Dans un chapiteau recevant du public, nous avons une armoire électrique
fournie par la mairie : souvent un disjoncteur général tri et 6
disjoncteurs mono reliés chacun à une prise, ainsi qu'un bornier tri
après le disjoncteur général.
Nous avons 3 blocs d'issue de secours et un bloc anti-panique, les 4
câblés en parallèle.
Premier point :
Je lis ici : http://petitlien.fr/55ro
que les blocs doivent être en amont de la commande d'éclairage.
Si je regarde le premier schéma ici :
http://petitlien.fr/55rp
ou ici :
http://www.legrand.fr/files/fck/Image/1018_JPG/74381y.jpg
je ne vois pas les blocs en amont mais en parallèle à l'éclairage.
Que signifie "en amont" ?
Deuxième point : la mise au repos.
Dans notre cas, ils sont en veille du début à la fin de l'installation,
puis débranchés jusqu'à la suivante puisqu'on démonte tout. Et donc ils
se vident.
D'après :
http://www.legrand.fr/professionnels/l-exploitation-des-baes_1018.html
la mise au repos a pour but de ne pas vider les batteries quand la
salle n'accueille rien pendant une longue période et que le courant est
coupé, ce qui permet qu'ils soient immédiatement opérationnels à la
réouverture.
Mais dans notre cas, il y a plusieurs jours de montage avant que le
public ne vienne, ils ont donc le temps de se charger. Mais admettons
que c'est la loi et que c'est comme ça (et puis si ça éconnomise les
batteries...) : dans ce cas faut-il une télécommande pour les mettre au
repos ? Ne pouvons nous pas le faire nous-même (un bouton sur le
bloc ?) quand on les démonte ?
Merci.
--
siger
Quand on les démonte, ils se vident tout seul...
> "siger" <guin...@hic.invalid> a écrit :
>> (...)
>> Deuxième point : la mise au repos.
>> Dans notre cas, ils sont en veille du début à la fin de
>> l'installation, puis débranchés jusqu'à la suivante puisqu'on
>> démonte tout. Et donc ils se vident.
>> D'après :
>> http://www.legrand.fr/professionnels/l-exploitation-des-baes_1018.
>> html la mise au repos a pour but de ne pas vider les batteries
>> quand la salle n'accueille rien pendant une longue période et que
>> le courant est coupé, ce qui permet qu'ils soient immédiatement
>> opérationnels à la réouverture.
>>
>> Mais dans notre cas, il y a plusieurs jours de montage avant que
>> le public ne vienne, ils ont donc le temps de se charger. Mais
>> admettons que c'est la loi et que c'est comme ça (et puis si ça
>> éconnomise les batteries...) : dans ce cas faut-il une
>> télécommande pour les mettre au repos ? Ne pouvons nous pas le
>> faire nous-même (un bouton sur le bloc ?) quand on les démonte ?
> Quand on les démonte, ils se vident tout seul...
Tu veux dire que la position "repos" ne marche que s'ils sont branchés
sur le 230V ?
--
siger
> Bonjour,
>
> Dans un chapiteau recevant du public, nous avons une armoire électrique
> fournie par la mairie : souvent un disjoncteur général tri et 6
> disjoncteurs mono reliés chacun à une prise, ainsi qu'un bornier tri
> après le disjoncteur général.
>
> Nous avons 3 blocs d'issue de secours et un bloc anti-panique, les 4
> câblés en parallèle.
>
> Premier point :
>
> Je lis ici : http://petitlien.fr/55ro
> que les blocs doivent être en amont de la commande d'éclairage.
>
> Si je regarde le premier schéma ici :
> http://petitlien.fr/55rp
> ou ici :
> http://www.legrand.fr/files/fck/Image/1018_JPG/74381y.jpg
> je ne vois pas les blocs en amont mais en parallèle à l'éclairage.
>
> Que signifie "en amont" ?
Et pourtant, les blocs sont bien en amont de la "commande d'éclairage",
c'est à dire l'interrupteur.
>
> Deuxième point : la mise au repos.
> Dans notre cas, ils sont en veille du début à la fin de l'installation,
> puis débranchés jusqu'à la suivante puisqu'on démonte tout. Et donc ils
> se vident.
> D'après :
> http://www.legrand.fr/professionnels/l-exploitation-des-baes_1018.html
> la mise au repos a pour but de ne pas vider les batteries quand la
> salle n'accueille rien pendant une longue période et que le courant est
> coupé, ce qui permet qu'ils soient immédiatement opérationnels à la
> réouverture.
