Google Groups no longer supports new Usenet posts or subscriptions. Historical content remains viewable.
Dismiss

La signification de l'homosexualité chez les Indo-européens

15 views
Skip to first unread message

Cardinal de Here

unread,
Jan 10, 2024, 6:29:25 PM1/10/24
to
Traditionnellement les peuples qui pratiquaient l'homosexualité ne sont
pas très nombreux. Il semble qu'elle ait été inconnue chez les
Africains, les Amérindiens et la plupart des Asiatiques. Par contre elle
joue un rôle central et collectif chez les Indo-européens comme le note
la bible hébraïque.

En effet, à partir du IIe millénaire avant notre ère les Indo-européens
sont présents au Proche-Orient. Ce sont les Hittites (arrivés au XVIIe
siècle) et les Peuples de la Mer (arrivés plus tardivement au XIIIe
siècle). Les Hittites forment d'abord un royaume en Anatolie puis
s'étendent jusqu'au XIIIe siècle avant notre ère où ils sont présents
dans la Araba, le rift ou fossé d'effondrement qui s'étend depuis les
pieds du mont Hermon jusqu'au golfe d'Aqaba. On les trouve surtout
autour de la Mer Morte, en particulier à Sodome et Gomorrhe. Aux XIIIe
siècle avant JC les Peuples de la Mer qui semblent apparentés aux
proto-grecs envahissent le littoral de Canaan. On les connaît sous le
nom de Poulastis ou Philistins ou encore un autre vocable à coucher
dehors. Ces peuples indo-européens pratiquent l'homosexualité. On en a
un témoignage biblique étonnant. En voici le contexte : Loth s'est
séparé de son frère Abraham (frère au sens hébraïque, par le fait ils
sont neveu - Loth - et oncle - Abraham) et vit dans la Araba parmi les
Hittites. Abraham vient de rencontrer Dieu à Mambré sous la forme d'une
Trinité : le Père et deux messagers (anges ou manifestations divines).
Le Père annonce à Abraham que l'an prochain Sarah, la mouquère
d'Abraham, serait enceinte à plus de 80 ans. Et Il annonce à Abraham
qu'il va détruire la zone de peuplement indo-européen. Abraham dont le
"frère" Loth vit à Sodome tente de sauver les Hittites en marchandant
ferme avec Dieu. Et Dieu consent à pardonner s'Il trouve cinq justes
(=saints) à Sodome. C'est alors que commence le chapitre XIX de Genèse :

Genèse 19,1-9
1 Les deux anges (messagers de Dieu) arrivèrent à Sodome, le soir. Loth
était assis à la porte de Sodome ; il les aperçut, se leva pour aller à
leur rencontre et se prosterna, face contre terre.
2 Il dit : « De grâce, mes seigneurs, faites un détour par la maison de
votre serviteur ; vous y passerez la nuit, vous vous laverez les pieds
et vous vous lèverez de bon matin pour reprendre votre route. » Ils
répondirent : « Non ! nous passerons la nuit sur la place. »
3 Mais il insista tellement auprès d’eux qu’ils firent le détour et
entrèrent dans sa maison. Il leur prépara un festin, fit cuire des pains
sans levain, et ils mangèrent.
4 Ils n’étaient pas encore couchés que les hommes de la ville, ceux de
Sodome, cernèrent la maison, des plus jeunes aux plus vieux, toute la
population sans exception.
5 Ils appelèrent Loth et lui dirent : « Où sont les hommes qui sont
venus chez toi cette nuit ? Amène-les : nous voulons nous unir à eux. »
6 Loth s’avança vers eux, à l’entrée, et ferma la porte derrière lui.
7 Il dit : « De grâce, mes frères, ne commettez pas le mal !
8 Voici, j’ai deux filles qui ne se sont unies à aucun homme. Je vais
vous les amener, et vous leur ferez ce que bon vous semblera. Mais à ces
hommes ne faites rien : ils sont venus s’abriter sous mon toit. »
9 Ils répliquèrent : « Ôte-toi de là ! » Et ils ajoutèrent : « Lui, le
seul étranger, il voudrait juger ! À toi, nous ferons plus de mal qu’à
eux ! » Ils bousculèrent Loth et s’approchèrent pour enfoncer la porte.

Comme on le voit l'homosexualité est une pratique collective violente
qui cherche à enculer l'étranger (ici le Fils et l'Esprit de la Sainte
Trinité) afin de l'humilier, de l'avilir et de le soumettre.
L'homosexualité est assimilée à une forme de racisme et de xénophobie en
milieu indo-européen.

