicitó saber por qué se había enterado de esta amenaza a través del diario y no por las autoridades holandesas, que le custodian después de realizar ciertas declaraciones que indignaron a los musulmanes de todo el mundo.
'De Telegraaf', el mayor diario de Países Bajos, lleva hoy a su primera página una historia sobre el discurso pronunciado por Muhamad, un clérigo nacido en Sidney que consiguió notoriedad por, entre otras cosas, pedir a los jóvenes que se radicalizaran, y por culpar a las víctimas de violaciones de sus ataques.
El diario publica una parte de un fragmento en el que se refiere a Wilders como "este Satán, este demonio, este político en Países Bajos" y explica que cualquiera que hable sobre el Islam como Wilders debería ser ejecutado por la decapitación.
'De Telegraaf' no especifica cuándo se pronunció el discurso, pero indica que el servicio secreto holandés tienen una copia. De acuerdo con su página web, Muhamad se encuentra ahora en Malasia.
Wilders declaró a Reuters que "son noticias realmente terribles" y que se las está tomando en serio. "Pediré una aclaración al ministro holandés del Interior sobre por qué el servicio secreto y la unidad antiterrorista no me han informado antes y las consecuencias que tendrá para mí", señaló en un correo electrónico.
El político holandés está actualmente siendo juzgado en Países Bajos por incitar al odio y a la discriminación contra los musulmanes. El líder del Partido Libertad hizo una película en el año 2008 en la que acusaba al Corán de incitar a la violencia y en la que mezclaba imágenes de atentados terroristas con citas del libro sagrado islámico.
Wilders también está acusado por los comentarios realizados en medios de comunicación, así como por un artículo de opinión en un diario local en el que comparaba el Islam con el fascismo y al Corán con el "Mein Kampf" de Adolf Hitler.
Para algunos aficionados los tiempos muertos en el baloncesto tienen un aliciente: ver las coreografías de las cheerleaders. Sin embargo, no todos piensan igual. Los islamistas turcos e iraníes se han quejado por la indumentaria de las animadoras que están actuando en el Mundial de baloncesto.
gentedigital.es/F.
Quirós
03/9/2010 - 15:05
Las 'Red Foxes', las animadoras que la FIBA ha mandado al Mundobasket de Turquía, estaban siendo una de las sensaciones del torneo otomano por sus coreografías espectaculares, pero han acabado siendo noticia por otro asunto bien distinto.
Al parecer, algunos creyentes islamistas se han quejado de la atrevida vestimenta de las animadoras del CSKA de Moscú. Los primeros en levantar la voz fueron los iraníes que decidieron dar la espalda a las cheerleaders cuando éstas comenzaban su actuación, molestos por sus faldas tan cortas.
Para intentar no herir los sentimientos de nadie, la FIBA ha tomado una decisión: cambiar la indumentaria de estas animadoras. El Islam dice que la mujer no debe exhibir su piel en público, por ello las 'Red Foxes' portarán a partir de ahora pantalones largos negros y camisetas grandes. La decisión no ha dejado indiferente a nadie.
VIENA,o3/09/2010,(Reuters).
Las autoridades
austríacas han prohibido un videojuego online de ultraderecha en el que los
jugadores eliminan mezquitas y musulmanes, dijo el viernes el partido político
responsable del programa.
Con el juego "Adiós, adiós mezquita", que ha tenido más de 200.000
visitantes desde que fuera publicado el lunes, ha acaparado fuertes críticas
por parte de los socialdemócratas y los verdes en Austria, además de las
comunidades islámica y católica.
Creado por una división provincial del Partido de la Libertad de ultraderecha
antes de unas elecciones en Styria este mes, el juego alentaba a los jugadores
a sumar puntos poniéndose como objetivo atacar mezquitas y minaretes que
emergen en el campo y pinchando en una señal de "Stop".
También tiene la oportunidad de eliminar a un muecín que llama a los musulmanes
a la oración.
"Debido a presiones políticas de nuestros oponentes este juego ha sido
prohibido por las autoridades judiciales austriacas", dijo un comunicado
del partido en su web.
La oficina de la fiscalía local, que no estuvo disponible inmediatamente para
hacer comentarios, dijo previamente esta semana que estaba investigando al
Partido de la Libertad por incitación. La formación dijo que quería comenzar un
debate sobre la construcción de mezquitas.
La disputa austríaca es un síntoma de una tendencia más amplia en EEUU y Europa
donde el islam se está convirtiendo cada vez en un asunto político más
destacado.
El partido antimusulmán de Geert Wilder duplicó sus escaños en el Parlamento
holandés en junio y los votantes suizos respaldaron una iniciativa para
prohibir la construcción de minaretes en un referéndum en noviembre.
Islam España es el
portal del islam en lengua española , un proyecto de futuro para la
convivencia,la cooperación y el diálogo.
Jaume Flaquer.
Blog Cristianisme i Justícia
Empieza a ser ya tradicional que el Consell Islàmic de Catalunya invite a autoridades políticas y religiosas a celebrar la ruptura del ayuno del Ramadán. A ella también somos invitados los principales agentes interreligiosos de la ciudad : Centro Unesco, Migra-Studium, Bayt al-Thaqafa… Entre las autoridades políticas destacaba la Directora General de Asuntos Religiosos de la Generalitat, que tradicionalmente asiste cada año. PSC, CiU i ERC estaban también representados por miembros de estos partidos que trabajan los temas religiosos. Incluso el Consulado Americano estaba invitado a la cita.
Pero este año, destacaba la presencia del Sr. Cardenal de Barcelona, Martínez Sistach. Sin duda, su presencia hay que deberla al trabajo de Antoni Matabosch en el seno del Grup de Treball Estable de Religions (GTER), una entidad interreligiosa que reúne a representantes oficiales del catolicismo, protestantismo, ortodoxia, islam y judaísmo de Catalunya. Una entidad que convoque a religiones y no sólo a creyentes pertenecientes a confesiones religiosas es algo único en España. Las limitaciones de todo lo “oficial” para dar pasos hacia adelante son conocidas pero eso no quita que cuando los dirigentes religiosos guardan las formas entre ellos las bases extremistas queden calmadas.
El acto comenzó con la llamada a la oración (adhân) que anunciaba la puesta de sol (al-maghreb) y que señalaba que ya se podía romper el ayuno. Prosiguió la cena con productos típicos de Marruecos: harîra, dátiles, dulces árabes, batidos de frutas, etc.
Se concluyó el acto con varias intervenciones. El discurso de Muhammad Halhoul, portavoz del Consell Islàmic, y el del propio presidente, fue de tono más espiritual que reivindicativo. Después de un año con temas como el del burka y el de la mezquita de Lleida podría haberse esperado otra cosa. Sin embargo es de agradecer que M. Halhoul recordase que el ayuno del Ramadán acerca a los más necesitados de la sociedad. A esto se sumó fácilmente el Sr. Cardenal, quien pudo concluir el acto. Arrancó de esta bella idea, valoró el trabajo del GTER en Barcelona y en Marsella, e invitó a participar en el Encuentro Internacional por la Paz que la Comunidad de Sant’Egidio organizará en Barcelona el 3, 4 y 5 de Octubre. El Cardenal quiso explícitamente situarse en la línea de los encuentros de Asís de Juan Pablo II.
El ambiente fue muy bueno. La importancia de estos actos, a parte de su valor simbólico, no se percibe hasta que hay algún problema serio de convivencia o algún tipo de conflicto. En esos momentos se reconoce que la chispa de la intolerancia no prende porque se ha limpiado el terreno. Y yo puedo asegurar que este año se ha evitado más de una manifestación enardecida gracias a estos encuentros.
Ahir el Consell Islàmic Cultural de Catalunya convidà a
diversos representants polítics, institucionals i religiosos a celebrar
l’Id al-fitr, el trencament del dejuni diari durant el mes de Ramadà. Com
és habitual, els catalans musulmans han volgut evidenciar i compartir amb la
societat catalana la seva vivència d’aquest precepte de l’Islam.
Aquest any, la notícia fou la presència de l’arquebisbe de Barcelona, el
cardenal Lluís Martínez Sistach, i la seva intervenció en la cloenda de
l’acte.
Els representants del Consell Islàmic Cultural de Catalunya explicaren el sentit
religiós que té el Ramadà pels musulmans. Aquesta presentació ajudà a entendre,
més enllà dels aspectes anecdòtics, el valor religiós que té aquesta celebració
pels musulmans. A l’inici del Ramadà, a mitjans d’agost, la majoria
de medis de comunicació destacaren els els aspectes més externs d’aquesta
pràctica i obviaren la seva significació religiosa. Semblava que
l’aspecte rellevant del Ramadà era el dejuni i l’abstinència de les
pràctiques sexuals. La iniciativa del Consell Islàmic Cultural de Catalunya es
encertada perquè facilita que la societat catalana conegui més a fons el valor
d’experiència espiritual que té el Ramadà pels musulmans.
El Ramadà és el novè mes del calendari musulmà. La celebració religiosa
associada aquest més és un dels cinc pilars de l'Islam. Durant tota la seva
durada, els musulmans (excepte els malalts, les dones embarassades o que
alleten, els nens petits, els vells o qualsevol altra persona a qui aquest
dejuni estricte podria perjudicar la salut, i aquells que estiguin de viatge,
tot i que aquests hauran de fer-lo en un altre moment) no ingereixen o
introdueixen res al seu cos des de l'alba fins al crepuscle. També
s’abstenen de fumar i de mantenir relacions sexuals durant les hores
diürnes. Cada vespre, la ruptura del dejuni diari acostuma a tenir caràcter
festiu, sent motiu de reunions familiars, de lectures compartides de l'Alcorà.
El Ramadà és un temps privilegiat en el qual les persones preguen i
aprofundeixen la lectura de l’Alcorà. Es tracta de dedicar aquest temps
per apropar-se al misteri de Alà. Els musulmans assumeixen el dejú i les altres
privacions com un camí per situar-se en el lloc de les persones que pateixen i
sofreixen. Aquesta solidaritat, és en primera lloc una experiència interior i,
després, una pràctica activa a través de l’amoïna amb els més
necessitats. La fi del dejuni diari (Id al-fitr) és el moment de retrobament
familiar que, a més de renovar el compromís amb Alà a través d’una
pregaria, serveix per aportar calidesa humana a aquest moment i enfortir el
sentit de comunitat. La pràctica religiosa associada a la celebració del Ramadà
acosta els musulmans a les experiències religioses d’altres religioses.
Totes elles evidencien com les persones descobreixen en el seu interior la
necessitat d’un transcendent que els apropa la realitat humana i situa
l’amor compassiu, expressat com a caritat, en el centre de
l’experiència vital.
AGENDA
TV: Canal 33. Diumenge 5 setembre. 15:40-16:00
Tot un Món, d’aquí d’allà. Marroc. Històries d’immigrants marroquís a Catalunya
COMUNIDADES
Els Camps Elisis de Lleida acolliran el final del Ramadà
Confirmada la concentración de PxC delante de la nueva mezquita de Badalona
Noches de Ramadán en Lorca. [Breve comentario]
INTERNACIONAL
Quelques centaines de participants à un "apéritif républicain" anti-islam à Paris
Expertos en productos Halal se reunirán en la I Conferencia Europea Halal en Düsseldorf
OPINION
COLONIALISMO, CAPITALISMO Y EL ISLAM. Abdulhasib Castiñeira en blog: Identidadandaluza. [Interpretación de la historia de Occidente y de EEUU desde el islam de izquierdas anticapitalista y antiamericano. Ejemplo de un discurso modelo de una cierta tipología de conversos españoles: Expansión del materialismo colonialista occidental frente a la expansión espiritual originaria del islam]
Prop de 2.000 de fidels van resar ahir als Camps Elisis.
L'oració final del Ramadà, el més multitudinari de l'any per als musulmans de Lleida, se celebrarà finalment al recinte dels Camps Elisis el dia 9 o 10 de setembre. Concretament, la comunitat del carrer del Nord, que és, de llarg, la més nombrosa, resarà al cobert on ho han fet durant tot l'estiu, el Pavelló Blau, segons va confirmar ahir la Paeria.
L'imam Abdelwahab Houzi es va mostrar satisfet amb la decisió, perquè els fidels ja coneixen el lloc i no hauran de canviar d'ubicació.
Per la seua part, la comunitat del carrer Clavell podrà resar al pavelló Antorxa, també ubicat als Camps Elisis, ja que les obres de rehabilitació de l'edifici llavors ja s'hauran acabat.
Sábado, septiembre 4th, 2010 | Publicado por Javier Marcos
fuente: La Red Gualda
Plataforma per Catalunya de Badalona (PxC) continuará con su intención de convocar una concentración delante de la nueva mezquita ubicada en el antiguo cuartel de Bomberos de la avenida Marquès de Montroig (nº 188-190) el día 18 de septiembre a las 18.00 horas, en la que intervendrá el Presidente del Partido Josep Anglada, porque no nos fiamos de que los musulmanes estén solo 10 días más en sus instalaciones.
Plataforma per Catalunya (PxC) de Badalona cree que aunque el colectivo musulmán se marche dentro de 10 días de la antiguo cuartel de Bomberos, está previsto según nos han manifestado algunos vecinos, que a finales de septiembre los más de 500 musulmanes que ocupan ilegalmente la Plaza Camarón de la Isla para rezar, serán trasladados y reubicados en el antiguo cuartel de Bomberos para pasar todo el invierno en estas instalaciones y que esta nueva ubicación se mantendrá durante unos años hasta que se derribe la antigua instalación.
Por otro lado consideramos que el señor Xavier Garcia Albiol es un mentiroso y un sinvergüenza ya que estamos convencidos de que sabía perfectamente que el cuartel de bomberos sería utilizado durante el verano para la práctica del Ramadán por parte de los musulmanes, aunque ha manifestado que no sabía nada. Tampoco entendemos como siempre culpa de todo al Partit Socialista cuando fue su formación, durante la época de Aznar, la responsable de la invasión mora que sufrió Badalona.
El señor Xavier Garcia Albiol sabe que debido a la presencia de Plataforma per Catalunya en la ciudad, él nunca podrá ser el Alcalde, ya que nuestra formación le puede llegar a arrebatar más de la mitad de sus votos. El señor Garcia Albiol ha de saber que nosotros nunca pactaremos con oportunistas ni demagogos que solo se preocupan por su carrera política a costa de engañar al pueblo.
Delegación de PxC Badalona
Hambre en Niger
Envía tu donación y Zakat al numero de cuenta de Unicaja: 2103 0803 14 0030000890.
Para transferencias internacionales: IBAN: ES89 2103 0803 1400 3000
0890 SFWIT: UCJAES2M
Ayúdanos también enviando esta petición de urgencia a tus contactos y publicándolo en tu muro de facebook y twiteer
Webislam y Junta Islámica te garantizan que el dinero recaudado se usará íntegramente para comprar alimentos y se enviara directo a Niger.
Junta Islámica se hará cargo de los gastos de gestión relacionados con esta ayuda para que tu aportación llegue íntegramente a los más necesitados, gracias a queMansur Escudero, presidente de Junta Islámica es a su vez portavoz internacional del gobierno de Níger para la ayuda humanitaria, y su relación directa con ONGs locales y personas de absoluta confianza nos permiten garantizar que cada Euro aportado como donación llegará en forma de alimentos a sus destinatarios finales.
El pueblo de Níger
te lo agradece.
Y Allah te dará la mejor recompensa.
Mas información
sobre la catástrofe alimencia en Niger:
BBC:
Niños en Níger se mueren de hambre
Webislam: Níger se
muere de hambre
Paulino Ros y Teresa Martín
Islam en Murcia, 04.09.10
El pasado 25 de agosto fuimos recibidos en Lorca por un matrimonio de musulmanes que nos abrió las
puertas de su casa para compartir la ruptura del ayuno y darnos a conocer como
es el día a día de una familia durante el Ramadán.
Despues de degustar exquisitos manjares típicos en la mesa de cualquier familia
musulmana en el mes sagrado, les acompañamos a la carpa que hay situada en el
solar donde está prevista la construcción de una mezquita, a las faldas del
Castillo de Lorca, bajo el puente de la A-7. Cada noche de Ramadán, cientos de fieles se
trasladan caminando o en coche desde la ciudad hasta esa carpa, donde durante
unas dos horas aproximadamente rezan y escuchan al sheij, Muhammad Taha (al que vemos en las imágenes), llegado desde Egipto
para hacer la función de Imam durante el mes de Ramadán de manera voluntaria.
Familias enteras acuden cada noche a cumplir con sus obligaciones religiosas,
en un ambiente de armonía y paz. Ojalá pronto fructifiquen las gestiones y
podamos ver esa misma escena pero en un Centro Cultural Islámico en Lorca, con su correspondiente mezquita.
En el Facebook de Islam en Murcia podrán ver más fotografías de nuestra noche de Ramadán
en Lorca.