>
> Mais dans notre cas, il y a plusieurs jours de montage avant que le
> public ne vienne, ils ont donc le temps de se charger. Mais admettons
> que c'est la loi et que c'est comme ça (et puis si ça éconnomise les
> batteries...) : dans ce cas faut-il une télécommande pour les mettre au
> repos ? Ne pouvons nous pas le faire nous-même (un bouton sur le
> bloc ?) quand on les démonte ?
Dans ton cas, auncun intérêt d'avoir une télécommande.
Pour l'aspect réglementaire, il faut voir ce que dit le Règlement de
Sécurité dans les ERP, mais bon...
--
Benoist
> siger <guin...@hic.invalid> wrote:
> (...)
>> Je lis ici : http://petitlien.fr/55ro
>> que les blocs doivent être en amont de la commande d'éclairage.
>>
>> Si je regarde le premier schéma ici :
>> http://petitlien.fr/55rp
>> ou ici :
>> http://www.legrand.fr/files/fck/Image/1018_JPG/74381y.jpg
>> je ne vois pas les blocs en amont mais en parallèle à
>> l'éclairage.
>>
>> Que signifie "en amont" ?
> Et pourtant, les blocs sont bien en amont de la "commande
> d'éclairage", c'est à dire l'interrupteur.
C'est peut-être un problème de vocabulaire, car pour moi, c'est le
disjoncteur de droite (image Legrand) qui est "en amont", et ensuite,
en aval, il y a les inter et les blocs, au même niveau donc en
parallèle (pour moi).
"en amont" ne signifie-t-il pas :
"en série" + "du côté de l'arrivée" ?
--
siger
La réglementation a changé il y a quelques années pour les sources
centralisées avec l'obligation de les mettre au repos en dehors des plages
d'ouverture ( avant ce n'etait que autorisé ), je suppose que les baes sont
dans le même cas.
>Siger
Concernant ton problème tu place un shunt sur les bornes qui vont bien lors
du démontage, cela évite la décharge profonde du bloc ( même si il y a une
sécurité, ce n'est pas top top pour leur durée de vie )
Oublie ce disjoncteur "de droite", c'est la protection de la
télécommande, il n'a pas de lien direct avec les blocs. C'est ta
deuxième question, si tu vires ce disjoncteur et tout le câblage rouge
(toujours sur l'image legrand), tes blocs fonctionneront parfaitement.
Et si on les câbles "en amont de la commande d'éclairage", c'est tout
simplement pour éviter qu'il se mette en marche dès que tu éteins la
lumière. Par contre, sur disjonction sur le circuit éclairage, là ils
illumineront ton chapiteau.
--
Benoist
> >Pour l'aspect réglementaire, il faut voir ce que dit le Règlement de
> Sécurité dans les ERP
>
> La réglementation a changé il y a quelques années pour les sources
> centralisées avec l'obligation de les mettre au repos en dehors des plages
> d'ouverture ( avant ce n'etait que autorisé ), je suppose que les baes sont
> dans le même cas.
C'est effectivement le cas.
Juste à vérifier si il n'y a pas un article CTS (si l'ERP en question
est bien de ce type) qui exonererait ce type d'installation de
télécommande de mise au repos.
Bon au pire, on parle d'une télécommande à 30 euros, alors autant la
prévoir!
--
Benoist
Oui, mais ça complique le câblage, dans des zones pas prévues pour
recevoir du câblage, et tout ça pour ne pas s'en servir puisqu'on les
démonte quand on ne s'en sert plus, il faut un connecteur et quand on
l'enlèvera la position "repos" ne sera plus assurée, il faudra quand
même le shunt dont parle JP.
--
siger
> Concernant ton probl�me tu place un shunt sur les bornes qui vont
> bien lors du d�montage, cela �vite la d�charge profonde du bloc (
> m�me si il y a une s�curit�, ce n'est pas top top pour leur dur�e
> de vie )
OK, merci du tuyau.
--
siger
>> >> Je lis ici : http://petitlien.fr/55ro
>> >> que les blocs doivent être en amont de la commande
>> >> d'éclairage.
>> >>
>> >> Si je regarde le premier schéma ici :
>> >> http://petitlien.fr/55rp
>> >> ou ici :
>> >> http://www.legrand.fr/files/fck/Image/1018_JPG/74381y.jpg
>> >> je ne vois pas les blocs en amont mais en parallèle à
>> >> l'éclairage.
>> >>
>> >> Que signifie "en amont" ?
>> > Et pourtant, les blocs sont bien en amont de la "commande
>> > d'éclairage", c'est à dire l'interrupteur.
