Plus elles mentent plus elles souillent.
j'vous aide pas c'est trop facile!!!!
j'en ai d'autre au placard mais j'attends les réactions si j'me fais
engueulée !!??
et oui j'suis bien éduquaillée j'voudrais pas foutre le merdier dans un
forum qui me plait vachement sinon j'vais être titiniser ou éradiquée et
j'tiens Ă pouvoir rester.
donc merci de votre comprehension et oubliez pas j'suis nouvelle
Bonjour,
à la vue des nippons,la chine se lève.
Pat
ps comment faire avorter une femme algérienne ( rien de racite, juste un jeu de mot )
Salut Patrick!
--
Patrick Bonnet \@_
> Salut Patrick!
>
et, d'ailleurs, salut les copains !
--
DAN
Pas de raison que les minorités restent silencieuses !
Salut Fred !
--
Patrick Bonnet \@_
Attention Ă la rouille
>Plus elles mentent plus elles souillent.
>j'vous aide pas c'est trop facile!!!!
Et aussi :
La panne du micro dans la pièce du fond.
>et oui j'suis bien éduquaillée
Comme tu discutaille bien
Oui. Trop.
Et celle lĂ :
La bégère adipeuse cusinait les nouilles à la sauce.
--
Vincent Marchal
> La bégère adipeuse cusinait les nouilles à la sauce.
>
Et donc:
La soeur de charité est incommodée par le cou des gueux et par la nuque des
souillon
1) Il faut qu’il rende ce vieux bouquin.
2) Il y a un gros feu rouge à l’entrée de Tenesse.
3) N’oublie pas de gagner ton petit masse pain.
4) L’épicurien se plaît à rechercher les sources du bonheur.
5) L’archéologue met dans les caisses de la dame le produit de ses
fouilles.
6) Il faut être peu pour bien dîner.
7) La servante tire le pis de la vache.
8) Les laborieuses populations du Cap.
9) Elle a reçu toute la farine sur sa mante.
10) Souhaitons-nous vraiment découvrir de petites baisses
entre les fĂŞtes ?
11) Les belle messes du Finistère.
12) C’est long comme lacune.
13) Les Nippons ont toujours contribué à redresser la Chine.
14) Elle habite à Madère.
15) Cogiter sans haine.
16) La dame s’est éveillée avec deux puces dans le cou.
17) Il a la bouche pleine de mites.
18) Le boutre du sultan coulait au confluent de la Garonne.
19) Chirac craint que les conseillers d’arrondissement ne veuillent
avoir leur chambre dans sa mairie.
20) L’aspirant habite Javel.
21) La philanthropie de l’ouvrier charpentier.
22) Enfin, ta vieille tante est rentrée en France,
mais cette pauvre sotte me paraît pleine de mirages.
23) Mitterrand déplore que les journalistes se soient précipités
sur ce fait grossier.
24) La femme de l’ingénieur craint-elle de voir doubler les vols
de bitume ?
25) Roué pour son élection, Mitterrand bien soutenu sa cause dans la
population.
26) Ah, s’écria la militante, est-ce parce qu’il chuinte qu’il faut
que je le laisse ?
27) Mon modeste tennis conviendra-t-il à ce curé précis ?
28) Les luths sont dans la pièce. Mais le joueur de guitare ferait
bien de se méfier des sonos.
29) La supérieure veut voir la belle contrite, repentante après ce
badinage.
30) Ces compères ont de bonnes bouilles, a dit la supérieure au père
convers mais il faut préserver les pains de la sécheresse.
31) Le procureur se demande s’il faut buter ce Barbie.
32) Un grand cru pour une belle coupe.
33) Les joueurs ne doivent pas laisser traîner leur presse sur le tennis.
34) La comtesse a appris que c’est la conquête du blé qui a empêché
les seigles de régner.
35) Hélas, cher lecteur, il est bien naturel qu’on ne rêve plus après
l’élection.
36) Les cultivatrices voudraient bien se mettre d’accord sur les boeufs.
37) La mécanicienne a un drôle de bouillon dans le carbu.
38) Tonton se sent tout mou dans la foule.
39) Le ministre de l’environnement cherche des fûts à déchlorer.
40) Un lecteur se plaint que Tesson ne parle jamais de Labiche.
41) Il est vraiment incassable, ce lumignon.
42) Bigeard n’est jamais indécis quand il pense.
43) On reconnaît les concierges à leur avidité.
44) Est-ce Beauvais, la mi-route ?
45) Horace était inquiet du dépit de Sabine.
46) La masse turbine sans passion.
47) Le sicaire a dévalé la pente en chutant.
48) Paul Emile Victor est refroidi par ses longs pokers.
49) Vous avez foi dans les caisses.
50) Carmen proposa sa dot au matamore.
51) Bigeard pense toujours de façon insolite.
52) Ce zélateur de Pie neuf est sur une mauvaise pente.
53) Ayant lassé Chimène, le Cid a fini par se vexer.
54) Tonton pense à ce pauvre Félix mort dans la foule.
55) Votre pull est fort minable.
56) La femme de Rodin trouvait ses bustes trop modernes.
57) Ayant coincé la drisse entre deux mâts, le navigateur mit la
trinquète au quai, et son équipière, en voulant tailler l’écoute,
découvrit des traces de lookheed sur sa quille.
58) L’Afrique a bien du mal a sortir de son troc.
59) Cette espèce de beaux vendeurs pèse et emballe avec ardeur.
60) Cette jolie tarte mérite un bon coup de dent.
61) La femme de l’assureur refuse de mettre fin au malus.
62) Gâtez les tous, mon oncle, au lieu de biffer ma tante.
63) Ces deux estivantes font alterner les plaisirs des bois et les
joies de la douche.
64) La jeune joueuse amateur craint qu’on ne lui impose un tennis de pro.
65) La journaliste a été surtout sensible a l’Afrique des contraires.
66) Quelle vue, et quel bocage, hein !
67) Seurat, au salon, a chuté sur “La grande jatte”.
68) Les mères d’élèves sont indignées que les instituteurs exigent
tant de verbes.
69) Il y en a qui se payent une bonne pinte dans la biture.
70) Et ça veut passer les Mines !
71) Constatant que son pain sent, la boulangère a demandé à son mari
de lui sécher le liège.
72) La militante ne considère l’affaire que comme une petite divergence.
73) Mon oncle perd courage devant les amas de patentes.
74) La violoniste force les censeurs Ă admirer son joli don.
75) Le général aurait voulu arriver à pied par la Chine.
76) Ce voyou a tâté mon beurre.
77) La femme du capitaine m’a fait mander à bord.
78) Ce pignon a royale mine.
79) La bonne épouse connaît son du.
80) Il lui a tordu l’humérus en descendant au quai pour quelques minutes.
81) Une description verdoyante d’Homère.
82) La préfète se réjouit de passer des Landes au Gard.
83) Ces sirènes habitent l’abîme.
84) Marinières, laissez ces péniches !
85) La duchesse n’est pas femme à découper la biche en trente.
86) Il faut retrousser la culotte pour enfiler les patins.
87) Défense au croupier de ponter.
88) Pensiez-vous que mon coeur comptait pour du bon ?
89) La bergère s’amuse a voir passer le pitre.
90) Le préfet de Nîmes voudrait plus d’écus pour son Gard.
91) La pédicure me mouille les cors.
92) La jolie fille habite Laval.
93) La marquise lavait son caleçon de satin.
94) Le tout de mon cru.
95) Le prêtre montrait sa vierge derrière le panneau.
96) Calvin voulait chasser le virus de Luther.
97) Ce jeune homme danse comme un ballot.
98) Le poète badinait sur mon peton.
99) Le capitaine dut enfumer sa cale.
100) Est-ce que les nouilles cuisent au jus de caneton ?
101) Le vent siffle dans la rue du quai.
102) Le jeune Marius, travaillant à l’année, entendait le sabir.
103) Ces ouvrières s’habillent en charpentiers et habitent des gîtes
ignobles.
104) Dans ce portrait de Parmentier on voudrait voir éclairer le fond.
105) C’est la discorde dans un ménage quand le beau-père est bouilleur
de cru.
106) Le barbu embrasse la Marion sur le quai.
107) La jeune Marion m’a fait un beau papier.