Publicado por El Islam en la Región de Murcia
04/09/2010 21:12 |
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PARIS, 4 sept 2010 (AFP) - Environ 300 personnes ont participé samedi soir à un "apéritif républicain" à Paris, place de la Bourse, pour marquer leur attachement aux valeurs républicaines et affirmer leur résistance au "péril islamiste" en France, a constaté un journaliste de l'AFP. "On aime la France, on aime le drapeau, on aime les valeurs de la République. Nous sommes dans un pays laïque, on a le droit de croire ou pas croire", a déclaré Pierre Cassen, fondateur de +Riposte laïque+ devant les militants des 26 associations et organisations, qui ont appelé à ce rassemblement. Arrivés avec chips, saucissons et bouteilles de vin, certains avec le drapeau tricolore, les manifestants ont brandi des affiches proclamant "Ni voile, ni burqa, Défendons la République" ou "Pas de talibans en France". Pour les organisateurs, la manifestation marque le 140eme anniversaire de la IIIe République qui a instauré la loi sur la laïcité. "Nous sommes excédés par cette religion qui permet aux hommes de frapper les femmes, qui prône la violence comme mode de fonctionnement", s'est insurgé Maximus qui n'a pas décliné son patronyme, brandissant fièrement le drapeau national et une bouteille de vin. Pour le fondateur de +Riposte laïque+, cet "apéro fraternel et humaniste", est une occasion de "condamner la campagne du halal, communautariste et ségrégationniste". Quant à Christine Tasin, présidente de +Résistance républicaine+, elle a fustigé ce qu'elle a qualifié de "discrimination positive", qui écarte selon elle les Français de souche au profit des gens issus de l'immigration. "Il n'y a pas de raison pour que la République favorise les uns au détriment des autres", s'est-elle insurgée, dénonçant "les lois de la charia" et les menaces qui ont plané sur la manifestation dernièrement. En province, des appels à l'organisation d'apéros similaires avaient été lancés. A Bordeaux, une cinquantaine de personnes se sont rassemblées en fin d'après-midi dans le calme dans le centre-ville. A Strasbourg, l'apéro "de défense de la République laïque" a tourné court: seule une petite dizaine de militants avait fait le déplacement, face à des policiers et journalistes plus nombreux qu'eux. Les participants, dont certains s'étaient maquillés un drapeau français sur les joues, ont renoncé à sortir leurs victuailles sur la pelouse qui fait face au Conseil de l'Europe. A Toulouse, "l'apéritif républicain" a été écourté par la présence d'une centaine de contre-manifestants qui, aux cris de "fachos dehors", ont conduit la police à évacuer les participants, a-t-on constaté. |
Conferencia Halal en Düsseldorf
La I Conferencia Europea Halal se organizará el 14 de septiembre en el Centro de Exposiciones de Düsseldorf en Alemania. Será con ocasión de la próxima muestra de alimentos de InterMopro, InterCool e InterMeat que tendrá lugar en la misma ciudad, entre los día 13 y 15 de septiembre de 2010.
La conferencia está organizada por el Centro de Exposiciones de Düsseldorf, DTFood y Quibla Food Control.
Destacados representantes, árbitros y portavoces de los más importantes centros de certificación en Europa estarán presentes. Famosas instituciones y certificadores, así como importantes representates como Khaled Hanafi (IIS Frankfurt), Adel Elrezgui (Centro Islámico Munich), Talat Kamran (Instituto para la Integración y el Diálogo Interreligioso en Mannheim), Ali Saad Jafar (Mezquita de Al Hadi en Kiel) o el Dr. Djavad Mohagheghi (Centro Islámico de Hamburgo) se encuentran entre la lista de invitados. Por su parte, el Instituto Halal de España, también contará con un representante en el desarrollo del encuentro.
El haber ganado el premio DITIB – representado por el Instituto de investigación de la religión y la sociedad (FOREGE) en Colonia – para el estudio y clarificación de los aspectos religiosos relacionados con la alimentación halal, es un logro especial para los organizadores.
La conferencia será organizada en cinco grupos de trabajo y se completará con la firma de la declaración de intenciones. Con esta declaración de los expertos que participan se comprometen a reunirse con regularidad hasta 2015 para encontrar una solución a las cuestiones tratadas. El objetivo es discutir sobre la creación un proceso de certificación uniforme para la División Europea de Alimentación. Como punto de partida para la discusión se tomará el Qibla Food Standard, una de las numerosas normativas que actualmente discurren por el entramado europeo de la certificación halal. En la elaboración de una norma de certificación unificada, los expertos coinciden en expresar que las normativas ”halal” tanto alemanas como las europeas son compatibles , así como por sus homólogas internacionales. Estas se irán integrando poco a poco en el proceso que se quiere poner en marcha desde esta institución. Un proceso que en sí, no es nuevo.
Precisamente, hacia esta misma fecha el año pasado, tenía lugar en Holanda el World Halal Forum Europe, impulsado por Kashedia y por IHI Alliance con el objetivo similar de analizar las bases y el trasfondo del mercado halal en Europa y las claves para la estandarización de una norma halal europea. A este evento, además, hay que sumar la constitución de la AHC Europe (European Association of Halal Certifier Bodies) en Bruselas en el mes de marzo de este mismo año, cuyo objetivo era establecer una organización paraguas de organismos de certificación halal en europa para preservar la integridad de los procesos y procedimientos de control y auditoría halal, y velar por el cumplimiento estricto de los valores islámicos en el desarrollo del mercado musulmán europeo.
Abdulhasib
Castiñeira
http://identidadandaluza.wordpress.com
La fundación de los Estados Unidos tiene sus orígenes en la codicia y la huida del antiguo régimen. Los Estados Unidos, Canadá y Australia fueron las tierras de expansión de una Europa sofocada y asfixiada por la irracionalidad y la tiranía del Cristianismo Romano. En su ansia de independencia y liberación, la sociedad cristiana europea reaccionó primero, en el siglo XVI, con la Reforma Protestante, que en el curso de dos siglos sirvió de antesala al Racionalismo del siglo XVII (Descartes) y a la Ilustración del siglo XVIII (Montesquieu, Voltaire, Russeau). Ambas desembocaron en la Revolución Industrial.En el siglo XVIII, conocido como el Siglo de las Luces, esta huída de las mazmorras de una doctrina opresora, causante de una sociedad injusta y oscura, lleva a los europeos a una “iluminación” racionalista. La Ilustración, en su reacción, se rebela no solo contra la religión, sus dogmas y su jerarquía, sino contra Dios mismo, que había sido el fundamento primero de la creencia y la razón de ser del hombre y de la historia. Así nace el laicismo que ahora domina Europa.Esta misma fuerza que se manifiesta en el campo de las ideas, se manifiesta también en el ansia de conquistar los espacios naturales y territorios del planeta, en la llamada Época de los Descubrimientos. Esta comenzó con las conquistas españolas y portuguesas al final del siglo XV, que inauguraron la era de los Imperios Europeos, y no concluye hasta la extinción del Imperio Británico, bien entrado el siglo XX.
Los primeros emigrantes a la costa oriental de Norte América en el siglo XVII -y después a Canadá, el Caribe, India, Nueva Zelanda y Australia- ya portan consigo el germen de la revolución, un modo de racionalizar la explotación de la naturaleza para crear un mundo mejor sin Dios. Primero las ideas de la Revolución Francesa (1789-1799) y de la Ilustración, mas tarde las teorías de Charles Darwin (1809-1882) y de los economistas, que nacen en Europa, se expanden en los nuevos territorios de colonización y constituyen el fundamento ideológico de todo el colonialismo. La presencia de comunidades religiosas tradicionales procedentes de Europa, como judíos, protestantes y católicos y la de aventureros, ex presidiarios y buscadores de fortuna, junto con idealistas de un mundo nuevo, libre de las cadenas con las que durante siglos la Iglesia y la doctrina cristiana habían subyugado al viejo continente, constituyen los elementos componentes de las nuevas colonias.
La intención y el motor del colonialismo europeo fueron las ambiciones mundanas, del mismo modo que el motor de las grandes conquistas españolas y portuguesas en los siglos XV y XVI, en América, África y Asia, había sido la codicia material y el ansia de señorío y de imperio, seguidas de cerca por las conquistas holandesa y británica [1] con el mismo carácter. El ímpetu decisivo es el ansia de poseer, de dominar, de explotar la riqueza y de imponer por la fuerza y la violencia una civilización, que se arrogan como superior, a unos pueblos considerados siempre sin excepción como primitivos, sumidos en la ignorancia, la superstición y el oscurantismo. De este esfuerzo de sometimiento de los “pueblos atrasados” nace la Antropología, para estudiarlos como se estudia a los animales. El genocidio de los indios en América [2], la esclavitud de los africanos [3], y el exterminio de los aborígenes de Australia [3] son consecuencias trágicas de esa actitud.
Pero lo significativo, que explica el nacimiento del Capitalismo y su desarrollo cancerígeno, corruptor y depredador, creador de inmensas desigualdades, destructor del medio ambiente, es que en la intención de las conquistas del Nuevo Mundo, especialmente las del siglo XVII y XVIII está ya el germen materialista, la visión de conquista y la ambición de dominio de la naturaleza desarrollado por el racionalismo ilustrado… La presencia de comunidades cristianas tradicionales no altera sustancialmente este rasgo dominante sino que, al final, esas comunidades fueron puestas al servicio de un proyecto mundano que carece de guía. El deísmo cristiano es una fuerza mas que se suma al proyecto de dominio racional de la naturaleza para crear un mundo mejor sin Dios.
¿Cómo se explica sino que ahora, entrados en el siglo XXI, los Estados Unidos, defensor tradicionalmente de las libertades cívicas y de la doctrina humanista [5] esté creando nuevos campos de concentración y de tortura y esté practicando formas de persecución, control de los movimientos, encarcelamiento, detención sin pruebas, interrogatorios con medios sofisticados de tortura física y psicológica?
La explicación es clara. En su crecimiento triunfalista y en su expansión que pretende ser ilimitada -lo cual es contra natura- de un entramado económico, y en su ansia de dominio y de mayores ganancias materiales, los Estados Unidos -y el mundo que le es fiel en esa misma visión materialista de la existencia- se han encontrado con un obstáculo insalvable. Tanto Europa Occidental, la matriz de la que proceden los pobladores de otros territorios de expansión, Norteamérica, Australia…etc., y también los antiguos rivales que tenían otra versión, mas tosca, de un proyecto de dominio racional de la naturaleza para crear un mundo mejor sin Dios: los estados “ex -comunistas”, se han encontrado con un único y muy incómodo escollo: los creyentes que siguen la revelación. Se han encontrado con el Islam.
En su momento, también el Islam se había extendido de un modo extraordinariamente vertiginoso y rápido por la tierra. Sin embargo la expansión del Islam no estaba impulsada por la codicia material sino por una fuerza espiritual, con la intención de agradar y obedecer a Dios, de establecer la justicia en la tierra, de establecer la adoración a Allah y de que Su ley y Su Din fueran triunfantes. Allí donde los musulmanes llegaban, los corazones de hombres y mujeres se iluminaban. Las sociedades también, con un gobierno justo, magnánimo y compasivo –en las que la Shariah ordenaba la realidad social y económica, y donde las ciencias de la conducta, la creencia y el conocimiento de Dios, ordenaban la realidad interior de los individuos. Las comunidades de los creyentes del Libro han sido siempre respetadas. Las naciones y pueblos de fitra, o en un estado natural, a los que les llegó el Islam no fueron nunca exterminados ni asimilados, fueron elevados a una vida mejor y transformados por su contacto con la sabiduría profética del Islam en pueblos nobles, orgullosos de su propia herencia. Eso explica la inmensa diversidad de pueblos, razas y culturas del mundo musulmán en África, Asia y Europa. Mongoles, chinos, turcos, persas, albaneses, bosnios, indios, malayos y africanos, son todas naciones que han preservado sus identidades, sus lenguas y sus tradiciones y las han desarrollado y refinado de una manera propia durante siglos, después de adoptar el Islam.
Una cuarta parte de la población mundial, al menos, no esta dispuesta a aceptar ciegamente el paradigma capitalista, y este es el asunto. El conflicto actual que se manifiesta en Guantánamo, en Abu Ghraib, en los campos de detención y tortura secretos de la CIA y en la feroz propaganda contra el Islam en los medios de comunicación capitalistas, es el conflicto primario, antiguo, recurrente, entre los que creen en la revelación, en Dios, en los Profetas y en otra vida y los que creen en su propio poder y en un sistema para reformar, para mejorar el mundo salvaje, dominar y explotar la naturaleza. Como Faraón de Egipto, los emperadores Aztecas, Nemrod de Babilonia, como los Quraish de Arabia y ahora los titanes del capitalismo. De ellos habla el Corán:
Cuando se les dice: “no corrompáis las cosas en la tierra” responden: “Si nosotros sólo las hacemos mejores”. ¿Acaso no son ellos los corruptores, aunque no se den cuenta?”
(Coran, Surat de la Vaca, aleyas 10-11)
Relató Umar Ibn al Jattab, el segundo Califa, que Allah esté complacido con él, que había escuchado al Mensajero de Allah, que Allah le bendiga y le de paz, decir:
“Innama al ‘amaalu bin-niyat”, “Verdaderamente que el resultado de las acciones es de acuerdo a las intenciones”.
Esta sabiduría profética no hace sino poner de manifiesto una realidad que se constata tanto en la dimensión personal como en la colectiva. El germen que determina el desarrollo de una acción se contiene en la intención con la que se emprendió. No se pueden esperar frutos, resultados y consecuencias distintas de los que estaban en el germen inicial. De aquellas aguas vienes estos lodos. El laicismo y los derechos del hombre son rebeldía contra una doctrina opresiva y antinatural del cristianismo. Son reacción, y en un sentido son una reacción saludable, son una negación que reclama una afirmación, pero no son la solución final sino solo un paso. La creación de los Estados Unidos de América, el american way of life y el actual superpoder único capitalista, son el resultado del germen de la conquista: crear un mundo mejor sin Dios, sin obediencia a los mandatos y límites revelados, sirviéndose de la racionalidad y del humanismo: sucedáneos sustitutivos de la creencia (Iman) y del modelo profético de perfección humana.
El crecimiento cancerígeno, exponencial, especulativo del capitalismo corporativo es el resultado lógico del germen inicial de ambición y de la codicia de los colonizadores europeos, que empezaron por desembarazarse de las restricciones impuestas a las transacciones comerciales por todos los profetas y mensajes revelados, legalizando la usura. Una aventura que perdió desde su inicio mismo la justa medida, la que permite un desarrollo armonioso y contenido, dentro de los límites de la amana concedida al hombre por su Creador.
El elemento diferenciador, el punto de separación, entre los musulmanes y los nuevos faraones no será político ni ideológico, sino espiritual. Por eso los fundamentalistas y yihadistas tienen asegurado el fracaso, porque el elemento de superioridad es la intención y la fidelidad a lo pactado. Este elemento no es reactivo, ni tiene odio en su médula, sino obediencia, confianza, seguridad y certeza.
La confrontación es real. La contienda es innegable y es cruenta, pero el factor decisivo no son los discursos vehementes, ni tampoco -mucho menos- los actos desesperados de impotencia y de terror. El factor decisivo es, como ha sido siempre en este mismo enfrentamiento, la luz de la taqwa de Allah, la consciencia de Dios. El factor de éxito será en esta época, como lo ha sido en el pasado, la ayuda divina a los siervos sinceros de Allah, que se han transformado a sí mismos por las ciencias y los conocimientos correctos de la Revelación y por actos cuya superioridad esta determinada por el valor, la generosidad y la sinceridad de los que anhelan la faz de Allah y Su satisfacción.
[1] La Compañía de las Indias Holandesas se funda en el 1602 y sigue activa hasta el 1942. Inglaterra inicia la colonización de América en el siglo XVI. En 1707 a los dominios ingleses se unen los escoceses (Canadá, Jamaica, Nueva Zelanda y Australia). Las primeras colonias en la India datan del comienzo del siglo XVII y a partir del declive Mogul, en 1757, su dominio del Subcontinente Indio es completo.
[2] Según Ward Churchill, profesor de estudios étnicos de la Universidad de Colorado la población autóctona de Norteamérica que se estimaba en unos 12 millones en el año 1500, pasó a ser de unos 237.000 en el año 1900, uno de los mas feroces genocidios de la historia humana.
[3] Se calcula que desde 1619 hasta 1865 medio millón de africanos fueron vendidos como esclavos en la colonias de América y en el censo de 1860 había en los Estados Unidos cuatro millones de esclavos descendientes de estos.
[4] Un estudio interesante sobre el genocidio de los aborígenes de Australia www.istor.cide.edu/archivos/num_23/dossier1.pdf
[5] El humanismo es la doctrina sustitutiva de la que se ha dotado el capitalismo para remplazar a la guía de la Revelación.
AGENDA
Madrid y Alicante : Actividades de Casa Arabe de la semana.
http://antigua.casaarabe-ieam.es/boletin_novedades.php?id=137
COMUNIDADES
Los musulmanes ponen fin al Ramadán este jueves o viernes dependiendo de la visión de la luna nueva
Ceuta: No habrá unidad al final del Ramadán. “Las presiones del jefe religioso de Rincón y del servicio de inteligencia marroquí han servido para que, otro año más, no haya unidad en el rezo. División entre los fieles de la mezquita de Sidi Embarek y ánimos caldeados tras conocerse, al término del rezo del pasado viernes y según lo dicho por el propio imam, que no habrá un único rezo colectivo con motivo del final del Ramadán”. [Según el Faro Digital]
INTERNACIONAL
14 siglos de la revelación del sagrado Corán. El mundo islámico conmemora mañana (lunes) el 14º siglo desde la revelación del Sagrado Corán.
MADRID,
05/09/2010, (EUROPA PRESS)
Los pobres se vuelven ricos por un día en la fiesta "Eid Al Fitr", al día siguiente del fin del mes del ayuno.
