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LETTRES A JEAN BRICMONT N°2

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Yanick Toutain

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Oct 18, 2006, 11:16:03 AM10/18/06
to
Pour recadrer le débat sur la contradiction entre le matérialisme et
la croyance en la Relativité il est utile de retourner aux grands
anciens : Lucrèce, Newton et Lénine en particulier :


http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/LettresJBricmont/Lettre_JBricmont2.htm
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LETTRES A JEAN BRICMONT : "Les imposteurs "scientifiques"
De Yanick Toutain
Lettre n°2

Pour recadrer le débat sur la contradiction entre le matérialisme et
la croyance en la Relativité il est utile de retourner aux grands
anciens : Lucrèce, Newton et Lénine en particulier :

Lucrèce De la nature livre premier p. 29 :
"La nature entière, telle qu'elle est, a donc une double origine ;
elle comprend des corps et ce vide dans lequel ils se situent et se
meuvent. L'existence des corps, le sens commun suffit pour nous
l'attester, et sans ce fondement inébranlable de notre pensée, nous
ne pourrions, à l'égard de faits plus obscurs, appuyer sur rien notre
jugement. Quant à l'espace que nous nommons vide, s'il n'existait pas,
il n'y aurait pour les corps ni place ni moyen de mouvement, comme je
viens de te le montrer.
En outre, il n'est rien dont tu puisses affirmer l'existence hors de
toute espèce de corps, hors du vide, rien en quoi tu puisses
t'imaginer avoir découvert comme une troisième manière d'être."
(...) p. 30
Mais le temps ? Il n'a pas d'existence en soi. Ce sont les choses et
leur écoulement qui rendent sensibles le passé, le présent,
l'avenir. A personne, il le faut avouer, le temps ne se fait sentir
indépendamment du mouvement des choses ou de leur repos."
(...) p. 31
Les corps, ce sont d'une part les principes simples des choses, les
atomes, et d'autre part les composés formés par ces éléments
premiers. Pour ceux-ci, il n'est aucune force qui puisse les détruire
; à toute atteinte leur solidité résiste."
(...)
Tout d'abord, puisque nous avons découvert que la nature est double,
composée de deux éléments essentiellement dissemblables, la matière
et le vide où tout s'accomplit, il faut que chacun d'eux existe par
lui-même, pur, sans mélange. Car où s'étend l'espace que nous
appelons vide, point de matière ; et partout où se dresse un corps,
impossible qu'il y ait espace libre, vide. Les corps élémentaires
sont donc de matière pleine ; ils n'admettent point le vide."

(Lucrèce "De la nature" Garnier Flammarion 1964 traduction: Henri
Clouard)

Lire ce texte écrit par un géant ( à la suite de ses maîtres
Epicure et Démocrite) replace à leur hauteur de nains les
contempteurs du réel objectif : les énergétistes du 19° siècle,
les Ostwald, Mach & C° qui voulaient s'opposer à Boltzmann sous
prétexte qu'il considérait les "atomes" comme réels. Il faut
d'ailleurs préciser que les atomes du 19°, même ceux de Boltzmann ne
sont pas les atomos des anciens : l'atomos sera la particule ultime, la
brique fondamentale de l'Univers, dont je pense à ce propos qu'elle
pourra être le photon (De Broglie en avait d'ailleurs l'intuition
"(...) tandis que le rayonnement est susceptible de se condenser en
matière et de créer de nouvelles particules" (p.75) ; le dernier
paragraphe p. 77 est encore plus explicite p.77 (Louis de Broglie
"Physique et microphysique" Albin Michel 1947)
Les pages qui précèdent sont moins glorieuses : De Broglie en est
encore à se faire le semi-propagandiste de l'idiotie "Ether". Aller
dire que c'est l'"expérience" de Michelson qui a "porté un coup fatal
à l'éther est une aberration : Michelson cherchait une idiotie, la
"vitesse" de la Terre par rapport au Soleil considéré comme immobile.
Une telle non-expérience ne peut rien prouver du tout. Quand De
Broglie écrit son texte, il est censé savoir que la Galaxie existe,
que le Soleil y orbite et que sa "vitesse" orbitale est d'environ 250
km par seconde. A quoi rime alors de "prouver" encore que l'éther
n'existe pas par une hypothèse dont les fondements étaient faux ?
Car, il faut alors analyser les conséquences d'un déplacement du
Soleil concernant l'"expérience" de Michelson Morley Miller. Et en
prenant en considération que le centre de la Galaxie a une translation
dont on peur supposer qu'elle est bien plus grande que la "vitesse"
orbitale du Soleil. Si l'on remarque que la "vitesse" orbitale du
Soleil est 8 fois la "vitesse" orbitale de la Terre. ( 5 fois celle de
Mercure jusqu'à 19 fois celle de Jupiter), on peut, à bon droit,
supposer que la vitesse du centre de notre Galaxie sera un multiple de
250 (km s-1). En conséquence de quoi, il apparaît que Michelson est
un doux plaisantin : son dispositif ne garantit même pas que le rayon
de lumière percute bel et bien ses miroirs ( plus la translation
mesurée est grande et plus larges doivent être les dits miroirs ). De
plus, une vitesse de translation importante aura pour conséquence, non
seulement de différencier les délais de parcours des photons (ce que
Michelson prenait comme objet d'expérience) mais aussi et surtout aura
pour conséquence de faire arriver les photons sur le récepteur final
à une distance telle les uns (trajet1) par rapport aux autres
(trajet2) qu'il sera impossible d'obtenir quelque interférence que ce
soit.