Retenons cet enseignement biblique : l'homosexualité vise à dominer, à
soumettre, à humilier le bouc émissaire, notamment l'étranger, le
vaincu, l'esclave et l'enfant.

Vous aurez noté que le monde entier commente le fait que le nouveau
premier ministre de la France est un homosexuel qui revendique son
homosexualité passive. Plus grossièrement il assume publiquement le fait
de se faire enculer. En milieu occidental donc indo-européen se faire
enculer revient à se soumettre. Il s'agit là d'un rituel né au sein de
l'humanité animale indo-européenne : les soumis, les esclaves, se font
enculer. L'humanité animale a donc compris que les dirigeants français
ne cherchent même plus à sauver les apparences et revendiquent haut et
fort leur soumission pédérastique à leurs maîtres anglo-américains.


--
Vonder la Hyène
Stupide poulaille
Deux qui la tiennent
Trois qui la raillent

KKtastrofe

unread,
Jan 10, 2024, 6:36:27 PM1/10/24
to
Cardinal de Here a formulé ce jeudi :
> Retenons cet enseignement biblique : l'homosexualité vise à dominer, à
> soumettre, à humilier le bouc émissaire, notamment l'étranger, le vaincu,
> l'esclave et l'enfant.

C noté.

--
http://tinyurl.com/ytnmx9bj
Une personne qui dirait: J'ai été recruté juif par ma naissance mais
lorsque j'ai vu ce que le juif est capable de penser des humains et de
leur faire subir, j'ai vite renié cette mistification religieuse, car
en fait de religion, je me suis rendu compte que c'est juste une truc
de malades mentaux graves et dangereux qui veulent dominer le monde.
https://www.tiktok.com/@le.mediterraneen/video/7302922220588764421?_r=1&_t=8hU9z5e53lx

DragonKiller

unread,
Feb 19, 2024, 12:26:03 AM2/19/24
to
Le 11/01/2024 à 00:29, Cardinal de Here a écrit :

> Comme on le voit l'homosexualité est une pratique collective violente
> qui cherche à enculer l'étranger (ici le Fils et l'Esprit de la Sainte
> Trinité) afin de l'humilier, de l'avilir et de le soumettre.
> L'homosexualité est assimilée à une forme de racisme et de xénophobie en
> milieu indo-européen.
>
> Retenons cet enseignement biblique : l'homosexualité vise à dominer, à
> soumettre, à humilier le bouc émissaire, notamment l'étranger, le
> vaincu, l'esclave et l'enfant.
>

Oui,une punition pratiqué par un homme sur un autre homme pour
l'humilier et le soumettre.

Punition qui doit dater du moyen-age,bref on saura jamais.

Et au temps des dinosaures ,les dinosaures se sentaient le fion entre mâles?

Il y a pas des fossiles découverts qui explique l'homosexualité a la
préhistoire?

Cardinal de Here

unread,
Feb 19, 2024, 2:26:28 AM2/19/24
to
Le 19/02/2024 à 06:26, DragonKiller a écrit :
> Le 11/01/2024 à 00:29, Cardinal de Here a écrit :
>
>> Comme on le voit l'homosexualité est une pratique collective violente
>> qui cherche à enculer l'étranger (ici le Fils et l'Esprit de la Sainte
>> Trinité) afin de l'humilier, de l'avilir et de le soumettre.
>> L'homosexualité est assimilée à une forme de racisme et de xénophobie
>> en milieu indo-européen.
>>
>> Retenons cet enseignement biblique : l'homosexualité vise à dominer, à
>> soumettre, à humilier le bouc émissaire, notamment l'étranger, le
>> vaincu, l'esclave et l'enfant.
>>
>
> Oui,une punition pratiqué par un homme sur un autre homme pour
> l'humilier et le soumettre.
>
> Punition qui doit dater du moyen-age,bref on saura jamais.

Elle date de l'antiquité et les anthropologues qui étudient le milieu
ethnique indo-européen le savent.

