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Le bureau exécutif de la « Convention pour l’action,
la démocratie, et le développement (CADD) » a confirmé l’information tout en
dénonçant l’acte au cours d’un point de presse tenu le 14 févier 2015 à
Brazzaville.
Le cortège du président de la « CADD », André Okombi Salissa, partait du district de Lékana, dans le département des Plateaux, pour Brazzaville dans la nuit du 12 février 2015 dernier. « À hauteur du village Lampama, trois personnes cagoulées surgissent, armes à la main, et ouvre le feu. Les véhicules n’ont pas continué leur route sur la ville capitale suite aux conseils des sages et de nombreux sympathisants », à en croire les explications de l’un des membres du bureau exécutif du parti, Alain Marius Ngoyakissi. « En tout état de cause, l’attaque à main armée, (…) visait visiblement l’élimination physique du président André Okombi Salissa. Si par de tels actes l’on cherchait à l’intimider par rapport aux débats en cours dans notre pays, c’est peine perdue », a-t-il poursuivi, dans la déclaration officielle du parti à propos de cette attaque. Selon Alain Marius Ngoyakissi « le président du + CADD + est constant dans ses convictions. Il reste par ailleurs serein et libre de ses mouvements en tant que citoyen congolais ». Les membres du bureau exécutif de la « CADD » ont profité de l’occasion pour mettre en garde les pêcheurs en eau trouble, tentés par la démocratie de l’invective et ont appelé au calme les militants de ce parti politique. La « CADD » exige, par ailleurs, la mise en place d’une commission d’enquête internationale afin d’élucider les circonstances de ladite attaque. Alain Marius Ngoyakissi a annoncé qu’André Okombi Salissa sera de retour à Brazzaville dans les tout prochains jours. Soulignons que la déclaration de la « CADD », sur cette attaque armée, n’a fait état ni de morts ni de blessés.
Cordialement, |