>> C'est peut-être un problème de vocabulaire, car pour moi, c'est
>> le disjoncteur de droite (image Legrand) qui est "en amont", et
>> ensuite, en aval, il y a les inter et les blocs, au même niveau
>> donc en parallèle (pour moi).
> Oublie ce disjoncteur "de droite"
désolé, je voulais bien sûr parler de celui de gauche.
> Et si on les câbles "en amont de la commande
> d'éclairage", c'est tout simplement pour éviter qu'il se mette en
> marche dès que tu éteins la lumière.
Oui.
Donc "amont" et "aval" ne sont pas incompatible avec "en parallèle", ce
que je croyais.
Merci à tous.
--
siger
Compliquer le câblage, pas vraiment... il te faudra bien passer un câble
pour alimenter tes blocs, donc tu passes un 5G1.5 au lieu d'un 3G1.5 et
le tour est joué.
--
Benoist
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Bonjour
Vous vous compliquez bien
Une source centrale secteur/accus et des blocs permanents
ne serait-elle pas plus simple ?
pour une activité qui nécessite des démontages frequents
Passer des cables souples dans des fourreaux cousus
ou rivetés à l'angle toit /tentures
droites pour alimenter les blocs
Les laisser en place lors du remballage de la toile
Moins de risque car diminution de la longueur
de la distribution secteur
Jean
source centrale autorisée par l'art CTS24
seule ou en mixte avec BAES autonome
'( arrete ministeriel 19.11.2001)
2 circuits au moins , tenue 1 heure
cables C2
armoire de securité à au moins 2 m de toute installation electrique
( sauf alim chargeur )
recharge accus à 80% capacité en 12 heures mini
blocs à plus de 2.25m de haut
les cables C2,
de quoi dispose -t-on sur le marché ?
> source centrale autorisée par l'art CTS24
> seule ou en mixte avec BAES autonome
> '( arrete ministeriel 19.11.2001)
> 2 circuits au moins , tenue 1 heure
> cables C2
> armoire de securité à au moins 2 m de toute installation electrique
> ( sauf alim chargeur )
> recharge accus à 80% capacité en 12 heures mini
> blocs à plus de 2.25m de haut
>
> les cables C2,
> de quoi dispose -t-on sur le marché ?
RO2V?
--
Benoist
oui
et HO7 RNF en souple
Voila, une affaire qui marche
non ?
Le petit cirque ne passe plus chez nous
sinon j'aurais été jeter un coup d'oeil à leurs
installations intérieures
On leur fournissait
l'electricité sur le transfo de l'ecole
( prise du camion radio ) tirant sur une armoire de chantier
précablée ( idem pour les forains )
l'eau en branchement simple communal
sur conduite " volante "
et l'eau à fort debit disponible sur la borne incendie
la plus proche ,
( un derouleur pompier pret à dispo
)
en plus de leurs extincteurs divers pour les engins
et roulottes
Ils avaient aussi un groupe sur remorque
J'ai jamais vraiment fait attention à la présence de BAES
quand j'emmenais les momes
Jean
> "siger" <guin...@hic.invalid> a écrit :
> (...)
> Vous vous compliquez bien
> Une source centrale secteur/accus et des blocs permanents
> ne serait-elle pas plus simple ?
> pour une activité qui nécessite des démontages frequents
Une source centrale ? Je ne suis pas sûr de comprendre. Les 4 blocs
sont alimenté par un seul câble branché sur une prise de l'armoire.
> Passer des cables souples dans des fourreaux cousus
> ou rivetés à l'angle toit /tentures
> droites pour alimenter les blocs
> Les laisser en place lors du remballage de la toile
Oui, c'est une possibilité.
--
siger
> Une source centrale ? Je ne suis pas sûr de comprendre. Les 4 blocs sont
> alimenté par un seul câble branché sur une prise de l'armoire.
Au lieu d'avoir n BAES alimentés en permance, chacun ayant leur batterie,
tu aurais n BAES qui ne seraient alimentés qu'en cas de coupure de courant
par une unique source centrale (= une seule batterie pour tous les BAES).
Dans le cas de la source centrale, les BAES ne seraient plus que de
vulgaires ampoules dans un joli boitier, puisqu'il n'y a plus besoin de
gérer la charge des batteries ou la détection de coupures de courant.
(tiens, ca marche comment pour l'autotest par contre?)
