Bonsoir, Éric,
Bonsoir, la liste,
> une solution de plus en plus réaliste consiste à nous transformer en
> groupe de pression pour expliquer aux éditeurs qu'ils se plantent avec
> leur suite docx/indd et que la seule solution fiable pour eux (y
> compris économiquement) est LaTeX et consorts.
J’y travaille. Aujourd’hui est paru sur Stalker mon 4e billet consacré à l’anéantissement d’« Anéantir », de Michel Houellebecq. J’ai glissé quelques références à la famille TeX au fil de cette série. Dans le cinquième et dernier billet, je développerai justement ce point.
Si les gros éditeurs se fichent visiblement de la qualité, ils sont tout aussi près de leurs sous que les petits, si ce n’est davantage. Pour les ouvrages aux maquettes simples, il est facile de démontrer que l’on peut obtenir aussi médiocre en bien moins de temps, ou beaucoup mieux dans le même temps… Connaissant les gros, je ne pressens que trop pour quoi ils opteraient. Mais les petits animés par la volonté de bien faire pourraient au contraire profiter des économies réalisées pour améliorer la qualité typographique de leurs ouvrages.
Cordialement,
Thomas Savary
1 le Grand-Plessis
F-85340 L’Île-d’Olonne
Tél. 06 22 82 61 34
Bonjour,
j'ai un jeune ami qui commence à rédiger sa thèse d'histoire (sur le Moyen-âge iranien…) en XeLaTeX et qui cherche une police, libre bien sûr, qui offre les alphabets latin, grec, arabe et russe.