Revue de presse semaine n° 27
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Pas grand chose de bien nouveau, ni de trés intéressant cette semaine.
Roland
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Deux Eurofighters de la Royal Air Force ont quitté la Grande-Bretagne le 27
juin pour rejoindre Singapour.
Les avions ont décollé du terrain de BAE Systems, à Warton, à 10h13, heure
locale. Ces deux appareils seront déployés en Asie du Sud-Est pour une
évaluation qui devrait durer deux semaines environ. Ces avions ont été
retenus pour la phase finale du programme qui verra le remplacement des
chasseurs actuels du pays par des avions de nouvelle génération.
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L'usine de EADS Sogerma Services, à Toulouse, a commencé les travaux d'
aménagement intérieur de deux Airbus A319 destinés à la compagnie saoudienne
National Air Services, pour des vols réguliers et des vols charters.
La cabine de ces appareils sera dotée de sièges Business Plus® de Sogerma,
dans une configuration offrant un très haut niveau de confort, avec quatre
sièges de front pour accueillir au total quarante-quatre passagers. Le salon
VIP, en tête de cabine, comprend un système de couchage modulable et un
compartiment de rangement.
Dans leur nouvelle configuration Executive, les deux A319 seront exploités
par la compagnie saoudienne dans le cadre de services réguliers de première
classe, entre Djeddah et Riyad, en Arabie Saoudite, et pour des vols
charters vers diverses destinations régionales incluant l'Egypte, Dubaï et
le Liban.
Principale compagnie privée en Arabie Saoudite, National Air Services
rejoint le nombre croissant d'opérateurs, dans le monde, qui exploitent la
gamme Airbus pour des services de première classe, les vols charters, les
services VIP et les déplacements officiels de chefs d'Etats.
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D'après un rapport du ministère des Transports des Etats-Unis, les aéroports
de New York, Atlanta et Chicago ont atteint leur limite en matière de trafic
passagers et dix autres villes, desservies par des compagnies à bas coûts
telles que Southwest Airlines, doivent accroître leurs capacités afin de
répondre à l'augmentation de la demande prévue d'ici à 2013.
Près de la moitié des trente-cinq aéroports américains les plus sollicités
auraient besoin de capacités supplémentaires dans les neuf ans à venir,
souligne également l'étude du ministère. La Guardia, à New York, et Newark,
dans le New Jersey, ont besoin d'une expansion immédiate, de même que O'
Hare, à Chicago, Hartsfield-Jackson, à Atlanta, et Philadelphia
International. En 2003 - la deuxième année au cours de laquelle on a
enregistré le plus fort trafic -, les aéroports US ont accueilli près de 650
millions de passagers, rappelle l'ATA (Air Transport Association).
Source : International Herald Tribune
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government subsidies. CEO Harry Stonecipher told the FT: "Airbus is very
successful. By their own recent writings they have more market shares than
we do. So the question is 'why do they need subsidies?'". In recent months,
Boeing has indeed intensified its lobbying of US government officials and
said it would take unspecified action "this year". Harry Stonecipher however
denied he would take the case to the World Trade Organization. The FT also
draws a portrait of Boeing's CEO, who at 68 was called from retirement to
take over resigning Phil Condit seven months ago. He now has to struggle to
restore Boeing's reputation in Washington.
Financial Times, Financial Times Deutschland
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middle and short distance flights. After the September-11 attacks, the 717
production was threatened of ruin. But new orders from AirTran, a US
low-cost carrier, convinced Boeing to continue production. Now the Boeing
717-300 jet, a longer version of the original jet, will be able to carry 130
passengers over a distance of 3,000 kilometres and Boeing is expecting
orders from the four Star-Alliance carriers Air Canada, Austrian Airlines,
Lufthansa and SAS. Süddeutsche Zeitung (26/06)
The insolvency of the Dornier 728 regional jet program has consequences for
the other products of the Dornier group. Wolgang Walter, CEO of the U.S.
company Avcraft, complained about the fact that clients treat the Dornier
328 jet like the Dornier 728 jet in spite of the fact that the first one is
produced by a different company and integrated itself positively on the
market. Avcraft even recorded new orders for the Dornier 328 jet.