Il est extraordinaire et révélateur que ce soit une aussi absurde
"expérience" qui ait servi de prétexte à la construction de la
Relativité.
Vous avez lu, vous-mêmes, récemment l'ouvrage splendide de VI Lénine
"Matérialisme et empiriocriticisme". (Vous le citez dans
Intrusions...) Je vais me permettre de vous faire quelques citations de
Lénine, pour prouver que cette attaque à l'absoluité du temps et de
l'espace mise en œuvre par la Relativité d'Einstein était déjà
dans l'air du temps, et surtout que cet espace absolu de Newton et de
Lucrèce était déjà la cible du maître de Einstein, Mach :
Citations extraites du chapitre 5 p. 180

"L'ESPACE ET LE TEMPS
Reconnaissant l'existence de la réalité objective, c'est à dire de
la matière en mouvement, indépendamment de notre conscience, le
matérialisme est inévitablement amené à reconnaître aussi la
réalité objective de l'espace et du temps, et ainsi il diffère,
d'abord du kantisme, pour lequel, comme pour l'idéalisme, l'espace et
le temps sont des formes de la contemplation humaine, et non des
réalités objectives.
(...)
L'univers n'est que matière en mouvement, et cette matière en
mouvement ne peut se mouvoir autrement que dans l'espace et dans le
temps. Les idées humaines sur l'espace et le temps sont relatives,
mais la somme de ces idées relatives donne la vérité absolue : ces
idées relatives tendent, dans leur développement vers la vérité
absolue et s'en rapprochent. La variabilité des idées humaines sur
l'espace et sur le temps ne réfute pas plus la réalité objective de
l'un et de l'autre que la variabilité des connaissances scientifiques
sur la structure de la matière et les formes de son mouvement ne
réfute la réalité objective du monde extérieur.
(...)
Engels oppose à Dühring la proposition généralement admise et qui
tombe sous le sens de tout matérialiste, du caractère réel, c'est à
dire de la réalité objective du temps, en affirmant qu'il est
impossible de se débarrasser de la reconnaissance ou de la négation
directes de cette proposition par des raisonnements sur la modification
des concepts du temps et de l'espace.
(...)
Si le temps et l'espace ne sont que des concepts, l'humanité qui les a
crées a le droit de sortir de leurs limites, et les professeurs
bourgeois ont le droit de toucher des émoluments de gouvernements
réactionnaires pour défendre la légitimité de cette sortie, pour
défendre, directement ou non, l'"absurdité" moyenâgeuse." P 183
Je trouverai cette citation extrêmement drôle si les circonstances
(le stalinisme) n'avait empêché les matérialistes de faire un sort
à Einstein et ses fumisteries en nous faisant perdre un siècle. Le
texte qui suit, page 183, la dernière citation est encore plus
savoureux si l'on conserve en mémoire le fait que le maître à penser
de Albert Einstein s'appelait E. Mach.
"Engels a montré à Dühring que la négation de la réalité
objective du temps et de l'espace est, en théorie, une confusion
philosophique et, dans la pratique, une capitulation ou un aveu
d'impuissance devant le fidéisme.
Voyez maintenant la "doctrine" du "positivisme moderne" à ce sujet.
Nous lisons chez Mach : " L'espace et le temps sont des systèmes bien
coordonnés (ou harmonisés, wohlgeordnete) de séries de sensations"
(Mécanique, 3° édit. Allemande, p. 498). Absurdité idéaliste
évidente, qui est la conséquence obligée de la doctrine d'après
laquelle les corps sont des complexes de sensations. D'après Mach, ce
n'est pas l'homme avec ses sensations qui existe dans l'espace et le
temps ; ce sont l'espace et le temps qui existent dans l'homme. Mach se
sent glisser vers l'idéalisme et "résiste", en multipliant les
restrictions et en noyant, comme Dühring, la question dans des
dissertations interminables (voir surtout Connaissance et Erreur) sur
la variabilité de nos concepts du temps et de l'espace, sur leur
relativité, etc. Mais cela ne le sauve pas, ne peut pas le sauver, car
on ne peut surmonter vraiment l'idéalisme, dans cette question, qu'en
reconnaissant la réalité objective de l'espace et du temps. Et c'est
justement ce que Mach ne veut à aucun prix. Il édifie une théorie
gnoséologique du temps et de l'espace, fondée sur le principe du
relativisme, rien de plus." P.184 Editions sociales 1962 ( le nom du
traducteur est inconnu : peut-être aura-t-il été fusillé ?)