Los musulmanes en España pondrán fin al mes de Ramadán el jueves o el viernes
de la próxima semana en función de la luna nueva y de la visión que ésta tenga
y lo harán con la celebración al día siguiente de "Eid Al Fitr", una
fiesta familiar en la que los pobres se vuelven ricos por un día.
En este sentido, el presidente de la Unión de Comunidades Islámicas de España,
Riay Tatary, y el presidente de la Federación Española
de Entidades Religiosas Islámicas, Mohamed Hamed, han explicado a Europa Press
que durante el mes de Ramadán cada musulmán debe donar a una persona pobre el
equivalente a unos dos kilos y cuarto de harina.
Esta cantidad puede darse en forma de harina o arroz, entre otros alimentos, o
bien en metálico. "La harina se utilizaba antes en el campo para hacer pan, pero
la gente compra ahora el pan en vez de hacerlo, y por ello, los eruditos
musulmanes han flexibilizado el tema y se puede dar dinero", ha señalado
Hamed.
De esta forma, todo lo recaudado en los 30 días de ayuno, se entrega dos días
antes del fin del Ramadán a las familias pobres, para que el primer día del mes
décimo del calendario, todos lo musulmanes puedan celebrarlo por igual.
"Estamos recaudando la "purificación del ayuno"; (el Ramadán) no
es nada más hacer las oraciones sino también ayudar a limar las diferencias y
por lo menos que el día de la fiesta todos la puedan celebrar de la misma
manera, sin ninguna limitación. Por eso, se ha legislado esto en el Islam para
ayudar a las familias con menos suerte, económicamente hablando", ha
destacado Tatary.
ORACIÓN, ROPA NUEVA Y REGALOS
Además, en la celebración de fin de Ramadán, conocida como "fiesta
pequeña", es tradición que los musulmanes se reúnan en una mezquita para
hacer una oración colectiva sobre las 9.00 horas. A continuación, los fieles se
retiran a sus casas para pasar el día con familia y amigos.
Igualmente, es un día especial para los niños, que se visten con "las
mejores ropas" y reciben obsequios. "En nuestra mezquita (la de
Tetuán, en Madrid) tenemos una recepción para los mayores y una fiesta para los
niños, que ese día visten ropa nueva y reciben regalos", ha puntualizado
Tatary.
En cuanto al presente y casi concluido mes de Ramadán, ambos presidentes han
coincidido en que ha transcurrido "perfectamente" y ha resultado
"muy tranquilo y apaciguador". En concreto, Hamed ha subrayado la
dificultad añadida al ayuno del calor.
"SÍ" A LA
MEZQUITA EN LA ZONA CERO (NY)
Por su parte, Tatary ha insistido en que "no ha habido nada que no sea de
fabricación electoralista", y, en esta línea, se ha referido a EEUU donde,
a su juicio, se ha hecho "ruido" por la idea de construir una
mezquita en la zona cero (Nueva York). "Creo que sí se debería construir
una mezquita en la zona cero. La mezquita siempre es para dar la idea correcta
de todo lo que es el Islam. Si un grupo de origen cristiano hace lo mismo e
intentamos evitar construir iglesias, estamos apañados", ha apuntado.
Finalmente, Hamed ha recordado que el espíritu del Ramadán es, además de adorar
a Dios, "que todas las personas sientan ese hambre que pasa el pobre"
y ayudar al necesitado, aunque, según ha indicado eso es algo que el musulmán
debe hacer durante todo el año y que se acentúa más en Ramadán.
Domingo, 05 de Septiembre de 2010 , Carmen Echarri
El Faro digital de Ceuta
La
comunidad musulmana celebrará el Musal-la bajo la división. Las
presiones del jefe religioso de Rincón y del servicio de inteligencia marroquí
han servido para que, otro año más, no haya unidad en el rezo. División entre
los fieles de la mezquita de Sidi Embarek y ánimos caldeados tras conocerse, al
término del rezo del pasado viernes y según lo dicho por el propio imam, que no
habrá un único rezo colectivo con motivo del final del Ramadán, tal y como ayer
avanzó este medio. Al margen del que se desarrolle en la explanada de Loma
Margarita, se ha decidido que haya otro en el terreno anexo a la mezquita,
siguiendo la misma tónica de los años anteriores. Las reacciones no se han
hecho esperar, más aún cuando incluso Luna Blanca se había mostrado partidaria del
rezo único aunque sin eludir la hipocresía del acto.
En los últimos días las presiones han sido constantes y la mezquita de Sidi
Embarek, convertida en un hervidero y en un foco de intereses, ha recibido
visitas de todos los colores. A la clase política local le interesa un rezo
único al igual que defienden muchas asociaciones, pero no es lo que defiende
Marruecos que, a través de sus brazos en Ceuta, busca ejercer ese control y
mostrar así la debilidad que no unión de la población musulmana.
Los hilos los mueve el jefe religioso de Rincón y la FEERI a través de la
comunidad islámica y los intereses del servicio de inteligencia marroquí. Rabat
es ajena a la convulsión registrada en Ceuta y al protagonismo cogido en torno
a una mezquita que no es más que el símbolo de la división habida entre
comunidades. Una división que volverá a hacerse palpable el próximo viernes,
día en el que presumiblemente, se celebrará el rezo colectivo del final del mes
sagrado.
La UCIDCE ya ha dicho públicamente que las mezquitas deben estar abiertas para
que quien no quiera participar del rezo de Loma Margarita pueda hacerlo en el
templo. Esa libertad debería extenderse a todas las mezquitas de Ceuta pero ya
se teme por la posibilidad de que comiencen las amenazas a imames para que no
las abran y porque dicha orden se aplique a la mezquita de Sidi Embarek. Ya hay
fieles que advierten de que si así se ordena no lo permitirán y otros que
evitan posicionarse optando por evitar la polémica en un final del mes sagrado
que la lleva arrastrando desde años.
“Esta división es mala para Ceuta”, advertían ayer a este medio. Y
es mala porque refleja un intento por controlar a los fieles, por imponer las
directrices de Marruecos a través de las entidades cercanas a los sentimientos
promarroquíes.
Unos sentimientos que defienden asociaciones que practican un juego sucio,
recibiendo subvenciones municipales mientras obedecen órdenes nacidas del
mandub de Rincón. Un juego sucio que cada año cobra más peso y que algunos
fieles lamentan pero, consideran, es así “por culpa de los políticos, por
culpa de haberse politizado todo, eso es lo que más daño está haciendo a los
musulmanes”, espetan.
Sea o no así el mensaje del imam vuelve a sembrar la división entre sectores
concentrando toda la presión en torno a una mezquita cuyo control es clave en
toda esta historia.
El mundo islámico conmemora mañana el 14º siglo desde la revelación del Sagrado Corán al profeta Muhammad (PyB). Las ceremonias de celebración serán organizadas a partir del domingo, en la ciudad turca de Estambul, con la participación del director general de la Organización islámica de Educación, Cultura y Ciencias, Abdelaziz Bin Uzman Al Tuwaiyiri.
La celebración se realizará bajo los auspicios del primer ministro turco, Recep Tayyip Erdogan, y será presenciada por los ministros de culto de varios países islámicos, responsables de instituciones especializadas y miembros de la organización de la Conferencia Islámica, además de personalidades políticas, académicos y científicos de todo el mundo.
La propuesta de la conmemoración de los 1400 años de la revelación del glorioso Corán, fue presentada y aceptada durante la 37ª reunión de ministros de Relaciones Exteriores de la OCI en Dushanbe, capital de Tayikistán.
COMUNIDADES
Expedientada la mezquita del Nord de Lleida por superar de nuevo el aforo. Este domingo asistieron al último rezo 612 personas, más del doble de lo permitido, según la Guardia Urbana
Falta de espacios para la práctica del islam. El 95% de los magrebíes es marroquí y la colonia destaca la importancia de aprender el idioma para integrarse
Los musulmanes de la mezquita de Lleida cuestionan el acta de la Urbana por exceso de aforo
ESPAÑA
Baño islámico. El Museo de los Baños del Almirante es el único baño de tipo islámico que se conserva en Valencia.
INTERNACIONAL
Christians and Muslims from Algeria to Italy in the footsteps of Saint Augustine. They want to pray for the Church to accept Muslims who want to be baptized: "Muslims who have heard the call of the Lord Jesus should not be prohibited from entering the Church."
Bahreïn: le gouvernement décidé à reprendre le contrôle des mosquées
OPINION
* Els dirigents musulmans de Lleida desafien a l’ajuntament. Blog: Jordi lópez
Mucho ruido y pocos 'burkas'. JOSÉ MAZA en Malaga Hoy. “Ni una incidencia tras la aprobación en Coín hace meses de una norma que prohíbe el uso de velos en las mujeres, una medida considerada innecesaria por la mayoría de vecinos”
AGENCIAS - Barcelona - 06/09/2010
La Guardia Urbana de Lleida ha abierto un acta por exceso de aforo a la mezquita de la calle del Nord reabierta en agosto, tras dos semanas cerrada precisamente por este motivo. Según la Urbana, este domingo asistieron al último rezo 612 personas, más del doble del aforo establecido, unas 240 personas.
El Ayuntamiento de Lleida autorizó el 9 de agosto la reapertura de la mezquita de la calle del Nord, después de haber estudiado las alegaciones presentadas por la comunidad islámica de este centro de culto, que estaba cerrado cautelarmente desde el 21 de julio por haber superado el aforo máximo permitido.
La alcadesa accidental, Marta Camps, explicó tras la reapertura que después de haber estudiado las siete alegaciones presentadas por la comunidad, se ha estimado parcialmente la que pedía que se desprecintase la mezquita "con el compromiso de que se llevará a cabo un control estricto del aforo en el templo".
BRAIS BENÍTEZ Barcelona 06/09/2010
EL PAIS
Los inmigrantes del norte de África han llegado a Catalunya en las últimas décadas atraídos, sobre todo, por las ofertas de trabajo en el sector de la construcción, abundantes hasta la crisis del mercado inmobiliario. El colectivo magrebí en Catalunya cuenta con una población que supera las 240.000 personas. De estas, el 95% son inmigrantes marroquíes, a los que se les suma una pequeña colonia de argelinos y, en menor parte, tunecinos y mauritanos.
Una de las principales complicaciones para la integración de esta colonia ha sido la dificultad para practicar la religión musulmana, sobre todo en su vertiente comunitaria. La inexistencia de grandes mezquitas ha reducido el espacio destinado a la práctica religiosa a pequeños recintos, insuficientes para albergar a todos los que acuden a rezar.
M'hamed Abdelouahed (Abdel), representante del colectivo bereber en Catalu-nya, denuncia la falta de espacio para la práctica del islam:"Que no haya ninguna mezquita en Catalunya, que quiere ser un modelo de integración, es ridículo y aberrante incluso", denuncia. La ausencia de mezquitas trae conflictos por la masificación de los espacios destinados al rezo musulmán.
Sin embargo, otras características de este colectivo favorecen su integración en la cultura catalana. Se calcula que dos terceras partes son bereberes (amazighs, en su lengua natal). Según Abdel, "pasadas las dificultades iniciales, la integración del colectivo amazigh es más sencilla, pues asociamos nuestra problemática con la situación de Catalunya como una nación sin Estado".
Este hecho, por ejemplo, "favorece el aprendizaje de la lengua", un elemento clave para la integración. Abdel mismo es un buen ejemplo: en la actualidad, trabaja en la Generalitat como técnico de inmigración.
LLEIDA, 6 Sep. (EUROPA PRESS) -
El portavoz de la mezquita del Nord de Lleida, Hossein Kuiten, ha afirmado en respuesta al expediente municipal contra el polémico lugar de culto por superar el aforo que "la Policía Local contó varias veces a algunos musulmanes". La mezquita ya estuvo precintada por exceso de aforo entre el 21 de julio y el 6 de agosto.
La concejal de Movilidad, Vía Pública y Seguridad, Sara Mestres, ha explicado este lunes que la Paeria ha vuelto a incoar un expediente a la Mezquita de la calle del Nord por exceso de aforo. En la comprobación de aforo realizada el domingo por parte de la Guardia Urbana, se contabilizaron 612 personas en el interior del recinto.
En este sentido, Sara Mestres ha destacado que "durante las últimas semanas se han hecho de oficio otros cinco controles de aforo, pero en ningún momento se había superado el límite permitido, que es de 240 personas". Según la edil, "a partir de este momento se instruye expediente sobre la seguridad del local y se queda a la espera del acta de actividades". "Una vez estudiado el expediente, se emitirá resolución provisional al respeto.
CÓRDOBA
Foto: EP
CÓRDOBA, 6 Sep. (EUROPA PRESS) -
Una cadena humana unirá la Mezquita y la Sinagoga cordobesas el próximo 11 de septiembre en apoyo a la candidatura de los moriscos andalusíes al Premio Príncipe de Asturias de la Concordia en el que se pretende subrayar el valor y la necesidad del entendimiento intercultural e interreligioso.
Según informó la organización en un comunicado, será un acto de homenaje a los moriscos andalusíes expulsados hace 400 años y de reconocimiento a sus descendientes, que "durante todo ese tiempo han sabido mantener viva la memoria histórica y cultural de aquellos miles de españoles obligados al exilio y olvidados durante siglos".
También serán 400 los metros que recorra la cadena humana que unirá la Mezquita y la Sinagoga "en una fecha como el 11S, en un recorrido cargado de simbolismo, pero también de poesía y de música".
Aunque el acto comenzará simbólicamente en la calle Moriscos, será la Puerta del Perdón de la Mezquita la que servirá de inicio a las 12,00 horas a la cadena y de escenario a la actuación producida para el evento por la directora de cine Pilar Távora, a la que acompañarán con otras intervenciones el músico y director de la Orquesta Andalusí Tentuán-Asmir, Amín Chaachoo (Plaza de Maimónides, 12,30 horas), y las escritoras y periodistas Matilde Cabello y Araceli Sánchez Franco (Plaza Tiberíades, 12,45 horas).
El acto se cerrará a las 13,15 horas en la Casa de Sefarad, donde fue presentada por primera vez la candidatura, y en la que intervendrán como promotores de la misma el ex ministro Manuel Pimentel, el escritor Antonio Manuel Rodríguez, la secretaria general del PA, Pilar González, el presidente de la Junta Islámica, Mansur Escudero, y el director de la Biblioteca de la Casa de Sefarad, Sebastián de la Obra.
TODOS LOS NOMBRES
La candidatura al Premio Príncipe de Asturias de la Concordia a los Moriscos Andalusíes ha sido respaldada desde su presentación el pasado mes de abril por más de 3.000 firmantes.
Entre ellos, los expertos de mayor prestigio en la cuestión morisca como Márquez Villanueva (Harvard), Manuel Barrios (Granada), Bernard Vincent (Sorbona), Perceval, Bernabé Pons, Luce López Baralt (Puerto Rico), Temimi (Túnez), o instituciones como los ayuntamientos de Coria del Río, Hornachos, Baeza, Jerez, Estepona, Torrella, Almuñecar, Frigiliana, Torrox, Fuengirola, Baza, Riogordo, Los Barrios, La Línea de la Concepción, la Diputación de Cádiz, etc, además del Parlamento de Andalucía en una declaración institucional aprobada por unanimidad.
Las Universidades están casi todas representadas por la adhesión de centenares de docentes (Sorbona, Roma, Harvard, Complutense, Oviedo, Salamanca, Puerto Rico, Buenos Aires, Sevilla, Barcelona, Alicante, Granada, Tetuán, Rabat, El Cairo, Córdoba, Valencia, Tunez, México, Casablanca, etc.), mientras el mundo de la cultura se ha hecho presente en la firma de escritores, cantantes, actores, teólogos, como Juan José Tamayo, Enrique Morente, Pilar Távora, Federico Mayor Zaragoza, Maruja Torres, Chambao, 'J' de Los Planetas, Javier Ruibal, Juan Diego Botto, María Galiana, Jesús Sánchez Adalid, Ian Gibson, José Chamizo de la Rubia, Sami Naïr, Agustín Remesal, Javier de Lucas, Esteban Ibarra, Iris M. Zavala o José Antonio Pérez Tapias.
Uno de los retos primordiales que ha conseguido esta candidatura ha consistido en la unión bajo una misma causa justa de numerosas personalidades y asociaciones judías, sefardíes, a descendientes de moriscos-andalusíes, y a las organizaciones culturales islámicas de mayor relevancia internacional.
Entre las últimas, cuentan con el apoyo expreso del World Islamic People's Leadership, la más importante organización islámica del mundo que comprende las ONGs, comunidades, movimientos y federaciones más representativas de la mayoría de los países de los cinco continentes. Igualmente, cuenta con el apoyo del Foro de mujeres musulmanas europeas en Ginebra; la Confederación de organizaciones musulmanas de Europa; la Federación de los Musulmanes de Francia; así como las organizaciones más significativas de España, Canadá, Senegal, Indonesia, Sudáfrica, EEUU, India, Reino Unido, Sri Lanka, Rusia, Argelia, Azerbaiyán, Jordania, Portugal, Burundi, Argelia, Tayiquistan; Uganda, o Mauritania.
El mundo sefardí ha mostrado igualmente su apoyo e impulso como prueba la adhesión de asociaciones sefardíes de Francia, Marruecos e Israel, personalidades del mundo judeoespañol, la cantante franco-tunecina Sandra Bessis, la directora de cine Izza Genini, la responsable de los archivos de la memoria oral de Argentina Laura Benadiba, el sociólogo Arrik Delouya, el hebraísta Ephraïm Riveline, la socióloga de la Sorbona Sophie Bessis o la Casa de Sefarad de Córdoba. Igualmente se han sumado un amplio panorama de entidades e instituciones musulmanas europeas y españolas, así como descendientes de moriscos andalusíes de Marruecos, Francia y Túnez, como firmantes entusiastas.
