Google Groups no longer supports new Usenet posts or subscriptions. Historical content remains viewable.
Dismiss

Insaisissable photon

50 views
Skip to first unread message

Quarkim

unread,
May 10, 2022, 3:00:20 AM5/10/22
to
Mon esprit sombre dans un tourbillon quand j’essaye de saisir un photon. Ma question est peut-être con, mais pourquoi la lumière ne peut se déplacer qu’à c? On peut mettre une luciole dans une bouteille et dire regarde ce que j’ai attrapé. Par contre, on ne peut emprisonner un photon dans une bouteille. Aussitôt créé, il s’enfuit comme le lapin d'Alice. Ou alors il est absorbé par la paroi et un autre photon est émis. Et quand il est émis, il passe instantanément de rien à c. Pourquoi il passe directement à c? Encore un truc quantique insaisissable? J’ai beau retourner la question dans ma tête, je ne trouve pas d’explication physique visualisable par mon esprit. Mais puisqu’il est question de retourner quelque chose, j’émets l’idée suivante:

On sait que la lumière dans son étrange mouvement se comporte comme un infini. c+c=c. infini+infini=infini=1/0. Quand un atome d’hydrogène se désexcite, son électron passe à un niveau d’énergie inférieur avec émission d’un photon qui se déplace instantanément à la vitesse c=1/0 puisque c se comporte comme un infini. Avant son émission, ce photon n’existe pas, ou alors il a une existence potentielle ou virtuelle avec une vitesse inexistante ou nulle =0/1. Donc il semblerait qu’au moment où le photon est émis, il y a un retournement instantané du 0/1 qui devient 1/0. Et là une idée en appelle une autre. Est-ce que le spin d’un électron en orbite dans un atome se retourne instantanément quand l'électron passe d’un niveau d’énergie élevé à un niveau bas avec émission d’un photon?

JC_Lavau

unread,
May 10, 2022, 3:50:46 AM5/10/22
to
Ce n'est pas un objet.

Regarde où tu trouveras une définition :
https://www.researchgate.net/publication/355916841_27_noxious_and_surreptitious_postulates_are_rejected_by_the_Transactional_Microphysics

1. Les absorbeurs existent. Les « aspects corpusculaires » n’existent
pas. En microphysique aucune description n’est valide si l’absorbeur
n’y figure explicitement.En conséquence, une physique fine des
absorbeurs doit remplacer les slogans hâtifs.

2. L’unité de phase intervient dans la constante de Planck ;
l’action-par-cycle de Planck n’est pas l’action tout court,
maupertuisienne.

3. Postulat Broglie-Dirac : Dès qu’une particule a une masse, alors les
fréquences intrinsèques de Broglie et de Dirac-Schrödinger jouent
chacune leur rôle. La broglienne mc²/h pour chaque interférence d’un
quanton avec lui-même, la Dirac-Schrödinger 2mc²/h pour toute
interaction électromagnétique, par exemple la dispersion Compton.

4. Postulat de Fermat-Fresnel : Pour toute onde individuelle, les trajets
réels arrivent en phase, éventuellement à un nombre entier de périodes
près (cela s’appelle alors une interférence). D’où la géométrie
du fuseau de Fermat entre absorbeur et émetteur. Fuseaux au pluriel en
cas d’interférence sur le trajet.

5. Tout photon a un absorbeur. Un photon est une transaction réussie
entre trois partenaires : un émetteur, un absorbeur, et l’espace qui
les sépare ou les milieux transparents ou semi-transparents qui les
séparent, qui transfère par des moyens électromagnétiques un quantum
de bouclage h, et respectivement une impulsion-énergie qui dépend des
repères respectifs de l’émetteur et de l’absorbeur.
Complication n° 1 : en diffusion Rayleigh, la transaction est à cinq
partenaires : émetteur, absorbeur, molécule de diazote pinçante et
virante, et avec recul, et les deux espaces intermédiaires traversés.
Complication n° 2 : Une expérience de type Aspect est aussi à cinq
partenaires, avec deux absorbeurs pour un seul émetteur de deux photons
complémentaires.
Complication n° 3 : C’est la différence entre deux états
stationnaires de l’émetteur ou de l’absorbeur (ou des deux) qui fixe
la transaction photonique à un quantum de bouclage de Planck, h, via
l’équation de Schrödinger ; mais si ni l’émetteur ni l’absorbeur
ne sont tenus par des états stationnaires, par exemple l’électron dans
un synchrotron côté émission, alors quel miracle peut bien obtenir la
seconde quantification traditionnellement postulée par l’église
officielle ? Nous n’avons pas la réponse.
Côté absorbeur : accélérer un électron par une ddp, que ce soit dans
un tube cathodique ou un accélérateur linéaire, on ne sait pas
quantiser l’onde électromagnétique absorbée : zéro états
stationnaires avant/après de l’électron accéléré.

6. Les propriétés des foules d’ondes individuelles découlent des
propriétés des ondes individuelles, et pas l’inverse.

7. La flèche du macro-temps ne découle que de la thermodynamique, et pas
des lois d’évolution de la microphysique.

8. Le dieu d’Isaac Newton, chargé de tout voir simultanément,
n’existe pas. Le temps d’Isaac Newton, supposé paramètre universel
et ubiquiste, n’existe pas non plus. Tout au plus des macro-temps
locaux, simples émergences statistiques locales. On distingue les
macro-temps des macro-systèmes tels que le laboratoire, des micro-temps
dans lesquels s’inscrivent tous les tâtonnements d’ondes brogliennes
qui vont aboutir à des transactions réussies.

9. Principe de rétrosymétrie de Kirchhoff. Dans notre faible gravité,
loin d’un horizon de Schwarzschild, tout trajet optique réel est
réversible.