Je dois avouer qu'avant de constater que les triplets de Pythagore
étaient nécessaires à la quantification du ralentissement
einsteinien du temps, il ne m'était pas apparu que la Relativité dans
son principe était totalement hostile au matérialisme. En
conséquence c'est bien davantage la notion de "devant derrière" qui
m'a convaincu: La Terre est DEVANT le Soleil puis, 6 mois plus tard, la
Terre est DERRIERE le Soleil. Pour autant, pour être maintenant
certain de l'imposture relativiste, ces citations de V.I. Lénine
m'apparaissent comme totalement lumineuses: seul l'espace de Newton
répond aux critères matérialistes de Lénine, de Marx, de Lucrèce
etc....
Citations de Isaac Newton "De la gravitation" (traduit du latin par
Marie-Françoise Biarnais éd. Gallimard 1985-1995)
p.112 " Les noms de quantité, de durée et d'espace sont trop connus
pour pouvoir être définis par d'autres mots.
Définition 1 : Le lieu est la partie de l'espace qu'une chose remplit
exactement.
Définition 2 : Le corps est ce qui remplit le lieu.
Définition 3 : Le repos est la persistance en un même lieu.
Définition 4 : Le mouvement est le changement de lieu."
Ce début comme ce qui suit ressemble à du Lucrèce.
Puis page 127:
"Les parties de l'espace sont immobiles"
à relier à
page 129:
"Les positions, les distances et les mouvements locaux des corps
doivent être rapportés aux parties de l'espace.(...) En outre, on
peut ajouter que l'espace ne possède aucune force susceptible
d'empêcher ou d'aider ou encore de changer par un moyen quelconque le
mouvement des corps."
Il résulte de ce qui précède l'éclaircissement possible d'un
malentendu - malentendu qui est peut-être maintenant délibérément
par les enseignants relativistes : La trajectoire de la Terre vue par
Newton n'est en aucune façon RELATIVE au Soleil. Pour Newton, il est
clair que la trajectoire de la Terre, comme d'ailleurs de toutes les
planètes est RELATIVE à ce qu'il appelle les "parties de l'espace",
et qu'en hommage à lui, nous pourrions appeler espace de Newton. Ces
trajets relatifs à l'"espace de Newton" sont donc des trajets ABSOLUS.
Il n'est pas question de considérer qu'il s'agit là d'un repère
héliocentrique.
Certes, Newton fait preuve d'ignorance - et de récusation de
l'héritage des Grecs - en considérant que le Soleil est immobile.
Mais, cette ignorance ne l'a pas entraîné à y ajouter une absurdité
: le mouvement relatif. Bien au contraire : Newton ne considère que
des mouvements absolus.
Nous sommes donc en présence d'une filiation claire qui va de
Démocrite à Epicure, à Lucrèce, à Newton. Cette filiation
matérialiste est rompue par Mach.
Ce fidéiste est un clérical : Lénine, pour des raisons de censure a
demandé à sa sœur de remplacer clérical par "fidéisme" ou par
"chamanisme". Mais son propos est résolument anti-clérical. A raison
d'ailleurs : Dans sa préface au "De la nature", le traducteur signale
quant à Lucrèce : "Saint Jérôme prétend qu'un philtre amoureux
l'avait fou et qu'il composa le De Rerum Natura dans les répits de son
délire : sans doute n'y a-t-il là qu'une légende propre à
discréditer le poète impie."
Il y a une filiation dans le combat de la calotte comme il y a une
filiation dans le combat des matérialistes. Et cela depuis le III°
siècle après la fondation de Rome (pour ne pas avoir à dire le V°
siècle avant JC).

Quant à Isaac Newton, s'il pense croire en un "Dieu", le fiel du
futur évêque Berkeley en 1710 contre Newton prouve que celui-ci a su
passer outre ses crédulités pour fonder un édifice scientifique.

Certes, nul n'est parfait, surtout celui qui fait une confiance
aveugle aux scientifiques ou prétendus tels : Lénine croit à l'Ether
: cette idiotie inventée par Huygens pour se débarrasser des grains
de lumière de Newton et donc pour anéantir le matérialisme sous
prétexte de phénomènes physiques incompris. "Les vibrations de
l'éther existent indépendamment de nos sensations de lumière" p. 314
De cette bourde, il faut en tirer une nouvelle leçon : ne jamais rien
croire en "sciences" qui ne soit compatible avec la philosophie
matérialiste, ne jamais rien CROIRE !
(0510190653)
(0510191540)
Il s'agit maintenant de régler son compte au "génie" Einstein : Dans
beaucoup de circonstances, il laisse faire par les autres les basses
œuvres. En l'occurrence, il préface un livre (en 1948) qui va livrer
le FOND de sa pensée. Il va laisser l'auteur revendiquer ce qui fait
la trame de la Relativité : une attaque frontale contre le
matérialisme. Comme j'ai (achat de bouquiniste) une édition de 1951
et que je présume cet ouvrage difficilement trouvable, je vais citer
in extenso l'
" Avant propos de A Einstein
Quiconque a tenté de donner une expression populaire à un sujet
scientifique plutôt abstrait connaît les grandes difficultés d'une
telle tâche. Ou bien on parvient à être intelligible en escamotant
le cœur du problème, en offrant seulement au lecteur des vues
superficielles, ou de vagues allusions, ce qui est tromper le lecteur
en lui donnant la décevante illusion de comprendre. Ou bien on donne
une vue savante du problème, mais telle que le lecteur mal préparé
est incapable de suivre l'exposé, et se décourage de lire plus avant.
Si on laisse de côté, dans la littérature scientifique populaire
d'aujourd'hui, ces deux catégories, il reste peu de chose. Mais ce qui
subsiste est d'une extrême valeur. Il est de la première importance
que le grand public ait la possibilité de prendre conscience -
clairement et intelligemment - des efforts et des résultats de la
recherche scientifique. Il ne suffit pas qu'une poignée de
spécialistes, dans chaque domaine, s'attaque à un problème, le
résolve et l'applique. Réduire et limiter le corps de la connaissance
à un petit groupe anéantit l'esprit philosophique d'un peuple, et
conduit à la plus grande pauvreté spirituelle.
Le livre de Lincoln Barnett apporte une contribution de grande valeur
à la littérature scientifique populaire. Les grandes idées de la
théorie de la relativité y sont extrêmement bien présentées. En
outre, l'état présent de nos connaissances en physique y est défini
avec précision. L'auteur montre comment le développement de notre
connaissance des faits, en même temps que l'approche d'une conception
théorique unifiée embrassant toutes les données empiriques, ont
conduit à la situation actuelle. Celle-ci est caractérisée - quelles
que soient nos réussites - par l'incertitudes concernant le choix des
concepts théoriques de base
Princeton, New Jersey,
10 septembre 1948"
La citation est complète, rien n'y manque : Einstein n'émet aucune
réserve, aucune restriction à ce que va écrire l'auteur. Bien au
contraire, il écrit : " Les grandes idées de la théorie de la
relativité y sont extrêmement bien présentées."
Sautons le délire apologétique des premières pages et lisons la page
20 : Einstein a obligatoirement lu AU MOINS les 20 premières pages
d'un livre qu'il a préfacé.
"Ainsi, graduellement, les philosophes et les savants arrivèrent à
cette conclusion étonnante que, puisque chaque objet n'est que la
somme de ses qualités, et ces qualités existant seulement dans notre
esprit, l'univers objectif de matire et d'énergie, d'atomes et
d'étoiles n'existe que comme une construction de notre conscience, un
édifice de symboles conventionnels formés par les sens de l'homme.
Berkeley, ennemi acharné du matérialisme, résumait cette conception
en disant : "L'immense voûte du ciel et tout ce qui orne la terre, en
mot tous les corps qui composent la puissante forme du monde n'ont de
substance que dans notre esprit... Aussi longtemps qu'ils ne sont pas
réellement perçus par moi ou n'existent pas dans mon esprit ou dans
celui d'aucun autre esprit créé, on peut considérer qu'ils n'ont
aucune existence ou subsistent seulement dans quelque Esprit éternel."

