Fwd: [WorldCityBike] Making city bikes work: Just in case you may have the idea that this is easy.

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Pradeep B V

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Feb 9, 2009, 7:32:20 PM2/9/09
to freewheelin...@googlegroups.com
A must read... google translation follows the french articles.. 

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From: eric britton <eric.b...@ecoplan.org>
Date: 2009/2/9
Subject: [WorldCityBike] Making city bikes work: Just in case you may have the idea that this is easy.
To: WorldC...@yahoogroups.com, LotsLe...@yahoogroups.com


Just in case you may have the idea that this is easy. This article from today's Parisian. Machine translation follows.

Note : since start-up :

·         42 million users

·         1200 stations in operation (not 1451 as originally announced)

·         20,000 Vélib on the street (15000 in winter)

·         7800 disappeared

·         11,600 vandalized

 

 

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Les Vélib' décimés par le vandalisme

Catherine Balle | 09.02.2009, 11h38 | Mise à jour : 12h10  http://www.leparisien.fr/paris-75/les-velib-decimes-par-le-vandalisme-09-02-2009-404833.php

 

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Côté face, le triomphe. Avec 78 000 utilisateurs par jour, lesVélib' parisiens affichent une insolente santé. Côté pile, l'hécatombe. Un an et demi Caprès le lancement des bicyclettes en libre-service en juillet 2007, le bilan des vols et des dégradations est lourd. Ecrasant, même. Sur une flotte totale de 20 000 vélos gris, 7 800 se sont purement et simplement volatilisés et 11 600 ont été vandalisés.

 

Multimédia

Diaporama : Les dégradations en images

 

 

En savoir plus

1 500 réparations quotidiennes

Chaque jour, la tournée des commissariats

JCDecaux veut faire payer Paris

Des stations menacées ?

Ils se lancent des défis sur le Net

 

Voilés, démontés, cassés, tagués, brûlés, noyés dans la Seine… Les Vélib' subissent tous les sévices possibles et imaginables. Des petits rigolos ontmême fait un hobby du bidouillage de Vélib' et se lancent des défis sur Internet.

Déjà 3 257 plaintes

Le gestionnaire du parc, JCDecaux, a fait un calcul édifiant : si l'entreprise —qui effectue 1 500 réparations quotidiennes — s'arrêtait de travailler pendant dix jours, il ne resterait plus aucun Vélib' roulant correctement dans les rues de Paris… Conséquence : la facture est lourde et même bien plus élevée que prévu pour JCDecaux, qui a déjà déposé 3 257 plaintes. «Même s'il y a des dégradations dans les autres villes où le vélo en libre-service a été implanté (Lyon, Toulouse, Marseille…), c'est dans la capitale que le vol et le vandalisme sont le plus forts », explique-t-on. Il y aurait par exemple deux fois plus de vélos volés à Paris qu'à Lyon…

Pour faire face à cette hécatombe, un dispositif d'entretien et de réparation a étémis en place et le parc de vélos a déjà été entièrement renouvelé. Al'avenir, le numéro unmondial du mobilier urbain aimerait que la Ville de Paris partage la facture. Le contrat signé en 2007 prévoit l'installation et l'entretien des vélos en libre-service contre l'exploitation des panneaux publicitaires de la capitale… Charge donc à Decaux de veiller seul sur son parc sans modifier son dispositif.


Pour limiter la casse, l'entreprise souhaiterait éradiquer les stations les plus vandalisées. Impensable pour la Ville de Paris. Alors que le réseau Vélib' est en train de s'étendre à 29 communes de banlieue, le bras de fer entre Decaux et lamairie ne fait que commencer.

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1 500 réparations quotidiennes

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Quinze ateliers, 500 salariés, 1 500 réparations quotidiennes… L'entretien des Vélib' est assuré grâce à un dispositif impressionnant. Chaque jour, des camions de Cyclocity partent à la recherche de vélos endommagés. Ceux qui sont usés (chaque vélo parcourant en moyenne 10 000 km par an, les pneus dégonflés, déraillements et freins abîmés sont fréquents).

Ceux qui sont vandalisés. « Les dommages les plus fréquents sont le coup de cutter dans les pneus, la chaîne cassée ou le panier détruit », détaille un réparateur.