10. Non, il est impossible d’isoler un système quantique, comme on
isole ses équations au tableau noir : il est impossible d’écranter le
bruit de fond de Broglie-Dirac. Il est impossible de prédire quelle
transaction va surgir de ce clapotis ni quand. Les fréquences impliquées
sont inaccessibles à l’échelle humaine ; le théorème de la variété
requise d’Ashby est là pour ruiner tous nos fantasmes d’omniscience,
et de plus les innombrables micro-temps en œuvre sont bidirectionnels,
orthochrones comme rétrochrones - Dirac oblige.

11. Plus le principe moral : on s’interdit de censurer les résultats
expérimentaux qui embarrassent la doctrine au pouvoir.Il est incorrect et
contraire à la déontologie scientifique de dissimuler aux étudiants
tant de faits expérimentaux qui embarrassent les copenhaguistes : toutes
les absorptions spectrales, toutes les interférences telles que couches
anti-reflets, lames quart d’onde, couleurs interférentielles, effets
Goos-Hänchen en polarisation plane et Imbert-Fédorov en polarisation
circulaire, preuves de la largeur non négligeable de chaque photon.
Vaste liste.
Ils vous ont caché la transparence résonnante Ramsauer-Townsend,
strictement ondulatoire, et établie depuis 1921. Si l’électron est
toujours ondulatoire, comment vont-ils conserver leur mystérieux dualisme
onde-corpuscule qui impressionne tant les foules ébaubies ? Ainsi que de
nombreux autres résultats expérimentaux quotidiens mais incompatibles
avec l’idéation corpusculaire des Göttingen-copenhaguistes. Il y a une
nette économie de postulats, et une grosse économie de concepts.
Les propriétés de la transformation de Fourier sont simplement
héritées, ne sont donc pas érigées comme quelque nouveau principe.Les
concepts magiques de « superposition d’états (corpusculaires),
intrication (d’états théoriques corpusculaires), measurement,
psychisme et conscience de l’observateur », hé bien on s’en moque :
Sire, je n’avais pas besoin de cette hypothèse.


Quarkim

unread,
May 10, 2022, 4:23:02 AM5/10/22
to
Le mardi 10 mai 2022 à 09:38:41 UTC+2, robby a écrit :
> Le 10/05/2022 à 08:57, Quarkim a écrit :
> Ma question est peut-être con, mais pourquoi la lumière ne peut se déplacer qu’à c?
>
> déjà c'est faux: c , c'est uniquement dans le vide. dans la matière c'est bien plus lent.
>
Faut à ton tour ou plutôt incorrect. Je suis au courant du ralentissement apparent de la lumière dans la matière mais ce que tu vois c'est l'onde résultante, il y a un mécanisme vibratoire des électrons par exemple du verre qui retarde l'onde incidente laquelle ne ralentit pas réellement, elle est toujours à c. :-)

Quarkim

unread,
May 10, 2022, 4:43:45 AM5/10/22
to
Si je résume bien, pour lever le mystère mon cher Watson, il faut que je raisonne (et résonne) en terme d'onde plutôt qu'en corpuscule copenhaguien et que je revoie la notion du temps à petite échelle qui n'est pas la même dans notre monde macro-physique.

JC_Lavau

unread,
May 10, 2022, 5:10:05 AM5/10/22
to
Le 10/05/2022 à 10:23, Quarkim a écrit :
.. des électrons par exemple du verre qui retarde l'onde incidente
laquelle ne ralentit pas réellement, elle est toujours à c. :-)

Non, cet étalement est impossible. Sinon, la transmission par fibres
optiques échouerait misérablement.
Tu t'imagines que les atomes, c'est du trou. Pas du tout : vu de
l'extérieur, c'est des électrons. Dans du verre, chaque photon se
propage DANS les électrons, principalement ceux de l'oxygène.

Richard Hachel

unread,
May 10, 2022, 6:00:06 AM5/10/22
to
Le 10/05/2022 à 11:10, JC_Lavau a écrit :

> Dans du verre, chaque photon se propage DANS les électrons, principalement
> ceux de l'oxygène.

Si Jean-Pierre Messager tombe là dessus, on est mal.

R.H.


JC_Lavau

unread,
May 10, 2022, 7:21:13 AM5/10/22
to
Le 10/05/2022 à 09:00, Quarkim a écrit :
> Est-ce que le spin d’un électron en orbite dans un atome se retourne
> instantanément quand l'électron passe d’un niveau d’énergie élevé à un
> niveau bas avec émission d’un photon ?

Sauf pour certains "lasers" femtoseconde, les émetteurs courants,
atomiques ou moléculaires, émettent quelques centaines de milliers de
périodes, pour CHAQUE photon. Ça n'est nullement instantané. Ni à la
réception non plus. En 1926, Erwin Schrödinger avait donné le
mécanisme : l'atome émetteur bat entre l'état final et l'état initial.
La fréquence du photon émis (ça marche aussi en absorption) est
exactement la différence de fréquence broglienne entre ces deux états,
final et initial. En acoustique et en électronique radio, on avait déjà
nommé cette différence : battement.
Fréquence broglienne : mc²/h. Découverte et publiée en 1923 et 1924.
Férocement oubliée par la secte hégémonique.


JC_Lavau

unread,
May 10, 2022, 7:37:35 AM5/10/22
to
L'YBMonde nYBMitrailleuse mentionné ci-dessus n'entend rien du tout à la
physique.
http://impostures.deontologic.org/index.php?board=9.0

Python

unread,
May 10, 2022, 7:52:12 AM5/10/22
to
JC_Lavau a écrit :
> ... mentionné ci-dessus n'entend rien du tout à la physique.

