Il existe dans l'univers des phénomènes physiques qu'on ne peut pas
nier.
Parce qu'on les voit.
Cette lune qui tourne autour de la terre, cette pomme qui tombe de
l'arbre, on les voit : on appelle cela le principe de gravitation
universelle.
On peut même donner des équations précises, et se rendre compte que ça
marche.
Prenons la loi de l'accélération x=(1/2)gt²
Il ne viendrait à personne l'idée de dire que ça ne marche pas et que
la loi n'est pas correcte.
Pour ce qui est de la théorie de la relativité, on remarque qu'il se
passe des choses "anormales" lorsqu'on va très loin ou lorsqu'on va très
vite. On ne peut pas y échapper et dire que ça n'existe pas.
La première observation relativiste connue est celle de Romer (bien qu'il
n'ait pas compris que ce qu'il voyait dans son télescope était
miraculeux et le premier phénomène relativiste que l'être humain ait pu
appréhender. Il a cru que l'effet de retard ou d'avance de révolution
des lunes de Jupiter était dû à la "vitesse de la lumière".
Il n'a pas compris le formidable effet relativiste du premier degré qu'il
pouvait objectiver.
La seconde observation fut celle de Michelson et Morley conduisant à la
théorie de la relativité
cette fois bien consistante. "Il n'y a pas d'éther, pas de référentiel
absolu". Tous les référentiels galiléens peuvent être considérés
comme au repos, les franges d'interférences ne bougeront pas d'un iota.
Et puis est venu l'observation de l'aberration de la position des étoiles
au zénith.
Et puis est venu la demi-vie apparente des mésons.
Etc...
Peu à peu, on a expérimentalement prouvé que l'univers n'était pas
galiléen, et que l'espace et le temps étaient relatifs entre eux.
Il n'y a rien à redire à ça, et personne ne devrait avoir à redire à
ça.
Maintenant il faut donner des explications parfaites, et il faut trouver
les explications les plus simples, les plus évidentes et les plus
logiques (perfection théorique interne) et les plus expérimentables
(perfection expérimentale externe).
J'ai donné toutes les explications.
Tout cadre.
Sans le savoir, j'avais même la preuve expérimentale déjà faite et la
preuve que ce que je dis est vrai.
Mon problème était : mais comment je prouve l'anisochronie, et le fait
que nous observons l'univers en direct-live?
Comment puis-je voir instantanément ces galaxies lointaines si rien ne
peut dépasser la vitesse de la lumière? La réponse est évidente : la
notion de simultanéité est relative. Je ne dis pas seulement "la notion
de chronotropie" mais aussi et surtout le primum movens,"la notion de de
simultanéité même inertielle".
Cette preuve évidente, on l'a déjà. C'est l'expérience d'Alain Aspect
qui nous l'a donnée.
Les deux photons sont imbriqués au départ, évidemment.
Mais comment peuvent-ils être imbriqués si l'un d'entre eux n'a pas
encore traversé la plaque polarisée?
Justement, la notion de simultanéité est telle que pour le photon
polarisé le trajet est instantanée, et
le découplage du départ a lieu simultanément, à la récepteur du
premier photon sur son récepteur loin derrière la plaque.
Comme est instantanée la vision que j'ai de l'univers au travers de mon
télescope.
On va dire :" mais alors c=3.10^8m/s, c'est quoi?"
C'est la mesure de la vitesse transversale de la lumière dans tout
référentiel donné.
Un phénomène que Jean-Pierre Messager a vainement tenté de comprendre,
dit-il, mais qu'il ne comprend toujours pas.
Pour le reste, mes explications sont parfaites et logiques, et je sais
qu'on les constatera.
Prenons le temps propre des particules accélérées, mon équation
conduit à des prévisions extrêmement différentes de celles prédites
par la RR actuelles.
Je ne me fait aucun souci sur le fait que lorsqu'on pourra tester, tout
sera une nouvelle fois comme j'ai dit.
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http://news2.nemoweb.net/jntp?-Q047tYN6QDPCbi0OOxZvrrzBy0@jntp/Data.Media:1>
Il ne faut pas avoir peur. C'est de la logique mathématique pure.
Et puis face aux contradictions de la RR actuelle en "vitesses apparentes"
qui ne sont pas covariantes sans passer par moi, la cause est vite entendu
entre qui est logique et qui ne l'est pas.
R.H.
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"Mais ne nous trompons pas. Il n'y a pas que de la violence
avec des armes : il y a des situations de violence."
Abbé Pierre.
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http://news2.nemoweb.net/?DataID=-Q047tYN6QDPCbi0OOxZvrrzBy0@jntp>