Le 20/11/2021 à 15:35, Python a écrit :
> - si tu leur attribues le même sens, ta formule est vraie, mais est
> en contradiction avec les hypothèses de ta propre pseudo-théorie.
Dans les termes "ta propre pseudo-théorie", il a a deux petits
artéfacts que le lecteur ne verra pas s'il lit trop vite, ou s'il lit
avec l'arrogance dans les yeux, et la certitude innée que les savants ont
toujours raison, et que quiconque énonce des choses nouvelles est un
crétin.
Je ne sais pas si on peut parler de "ma propre" théorie, et encore moins
de "pseudo-théorie", ce qui impliquerait que ce que je décris n'est pas
la nature même des choses, mais des "conneries inventées".
Je reprends donc la base de ce que je dis depuis des années.
La notion de simultanéité est invariante pas changement de
référentiel inertiel (les physiciens disent l'inverse, je le sais bien,
mais je ne les empêche pas de dire ce qu'ils veulent).
J'ai expliqué qu'ils confondaient chronotropie (la vitesse à laquelle
battent les horloges) et simultanéité.
Que des horloges battent différemment selon qu'on change de
référentiel inertiel, c'est ce que je dis.
Je repose ici l'équation t'=t.(1+cosµ.v/c)/sqrt(1-v²/c²)
C'est la notion de dilatation des temps (sauf que dans la formule, on
remarque que le mot dilatation des temps n'est qu'un terme général, et
qu'un temps peut aussi se contracter).
La notion de simultanéité, c'est autre chose.
Le notion de simultanéité est l'ensemble de tous les événements qui
se produisent en même temps. Or, il apparait, pour peu qu'on comprenne
bien de quoi on parle, que deux, trois, quinze, une infinité
d'observateurs qui viendraient à se croiser entre eux en un seul endroit
(prenons notre référentiel solaire) à des vitesses relativistes,
auraient exactement la même vision de l'univers présent.
Je fustige donc l'idée débile proposée par certain depuis des
décennies et qu'ils appellent le paradoxe d'Andromède. LOL. Ils n'ont
rien compris du tout de la RR. Idem pour le paradoxe de Langevin (qui est
réel
et constitue réellement un problème si l'on refuse de comprendre comment
on le résout. Et on ne peut le faire sans passer par moi (sinon les
vitesses relativistes apparentes ne sont plus symétriques en phase de
simple mouvement galiléen, ce qui est absurde et contradictoire).
C'est en ça que la notion de simultanéité est AU CONTRAIRE absolue
dans le sens où tous les observateurs (quelque soient leur vitesse
relative) voient le même univers (mais très déformé spatialement comme
dans un jeu de miroirs de foire).
Bref, par changement de référentiel, la notion de simultanéité est
absolue, la notion de chronotropie est relative.
PAR CONTRE, les relativistes disant les choses à l'envers, la notion de
simultanéité est relative et la chronotropie absolue dans un même
référentiel. Il est donc illusoire de vouloir accorder "absolument" des
montres placées dans un même référentiel inertiel.
Accordons deux montres, et plaçons l'une sur la lune et l'autre sur le
sol terrestre.
Elles sont déjà désaccordée d'emblée.
Chacune avance sur l'autre d'une seconde.
C'est ce qu'on appelle le principe d'anisochronie universelle.
On peut dire que c'est une pseudo-théorie si l'on veut.
Comme on peut dire que la gravitation universelle est une pseudo-théorie,
et que les corps ne tombe pas.
On peut.
Mais j'en vois pas l'intérêt.
R.H.