La guerre des "mâles" n'aura pas lieu..son cheval de Troie, les TCC

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Nov 10, 2010, 9:11:18 AM11/10/10
to la libraire de germinalyse
La guerre des "mâles" n'aura pas lieu..son cheval de Troie, les TCC ?
Par tassigny Groupe germinalyse , le 21/01/2008
JAM part il en guerre ? D'un côté il est attaqué de toutes part
jusqu'au procès que lui
ont intentés Melman et les "amis de J. Lacan,"
de l'autre, il se propose comme le défenseur des psychanalystes et
anti ? D'abord
ces " guerres des mâles" psychanalystes ne m'intéressent pas, encore
moins quand
elles s'inscrivent, comme je le soutiens avec Adorno, dans la sphère
de la
bourgeoisie - parisienne. M. Miller et ces lacaniens m'indiffèrent
totalement. Melman
ignore ce qui est le problème même d'une certaine psychanalyse, à
savoir que l'on
ne peut pas analyser certaines phénomènes de la société sans en même
temps
regarder ce qui la gère par ailleurs - ex perversité et abus d'un côté
et enferment
dans les normes de l'autre. cela marche ensemble. Enfin que vous ne
connaissiez
pas bien la"néuroéconomie" est une chose, vouloir l'ignorer comme
phénomène
agissant - relève d'une tendance à une négation dangereuse. le
problème est bien là
: je constate comme ça les constructions par ci par là de "mondes" de
refuge, des
fragmentations privées qui croient pouvoir se préserver des forces à
l'oeuvre par
ailleurs. Faites comme bien vous semble ne soyez pas très surprise
quand cela vous
tombe dessus. J'ignore les affinités électives de m. Sollers avec
Miller - mais j'ai
entendu Sollers être très inquiet sur ce qui se passe dans la France
sarkozyste - et
je vous signale que la ruse est bien là, un constant jeu sur deux
versants -
rationaliste quantitatif d'un côté et "civilisateur" de l'autre -
comme si les deux
pouvaient aussi simplement cohabiter sans s'opposer..(c.k) Il y a un
problème qui ne
convient pas de négliger..aux yeux de la psychanalyse, celui qui sait
"construire" sa
voie, voire son édifice ( économique surtout), se "débrouille" dans la
société et ses
institutions, sait intégrer les paradoxes et en jongler, fait preuve
d'un "Moi" bien
constitué ( avec cette connotation d'adulte). or aujourd'hui pour
remplir cette "vision" ,
à moins d'être fonctionnaire, intellectuel, vous devez être un as du
commerce, du
marketing, de la technologie, de la comm et ses stratégies etc.
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.. Ces gens réussissent, ils sont adaptés et aptes à faire avec leur
vie, même si la vie
ne se réduit pas à cela, la psychanalyse ne peut pas ici nier ce à
quoi son discours a
participé. Il y a un livre d'un jeune trentenaire qui vient de sortir
faisant le procès des
"anciens", soixante-huitards de surcroît, assis sur leur siège sans en
bouger. La
question est de quel "Moi" la psychanalyse est-elle porteur ?
J'imagine déjà la
réponse.. et je ne peux que dire et redire ce que je constate autour
de moi : les
"forts" en analyse ont pris le pli de la société et "les fragiles"
continuent de l'être. Le
problème est précisément que les sciences cognitives aboutissent d'un
côté au
"neuromarketing" et de l'autre aux réflexions d'un Antonio Damasio qui
les lie à la
philosophie («l'erreur de Descartes"et "Spinoza avait Raison") - le
problème est que
les sciences cognitives ne nourrissent pas que la vision d'un homme
robotisé et
comportemental.
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