Le verbal et le non verbal...
masmnet
Vous voilà bienvenue, avant de commencer, merci de lire ce paragraphe
sans le corriger :)
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Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers
dnas un mot n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la
pmeirère et la drenèire soit à la bnnoe pclae. Le rsete peut êrte
dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème.
C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe,
mias le mot cmome un tuot.
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La dernière semaine nous avons parlé sur l'efficacité de la
communication et les facteurs d'échec et les obstacles de la
communication, la présente on va classer les deux formes de la
communication et les différences aspects de chacune ; la communication
verbale et la communication non verbale, l'une étant le langage de
la pensée, et l'autre le langage du corps... parlant aussi sur le
verbal et le non verbal...
Cependant, la plupart de personne connaît le verbal car il s'utilise
souvent avec conscience, par contre au non verbal qui s'exprime
souvent sans cognition. Pour cela, on va parler trop sur le non verbal
aussi que le verbal.
La communication verbale est celle qui utilise le langage comme code de
communication. Elle peut être orale ou écrite. C'est-à-dire
qu'elle utilise le langage dit ! Le langage est un système de
signaux partagés par l'émetteur et le récepteur. Il est formé de
deux éléments : un vocabulaire (ensemble de mots utilisables) et une
syntaxe (façon dont on va organiser les mots pour construire des
phrases).
Il existe aussi trois niveaux de langage appelés encore registre de
langue (familier, courant, et soutenu) et merci de réviser ça à
l'un des séances précédentes... et ce qu'on va signaler ici
c'est qu'il est nécessaire de choisir le registre de langue en
fonction de la situation dans laquelle se produit la communication :
personnalité des interlocuteurs, position sociale, objet de la
communication, le canal,...
Dans une situation de communication verbale, trois éléments sont
particulièrement importants :
- L'opération de codage (mise en mots d'une pensée) : plus le
vocabulaire et la syntaxe disponibles sont importants, plus
l'émetteur exprimera sa pensée avec précision.
- L'opération de décodage (opération inverse) : il faut que le
récepteur maîtrise suffisamment le niveau de langage utilisé par
l'émetteur.
- L'opération de rétroaction : qui permet les réajustements
indispensables au passage effectif du message.
Des études sont démontrées que les messages non verbaux
représentent en moyenne 70% des messages que l'on transmet et que
l'on reçoit dans une telle ou telle conversation. Alors qu'est ce
que la communication non verbale et quel est son rôle?!
La communication non verbale se situe en dehors du langage. Bien
souvent, elle échappe à la volonté et à la conscience. Certaines
psychosociologues lui donnent le nom de «paralangage», et en
déterminent quatre composantes :
A/* le territoire :
C'est l'espace qui existe soit :
- Entre des individus : la distance entre soi et les autres à
l'intérieur de laquelle on considère qu'il y a agression, viol de
son intimité. Elle est fonction des individus, mais aussi des
cultures.
Ex. : des individus serrés dans un autobus bondé sont souvent mal à
l'aise.
- Autour des individus : la façon dont ils se déplacent. On reçoit
des messages différents de quelqu'un qui se meut lourdement ou de
quelqu'un qui se déplace avec agilité ou rapidité...
Et dans ce point, on présent l'expression connue: "garder ses
distances". Chacun d'entre nous marque ses distances en parlant à
l'autre.On distingue quatre zones de communication :
1/ Zone intime (de 15 cm à 45 cm), ton de la confidence : un mari avec
son épouse...
2/ Zone personnelle (entre 45 cm et 1,20 m), relations
professionnelles, voire amicales : entre les amis ou à l'intérieur
de l'école ou de la société...
3/ Zone sociale (de 1,20 m à 3,50 m), qui marque la fonction de chacun
: pendant une action sociale, ou aussi quelqu'un à la rue qui veut
quelle heure est-il ?
4/ Zone publique (plus de 3,50 m), face à un public : dans un
colloque...
B/* l'image du corps : c'est l'image que l'on renvoie
extérieurement, l'importance qui est accordée par chacun d'entre
nous à la façon dont il s'habille. Les choix vestimentaires ont une
signification sociale, culturelle et personnelle. Ils peuvent servir de
base au jugement de l'autre.
Ex. : on ne se rend pas à un entretien d'embauche en habillant mal
présenté.
C/* la posture : au travers des gestes, des attitudes, nous envoyons et
recevons un grand nombre de messages qui nous aident à construire
notre impression de l'autre. Ils jouent un grand rôle dans la
relation qui s'établit lors de l'échange.
Ex. : la façon dont une personne est assise sur sa chaise (au bord, au
fond, avachie, droite, jambes croisées,...) peut donner une impression
de timidité, de désinvolture, d'abattement,...
D/* le visage et la mimique : notre visage est le siège d'une
infinité d'expression non verbales dont nous sommes totalement
inconscients, mais qui sont enregistrées par l'autre. Le regard,
notamment, a une importance particulière. Les signes d'attention,
d'impatience, d'étonnement, de soutien ou de rejet peuvent
également se lire sur le visage de celui qui écoute et constituent
une grande part du feedback.
Le rôle de la communication non verbale :
* la communication non verbale vient appuyer le discours verbal pour
apporter des éléments d'information complémentaires au récepteur
:
- certains gestes transmettent un message, et la parole n'est pas
nécessaire. Il en est de même pour certaines expressions du visage,
certaines mimiques. Ces gestes sont codés (par ex. le policier lève
le bras pour stopper le flot de la circulation).
- certains gestes répètent l'information, comme pour la rendre plus
compréhensible. Ils sont bien souvent instructifs, et ponctuent les
propos (par ex. quand une personne indique un chemin à suivre, ses
gestes miment le trajet à parcourir).
- certains gestes et mimiques traduisent des émotions et expriment des
états intérieurs. Ils accompagnent l'état émotionnel de celui qui
parle, et peuvent, par ex. manifester son inquiétude, sa perplexité,
sa concentration...
* Le paralangage, qui semble destiné à renforcer le message transmis,
a parfois l'effet inverse : certains gestes peuvent parasiter la
parole, et sont perçus par le récepteur au détriment du message
communiqué. C'est le cas des tics ou des gestes répétés très
fréquemment (jouer avec ses lunettes, par exemple). Les gestes
assurent ou coupent la communication : le regard, le sourire, certains
gestes des mains, la position du corps peuvent renforcer la présence
de celui qui parle et maintenir le contact. A l'inverse, un visage et
une position de fermeture, un regard fuyant peuvent entraîner la
rupture de la communication, ou altérer sa qualité.
En bref, on peut dire que s'il y a convergence entre le verbal et le
non verbal, l'impact du message est plus fort et la réception
meilleure. Sinon, le récepteur est désorienté et le sens du message
peut être altéré.
Et vous voilà encore, avant de quitter merci de lire l'information
une autre fois ! Elle est assez corrigée.
_______________________________ L'expression exacte
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Selon une étude de l'Université de Cambirdge, l'ordre des lettres
dans un mot n'a pas d'importance, la seule chose importante est que
la première et la dernière soit à la bonne place. Le reste peut
être dans un désordre total et vous pouvez toujours lire sans
problème. C'est parce que le cerveau humain ne lit pas chaque lettre
elle-même, mais le mot comme un tout.
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En vous souhaitant des bonnes journées au mois de De'lhidja ainsi
qu'à tous les musulmans, nous vous souhaitons aussi avoir le bon
intérêt pendant cette modeste session...
A demain incha Allahe, à très bientôt wa salamo 3alaykom wa rahmato
Allahe...
Cordialement