Esa presencia internacional en la candidatura se revela en la firma de personalidades como Amin Maalouf (Premio Príncipe de Asturias de las Letras 2010), Reyes Mate (Premio Nacional de Ensayo), Juan Goytisolo (Premio Quijote 2010) o José Saramago. Y así hasta completar una lista de más de 3.000 nombres que serán recordados igualmente en el acto del 11S.
· 06.09.10 –
LAS PROVINCIAS.ES
El Museo de los Baños del Almirante es el único baño de tipo islámico que se conserva en Valencia. La visita muestra la evolución de la higiene pública en los últimos seis siglos, así como las sucesivas reformas y adaptaciones de las diferentes épocas. El visitante puede ver la reconstrucción que se ha hecho del baño turco original. Las visitas empiezan a las horas en punto y a las medias y los grupos pueden estar formados por un máximo de 15 personas. Para concertar la visita a estas instalaciones hay que llamar, previamente, al teléfono del museo.Dirección: calle Baños del Almirante, 3. Teléfono: 96 386 62 00. Horario: 10-14 h.; 18-20 h.
08/13/2010 10:52
ISLAM - ALGERIA
Among them are Muslim converts and catechumens. They want to
pray for the Church to accept Muslims who want to be baptized. A Berber cross
commemorating the pilgrimage to Milan (where
Augustine received baptism) and Pavia
(his tomb). The novena of preparation.
Rome (AsiaNews) - A group of Christians and Muslims from Algeria, Morocco and France have planned a pilgrimage in the footsteps of Saint Augustine, their countryman, that will lead them to Milan and Pavia, where the remains of the North African saint of Hippo lie.There are several Muslim converts to Christianity among the group, some for over 40 years, others for just over a year.
It is the first time that Christians of North Africa have ever organized a similar pilgrimage. It will take them from August 26 to 28 to Milan, where Augustine was baptized by Ambrose in 387, to Pavia and the basilica of san Pietro in Ciel d’Oro(see photo), which houses his remains in time to take part in local celebrations, the feast of the saint on August 28.
The group has long desired to make this pilgrimage and had also wanted to include an audience with the pope. Among the pilgrims, 17 are of North African origin, 14 are converts from Islam and two are catechumens. There is also a future seminarian; the other 10 are of French origin, all accompanied by Fr Alexis Doucet, S.J.
To mark the occasion a medal bearing a Berber cross was coined, which will be handed to participants at the end of the pilgrimage.
Among the expressed intentions of the pilgrimage is that "Muslims who have heard the call of the Lord Jesus should not be prohibited from entering the Church." The idea refers to some episodes that have occurred in France and Algeria, where many Muslims who wanted to be baptized, have been impeded by priests and bishops, fearful of the consequences and overly precautious.
The pilgrimage will be preceded by a novena of prayer to God, in the words of St. Augustine, the text of which appears on the sitehttp://www.notredamedekabylie.net/Accueil/Avisetannonces/tabid/66/Default.aspx.
The pilgrimage is organized by the Notre-Dame de Kabylie, Saint-Augustin, Nantes and theMyriam Baouardi et Charles de Foucauld group from Albi / Toulouse.
06/09/2010 09:01 |
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MANAMA, 6 sept 2010 (AFP) - Les autorités bahreïnies sont déterminées à reprendre le contrôle des mosquées, ont rapporté lundi les médias officiels, après l'arrestation d'opposants chiites accusés de complot contre la dynastie sunnite. "Récupérer les tribunes (dans les mosquées) pour qu'elles ne soient pas les otages de politiciens incompétents ou de religieux égarés, c'est le point de départ pour instaurer une saine orientation religieuse" à Bahreïn, a affirmé le prince héritier, cheikh Salmane Ben Hamad Al-Khalifa, cité par l'agence officielle Bna. Pour sa part, le Premier ministre, cheikh Khalifa Ben Salmane Al-Khalifa, a précisé que son gouvernement ferait en sorte que les lieux de culte ne seraient dirigés "que par ceux qui sont en mesure de faire valoir les valeurs de tolérance et de modération". Les deux dirigeants se sont exprimés dans des messages adressés au roi Hamad Ben Issa Al-Khalifa au lendemain de l'annonce de l'arrestation de 23 opposants chiites, accusés de fomenter un complot pour faire tomber la monarchie sur fond de tensions confessionnelles à l'approche des élections générales fin octobre. |
Blog: Jordi López
De nou l’ajuntament de Lleida té raó; els dirigents de
la comunitat musulmana d’aquesta ciutat estan portant les coses al límit.
De nou, els dirigents d’aquesta comunitat no han respectat les normes
sobre l’aforament autoritzat pel lloc de culte. En lloc de 240 fidels,
l’oratori ha acollit 640 persones. Com és lògic, l’ajuntament ha
aixecat una acta i ha obert un expedient. No ha estat suficient haver tancat un
dies la mesquita el passat més de juliol com a mesura de pressió perquè els
dirigents de la comunitat ressolessin el tema de l’aforament. No només no
han fet cas, sinó que han tornat a desafiar l’ajuntament sobrepassant de
molt aquest aforament. Tot i que l’imam havia donat garanties que, si era
necessari, es farien torns de pregària per tal de respectar les mesures de
seguretat imposades per la normativa municipal. Res, ni cas.
La comunitat musulmana de Lleida han d’entendre que els seus dirigents
els port porten de nou a la confrontació amb l’ajuntament. Aquesta sembla
ser l’estratègia de les persones que dominen aquesta comunitat. No volen
cap mena d’integració en la societat catalana perquè la consideren
dirigida per persones allunyades d’Alà. A Lleida, però només a aquesta
ciutat, s’està consolidant en la comunitat musulmana una dinàmica que
instal•la l’aïllament i la confrontació com a signe
d’identitat. Es tracta d’una estratègia en la qual les corrents
fonamentalistes es troben còmodes perquè consideren que permet mantenir-se purs
en relació a una societat de creuen decadent per la seva secularització. La
societat catalana ha de combatre aquesta concepció tancada de l’Islam
mitjançant polítiques públiques actives i compromeses amb l’Islam moderat
que practiquen bona part dels catalans musulmans. Com també ha de transmtere
signes clars i contundents d’aïllament social dels fonamentalistes. Qualsevol
dubte o dilació en aquestes mesures, és un retrocés i un guany a favor de la
intolerància i el progrés de les corrents més radicals de l’Islam a
Catalunya.
Ni una incidencia tras la aprobación en Coín de una norma que prohíbe el uso de velos en las mujeres, una medida considerada innecesaria por la mayoría de vecinos
· JOSÉ MAZA / COÍN | ACTUALIZADO 05.09.2010 –
MALAGA HOY
Fue
a finales de junio cuando Coín llevó a Pleno una moción para prohibir el uso
del nikab y el burka,
los velos integrales que ciertas ramas del Islam más conservador impone a sus
mujeres. Así esta localidad del Guadalhorce se convertía en el primer municipio
no catalán de todo el país en prohibir este tipo de indumentaria.
A la ciudadanía les sorprendió la moción realizada por el equipo de gobierno,
una coalición entre PSOE y PA. La sorpresa quizás fue mayor debido a que de
22.000 habitantes de Coín, sólo unas 900 personas provienen de países donde la
religión musulmana tiene una incidencia mayoritaria, y de éste número de
habitantes prácticamente nadie provenía de lugares donde el nikab o el burka se
usaban normalmente.
El debate estaba en la
calle. Muchos aprobaban esta medida, mientras que otros se
mostraban críticos y veían en la moción una manera de distraer otros problemas
del municipio y darse así un poco de publicidad mediática. Para los más, en
cambio, era insignificante porque no habían visto a nadie por las calles de
Coín con algún tipo de velo integral.
Algunos medios nacionales, conscientes del filón, no tardaron en poner su punto
de mira en el pueblo y se pudo ver a una periodista paseando por las calles de
Coín con un velo integral mientras un fotógrafo la inmortalizaba entrando a
edificios públicos y comercios. Para la concejal de Igualdad en el Consistorio,
Inmaculada Agüera, esto fue "pura manipulación e intento de
provocación".
Esta especie de estudio se
llevó a cabo a la vez en los tres municipios que habían iniciado la prohibición
de la prenda. La
moción salió adelante con los votos favorables de PP, Alternativa Ciudadana
Coineña y la
coalición PSOE-PA, Agrupación Coineña se abstuvo e IU votó en
contra.
Desde la prohibición no ha habido mayores problemas, al igual que no los hubo
antes de la aprobación de la norma, puesto que en todo el municipio apenas se
ha visto uno o dosnikab y ningún burka.
Además, en ningún caso estas prendas se han utilizado en centros públicos.
Francisco Enrique Llagas, portavoz de IU en el Ayuntamiento de Coín,
afirmó que su partido "está totalmente en contra" de que la mujer
lleve burka o nikab, pero no votaron a favor porque
"la prohibición además de ser desproporcionada no favorece la integración
e incluso puede dar lugar a la marginación".
Durante el transcurso de dicho Pleno, IU trató de dejar clara su posición ya
que considera que si bien "la prenda es discriminatoria para la mujer,
esta norma puede favorece la proliferación de guetos". El propio Llagas
insistió en que "no ha existido ningún problema después de la aprobación
de la ley al igual que no lo hubo antes".
Sin embargo, la edil de Igualdad defendió que no existe ningún tipo de polémica
por la aprobación de la norma "salvo la que se le quiera dar en los
medios" y afirmó que desde la aprobación no ha habido ningún tipo de
incidente a reseñar, incluso "los colectivos musulmanes de la localidad no
se opusieron a la propuesta e incluso lo vieron como un elemento positivo que
puede favorecer a la sociedad".
Agüera tiene claro que la medida se ha llevado a cabo para lograr una igualdad
plena entre hombres y mujeres en la localidad, "no como ocurren en otros
países donde la mujer no tiene ningún tipo de derecho".
La medida, tachada de electoralista desde ciertos sectores, no ha provocado ni
disputas ni enfrentamientos y quizás la norma no era tan "necesaria"
como en un principio se pensó.
AGENDA
Barcelona IEMED Dijous 9 de setembre
Concert homenatge a la cèlebre cantant egípcia, Oum Kalsoum.
SaidHafid (Egipte)
Dorsaf Hamdani &
ensemble (Tuníssia)
L'Auditori. Sala 1 Pau Casals. 21:30h
Gratuït prèvia reserva d’entrada al telèfon 93.567 09 34 ocme...@iemed.org
COMUNIDADES
La mezquita de Sidi Embarek (CEUTA) cerrará con motivo del Musal-la
ESPAÑA
Experto [jordi Moreras] cree debate sobre velo puede dar oportunidad a musulmanas en Europa
El legado morisco de Ascó se convertirá en un activo turístico. Ascó se puede convertir en "la capital morisca de Cataluña"
INTERNACIONAL
* El arzobispo de Milán reclama una nueva mezquita para la ciudad. La Liga Norte se niega a autorizar un lugar de culto para 100.000 musulmanes
Todos los cristianos de Asia condenan la «Día del incendio del Corán» por el 11-S
OPINION
El nou Islam. Blog: Jordi López. “Els musulmans ... tenen en un sector de l’església catòlica un bon aliat per defensar els seus drets religiosos”
Martes, 07 de Septiembre de 2010 , C. Echarri/J. Armuña
EL FARO DIGITAL DE CEUTA
La denominada coordinadora del Musal-la confirma que se usará la explanada cercana al templo para la celebración del rezo con motivo del final del Ramadán.
La denominada
coordinadora de la Musal-la, integrada por la comunidad musulmana, Al Bujari,
Al Abrani, Comunidad Islámica de Ceuta, Consejo Religioso, Comunidad Bdr y el Consejo de los Fieles de
la Mezquita, anunció oficialmente ayer que habrá un segundo rezo en la
explanada de la mezquita de Sidi Embarek paralelo al organizado en Loma
Margarita. Se confirma así lo publicado por este medio que no hace sino
reflejar la división habida entre los musulmanes sin que, por tercer año
consecutivo, se haya conseguido unidad para un solo Musal-la.
En declaraciones a este medio el portavoz de la coordinadora, Mustafa
Abdelkader, dio las razones del porqué no habrá un solo rezo cuando, en un
principio, parecía haber sintonía para que así fuera. “Se llevará a cabo
en la misma explanada que el pasado año. No se hará en Loma Margarita porque
entendemos que la explanada de Sidi Embarek es el lugar adecuado para llevar a
cabo este rezo. Es un sitio que es propiedad de los musulmanes, es decir, es de
Luna Blanca pero está a disposición de todos los musulmanes. Entendemos que no
debemos politizar el acto religioso”, indicó.
Críticas del PDSC
Para la coordinadora, hacer uso de la explanada de Loma Margarita no es lo
adecuado y secundan las críticas del PDSC hechas recientemente sobre ‘lo
impuro’ de la zona. “El PDSC tuvo la valentía de decir que el lugar
no reúne las condiciones puesto que se llevan a cabo actividades que no hay que
erradicarlas pero que hacen que este lugar no sea el adecuado para el
rezo”, apuntó.
Además de concretarse la explanada de la mezquita para el rezo, desde la
coordinadora se indica que se cerrará el templo. “No tiene sentido hacer
un Musal-la a cuatro metros de la mezquita y abrir ésta”, resaltó.
Mientras se define oficialmente la postura de las entidades más cercanas a la
FEERI, las comunidades bajo el paraguas de la UCIDCE han dado libertad a los
fieles para que acudan a compartir el rezo colectivo en la explanada de Loma
Margarita o marchar a las mezquitas que, a su juicio, deberían permanecer todas
abiertas.
“Marruecos no está presionando”
Mustafa Abdelkader lo deja claro. A su juicio no hay presiones de Marruecos para hacer un rezo alternativo. “Desde aquí decimos que Marruecos no influye absolutamente en nada, lo único que sí reconocemos es que Marruecos tenga el control de los imames. Es lo único que tiene Marruecos aquí, es una realidad porque el 99 % de los imames de Ceuta son hispanomarroquíes y pertenecen al Ministerio. Es una realidad que no vamos a esconder y hay que decirlo. Estamos de acuerdo con ésto porque sabemos quiénes son y qué tipo de gente llega al pasar una serie de controles, porque se trata de la seguridad de nuestros hijos y de todos los que vivimos aquí”, aclaró.
EFE
FUENTE: ADN 8-09-2010
El debate suscitado en Europa sobre el uso del velo islámico en los espacios públicos podría ser, a juicio del sociólogo catalán Jordi Moreras, una buena oportunidad para la "integración y el acceso a la sociedad en igualdad" de las mujeres musulmanas.
Moreras, experto en comunidades musulmanas en España, aseguró, en una entrevista con Efe, que con el paso de los años y la llegada de nuevas generaciones, "esa igualdad será un hecho", a pesar de que en este momento el peso del pasado, el factor religioso o su condición de inmigrantes, "les siga marcando".
Para el sociólogo, el "hiyab" -velo que cubre sólo la cabeza de la mujer dejando la cara al descubierto- "es una de las dimensiones principales del Islam contemporáneo", que no significa tanto "una forma de vestir, sino que hace referencia más bien a la presencia de lo femenino en el espacio público".
"El asunto del velo lo hemos visto desde los años 80, incluso antes, en Francia, y en España ese debate estaba pendiente. Más tarde o más temprano íbamos a tener que abordarlo", dijo.
Moreras afirmó que más allá del debate que, sobre todo a partir del 2000, "cuando la sociedad empezó a ser consciente de que muchos de nuestros inmigrantes eran musulmanes", se estableció sobre el uso o no del velo islámico, lo realmente interesante sería conseguir que esos velos "sólo están por fuera de las cabezas y no por dentro".
Por eso, señaló, es muy importante que las distintas dimensiones que su uso adquiere "sean explicadas por parte de quienes los llevan y no a través de los ojos de los que no".
"Uno de nuestros principales errores es pensar que estamos hablando de una práctica que sólo tiene un significado. Entendemos el velo como diferenciación sexual, como una imposición, como un símbolo de identidad, práctica cultural, independencia o emancipación", apuntó.
Pero, continuó, "¿cuál de esos significados prevalece por encima de los otros?. El velo reivindicado es un velo político, el integral también, pero no necesariamente siempre será así. No todas las mujeres que lleva el 'niqab' - el que cubre totalmente la cara - en nuestros países reivindican su uso".
Para el sociólogo, la clave del uso de los velos islámicos está en su sentido religioso, porque "las religiones siempre han tratado a las mujeres como una honra de la comunidad, como algo que no se puede tocar, y es bajo ese principio cuando el velo se presenta también como un elemento de diferenciación sexual, de género".
Sin embargo puntualizó que esa diferenciación existe "no tanto por ellas, sino por nosotros, que somos los que ponemos mala cara cuando vemos a una mujer con hiyab acudir a una entrevista de trabajo".
"No podemos decir, sí, te doy trabajo, pero quítate eso. ¿Dónde está el problema entonces, en su falta de liberación, en que no tiene capacidad para ser una buena profesional o en que nuestras miradas siguen siendo poco comprensivas?", subrayó.
En ese sentido, Moreras explicó que actualmente existe una intensa línea de trabajo en torno al feminismo islámico, "que está haciendo entender algo que desde hace muchos años ha estado presente en la historia del Islam, la historia de las mujeres".