Liste non exhaustive des énormités et bourdes du clown Lavau :

- radian^2 = demi-tour
- "diagonaliser les transformations de Lorentz" serait interdit...
(1. ça n'a aucun sens, on ne diagonalise pas une transformation
mais la matrice qui la représente dans un choix de bases,
et 2. ceci est un point évoqué dans la plupart des cours
de relativité)
- délirer sur le "corpuscularisme" de l'enseignement de la mécanique
quantique tout en refusant d'aller voir ce contiennent vraiment
ce cours, même quand ils sont disponible en ligne (cf. Parizot sur
youtube)
- croire que la limite d'une ligne en escalier de pas de plus en
plus petits converge vers un machin avec "une infinité de
tangentes à +/- 45°" au lieu de la simple diagonale
(et hurler à la mort et à la persécution lorsque on lui
démontre la limite)
- menacer de procès qui indique la page ou Cramer
(interprétation transactionnelle de la MQ) parle de
réduction du paquet d'ondes
- sortir un pavé totalement imbuvable (que personne ne lit)
ou il prétend avoir retrouvé tout seul l'interprétation
transactionnelle (alors qu'il ne s'agit qu'un fatras de
sophismes, éructation et non sense)

Richard Hachel

unread,
May 10, 2022, 12:01:20 PM5/10/22
to
Il est en train de me casser les couilles sur sci.physics en voulant
m'apprendre ce que c'est qu'un temps propre et qu'un temps impropre et
comment il faut considérer les deux.

Demain, il va expliquer à sa mère comment on fait des gosses.

R.H.

Olivier Miakinen

unread,
May 10, 2022, 1:44:31 PM5/10/22
to
Le 10/05/2022 09:00, Quarkim a écrit :
> Ma question est peut-être con, mais pourquoi la lumière ne peut se déplacer qu’à c?

Ma réponse te semblera peut-être con, mais tout, partout, même ce qui
peut te sembler immobile, se déplace toujours exactement à c. Seulement
ce n'est pas un déplacement dans l'espace seul mais un déplacement dans
l'espace-temps.

C'est ce que décrit la vidéo 2 sur 8 d'une série de vidéos de ScienceClic :
<https://www.youtube.com/watch?v=9fUwhR9ANfQ>

Note que pour bien comprendre le concept il faut commencer par la vidéo
numéro 1, et si possible tout voir jusqu'à la numéro 8.
<https://www.youtube.com/watch?v=sg2BBldgKpo>

--
Olivier Miakinen

robby

unread,
May 10, 2022, 2:48:53 PM5/10/22
to
Le 10/05/2022 à 10:23, Quarkim a écrit :
> Je suis au courant du ralentissement apparent de la lumière dans la matière mais ce que tu vois c'est l'onde résultante, il y a un mécanisme vibratoire des électrons par exemple du verre qui retarde l'onde incidente laquelle ne ralentit pas réellement, elle est toujours à c. :-)

oui, mais il n'existe pas de "photon" autre que celui correspondant a
l'onde résultante.

( en vrai autant ne pas parler de photon du tout pendant le transport,
ça induit inutilement en erreur )

--
Fabrice

JC_Lavau

unread,
May 11, 2022, 5:04:09 AM5/11/22
to
Ce qui était une erreur fut d'en faire une hypostase, le considérer
comme un objet.
Depuis longtemps Willy Lamb avait tonné : "There is no such THING as a
photon".

Python

unread,
May 12, 2022, 7:00:05 AM5/12/22
to
Le 10/05/2022 à 18:01, Richard Hachel a écrit :
...
> Il est en train de me casser les couilles sur sci.physics

En science pointer une contradiction évidente n'est pas "casser
les couilles", non plus de demander ce que une théorie prévoit
pour un résultat d'expérience précis.

Pour Lavau et toi, oui je sais, ça l'est.

> en voulant
> m'apprendre ce que c'est qu'un temps propre et qu'un temps impropre et
> comment il faut considérer les deux.

Tu aurais certainement besoin d'apprendre ça, mais ce n'est pas du
tout ce que je dis.

Je parle d'une comparaison d'horloges lors d'un événement donné, pour
des horloges placées en ce lieu, une chose totalement indépendante
de toute forme de convention de synchro (rien à voir avec une
comparaison temps propre ou non).

> Demain, il va expliquer à sa mère comment on fait des gosses.

Le genre d'expression que Lavau et toi adorer, même si Lavau
ne la féminise pas (arf) pour faire féministe. On sait bien
que vous pensez avec vos couilles et qu'elles ne sont pas
faites pour ça. D'où le résultat calamiteux.


Richard Hachel

unread,
May 12, 2022, 7:08:11 AM5/12/22
to
Je t'invite plutôt à relire tout ce que je suis en train d'écrire
actuellement sur
la théorie de la relativité en milieu accéléré.

Même si dans le fond, je sais que ça t'intéresse pas, et que tu te
contrefous de la science.

R.H.


Python

unread,
May 12, 2022, 7:20:54 AM5/12/22
to
Je l'ai fait, c'est pour cela que j'ai été amené à justifier
l'intuition que des valeurs de temps propres indépendantes
du profil d'accélération (ce que tu affirmes) étaient impossibles
(sauf dans un univers galiléen), j'ai trouvé une façon de
le montrer "avec les mains" (i.e. sans formules) ; un participant
à s.p.r l'a montré avec des formules de son côté.

Évidemment tu ignores royalement, comme d'hab, ce qui ne sort
pas de ton cul^h^h cerveau malade.

> Même si dans le fond, je sais que ça t'intéresse pas, et que tu te
> contrefous de la science.

Tu continueras à te prétendre scientifique et à raconter sottise
sur sottise jusqu'à la fin de ta vie, pas de doute. Ce n'est pas
grave puisque tu es le seul à le croire.

Cependant je peux te remercier : tu m'as donné l'occasion d’approfondir
ma compréhension de la Relativité. Merci Richard ! Sincèrement.