Sur les 1 500 réparations quotidiennes, les mécaniciens en réalisent environ 1 300 sur la voie publique. Et les Vélib' les plus atteints sont transportés dans l'un des quinze ateliers de Cyclocity, répartis dans Paris. Pour récupérer les vélos volés, deux hommes sont employés à temps plein (voir ci-contre). Et douze « régulateurs » qui rééquilibrent la nuit les stations ramassent chaque semaine 100 à 150 Vélib' égarés ou abîmés.

 

Chaque jour, Brice assure la tournée des commissariats

C.Ba. | 09.02.2009, 11h47

 

 

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Les policiers commencent à bien le connaître. Chaque jour, entre 6 h 30 et 14 heures, Brice fait la tournée des commissariats. Fils de policier et fan de Nirvana, le jeune homme de 24 ans n'a pourtant rien d'un délinquant… Il travaille pour Cyclocity, la filiale de JCDecaux qui gère le parc des Vélib'. Sa mission depuis mai 2007 : ramasser les Vélib' abandonnés ou retrouvés par les forces de l'ordre sur la voie publique.


A bord de son camion, Brice Legeay traverse donc Paris de long en large pour repérer les naufragés et les rapporter dans les ateliers de maintenance. « Je les retrouve pour la plupart attachés autour d'un autre vélo ou d'un arbre, raconte-t-il. Je les décroche avec un coupe-boulons. Il y en a aussi beaucoup qui sont simplement posés au pied des immeubles : c'est ce qu'on appelle les Vélib' privatisés. Les utilisateurs les volent et se les approprient pendant plusieurs jours ou plusieurs semaines. Ceux-là, il suffit de les porter jusqu'au camion… »

Si le jeune Sarcellois collecte chaque jour entre cinq et dix vélos sur la voie publique, il en récupère le même nombre dans les commissariats d'arrondissements.

Brice ne se promène pas au hasard dans les rues de Paris : il définit son parcours en fonction des « signalements » qui lui sont communiqués. « Nous recevons chaque jour une quinzaine de signalements par mail et une trentaine par téléphone », détaille-t-il. Ces messages émanent de Parisiens qui repèrent des Vélib' abandonnés dans la rue, près de chez eux… ou dans leur immeuble. « Il y a souvent des voisins ou des gardiens qui nous préviennent. »

« Les pneus étaient recouverts de fourrure »

Au cours de ces pérégrinations parisiennes, l'employé de Cyclocity a fait de drôles de découvertes. Comme ce Vélib' brûlé et désossé sur une voie ferrée, derrière l'hôpital Trousseau (XIIe), dont chaque pièce avait été soigneusement clouée. Ou encore ce Vélib' retrouvé dans un hall d'immeuble du nord de Paris, entièrement customisé. « Les pneus étaient recouverts de fourrure et le guidon de diapositives », décrit-il.

Brice n'est pas le seul de Cyclocity employé à plein temps pour pister les vélos abandonnés. Pendant qu'il parcourt la capitale, un autre salarié arpente la banlieue. Dans les communes voisines et les commissariats, Eric charge une dizaine de Vélib' par jour dans son camion. Et d'autres « ramasseurs » devraient rejoindre Brice et Eric lorsque, cet été, les vélos en libre-service disposeront de stations dans vingt-neuf villes de banlieue.

 

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JCDecaux veut faire payer Paris

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Ils ne pensaient pas que la facture serait aussi salée. Lorsque les responsables de JCDecaux ont signé avec la Ville de Paris le contrat
Vélib', les termes de l'accord étaient les suivants : JCDecaux s'engageait à installer 1 250 stations et à entretenir la flotte de 20 000 Vélib', tandis que Paris lui accordait l'exploitation de 1 600 panneaux publicitaires pendant dix ans.

JCDecaux devait aussi toucher un intéressement - jusqu'à 12% - sur les recettes de location de Vélib'… A condition que l'entreprise respecte des critères de qualité, comme le bon état général des vélos, le fonctionnement des bornes, l'information aux clients ou la disponibilité. Un contrat censé être gagnant que
JCDecaux estime déséquilibré aujourd'hui… « C'est simple : toutes les recettes sont pour la Ville de Paris (NDLR : 20 millions d'euros pour la première année d'exploitation), toutes les dépenses sont pour nous », résume Rémi Pheulpin, directeur général de l'entreprise, qui voudrait faire supporter à la Ville une partie des coûts d'entretien.