"Que hoy en día haya mujeres que sean capaces de atesorar conocimiento, estudios y que interpreten el Islam desde otra perspectiva distinta a la masculina, es una oportunidad que deberíamos de trabajar", aseguró.
Pero para ello, indicó, "es importante saber que no es una cuestión moderna, que no sólo concierne a Occidente, que no son cuatro mujeres musulmanas, sino que hay muchas en otros sitios como Indonesia, Malasia o Arabia Saudí donde también la mujer lucha por abrirse un hueco en la sociedad".
Vista de Ascó, Tarragona. (Foto naturayeducacion.com).
El conseller de Innovación, Universidades y Empresa, Josep Huguet, y el alcalde de Ascó, Rafel Vidal, han firmado hoy en un protocolo de colaboración que tiene como objetivo la puesta en valor del patrimonio morisco del municipio y convertirlo en un activo turístico.
La firma de este protocolo, que ha tenido lugar en la sede del Consejo Comarcal de la Ribera d"Ebre, supone el compromiso por parte del Ayuntamiento de Ascó de desarrollar productos turísticos vinculados al mundo morisco.
La Generalitat, por su parte, facilitará orientación técnica en la elaboración de estos productos y los considerará prioritarios.
De hecho, Ascó acogió el pasado mes de abril un congreso académico que reunió a expertos internacionales coincidiendo con el cuarto centenario de la expulsión de los moriscos de Cataluña, es decir, los descendentes de los musulmanes medievales que fueron forzados a bautizarse a principios del siglo XVI.
La mayoría se concentraron en las comarcas de la Ribera d"Ebre y el Segrià, y Ascó, con su expulsión, perdió aproximadamente el 90% de su población.
Durante la firma del protocolo, que tiene una vigencia indefinida y se enmarca dentro el Plan Estratégico de Turismo en Cataluña 2005-10, el conseller Huguet ha señalado que este tipo de turismo "identitario" es un modelo de futuro que "puede contribuir al desarrollo de las zonas de interior de Cataluña".
En este sentido, Huguet ha manifestado que Ascó se puede convertir en "la capital morisca de Cataluña", y ha señalado que "en general, la industria es compatible con el turismo".
Por su parte, el alcalde de Ascó, Rafel Vidal, ha recordado que desde hace tres años el municipio trabaja para conseguir diversificar la economía municipal poniendo en valor todos los recursos disponibles, entre los que destaca el patrimonio morisco.
"El nuestro es un modelo de compatibilidad entre la industria y el resto de sectores", ha recalcado Vidal.
MIGUEL MORA - Roma - 07/09/2010
EL PAIS
El arzobispo de Milán, Dionigi Tettamanzi, lleva años reclamando a las autoridades civiles que habiliten lugares de culto para las religiones minoritarias. Con la llegada del Ramadán, el cardenal ha vuelto a la carga y ha recordado a los políticos que la comunidad musulmana de Milán, compuesta por 100.000 personas, no dispone todavía de una mezquita legal en la que rezar.
"Las instituciones deben garantizar la libertad religiosa y el derecho de culto", ha tronado Tettamanzi, heredero del espíritu integrador del retirado cardenal Carlo Maria Martini. "Todos tienen derecho a practicar su fe en el respeto de la legalidad. La ausencia de mezquitas es un problema grave y se debe resolver ya".
La respuesta de la Liga Norte ha sido fulminante. "Que las construyan ellos en los palacios de la Curia", ha replicado la formación xenófoba. Y Roberto Maroni, ministro del Interior del Gobierno central, ha añadido: "Yo no soy un constructor de mezquitas".
Interpelada por el cardenal, la alcaldesa Letizia Moratti (Pueblo de la Libertad, el partido del primer ministro Silvio Berlusconi) ha preferido mirar hacia otro lado, quizá pensando en la inminente campaña electoral para las municipales de marzo: "Estamos celebrando el año del islam en Milán y tenemos muchas iniciativas por delante". Su vicealcalde ha sido más sincero: "La mezquita no es nuestra prioridad. Y no puede haber diálogo con los musulmanes porque es un problema de seguridad".
Las disputas entre Tettamanzi y el partido de Umberto Bossi y Maroni llevan años agitando las relaciones Iglesia-Estado. El arzobispo ha criticado sin ambages la política migratoria de la Liga y la persecución de los gitanos -un virus incubado en Padania que ha cruzado ahora los Alpes-, y se ha erigido en paladín de las minorías y del diálogo interreligioso. Todo ello ha servido para poco más que convertirle en uno de los grandes enemigos de la Liga. En diciembre pasado, el diario La Padania apodó al cardenal como "el imán de Milán".
Tettamanzi no se arruga, y ha recordado ahora que el problema se agravó cuando Maroni decidió cerrar en 2009, tras varias redadas policiales, la céntrica mezquita de Vía Jenner, donde cada viernes se reunían miles de musulmanes. Maroni ha replicado que el cierre se debió a "problemas de orden público". Irónicamente, el mayor problema registrado en esa mezquita fue el secuestro, en 2003, del imán egipcio Abu Omar, resuelto en los tribunales en 2009 con la condena de 22 agentes de la CIA, un coronel estadounidense y dos miembros de los servicios secretos italianos.
Desde entonces, los musulmanes milaneses rezan en lugares tan variopintos como la carpa del circo Ciak, aparcamientos, garajes, gimnasios o campos de fútbol. Los dirigentes musulmanes compraron en 2003 un solar de 2.400 metros y presentaron al municipio dos proyectos para levantar una mezquita con minarete que pagaría la comunidad. El Ayuntamiento guardó silencio y los imanes optaron por reformar poco a poco el viejo edificio. Allí rezan ahora los clandestinos milaneses de Alá.
PODRÍAN HABER REPRESALIAS |
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Todos los cristianos de Asia condenan la «Día del incendio del Corán» por el 11-S |
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Campaña lanzada por el pastor fundamentalista no denominacional Terry Jones, del Dove World Outreach Center, en los Estados Unidos. |
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Los cristianos de diversas comunidades eclesiales en Asia han expresado su preocupación y condena alQoran Burning Day, el «Día del incendio del Corán», campaña lanzada por el pastor Terry Jones, del Dove World Outreach Center de Gainsville, en Florida (USA), con ocasión de un nuevo aniversario del 11 de septiembre.
Los líderes religiosos, interpelados por Agencia Fidesen diversos países asiáticos, concuerdan en afirmar que el principio base en la relación con otras religiones es el respeto recíproco. Entre las cosas más sagradas para una comunidad religiosa es el libro sagrado: un acto como este hiere profundamente los sentimientos de los creyentes.
Jones lanzó esta iniciativa como muestra de rechazo a los atentados terroristas por parte de radicales musulmanes de Al Qaeda contra las Torres Gemelas en Nueva York. Se trata de un ministro de una comunidad eclesial independiente fundamentalista no denominacional.
«Condenamos firmemente esta intención y esta campaña, contraria al respeto debido a todas las religiones, contraria a nuestra doctrina y a nuestra fe», dijo a Agencia Fides el arzobispo de Lahore y Presidente de la Conferencia Episcopal de Pakistán, monseñor Lawrence Saldaña.
En India, donde viven 130 millones de musulmanes, el cardenal Oswald Gracias, presidente de la Conferencia Episcopal, reunió a los líderes religiosos cristianos y musulmanes circulando un comunicado conjunto que expresa el abierto disenso de este acto, definido como «contrario a la enseñanza de Cristo». «Condenamos, por parte de la Iglesia católica, esta amenaza totalmente insensible e irrespetuosa hacia el Corán», dijo el purpurado.
Pretexto para atacar a los cristianos Pero el rechazo no sólo proviene de la Iglesia católica. Nazir S. Bhatti, presidente delPakistan Christian Congress pidió al reverendo Terry Jones que anule la iniciativa, en cuanto que «podría afectar gravemente a las minorías cristianas en los países de mayoría islámica». El Día del Incendio del Corán «será utilizado por los radicales islámicos como pretexto para atacar a los cristianos», afirma.
Gran preocupación también en Indonesia, país con mayor población musulmán en el mundo, donde el último fin de semana se realizaron diversas marchas de grupos musulmanes que protestaron por la iniciativa.
Hace unos días la Conferencia Episcopal organizó un encuentro con los miembros del movimiento radical islámico FPI («Frente Islámico de Defensa»), en que se resaltó el respeto recíproco entre cristianos y musulmanes. El Frente condenó con fuerza el gesto del pastor pero no instigó a los militares a una venganza contra los cristianos. Los únicos responsables, afirma, serán las personas que quemarán materialmente el Corán, por el gesto sacrílego con el que se mancharán, y no por ser o norteamericanos o cristianos. Indonesia: llamado a retractarse Monseñor Johannes Pujasumarta, obispo de Bandung y secretario general de la Conferencia Episcopal de Indonesia, dijo a la agencia vaticana: «Hemos manifestado nuestro disenso y lanzado una llamado a retractarse. Continuaremos rezando para que no suceda nada desagradable, ni en Indonesia ni en todo el mundo, a causa de un acto tan irresponsable». |
Blog Jordi López
La presència de l’arquebisbe de Barcelona, el cardenal
Lluís Martínez Sistach; l’enfrontament de l’arquebisbe de Milà,
Dionigi Tettmanzi, amb l’alcadesa Letizia Moratti del partit de Silvio
Berlusconi, perquè la coalició governant nega als musulmans la construcció
d’un mesquita, evidencia que aquests tenen en un sector de
l’església catòlica un bon aliat per defensar els seus drets religiosos.
La defensa de la llibertat religiosa i la seva pràctica, són un dret bàsic de
qualsevol societat oberta. Per això és important que rellevants figures del
catolicisme apareguin al costat d’aquells europeus que són musulmans.
Però els signes que provenen de diversos països demostren amb preocupació que
les societats occidentals es van tancant lentament. A França existeix un debat
no resolt sobre l’acceptació dels nous francesos i dels estrangers. La
proposta de treure la nacionalitat a alguns francesos d’adopció segons el
dilecte comés o les expulsions massives de gitanos romanesos o búlgars mostren
la cara més dura i excloent del govern de Sarkozy. A Estats Units la proposta
de construir una mesquita a prop de la zona zero del 11 de setembre ha
aconseguit un ampli refús social. Les propostes xenòfobes de Thilo Sarrazin a
Alemanya tenen un 18% d’acceptació electoral. No fa pas massa el suissos
rebutjaren la construcció de minarets en les noves mesquites. En les darreres
eleccions holandeses el part xenòfob passa de 9 a 24 diputats i és la tercera
força política. A casa nostre, la prohibició del vel integral de les musulmanes
ha adquirit notorietat i unes derivades inimaginables.
El suau replegament de la societat europea en la defensa d’una suposada
identitat comuna que es percep amenaçada pels musulmans és alarmant. Pretendre
entendre la identitat europea al marge de les aportacions específiques de la
cultura musulmana és negar una part important de la pròpia cultura
d’Europa. El mateix es podria dir, si és pretengués negar la petjada del
cristianisme. Totes les religions, junt altres expressions culturals, han
contribuït amb diferent intensitat i de manera diversa a forjar el que avui és
Europa. Gràcies als literats i pensadors de religió musulmana els europeus
coneixem els clàssic grecs i romans; la nostra medecina i ciència no
s’entén sense les aportacions dels savis que eren musulmans. Europa, en
lloc de recelar radicalment de l’Islam, com proposa Thilo Sarrazin, ha
d’oferir als musulmans la matriu cultural que ha definit el pensament
modern com una aportació específica per tal que aquesta religió emprengui un
nou procés d’aculturació coherent amb els valors que defineixen la
societat occidental. De tal manera que, al final d’aquest procés es
sorgeixi el nou Islam.
COMUNIDADES
El alcalde de Lleida insta a la mezquita salafista a buscar otra ubicación
El Viernes 10 de septiembre el primer día de Idul Fitr
Feliç festa : Aïd Mobarak Consell Islàmic Cultural de Catalunya
Autoridades de Justicia, e Interior comparten el Iftar con la Comunidad Musulmana.
ESPAÑA
El PP pregunta a Chacón sobre la cesión a los musulmanes de un castillo en Figueras
INTERNACIONAL
La Santa Sede contra la quema del Corán: “grave ultraje”
Lyon: la gargouille de la cathédrale Saint-Jean s'appelle Ahmed
Les responsables de l’islam français rencontrent les représentants de l’État
OPINION
* REPULSA DE LA FUNDACIÓN MIGRA-STUDIUM A LA QUEMA DEL CORÁN. comunicado
Miércoles, 8 de septiembre del 2010
R. M. / Lleida
EL PERIODICO
El alcalde de Lleida, el socialista Àngel Ros, volvió ayer a meter prisa a la comunidad salafista de la calle del Nord para que traslade su mezquita a otro emplazamiento. Tras abrir un expediente al oratorio por superar el aforo el domingo, tras estar precintado 15 días por la misma razón este verano, Ros dijo que la solución no es que la Guardia Urbana cuente los fieles que entran, sino que la comunidad busque otro local.
El interior de la mezquita de la calle del Nord, en Lleida. ramon gabriel
Para el alcalde, la salida está en el solar del polígono Entrevies cedido por el municipio hace tres años y que el iman, Abdelwahab Houzi, ya ha rechazado, aunque sin formalizar la renuncia. «Yo les digo: este terreno ya lo tenéis, construid», aseguró Ros a la cadena SER.
Desde la oposición, CiU calificó de fracaso la gestión de Ros con el argumento de que con su política de manga ancha ha sido incapaz de resolver un problema que la ciudad arrastra desde hace 10 años.
Madrid,08/09/2010, Islamedia
بيان
يعلن اتحاد
الجمعيات
الاسلا مية في
اسبانيا ان
الجمعة
العاشر من
ايلول/سبتمبر٢٠١٠
هو اول ايام
شهر شوال ١٤٣١
وعليه فان
الجمعة ١٠/٠٩/٢٠١٠
هو اول ايام
عيد
الفطرالمبارك
ينتهز
اتحاد
الجمعيات
الاسلامية في
اسبانيا هذه
المناسبة
الكريمة
ليهنئ
المسلمين في اسبانيا
وفي انحاء
العالم
بالعيد
السعيد، سائلين
الله تعالى ان
يتقبل طاعتنا
وان يغفر لنا
انه سميع مجيب
، وكل عام
وانتم بخير
La Unión de Comunidades Islámicas de
España, anuncia que el viernes 10 de septiembre de 2010, es el primer día del
mes de Shawwal de 1431 y es primer día de la Fiesta deL Fitr
La UCIDE, aprovecha esta oportunidad para felicitar a todos los musulmanes de
España y de todo el mundo, invocando al Altísimo que nos acepte nuestro ayuno
así como nuestras buenas obras en este generoso mes de Ramadán.
Este es el contenido del comunicado de la Junta Directiva General
de la UCIDE, emitido hoy jueves 08 de septiembre de 2010, a todos los medios de
comunicación.
Edició08-09-2010 |
El divendres 10 de setembre és l´Aïd Al-fitr (la festa del fi de Ramadà).
Ja s'ha acabat el Ramadà , s'acaba un dels mesos sagrats de l'Islam, un període en el que s'han variat els hàbits gastronòmics .Un temps de reflexió, de perdó , de misericòrdia i de bones obres i de pregària intensiva. Després d'aproximadament un mes d´abstinencia des de l'alba fins al vespre ha arribat el moment de la celebració de la festa Aïd Al-fitr també anomenada d'Aïd as-Saguir.És una data molt significativa dins del calendari musulmà.
Roba nova , dolços , moments de alegría , reconciliación i visites de familias i d´amics.És una ocasió de rebre regals sobre tots les nenes i els nens.
Feliç festa , Aïd Mobarak . ¡ Aprofitin-se de la festa!.
Madrid, 07 de
septiembre de 2010, islamedia.
http://islamhispania.blogspot.com/
NOTA DE
PRENSA
Invitados por el Presidente de la Unión de Comunidades Islámicas de España D.
Riay Tatary, acudieron la noche del 06 de septiembre de 2010, a la Mezquita Central
de Madrid, en el madrileño barrio de Tetuán, el Secretario de Estado de
Justicia D. Juan Carlos
Campo Moreno y la asesora de la misma secretaría, la
Directora de Gabinete de la Secretaría de Estado de Interior, Dña. María
Victoria Sánchez, el Subdirector General de Relaciones con las Confesiones, D.
José María Contreras, y el Director de la Fundación Pluralismo
y Convivencia, D. José Manuel López, para compartir el Iftar con miembros de la Junta Directiva General
de la UCIDE,la Junta
Directiva de la Comunidad Islámica de Madrid , junto con el
Coordinador General de la UCIDE y el Coordinador de la zona centro.
El Presidente de la UCIDE dio la bienvenida a los invitados en nombre de las
comunidades islámicas españolas, agradeciendo su deferencia al aceptar la
invitación a la ruptura del ayuno, considerando el gesto como muestra de las
buenas relaciones entre la administración española y la comunidad musulmana.
Los asistentes expresaron su felicidad por compartir estos momentos de gran
significado espiritual para los musulmanes españoles, máxime cuando se trata de
una señal de la normalización de la vida de los ciudadanos musulmanes en la
sociedad.
Tras una larga conversación sobre temas de interés para la comunidad musulmana,
los invitados mostraron su satisfacción por la labor desarrollada por las
comunidades islámicas en favor de la convivencia y la paz social.
Las personalidades invitadas al acto agradecieron la invitación y desearon una
feliz fiesta de Id el Fitr para todos los musulmanes de España.