Die Welt
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on Friday in Ludwigsfelde near Berlin. MTU Maintenance Berlin-Brandenburg is
planning to test the engine for the new Airbus military transport A400M at
this new plant. According to MTU, the costs for the new plant represent more
than ? 7M.
Dpa (25/06)
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threatened of cancellation. "We have submitted a competitive proposal this
afternoon", an EADS spokesman declared on Thursday on behalf of the
AirTanker consortium. Details of the proposals were not disclosed but
sources said they were meeting the UK procurement officials requirements.
AFP (25/06), Financial Times (26/06), Die Welt (26/06)
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service last Friday. A ceremony was organized at the naval base in
Landivisiau and presided by Amiral Jean-Louis Battet. Each unit of the
fighter will cost ? 89M. In front of the Assembly, CEO Charles Edelstenne
highlighted that the Rafale "is the only program in the world that has
respected its national budget".
AFP (25/06), La Tribune, Marianne
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pays de l'Otan
Roland
Source: Financial Times du 29.06.2004
EAD8 and Lufthansa have formed a joint venture to provide Nato members with
military transport aircraft ahead of first deliveries of the new Airbus
A400M. The single purpose company led by EADS and Lufthansa Cargo Charter
Agency will lease up to six Russianbuilt Antonov 124100 air craft, for
strategic long-distance transport. The Antonov 124 is the largest transport
aircraft in the world, with a capacity of 120 tonnes. It will also use the
giant Airbus Beluga aircraft used by the European aircraft maker to
transport fuselage and other parts between its factories. "The combination
of Beluga and Antonov 124 aircrafts is a particular advantage of the joint
company." said RADS. the Franco-German aerospace and defence group. "The new
company represents another example for the public private partnership model
linking public tasks to the private economy," said EADS. The cargo carrier
will start in 2005 and operate until at least the end of 2012. EADS and LCCA
confirmed that in addition to Nato deployment the carrier would offer
transport aircraft to commercial customers and could also be used internally
for Airbus transportation of aircraft parts. In the autumn. Nato is expected
to start the formal tendering procedure at which the joint company will take
part. The lack of strategic airlift capacity to transport troops, armoured
vehicles and humanitarian assistance - has been exposed in recent years. The
A400M is designed to plug the gap in European capability but the aircraft is
not due to come into service until between the end of 2009 and 2012. At the
Nato Prague summit in 2002, the German-led initiative, the so-called
Strategic Air Lift Interim Solution, was created to overcome the gap until
the A400M comes on stream at the end of the decade. Boeing's C-17 aircraft,
the Antonov 124-100 and the Airbus Beluga were all considered. "The sAllS
contract could be the beginning for other co-operations or joint projects
with EADS," said LCCA.
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Source: Agence France Presse du 29.06.2004
HAMBOURG (Allemagne), 28 juin (AFP) - Le tribunal administratif de Hambourg
(nord de S'Ailemagne) s'est opposé lundi à l'allongement d'une piste de
l'usine d'Airbus dans cette ville, prévue pour accueillir le futur avion
géant A380, en raison des doutes concernant la légalité du projet de
l'avionneur européen. Cette décision en référé intervient à la suite d'un
recours collectif déposé par quelque 160 habitants contre l'allongement de
cette piste qui obligerait certains d'entre eux à céder du terrain. Airbus,
qui avait adopté récemment un projet visant ä prendre les mesures