Cardinal de Here

unread,
Feb 21, 2024, 9:30:42 AM2/21/24
to
Le 11/01/2024 à 00:29, Cardinal de Here a écrit :
La lecture des historiens de la Grèce antique montre que la
pédérastie/pédophilie est liée à l'initiation cynégétique et par là
guerrière des enfants. L'éraste (l'adulte mâle qui va enculer l'enfant)
lui fait savoir qu'il a jeté son dévolu sur lui. Si le futur éromène
(l'enfant qui va se faire enculer par l'adulte) accepte alors il se fait
entourer de ses camarades et le groupe se promène sur la route où
l'éromène l'a prévenu qu'il allait lui tendre une embuscade pour
l'enlever. L'éromène ou enculeur enlève l'enfant qui est ensuite libéré
par ses camarades. Puis tous ensemble, l'enculeur, le futur enculé et
les camarades du futur enculé partent pour les bois profonds de la forêt
hercynienne où l'enculeur sodomisera le jeune garçon tout en lui
enseignant les rudiments de la chasse. Tout au long de l'initiation le
groupe vivra de la chasse. L'enseignement et l'enculade sont terminées
quand le jeune enfant enculé est capable de tuer avec ses camarades un
ours ou un sanglier. A la fin de l'initiation le jeune garçon est censé
devenir adulte. Son enculeur lui offre alors des armes, un gobelet et de
nombreux autres cadeaux. On trouve des rites similaires au sein des
tribus germaniques.

Dans les tribus amérindiennes de Guyane l'initiation du
chasseur-guerrier se fait au cours du rituel du maraké. Le maraké c'est
une torture rituelle extrêmement douloureuse au cours de laquelle des
insectes venimeux prisonniers de fibres textiles sont appliqués sur la
poitrine des jeunes qui passent collectivement l'initiation. Les jeunes
doivent résister sans broncher afin de montrer leur valeur. Il arrive
souvent que l'enfant soit obligé de redoubler parce qu'il a pleuré ou
s'est soustrait à la terrible torture. On m'a même dit que certains
Amérindiens qui "redoublaient" le repassaient jusqu'à l'âge adulte.

Le maraké ou torture rituelle des Amérindiens correspond donc à
l'enculade des enfants chez les Grecs. Je suppose que la narration
grecque relatée par Bernard Sergent dans son ouvrage intitulé
L’Homosexualité dans la mythologie grecque est tardive. Au commencement
il devait sans doute y avoir un rapt collectif des enfants que les
kidnappeurs emmenaient dans les bois pour les enculer et leur apprendre
les rudiments de l'art de la chasse et sans doute aussi de la guerre.

Ce rituel d'enlèvement rappelle de manière singulière le mythe de
l'enlèvement des Sabines par les fondateurs de Rome. Il s'agit bien
entendu d'un rapt de femmes et non d'enfants (bien que les femmes aient
pu être des filles, ce qui prouverait que la pédophilie indo-européenne
touchait les deux sexes) mais le principe est le même : il s'agit
d'initier les mouquères (ou les filles) à la vie dans la Rome naissante.

Il semble donc que la pédophilie ne concernait que la caste noble, celle
des chasseurs-guerriers. Les prêtres et les paysans ne semblent pas
avoir été concernés par ces rituels pédophiles et pédérastes barbares.

Ceci explique pourquoi en milieu indo-européen la pédophilie concerne
surtout les riches, les puissants, les nobles. Le fistounet Villiers a
été enculé par son grand frère tandis que le fistounet Kouchner a été
enculé par son beau-père.

Cardinal de Here

unread,
Feb 21, 2024, 9:50:15 AM2/21/24
to
On retrouve ce rituel de torture non plus des enfants mais des
adolescents dans le bizutage qui a cours dans les écoles militaires
(Saint-Cyr, Polytechnique) et même les écoles d'ingénieur. Pourquoi les
écoles d'ingénieur ? Sans doute par imitation de la plus prestigieuse
d'entre elle, polytechnique qui à la base est une école militaire. Il
semble que Normal Sup aussi connaisse cette initiation qu'est le
bizutage. Les intellectuels qui passent par cette prestigieuse école
était peut-être considérés comme les soldats de l'esprit français. En
tout cas le bizutage ne concerne que les jeunes appartenant à l'élite
intellectuelle et sociale, ce qui permet de retrouver une constante
indo-européenne.

<https://etudiant.lefigaro.fr/article/quand-jean-d-ormesson-racontait-son-bizutage-a-l-ecole-normale-superieure_162f533a-d997-11e7-9638-ce79d0d9543a/>


Cardinal de Here

unread,
Feb 21, 2024, 10:58:26 AM2/21/24
to
Constante indo-européenne c'est vite dit ! Je viens de me souvenir d'un
tel "rituel" chez les Hébreux ! C'est en Juges que je suis justement en
train de relire. Dès que retrouve le rituel de rapt de mouquères d'un
clan d'une tribu par les Benjamites je le poste ici. Les premiers
Hébreux étaient quasiment païens et partageaient de nombreux rituels
avec les Goïm d'où la trittoia et de nombreux mythes dont le fameux
mythe des Symplégades. D'ailleurs je viens aussi de me souvenir que le
crime commis par les Benjamites m'avait rappelé celui des Hittites à
Sodome sauf qu'il concernait la concubine d'un lévite !