Pour une fois que ton activité apporte quelque chose de positif il
est dommage que tu sois le seul à ne pas pouvoir en profiter...

C'est la (ta) vie...


Richard Hachel

unread,
May 12, 2022, 7:30:10 AM5/12/22
to
Le 12/05/2022 à 13:20, Python a écrit :

> Cependant je peux te remercier : tu m'as donné l'occasion d’approfondir
> ma compréhension de la Relativité. Merci Richard ! Sincèrement.

C'est le but.

R.H.

Richard Hachel

unread,
May 12, 2022, 7:44:16 AM5/12/22
to
Le 10/05/2022 à 20:48, robby a écrit :
"Il n'y a rien entre là et là".

Bref le photon, qui n'a pas de temps propre (c'est à dire qu'il n'existe
que durant une période inexistante), ne doit pas être considéré comme
une petite particule qui se déplace, ni même comme une onde qui se
déplace.

Un déplacement induisant une distance et un temps que le photon n'a pas.

Pour ce qui est du verre, la transaction est tout aussi instantanée que
dans le vide.

Le photon (particule ou onde) n'y existe pas plus. "Il n'y a toujours rien
qui passe là".

La question qui va se poser est alors obligatoirement celle-ci.

Si la vitesse, infinie, du photon ne varie pas, qu'est ce qui varie entre
le vide et la verre?

Pourquoi ai-je, en observable, Vo=c dans un cas et Vo=1.33c dans l'autre?

La vitesse, c'est de la distance sur du temps.

Si ce n'est pas le temps (nul dans le référentiel du photon) qui varie,
pour donner une vitesse observable différente, qu'est ce qui varie entre
le vide et le verre? Qu'est ce qui donne une apparence de vitesse
différente entre le vide et le verre ou l'eau?

Je sens que vos méninges commencent à frissonner.

R.H.


Richard Hachel

unread,
May 12, 2022, 8:09:16 AM5/12/22
to
Le 12/05/2022 à 13:20, Python a écrit :

>> Je t'invite plutôt à relire tout ce que je suis en train d'écrire
>> actuellement sur
>> la théorie de la relativité en milieu accéléré.
>
> Je l'ai fait, c'est pour cela que j'ai été amené à justifier
> l'intuition que des valeurs de temps propres indépendantes
> du profil d'accélération (ce que tu affirmes) étaient impossibles
> (sauf dans un univers galiléen), j'ai trouvé une façon de
> le montrer "avec les mains" (i.e. sans formules) ; un participant
> à s.p.r l'a montré avec des formules de son côté.

Dans les milieux à vitesse constante, c'est à dire dans les mouvements
galiléens,
on a To²=Tr²+Et²

Et étant l'écart-temps dans le vide (ou l'anisochronie spatiale si tu
veux parler comme Hachel).

On peut aussi écrire : To²=Tr²+(x/c)²

Dans les milieux accélérés, l'équation reste valable pour peu que
l'on prenne bien la précaution
de ne pas ajouter de carottes aux navets (ce qui arrive à tous, et à
moi aussi, plus souvent que tu ne crois).

Je ne reviens pas sur les milieux constants, tout le monde connait. Cela
conduit à To=Tr.sqrt(1+Vr²/c²)
et à sa formule inversée To=Tr/sqrt(1-Vo²/c²)

Dans les milieux accélérés, il faut procéder comme suit, en prenant
soin de déclencher les montres au départ, et de les stopper à
l'arrivée, avec un départ conjoint et une arrivée conjointe dans le
référentiel observant. Evidemment, dans l'autre référentiel, des
événements conjoints restant indubitablement conjoints, on déclenche
les montres lors des deux mêmes événements.

To²=Tr²+Et²
To²=Tr²+(x²/c²)
To²=Tr²+[(1/2)aTr²]²/c²
To²=Tr²[1+(1/4)a²Tr²/c²]
avec a²Tr²=Vr², soit:
To²=Tr²[1+(1/4)Vr²/c²]
et To=Tr.sqrt[1+(1/4)Vr²/c²)

Maintenant, il faut faire très attention (c'est bourré de pièges) de
ne pas pratiquer n'importe comment.

On part de l'hypothèse où l'on déclenche les deux montres au départ,
et on les arrête à l'arrivée.

Cela marche pour toutes les vitesses et distances possibles.

Je n'ai jamais dit que ça marchait pour des déclenchements initiaux
pris ailleurs qu'au départ.

Mais si on prend bien soin de déclencher les horloges lors de cet
événement conjoint, les Tr (temps propres) seront identiques pour les
deux protagonistes à l'arrivée (si elle est conjointe).
To(A)=To(B) par définition
mais aussi Tr(A)=Tr(B).

C'est ce que ceux qui me lisent ont du mal à comprendre, et ils
préfèrent suivre une physique abstraite
qui n'existe que dans leur cerveau formaté sauce Hawkins.

Je le sais.

R.H.





Python

unread,
May 12, 2022, 8:42:56 AM5/12/22
to
Le 12/05/2022 à 14:09, Richard Hachel a écrit :
> Le 12/05/2022 à 13:20, Python a écrit :
>
>>> Je t'invite plutôt à relire tout ce que je suis en train d'écrire
>>> actuellement sur
>>> la théorie de la relativité en milieu accéléré.
>>
>> Je l'ai fait, c'est pour cela que j'ai été amené à justifier
>> l'intuition que des valeurs de temps propres indépendantes
>> du profil d'accélération (ce que tu affirmes) étaient impossibles
>> (sauf dans un univers galiléen), j'ai trouvé une façon de
>> le montrer "avec les mains" (i.e. sans formules) ; un participant
>> à s.p.r l'a montré avec des formules de son côté.
>
> Dans les milieux à vitesse constante, c'est à dire dans les mouvements
> galiléens

Contresens. Par "galiléens" je n'entendais pas ça (sinon j'aurais dit
"inertiel"). J'entends par là un univers où ce sont les transformations
de Galilée (x' = x - vt, t' = t) qui valent.