108) Chaque matin la petite poule pondait quelque part.
109) Le prieur a tiré son capuce devant le préfet.
110) Le Périgord est réputé pour sa cuisine, surtout pour son admirable
beauté de sites.
111) Le maniement réitéré des fonds multiplie les mouvements de caisse.
112) Le général dut aller jusqu’au bout du camp pour atteindre le but
du génie.
113) Vous faut-il donc, Mademoiselle, des nouilles encore ?
114) Le client a laissé un moka dans l’auto kabyle.
115) Il est émouvant de voir le pétardier derrière le char.
116) Les disciples d’Einstein voient le monde conique.
117) Le garçon d’honneur a léché le confit d’oie.
118) Est-ce que les moules aiment l’épinette ?
119) Tu ne peux pas te passer de vaccin dans les régions où tu es.
120) La mariée partit avec un grand salut à la noce.
121) Le touriste admire l’écusson de la suisse.
122) Le rabbin réservait au sénateur une belle collection de piques.
123) Il nous brouille l’écoute avec sa panne de micro.
124) Rien ne plaît au matin comme un bon coup de byrrh.
125) Le légionnaire m’a passé le mot.
126) Il ne faut pas juger le pichet sur la mine.
127) Elle m’a trompé parce que j’étais pompette.
128) Si vous voulez qu’elles gouttent donnez-leur donc des flans.
129) Le clerc du notaire ne peut atteindre son but.
130) Le juteux ne sait pas compter ses douilles.
131) Pour atteindre le trou du fût, il faut écarter les caisses.
132) Méfiez vous des dons coûteux !
133) Le chasseur sous-marin recherche des fonds curieux.
134) Le marquis caressait le jonc de sa canne.
135) Allons, ma fille, essuie ça vite et bien.
136) Le facteur ne veut pas qu’on chipote quand il trie.
137) Le gros entrepreneur pétrit le béton à la tonne.
138) La jeune paysanne rĂŞve devant un beau vendeur.
139) Paradoxe : Ce sont toujours les bons qui nous quittent.
140) Pieds au chaud.
141) La physicienne a un poids qui vaut bien une dyne.
142) Ce jeune homme a une mine de plomb.
143) Le maire s’exerce sous la flotte.
144) La bergère longe le verger jusqu’à la berge.
145) La cantinière met son quart au trou du fut.
146) Tu n’as que tes petits poids pour dîner ?
147) Le jeune homme voudrait bien dîner en pensant.
148) L’abbé devient fou entre deux messes.
149) Ah, Juliette, quel site Ă votre balcon !
150) L’étudiante observe un plan qui venait de la Guinée.
151) Dommage, j’étais en face de la poutre.
152) Cette petite Françoise jouit d’un nom bien coté.
153) La cantinière porte une grosse d’œufs au camp.
154) Ne trouvez-vous pas, mademoiselle, que les beaux arts sont
un plaisir des dieux ?
155) Ces vastes fouilles n’ont donné que de vieux coutres.
156) L’inspecteur primaire voudrait voir les bons cahiers.
157) Vous m’avez lésé en me retirant ma biquette.
158) A l’idée de voir la Chine, la jeune fille est envahie par une
étrange pâleur.
159) La dévote se contente d’un sort falot.
160) Ne critiquons pas les solutions de la peur.
161) La petite nonne aime les grand bœufs.
162) Le petit cierge : pas même un quart de durée.
163) Le bouffon de la reine est travaillé par un cathare.
164) La femme du charpentier doit se contenter d’un petit feu de poutres.
165) Voulez-vous me pousser que je vous trompe ?
166) Tâtez voir le mouton de ma botte.
167) Aurait fallu que j’susse le nom de cana.
168) La femme du mineur est passée sous des piliers de mine.
169) Prenez toujours l’échelle par le bas !
170) Le cuisinier met du cœur à ses bouillons.
171) La fermière a une poule qui mue, c’est pourquoi elle vit aux champs.
172) Accroupie sur la chaise, elle se chauffe le bras.
173) Maladroit ! Vous videz vos nouilles sur ma cape.
174) Vous avez, madame, Ă la main une pierre fine !
175) Laisse ta biquette.
176) L’aumônier du couvent arrose ses varices à l’eau claire.
177) Il ne faut pas mettre la tĂŞte de son lit dans les vitres.
178) L’abbé déplore la foule.
179) Passe moi le rhum, que je t’en brûle dans la cuillère.
180) Le cuisinier demande au sommelier un coup de vin pour son salmis.
181) Comment, ma fille, ces mythes vous abusent ?
182) L’enfant de Paris s’est efféminé.
183) La résistance excite les sections de Rapine.
184) Ça me faisait plaisir de voir ce vieux Lycée Ampère.
185) Mon chéri, remets moi finette !
186) Je donnerais bien ma paie pour avoir votre rubis.
187) Que de queues, dit la pauvre femme, et que de courses pour un
seul but.
188) Cachée derrière un pilier elle vit pivoter le sicaire.
189) Le banquier racole des fonds véreux.
190) Le compositeur abusa des trilles jusqu’au derniers ouvrages.
191) Le chiffonner gaiement empilait son vieux fer.
192) Une demi-livre de bourre de feutre.
193) Ma bonne secoue les mites de mes habits.
194) On ne nettoie pas son lit au savon !
195) La fermière soigneuse lave le pis de la vache.
196) Louis VI fit brancher Montléry.
197) Ma dactylo n’a que faire de votre porte-mine.
198) Ce groupe a l’air minable.
199) Le rabbin écorchait l’Hébreu et sa femme l’Ecossais.
200) Voici, monsieur le curé, la bannière demandée.
201) Il faut de fortes bottes aux dames de la piste.
202) Pas de bol !
203) Posez donc vos livres sur mon ombrelle !
204) Le chauffeur a brûlé la pente.
205) Madame, je suis tout disposé à peiner entre vos fils !
206) Le roi menace les caisses de la ruine.
207) Le garagiste a des cales souillées.
208) La belle économe mit les fûts en route.
209) Le paysan regarde pousser les épis.
210) Les messieurs trouveront Ă satisfaire leur faim dans la salle de bal.
211) Ne ménage pas ta peine pour secouer la litière.
212) Dès qu’on touche à son petit banc, l’enfant boude.
213) C’est parce qu’elle s’en fout que son mari est mort.
214) Aujourd’hui, petite Marion, combien rapporta votre quête ?
215) Le dompteur montre sa bĂŞte Ă la miss.
216) Admirez l’écaille de nos moules !
217) Ramonez moi cette valve à fumée !
218) Les gueules noires portent leur pain Ă la mine.
219) Les femmes se font vite Ă la vie de butte.
220) Ce n’est pas drôle de travailler le ’gradus’ tout au long de l’année.
221) Question d’Adam : “Pourquoi, Seigneur, ce cou si près du tronc ?”
222) Ca n’vaut pas un chou, vot’traduc !
223) En quittant le quai, le soldat réclame un bidon.
224) Fait’s d’boule pour mes quilles.
225) Les propriétaires de Bordeaux ont de magnifiques hôtels.
226) Votre poire a un goût de terrine.
227) Distribution de guĂŞtres par les fourriers.
228) Le Pont-Neuf fait soixante pieds.
229) Est-ce flairer les roupies qui vous flanque la pépette ?
230) Elle a laissé la pitié des moines.
231) L’abbé a bien de la peine à tirer un écu de son tronc.
232) La mortadelle fut attaquée pas les Scipions.
233) Surboum, ne restez pas dans ce chambranle si vous voulez
qu’on se barre.
234) Ma belle mère est enchantée des rossignols du caroubier.
235) La cantinière a un horrifique bénéfice.
236) Le chirurgien ampute une jambe.
237) L’enfant aime barboter au creux de la cuvette.
238) La servante revient de la ferme pleine d’espoir.
239) La comédie nous enseigne à détester nos ridicules.
240) Oserais-tu, manant, contester nos particules ?
241) La chaisière fait scinder les bancs.
242) Que de fous dans ce comptoir.
243) La cure du foie.
244) Charlotte portait à ses lèvres l’énorme verre de Bitter.
245) C’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure compote.
246) Le mécanicien d’Aix en Provence nettoie les festons des roues libres.
247) Les professeurs admirent le factum du recteur.