nécessaires pour entreprendre les travaux d'aménagement, a décidé de faire
appel de cette décision devant ta Cour administrative d'appel de Hambourg,
selon un communiqué de l'avionneur européen. Les sections avant et arrière
du fuselage de I'A380 sont fabriquées sur le site de Hambourg. Un important
hall d'assemblage permettant de loger l'ensemble de ces pièces a ouvert en
mai 2003. Après l'assemblage final à Toulouse (sud-ouest de la France),
l'A380 volera en direction de Hambourg pour recevoir les fournitures
intérieures et être peint aux couleurs de la compagnie cliente. L'A380 a
fait l'objet de 129 commandes fermes émanant de 11 transporteurs aériens. Le
premier vol de l'A380 est prévu au premier trimestre 2005. Sa mise en
service commercial aura lieu en 2006 dans la flotte de Singapore Airlines
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Source: La Tribune du 29.06.2004
Boeing va passer & l'attaque sur le dossier des subventions accordées à
l'industrie aéronautique. Le géant américain prendra dès cette année des
mesures concrètes pour que son grand rival européen Airbus, filiale d'EADS à
80 %, cesse de percevoir des subsides publics. Les Etats européens financent
notamment sous forme de prêts pour près d'un tiers le futur avion géant
A380. Dans un entretien publié hier par le Financial Times, le PDG de Boeing
n'a pas souhaité préciser la nature des actions envisagées. Harry
Stonecipher réfute cependant la possibilité d'un recours devant
l'Organisation mondiale du commerce (OMC). « Les guerres commerciales, vu qu
'elles durent encore et encore, ne sont dans l'intérêt de personne »,
justifie-t-il. Subventions indirectes. Ce différend de longue date entre les
deux groupes n'est pas à sens unique. Airbus, leader mondial en terme de
parts de marché, estime que son concurrent bénéficie lui aussi de
subventions indirectes pour son pôle aéronautique civil comme pour son
activité militaire. Cela par le biais d'aides allouées par le Pentagone pour
les programmes militaires de Boeing.
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Source: Agence France Presse du 28.06.2004
AEROPORT DE ROISSY, 28 juin 2004 (AFP) - Le directeur général exécutif d'Air
France Pierre-Henri Gourgeon a estimé lundi soir à l'aéroport de Roissy lors
de l'accueil du premier vol Canton-Paris de la compagnie China Southern,
qu'il s'agissait d'un événement "important" qui constitue "les bases d'une
entrée de Skyteam en Chine". "On a envie d'être très forts en Chine", a
ajouté Pierre-Henri Gourgeon, qui, interrogé sur une éventuelle entrée de
China Southern dans SkyTeam, a indiqué à l'AFP: "c'est dans ce sens là que
les choses vont. Les choses se présentent bien et on en reparlera en 2005".
M. Gourgeon a toutefois souligné que c'était avant tout désormais "à China
Southern d'en décider". Air France accueillait lundi le premier vol
Canton-Paris de China Southern, la 3e compagnie chinoise. Une ligne
Paris-Canton a été ouverte le 5 janvier par Air France. Avec les vols
Canton-Paris de China Southern, les offres de vofs sur cette desserte par
les deux compagnies passent "de 5 à 11 vols", a indiqué Pierre-Henri
Gourgeon. Ce développement a pour origine un accord de partage de code signé
en novembre 2003 par les deux compagnies qui permet à Air France d'apposer
le code "AF" sur les vols China Southern et inversement à cette dernière
d'apposer le code "CZ" sur les vols Air France. Selon Air France, China
Southern Air holding company, qui rassemble China Southern Alrlines, China
Northern Airlines et Xinjiang Airlines, est le 1er groupe de transport
aérien chinois en nombre de passagers transportés.
Three Forty
Tiens, tiens, phase finale ça veut dire que le choix est déjà fait ou pas
encore ? Sinon faut espérer que le Rafale leur fera meilleure impression...
--
Stéphane "Three Forty"
http://www.kerozen.org
"When you fly on Air Force One, you know you're the president."