Python

unread,
May 12, 2022, 10:04:14 AM5/12/22
to
Sérieux ? Tu racontes des conneries abyssales depuis trente ans dans
le but, indirectement, d'améliorer la compréhension de la RR par
les autres ?




Quarkim

unread,
May 17, 2022, 10:13:48 PM5/17/22
to
Expérience 1
Soit un pointeur laser acheté chez Leclerc. Je vise un mur placé à une dizaine de mètres. Je vois un point rouge. Même chose, quoi que le point rouge sera gros et terne, si je vise un mur situé cette fois au niveau de la Lune. Pour simplifier un peu, je supprime la Terre et son satellite. Le mur est très long. Il est confondu avec l'orbite lunaire. C'est un anneau géant et moi je suis au centre. Avec mon pointeur, je vise ce mur distant de 300000 km. Le point rouge apparaît une seconde plus tard. Et là, le pointeur toujours dirigé vers le mur, je fais un tour complet sur moi-même en un seconde. Question a: le rayon laser est-il droit ou courbé? Question b: la vitesse du point rouge balayant le mur est-elle égale ou supérieure à c? Question c: le point rouge balayant le mur décrit-il une ligne rouge circulaire continue ou discontinue?

Mon expérience 2, assez intrigante, dépendra de la réponse à ces trois questions.

Olivier Miakinen

unread,
May 18, 2022, 2:22:09 AM5/18/22
to
Le 18/05/2022 04:13, Quarkim a écrit :
> Expérience 1
> [où tu décris le paradoxe du phare]

Réponse : <https://stringfixer.com/fr/Lighthouse_paradox>

Note : tu ne voudrais pas utiliser un vrai lecteur de news au lieu de cette
merde qu'est Google groupes, qui ne coupe pas les lignes ?

--
Olivier Miakinen

Quarkim

unread,
May 18, 2022, 2:45:18 AM5/18/22
to
Le mercredi 18 mai 2022 à 08:22:09 UTC+2, Olivier Miakinen a écrit :
> Le 18/05/2022 04:13, Quarkim a écrit :
> > Expérience 1
> > [où tu décris le paradoxe du phare]
>
> Réponse : <https://stringfixer.com/fr/Lighthouse_paradox>
>
Ah ok, je ne connaissais pas le nom de cette expérience. Mais peu importe, ce qui compte c'est la suite de cette expérience qui, elle, ne doit pas exister (vous me le direz).











robby

unread,
May 18, 2022, 3:16:56 AM5/18/22
to
très classique.

Le 18/05/2022 à 04:13, Quarkim a écrit :
> Question a: le rayon laser est-il droit ou courbé?

spirale, comme si tu tournait un jet d'eau


> Question b: la vitesse du point rouge balayant le mur est-elle égale ou supérieure à c?
sans problème, vu que ça n'est pas un objet matériel ( i.e. pas une
information qui partirait de la tache A vers la tache B ). idem pour une
ombre ou un reflet.

> Question c: le point rouge balayant le mur décrit-il une ligne rouge circulaire continue ou discontinue?
ça dépend si ton laser émet en continu ou pas ;-)


--
Fabrice

Message has been deleted

Quarkim

unread,
May 18, 2022, 3:27:06 AM5/18/22
to
Ok merci, je suis arrivé aux mêmes réponses.

robby

unread,
May 18, 2022, 3:27:28 AM5/18/22
to
Le 18/05/2022 à 09:23, Quarkim a écrit :
> Verrai-je toujours ces franges d'interférence?

ben oui !


> Mais si me place hors du système de référence du pointeur en rotation, je ne verrai plus les figures d'interférence qui disparaissent comme par magie

pourquoi cette drôle d'idée ?


> , à l'instar de quelqu'un qui voit la gravitation disparaître quand il tombe avec un ascenseur.

quel rapport ?


> Si j'ai bon, alors cette expérience des fentes de Young avec un émetteur laser en rotation constituerait une jonction ou un pont entre la mécanique quantique et la relativité.

quel rapport ?


> Mais je me trompe sûrement dans mon résonnement que voici :
>
absent

--
Fabrice

Quarkim

unread,
May 18, 2022, 3:36:36 AM5/18/22
to
Le mercredi 18 mai 2022 à 09:27:28 UTC+2, robby a écrit :

>
> > Mais je me trompe sûrement dans mon résonnement que voici :
> >
> absent
>
J'ai du supprimer mon message après l'avoir posté trop vite sans ma petite démonstration.

Quarkim

unread,
May 18, 2022, 4:02:29 AM5/18/22
to
Expérience 2
Je suis toujours au centre de mon anneau géant de la taille de l'orbite lunaire. À un mètre de l'anneau, je place des fentes de Young. Je dirige mon pointeur laser vers ces fentes. J'observe donc des figures d'interférence projetées sur l'anneau. Mais que se passe-t-il si maintenant je tourne avec mon pointeur laser? Verrai-je toujours ces franges d'interférence? Je ne suis pas sûr. Je pense que si je suis dans le système de référence du pointeur en rotation, je verrai les interférences. Mais si je me place hors du système de référence du pointeur en rotation, je ne verrai plus les figures d'interférence qui disparaissent comme par magie, à l'instar de quelqu'un qui voit la gravitation disparaître quand il tombe avec un ascenseur. Si j'ai bon, alors cette expérience des fentes de Young avec un émetteur laser en rotation constituerait une jonction ou un pont entre la mécanique quantique et la relativité. Mais je me trompe sûrement dans mon raisonnement que voici :

Mon pointeur tire des photons vers les fentes. S'il est en rotation (disons dans le sens des aiguilles d'une montre), le laser est courbé d'un point de vue extérieur. Il doit donc toucher une fentes avant l'autre. En l'occurrence la fentes de gauche si vous voyez. Donc j'ai cette information : les photons passent par la fente A avant de passer par la fente B. Or que dit l'expérience de Young? Les figures d'interférence disparaissent quand on sait par quel trou passe le photon. Non ?