Un problème d'ordre public

« L'ampleur du vandalisme n'était pas prévisible, poursuit Rémi Pheulpin. Elle est telle qu'une entreprise privée ne peut pas l'assumer toute seule, d'autant qu'il s'agit également d'une problématique d'ordre public. Si nous voulons que le dispositif du Vélib' soit pérenne, il faut revoir son modèle économique. »
A l'Hôtel de Ville, on concède que les critères de qualité - qui ont jusqu'à présent privé Decaux des 12%d'intéressement - doivent être modifiés.Mais on se refuse à envisager une participation aux coûts induits par les dégradations. « L'entretien et la remise en état des vélos
sont de la seule responsabilité de l'entreprise », martèle-t-on. Adjointe de Bertrand Delanoë en charge des transports, Annick Lepetit envisage une « campagne d'information antivandalisme ». Une initiative qui « ravit » Rémi Pheulpin… mais qu'il estime très insuffisante.

 

Des stations menacées ?

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«LES SOLUTIONS au vandalisme ne sont pas forcément sonnantes et trébuchantes », assure Rémi Pheulpin, de JCDecaux. Pour le patron des Vélib', l'une des solutions au vandalisme pourrait être la fermeture des stations à problèmes. S'il refuse de dresser une carte des stations « noires », Pheulpin évoque celle du Parc floral, dans le bois de Vincennes : « Il y a quelques jours encore, on y a retrouvé quatre Vélib' volés et deux pliés… »
Selon un employé de Cyclocity, les stations où les dégradations les plus fréquentes sont situées dans le centre de Paris, autour du Forum des Halles.

« Il y a aussi beaucoup de vélos abîmés près de Montparnasse, Pigalle ou aux Buttes-Chaumont », poursuit-il. Ces stations délicates gênent JCDecaux. Qui cite l'exemple de Toulouse, où sept stations ont été fermées pour cause de vandalisme… Aujourd'hui, dans le contrat de JCDecaux avec Paris, rien n'interdit la suppression de stations Vélib'.

 

From Google translate :

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Translation: French » English

 

Just in case you may have the idea that this is easy. This article from today's Parisian. Machine translation follows.

  
The Vélib 'decimated by vandalism
Catherine Ball | 09.02.2009, 11:38 | Last updated: 12:10 http://www.leparisien.fr/paris-75/les-velib-decimes-par-le-vandalisme-09-02-2009-404833.php
 
Heads, the triumph. With 78 000 users per day, les Vélib 'Parisian show insolent health. Tails, the carnage. A year and a half Capris launch of bicycles in self-service in July 2007, the record of theft and damage is heavy. Overwhelming, even. On a total fleet of 20 000 bicycles gray, 7 800 were simply evaporated, and 11 600 have been vandalized.
 
 
Obscured, removed, broken, tagged, burned, drowned in the Seine ... The Vélib 'suffer abuse every possible and imaginable. Small funny ontmême made a hobby of bidouillage of Vélib 'and engage the challenges on the Internet.


Already 3 257 complaints


The fleet manager, JCDecaux, was building a calculation: if the company that performs 1-500 repairs daily - stopped work for ten days, there would be no Vélib 'riding correctly in the streets of Paris ... Consequence The bill is heavy and even much higher than expected for JCDecaux, which has already filed 257 complaints 3. "Even if there is deterioration in other cities where cycling in self-service has been implemented (Lyon, Toulouse, Marseille ...) is in the capital as theft and vandalism are the strongest," says there. There would for example twice as many bikes stolen in Paris, Lyon ...
To address this carnage, a maintenance and repair Etem up and a bike park has been completely renewed. In future, the number of furniture unmondial would like the City of Paris shares the bill. The contract signed in 2007 provides for the installation and maintenance of bicycles in self-service operation against the advertising hoardings in the capital ... Loads therefore ensure Decaux alone on a park without modifying its mechanism.

To limit damage, the company would eliminate the most vandalized. Unthinkable for the City of Paris. While the Vélib 'has been extended to 29 municipalities in the suburbs, the arm wrestling between Lamaire Decaux and has only just begun.
  
1 500 daily repairs


Fifteen workshops, 500 employees, 1 500 repairs ... The daily maintenance of Vélib 'is provided through an impressive device. Every day, trucks Cyclocity leave in search of bikes damaged. Those used (each bike along an average of 10 000 km per year, deflated tires, broken brakes and derailments are frequent).
Those who are vandalized. "The damages are the most frequent stroke cutter in tires, the chain broken or destroyed Cart" détaille repairer.

Of the 1 500 daily repairs, the mechanics make about 1 300 on the road. And Vélib 'most affected are transported in one of fifteen workshops Cyclocity located in Paris. To retrieve the stolen bike, two men are employed full time (see below against). And twelve "regulators" who rééquilibrent night picking stations each week 100 to 150 Vélib 'lost or damaged.