(Gerald R. Ford)
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SINGAPOUR, 28 juin (AFP) - Un avion de la compagnie aérienne Singapore
Airlines (SIA) a déco!lé lundi pour le plus long vol commerciai sans escale,
reliant Singapour à New York en 18 heures et battant ainsi le propre record
déjà détenu par SIA, a-t-on appris auprès de la compagnie. Le vo! SQ22,
effectué par un Airbus A340-500, battra de deux heures le précédent record
détenu par un vol SIA Singapour-Los Angeles, inauguré en février. La liaison
dure environ quatre heures de moins dans chaque sens par rapport à un
itinéraire avec escale. L'avion long-courrier ne dispose que de 181 places,
dont 64 sièges transformables en couchette. "L'Histoire s'est faite
aujourd'hui à l'aéroport Changi de Singapour", ont lancé les autorités de
l'aviation civile de la ville-Etat. La SIA a précisé que te vol était plein
et qu'un "très grand pourcentage" des passagers avaient payé leur billet,
dont le prix varie de 2.050 dollars US à 5.388 dollars US
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. La compagnie a essuyé un nouveau refus des autorités fédérales pour
l'obtention d'une garantie de prêt de 1,1 milliard de dollars. . Elle
négocie avec ses créanciers et des investisseurs privés pour tenter de
sortir de la protection de la loi sur les faillites. La nouvelle est tombée
hier après-midi comme un couperet pour United Airlines. La compagnie
aérienne américaine en faillite s'est vu reruser une troisième fois par le
Bureau de stabilisation du transport aérien (ATSB) une garantie de prÄt de
1,1 milliard de dollars. Celle-ci avait pourtant revu sa demande initiale à
la baisse de 500 millions de dollars, et s'était engagée à mettre en ouvre
une séné de nouvelles réductions de coûts pour pouvoir sortir de la
protection de la loi sur les faillites. La compagnie avait également proposé
de lever 500 millions de dollars auprès d'investisseurs privés et de ramener
à cinq ans - contre sept envisagés initialement - la durée du prêt
sollicité. « Mesures positives. » Rejetant cène demande à l'unanimité, les
trois membres de l'ATSB ont indiqué hier dans une lettre au directeur
financier de la compagnie, Frédéric Brace, qu'ils n'accepteraient pas de
nouvelle requête de la part de la compagnie. « Comme indiqué dans sa réunion
du 17 juin, le conseil a conclu qu'il n 'était pas nécessaire d'accorder une
garantie de prêt pour maintenir un système d'aviation commercial viable,
efficace et sûr aux Etats-Unis », a affirmé le Bureau, en notant cependant
« les mesures positives entreprises par la compagnie depuis son entrée en
faillite en 2002 pour réduire les coûts, renforcer sa position sur le marché
et améliorer sa structure de gestion ". Exprimant hier son total « désaccord
avec la décision de l'ATSB >-, United Airlines a déclaré mener désormais «
des discussions avec ses créanciers et d'autres (investisseurs) pour
déterminer quelle structure financière serait appropriée ». La compagnie
estime avoir besoin d'un financement de quelque 2 milliards de dollars pour
pouvoir sortir de la protection de la loi sur Ses faillites. Face à ce refus
définitif des autorités fédérales, United Airlines se voit contrainte de
muscler son plan de restructuration. « Nous continuerons à prendre les
mesures nécessaires pour réduire davantage les coûts et améliorer les
revenus '>, a-t-elle insisté. Nouvelles concessions. Après avoir obtenu,
début juin, un accord des syndicats sur la réduction de la couverture santé
des 27.000 retraités qui devrait lui permettre de réaliser une économie de
300 millions de dollars sur six ans, la compagnie va devoir négocier de
nouvelles concessions avec ses différentes catégories de personnel,
notamment avec les pilotes. Leurs salaires, plus élevés que dans d'autres
compagnies aériennes, ont déjà été réduits, dans certains cas, de près de 40
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Source: Les Echos du 29.06.2004
Après la publication au bulletin officiel. vendredi, du décret
gouvernemental autorisant l'octroi d'un crédit-relais bancaire de -100
millions d'euros à Alitalia. " avec garantie de l'Etat .: l'assemblée
générale de la compagnie nationale s'est réunie hier, à Rome. pour approuver
son bilan 2003. Grâce à la perspective de ce financement, qui reste encore
soumis au feu vert officiel de Bruxelles, le transporteur national encore
détenu à 62.3 % par le Trésor italien a pu ainsi approuver son bilan annuel
avec une perte nette de 517 millions d'euros en 2003 que son auditeur.
