Sensibilisation contre le piratage de logiciels

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The Kid

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Nov 18, 2010, 10:08:14 AM11/18/10
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Microsoft Océan Indien a procédé, ce mercredi, au lancement du site et de la brochure « Go Genuine ». Cet événement, organisé avec la collaboration des autres membres de la Business Software Alliance (BSA), notamment Maurisoft et Elytis, s’inscrit dans le cadre du « Consumer Action Day » 2010.
Pour Microsoft Océan Indien c’est l’occasion de réitérer sa campagne contre le piratage de logiciels à Maurice.

Cette entreprise veut protéger les consommateurs des dangers liés à la contrefaçon. Cette activité bénéficie du patronage institutionnel du National Computer Board (NCB), de la MASA, et de l’Ambassade Américaine.

La démarche est importante si Maurice veut faire des TIC un des piliers clés de l'économie. La transformation de Maurice en cyber-île et en centre régional informatique en dépend également. De 2008 à 2009, le taux d’installation de logiciels sans licences sur les ordinateurs a baissé d’un point, passant de 57 à 56 %. La valeur commerciale relative à cette
baisse est d'environ 4 millions de dollars. Cette somme correspond au manque à gagner pour l’industrie de l’édition logicielle et son écosystème.

« Les préjudices sont importants en termes de pertes, de chiffre d’affaires, de création d’emploi et de croissance économique. Il est fondamental pour l’industrie du logiciel, de réduire le taux de ce délit qui est destructeur d’un point de vue économique », a précisé Dan Faugoo, Directeur du National Computer Board (NCB).

En effet, le piratage de logiciels n'est pas une simple nuisance ou un simple vol, mais il est considéré comme une pratique sophistiquée, menaçante et habilement organisée dans le monde entier. D’autant plus qu’il est de plus en plus difficile de la traquer.

Selon la Copyright Act 1997, toute personne trouvée coupable, pour une première condamnation, est passible d'une amende pouvant atteindre les Rs 300 000 et une peine d'emprisonnement ne dépassant pas les 2 ans. En cas de récidive, le coupable est passible d'une amende allant jusqu’à Rs 500 000 et une peine d'emprisonnement pour une durée maximale de huit ans.
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