Einstein poussa ce raisonnement logique jusqu'à sa limite extrême, en
montrant que même l'espace et le temps sont des formes d'intuition qui
ne peuvent pas davantage être séparés de notre conscience que nos
concepts de couleur, de forme ou de dimensions. L'espace n'a pas de
réalité objective, sinon comme un ordre ou arrangement des objets que
nous percevons à travers lui. Le temps n'a pas d'existence
indépendante, si ce n'est l'ordre des évènements par lequel nous le
mesurons. "
Affligeant ! Voilà ce que le Génie appelle idées de la théorie de
la relativité extrêmement bien présentées. En 1948, le grand gourou
de la "science" du 20° siècle avoue sa filiation avec le solipsiste
délirant de 1710 : Berkeley.

Seuls les naïfs pouvaient donc croire que la Relativité était
matérialiste : J'ai cru pendant près de 30 ans que le ralentissement
du temps modélisé par la fonction gamma était REEL. Ce n'est, comme
je vous l'ai écrit hier, que lorsque j'ai étudié des triplets que
l'imposture a commencé à m'apparaître.
J'ai, alors, à cette étape, Monsieur Bricmont, un désaccord avec
vous lorsque vous écrivez : ("Qu'est-ce que le matérialisme
scientifique" dans "Intrusions..." p. 158)
" Un certain matérialisme peut malheureusement être un obstacle au
progrès scientifique lorsqu'il reste une pure philosophie, c'est à
dire une approche a priori, spéculative et non empirique de la
réalité. En effet, il existe un concept de matière qui est en
général celui auquel on pense intuitivement, et qui pourrait être
appelé un "automate cartésien" : des boules des billards qui
s'entrechoquent ou un système de boutons et de leviers. C'est à dire
un mécanisme, une machine, telle que nous pouvons l'imaginer de façon
claire et intuitive. Mais en fait, la physique s'est développé en
s'éloignant de ce modèle "mécaniste" de la réalité et il est
futile d'essayer de tout faire rentrer dans ce cadre (par exemple la
physique quantique)."
A moins de récuser les ATOMOS de Lucrèce, la vision matérialiste
consiste précisément à considérer ce que vous appelez un automate
(dont je préférerais qu'il soit "Laplacien"). Lorsque nous pourrons
modéliser un milliard de milliards d'électrons, nous serons descendu
d'un étage, dans la cave, pour "voir" se déplacer un coulomb dans un
ordinateur. ( Il suffira de passer de 100 giga à un facteur 10
puissance 7 pour avoir un giga de giga octets - multipliés par le
nombre de caractéristiques de chaque électron). Concernant les
atomos, dont, je le rappelle, je soupçonne qu'ils soient des photons,
il faudra encore un délai supplémentaire pour en modéliser une
quantité significative, de façon à prouver que la réalité ultime
est bel et bien un billard.
Mais, quoi qu'il en soit, avant ce moment, il faut faire un sort à la
"physique" du 20° siècle, ou plutôt sur les 2 périodes : avant et
après 1927, avant et après Copenhague et la victoire des Bohr,
Heisenberg & C°. Qui au 20° siècle s'est interrogé sur la
véritable trajectoire de l'électron d'un atome d'hydrogène ?
Personne : et cela pour une raison simple, la Relativité dispensait de
se poser une telle question. Lorsqu'on "abandonne" les orbites de Bohr,
on le fait d'une façon totalement stupide. Lorsque le gaz est
chauffé, les atomes se déplacent plus vite, Boltzmann, à la suite de
Maxwell, l'a compris en tant que véritables trajectoires d'objets
réels. "On peut déterminer la vitesse moyenne des molécules, à la
température ordinaire ; on trouve 1840 mètres par seconde pour
l'hydrogène " (G. Cahen 1953)
Mais alors, que signifie donc ces électrons qui orbiteraient autour de
noyaux qui sont EN MOUVEMENT. Il n'y a jamais eu de cercles ni
d'ellipses. La pensée de Bohr était relativiste, relative qu'elle
était à un NOYAU IMMOBILE. En effet, les noyaux, les protons ont 1840
mètres par seconde comme "vitesse". Que signifie alors cette "vitesse"
pour un matérialiste ? Imaginons un bocal sphérique contenant de
l'hydrogène à température ambiante. La racine carrée de la moyenne
des carrés des "vitesses" de toutes les atomes d'hydrogène se
trouvant dans le bocal est 1840. Prenons un atome qui, par chance, va
à 1840 mètres par seconde. Le bocal se trouve, à l'équateur, qui a
une "vitesse" de rotation de 565 mètres par seconde, l'équateur se
trouve sur Terre qui a une "vitesse" orbitale d'environ 30 kilomètres
par seconde par rapport au Soleil qui a une "vitesse" orbitale de 250
kilomètres par seconde autour du centre de la Galaxie Voie Lactée qui
elle-même se déplace dans l'espace de Newton à un vitesse qui nous
reviendra, à nous matérialistes, de découvrir pour mettre fin à
l'imposture einsteinienne.
Traçons un vecteur trajet de 1840 mètres. Composons-le avec le
vecteur rotation terrestre de la ville où se trouve le bocal. Ce
deuxième vecteur mesure 565 mètres. Il faut ensuite composer
l'ensemble avec le vecteur translation orbitale de la Terre.
Il en résulte l'interrogation fondamentale suivante : la vitesse
absolue de la Galaxie est-elle supérieure ou inférieure à la
"vitesse" bohrienne de l'électron sur son orbite 1?