8 Septiembre 10 - Madrid - Ep
LA RAZÓN
El Partido Popular ha decidido llevar a la
primera sesión de control al Gobierno en el Congreso del nuevo curso político,
que tendrá lugar este miércoles, sus críticas al Ejecutivo y, en concreto, los
'populares' han registrado una pregunta para la ministra de Defensa, Carme
Chacón, en la que le piden que detalle por qué su departamento ha
"permitido la cesión de instalaciones militares para actividades
religiosas".
El diputado del PP por Barcelona y vicepresidente tercero del Congreso, Jorge
Fernández Díaz, quien formulará esta pregunta a Chacón, se hará eco de las
informaciones que apuntan a que el Ayuntamiento de Figueras (Gerona) ha puesto a
disposición de los musulmanes del municipio una parte del Castillo de San
Fernando, antigua fortaleza militar dependiente del Ministerio de Defensa, para
que organicen sus oraciones durante el Ramadán.
07-09-10
http://www.pluralismoyconvivencia.es/noticias/archivo/53005.html
El objetivo principal de este Curso es el análisis del alcance de la normativa vigente, así como de sus posibles deficiencias en orden a brindar criterios legales y pautas de conducta que faciliten la gestión de la realidad islámica contemporánea y la realización efectiva de la libertad de convicciones de los creyentes que la conforman en las estructuras sociales del país.
La mayor parte del
curso se desarrolla a distancia estando prevista la celebración de cuatro
sesiones presenciales (cuatro sábados en horario de mañana y tarde) que se
impartirán simultáneamente en las ciudades de Tarrasa y Madrid.
Más información sobre el curso: http://www.fundacion.uned.es/cursos/derecho/experto-universitario/aspectos-islam/
SOLICITUD DE BECAS:
Podrán solicitar las becas ofertadas por la Fundación Pluralismo y Convivencia los líderes religiosos y representantes de las comunidades islámicas del Estado español inscritas en el Registro de Entidades Religiosas del Ministerio de Justicia que hayan realizado en 2009 o 2010 el Curso "Islam y Principios Democráticos" organizado por el Departamento de Derecho Eclesiástico del Estado de la UNED.
Las becas cubren los gastos de matricula del curso así como los gastos desplazamiento, alojamiento y manutención ocasionados por la asistencia a las sesiones presenciales en las condiciones que se detallan a continuación:
Matrícula: La beca cubre íntegramente el importe de la matrícula del curso.
Desplazamiento: La beca cubre los gastos de desplazamiento ocasionados
por la asistencia a las sesiones presenciales del curso. Para proceder al
reembolso será imprescindible enviar por correo postal a la Fundación Pluralismo
y Convivencia el documento de liquidación de gastos que será puesto a
disposición de los beneficiarios de la beca debidamente cumplimentado. Si el
desplazamiento se realiza en vehículo particular, será reembolsado
0,19€/Km; si el desplazamiento se realiza en transporte público, será
necesario adjuntar la siguiente documentación:
- Factura de la agencia de viajes o empresa emisora de los billetes.
- Billetes de ida y vuelta.
Alojamiento: La beca cubre los gastos de alojamiento para los becarios residentes fuera de la Comunidad Autónoma en la que se realiza el curso en el hotel y condiciones que estipule la Fundación Pluralismo y Convivencia.
Manutención: La beca cubre el coste de la comida prevista en los centros de realización del curso coincidiendo con las sesiones presenciales. En el caso de los alumnos que necesiten alojarse la noche anterior en la ciudad de celebración del curso, la beca cubrirá igualmente el coste de la cena siempre que su importe no supere los 12 euros.
El plazo de solicitud de becas termina el 7 de octubre de 2010. Las solicitudes enviadas a la Fundación con posterioridad a esta fecha serán desestimadas.
Para solicitar una beca se debe cumplimentar el formulario de solicitud y dirigirlo a la Fundación Pluralismo y Convivencia junto con el resto de documentación obligatoria por correo postal antes del 7 de octubre de 2010. Es obligatorio facilitar un correo electrónico y un teléfono de contacto.
Los formularios de solicitud deberán ir acompañados de la siguiente documentación:
- Fotocopia del Diploma acreditativo de haber superado el curso “Islam y Principios Democráticos”
- Fotocopia del DNI (NIE o pasaporte) del firmante de la solicitud.
- Fotocopia del DNI (NIE o pasaporte) del representante legal de la entidad religiosa a la que está vinculado el firmante de la solicitud.
- Certificado del representante legal de la entidad religiosa a la que está vinculado el solicitante. Este documento deberá estar firmado por el representante legal de la entidad.
- Currículum Vitae del solicitante con información referente a la formación del candidato y a su experiencia laboral en el campo religioso.
· Formulario de solicitud de beca.
· Certificado del Representante Legal.
CIUDAD DEL VATICANO, miércoles, 8 septiembre 2010 (ZENIT.org).- La Santa Sede ha acogido con "profunda preocupación" la propuesta de una comunidad evangélica de los Estados Unidos de un "Día de Quema del Corán", con motivo del 11 de septiembre, aniversario de los trágicos atentados terroristas que en el año 2001 provocaron numerosas víctimas inocentes e inocentes daños materiales.
Un comunicado difundido por el Consejo Pontificio para el Diálogo Interreligioso afirma que "esos lamentables actos de violencia no se pueden remediar oponiendo un gesto de grave ultraje al libro considerado como sagrado por una comunidad religiosa".
"Cada religión,
con los respectivos libros sagrados, lugares de culto y símbolos tiene derecho
al respeto y a la protección: se trata del respeto debido a la dignidad de las
personas que adhieren a ella y de sus decisiones libres en materia
religiosa", indica el dicastero vaticano presidido por el cardenal
Jean-Louis Tauran.
"La necesaria reflexión que todos deben hacer en recuerdo del 11 de
septiembre --sigue diciendo el comunicado del Consejo Pontificio-- renueva,
ante todo, nuestros sentimientos de profunda solidaridad con todos los que
fueron golpeados por los horrendos ataques terroristas. A estos sentimientos se
une nuestra oración por ellos y por los seres queridos de aquellos que
perdieron la vida".
"Todos los responsables religiosos y todos los creyentes están llamados también a renovar la firme condena de toda forma de violencia, en particular la realizada en nombre de la religión", recuerda, como han hecho numeroso obispos católicos de los diferentes continentes.
Juan Pablo II, recuerda el comunicado, afirmó en 1999, en Pakistán que "el recurso a la violencia en nombre de una creencia religiosa es una perversión de las enseñanzas mismas de las mayores religiones", mientras que Benedicto XVI ha declarado que "la intolerancia y la violencia no pueden justificarse nunca como respuestas a las ofensas, pues no son compatibles con los sagrados principios de la religión".
Por su parte, representantes de varias religiones en los Estados Unidos, entre quienes se encuentra el arzobispo emérito de Washington, el cardenal Theodore McCarrick, han condenado duramente en una declaración común la propuesta del "Día de Quema del Corán", lanzada por la comunidad evangélica de Florida, denunciando con fuerza lo que han definido como "frenesí anti-musulmán".
"Estos no son los verdaderos Estados Unidos --ha dicho el cardenal McCarrick--, nunca lo ha sido y nunca deberá serlo. Lo que decimos en este documentos es que para nosotros los auténticos Estados Unidos son un lugar donde las religiones son respetadas".
05 septembre 2010 22:33; Act: 05.09.2010
Le CCIS n’est pas satisfait par les cours sur l’islam actuellement dispensés dans les écoles. (Photo: tagblatt)
source : 20 MINUTES-SUISSE
Ils estiment que les expériences menées par les autorités scolaires, à Kreuzlingen (TG) notamment, ne sont que «des cours d’intégration»: «L’enseignement ne doit pas, sous l’influence de l’Etat, promouvoir un islam formaté par la majorité chrétienne et athée», lance un porte-parole du CCIS.
Ces affirmations font bondir les musulmans modérés. «Ce sont des fondamentalistes qui veulent créer une société parallèle», dénonce Saïda Keller-Messahli, du Forum pour un islam progressiste.
(Désirée pomper/daw)
LYON (AFP 06/09/10) -
La restauration de la cathédrale Saint-Jean, au coeur du Vieux-Lyon, fait grincer des dents quelques extrémistes: en cause, une nouvelle gargouille à l'effigie d'Ahmed, chef du chantier depuis 30 ans, accompagnée de l'inscription "Dieu est grand", en français et en arabe.
Cette gargouille, sculptée dans la tradition médiévale des bâtisseurs de cathédrales, est perchée à une douzaine de mètres sur un côté de l'édifice classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Elle ne dénote pas dans le décor, si ce n'est qu'elle est dépourvue de la patine du temps, et les touristes nombreux ne la remarquent pas d'emblée, d'autant qu'elle surplombe un échafaudage.
"Ah bon? C'est un musulman?", s'étonne une passante, "Je ne suis pas choquée, juste étonnée". "De toutes les façons", renchérit son compagnon, "s'ils ont fait ça, c'est qu'ils en avaient le droit".
"Il n'y a eu aucune interdiction, ni aucune autorisation de l'Eglise", explique Pierre Durieux, chargé de communication à l'archevêché de Lyon. "Dans l'histoire, les gargouilles ont toujours été des figures profanes laissant parfois la place à la satire ou l'ironie. En outre, elles ne sont pas dans l'église, mais à l'extérieur".
La gargouille à l'effigie d'Ahmed Benzizine
s'accompagne de l'inscription gravée "Dieu est grand", en français
mais aussi en arabe ("Allah akhbar"). Ce qui a aussitôt suscité l'ire
des Jeunesses identitaires lyonnaises. Elles dénoncent sur leur site internet
le fait qu'"à Lyon, les musulmans se paient le luxe de sapproprier nos
églises, en toute tranquillité et avec la complicité des autorités
catholiques".
Les jeunes identitaires "ne sont pas plus chrétiens
que les autres", estime Pierre Durieux, qui ne trouve rien à redire à ce
"symbole d'oecuménisme".
"Je suis Français, musulman pratiquant, et je travaille depuis toujours sur des monuments historiques", explique Ahmed, 59 ans, à l'AFP, qui assure avoir un grand respect pour les lieux sacrés". "Je peux travailler sur des mosquées, des synagogues".
Il rappelle que "c'est une tradition du Moyen-Age de représenter par des gargouilles certains des artisans qui ont travaillé sur le chantier des cathédrales, c'est ce qu'a fait le tailleur de pierres Emmanuel Fourchet, même si la plupart des gargouilles représentent des animaux fantastiques", souligne-t-il.
Pour
Kamel Kabtane, recteur de la
grande Mosquée de Lyon, "c'est un clin d'oeil, un de
plus, à l'amitié islamo-chrétienne à Lyon". "Lyon est la première
grande ville de province a avoir entrepris, dans les années 80 la construction
d'une mosquée digne de ce nom", rappelle le recteur pour qui "il se
passe ici des choses qu'on ne voit nulle part ailleurs". Déjà "en
1875, lors de la consécration de Notre-Dame de Fourvière, l'émir Abd-el-Kader
était présent".
LA CROIX 06/09/2010 16:30
À l’image du dîner annuel du Crif, le dîner du CFCM
est en passe de devenir le rendez-vous officiel entre le gouvernement et les
responsables de l’islam de France
Pourquoi cette réception ? Quel est le bilan du CFCM ?
|
|
Anne-Bénédicte HOFFNET et Gwenola de COUTARD |
9-09-2010
blog: Cristianisme i Justícia
http://www.cristianismeijusticia.net/bloc/-1/
REPULSA DE LA FUNDACIÓN MIGRA-STUDIUM A LA QUEMA DEL CORÁN
El pastor baptista Terry Jones, del Dove World Outreach Center de Gainsville, en Florida (USA), con ocasión de un nuevo aniversario del 11 de septiembre ha organizado un acto donde anuncia que quemará públicamente un Corán como “advertencia sobre el peligro que representa una religión que provoca odio". Ha proclamado ese día como “Día internacional de la quema del Corán”. Este acto ha puesto en alerta a las autoridades americanas ante el peligro de que desencadene nuevos conflictos interculturales e interreligiosos. La Conferencia Episcopal de Pakistán se ha apresurado a condenar la propuesta ante el temor a las represalias que puede sufrir, aun sin tener ningún tipo de relación con dicho pastor. El Vaticano se ha sumado a esta condena y lo ha considerado como un “gesto de grave ultraje”.
Sobre esta cuestión la fundación Migra-Studium :
1) Condenamos enérgicamente este acto y cualquier atentado contra los símbolos religiosos fundamentales de cualquier religión. Es absolutamente contradictorio el hecho de que el pastor quiera denunciar el odio de origen religioso provocándo él mismo este odio.
2) Advertimos contra el riesgo que tiene, en un mundo globalizado, el hecho de que una iniciativa puntual que no debería tener más trascendencia que la gravedad del hecho concreto se eleve a categoría de símbolo de lo que piensan los americanos – o los cristianos – del islam. La globalización de los medios de comunicación y la búsqueda de noticias impactantes provoca a menudo que ciertos sucesos insólitos producidos en un país sean interpretados por los destinatarios de las noticias como la norma y lo habitual de ese país. Esta dinámica no hace más que potenciar los prejucios y las barreras entre culturas, países y religiones.
3) Denunciamos asimismo los atentados contra los Libros sagrados cometidos por algunos creyentes de esas mismas religiones: nos referimos a la interpretación violenta de los textos religiosos hecha por el fanatismo religioso. Cuando se ha utilizado la Biblia para matar o cuando alguien enarbola el Corán antes de hacer explotar una bomba, no solamente está matando a seres humanos. También está matando y quemando el Corán o el Libro sagrado que utiliza como justificación.
MIGRASTUDIUM felicita a todos los musulmanes por el fin del Ramadán, ´Id al-Fitr.
COMUNIDADES
¡Id Mubarak!. Comunicados :Webislam
Comunicado de la FIRM sobre la fiesta del “iid el-fitr” o el fin de ramadan en Murcia
ESPAÑA
El diálogo entre cristianismo e islam vertebra un libro editado por la UIMP
El Ministro de Justicia felicita a los Musulmanes de España con motivo de Idul-Fitr
Un foro yihadista propone atentar en Barcelona el 24 de septiembre
La démographie au secours de la marocanité de Ceuta et Melilla.
INTERNACIONAL
El pastor protestante Terry Jones cancela sus amenazas de quemar el Corán el 11-S
L’enseignement catholique face à ses élèves musulmans
Egipto: Incendio en la iglesia de los coptos católicos del pueblo de Hagaza. El tercero en tres años en la diócesis de Luxor y siempre por un “cortocircuito”.
L'enquête sur les moines de Tibéhirine relancée
OPINION
Informar bajanades. Blog Jordi López: “¿Per què un pastor d’una església ínfima, més petita que un grupuscle, no té més de 40 fidels, pot arribar a ser notícia en els informatius de tots el món?”
Id mubarak
Id mubarak. Desde la plataforma digital de Junta islámica felicitamos a todos los hermanos y hermanas de la Ummah en el final de este santo y bendito mes de ayuno que, un año más, nos deja más limpios de idolatrías y más conscientes de nuestra responsabilidad en esta tierra,alhamdulillah.
Los hermanos de Níger han visto la luna nueva emerger en el horizonte. Id mubarak.
Id mubarak, sea cual sea el criterio o el mahdab que hayamos seguido durante el ayuno. Todos y todas hemos ayunado, cada cual según su conciencia y su resistencia. Y los actos, como sabemos, son según su intención.
Y ahora llega la fiesta, el júbilo que disuelve la privación y nos devuelve a la abundancia, a esa prodigalidad que caracteriza la vida islámica, el din del islam… en el día a día, en los rincones más sencillos de la vida cotidiana…
Ayunar para complacer a Allah es ya un triunfo en el esfuerzo por Su causa. Quienes hemos ayunado hemos podido contemplar nuestra propia precariedad, y ese vacío es ahora colmado con el final de la restricción:
¡Comed y bebed alegremente por lo que adelantasteis en los días pasados!
[Qur"an 69:23]
Quiera Allah que los tiempos por venir sean más justos y pacíficos, que nos ayuden a sentirnos más plenamente humanos: ¡Id mubarak, allá donde os encontréis! Fiesta y júbilo queridos por Allah, alegría tan necesaria y humana como la tristeza… Id mubarak tal y como estáis ahora, tal y como sois….
Que la paz y las mayores bendiciones sean con nuestro maestro y mensajero, Muhammad, Al Amín, por servir al más noble y divino propósito…
La federación islámica de la región de Murcia (FIRM), comunica que el primer día de la fiesta del fitr y como estaba ya previsto seria el viernes 10 de septiembre 2010.
Por ello la FIRM quiere aprovechar esta grata ocasión para felicitar a todos los musulmanes españoles y murcianos en especial por haber cumplido de mejor forma este mes sagrado ramadan y desea que recibamos esta fiesta del “iid el-fitr”; (fiesta de gran importancia para los musulmanes) en total paz, convivencia y buen ambiente.
De hecho la federación islámica de la región de Murcia (FIRM) comunica que como
ha transcurrido en años anteriores, se va a celebrar los ritos del
“iid” en varias mezquitas y polideportivos en distintas zonas de la
región de Murcia y en la que se espera acudir alrededor de unas 25.000 personas
entre hombres, mujeres y niños.