248) Monsieur l’abbé, convertissez mon père !
249) Cocagne : Grimpez donc sur ce mât, vidame !
250) Ne mettez pas le rat dans le vivier !
251) Les cannes des pilotes.
252) Cet oiseau aime mettre son nid entre deux bouchons.
253) Le vieux marcheur veut courir sur le mont.
254) Devoir accompli : Quelle joie de se sentir quitte au but !
255) C’est pour moi une sacrée bête qu’un faucon.
256) Un mois de prison : a épuisé ses douilles sur un crapaud.
257) Le bourrelier aime mieux faire la bourre que de travailler le mouton.
258) L’heureux dormeur : une mouche se pose sur le béat.
259) Le pécheur ne veut pas croire qu’il y a du poil de thon dans le
cabas.
260) Ce terrible mondain s’insinue entre les riches.
261) La rosière songe à la mine orgueilleuse du père.
262) Comment vider notre cale sans boucher le trou du fond !
263) Le fiancé expose son vœux : Un joli nid.
264) Aux graveuses : Remettez vos bois à l’heure dite.
265) Dès qu’on parle de maître-queue on voit courir les souillons.
266) Carrousel : l’école de Saumur exhibe ses bons côtés.
267) Encore une tine de pâte.
268) C’est à la suite d’une fluxion qu’elle a perdu sa sœur.
269) Il est trop bon pour la quitter.
270) Entre membres du jury : “Une belle thèse !”
271) Les jeunes filles n’aiment guère qu’on leur fasse pénétrer
les voies de Dieu
272) L’hôtelier voudrait nourrir sa bonne avec le derme des sprats.
273) Garçon, où fourre-t-on les billes ?
274) Raideur : “Il dîne comme un pieu.”
275) La bonne ménagère bouche les trous de mites.
276) Cette crue n’interdit pas d’aller jusqu’à la grotte
277) L’ouvrière est passive devant la linotype.
278) Choeur des chasseresses : Vidons, après les douilles, vidons
les carafons !
279) J’aime à voir cette petite lotte en plein sommeil
280) La pauvre femme se tordait les mains devant le sinistre.
281) Ces Pline ! Ne laissez pas tomber votre Pline pendant le potage !
282) Le bibliothécaire faisait exposer les Pline.
283) Sortez donc vos Pline Ă page !
284) Adjudant ! Faites bisser l’appel.
285) Mais non, Proust n’a jamais déploré “les jeunes filles en fleur”.
286) Je trouve que ce maçon a un drôle de nom.
287) Le charcutier se fait de la réclame : Gélatine panée.
288) Quel dommage de laver pareille robe à l’usine.
289) Il n’y a pas de cesse dans cette profession.
290) Quelles craques ma flanque ce chantre.
291) Test...amant : Le notaire placera entre les parties les bois de
la susdite.
292) L’ânesse a le feu au derrière.
293) Peut-on le dire ? La magistrature assise ment debout.
294) Cette décharge de foudre m’a enlevé toute ma poutre.
295) Mais, mon ami, j’ai besoin de bottes pour l’hiver !
296) Le grand eunuque se contenterait de deux petites cailles de sa
troupe.
297) Hélas, mon fils, c’est votre peine qui vous mine.
298) Les danseurs d’Haarlem ont des cors arsouilles.
299) Un peu loufoque : Voyez donc ces bulles qui sortent de vos valves.
300) La fermière a des nichoirs en forme de pont.
301) Le saint Barnabite se nourrissait au jus de quelques baies.
302) A Adèle : Que Sainte-beuve vous abrite !
303) Ah, ah, petite arpète, vous cherchez mes roupies !
304) Le bâton du Maréchal : Ce n’est pas dans votre Gibus qu’il fallait
vider votre falerne.
305) L’hôtelier ne veut pas convenir qu’il y a des résidus de pierre
dans la saline
306) L’oiseleur se débrouille pour montrer l’appeau de ses cailles.
307) Quelle femme résiste à l’appel de Claudine ?
308) Le jus de sapin apaise mon angine
309) Quitte cette bâche !
310) Pendant que vous y êtes, dit l’hôtelier, vous voudriez peut-être
trouver mes carpettes sur la carte ?
311) Le professeur vante la constitution.
312) Ce pédant rentre-t-il bien de Nice ?
313) Votre compère a l’air d’un Saint !
314) Confessions et robes blanches : Je trouve, m’a dit le pauvre curé,
ces satins de jeunes mariées pudiques.
315) Le pĂŞcheur approcha sa conquĂŞte du quai.
316) Les haricots : petites cosses, grands effets !
317) A quoi sert de lutter quand on est au pétrin ?
318) Raphaël produisit une superbe cène devant le pinacle.
319) Pour la guerre de cent ans : “Cent ans” ? A ces gens d’armes je
jetterois bien ce fascicule Ă la teste.
320) Il faut au général un troupier pour foncer le trou.
321) La marque veut que le jardinier enfile son dé dans les concombres.
322) Grand-père, Grand-père, vous avez de la mousse à la pistache !
323) Ne pouvant l’enfiler comme tout le monde, le cul-de-jatte
a emmanché la culotte.
324) La duchesse aimerait que le duc ait un faon des Lévy.
325) Nos élèves apprennent à calculer en cent leçons.
326) C’est trop de puces pour un village.
327) Que de peine me fait votre malice.
328) L’ange et Luce : Monseigneur, vous avez donné à baiser votre
phalange Ă Luce.
329) Le petit Vicomte montre sa civilité de façon fort virile.
330) Werther convoitait le lot de culottes.
331) Mademoiselle, je vous emboîterais le pas avec conscience.
332) La joueuse d’écus n’a pas lavé son chèque.
333) Les luthiers exposent de jolis ’la’ dans les vitrines.
334) La notairesse a un clerc qui lance des écus.
335) La petite marseillaise s’applique à satisfaire le voeu du grand
nervi.
336) Invasion 40 : Les jeunes filles gardent toujours leurs coeur pour
le vaincu.
337) Ces demoiselles m’autorisent à prendre mes écus dans leurs bas.
338) Le médecin-chef n’aime pas que l’infirmière parte pendant les
ventouses.
339) La vieille négresse réussit à se nicher dans ses torchons.
340) Les petits gras sont souvent vicieux.
341) Omphale ne veut plus qu’on l’embête avec cet Hercule
342) Ce roc est plein de confort.
343) Le poète qui rêve est un néant fécond.
344) Au proviseur du Lycée d’Avignon :
N’y a-t-il que des cagnes dans ce pays de cocons ?
345) Réponse de la virtuose au monsieur exigeant :
J’peux pas fiffler d’chopine avec dans la bouche pareil morfeau d’pain !
346) Voulez-vous que je vous envoie dans la culture ?
347) Ne confondez pas la fine et l’épaisse.
348) Les russes sont en fĂŞte.
349) Le capitaine redoute les proues qui tuent.
350) Voulez-vous compter mon tas ?
351) Le vieux faune a des cornes mouillées.
352) Encore deux pinsons de nichés.
353) Il sent ce qui le brûle.
354) Roméo regrette que ce balcon saille
355) La marquise a bêché trois allées.
356) Je gémis sans pouvoir lutter.
357) séminaristes : on travaille leur foi par les messes.
358) Le prédicateur montre les bornes du salut.
359) le général sait reconnaître le cri d’une bonne population.
360) Ce n’est pas en tissant qu’on fait les éperons.
361) Poincaré voulait gâter la Meuse.
362) L’abbé ne supporte pas la laideur quand il est en curé.
363) Quand les étudiantes ont leurs bourses, cela les empêche-t-il
d’aller aux urnes ?
364) La jeune fille ressent la profonde aversion de l’asperge.
365) Le minet chuta dans la jatte.
366) Cette crique m’a procuré plus d’une bonne trempette.
367) Le jardinier a coincé se belle serre entre les pins.
368) Le couturier ne veut pas qu’on lui présente la mode sur le tard.
369) La colonne a été repoussée par de petites patrouilles.
370) Le pied noir a fait souche dans le midi.
371) Hélas, de son amour elle m’a crié l’aveu.
372) Le fellah demande la liberté de la presse
373) Ah ! dit la bergère, ce n’est pas quand on embrasse le mouton
qu’il faut parler labour.