> <https://etudiant.lefigaro.fr/article/quand-jean-d-ormesson-racontait-son-bizutage-a-l-ecole-normale-superieure_162f533a-d997-11e7-9638-ce79d0d9543a/>

Lebref

unread,
Feb 21, 2024, 10:58:57 AM2/21/24
to
Cardinal de Here :

> Traditionnellement les peuples qui pratiquaient l'homosexualité ne sont
> pas très nombreux.

En-dehors de l'Eglise catholique, voulez-vous dire ?

Mais non, je plaisante ; inutile de pondre trois mille lignes de réponse
argumentée, j'ai compris le message.

Cardinal de Here

unread,
Feb 21, 2024, 11:30:19 AM2/21/24
to
Eureka ! Je sais maintenant pourquoi cette scène me rappelle celle de
Sodome : les habitants de Guibéa cherchent à enculer le lévite étranger
à leur ville. Donc finalement l'homosexualité existait aussi parmi les
Hébreux, au moins parmi les Benjaminites de Guibéa !

Juges 19
1 En ces jours-là – il n’y avait pas de roi en Israël –, un lévite qui
résidait aux confins de la montagne d’Éphraïm prit comme concubine une
femme de Bethléem de Juda.
2 Sa concubine se fâcha contre lui, puis elle le quitta et revint à la
maison de son père, à Bethléem de Juda, où elle séjourna quatre mois
entiers.
3 Son mari partit la retrouver, pour parler à son cœur et la ramener. Il
avait avec lui son serviteur et deux ânes. Sa concubine le fit entrer
dans la maison de son père. Le père de la jeune femme le vit et, tout
joyeux, vint à sa rencontre.
4 Son beau-père, le père de la jeune femme, le retint, et le lévite
resta chez lui pendant trois jours. Ils mangèrent, burent et passèrent
la nuit en cet endroit.
5 Le quatrième jour, ils se levèrent de bon matin et le lévite se
disposait à partir quand le père de la jeune femme dit à son gendre : «
Restaure-toi en mangeant un morceau de pain, vous partirez après. »
6 Ils s’assirent tous deux, mangèrent et burent ensemble. Alors le père
de la jeune femme dit à son gendre : « Je t’en prie, passe encore la
nuit. Que ton cœur soit content ! »
7 Comme l’homme se levait pour partir, il céda finalement à l’insistance
de son beau-père et passa une autre nuit en cet endroit.
8 Le cinquième jour, il se leva de bon matin pour partir, mais le père
de la jeune femme lui dit : « Restaure-toi, je t’en prie, et
attardez-vous jusqu’au déclin du jour. » Ils mangèrent tous deux.
9 L’homme se préparait à partir avec sa concubine et son serviteur ;
mais son beau-père lui dit : « Voici que le jour faiblit vers le soir.
Passez donc la nuit ! Voici la tombée du jour. Passe la nuit ici et que
ton cœur soit content ! Demain, de bon matin, vous prendrez la route, et
tu regagneras ta tente. »
10 Mais l’homme ne voulut pas passer la nuit. Il se leva et partit. Il
arriva en vue de Jébus – c’est-à-dire Jérusalem. Il avait avec lui deux
ânes bâtés, ainsi que sa concubine et son serviteur.
11 Quand ils furent près de Jébus, le jour avait beaucoup baissé. Le
serviteur dit à son maître : « Allons ! Faisons un détour vers cette
ville des Jébuséens ! Nous y passerons la nuit. »
12 Son maître lui répondit : « Non, nous ne ferons pas un détour vers
cette ville étrangère, où il n’y a aucun fils d’Israël ; nous pousserons
jusqu’à Guibéa.
13 Allons ! dit-il à son serviteur, rapprochons-nous d’une de ces
localités, Guibéa ou Rama, pour y passer la nuit. »
14 Poussant plus loin, ils s’en allèrent. Le soleil se couchait quand
ils approchèrent de Guibéa de Benjamin.
15 Ils firent un détour pour passer la nuit à Guibéa. Le lévite entra,