La fiesta del “iid el-fitr” o el fin de ramadan es para los
musulmanes una oportunidad de reconciliarse y donde se reúnen las familias
cercanas y lejanas para intercambiarse las visitas y en la que se disgusta los
buenos platos típicos y dulces del país de origen. Se viste a los niños del
mejor armario de ropa que tienen.
Es el DIA del amor,
del perdón y de la
convivencia. Nuestra felicitación a los más de 100.000
musulmanes de la región de Murcia.
Y iid mobarak Said (felices fiestas).
Lugar de la celebración: Polideportivo
Infante.
Fecha: 10 septiembre 2010.
Hora: 8:30 de la mañana.
Mounir Benjelloun Andaloussi
Federación Islámica de la Región De Murcia“FIRM”
Laure Rodríguez, presidenta de la Unión de Mujeres Musulmana junto a
representantes de la Plataforma de Mujeres Artistas Contra la Violencia de
Género y el Instituto de Estudios Euro Mediterráneos.
Feminismo Islámico. Las mujeres y el Islam es el título de la primera conferencia impartida por la presidenta de la Unión de Mujeres Musulmanas de España, Mª Laure Rodríguez Quiroga. Un tema de gran interés dada la próxima celebración en Madrid del IV Congreso Internacional de Feminismo Islámico que cuenta, asimismo, con la colaboración de la Plataforma de Mujeres Artistas.
Mª Laure Rodríguez Quiroga es mujer comprometida, ctivista y una de las más prestigiosas teóricas del feminismo islámico contemporáneo. Trabajadora social durante veinte años ha conocido de cerca la realidad y problemas de las mujeres inmigrantes. Además de ser presidenta de la Unión de Mujeres Musulmanas de España es coordinadora de la Red de Mujeres Musulmanas “An-Nisa”. Asimismo es directora de Acción Social y Consultora Intercultural Torre de Babel y asesora en género de la Federación de la España Musulmana. Ha sido fundadora de las asociaciones de Mujeres inmigrantes GARAPIEN en el País Vasco y Asociación de Mujeres Musulmanas BIDAYA. Es colaboradora del portal de información Webislamy su experiencia en igualdad y discriminación se extiende, entre otros, en países como Nicaragua, Costa Rica, México, Marruecos, Argelia, el Sahara. Rodríguez es especialista en temas como prostitución, tráfico de mujeres, abuso de menores, inmigración, multiculturalidad, drogadicción. Rodríguez Quiroga también fotógrafa y ha realizado numerosos informes y estudios reivindicativos sobre las mujeres musulmanas.
Con esta conferencia queda inaugurado el nuevo curso de talleres, conferencias y actividades de la Plataforma de Mujeres Artistas contra la Violencia de Género que en esta edición ya cuenta con instalaciones propias en el Instituto de Estudios Euro Mediterráneos de la Universidad Complutense de Madrid.
FEMINISMO ISLÁMICO. LAS MUJERES Y EL ISLAM a cargo de MªLaure Rodríguez Quiroga
JUEVES 16 DE SEPTIEMBRE 2010
18.00 horas
AULA 7. INSTITUTO DE ESTUDIOS EURO MEDITERRÁNEOS (EMUI) de la UNIVERSIDAD COMPLUTENSE DE MADRID (UCM)
C/ San Bernardo, 49 (Metro Noviciado)
(Se ruega confirmación)
Tfnos 91 394 66 23////629 620 550
SANTANDER,09.09.10,eldiariomontanes.es,J. C. R.
La iniciativa UIMP
2.0 ha
abierto las aulas de la universidad a la Red. En la misma línea aperturista la institución
edita ahora un libro sobre el diálogo de las culturas cristiana y musulmana en
el Marco de la Alianza de Civilizaciones. La obra recoge las ponencias que
expertos internacionales pronunciaron en el II Encuentro que sobre esta materia
organizó la sede de la UIMP-Campo de Gibraltar en Tetuán, el pasado mes de
junio.
La publicación, coordinada por el director de la sede linense de la UIMP,
Antonio Monclús, fue presentada ayer en Santander por el rector de la UIMP,
Salvador Ordóñez; el director general de Asuntos Europeos y Cooperación al
Desarrollo del Gobierno de Cantabria, Alberto García Cerviño, y el director del Instituto
Cervantes de Tetuán, Luis Moratinos.
En el acto celebrado en el Hall del Palacio de La Magdalena, Ordóñez afirmó que
la UIMP está «muy implicada» con las acciones de la Alianza de Civilizaciones
que, según recordó, trata de establecer puentes entre países y regiones para
fomentar la «confianza» entre la cultura occidental y musulmana, apoyar
proyectos innovadores encaminados a reducir la «polarización» entre naciones y
culturas, promocionar el «respeto y la comprensión» y recopilar y difundir las
experiencias que se vayan realizando en este sentido.
Precisamente, con este último objetivo, la UIMP ha publicado este libro, que
«aborda el binomio cultura-religiones, en su dimensión histórica, desde los
desencuentros violentos hasta la colaboración», según explicó el rector. A lo
largo de sus cuatro capítulos -'Panorámica general', 'Cristianismo e Islam',
'Diálogo de Culturas y Educación' y 'El diálogo de culturas en la literatura'-,
hace un recorrido que abarca desde la fuerte y permanente tensión entre
israelíes y palestinos hasta la democracia, entendida en su doble vertiente de
canalizadora de la participación ciudadana y de garante de la libertad de
expresión.
Islam España es el portal del islam en lengua española , un proyecto de futuro para la convivencia,la cooperación y el diálogo.
Madrid, 08/09/10,Islamedia.
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Con motivo de la fiesta del fin de Ramadán, el Director
General de Relaciones con la Confesiones don José María Contreras, se ha
dirigido al Presidente de la Unión de Comunidades islámicas de España y ,
Secretario General de la Comisión Islámica de España Riay Tatary la
siguiente felicitación :
Sr. D. Riay Tatary Bakry
Presidente de la Unión de Comunidades Islámicas de España y
Secretario General de la Comisión Islámica de España
C/Anastasio Herrero, 7
28020 MADRID
Querido Riay:
En estos días de celebración y alegría por la festividad del sagrado mes de
Ramadán, quiero hacerte llegar mi felicitación por el Aid AI-Fitr, y a través
tuyo a toda la comunidad musulmana de España.
Un fuerte abrazo
José Mª Contreras
A la cual contestó con las siguientes palabras:
Ilmo. Sr. Subdirector General de Coordinación y promoción de la Libertad Religiosa
D. José María Contreras
MINISTERIO DE JUSTICIA
MADRID
Mi muy apreciado José María:
Como Secretario General de la Comisión Islámica de España y Presidente de la
Unión de Comunidades Islámicas de España, me es muy grato dirigir el presente a
fin de expresar mi más sentido agradecimiento, por tu felicitación personal, la
cual apreciamos en sobremanera.
Nos ponemos a vuestra entera disposición, especialmente para cualquier
iniciativa y actividad tendente a fomentar el tan necesitado y básico disfrute
de la libertad religiosa, esperando que el trabajo conjunto a realizar reporte
mejoras sustanciales a toda la sociedad. Recibe con todo afecto, nuestro abrazo,
deseándote lo mejor, también en el ámbito personal y familiar.
Atentamente,
Riay Tatary
Islam España es el portal del islam en lengua española , un proyecto de futuro para la convivencia,la cooperación y el diálogo.
Madrid,08/09/2010,islamedia
Con motivo de Idul
Fitr, fiesta musulmana que culmina el mes sagrado de ayuno, el Señor Ministro
de Justicia envío una felicitación al Presidente de la Unión de Comunidades
Islámicas de España, cuyo texto dice:
[MINISTERIO DE JUSTICIA - EL MINISTRO
Sr. D. Riay Tatary Bakry
Presidente de la Unión de Comunidades Islámicas de España y
Secretario General de la Comisión Islámica de España
C/Anastasio Herrero, 7
28020 MADRID
Madrid,1 de septiembre de 2010
Estimado amigo:
En estos días de alegría y fraternidad para todos los musulmanes del mundo me
complace hacerle llegar mi más cordial felicitación por la culminación del mes
sagrado del Ramadán, que le ruego haga extensiva a todas las Comunidades y a
todos los musulmanes de España.
Aprovecho para manifestarle mi voluntad de colaboración en todos aquellos
ámbitos y en todo aquello que atañe al bienestar de los musulmanes en España.
Un afectuoso saludo,
Francisco Caamaño Domínguez]
El Presidente de la UCIDE agradeció al Señor Ministro su felicitación con estos
términos:
[08 de septiembre de 2010
Excmo. Sr. Ministro
D. Francisco Caamaño Domínguez
MINISTERIO DE JUSTICIA
MADRID
Mi muy apreciado Ministro:
Como Secretario General de la Comisión Islámica de España y Presidente de la
Unión de Comunidades Islámicas de España, me es muy grato dirigir el presente a
fin de expresar mi más sentido agradecimiento, por su felicitación personal, la
cual apreciamos en sobremanera, y que la hicimos extensiva a todas las
comunidades y a todos los musulmanes de España.
En la Unión de Comunidades Islámicas de España, nos sentimos honrados y
orgullosos por contar contigo al frente de tu Ministerio, cargo que desempeña
con gran entrega, con mucho tesón y sacrificio, labor compleja y difícil; pero
que, estamos seguros, es y seguirá siendo positiva para el bien de todos los
conciudadanos españoles de toda convicción.
Nos ponemos a vuestra entera disposición, especialmente para cualquier
iniciativa y actividad tendente a fomentar el tan necesitado y básico disfrute
de la libertad religiosa, esperando que el trabajo conjunto a realizar reporte
mejoras sustanciales a toda la sociedad.
Recibe con todo afecto, nuestro abrazo, deseándote lo mejor,
también en el ámbito personal y familiar.
Atentamente,
El presidente de la Unión de Comunidades Islámicas de España Y
Secretario General de la Comisión Islámica de España
Fdo: Riay Tatary Bakry]
Islam España es el portal del islam en lengua española , un proyecto de futuro para la convivencia,la cooperación y el diálogo.
Las amenazas surgen tras la detención, en agosto, del gestor de la web donde se propone atentar el día de la Mercè. | "Sobre esa estación se sitúa el mayor parque zoológico de la ciudad, que estará lleno de visitantes ese día", reza el anuncio
ISABEL RAMOS RIOJA | Barcelona | 09/09/2010 | Actualizada a las 00:22h | Política
Sugerencia: Atentar contra la estación de metro de Vila Olímpica el día 24 de septiembre. ¿Por qué esa estación y ese día? En un foro yihadista en la web, un activista que se hace llamar Amin al Qaeda lo explica: "Sobre esa estación se sitúa el mayor parque zoológico de la ciudad, que estará lleno de visitantes ese día". Lo que no llega a contar es por qué el 24 de septiembre habrá tanta gente. Cualquier barcelonés lo sabe: es la Mercé, fiesta grande en Barcelona.
La idea de poner en marcha un atentado contra Barcelona aparecía anoche
en el foro on line del que era responsable Faiçal
Erradi, detenido el 27 de agosto pasado en Poblenou de Benitatxell (Alicante)
por gestionar los debates de Ansar al Muyahidin (los partidarios de los
muyahidines) en la red.
Fuentes de la lucha antiterrorista aseguraban anoche a este diario que mensajes
de este tipo –que ven más como deseos que como amenazas reales– se
repiten en otras páginas web, que ellos siguen muy de cerca para verificar su
peligrosidad.
En cualquier caso, las opiniones vertidas en el foro reflejaban la rabia que la
detención de Erradi había provocado, por lo que se renovaron las ya conocidas
amenazas contra España.
Después de haber introducido en la red las fotografías de las centrales
nucleares españolas como posibles objetivos de un ataque, así como frases
lapidarias del tipo "El terrorismo viene a ti, España", Amin al Qaeda
planteaba una pregunta a sus compañeros de debate: "¿Qué pensais de la
ciudad de Barcelona?" Él mismo se respondía: "Es una ciudad bonita y
seductora. Que Dios nos la conceda como un botín fácil para los
musulmanes". Según este activista, se trata de un lugar en el que podían
tener éxito en los medios de transporte y especialmente en la estación de
"Villa Olimpico" (sic).
Amin al Qaeda ofrece detalles en un mapa del metro dónde se encuentra la estación y señala,
erróneamente, el hospital
más cercano, que sitúa en Bellvitge. Amin Al Qaeda concluye su intervención con
este deseo: "Que Dios haga posible a los leones de Al Qaeda que tengan
éxito en su ataque".
07.09.2010
SOURCE : YA BILADI
Le vieillissement des populations de Ceuta et Melilla plus la baisse du taux de natalité des Espagnoles de ces enclaves, constituent ce que la presse a qualifié de « suicide démographique ». Pire ! Ces présides sur les côtes marocaines craignent encore plus ce que le journal électronique Libertad Digital a appelé la «marocanisation accéléré du paysage ».
longdesc="http://static.yabiladi.com/files/articles/2267d586b7f8fd9ee6c255b23892941a.jpg"
title="">Mohamed, le prénom le plus
fréquent à Melilla
Constat cinglant pour les nationalistes espagnols : il y a de plus en plus de Marocains à Sebta et Melilla. Selon les données de l’Institut espagnol de statiques (INE), rapportées par Libertad Digital, en 2008 34% des nouveau-nés de Melilla avaient une mère Marocaine, contre « seulement 17% pour Sebta ». Le tableau des prénoms d’enfants nés à Melilla dans les années 60, et celui de la dernière décennie est révélateur.
Melilla serait donc la première enclave menacée par le péril démographique. Sa population est déjà à moitié de confession musulmane et d’origine marocaine. La fécondité des musulmans serait supérieure à celle des Espagnoles (non musulmanes) et même supérieure à celle des Marocaines « du Maroc ». Les Espagnols voient en cette situation, une politique de peuplement, mais surtout d’islamisation. Libertad Digital a affirmé à cet effet que « le Kosovo, berceau de la nation serbe, a été islamisé par l'arrivée constante d'Albanais et leur fécondité élevée constitue un précédent à prendre en compte ». On pourra sourire de la référence au nationalisme serbe qui a conduit aux massacres en Bosnie et on Kosovo.
Peur de l’islam
Cependant, ce n’est pas la perte de Melilla qui fait tant jaser. En effet, une bonne partie des musulmans de Melilla préfèreront surement rester sous souveraineté espagnole tant que le niveau de vie est largement supérieur à celui du Maroc. L’opinion publique dans les enclaves craint plutôt une perte de l'influence catholique au profit de l'islam. Une crainte justifiée par le futur rapport de force politique avec les électeurs musulmans inscrits à Melilla.
L’augmentation continue des habitants originaires du Maroc, entrainera un équilibre politique et sociétal qui ira en faveur de la majorité. Il y aura donc plus de revendication des musulmans, plus d'hommes politiques de confession musulmane, et partant de là, un gouvernement à majorité musulmane. Les Espagnols sont prêts pour le moment à accepter une minorité dominée, mais jamais devenir cette même minorité dominée. Quand sera-t-il dans quelques années ? Accepteront-ils de rester à Melilla en situation minoritaire ? On peut en douter tant les réticences par rapport à l'islam sont importants. Le retour de Melilla et Sebta sous le giron marocain pourrait trouver son dénouement dans les prochaines décennies comme le prédisait en son temps le Roi Hassan II.
Montée en puissance des régions frontalières de Melilla et Sebta
Depuis quelques années, la stratégie du Maroc s'appuie sur un développement rapide des régions du Nord et de l’Est du Maroc. Cela a d'ailleurs déjà produit ses effets en réduisant l’attrait commercial des deux présides occupés. De nombreux chantiers de développement socio économiques ont été réalisés ou sont en cours dans les régions du Nord et de l’Oriental.
Le port de Tanger Med déjà en service, mais aussi l’aménagement du port de Tanger ville, la station balnéaire de Port Lixus, la construction d’une usine Renault dans la zone franche de Tanger, leprogramme d’énergie éolienne à Tanger et Tétouan, l'ouverture des grandes surfaces Marjane, Asswak Assalam, Acima dans les principales viles sont autant de projets qui donneront un nouveau souffle à la région du Détroit. L’Oriental avec sa station de Mediterannia-Saidia, connait également un boom en matière de grands travaux. On peut ainsi citer Nador West Med, l’aménagement en station balnéaire de la lagune de Marchica, sans oublier l’autoroute Fès-Oujda et les travaux d’extension de l’aéroport d’Oujda Angad.
Ces mutations permettront à ces régions au nord et à l’est du Royaume, de rattraper leur retard sur les deux enclaves espagnoles, en termes de niveau de vie. La machine est en marche et la démographie fait son oeuvre.
Ibrahima Koné
En una comparecencia ante los medios en su iglesia de Gainesville, Jones anunció su decisión |
09/09/2010
Washington. (EFE).- El religioso radical Terry Jones, que amenazaba con quemar elCorán el sábado para conmemorar el aniversario de los atentados del 11 de septiembre de 2001, anunció hoy que desiste de esa intención.
En una comparecencia ante los medios en su iglesia de Gainesville
(Florida), Jones anunció su decisión, tomada después de que se multiplicaran
las críticas sobre la iniciativa en todo el mundo, encabezadas por las del
propio presidente de EEUU, Barack Obama.
El "pastor", que habló sin aceptar preguntas de la prensa, indicó que
ha renunciado a quemar el Corán porque el imán de la mezquita que se planeaba
en la "zona cero" de Nueva York donde se perpetraron los atentados ha
aceptado mudar el centro religioso a otro emplazamiento. Sin embargo,
inicialmente no ha sido posible confirmar que efectivamente el imán neoyorquino
ha accedido a construir la mezquita en otro lugar.