Mais si je suis dans le référentiel du pointeur, alors je suppose que le laser est droit et qu'il tombe sur les deux fentes en même temps, donc apparition de franges.

Faudrait tenter l'expérience en laboratoire d'optique.









Olivier Miakinen

unread,
May 18, 2022, 4:26:20 AM5/18/22
to
Le 18/05/2022 09:16, robby a écrit :
> très classique.
>
> Le 18/05/2022 à 04:13, Quarkim a écrit :
>> Question a: le rayon laser est-il droit ou courbé?
>
> spirale, comme si tu tournait un jet d'eau

Sauf que, tout comme la « trace du point lumineux », ce n'est qu'une
illusion. En réalité, chaque photon va bien tout droit.

>
>
>> Question b: la vitesse du point rouge balayant le mur est-elle égale ou supérieure à c?
> sans problème, vu que ça n'est pas un objet matériel ( i.e. pas une
> information qui partirait de la tache A vers la tache B ). idem pour une
> ombre ou un reflet.

Oui. Idem pour le point d'intersection des deux lames d'une paire de ciseaux que
l'on referme.

>> Question c: le point rouge balayant le mur décrit-il une ligne rouge circulaire continue ou discontinue?
> ça dépend si ton laser émet en continu ou pas ;-)

Oui.


--
Olivier Miakinen

Olivier Miakinen

unread,
May 18, 2022, 4:36:45 AM5/18/22
to
Dis, Quarkim, puisque tu ne peux pas utiliser autre chose que cette merde
de Google groupes, est-ce que tu pourrais au moins aller à la ligne à chaque phrase.

Bon, je demande à mon nouvelleur de reformater.

Le 18/05/2022 10:02, Quarkim a écrit :
> [...]
>
> Mon pointeur tire des photons vers les fentes. S'il est en rotation (disons
> dans le sens des aiguilles d'une montre), le laser est courbé d'un point de
> vue extérieur.

Comme je viens de le signaler en réponse à robby, le laser n'est pas
courbé : chaque photon va en ligne droite. Si l'écran est sur la Lune
alors que la source est sur la Terre, tu peux juste considérer que
les arrivées de photons sont *vraiment* parallèles.

> Il doit donc toucher une fentes avant l'autre.

On s'en fout. L'expérience a déjà été réalisée en émettant les photons ou
les électrons un à la fois, cela n'empêche pas la figure d'interférences
de se former.

> En l'occurrence
> la fentes de gauche si vous voyez. Donc j'ai cette information : les photons
> passent par la fente A avant de passer par la fente B. Or que dit
> l'expérience de Young? Les figures d'interférence disparaissent quand on sait
> par quel trou passe le photon. Non ?

Ce qui n'est pas le cas ici. À moins que tu ne bouches l'un des trous, il
peut toujours « passer par les deux trous à la fois » et donc interférer
avec lui-même.



--
Olivier Miakinen

Quarkim

unread,
May 18, 2022, 4:53:46 AM5/18/22
to
Le mercredi 18 mai 2022 à 10:36:45 UTC+2, Olivier Miakinen a écrit :
> Comme je viens de le signaler en réponse à robby, le laser n'est pas courbé : chaque photon va en ligne droite.

Ok il faut toujours se méfier des illusions dans l'univers de la physique sinon on tombe dans un trou de paradoxe.

robby

unread,
May 18, 2022, 5:00:36 AM5/18/22
to
Le 18/05/2022 à 10:26, Olivier Miakinen a écrit :
> Le 18/05/2022 09:16, robby a écrit :
>> spirale, comme si tu tournait un jet d'eau
> Sauf que, tout comme la « trace du point lumineux », ce n'est qu'une
> illusion. En réalité, chaque photon va bien tout droit.

oui, comme pour le jet d'eau :-)


--
Fabrice

Quarkim

unread,
May 18, 2022, 11:19:41 AM5/18/22
to
Le mercredi 18 mai 2022 à 10:36:45 UTC+2, Olivier Miakinen a écrit :
> Dis, Quarkim, puisque tu ne peux pas utiliser autre chose que cette merde
> de Google groupes, est-ce que tu pourrais au moins aller à la ligne à chaque phrase.
>
Ok je vais couper mes phrases, mais je sais pas pour quellles raison.

Expérience 3
Je fais l'expérience des deux fentes dans un train roulant à la vitesse de la lumière.
L'émetteur à photons est placé à équidistance des deux trous.
J'obtiens donc sur l'écran les fameuses franges d'interférence.
(Précision, le mouvement du train se fait parallèlement aux fentes.)
Question : que voit un observateur sur le quai?
Réponse : pas de figures d'interférence.
Nous avons là un cas où l'apparition des franges d'interférence est relative.
Comment ça?
Eh bien, vue du quai, quand un photon est émis il s'approchera quasi-
instantanément de la fente qui s'avance vers lui à c, mais n'atteindra jamais
l'autre fente qui s'éloigne de lui à c. Non? Où est l'erreur ?
Vous allez peut-être me dire que la plaque où se trouvent les deux trous
se contracte jusqu'à atteindre une taille zéro et donc que les deux trous
seront confondus et le photon par conséquent passera par les deux fentes
en même temps et interférera avec lui-même.