Dans le premier cas, nous avons alors le constat que tous les
phénomènes "orbitaux" connus sont réellement, absolument des
zigzags. Dans le deuxième cas, celui où la vitesse de translation est
inférieure à la "vitesse" orbitale, on aurait la queue du petit
cochon en tire-bouchon.
Pour conclure ici tout cela pose de façon fondamentale la question
suivante : quelle est notre vitesse absolue par rapport au vide absolu
?
Il n'est plus question de ralentissement du temps de rétrécissement
des longueurs. L'expansion n'est plus une dilatation : les mouvement
sont absolus. Nous nous écartons du centre de l'Univers.
Sur un plan plus local, la météorologie va devenir une science quand
elle connaîtra la vitesse absolue des nuages, idem pour les cyclones :
leur trajectoires sont absolument des zigzags. Même la géologie sera
concernée par la révolution néo-matérialiste : la succession
quotidienne d'accélération et de décélération a probablement un
rôle considérable dans les déchirement de plaques. Des milliers
d'expériences devront être réinterprétées. J'attends de vous,
Monsieur Bricmont la patience de considérer mes arguments aussi grande
qu'a été grande ma naïveté à croire, moi aussi, à ces fumisteries
relativistes néo-berkeleyiennes.

(0510191807)
Dans l'attente d'une réponse de votre part, je vous prie d'agréer mes
meilleurs salutations absolues.

Yanick Toutain

Copies aux auteurs de "Intrusion.." dont j'ai trouvé les mails
Hervé Chuberre chub...@enssat.fr
Jean-Pierre Garcia Jean-Pier...@u-bourgogne.fr
Valérie Lécuyer VJ.LE...@wanadoo.fr
Marc Silberstein edi...@syllepse.net

Si vous le pouvez, veuillez transmettre copie aux autres auteurs.
Merci.

Jacques Bouveresse
Jean Dubessy
Michel Kerszberg
Guillaume Lecointre
Ian Plimer
Yvon Quiniou
Patrick Tort
François Vernotte

François M.

unread,
Oct 18, 2006, 11:25:59 AM10/18/06
to
"Yanick Toutain" <yanick...@hotmail.com> a écrit dans le message de
news: 1161184563.2...@f16g2000cwb.googlegroups.com...
>Pour recadrer le débat

Dans votre cas, il faut surtout recadrer le dégat.

Dégat occasionné non pas par la chartreuse verte, mais plus probablement,
par l'abus de valstar de la même couleur.

--
F.


lucien.coste

unread,
Oct 18, 2006, 2:45:12 PM10/18/06
to
Non seulement il a écrit une première lettre mais il continue à en écrire
Au moins avec un grand verre de Chartreuse verte il irait dormir et cela
nous reposerait

--

Lucien COSTE


"Yanick Toutain" <yanick...@hotmail.com> a écrit dans le message de
news: 1161184563.2...@f16g2000cwb.googlegroups.com...

François M.

unread,
Oct 18, 2006, 3:08:29 PM10/18/06
to
"lucien.coste" <lucien...@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
45367632$0$25915$ba4a...@news.orange.fr...