s’assit sur la place, mais personne ne lui offrit l’hospitalité pour la
nuit.
16 Voici qu’un vieillard, le soir venu, rentrait de son travail des
champs. Il était originaire de la montagne d’Éphraïm, mais il résidait à
Guibéa, dont les habitants étaient Benjaminites.
17 Levant les yeux, il remarqua le voyageur sur la place de la ville. Il
lui demanda : « Où vas-tu, et d’où viens-tu ? »
18 L’homme lui répondit : « Partis de Bethléem de Juda, nous faisons
route vers l’arrière-pays de la montagne d’Éphraïm. C’est de là que je
suis originaire. Je me suis rendu à Bethléem de Juda et je retourne dans
ma maison. Personne ne m’a offert l’hospitalité.
19 Pourtant, nous avons de la paille et du fourrage pour nos ânes ; j’ai
aussi du pain et du vin pour moi, pour ta servante et pour le jeune
homme qui accompagne tes serviteurs. Nous ne manquons de rien ! »
20 Le vieillard dit alors : « Sois en paix ; laisse-moi pourvoir à tous
tes besoins, mais ne passe pas la nuit sur la place. »
21 Il le fit entrer dans sa maison et donna du fourrage aux ânes. Les
voyageurs se lavèrent les pieds, ils mangèrent et ils burent.
22 Pendant qu’ils se restauraient, des hommes de la ville, de vrais
vauriens, cernèrent la maison. Ils frappèrent à coups redoublés contre
la porte et dirent au vieillard, propriétaire de la maison : « Fais
sortir l’homme qui est entré chez toi pour que nous le connaissions ! »
23 Le propriétaire de la maison alla au-devant d’eux et leur dit : «
Non, mes frères, non, ne faites pas le mal ! Après que cet homme a été
reçu dans ma maison, ne commettez pas cette infamie !
24 Voici ma fille, qui est vierge ; je vais la faire sortir. Abusez
d’elle ! Faites avec elle ce qui vous semblera bon, mais ne commettez
pas contre cet homme un acte infâme. »
25 Les hommes de la ville ne voulurent pas l’écouter. Alors, le lévite
saisit sa concubine et la leur amena dehors. Ils s’unirent à elle et
s’en amusèrent toute la nuit, jusqu’au matin. Quand vint l’aurore, ils
la relâchèrent.
26 Comme le matin approchait, la femme s’en vint tomber à l’entrée de la
maison de l’homme chez qui était son mari, et elle resta là jusqu’à ce
qu’il fît jour.
27 Au petit matin, son mari se leva, ouvrit la porte de la maison,
sortit pour reprendre sa route. Voici que sa concubine gisait à l’entrée
de la maison, les mains sur le seuil !
28 « Lève-toi, lui dit-il, et partons ! » Il n’obtint pas de réponse. Il
la mit sur son âne, partit et rentra chez lui.
29 Une fois arrivé dans sa maison, il prit un couteau, saisit sa
concubine, la dépeça, membre après membre, en douze morceaux, qu’il
envoya dans tout le territoire d’Israël.
30 Quiconque voyait cela disait : « Jamais ne s’est fait, jamais ne
s’est vu un crime aussi affreux, depuis le jour où les fils d’Israël
sont montés du pays d’Égypte jusqu’à ce jour ! » Le lévite avait donné
cet ordre à ses messagers : « Vous parlerez ainsi à tous les hommes
d’Israël : “Un crime aussi affreux a-t-il jamais été commis depuis le
jour où les fils d’Israël sont montés du pays d’Égypte jusqu’à ce jour ?
Réfléchissez, tenez conseil, prononcez-vous !” »

Comme on le voit cette scène répète de très près celle qui s'est passé à
Sodome avec Loth et les deux messagers de Dieu. Sauf qu'à Sodome les
messagers n'ont pas permis aux Hittites d'enculer Loth ou ses filles.

Voyons la suite avec la vengeance terrible des fils d'Israël contre le
Benjamites :