374) De nombreux clans se sont formés dans notre groupe
375) Ne confondez pas les bains avec le sabbat
376) Le photographe n’est pas arrivé à fendre la presse.
377) Le peintre a mis le couchant en valeur
378) Quand le général sort de la messe, il voit s’entrouvrir la foule
379) Avez-vous passé la puce à la nomade ?
380) L’Afrique est bonne hôtesse et ses canicules m'emballent.
381) Deux carrioles sans mulets.
382) Gagne-t-on le septième ciel de trottiner sur les pentes ?
383) Le ministre a découvert l’astuce de la nation
384) La chimiste se penche sur la fiction des éléments.
385) Le campeur découvre des tentes à foison
386) L’étudiante constate la raideur des berges de visu.
387) Cet engin à roulettes est-il décapotable ?
388) Je trisse Ă la paie.
389) Une belle conférence : Influence des pools sur l’extension des mines.
390) Tricotez ce poncho !
391) Monseigneur a fait venir les lits pour l’évêché.
392) Votre pose raidit l’échine.
393) Il faut verser votre du à l’arrêt du car
394) Le pasteur voudrait faire déchirer ces superbes nylons.
395) La fiancée a déjà le choix dans la date.
396) La jeune fille rĂŞve de sites de banlieue
397) Vos petites chèvres me font penser à la Walkirie
398) A vouloir aller plus vite que le son, vous risquez de vous briser
la nuque.
399) Couds-le fond !
400) L’abbé se dresse en chaire devant ces colonnes.
401) Cette agitation de novembre accroîtra encore notre malheur
402) L’évêque présentera le néophyte, puis l’abbesse.
403) Les fumeuses ne veulent pas avoir de briques dans le tabac.
404) Les niçoises ont déjà vingt en chaleur.
405) Rien n’est trop beau quand il s’agit de grandeur.
406) Le plomb est bien coté.
407) Il faut un minimum de laideur dans cette belle rubrique.
408) Donnez votre acquitte, vous pourrez vous faire passer la faim
au mess.
409) ArchevĂŞque de Malines, vous ĂŞtes un grand pĂŞcheur !
410) Il n’est pas difficile de mettre les chèques en valeur.
411) Le gros bob ne voulait pas quitter la zone.
412) Didasse est rentré sans écu dans le fort
413) Claudel, voilĂ une chose qui ma fait bien prier.
414) Zut, vieux Job !
415) La Chine est toujours attirée par le Pakistan.
416) Mais sapristi, mâche donc, lapine !
417) Que de mites ont percé l’énorme bas de laine.
418) Le beau néon provoque l’allégresse.
419) Que j’aimerai goûter les charmes de la bourse.
420) Il faut rassembler beaucoup de fonds pour former des cliques.
421) Brigitte m’a fait voir son beau topo peint.
422) On est prié de laisser ca vite au bestiaire.
423) Monsieur le curé lâche un chromo en sortant de la grotte.
424) L’avocate a le bon des accusés.
425) Jules Romains était-il homme à se laisser mouiller en faisant
quinette ?
426) La femme du chasseur caresse la patte Ă la biche.
427) Le chasseur a débouché dans la remise.
428) Conseil : Si vous la mettez dans le cabas,
vous ne la mettrez jamais en bloc.
429) Auto-école : Le moniteur ne doit pas passer son temps à compter
les plots.
430) Pour un vrai dur, j’ai mon calibre.
431) Le général veut des calotins pour députés.
432) L’évêque aime à rentrer sa bête dans l’écurie.
433) La peine de la faillite.
434) Chaque fois que j’attrape l’angine, je pèle.
435) Le séminariste rêve de l’union des Corées.
436) Monsieur le curé ôte sa calotte en buvant.
437) Votre recteur est un grand bonhomme.
438) Si vous êtes marié, vous vous plairez à Bandol.
439) Jeune homme, ces crampes vous font-elles bouder ?
440) L’artiste dans son cœur a comme un rameau nu.
441) Ce camp a été victime d’un coup de semonce.
442) La jeune fille caresse l’ânesse dans la rue.
443) La cantatrice passa, toutes en brillants.
444) Ma pauvre bête n’a pas encore l’âge de l’arthrite.
445) Les demoiselles aiment que le vent caresse leurs vitres.
446) A force de garder la lande, Almaviva était dégoûtée des pots
de résine.
447) Vise la bête et envoie la vite à l’abbé.
448) La vamp enfla son cri alors que la chignon allongeait son minois.
449) Préférez donc ce simple Anjou au jus de la treille
qu’on met en boutique.
450) L’abbé veut veut prendre les fiches de morse, et s’attaque au tri
pendant le courrier.
451) Mettre la Chine au pas, ne serait-ce pas mettre le feu à l’Annam ?
452) Omar craint les scorpions depuis qu’il en vit un sur le porc de
Sabine.
453) Les cireuses de bottes guettent les jeunes talents.
454) Dès que j’agite la bricole, l’exquise pépé me fait voir
son beau bottin.
455) Pendant que nous tricotons des patins,
au soleil les joues semblent cuire.
456) Que dire des pompiers agissant sur le tard,
quand il y a déjà tant de fromage dans les docks.
457) Voulant baser la mairie sur son solide fondement,
le petit maire se prépare de pénibles frictions.
458) La femme du chef de gare m’a laissé le choix pendant une minute
sur le quai.
459) Je ne veux pas montrer ma peur Ă Catherine.
460) La comtesse rêve d’un van de six mètres pour sa jument
curieusement ensellée.
461) Le séminariste se voyait déjà en curé avec une calotte.
462) C’est le vieux qui vend de la serge.
463) La chasseresse rĂŞve de groupes de cailles.
464) De terribles tempêtes ont bien abîmé la vieille route.
465) L’usage d’inoculer du pus de génisse s’est répandu très rapidement.
466) Elle m’a menti la sotte !
467) Il m’a promis son tennis.
468) J’aurais cru que vos perles coûtaient davantage.
469) La marchande de crĂŞpe avait un petit air mutin.
470) Madame, ce vieux juif ne vous empêchera pas de recevoir l’averse,
bien au contraire!
471) Je me suis procuré une bonne virole en chêne.
472) Avant de se baigner il m’a fait tenir son avis sur la berge.
473) Passe lui donc aussi un peu de vin doux.
474) Une sorte de rage lui tient lieu de verve.
475) Le vieil artisan tisse en plusieurs passes.
476) Le vieux marin lave de fond de sa quille.
477) Le magasinier qui vent de la serge a touché un bon de cretonne.
478) Le jeune homme qui vissait son lit.
479) La serge du vicaire avait beaucoup plu Ă la dame du fiacre.
480) Il courait tant de buts divers, qu’il en perdait sa belle mine.
481) Le tonnelier a une curieuse manière de défoncer les vieux fûts.
482) Ma propriétaire voulait aspirer mon terme.
483) La rousse s’agite sur la piste de ce voleur d’aubergines.
484) Petites filles, n’approchez pas vos mains de la piste de l’égoïne.
485) Le plombier cote le plomb, mais soude sur le balcon.
486) L’étudiante travaille les mots grecs.
487) Elle a raté le doyen du bateau.
488) Elle racole des hommes aux fouilles bien remplies.
489) J’ai offert le Bordeaux aux femmes du Portel.
490) Sabine adore les prunes.
491) Le grand nombre des monts empĂŞche de les compter.
492) J’ai retiré la clé du bac.
493) Ce cas incite à l’humour.
494) Quand je prise les brunes, la noire me fuit.
495) Les femmes n’apprécient pas le marc trop doux.
496) Le douanier a visité les caisses de l’exploratrice jusqu’au fond.
497) Le sabotier offrit une paire de galoches Ă sa bru.
498) L’écuyère se plaint que le mouton de sa botte est trop dur.
499) Laisse ta biquette au pieu, Nanette !
500) Quelle drĂ´le de bille tu faisais.
501) Couds-la au fond !
502) Il le dit Ă deux femmes.
503) Après l’examen les bachelières livrent leur Kant au feu.
504) Les jeunes filles romanesques adorent les nids Ă verdure.
505) Rien ne vaut un bon coup de marc après la dînette.
506) Le plongeur a exploré le fond de la Creuse.
507) Le calot était dans le son.