Quarkim

unread,
May 18, 2022, 11:41:32 AM5/18/22
to
Expérience 4
Je fais l’expérience de Young pile poil au bord d’un trou noir.
Une fente est à l’extérieur du trou noir. L’autre à l’intérieur.
Y a-t-il interférence du photon avec lui-même et apparition des franges?
Je pense que non. Le trou noir absorbera fatalement le photon qui passera
par la fente se trouvant à l’intérieur de l’horizon des évènements.
Cette expérience a-t-elle déjà été pensée ?


robby

unread,
May 18, 2022, 2:56:26 PM5/18/22
to
Le 18/05/2022 à 17:19, Quarkim a écrit :
> (Précision, le mouvement du train se fait parallèlement aux fentes.)
> Question : que voit un observateur sur le quai?
> Réponse : pas de figures d'interférence.
> Nous avons là un cas où l'apparition des franges d'interférence est relative.
> Comment ça?

non. c'est toujours pareil.

> Eh bien, vue du quai, quand un photon est émis il s'approchera quasi-
> instantanément de la fente qui s'avance vers lui à c, mais n'atteindra jamais
> l'autre fente qui s'éloigne de lui à c.

encore faux.

un photon va à c dans tous les référentiels, point barre. par contre sa
fréquence va baisser.
tout comme pour le son, qui voyage a 300m/s, mais dont la sirène semble
plus grave.



--
Fabrice

robby

unread,
May 18, 2022, 2:57:21 PM5/18/22
to
Le 18/05/2022 à 17:41, Quarkim a écrit :
> Expérience 4
> Je fais l’expérience de Young pile poil au bord d’un trou noir.
> Une fente est à l’extérieur du trou noir. L’autre à l’intérieur.

ce qui revient a dire que dans notre univers, il n'existe qu'une fente.

fin de l'histoire.


--
Fabrice

Quarkim

unread,
May 22, 2022, 2:27:16 PM5/22/22
to
Expérience 5
J’ai imaginé une astuce pour savoir par quel trou passe le photon sans détruire les franges d’interférence dans l’expérience de Young quantique. Il « suffit » de se servir d’un phénomène connu sous le nom d’effet Casimir. En effet, au lieu d’utiliser des fentes classiques, utilisons plutôt des plaques suffisamment rapprochées pour que les fluctuations du vide exercent sur elles une pression. On mesure celle-ci puis on envoie un photon. Quand le photon passe entre les plaques, la densité de fluctuation du vide augmente et la pression extérieure sur les plaques diminue, ce qui indique que le photon est bel et bien passé par là. Si c’est pas assez clair, je ferai un dessin. Et si malgré tout la figure d’interférence est détruite après cette mesure c’est que le photon « sait » par avance que je cherche à le piéger avec l’effet Casimir. Comment s’y prend-il ? Insaisissable photon !

robby

unread,
May 23, 2022, 1:49:39 AM5/23/22
to
Le 22/05/2022 à 20:27, Quarkim a écrit :
> J’ai imaginé une astuce pour savoir par quel trou passe le photon sans détruire les franges d’interférence

c'est un non-sens, puisque les franges *résultent* des chemins multiples.


> dans l’expérience de Young quantique. Il « suffit » de se servir d’un phénomène connu sous le nom d’effet Casimir. En effet, au lieu d’utiliser des fentes classiques, utilisons plutôt des plaques suffisamment rapprochées pour que les fluctuations du vide exercent sur elles une pression. On mesure celle-ci puis on envoie un photon. Quand le photon passe entre les plaques, la densité de fluctuation du vide augmente et la pression extérieure sur les plaques diminue, ce qui indique que le photon est bel et bien passé par là.

ça s'appelle une mesure faible, et il me semble que ça a déjà été fait.

--
Fabrice

Message has been deleted

Quarkim

unread,
May 23, 2022, 3:19:56 AM5/23/22
to
Le lundi 23 mai 2022 à 07:49:39 UTC+2, robby a écrit :
> ça s'appelle une mesure faible, et il me semble que ça a déjà été fait.
>
J'étais pas au courant. Avant de poster mon message, j'avais fait une recherche sur google et n'ai rien trouvé.

Richard Hachel

unread,
May 23, 2022, 4:26:24 PM5/23/22
to
Le 22/05/2022 à 20:27, Quarkim a écrit :
Il est toujours intéressant de proposer des expériences.

Un peu comme Michelson et son ami Morley qui avaient imaginé un truc de
fous pour l'époque, mais suffisamment précis pour révolutionner la
physique et introduire la théorie de la relativité.

J'aime les chercheurs, les découvreurs.

J'aime bien aussi, parce c'est dans mon courant de pensée : "le photon
sait par avance où il va et par où il passe".

Je suis convaincu que c'est une vérité profonde de la physique.

Toutes les grandes vérités font rire au départ.

Par exemple le fait de dire "ce photon qui arrive de cette galaxie et qui
au travers des lentilles du
télescope frappe ma rétine, savait, à l'instant même de son départ,
où il allait", cela parait immensément absurde.

Je n'en suis pas tout à fait certain.

En physique, parfois, ce sont les plus bêtes et les plus ignorants qui
rient.

Pas qu'en physique, d'ailleurs.

Cette idée du phénomène photonique (j'aime pas le terme de photon)
instantané dans l'espace-temps
du RECEPTEUR mériterait d'être creusé.

Je ne jette pas le bébé avec l'eau du bain.

R.H.


Quarkim

unread,
May 24, 2022, 5:16:47 AM5/24/22
to
On est d'accord.

JC_Lavau

unread,
May 25, 2022, 3:48:38 AM5/25/22
to
Le 22/05/2022 à 20:27, Quarkim a écrit :
> Expérience 5
> J’ai imaginé une astuce pour savoir par quel trou passe le photon ...

Par quel trou passe le corpuscule ?
A condition que ton corpuscule existe !
Comment vas tu procéder pour transmuter un photon en un corpuscule ?