Juges 20
1 Tous les fils d’Israël sortirent donc et, comme un seul homme, la
communauté s’assembla, depuis Dane jusqu’à Bershéba, y compris le pays
de Galaad, auprès du Seigneur, à Mispa.
2 Les chefs de tout le peuple et toutes les tribus d’Israël se rendirent
à l’assemblée du peuple de Dieu : quatre cent mille fantassins, sachant
tirer l’épée.
3 Et les fils de Benjamin apprirent que les fils d’Israël étaient montés
à Mispa. Les fils d’Israël demandèrent : « Racontez comment ce crime a
été commis ! »
4 Le lévite, le mari de la femme qui avait été assassinée, prit la
parole et dit : « J’étais venu avec ma concubine à Guibéa de Benjamin
pour y passer la nuit.
5 Les notables de Guibéa se sont ligués contre moi et ont cerné pendant
la nuit la maison où je me trouvais. Ils avaient résolu de me tuer. Ils
ont fait violence à ma concubine, elle en est morte.
6 Alors, j’ai pris ma concubine, je l’ai coupée en morceaux que j’ai
envoyés dans toute l’étendue de l’héritage d’Israël, car on avait commis
en Israël un acte scandaleux et infâme.
7 Vous voici tous, fils d’Israël ! Délibérez et prenez une décision ici
même. »
8 Tout le peuple se leva comme un seul homme en disant : « Aucun d’entre
nous ne reviendra à sa tente, aucun d’entre nous ne regagnera sa maison.
9 Et maintenant, voilà ce que nous allons faire contre Guibéa : nous
tirerons au sort ;
10 nous prendrons, dans toutes les tribus d’Israël, dix hommes sur cent,
cent sur mille et mille sur dix mille. Ils procureront des vivres aux
gens, à ceux qui iront punir Guibéa de Benjamin pour toute l’infamie
qu’elle a commise en Israël. »
11 Tous les hommes d’Israël, associés comme un seul homme, s’unirent
contre la ville.
12 Les tribus d’Israël envoyèrent des messagers dans toute la tribu de
Benjamin pour dire : « Quel est ce crime qui a été commis chez vous ?
13 Maintenant, livrez ces hommes, ces vauriens qui habitent Guibéa. Nous
les mettrons à mort, et nous ôterons ainsi le mal d’Israël. » Les fils
de Benjamin ne voulurent pas écouter la voix de leurs frères, les fils
d’Israël.
14 Les fils de Benjamin quittèrent leurs villes et se réunirent à
Guibéa, pour faire la guerre aux fils d’Israël.
15 Ce jour-là, on recensa les fils de Benjamin qui étaient venus des
villes : vingt-six mille hommes sachant tirer l’épée, sans compter les
habitants de Guibéa, sept cents hommes d’élite, dénombrés à part.
16 Dans cette troupe, il y avait sept cents hommes d’élite gauchers.
Chacun d’eux pouvait, avec la pierre de sa fronde, lancer une pierre sur
un cheveu sans le manquer.
17 Les fils d’Israël furent également dénombrés, sans compter Benjamin :
ils étaient quatre cent mille hommes sachant tirer l’épée, tous hommes
de guerre.
18 Ils se mirent en route et montèrent à Béthel pour consulter Dieu. Les
fils d’Israël demandèrent : « Qui de nous montera le premier à l’attaque
contre les fils de Benjamin ? » Le Seigneur répondit : « C’est Juda qui
montera le premier. »
19 Au matin, les fils d’Israël partirent et ils installèrent leur camp
près de Guibéa.
20 Les hommes d’Israël sortirent combattre Benjamin et se rangèrent en
bataille devant Guibéa.
21 Les fils de Benjamin sortirent de Guibéa, et ce jour-là, ils firent
mordre la poussière à vingt-deux mille hommes d’Israël.
22 Mais le peuple, les hommes d’Israël, reprirent courage, et de
nouveau, ils se rangèrent en bataille au même endroit que le premier jour.
23 Les fils d’Israël vinrent pleurer devant le Seigneur, jusqu’au soir.
Ils consultèrent le Seigneur en disant : « Devons-nous recommencer à
combattre les fils de Benjamin, notre frère ? » Le Seigneur répondit : «
Montez contre lui. »
24 Le deuxième jour, les fils d’Israël s’approchèrent des fils de Benjamin.
25 Les fils de Benjamin sortirent de Guibéa à leur rencontre ce deuxième
jour, et ils firent encore mordre la poussière à dix-huit mille hommes