508) Hâtez-vous de me faire la cour avant d’être marié.
509) Les fillettes jouent avec les pioches des mineurs.
510) La jeune fille contemple un plant qui vient de la Guinée.
511) Pour rentrer aux Carmélites il faut savoir utiliser le mot de
guichet.
512) Quel extraordinaire fouillis de boutres emplit le port du Cap !
513) Il n’y a pas que de bon cotés au concours hippique.
514) J’ai bouffé dans la louche de la baronne.
515) Les dockers sont allés décharger au su des caboteurs en grève.
516) Je munirai ta lame d’un beau manche en fer.
517) Le vieux marcheur admire les fortifications de Metz.
518) Avez-vous vu le bond de la crue ?
519) J’ai mis en perce un fût de Kummel.
520) Les fouilles curieuses de Mme Dieulafoy.
521) On compte souvent plusieurs courses pour un seul but.
522) Réduisez votre plan à la Grèce, il n’en sera que mieux.
523) Le matelot veut quitter le bord de la Belle-Poule.
524) La fillette timide mâchait sa cotte.
525) On se passe facilement de lutins.
526) Où avez-vous péché ces lubies ?
527) Ce couvent de femmes a été fondé par les Saluces.
528) L’américain montre à la jeune fille la pureté de son dollar.
529) Deux carrioles sans mulet.
530) Plût au ciel que je fusse le cygne de Léda !
531) La baronne invite le penseur à dîner.
532) Plus elles mentent, plus elles souillent.
533) Vous avez encore mussé le citron.
534) Ma cousine joue au tennis en pension.
535) Le roi retarda la peine jusqu’au matin.
536) Voici un bon Ă toucher en arrivant au Cateau.
537) La maison peut également procurer des rillettes en fût.
538) La cuvette est pleine de bouillon.
539) Quel bonheur pour la princesse que la dotation du roi !
540) J’aime le goût de ce petit blanc.
541) La fermière attrape les boeufs à la course.
542) Votre père a l’air mutin.
543) Jeanne d’Arc avait une cotte de maille.
544) Qu’on vide ce muid sans qu’on m’en perde !
545) Le vieux marin gratte le fonds de sa quille avec un fer d’herminette.
546) J’approche le cou du but.
547) La femme du mineur est ensevelie sous des piliers de mine.
548) L’éleveur de colombins expose une paire de mâles.
549) La cuisinière a reçu un coup sur son fond.
550) Elle en fait des chichis pour une pauvre mite dans sa botte !
551) Quand elle a sa marotte, impossible de compter sur elle.
552) Il y a là de jolis sites pour bâtir.
553) Son mari étant au bout, elle fit mander un prêtre.
554) Ovide exilé rencontra le bonheur au milieu des sites.
555) J’ai le nom de la russe sur le bout de la langue.
556) Le fard plaît aux dames.
557) La Miss pousse.
558) Le paysan avait fourré son coutre dans un vieux fût.
559) Pour parvenir au but il faut beaucoup de courage.
560) Si vous voulez qu’on se taise baillez-moi donc une plume.
561) Il a laissé tomber sa gomme sur son plan.
562) La dame essuie son fard avec son manteau couvert de loutre.
563) Ce jeune homme a une mine piteuse.
564) Les touristes ont attrapé des coups.
565) Le vieux monsieur parle d’un ton couvert.
566) La reine avait une pierre fine Ă la main.
567) Ce cabot de curé a des nouilles au jus.
568) Votre don me paraît fort coûteux.
569) La cuisinière s’est aperçue que son mouton bouillait.
570) Le grand Inquisiteur se plaint que ses fagots coûtent.
571) Les blanchisseuses de Toulon présentent à la marine des notes
fort suspectes.
572) J’aime à sucer le jonc de ma petite canne.
573) Je vous trouve un peu trop nourri pour mon goût.
574) La fiancée du bijoutier est heureuse d’avoir à sa disposition
une mine de perle.
575) Le pont de la Belle Eugénie est plein de curés.
576) Le ministre du commerce trouve que toutes les baisses sont faisables.
577) J’ai admiré de jolis sites en faisant ma balade.
578) Surveillez la pente où s’écoule votre fine.
579) Dans ce siècle de perdition, toutes les jeunes filles
doutent de leur foi.
580) Les saleurs couchent le thon avant de l’ouvrir.
581) Ce pichet a une belle mine.
582) Le coche finit toujours par arriver au but.
583) Plus d’un enfant des Pouilles est mort dans la Castille.
584) Les Italiennes choisissent des quines Ă la Loterie des Pouilles.
585) Cette fois j’ai senti le bout de ses galoches.
586) La femme du contribuable demande qu’on modifie la cote.
587) L’épicière ajoute un quart à son dû.
588) Pouvez-vous faire mander les basochiens ?
589) Les quilles sont rangées en cercle autour d’un vieux fût.
590) Le vieux passeur a la mine fatiguée.
591) La femme du chef d’orchestre a fait mander le basson.
592) La berge précède le vide.
593) Mademoiselle, laissez-moi vérifier la cote du mont.
594) Le Sénégalais a emporté le quart les douilles de l’Arabe comme
souvenir.
595) Le bout pendait.
596) L’armurier se plaint que ma soeur lui couche les douilles.
597) La comtesse apercevait de superbes sites autour de son balcon.
598) Nous aurons du cran jusqu’au bout.
599) Ma femme se plaint qu’il n’y ait pas assez de sites dans la Beauce.
600) Quelle bonne mine a Patrice, une bonne mine de Paris.
601) Les pĂŞcheurs en quĂŞte de thon.
602) Les enfant vont près du feu pour faire briller leurs galoches.
603) Goûtez-moi cette farce.
604) Cette lutte est vraiment passive.
605) Les femmes n’ont pas l’habitude de mettre leur quart au trou du fût.
606) La pauvre femme est folle de la messe.
607) On peut s’orienter à la faveur d’une sente.
608) A la campagne je perçois dans ma couche le mouvement des boeufs.
609) L’ingénieur avait fait poser une valise sur ma berge.
610) Cette femme a l’allure douteuse.
611) J’ai touché l’autre jour un petit bon carré.
612) La cuisinière mets des nouilles auprès de mon feu.
613) Le mercanti vendait, assis sur une berge.
614) La petite espiègle me cacha les mouillettes.
615) Ces luttes perpétuelles épuisent la malheureuse Russie.
616) Les bons Italiens sont en caisse.
617) Par ce temps orageux, toutes les mites sont au bout.
618) Le coureur a gagné, en se couchant, le but.
619) Le facteur ne veut pas qu’on chipote quand il trie.
620) Comment peut-on dîner avec si maigre part !
621) Le joueur adroit sait enfoncer la quille au but.
622) Une fille honnĂŞte ne permet Ă personne de fouiller dans sa mante.
623) Il n’y a pas que la femme du meunier qui soit capable de bâter une
mite.
624) Le jardinier bine avec sa pelle.
625) Encouragé par sa femme, le bûcheron fendait dix bois par jour.
626) Je ne suis pas pressé pour dîner.
627) Défense aux dames patronnesses de quêter sur un pliant.
628) Les trafiquants ont passé des peaux de lutin à Buenos-Aires.
629) Si le mineur va chez la patronne, c’est que sa bonniche l’a fait
mander.
630) Le mineur au pâle visage tire sa houille de bon coeur.
631) La belle passagère a attrapé des coups sur le pont.
632) Les ponts de Cologne sont immenses.
633) Les marins jouaient avec des filles sur leur boutre.
634) Le tapissier agite son pinceau au fond de la colle.
635) Pour démolir ce pignon il faudrait une bien grosse mine.
636) La jeune fille toussait en se mouchant.
637) Au pensionnat, elles ont toutes un toit pour se doucher.
638) Taisez-vous dans le bas.
639) Les bas-quartiers de Paris sont minables.
640) Attention le pont va casser.
641) Les nouilles ramollissent dans le corps.
642) Le jeune existentialiste se prête au jeu du néant.
643) Ordre de l’Amirauté : Ralentir si on se fait branler un peu à dix
noeuds.
644) Le pirate ramène à son port un cargaison de butin.
645) Ce cric a l’air bon.
646) Son parrain a une belle mine.