> Non seulement il a écrit une première lettre mais il continue à en écrire
> Au moins avec un grand verre de Chartreuse verte il irait dormir et cela
> nous reposerait

C'est un fait mais un grand spécialiste de la question comme toi devrait lui
dire que le lendemain est très dur, même pour des cervelles évanescentes et
sporadiques comme celle de Toutain.

J'ai vécu il y a quelques jour un excès de Chatreuse verte (véridique :D)
et j'ai du dévaliser le stock d'aspirine de la pharmacie du patelin

F.


Oncle Dom

unread,
Oct 18, 2006, 8:42:53 PM10/18/06
to
François M. dans son message eh5u0r$2dl1$1...@talisker.lacave.net,
nous a fait l'honneur d'écrire:

> J'ai vécu il y a quelques jour un excès de Chatreuse verte
> (véridique :D) et j'ai du dévaliser le stock d'aspirine de la
> pharmacie du patelin

Et ç'a ta fait de l'effet? (l'aspirine, je veux dire)
--
Oncle Dom
_________
http://perso.orange.fr/oncle.dom/

Oncle Dom

unread,
Oct 18, 2006, 8:48:30 PM10/18/06
to
Yanick Toutain dans son message
1161184563.2...@f16g2000cwb.googlegroups.com,

nous a fait l'honneur d'écrire:
> Pour recadrer le débat sur la contradiction entre le matérialisme et
> la croyance en la Relativité il est utile de retourner aux grands
> anciens : Lucrèce, Newton et Lénine en particulier :

Lénine? Wladimir Iliitch Oulianov? Le syphilitique?
Ca tombe bien, j'ai ses oeuvres complètes, et en plus, elles me sont
accessibles
Mais mettre sur le même piédestal Lucrèce et Lénine, n'est ce pas assez
osé?
Les Anglais seraient ils content de voir Lénine reposer à coté de
Newton? Lénine à Westminster? My Goodness!

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Lempel

unread,
Oct 19, 2006, 4:51:35 AM10/19/06
to
Pourquoi pas, je vois très bien Poupou reposer à côté de Stasta !

--
http://www.lempel.net
http://www.les-os-du-cosmos.fr
B. Lempel
______________________________________


"Oncle Dom" <dom.c...@wanaNULLdoo.fr> a écrit dans le message de news:
4536cb5a$0$5113$ba4a...@news.orange.fr...

Xaustein

unread,
Oct 19, 2006, 8:24:40 AM10/19/06
to

Yanick Toutain ha escrito:

Yanick, votre lettre est trop long pour moi.

L'univers ne fait pas "zig-zags", fait "rebond-rebond".

Tremblement de terre, aussi.

Au moins, c'est que sort de mes calculs de modification de les lois de
Newton, avec correction, une modification de les lois sur la gravité
de T. Hook ("enemi" de Newton dans la Royal Society).

Pardoner, mon français, suis espagnol.

d.lau...@mrw.wallonie.be

unread,
Oct 19, 2006, 8:54:45 AM10/19/06
to
Xaustein wrote:
> mes calculs

> Pardoner, mon français, suis espagnol.

Envoie les calculs.
Rien que les calculs.

Yanick Toutain

unread,
Oct 19, 2006, 1:16:33 PM10/19/06
to

Xaustein wrote:
> Yanick Toutain ha escrito:

>
> Yanick, votre lettre est trop long pour moi.
>
> L'univers ne fait pas "zig-zags", fait "rebond-rebond".
>
> Tremblement de terre, aussi.
>
> Au moins, c'est que sort de mes calculs de modification de les lois de
> Newton, avec correction, une modification de les lois sur la gravité
> de T. Hook ("enemi" de Newton dans la Royal Society).
>
> Pardoner, mon français, suis espagnol.
Merci de votre contribution
acceptez vous
1° le vide
2° les atomos de Lucretius
3° le deplacement d'un lieu absolu à un autre lieu absolu
4° en conséquence les vitesses objectives (absolues)
en cas de réponse positive je lirais avec un TRES GRAND interet vos
équations. Nous pourrons les comparer aux miennes.
Sincèrement
Yanick Toutain

Oncle Dom

unread,
Oct 19, 2006, 9:03:02 PM10/19/06
to
Yanick Toutain dans son message
1161278193.3...@m73g2000cwd.googlegroups.com,

nous a fait l'honneur d'écrire:
> Merci de votre contribution
> acceptez vous
> 1° le vide
> 2° les atomos de Lucretius
> 3° le deplacement d'un lieu absolu à un autre lieu absolu
> 4° en conséquence les vitesses objectives (absolues)
> en cas de réponse positive je lirais avec un TRES GRAND interet vos
> équations. Nous pourrons les comparer aux miennes.

Allez discutez entre vous!
Faut pas confondre un forum scientifique avec un asile de fous!

> Sincèrement
Ah, si tu pouvais ne pas penser ce que tu écris!

François M.

unread,
Oct 20, 2006, 2:42:38 AM10/20/06
to
"Oncle Dom" <dom.c...@wanaNULLdoo.fr> a écrit dans le message de news:
45382040$0$25909$ba4a...@news.orange.fr...

> Allez discutez entre vous!
> Faut pas confondre un forum scientifique avec un asile de fous!

Certes, mais faut reconnaîtrre que ici, ces derniers temps, c'est plus
proche de l'asile de fous que du forum scientifique.

Il semble y avoir comme une épidémie.

Peut être en a-t-on sorti beaucoup des HP en raison de contraintes
budgétaires.

F.