parmi les fils d’Israël, tous sachant tirer l’épée.
26 Tous les fils d’Israël et tout le peuple montèrent à Béthel. Là, ils
pleurèrent, assis devant le Seigneur ; ils jeûnèrent ce jour-là jusqu’au
soir ; ils offrirent des holocaustes et des sacrifices de paix devant le
Seigneur.
27 Ils le consultèrent, car l’arche de l’Alliance de Dieu s’y trouvait
en ces jours-là.
28 En ces jours-là, en effet, Pinhas, fils d’Éléazar, fils d’Aaron, se
tenait devant elle. Ils demandèrent : « Devons-nous recommencer à
combattre les fils de Benjamin, notre frère, ou devons-nous y renoncer ?
» Le Seigneur répondit : « Montez, car demain, je les livrerai entre vos
mains. »
29 Israël plaça des hommes en embuscade autour de Guibéa
30 et, le troisième jour, les fils d’Israël montèrent contre les fils de
Benjamin et se rangèrent devant Guibéa, comme les autres fois.
31 Les fils de Benjamin sortirent à la rencontre du peuple et se
laissèrent attirer loin de la ville. Ils commencèrent, comme les autres
fois, à faire des victimes parmi le peuple, environ trente hommes
d’Israël, sur les routes qui mènent, l’une à Béthel, l’autre à Guibéa,
en rase campagne.
32 Les fils de Benjamin se dirent : « Les voilà battus devant nous comme
précédemment ! » Mais les fils d’Israël s’étaient dit : « Nous allons
fuir et les attirer loin de la ville sur les routes. »
33 Ils quittèrent tous leurs positions, se mirent en ordre de bataille à
Baal-Tamar, tandis que l’embuscade d’Israël surgissait de la position
qu’elle occupait, à l’ouest de Guéba.
34 Dix mille hommes d’élite, pris dans tout Israël, arrivèrent en face
de Guibéa. La bataille fut acharnée. Les fils de Benjamin ne savaient
pas que le malheur allait s’abattre sur eux.
35 Le Seigneur frappa Benjamin devant Israël. Ce jour-là, les fils
d’Israël firent périr vingt-cinq mille cent hommes de Benjamin, tous
sachant tirer l’épée.
36 Les fils de Benjamin virent qu’ils étaient battus. Les hommes
d’Israël cédèrent du terrain à Benjamin, car ils comptaient sur
l’embuscade qu’ils avaient tendue contre Guibéa.
37 Ceux de l’embuscade s’élancèrent rapidement sur Guibéa, se
déployèrent et passèrent toute la ville au fil de l’épée.
38 Or, il y avait une convention entre les hommes d’Israël et ceux de
l’embuscade : ces derniers devaient faire monter de la ville, en guise
de signal, un panache de fumée.
39 Alors, les hommes d’Israël engagés dans le combat feraient
volte-face. Benjamin avait déjà abattu une trentaine d’hommes parmi eux,
et se disait : « Les voilà encore battus comme lors du combat précédent ! »
40 Mais le signal, une colonne de fumée, avait commencé à s’élever de la
ville, et Benjamin se retourna : voici que la ville tout entière montait
en feu vers le ciel.
41 Alors, les hommes d’Israël firent volte-face, et les hommes de
Benjamin furent épouvantés. Ils virent que le malheur les avait frappés.
42 Ils s’enfuirent devant les hommes d’Israël en direction du désert,
mais les combattants les talonnaient, et ceux qui venaient de la ville,
les prenant à revers, les massacraient.
43 Benjamin fut cerné, poursuivi sans répit, écrasé en face de Guibéa,
du côté du soleil levant.
44 Dix-huit mille hommes de Benjamin tombèrent, tous hommes de valeur.
45 Les autres tournèrent le dos et s’enfuirent au désert, vers le roc de
Rimmone. Cinq mille hommes furent exécutés sur les routes, on en
poursuivit jusqu’à Guidéom et, de ceux-ci, on en tua deux mille.
46 Le total des Benjaminites qui tombèrent ce jour-là fut de vingt-cinq
mille hommes sachant tirer l’épée, tous hommes de valeur.
47 Les six cents hommes qui s’étaient enfuis au désert, vers le roc de
Rimmone, y restèrent quatre mois.
48 Les hommes d’Israël revinrent vers les fils de Benjamin, les
passèrent au fil de l’épée : la population des villes, avec le bétail et
tout ce qui s’y trouvait. Ils incendièrent aussi toutes les villes qui
se trouvaient sur leur chemin.