647) Avec leur nouveau règlement sur les munitions ils nous perdent.
648) Marquise, votre balcon saille dangereusement.
649) Les pensionnaires se battaient autour des turnes.
650) Tendez votre lit en vert.
651) Mademoiselle, vous n’avez que vos petits pois pour dîner ?
652) L’épouse déplore que son mari soit mort fou.
653) Ménager votre course, n’abusez pas des bonds.
654) Il y a un coteau près du pont.
655) Les lutins pĂŞchent les maquereaux.
656) Il y a ici des tentes Ă foison.
657) Les dockers ont de beaux cars.
658) Je n’aime pas le son de votre coeur.
659) Quelles bonnes frites pour ces bedaines !
660) Ghislaine jouit d’un nom bien coté.
661) Le nom de Cana a un attrait mystique.
662) Voyez sur ce pont ce caméléon.
663) Voici, mademoiselle, de superbes chambres au mois.
664) Le vieux marcheur veut courir sur le mont.
665) Quelle bouille !
666) Ce petit bouillon fait la joie corps.
667) Accroupie sur la chaise, elle se chauffe le bras.
668) Pas même un quart de purée.
669) C’est une jolie bête qu’un faucon.
670) Ces vastes souilles améliorent le port de votre Calvi.
671) Du moment que j’ai la cote je n’ai pas besoin de ton dû.
672) Il y a deux sortes de gendarmes, les courts et les longs.
673) Elle hésitait à dévoiler son but devant tant de candeur.
674) Vous êtes bien bon d’être resté si longtemps à Candé.
675) L’arrivée du régiment de Forbach nous a privé d’une bonne partie
de messe.
676) Le roi nègre avait son gourbi plein de phonos.
677) Pour changer le mat du cargo, pas besoin de ce mousse.
678) Nous voyons bien ce que ces fouilles nous coûtent !
679) Ce vieux scorpion a battu le mort.
680) La femme du bedeau nous a montré le coup du tronc.
681) La boulangère a une maie qui rouille.
682) Ce n’est pas tout d’avoir un bon jute, il faut savoir rouir.
683) A l’idée de voir la Chine, une étrange pâleur envahit la jeune fille.
684) Le bouffon rotait sur la scène.
685) Il faut prendre les choses en riant.
686) Vilain, tu voudrais que je te mouche !
687) J’ai vu le charcutier lié sur son char.
688) Les femmes au maître du sérail : C’est votre mine qui nous peine.
689) Les rédacteurs entrent en lutte dans les belles rubriques.
690) A veaux sensibles, pis délicats.
691) Ce n’est pas au pieu qu’est réservé le privilège de dîner.
692) Ce jeune homme sort de l’Ecole des Mines de Paris.
693) Aux sites de Bologne, je préfère les mines de Pompéi.
694) Les gros boeufs du nord ont fait souche dans le midi.
695) Elle me met la garce sur le flanc pour me sécher.
696) En orient j’ai vu un grand nombre de sites en babouches.
697) Si les captives veulent manger faites-leur lécher les gamelles
des mousses.
698) Si cette belle Line est déjà passée, que vais-je devenir ?
699) Rendez-vous dans cette baie, disait le pirate Ă son matelot.
700) Avec leurs potes elles font rendre les mines.
701) Les gîtes secouent la passagère qui crie et bascule.
702) Combien y a-t-il de feux dans votre Nantes ?
703) Voyez la jolie brique que m’a donnée une telle.
704) Peureuse Line.
705) La servante du curé se demande ce qu’il fait fait entre ses deux
messes.
706) La vieille chouette suçait les vers du nid ?
707) Je vous mettrai aussi de belles fèves.
708) Rien ne plaît au matin comme un bon coup de byrrh.
709) On ne voit guère de cardinaux jeter l’habit rouge aux orties.
710) Admire ma chance, et lis dans ma main.
711) A Beaumont-le-Vicomte.
712) Il est pénible pour un concierge d’être éveillé brutalement.
713) Le misanthrope laisse travailler sa bile et se sent détesté.
714) La marchande de lampes de poche se réjouit d’avoir une pile en panne.
715) Il faut bien se garder de piquer dans la colline.
716) Il présenta le néophyte, puis l’abbesse.
717) Le cardinal tient à être en curé au plus fort de l’élection.
718) Le jardinier a des pieds de choux.
719) Médor sentait l’azote de la gamelle.
720) La fraîcheur des plombs de Venise provoquait les quintes de Casanova.
721) Le bonheur descendait en elle.
722) Les rois ne s’intéressent guère aux usines.
723) Le neveu remet Finette Ă sa tante.
724) Le quincaillier empile son vieux fer dans son grenier.
725) Il faut que le dard du jouteur soit toujours affûté.
726) Qu’est-ce qui rime avec Othello ?
727) Pour calmer sa fiancée, il l’apaise en la berçant doucement.
728) Allons voir passer les merles par la dunette.
729) Quand il est saoul, il n’a plus de remords.
730) Le cuisinier a un canard sur le feu.
731) L’écouteur de fond trouve souvent des sons à coté.
732) Les fillettes s’amusent au pont de Malines.
733) Le tailleur est submergé sous les amas de patentes.
734) Mademoiselle, que diriez-vous, d’un caneton à la russe ?
735) Voici, monsieur le curé, la bannière demandée.
736) Le pharmacien bouchait de l’extrait de Saturne.
737) J’ai engagé une jeune bonne pour secouer les mites de mes habits.
738) Le cuisinier est en train de secouer les nouilles.
739) Cette cliente réclame de superbes tranches dans le mou.
740) Il ne faut pas bêcher l’élite.
741) J’ai la liasse, mon chou.
742) Outré, j’ai noté leurs abus.
743) Vous voulez mettre ce gros paquet Ă votre nom ?
744) Elle n’aurait jamais pensé s’endetter.
745) L’aéronaute descendait dans son ballon.
746) Le mitrailleur Ă bout de munitions contempla ses douilles
incomptables.
747) Je ne vous conseille pas de nettoyer votre lit au savon.
748) Vous avez tout le temps qu’il faut pour faire une bonne crapette...
749) Dans l’ivresse du triomphe, Achille jeta sa pique au nues.
750) Que de gîtes la pauvre femme habita.
751) Cette vieille fine n’a aucun dépôt.
752) Les femmes méprisent les mythes abolis.
753) Le banquier racole les fonds.
754) Avec les plus belles dépouilles, on fit une curée magnifique.
755) L’usine des rhums empeste la caserne.
756) Tu tétais encore que déjà tu paraissait taquine.
757) Tacite se promène en babouches.
758) La fille du mineur adore l’épinette.
759) Elle a fait piquer son nom sur une serviette.
760) Les concierges sont toujours vains.
761) Le barbier, en rasant, lui a coupé le lobe.
762) Gélatine panée.
763) La pâtissière voudrait avoir une mine à lapin.
764) Ces frites me bottent disait la cuisinière.
765) Les femmes n’aiment guère trouver du gel après l’averse.
766) Les moissonneurs empilent de vieilles faux dans la grange.
767) Cet enfant de Paris s’est efféminé.
768) Ce n’est pas un métier de faire du ciné.
769) J’ai remis le fard à madame.
770) Les femmes furent empilées dans le fort.
771) Ces hommes ne sont que béats.
772) Il vaut mieux ne pas trottiner avec une pente pareille.
773) Mademoiselle, désirez-vous des nouilles encore ?
774) Le maire de Riom vient d’avoir une belle élection.
775) Dans la brandade de morue, le lard est superflu.
776) J’ai offert le bordeaux aux femmes du Portel.
777) L’anneau de la puce est peu employé par les maroquiniers.
778) Chez l’optimiste le “pis” s’évanouit.
779) Suzanne a glissé dans la piscine.
780) Gardez toujours tĂŞte au frais et pieds au chaud.
781) Il cherchait des trous sur les ponts.
782) Dans la cour, le vieux chanteur détonne.
783) Défense de léser ce cabotin.
784) Je n’ai pas de rebord à mes épaulettes.
785) Est-ce vrai que la magistrature assise ment debout ?
786) Le chasseur à pied dans la rivière.
787) Les filles du viticulteur m’ont montré leur grange à vin.
788) La jeune femme, pendant l’accouchement, haussait le ton.