Z80

unread,
Oct 20, 2006, 4:06:22 AM10/20/06
to
On ne pourrait pas plutôt parler du réalisme et de la rigueur scientifique,
faite de théories confrontées aux obervations et aux faits expérimentaux,
opposés aux diverses croyances farfelues que vous développez (ou non) sans y
être invité ?


d.lau...@mrw.wallonie.be

unread,
Oct 20, 2006, 4:50:06 AM10/20/06
to
Oncle Dom wrote:
> Yanick Toutain dans son message
> > en cas de réponse positive je lirais avec un TRES GRAND interet vos
> > équations. Nous pourrons les comparer aux miennes.
>
> Allez discutez entre vous!
> Faut pas confondre un forum scientifique avec un asile de fous!

Arf :-)

En plus, Yannick risque d'attendre longtemps ses
équations. Depuis le temps qu'on les réclame, tout
ce que Xaustein à fait est nous envoyer sur un forum
sans aucun calcul, que du blabla (en espagnol, mais là n'est
pas le vrai problème).

Fabrice Neyret

unread,
Oct 20, 2006, 6:15:40 AM10/20/06
to
Z80 a écrit :

on pourrait aussi arreter de polluer 5 forums avec du hors-sujet:
fs.phys et fs.astrophys sont devenu quasi dedie' a ce genre de
trolleries depuis la rentree (et a gros volume), ca devient critique !

reciproquement, s'il s'agit vraiment de s'interroger sur le fond, dans
l'esprit de ce que Z80 dit ci dessus, entre gens de bords tres
differents mais dans le respect, le bon endroit pour le faire est
fr.sci.zetetique.

--

Fabrice

Yanick Toutain

unread,
Oct 20, 2006, 10:51:31 AM10/20/06
to

Xaustein a écrit :

Yanick Toutain ha escrito:

http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/LettresJBricmont/Lettre_JBricmont2.htm
> > ========================================================================


> Yanick, votre lettre est trop long pour moi.
>
> L'univers ne fait pas "zig-zags", fait "rebond-rebond".
>
> Tremblement de terre, aussi.
>
> Au moins, c'est que sort de mes calculs de modification de les lois de
> Newton, avec correction, une modification de les lois sur la gravité
> de T. Hook ("enemi" de Newton dans la Royal Society).
>
> Pardoner, mon français, suis espagnol.


Gracias por su contribución aceptan
1° el vacío
2° los atomos de Lucretius
3° el deplacement de un lugar absoluto a otro lugar absoluto
4° en consecuencia de las velocidades objetivas (absolutas)
en caso de respuesta positiva yo les leerían con un TRES GRAN
interés sus ecuaciones. Podremos compararlos al mío.
Sincèrement
Yanick Toutain (traduction automatique par
babelfish:http://babelfish.altavista.com/)

vous pouvez lire :

liste des textes scientifiques
http://babelfish.altavista.com/babelfish/trurl_pagecontent?lp=fr_es&trurl=http%3a%2f%2fsite.voila.fr%2fmonsyte%2fde%2fSCIENCES%2fListedestextesscientifiques.html


zigzages
http://babelfish.altavista.com/babelfish/trurl_pagecontent?lp=fr_es&trurl=http%3a%2f%2fsite.voila.fr%2fmonsyte%2fde%2fSCIENCES%2fzigzags.htm

Las AVENTURAS EXTRAORDINARIAS de ALBERT LE CRÉTIN u LA "RELATIVIDAD"
EXPLICADA A LAS INGENIERÍAS
http://babelfish.altavista.com/babelfish/trurl_pagecontent?lp=fr_es&trurl=http%3a%2f%2fsite.voila.fr%2fmonsyte%2fde%2fSCIENCES%2fscphys%2fAlbertlecretin%2fAlbert_le_cretin_ch_1.htm

Julien Arlandis

unread,
Oct 20, 2006, 12:11:23 PM10/20/06
to
Yanick Toutain a écrit :

Supposons que 2 observateurs soient en mouvement dans un univers
absolument vide de matière et de références, pourrais tu nous expliquer
par quelle méthode ils pourraient déduire leur état de mouvement par
rapport au vide?

Xaustein

unread,
Oct 23, 2006, 12:08:14 PM10/23/06
to
Yanick Toutain wrote:
> Pour recadrer le débat sur la contradiction entre le matérialisme et
> la croyance en la Relativité il est utile de retourner aux grands
> anciens : Lucrèce, Newton et Lénine en particulier :
>
>
> http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/LettresJBricmont/Lettre_JBricmont2.htm
> ========================================================================
> Mais le temps ? Il n'a pas d'existence en soi. Ce sont les choses et
> leur écoulement qui rendent sensibles le passé, le présent,
> l'avenir. A personne, il le faut avouer, le temps ne se fait sentir
> indépendamment du mouvement des choses ou de leur repos."

Tout au contraire, s'il n'aurait pas du temps, il n'existait rien.

Dans mon modèle, le temps (3 dimensions "extra" au space) crée les
corps, la matière.

L'espace a 3 dimensions et le temps a 3 dimensions aussi.

L'existence de la matière affirme l'existence du temps, autant la
matière est en mouvement (existe dans le temps d'une dimension) ou en
repos absolu (existe dans le temps de 3 dimensions).