Según Jones, volará el próximo sábado a Nueva York para reunirse con el imán.
El cambio de postura del
pastor se produce después de una serie de llamamientos
internacionales, que incluyeron a Obama y al papa Benedicto XVI.
El secretario de Defensa, Robert Gates, se puso hoy en contacto con Jones para
pedirle directamente que renunciara a su amenaza, que el Gobierno de EEUU
consideraba que podría poner en peligro a sus tropas en el exterior y alentar
el reclutamiento de extremistas islámicos.
La red internacional de Policía Interpol había lanzado una alerta a los 188
países miembros en los que advierte de "fuerte posibilidad" de
atentados violentos si se completa la profanación.
El Departamento de Estado también emitió una alerta de viaje para los
estadounidenses en la que advertía a sus ciudadanos de que se mantengan
alejados de las posibles protestas que puedan ocurrir en el extranjero contra la quema. A las advertencias
sobre las consecuencias que acarrearía la quema se sumó hoy el propio
presidente Barack Obama, que calificó la convocatoria del Día
Internacional de la Quema del Corán como un
"acto destructivo".
El presidente estadounidense, en una entrevista concedida al programa Good
Morning America de la cadena
ABC, consideró que la quema del Corán ayudaría enormemente a
Al Qaeda en el reclutamiento de combatientes y pondría en mayor peligro a las
tropas de EEUU en Afganistán e Irak. "Espero que escuche la voz de la
razón y entienda que se está implicando en un acto destructivo", señaló
Obama.
08/09/2010 18:00
Avec l’aide du service des évêques
pour les relations avec l’islam, l’enseignement catholique a listé
quelques « situations problématiques » et propose des lignes de conduite
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Des élèves musulmanes de troisième lors d'un cours de
philosophie au collège privé catholique Saint-Mauront, à Marseille
(AFP/ANNE-CHRISTINE POUJOULAT).
«Le jour de la rentrée, les garçons ne répondent pas à leur nom lorsque la
nouvelle directrice, qui succède à un directeur, fait l’appel des
classes. Par contre, les élèves répondent à leur professeur principal qui est
un homme. » « Des lycéens musulmans prient régulièrement dans la cour. Un jour de pluie,
la directrice leur propose une salle. Ce lieu devient la salle de prière où les
élèves invitent des personnes extérieures à l’établissement. La
directrice ne peut plus disposer de cette salle pour d’autres activités.
»
Ces exemples, tirés du document publié en cette rentrée par le Secrétariat
général de l’enseignement catholique sur les Musulmans en
école catholique, font désormais partie du quotidien d’un certain nombre de
leurs établissements. Notamment ceux qui, en milieu plus populaire, accueillent
de plus en plus d’élèves de confession musulmane : certaines écoles
comptent parfois jusqu’à 70% d’élèves musulmans.
En 2008, les évêques avaient posé la question, à l’occasion d’un
document intitulé : Pourquoi
l’Église catholique continue-t-elle de s’engager dans le dialogue
interreligieux ? Il a donc été décidé de lui donner une réponse plus concrète,
grâce à un travail mené conjointement par le Secrétariat général de
l’enseignement catholique (SGEC) et le Service pour les relations avec
l’islam (SRI) de la Conférence des évêques.
«Ne pas mélanger islam et réaction d’adolescents»
« Nous avons souhaité partir de situations vraies pour ne pas être
déconnecté de la réalité », explique Pierre Robitaille, qui a piloté, pour le
compte du SGEC, le petit groupe de travail qui s’est réuni pendant deux
ans. Les « situations problématiques » ont été recensées et chacune
d’entre elles a été travaillée par l’équipe. Situations
problématiques, c’est-à-dire, indique le document, « toutes les
situations qui posent question, directement ou après prise de recul et pas
seulement les situations conflictuelles ».
Au final, cela donne un dossier en deux parties : d’un côté, les fiches
d’informations sur l’islam, de l’autre des « dossiers
situations » comportant chacun la description d’une situation, sa
problématisation, un éclairage et enfin « des lignes de conduite et points
d’attention ».
Face à de jeunes musulmans refusant de répondre à l’appel d’une
femme, il est par exemple proposé une fois passée la première réaction, «
d’organiser rapidement une réflexion avec l’équipe éducative », de
ne « pas mélanger islam et réaction d’adolescents, identitaire,
culturelle et religieuse », ou encore de « faire intervenir des médiations : un
musulman, en priorité un enseignant ou personnel d’éducation, sinon un
responsable de mosquée, ou un expert, par exemple le responsable diocésain pour
les relations avec l’islam ».
«Savoir ce qu’est un établissement catholique»
« Évidemment, il n’y aura jamais deux cas pareils, le
contexte sera toujours différent d’un établissement à l’autre, mais
cet outil aidera certainement les communautés éducatives à prendre du recul, à
démêler ce qui relève du religieux, du culturel, voire du psychologique
lorsqu’il s’agit d’adolescents », souligne Sœur Colette
Hamza, xavière et directrice adjointe du SRI, qui reconnaît que la conjonction
entre une présence accrue des élèves musulmans dans l’enseignement
catholique, « au moins dans certaines régions », et «un islam qui demande sa
place, cristallise davantage ces situations qu’il y a quinze ou vingt
ans».
Au fil des réunions, il est apparu que celles-ci pouvaient relever de trois
catégories : les situations à forte composante sociale et culturelle, celles
touchant plus directement à la pratique religieuse des élèves musulmans, et
enfin celles relatives à leur participation aux activités religieuses de
l’établissement. La question du sens de « la participation de juifs ou de
musulmans à une célébration eucharistique » est ainsi abordée. Ou encore la
pertinence, à Noël, de « profiter d’une fête religieuse pour mieux
comprendre le sens du fait religieux et rentrer dans un partage festif ».
«La catéchèse doit pouvoir être ouverte à tous»
« Au fond la question rejoint celle de savoir ce qu’est un
établissement catholique », note Colette Hamza. « Tout parent devrait pouvoir
inscrire son enfant à l’école catholique, pourvu qu’il adhère au
projet pastoral et éducatif de l’établissement, et ce projet doit être
clair et explicitement catholique », rappelle ainsi Mgr Éric Aumonier, évêque
de Versailles et président du Comité national pour l’enseignement
catholique, qui précise : « La catéchèse doit pouvoir être ouverte à tous, mais
il est clair que quelqu’un qui n’est pas baptisé ne peut aucunement
être obligé à participer. »
Reste un dernier sujet, plus épineux encore : celui de l’attitude des
établissements catholiques vis-à-vis des adultes musulmans qui y travaillent. «
Nous nous sommes aperçus que se cachait parfois un certain racisme, constate
Pierre Robitaille. Compte tenu de la législation, un établissement sous contrat
ne peut refuser d’embaucher un enseignant musulman. Mais cela ne résout
pas la question de sa participation au projet éducatif. Normalement, tous les
membres de la communauté éducative y participent. Il s’agit donc plutôt
d’un choix d’établissement : nous publierons sans doute une fiche
avec des questionnements destinés à les aider à réfléchir. »
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Anne-Bénédicte
HOFFNER |
LUXOR, jueves 9 de septiembre de 2010 (ZENIT.org).- Las llamas destruyeron hace tres días la iglesia católica copta de Hagaza, a 25 kilómetros al norte de Luxor, en el Alto Egipto, un pueblo que en el pasado fue escenario de un asalto en el que fundamentalistas islámicos mataron en la calle a tres coptos (uno católico y dos ortodoxos).
En un mensaje enviado a ZENIT, el obispo de los coptos católicos de Luxor, monseñor Joannes Zakaria, escribe: "Sobre la una de la mañana del lunes 6 de septiembre de 2010, recibí una docena de llamadas telefónicas para informarme de que un gran incendio había destruido la iglesia de los coptos católicos del pueblo de Hagaza".
"Por desgracia -continúa-, este pueblo tiene una historia difícil de violencia, tribulaciones y relaciones no demasiado buenas entre cristianos y musulmanes".
Los cristianos de Egipto, en su mayoría coptos, representan un 10% de la población del país. De más de 83 millones de habitantes, de hecho, el 90% es musulmán.
"Hace cinco años -recuerda el obispo- tras una pelea en el mercado, un cristiano mató a un musulmán, y hace tres años, en la vigilia de Pascua, fueron asesinados tres jóvenes cristianos".
"La iglesia copta católica de Hagaza fue fundada por frailes menores franciscanos en el año 1890", explica el prelado.
Y continúa relatando: "Cuando llegué a Hagaza, vi que el incendio había destruido todo el edificio de la iglesia y no se había salvado nada".
"Ayer y hoy -prosigue monseñor Joannes Zakaria-, me he reunido con las autoridades gubernamentales y con los jefes de la policía, que me han informado de que la causa del incendio ha sido un cortocircuito".
"Durante la reunión, les he pedido permiso para preparar un nuevo edificio para celebrar la misa el próximo domingo, para los 600 coptos católicos que viven en el pueblo de Hagaza, pero por desgracia me han respondido negativamente".
"Debo decir -subraya- que éste es el tercer incendio en mi diócesis: hace tres años fue incendiada la tercera planta de la casa episcopal de Luxor; hace un año se incendió una parte de la casa de las Hermanas Franciscanas Mínimas del Sagrado Corazón, en la ciudad de Isna".
"Este año ha sido incendiada la iglesia católica del pueblo de Hagaza, y en los tres casos la causa del incendio ha sido siempre un cortocircuito", añade.
"Os escribo este mensaje -concluye el prelado- para pedir vuestra oración y vuestra solidaridad. Verdaderamente, yo, el pobre sacerdote y los 600 fieles coptos católicos de Hagaza necesitamos vuestra oración y vuestra fraternidad para que nuestro coraje no disminuya, y que nuestro buen Dios nos ayude a continuar viviendo y testimoniando nuestra fe de amor y de paz".
L'ex-ambassadeur de France en Algérie devait revenir
devant le juge sur les conditions de l'identification des corps
le MONDE 10.09.2010
L'ancien ambassadeur de France en Algérie, Michel Lévêque, devait de nouveau être entendu jeudi 9 septembre par le juge antiterroriste Marc Trévidic, chargé de l'enquête sur l'assassinat des sept moines de Tibéhirine, en Algérie. Quatorze ans après les faits, le magistrat cherche toujours la vérité dans ce dossier et à démêler certaines ambiguïtés. Or, les documents sur lesquels le secret-défense a été levé en ont apporté de nouvelles.
Dans ceux remis par le ministère des affaires étrangères figurent les fax cryptés transmis par l'ambassadeur à sa hiérarchie après la découverte, le 30 mai 1996, sur le bord d'une route, près de Médéa, des têtes des moines dont les corps n'ont jamais été retrouvés. Dès le lendemain, M. Lévêque s'est rendu à l'hôpital militaire d'Aïn Nadja, à Alger, pour identifier les restes des religieux.
Le 2 juin 1996, il rédige une note de deux pages sur les constatations faites, écrit-il, par " le médecin de gendarmerie de - l' - ambassade qui m'avait accompagné ". Les remarques sont d'ordre médical. Elles relèvent des indices, " les boîtes osseuses ne portent aucune trace de projectile ", ou bien soulignent la trace d'une fracture particulière sur l'un des crânes, " laissant à penser que les décapitations ont été effectuées par une arme blanche et lourde. "
Deux autres témoins
La note se conclut par une évaluation de la date du décès : " Les différentes constatations visuelles effectuées par le médecin de la gendarmerie conduisent à penser que le décès des sept moines pourrait remonter à une période située entre le 16 et le 21 mai (date de revendication de l'assassinat des moines par le GIA). " Ces écrits sont en tout point conformes aux déclarations faites dix ans plus tard, le 12 avril 2007, par M. Lévêque lors de son audition par le premier juge antiterroriste chargé du dossier, Jean-Louis Bruguière.
Mais deux autres témoins sont venus récemment contredire la version de l'ambassadeur. Le 24 juin 2010, le médecin chef des armées, Tantely Ranoarivony, qui exerçait la fonction de médecin de la gendarmerie à l'ambassade de France à Alger en 1996, a été pour la première fois entendu. Agé alors de 26 ans, spécialisé dans la chirurgie maxillo-faciale, il était bien présent le 31 mai 1996 à l'hôpital d'Aïn Nadja pour aider à identifier, d'après des photos, les moines qu'il ne connaissait pas et dont il découvre sur place, " interdit ", qu'il n'y a que les têtes dans les cercueils. Ses souvenirs, avec le temps, sont imprécis, mais, surprise, il affirme ne pas être l'auteur des constats. " Je ne me souviens pas avoir donné à l'ambassadeur ces indications qui paraissent très précises et très techniques ", déclare-t-il au juge Trévidic, comme le rapporte le procès-verbal consulté par Le Monde.
" Je n'ai pas donné d'indication sur la datation des décès, car je ne suis pas médecin légiste ", ajoute-t-il. M. Ranoarivony précise au passage qu'il lui avait été demandé de tenir secret l'absence des corps.
Cassettes intriguantes
Le 24 août, entendu pour la première fois à son tour, l'ancien consul de France, François Ponge, également présent à l'hôpital ce 31 mai 1996, abonde dans le même sens. " Je lui ai posé la question de la date du décès, il n'a pas pu me répondre, dit-il à propos du médecin gendarme. Je ne me souviens pas d'autres questions en ma présence. " D'autres médecins auraient-ils pu faire les constatations ?
Ces éléments trouveront peut-être une réponse mais ils contribuent au trouble qui continue d'entourer l'assassinat des moines - revendiqué par le GIA. D'autant que des cassettes vidéo de terroristes repentis, transmises par les autorités algériennes et découvertes sur le tard par le juge Trévidic dans le coffre du bureau de son prédécesseur, ne laissent pas d'intriguer. Récemment traduites, elles confirment en effet que des opérations militaires ont été menées dans la zone où étaient détenus les moines, contrairement aux promesses faites par Alger à Paris.
En juin 2009, l'ancien attaché de défense à l'ambassade de France, François Buchwalter, avait déjà jeté un pavé dans la mare en évoquant des tirs d'hélicoptères de l'armée algérienne, qui auraient mitraillé le camp où se trouvaient les religieux. " On progresse pas à pas, et on obtient de plus en plus d'éléments du côté français, se félicite Patrick Baudoin, l'avocat de la partie civile. L'objectif, maintenant, est de rassembler le maximum de connaissances pour pouvoir se tourner du côté algérien et obtenir qu'ils se dévoilent plus qu'ils ne l'ont fait jusqu'à présent. "
Isabelle Mandraud
blog: Jordi López
10-09-2010
Es fa difícil de creure que una notícia
descabellada, esperpèntica i irritant, com és la proposta del pastor nord-americà
Terry Jones de cremar l’Alcorà el proper 11 de setembre perquè considera
l’Islam diabòlic, hagi esdevingut una notícia important. Sembla que les
bajanades han de tenir un predicament i un recorregut limitat, però no és així.
¿Per què un pastor d’una església ínfima, més petita que un grupuscle, no
té més de 40 fidels, pot arribar a ser notícia en els informatius de tots el
món?, ¿per què la proposta d’un eixelebrat pot arribar a fer trontollar
l’escenari geopolític?. La notorietat de Terry Jones és evident. Mirant a
Google o a You Tube hom descobreix l’impacta que ha tingut aquest pastor
protestant. La prèdica d’aquest pastor sempre ha estat catastrofista a
partir d’agitar la por de les persones. Per exemple, arran del desastre
d’Haití proclamà que aquest fet era el resultat del comportament
pecaminós dels habitants d’aquest país.
L’èxit de Terry Jones és l’ús de la transmissió
viral de la
informació. Les seves paraules corren de presa i no s’aturen.
A mesura que es transmeten la informació guanya en intensitat perquè actua com
factor emergent que atrau altres idees similars. Al final ja no es tenen unes
idees sinó una causa. Ara Terry Jones defensa la causa contra l’Islam. La
proposta d’aquest pastor, difosa en principi a través de la xarxa
d’Internet, ha aconseguit despertar l’interès de persones que
pensen com ell. Aquests s’han convertit en propagadors de les idees però
ja en forma de causa contra l’Islam. Quan una proposta o una idea són
expressades com una causa adquireixen una notable penetració en la societat.
És així com el pastor
Terry Jones ha aconseguit congregar davant de la seva modesta
església els equips de ràdio i televisió que han de transmetre via satèl·lit el
seu Fahrenheit particular del proper dissabte 11 de setembre. Totes les cadenes
informatives volen estar a primer fila de la cuidada gespa de la Vova World Outrech
Center a Florida per retransmetre aquesta mostra màxima de rebuig i
intolerància. Les ràdios i les televisions són el complement legitimador de la
transmissió viral de la informació. Elles aconsegueixen reforçar els
camins explorats de forma precària a través de la xarxa d’Internet. No
els importa la categoria moral de la notícia, perquè el que preval és la
notícia al marge de quina sigui la seva qualificació ètica. Per això que em
sembla apropiat preguntar sobre ¿què hauria passat si les cadenes de notícies
no haguessin informat dels propòsits del pastor Jones?.
Probablement, el que avui pot arribar a ser un incident de conseqüències
imprevistes no hauria passat de la simple anècdota d’un petit poblet dels
Estats Units. Penso que els medis de comunicació han d’adoptar uns altres
codis de comportament ètic per evitar que les idees d’uns il·luminats,
que fomenten l’odi i l’exclusió, alterin dramàticament la
convivència cívica.