Deloitte & Touche, a reftisé de certifier le 10juin. Giansarlo Cimoli. le
nouveau patron de la compagnie, se donne encore jusqu'à la fin juillet pour
finahser son plan de relance, qui passe par une ouverture plus grande du
capital. .. La participation des investisseurs privés et la privatisation
qui en résultera seront indispensables pour garantir la pleine compatibilité
de l'opération avec les normes communautaires en matière d'aides de
l'Etat .: a souligné hier l'administrateur délégué d'Alitalia. Comme il l'a
annoncé le 6 mai. le Trésor italien s'engage à relancer le processus de
privatisation de la compagnie, dont Air France défient déjà 2 % du capital,
en réduisant sa participation au-dessous du seuil de 50 %. '< Le ministère
de l'Economie est disposé à valoriser sa propre participation afin d'assurer
la continuité de l'entreprise et le plan d'assainissement prévu par le plan
industriel », continue Giancarlo Cimoli. en précisant que toute augmentation
de capital sera réalisée " avec la participation d'investisseurs privés ».
Un passage délicat Deux mois après sa nomination, le patron d'Alitalia
aborde un passage particulièrement délicat. En vue d'éviter les foudres de
Bruxelles, il doit s'efforcer de dissocier l'obtention du prêt-relais de la
recapitalisation de la compagnie. « Ce sont deux thèmes complètement
séparés. Le prêt sert à affronter une situation d'urgence, tandis que le
plan de restructuration est la condition sine qua non à l'ouverture du
capital aux investisseurs privés », souligne-t-on dans son entourage.
Répondant aux protestations de British Airways. le porte-parole du
commissaire européen aux Transports, Loyola de Palacio, a indiqué que la
Commission de Bruxelles se prononcera sur la validité du dispositif au vu de
l'ensemble du plan de sauvetage. Il faudra donc attendre la fin juillet.
L'administrateur délégué d'Alitalia a laissé entendre que la restructuration
passera par un « recentrage sur le cour d'activité du transport aérien, le
développement de l'offre et du réseau et une plus grande attention aux
clients ». Pour finaliser ce plan de sauvetage, qui passe par la scission
des activités de maintenance, Giancarlo Cimoli pourra s'appuyer sur la trêve
estivale conclue, vendredi. avec les principaux syndicats de pilotes (Anpac,
CGIL, CISL, UIL et UGL), à l'exception de l'Union des pilotes. Mais le temps
presse. Selon le texte du décret-loi publié ce week-end, le groupe disposera
d'un délai maximal de douze mois. à partir du 31 octobre 2004, pour
rembourser le crédit bancaire de 400 millions d'euros, en cours de
constitution sous la houlette de la banque d'affaires Mediobanca. Avec une
moyenne de pertes mensuelles de 60 à 70 millions d'euros selon les
estimations. Alitalia va devoir réduire sensiblement son train de vie pour
atteindre cet objectif. Nombre d'observateurs restent persuadés que sa
survie reste liée à une réduction drastique des effectifs
Three Forty
là je pense, le rayon d'action en moins ?
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AS A member of the various consultative committees on civit aviation in the
past. praful Patel. the new minister of state for civil aviation, is well
versed with the intricacies of the sector As an industrialist, he
understands the nitty-gritty of running a business. His aim is to expand the
sector, increase capacity with more airlines. more aircraft and more
passengers. On the eve of the empowered group of ministers' meet on airport
privatisation, which he was loathe to discuss, he spoke to Iffna Mehta.
After AI, Is Indian Airlines also going to consider a low cost, no-frills
carrier? Indian Airlines already has a low-cost structure in the form of Its
subsidiary Alliance Air. When the sector grows and if market demands,
Alliance Air can be converted into a no-ft-lUs carrier to take competition
head on. But this will be done only if there is competition in the no-frills
segment. You have stated that no decision In the ministry will be taken In
bits and pieces but as part of a comprehensive policy. When do you see the
policy being finalised? We expect to bring out a policy by the end of the
year, since Parliament will be in session till September. Decisions like
allowing private airlines to fly to the ASEAN countries and other regions
and foreign direct investment in airlines will be taken up as a part of the
comprehensive policy. What is being done to expedite the fleet acquisition
of the two state-owned carriers, AI and Indian Airlines, which h'aa been
pending for a number of years? We will hold discussions with the prime
minister and the finance minister to make the process more transparent.