789) Lotaire était verni d’avoir tant forniqué.
790) Les bonds des accusés.
791) Les aviateurs n’ont plus besoin de piquer pour crever le mur du son.
792) Le médecin a admiré ma mine épatante.
793) Merci beaucoup pour vos fouilles.
794) Le petit ami présente deux tranches de jambon :
Veux-tu la fine ou l’épaisse ?.
795) L’éperon du cavalier est resté accroché dans les toiles.
796) Le fermier a montré son veau gris à ma femme.
797) J’ai encrassé le but de la petite Paulette.
798) Globes majestueux, quelles effrayantes orbites dans vos courbes
vagabondes.
799) Quelles craques me flanque ce chantre.
800) Le huguenot se plaît à tromper le papiste.
801) Le garçon a léché le confit d’oie.
802) Le vieux sauteur s’accroche au record du bond.
803) Je trouve que Mâcon a un drôle de nom.
804) Il faut couper les nouilles au sécateur.
805) Empoignons les quenouilles aux grues..
806) Les Romains descendaient en troussant les babines.
807) Un gars de la fosse l’a dénoncée.
808) Mais non, Proust n’a jamais déploré “Les jeunes filles en fleur !”.
809) Paris procédait à l’élection des Reines.
810) Je me suis fait tromper en achetant des pipes.
811) L’Arlésienne a un vieux mas bien choisi.
812) Voyez comme cette élection la ronge.
813) Une lieuse de chardons a eu le prix Cognac.
814) Il n’y a pas de cesse dans cette profession.
815) On obtient d’excellentes élections dans cette Petite-Russie.
816) La béguine admirait un Jacquemard de Bruges.
817) Les scorpions montait sur la motte.
818) J’ai réussi à fendre la presse.
819) Le fakir est arrivé à pied par la Chine.
820) Qui n’est sensible à la beauté des frites ?
821) Il chante tant qu’il n’en vit plus.
822) Je vous caresserai les tresses après le football.
823) Goûter les charmes de la brousse.
824) Au-dessous d’un banc, elle suçotait des frites.
825) Une grande frite nageait dans son bock.
826) L’étudiante travaille les mots grecs.
827) Le maire s’exerce sous la flotte.
828) Sortez donc votre Pline Ă la page.
829) Elle m’a trompé parce que j’étais pompette.
830) De vieux messieurs bedonnants s’évertuaient sur leurs frites.
831) Les constructeurs du chemin de fer tirèrent leur rampe dans la craie.
832) Toutes ces frites sont bien belles.
833) Le faune aime prendre la flûte de Pan.
834) A quoi bon me pousser pour que je vous trompe.
835) La cuisinière se plaît à biseauter les frites.
836) Le plombier cote le plomb, mais soude sur le balcon.
837) L’aviatrice a un moteur dans la flotte.
838) Ne laissez pas tomber votre Pline pendant le potage.
839) La jolie passagère glissa sur un pan coupé
et se cassa la main sur le pont.
840) La fermière sait que sa poule mue, aussi vit-elle au champ.
841) Cerbère m’a fait voir le globe à trois ans.
842) L’Impératrice Tseu-Hi se déchargeait sur le grand eunuque du poids
de la Chine.
843) Si votre quai est joli, notre rue l’est aussi.
844) Prix du quai des Orfèvres.
845) Chérie, ces sauvages veulent qu’on tue.
846) Les soldats ont pillé ma fine à la cave.
847) Elle rêvait d’être mousse de péniche.
848) Les longues croisières en canot développent l’organisme.
849) C’est à Rouen qu’on laisse les péniches.
850) Cet enfant vicieux mouille ses couches.
851) A un jeune électricien : “Branchez-vous d’abord, scellez ensuite.”
852) La fermière conservait dans ses fermes l’espèce de ses étalons.
853) Les Algériens promenaient leur vaste pif dans Ténès.
854) Vous me contez la Bible !
855) Les miss béent devant les péniches.
856) Je vais pêcher dans l’étang.
857) Le mineur d’oeufs possède un appareil pour inspecter le germe.
858) Saisissez toujours l’échelle par le bas.
859) Le vieux clocher où s’abrite le Jacquemard.
860) Le flûtiste souffle dans le do en bouchant le fa.
861) A la vue des Nippons, la Chine se soulève.
862) Vous m’obligeriez si vous vouliez me laisser le Chaix.
863) Le propriétaire au nouveau garde : “Je vous confie la chasse”.
864) Ote ta lampe que je guette.
865) Sur la scène, ce nabot est cocasse.
866) Le laboureur regarde fouler son coutre par le pou de latrine.
867) Le docteur a soigné les fumeurs de la Bonne Hôtesse.
868) L’éviction de la régie du port satisfait les navigatrices.
869) Le Belge scie dans la chambre, l’hiver il préfère scier au chaud
que de scier dans un chiffon.
870) On rit beaucoup dans la machine.
871) Je préfère l’ambre et l’ébonite au bouchon.
872) Achète que je rie.
873) Prédicateur : Voyez, mécréants, votre chute impie devant le temple.
874) Elle avait un chapelet de citrouilles autour du cou.
875) Bien tendu, frais savonné, rien n’est chaud comme un bas de femme ;
hélas, combien deviennent piteux à force d’être remaillés.
876) A la manière de Casanova : Sous des dehors placides, elle cachait
un fond réellement curieux ; parfois de tout son amour me criant
l’aveu, elle se lamentait, faisant même de sa couche un bond
hystérique ; d’autres jours, à peine descendais-je de son balcon,
prĂŞt Ă glisser du banc dans cet antre obscur, que la sotte
commençait à mentir ! Hors de moi, je la quittais sans bonté,
puis j’allais, fier de mon coup, l’arroser dans la buvette,
ou muser, raqueux au Lido.
877) Si tu voulais me laisser le pain chaud, je te donnerais ma croûte
à pâté.
878) Les moules se parent Ă la mue de novembre.
879) Je me demande ce que tu feras dans ce Congrès.
880) La femme du routier, de sa cabine, considérait la panne de son mari.
881) Entendez résonner l’écho harmonieux de la flûte.
882) Les Bretons sont arrivés, leur Pen-Bass à la main.
883) Il dissimule sous sa calotte un air bien rusé.
884) L’afficheur est en train d’encoller le mur.
885) Il est interdit de passer sur les rives.
886) J’ai laissé tremper ma botte dans votre citerne.
887) Les canards de Cholon.
888) Il caressait les fils de la modeste Caroline.
889) Les marins s’offrent une bonne tranche de panne sur leur tartine.
890) Les femmes s’habituent aisément à la vie de la Butte.
891) Madame, je serais heureux que vous me laissiez jouer avec vos fils.
892) Elle a joué au Grand Prix.
893) Ce veau a des qualités.
894) Rouge comme un veau de Nice.
895) Une tĂŞte de veau blanchie.
896) Il a reçu un coup de pelle dans la face.
897) Il aurait fallu que votre bête fût plus grosse pour que je la prisse.
898) Il ne faut pas faire passer le riz dans le beurre.
899) Que ça sentait mauvais à la noce de la Russe.
900) Les médecins ont déclarer Ginette trépanable.
901) Arlequin vieilli secouait sa batte Ă Vichy.
902) Ce Démocrite mérite un bon coup de batte !
903) Toujours l’épine est sous la rose.
904) L’ânier caresse l’ânesse dans la rue et murmure : “Vise l’âne”.
905) L’amoral a des qualités.
906) A Rome, as-tu vu le gars qui a une bath de pipe ?
907) Du Port-Salut !
908) La petite rate cherche une botte de radis.
909) Les manettes la font briller.
910) Tire-botte.
911) Elle lui cire sa botte.
912) Le Polytechnicien a une panne de miteux.
913) L’imprimeur est tombé la face sur les lettrines.
914) Le cantinier a écorché sa botte.
915) Ah ! le parfum des belles dans la rue !
916) Le bon taupin croche dans les maths et n’a pas peur des jus calés.
917) Mesdemoiselles George et Raucourt aimèrent le sacre du Consul.
918) Une puce dans la nasse.
919) Les joueurs trouvent spirituel de coller leurs bûches dans le cou
du banquier.
920) Placez-moi les quilles de nouveau, S.V.P.