Bertrand
Coté onduleur, pas de problème, autotest intégré, et contrôle obligatoire
par organisme agrée une a deux fois par ans pour vérifier l'autonomie
complète. Pour les lampes c'est contrôle visuel lors de ces visites ( et je
me pose la question si les utilisateurs ne devaient pas en faire des
mensuelles ). Perso, j'avais rajouté un détecteur de seuil d'intensité en
sortie onduleur avec report d'alarme )
L'intérêt d'une source centrale ( outre l'autonomie plus longue et que ce
soit
obligatoire pour certaines installations ) est le gain au niveau des
luminaires, de simples lampes ordinaires ou fluocompactes étant autorisées,
associé a une maintenance beaucoup moins lourde a long terme. Par contre le
cout du câblage étant beaucoup plus lourd ce n'est valable qu'a partir d'un
nombre élevé de points éclairage.
Par contre pour revenir au BAES, les derniers modèles n'avaient pas une
télécommande et des reports d'alarme par courant porteur ?
D'accord 100% avec votre remarque en installation fixe permanente
le CR1 ou CR2
** mais là je ne le lis pas dans l'article CTS 24
spécifique aux chapiteaux ** en installation temporaire
==> Ils demandent juste la non prop donc le C2..et non le CR2 <==
estimant alors que l'evacuation peut être réalisé en 15 mn
obligation etant faite cependant de tenir une heure sur la source
( une tente medical/mil 16 places non ignifugée
ca part en torche 100% en 5 mn...)
Ils existe pas mal de *derogations *ou d'adaptations aux bouquins
rouges de la reglementation erp
Siger devrait acquérir celui qui est propre à son activité
et le plus récent
et normalement de couleur orange.
oui
et aussi verts pour les anciens cables armés
utilisés en zone industrielle à risque explosif
> Tout ceux que je connaissaient étaient en rigide uniquement avec une gaine
> silicone relativement fragile vis a vis des impacts .... ce qui ne veut
> pas
> dire qu'il existe pas autre chose, mais avec un cout largement supérieur
> au ro2v
> ou rnf classique.
C'est un investissement à calculer
Dans les catalogues de cables speciaux TBT telephonie on devrait trouver
des cables siliconés CR2 double peau et avec un blindage
à maillage serré présentant une bonne resistance mecanique
quelle section minimum ? > 0.75²?
une ou deux paires 6/10 en // ?
Jean
Tout cela pour info et de memoire,
je ne suis plus elu et à la CS pour actualiser
>
Effectivement, je n'avais pas pens� a cet aspect des choses, comme quoi,
l'habitude aidant ......
Donc les BAES sont bien en parall�le avec l'�clairage normal mais
le "repiquage" des BAES se situe entre le disjoncteur et
l'interrupteur normal. Ainsi, la coupure de l'inter normal laisse les BAES
aliment�s et la coupure du disjoncteur supprime leur alimentation les
mettant en s�curit�.
Concernant la t�l�commande, non seulement elle est obligatoire
(voir les articles EC.. et EL.. de l'arr�t� du 25 juin 1980 mais en
plus elle pr�serve vos BAES �vitant toute d�charge et
recharge inutile. Avant de d�monter le chapiteau, vous disjonctez
l'�clairage, les BAES passent en s�curit� et, gr�ce
� la t�l�commande vous les neutralisez. Ainsi, ils ne se
d�chargent pas inutilement et, surtout, ils sont op�rationnels
d�s la 1�re minute lorsque vous remontez le chapiteau, ce qui est
la l�gislation. Sinon, vous devez attendre 12 ou 24 heures de charge
apr�s le remontage pour qu'ils soient de nouveau op�rationnels.
Cette t�l�commande est plus pratique qu'un interrupteur sur le
BAES car vous les neutralisez tous instantan�ment d'un coup. Quant au
montage de cet interrupteur auquel vous faites allusion, il est interdit. En
le
faisant vous changez les caract�ristiques du bloc qui perd son
homologation et vous fait perdre toute garantie vis � vis de votre
assurance et de la l�gislation.
Pas de mais bon..., la t�l�commande est OBLIGATOIRE. Sans elle, il
est en infraction avec toutes les cons�quences que ceci peut
entra�ner.
Les BAES restent la meilleure solution.
> L'explication que vous avez lue et le schéma sont bien tous les
> deux conformes à un bon montage.
> En amont, veut dire vers le haut, vers la maontagne, en avant
> contrairement à l'aval.
>
> Donc les BAES sont bien en parallèle avec l'éclairage normal mais
> le "repiquage" des BAES se situe entre le disjoncteur et
> l'interrupteur normal. Ainsi, la coupure de l'inter normal laisse
> les BAES alimentés et la coupure du disjoncteur supprime leur
> alimentation les mettant en sécurité.