On constate que les Benjaminites refusent comme un seul homme de livrer
les meurtriers sodomites à leurs frères des autres tribus ce qui leur
vaut de se faire exterminer sans pitié.

Voyons la suite qui se conclut par le rapt des mouquères de Silo par les
Benjaminites avec l'approbation des autres Hébreux. On assiste
auparavant à l'extermination d'un clan hébreu de Yabesh-de-Galaad dont
les filles vierges sont données aux Benjaminites survivants :

Juges 21
1 Les hommes d’Israël avaient fait ce serment à Mispa : « Aucun d’entre
nous ne donnera sa fille pour femme à un Benjaminite. »
2 Le peuple se rendit à Béthel et là, il se tint assis devant Dieu,
jusqu’au soir. Ils poussèrent des cris, sanglotèrent,
3 en disant : « Pourquoi, Seigneur, Dieu d’Israël, se fait-il qu’il
manque aujourd’hui à Israël une de ses tribus ? »
4 Le lendemain, de bon matin, le peuple se leva, bâtit un autel, offrit
des holocaustes et des sacrifices de paix.
5 Les fils d’Israël se demandèrent : « Quelle est celle, parmi toutes
les tribus d’Israël, qui n’est pas montée à l’assemblée, auprès du
Seigneur ? » Car ils avaient fait ce serment solennel : ceux qui ne
seraient pas montés à Mispa auprès du Seigneur seraient mis à mort.
6 Les fils d’Israël furent pris de pitié pour Benjamin, leur frère, et
ils dirent : « Aujourd’hui, une des tribus a été retranchée d’Israël.
7 Que ferons-nous pour donner des femmes à ceux qui restent, alors que
nous avons fait serment, par le Seigneur, de ne pas leur donner nos
filles pour femmes ? »
8 Ils demandèrent alors : « Y a-t-il quelqu’un, parmi les tribus
d’Israël, qui n’est pas monté auprès du Seigneur à Mispa ? » Voici que,
de Yabesh-de-Galaad, personne n’était venu au camp, à l’assemblée.
9 La population avait été recensée, et en effet, il n’y avait là aucun
des habitants de Yabesh-de-Galaad.
10 La communauté y envoya douze mille hommes de valeur, et leur donna
cet ordre : « Allez, et passez au fil de l’épée les habitants de
Yabesh-de-Galaad, y compris les femmes et les enfants.
11 Voici ce que vous ferez : tout mâle et toute femme ayant partagé la
couche d’un homme, vous les vouerez à l’anathème. »
12 Ils trouvèrent, parmi les habitants de Yabesh-de-Galaad, quatre cents
jeunes filles vierges, qui n’avaient partagé la couche d’aucun homme, et
ils les amenèrent au camp, à Silo, qui est au pays de Canaan.
13 Toute la communauté envoya des messagers aux fils de Benjamin qui
s’étaient réfugiés au roc de Rimmone, et ils leur proposèrent la paix.
14 Les Benjaminites revinrent alors, et on leur donna les femmes
laissées en vie parmi celles de Yabesh-de-Galaad, mais ils n’en
trouvèrent pas assez pour eux.
15 Le peuple fut pris de pitié pour Benjamin, car le Seigneur avait fait
une brèche parmi les tribus d’Israël.
16 Les anciens de la communauté dirent alors : « Que ferons-nous pour
que ceux qui restent aient des femmes, puisque les femmes de la tribu de
Benjamin ont été exterminées ? »
17 Ils se demandaient : « Comment Benjamin peut-il avoir une postérité,
pour qu’une tribu ne soit pas effacée d’Israël ?
18 Car nous ne pouvons leur donner des femmes parmi nos filles. » En
effet, les fils d’Israël avaient prêté ce serment : « Maudit soit celui
qui donnera une femme à Benjamin. »
19 Mais ils se dirent : « Il y a chaque année une fête du Seigneur à
Silo. » – La ville se trouve au nord de Béthel, à l’orient de la route
qui va de Béthel à Sichem, et au sud de Lébona.
20 Ils donnèrent ces instructions aux fils de Benjamin : « Allez vous
embusquer dans les vignes.
21 Vous guetterez et, quand les filles de Silo sortiront pour danser en
chœur, vous sortirez des vignes, vous vous emparerez chacun d’une femme
parmi les filles de Silo, et vous vous en irez au pays de Benjamin.
22 Et si leurs pères ou leurs frères viennent protester auprès de nous,
nous leur dirons : “Pour elles, faites-nous grâce, car nous n’avons pu
prendre des femmes pendant le combat, et vous, vous auriez été coupables
si vous les leur aviez données.” »
23 Les fils de Benjamin agirent ainsi. Ils prirent un nombre de femmes
égal au leur parmi les danseuses qu’ils avaient enlevées, puis ils
partirent et revinrent dans leur héritage. Ils rebâtirent leurs villes
et y habitèrent.
24 À ce moment-là, les fils d’Israël s’en allèrent, chacun vers sa tribu
et vers son clan ; ils s’en retournèrent de là chacun dans son héritage.
25 En ces jours-là, il n’y avait pas de roi en Israël. Chacun faisait ce
qui lui plaisait.

Cardinal de Here

unread,
Feb 21, 2024, 11:31:42 AM2/21/24
to
Comme on le voit les moeurs des Hébreux étaient rudes ! Mais ils ne
rigolaient pas avec la pédérastie !
0 new messages