> De plus, une vitesse de translation importante aura pour conséquence, non
> seulement de différencier les délais de parcours des photons (ce que
> Michelson prenait comme objet d'expérience) mais aussi et surtout aura
> pour conséquence de faire arriver les photons sur le récepteur final
> à une distance telle les uns (trajet1) par rapport aux autres
> (trajet2) qu'il sera impossible d'obtenir quelque interférence que ce
> soit.

Hector A. Manera, de la "Universidad Nacional de Colombia", pendant
l'année 2005, a effectué l'experiènce de Michelson considerent la
vitesse de translation du soleil et avec la utilisation de les plus
modernes techniques.

Les résultats positives sont trop faibles pour leurs considérer
vraiment positives.

> Nous lisons chez Mach : " L'espace et le temps sont des systèmes bien
> coordonnés (ou harmonisés, wohlgeordnete) de séries de sensations"
> (Mécanique, 3° édit. Allemande, p. 498).

Une perturbation engendre une onde, pourquoi?.

> Citations de Isaac Newton "De la gravitation" (traduit du latin par
> Marie-Françoise Biarnais éd. Gallimard 1985-1995)
> p.112 " Les noms de quantité, de durée et d'espace sont trop connus
> pour pouvoir être définis par d'autres mots.
> Définition 1 : Le lieu est la partie de l'espace qu'une chose remplit
> exactement.
> Définition 2 : Le corps est ce qui remplit le lieu.
> Définition 3 : Le repos est la persistance en un même lieu.
> Définition 4 : Le mouvement est le changement de lieu."
> Ce début comme ce qui suit ressemble à du Lucrèce.
> Puis page 127:
> "Les parties de l'espace sont immobiles"
> à relier à
> page 129:
> "Les positions, les distances et les mouvements locaux des corps

> doivent être rapportés aux parties de l'espace.(...) En outre, ON
> PEUT AJOUTER que l'espace ne possède aucune force susceptible


> d'empêcher ou d'aider ou encore de changer par un moyen quelconque le
> mouvement des corps."

"On peut ajouter" ou "On ne peut pas ajouter".

> Seuls les naïfs pouvaient donc croire que la Relativité était
> matérialiste : J'ai cru pendant près de 30 ans que le ralentissement
> du temps modélisé par la fonction gamma était REEL. Ce n'est, comme
> je vous l'ai écrit hier, que lorsque j'ai étudié des triplets que
> l'imposture a commencé à m'apparaître.

Moi aussi, plus de 30 ans, mais aujourdhui, je suis convençu que la RR
est apparent et la GRT est REEL, n'ont pas la possibilité
d'addititioner une avec l'autre.

> Mais, quoi qu'il en soit, avant ce moment, il faut faire un sort à la
> "physique" du 20° siècle, ou plutôt sur les 2 périodes : avant et
> après 1927, avant et après Copenhague et la victoire des Bohr,
> Heisenberg & C°. Qui au 20° siècle s'est interrogé sur la
> véritable trajectoire de l'électron d'un atome d'hydrogène ?

L'électron (positron aussi) forme part de l'éther, ne forme pas part
de l'atome.

> Il en résulte l'interrogation fondamentale suivante : la vitesse
> absolue de la Galaxie est-elle supérieure ou inférieure à la
> "vitesse" bohrienne de l'électron sur son orbite 1?

Thomson s'est trompé au penser que les rayons catodiques partaient de
les atomes du gaz.

Et si les rayons catodiques sont éther, on ne peut dire que l'éther
n'existe pas, il y a partout.

> Pour conclure ici tout cela pose de façon fondamentale la question
> suivante : quelle est notre vitesse absolue par rapport au vide absolu
> ?

Selons l'ESO (Observatorio Europeo Austral) aproximativement 425 Km
par seconde.

Richard Hachel

unread,
Oct 23, 2006, 1:10:01 PM10/23/06
to

Xaustein wrote:

> Tout au contraire, s'il n'aurait pas du temps, il n'existait rien.

Et réciproquement.

S'il n'y aurait que du rien, il n'existait pas de temps.

>Hector A. Manera, de la "Universidad Nacional de Colombia", pendant

> l'année 2005, a effectué l'experiènce de Michelson considerent la
> vitesse de translation du soleil et avec la utilisation de les plus
> modernes techniques.
>
> Les résultats positives sont trop faibles pour leurs considérer
> vraiment positives.

Les résultats étaient déjà largement utilisables lors de la première
expérience de Michelson.
Avec l'aide du chimiste Morlay, Michelson perfectionna encore
son appareil, mais les résultats (valables) subsistèrent.

C'est alors que Poincaré et Lorentz, puis Einstein, comprirent
que ce n'était pas du à un défaut d'appareillage, ni à des mesures
trop faibles (pourtant la terre tourne et se déplace assez vite
pour que les résultats aient été évidents).

Simplement, il n'y avait pas d'éther, ni de référentiel absolu.

R.H.

Yanick Toutain

unread,
Feb 20, 2024, 1:06:17 PMFeb 20
to
Citations de Isaac Newton "De la gravitation" (traduit du latin par
Marie-Françoise Biarnais éd. Gallimard 1985-1995)
p.112 " Les noms de quantité, de durée et d'espace sont trop connus
pour pouvoir être définis par d'autres mots.
Définition 1 : Le lieu est la partie de l'espace qu'une chose remplit
exactement.
Définition 2 : Le corps est ce qui remplit le lieu.
Définition 3 : Le repos est la persistance en un même lieu.
Définition 4 : Le mouvement est le changement de lieu."

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