OK. En fait mon incompréhension venait du fait que je pensais que
"amont" signifiait "avant" ET "en série".
> Concernant la télécommande, non seulement elle est obligatoire
> (voir les articles EC.. et EL.. de l'arrêté du 25 juin 1980 mais
> en plus elle préserve vos BAES évitant toute décharge et
> recharge inutile. Avant de démonter le chapiteau, vous disjonctez
> l'éclairage, les BAES passent en sécurité et, grâce
> à la télécommande vous les neutralisez. Ainsi, ils ne se
> déchargent pas inutilement et, surtout, ils sont opérationnels
> dès la 1ère minute lorsque vous remontez le chapiteau, ce qui est
> la législation. Sinon, vous devez attendre 12 ou 24 heures de
> charge après le remontage pour qu'ils soient de nouveau
> opérationnels.
>
> Cette télécommande est plus pratique qu'un interrupteur sur le
> BAES car vous les neutralisez tous instantanément d'un coup.
> Quant au montage de cet interrupteur auquel vous faites allusion,
> il est interdit. En le
> faisant vous changez les caractèristiques du bloc qui perd son
> homologation et vous fait perdre toute garantie vis à vis de
> votre assurance et de la législation.
OK, c'est très clair, et ça confirme ce qui a été dit, ce que j'en
avais retenu, en tous cas :-).
Je précise que :
- le côté pratique : aucune importance, il n'y en a que 4. Et on ne
les arrête que quand on démonte le chapiteau
- attendre 24 h après le remontage : aucune importance, le temps avant
que le public entre est toujours plus long. Et au cas où, on les
montera en premier.
- l'usure pour cause de déchargement : il y en a qui marchent depuis
plusieurs années. Par ailleurs cette page http://petitlien.fr/55ro dit
qu'il faut vérifier l'autonomie d'une heure tous les 6 mois. Donc les
laisser s'éteindre au démontage est une manière de les vérifier.
Ensuite on ne les recharge qu'au montage suivant. Le chapiteau ne bouge
pas fréquemment.
Tout ça me fait dire qu'on n'a *en pratique* besoin de rien.
Mais il y a un cas : si on est obligé de couper le courant pendant
plusieurs heures dans l'après-midi (une réparation, par exemple), puis
on remet le courant et le public entre peu de temps après.
Mais alors ça veut dire un connecteur à 4 points par bloc (et faire des
câbles) ou 2 connecteurs (et tirer un câble de plus).
--
siger
Le Dimanche 09 janvier 2011 à 19:02 UTC, siger écrivait sur
fr.sci.electrotechnique :
>> Concernant la télécommande, non seulement elle est obligatoire
Pas sur les installations éphémères inférieures à (? il faut que je
retrouve la durée exacte).
>> Cette télécommande est plus pratique qu'un interrupteur sur le
>> BAES car vous les neutralisez tous instantanément d'un coup.
Ça je confirme.
> Mais alors ça veut dire un connecteur à 4 points par bloc (et faire des
> câbles) ou 2 connecteurs (et tirer un câble de plus).
Soit faire des armoires éléctriques avec des connecteurs spéciaux.
P17 tétra par exemple, cependant si les fils sont inversés dans les
prises (mal montées du coup) la commande d'extintion ré-allumage va
fonctionner à l'envers pour certains BAES (pour le matériel des
prestataires, il y a recopie entrée/sortie) et les prises sont
grosses. Dans les chapiteaux ou tentes "Jaulin" ça pose soucis.
Soit, effectivement tirer deux cables et avoir deux connecteurs. Un
pour le secteur et un pour la télécommande. XLR par exemple, ça permet
d'utiliser et de recycler les vieux câbles HP XLR. Les
loueurs/prestataires ont des armoires spécifiques.
Je fais (exceprionnellement) un peu de pub en signature pour mon
activité professionnelle... ça peut peut être t'être utile, voir
partie distribution électrique.
@+
--
Gérald Niel
<http://news.gegeweb.org>
<http://www.rentup.fr> Pro Technical & Audiovisual Facilities.
> Pas de mais bon..., la télécommande est OBLIGATOIRE. Sans elle, il
> est en infraction avec toutes les conséquences que ceci peut
> entraîner.
NOn, je vous confirme qu'elle ne l'est pas pour les installations de
courtes durées. Confirmé sur le terrain par le fait que les commission
de sécurité ne vérifient pas ce point dans ce cas, ou si elles le
vérifie n'émettent qu'une réserve et non une obligation de remédier au
défaut constaté.