Richard Hachel

unread,
May 25, 2022, 9:38:29 AM5/25/22
to
Le photon n'est ni une onde, ni un corpuscule.

Mais cette idée semble tellement étrange que quand on l'énonce,
certains font feu de tout bois.

Encore plus étrange l'idée qu'il n'existe pas entre sa source et son
récepteur.

"Il n'y a rien entre ça et là".

Et d'une complexité effroyable l'idée selon laquelle la photon n'est
qu'une transmission instantanée d'énergie dans le référentiel local du
récepteur : le fait de comprendre que dans un simple espace inertiel,
existe une infinité de référentiel, surpassant la possibilité du
cerveau humain normal.

Injurier, moquer, persécuter, taillader : oui.

Réfléchir : non.

Faut quand même pas trop en demander.

R.H.




JC_Lavau

unread,
May 25, 2022, 3:25:06 PM5/25/22
to
Le 25/05/2022 à 15:38, Richard Hachel a écrit :
> Le 25/05/2022 à 09:48, JC_Lavau a écrit :
>> Le 22/05/2022 à 20:27, Quarkim a écrit :
>>> Expérience 5
>>> J’ai imaginé une astuce pour savoir par quel trou passe le photon ...
>>
>> Par quel trou passe le corpuscule ?
>> A condition que ton corpuscule existe !
>> Comment vas tu procéder pour transmuter un photon en un corpuscule ?
>
> Le photon n'est ni une onde, ni un corpuscule.
>
> Mais cette idée semble tellement étrange que quand on l'énonce, certains font
> feu de tout bois.
>
> Encore plus étrange l'idée qu'il n'existe pas entre sa source et son
> récepteur.

Je te résume : tu n'as jamais fait d'optique. Jamais.


Richard Hachel

unread,
May 25, 2022, 3:49:09 PM5/25/22
to
Le 25/05/2022 à 21:25, JC_Lavau a écrit :

> Je te résume : tu n'as jamais fait d'optique. Jamais.

Quelques bribes seulement.

Mais assez pour me convaincre qu'un photon ne peut pas, déjà, être
détecté sans détecteur.

Donc absolument rien ne prouve (il n'existe déjà pas dans le temps, je
te le rappelle) qu'il existe entre sa source et son récepteur. Nulle
part. Même pas dans les corps translucides.

Si ce forum était au niveau de mes posts (mais faut pas rêver
l'arrogance scientifique n'a rien à envier à l'arrogance religieuse), on
se poserait la question de savoir comment il se fait qu'instantanément,
en cas de virage virtuel dans le voyageur de Langevin, deux photons qui se
suivent et qui sont captés par la fusée en train de faire un virtuel
demi-tour peuvent être, l'un envoyé d'une distance de 4
années-lumière, et le suivant d'une distance de 36 années-lumière et
par le même émetteur.

Cela instantanément.

Sans que l'horloge terrestre ne bouge d'un pouce (exit le time-gap).

C'est l'une des preuves manifeste, du moins en théorie, que la
transmission photonique est instantanée.

Mais pour le comprendre, il faut déjà comprendre comment fonctionne la
théorie, et là, c'est pas gagné d'avance.

Ca fait des années que je l'explique, et personne n'a toujours pas
compris ce que je voulais dire.

Ou alors c'est moi qui explique mal. LOL.

Mais je crois que la raison est ailleurs.

Et qu'elle n'est pas non plus dans le défaut d'intelligence de mon
éventuel lecteur.

C'est évidemment "autre chose", et de non scientifique.

R.H.




JC_Lavau

unread,
May 26, 2022, 3:48:43 PM5/26/22
to
Tu confirmes que tu n'as jamais fait d'optique.

Cl.Massé

unread,
May 27, 2022, 8:08:19 PM5/27/22
to
"Quarkim" a écrit dans le message de groupe de discussion :
e4d29fc2-9919-40cd...@googlegroups.com...

> On est d'accord.

Oui je suis d'accord itou, et les plus grosses conneries font rire aussi, au
départ.


-- ~~~~ clmasse on free F-country
Liberty, Equality, Profitability.

Quarkim

unread,
May 28, 2022, 3:56:05 AM5/28/22
to
Une autre question est :

Comment penser l'infiniment petit sachant que les millions d'années d'évolution
ont façonné notre notre cerveau pour penser correctement à notre échelle?

Avec l'imagination, on arrive à percevoir les choses sous certains angles.

On arrive à soulever un coin du grand voile.

Les homo sapiens qui jouent concrètement avec les photons dans les labos de
physique quantique ne se posent pas trop les questions qui font surchauffer les méninges.

Ils font comme nos ancêtres les singes qui cassaient une noix avec une pierre pour voir
ce qu'il y a dedans. Ils partageaient leur délicieuse découverte avec les autres primates et
ils augmentaient leur chances de copulation avec les femelles.

Les physiciens expérimentateurs doivent plus copuler que les physiciens théoriciens.

Mais là je m'égare…

Richard Hachel

unread,
May 31, 2022, 11:58:52 AM5/31/22
to
Deux choses prêtent à rire, la connerie et le génie.

Les banalités ne prêtent à rien.

R.H.

Richard Hachel

unread,
Jun 18, 2022, 5:11:54 PM6/18/22
to
Le 18/05/2022 à 17:19, Quarkim a écrit :
J'ai rien compris.

R.H.

Richard Hachel

unread,
Jun 18, 2022, 5:12:48 PM6/18/22
to
Certes, certes, mais je suis pas sûr que la question fut celle-ci.

R.H.

Richard Hachel

unread,
Jun 18, 2022, 5:15:29 PM6/18/22
to
Le 18/05/2022 à 17:41, Quarkim a écrit :
Personnellement, je suis bien incapable de m'élever à une telle
réflexion.

J'admets que Robby, qui tente de répondre, est fort.

R.H.
0 new messages