Apaiser la douleur est une chose parfumée devant Allah. L'Église
pratiquait l'onction des souffrants et la prière. Mais tous les grands
chrétiens comme Paul de Tarse ont eu une épine dans leur chair dont ils
ont souffert plus de la moitié de leur vie. Et les meschalim
évangéliques comme celui de Éléazar qui souffrait à la porte du riche
alors que ce dernier se prélassait dans les délices montrent que le
souffrant en ce bas-monde connaît après sa mort l'éternelle félicité au
Ciel tandis que le riche souffre l'éternel tourment dans le lac de feu.