Every day, Brice provides tour Commissions
 

The police are beginning to know him well. Each day, between 6 and 14 pm 30 hours, Brice made the rounds of police stations. Son of policeman and a fan of Nirvana, the young man of 24 years did nothing of a criminal ... He works for Cyclocity, a subsidiary of JCDecaux, which operates the park Vélib '. Its mission since May 2007: Pick up the Vélib 'abandoned or recovered by the police on public roads.

On board his truck, Brice Legeay through Paris thus far and wide to locate survivors and bring in the maintenance workshops. "I found most of them tied around another bike or a tree," he says. I won with a bolt cutters. There are also many who are simply placed at the foot of the building: it is called Vélib 'privatized. Users rob and appropriated for several days or weeks. These, just make up the truck ... "

If the young Sarcellois collection days each between five and ten bicycles on public roads, it gets the same number of stations in the boroughs.

Brice does not wander at random in the streets of Paris: it sets its course according to the "alerts" to it. "We receive a daily fifteen-mail alerts and thirty by phone", details there. These messages come from the Parisians who identify Vélib 'abandoned in the street, close to home ... or in their building. "There are often neighbors or guardians who prevent us. "

"The tires were covered with fur"

During travels in Paris, the employee Cyclocity made strange discoveries. As the Vélib 'boneless and burned on a track behind the hospital Trousseau (XII), where each piece had been carefully nailed. Or this Vélib 'found in a hall building north of Paris, completely customized. "The tires were covered with fur and handlebars slide," he describes.

Brice is not the only Cyclocity full-time employee to track abandoned bikes. While he runs the capital, another employee wanders through the suburbs. In neighboring municipalities and police stations, Eric charge ten Vélib 'a day in his truck. And other "collectors" should join Brice and Eric when, this summer, the bike will have self-service stations in twenty-nine cities.

  
JCDecaux wants to pay Paris
They did not think the bill would also be salty. When JCDecaux officials have signed with the City of Paris on contract
Vélib ', the terms of the agreement were: JCDecaux commitment to install 250 stations 1 and maintain the fleet of 20 000 Vélib', while Paris was granted the operation of 1 600 billboards for ten years.
JCDecaux would also receive a share - up 12% - on income rental Vélib '... Provided that the company complies with quality criteria, such as good general condition of the bicycles, operation of terminals, information customers or availability. A supposed to be winning
JCDecaux considers unbalanced today ... "It's simple: all the recipes are for the City of Paris (Note: 20 million for the first year of operation), all expenses are to us," says Rémi Pheulpin , general manager, who wants to support the City a portion of costs.
A problem of public order
"The scale of the vandalism was not foreseeable, continued Rémi Pheulpin. It is such a private company can not take it alone, especially since it is also an issue of public policy. If we want the device of the Vélib 'be sustainable, it must revise its economic model. "
At the Hotel de Ville, it concedes that the quality criteria - which have hitherto private Decaux 12% incentive - be it modifiés.Mais refused to consider cost-sharing induced damage. "The maintenance and repair of bicycles
are the sole responsibility of the company, "says there. Bertrand Delanoë Assistant in charge of Transport, Annick Lepetit is planning a public information campaign antivandalisme. An initiative which "delights" Rémi Pheulpin ... but it feels very inadequate.

Stations threatened?
"The solutions to vandalism are not necessarily realm and stumbling," says Rémi Pheulpin, JCDecaux. For the patron of Vélib ', one of the solutions to the vandalism could be the closure of stations problems. If he refuses to map stations "black" refers Pheulpin the Parc Floral in the Bois de Vincennes: "There are still a few days, there are four on Vélib 'stolen and two folded ..."
According to an employee of Cyclocity, the stations where the most frequent damage is located in central Paris, around the Forum des Halles.
"There are also many bike damaged near Montparnasse Pigalle or Buttes-Chaumont," he says. These stations hamper delicate JCDecaux. Citing the example of Toulouse, where seven stations were closed because of vandalism ... Today, in a contract with JCDecaux in Paris, nothing prevents the deletion of stations Vélib '.

 

 

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Rohan Kini

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Feb 9, 2009, 11:27:57 PM2/9/09
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oh wow !!! This is crazy scale


~ ROhan
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awesome cycling group: http://bangalorebikersclub.com


2009/2/10 Pradeep B V <prad...@gmail.com>
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