921) On verra bientĂ´t la ruine dans les caisses du roi.
922) La bise a glacé nos troupes.
923) Anatole France a son nom sur un quai.
924) Que voulez-vous que des gosses fassent d’une loupe ?
925) Les meilleures moules ont l’écaille presque noire.
926) Il est inconvenant d’introduire les Dieux dans les lois.
927) La Russe porte au cou une fourrure Ă longs poils.
928) Il faut une longue peine pour arriver officier.
929) Les femmes sentaient le vent Ă travers leurs vitres.
930) La jeune fille m’a fait sentir le bout de son bâton.
931) Votre Beyrouth est bien riche.
932) Ça m’a tous l’air d’un poids ferreux.
933) Si tu ne bouffe pas mon chou, je ne toucherai pas Ă tes cailles.
934) Je tournai vainement ma peine vers mes livres (Lamartine).
935) Madame, j’aurais voulu que vous prissiez cette peine.
936) Pendant les Six Jours, le coureur en piste parle Ă peine.
937) Annette à Fémina.
938) Nous vîmes un superbe colombier sous les pins.
939) C’est à l’ami que j’offre mon vin.
940) Au fond, l’odeur du quai n’est pas désagréable.
941) La jeune fille a reçu l’orage en plein champs.
942) On a fourré un haras dans son champs.
943) Il faut être croupier pour être pondéré.
944) L’amiral des Salins rêve de Colombo.
945) Que veut-on pour les Arabes ? Le Pain de la Paix.
946) Les dames patronnesses cherchent des boîtes pour les ouvrir.
947) Les queues de poires sont restées accrochées dans les suspensions.
948) L’entrée du camp plaît à la longue.
949) J’offrirais volontiers mon dû pour cette parcelle.
950) La bordure de sequin est du meilleur ton.
951) Les meilleurs pages se font à l’usine.
952) Le mal aux dents n’empêche pas de barder.
953) J’aime le son du cor.
954) Les étriers gisent sous les caissons.
955) En l’an 612, le pape envoya saint Colomban aux païens d’Irlande.
956) Je dédie ce rondel à une jolie femme de Bordeaux.
957) Combien a rapporté votre quête, ma petite Suzon ?
958) Les morues font honneur aux bancs de truites.
959) Le jeune séminariste a lu Perceau.
960) Le vieillard suivait la messe en pensant Ă ses fils.
961) Les filles publiques évitent les voies privées.
962) Le vin de Paris.
963) Ce monsieur a un vent coulis entre les jambes.
964) Buffalo Bill lança son feutre aux Sioux.
965) Les fils du meunier ont livré leur son au boxeur.
966) En Corée, il est tombé beaucoup de marines sur les têtes des ponts.
967) Le matelot nettoie ses câbles rouillés.
968) Un bandit a affolé ma soeur.
969) Le glas se propage dans les champs.
970) Le courtisan abuse du ton de cour.
971) Le sage montre son dos aux goguenards.
972) J’aime mieux votre Boccace que ces tristes têtus.
973) Ne posez jamais votre dos sur un billard !
974) La travailleuse ne rougit pas d’un cal fécond.
975) Admirables folles, il ne vous manque que la paresse !
976) L’extrait de sapin apaise son angine.
977) La petite arpète cherche les roupies du riche Hindou.
978) L’hétaire avait une puce de Pantin.
979) Les vaches crient.
980) Plaisir vaut maladie : telle est l’école de la vérité.
981) L’odeur du vexin me met dans une terrible agitation.
982) La femme esquimau aime les verres polis.
983) Le jour des galas aux champs et tous les soirs dîner pompeux.
984) Les fourriers ont largement distribué leurs guêtres.
985) Régalons-nous du chant de la conteuse.
986) Le vieillard se sent lassé de Vénus.
987) Le gladiateur nubien pénétra dans la lice.
988) La compétence des rousses.
989) Il fait beau et chaud.
990) La garagiste, qui a la référence de mon pneu, m’a décrit son engin
qui sent le calvados.
991) Mais oĂą le feu va-t-il se nicher, dit le pompier mordant
mais bien brûlé, en arrosant l’espèce de ferme.
992) La contrepèterie est l’art de décaler les sons.
993) Les enfants jouent avec des piles de boîtes dans les pièces du fond.
994) Borg est peiné par les imitations de son lob.
995) Salut, Fred !
996) Les mutins passèrent la berge du ravin et semèrent la perturbation
en masse.
997) Personne n’est jamais assez fort pour ce calcul.
998) Elle les recense toujours avant de les brûler.
999) Il est des livres qui veulent beaucoup de peine.
1000) Ces frondeurs finiront par me faire débloquer.
1001) Les paysans vont aux champs en bande en caressant le cou de leurs
boeufs.
1002) Père de famille nombreuse, le facteur regrette d’être voué au tri.
1003) J’aime au sortir du camp une longue pêche sous-marine.
1004) Matthieu a une boîte de mines.
1005) Hier soir je me suis fait de la salade avec une escalope.
1006) Le linge sèche et mouille les cordes.
1007) Colombine montre sa hâte a Charle Quint.
1008) J’ai peine à lire.
1009) Votre piquette sent le vieux képi.
1010) Les pêchers n’ont pas de dattes.
1011) J’aime la pétanque en masse.
1012) Le Caire est noir de monde.
1013) Je préfère la chasse amateur.
1014) Ce que je préfère quand je dîne, c'est la purée.
1015) Elle a été saucée au gala de l'Union.
1016) J'aime vachement votre frangin.
1017) Je suis sensible Ă l'appellation de la fine.
1018) Tricotez vos ponchos vous-mĂŞme.
1019) Elle est folle de la messe.
1020) Les écoliers jouent dans les pièces du fond.
1021) Que de gîtes la pauvre femme habita !
1022) Des qu'on touche a son petit banc, cet enfant boude.
1023) Les linges en séchant mouillent les cordes.
1024) Le cuisinier balance sa rouille dans le coulis.
1025) Tripes de peau.
Bon, on arrĂŞte les conneries, maintenant ?
--
Yann Gaudy "Ecoutez-les, les enfants de la nuit.
Quelle musique ils font !"
Le sujet est clos! :-))
Bonsoir,
difficile de signer Patrick sans avoir une confusion,
les deux dernières contrepétries pour cette année
elle a une pierre fine Ă la main
elle a le choix dans la date
bon trève de plaisanterie,demain dimanche boulot pour moi .
Bon dimanche Ă tous
Pat
Nullement. C'est à la portée du premier imbécile venu.
En effet... Ceci, par contre l'est un peu moins:
Les mèches rousses de la maréchale tombent en cascades sur sa nuque
dégagée.
--
Cricri Rabien
et Zarathoustra, alors ??
Non, en effet.
Trouver un point d'accord avec toi est à la portée du premier imbécile
venu. Voici la preuve en image : "Oui, DAN, tu as raison."
De la même manière, trouver un point de désaccord avec DAN est
d'une simplicité enfantine : "Depuis 97, ta devinette débile vantant
les mérites d'Adolf m'a été envoyée sept fois en BAL, a été postée
cinq fois sur frh et deux fois sur fre. Tu fais chier."
Salut les potes.
Yves.
Bonsoir,
ben il faut l'assoir sur un radiateur pour lui faire fondre le beure :-)))
je n'ai jamais habité le cantal, il doit y avoir une erreur sur la personne
Pat
Voici la preuve que le Grand Dan ne lit mĂŞme pas ce qu'il poste.
Un grenier !
Amusant, non ? Quel déconneur, ce Dan !
Je te lui en congratulerais presque la barbichette.
Ah, je viens de comprendre !
Tu crois que le truc intitulé "questions" est une "devinette vantant les
mérites d'Adolf" !!!
Tu devrais le relire plus lentement, mon pauvre...
Bonjour,
je viens juste de réagir, j'étais à côté de la plaque.
Pat
c'est l'histoire d'un hareng saur sec,sec,sec
en haut d'une echelle haute ,haute ,haute
qui plantait un clou pointu,pointu,pointu
avec un marteau lourd,lourd,lourd.
le marteau donna un coup,coup,coup.
sur la main du hareng saur sec,sec,sec.
(je sais plus la suite de cette poesie de prever que j'ai apprise ne
maternelle)
marmotte joyeuse