Since 1989, when Rajlv Gandhi took the decision to buy A320, all sorts of
allegations have been made. Hence people develop cold feet while taking the
decision to acquire aircraft. We have to modify It. When will the future
direction of Delhi and Mumbai airport restructuring process become clearer?
The empowered group of ministers, who are meeting next week, will decide the
bid document and then the process will move forward. The Bangalore and
Hyderabad greenfleld airport projects have already been processed. Is there
a plan to develop greenfleld airports In pther states as well? Yes, places
like Pune and Goa have the potential for new airports. Besides, the existing
Juhu airport is being developed for helicopters and private planes, which
wlU facilitate their movement. The proposal for using helicopters within
Mumbai is also being actively considered.
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La société d'électronique pour le spatial et l'aéronautique Elta (17
millions d'euros de chiffre d'affaires en 2003) part à l'assaut de
l'américain Boeing. Leader mondial de la balise aéronautique de détresse,
l'entreprise compte déjà Airbus, ainsi que de nombreuses compagnies
aériennes, parmi ses clients. Avec un tiers de son chiffre d'affaires à
l'expert, Elta espère convaincre le constructeur américain et vient d'ouvrir
2 agences à Miami et Seattle. Basée à Blagnac, aux environs de Toulouse, la
filiale électronique de Technicatome bénéficie d'un accès privilégié à des
technologies à haut niveau de sûreté. Au-delà du spatial, elle a ouvert ses
compétences aux domaines de la défense et du ferroviaire, avec la
fabrication de calculateurs embarqués, ce qui lui a permis de faire face à
la crise du secteur aérien. Aujourd'hui, le nouveau directeur général d'Eha,
Jean-Christophe Gauthey, prévoit une montée en puissance de la société et un
plan de recrutement conséquent
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NEW DELHI, JUNE 26. India .mil Ulissia .ill; thinking in terms of inviting
China to become piirl of (heir plans lo develop a fiflh generation,
multi-role fighter aircraft, (hr outgoing Russian Ambassador w Indiii,
Alexander Kadakin, said today. In an inu'rview, Mr. Kadakm, an India veteran
who has done ihreL' ..lints in tincountry during his career, (old Ihi.s
correspondent: "We (Indin and Hussi.il are also lliinking or inviting China
for smil a huge Ilighteri project. It will be a machine of a iicw
generation, which will need a lo! of money and inteileciiial jnvcslineiil."
An agreement lo jointly develop such an aircraft was clinched between Russia
and India in Novcmbrr .'001. Mr. Kadiikin, who leaves for home on Inly 1,
contirilu'd lhal India and Russia were thinking in terms of' selling Ilic
Hrahmo.s missile in lliird couiiliirs. "Some Smilli-Easi Asian countries are
in- [erested. Also, yon know (hat llic Urahmos inisiiilf w'll he inducted
iilio the Indian Army and the Russian .11 mod forces. We have ;i Dig market
for thi-. ».l,i(C-ol-llif-.in missilt;. which is one of [lie hcst in llir
ivorld." Asked al)(«it lilt' delivery of Ilir rernicd ;iircrafl rarrici,
Gurslikov, a dr.il for whosi; [Hirchase was sigm'd bftwrrn tin; Hvo
iDiinnirs in lanu.ny. Mr. Kadakin, a tlucni I lindi s|n'.ikci'. sai<l Iliu
delivery would l.ikf |)lai-t; soinrlinie in 200(1. To a question whether
Russia had any plans lo send troops to Ira?) under (he new United Nations
Security Council (which Moscow voted (01), .he said the Russian President.
Vladimir Putin, had said very clearly that his country would never send its
troops to Iraq. "And, we do not rfcornmend our friends to send troops there.
The emergence of Iraqi nationhood, of rcaj Iraqi rule still has many
questions," he said. There is much talk of a strategic partnership between
nations these days, hut what does this mean for India and Russia in concrete
terms? "Strategic partners means that we support each other in our joint
vision of the world. We are aguinst a so-cslird unipolar world; we stand for
a mitltipol.-ir world. We me for political cooperation, we arc against
lerioiisin together." Mr. K.idakin said he did not know of .my two countries
thai cooperated in the military sphere as closely as India and Kussia. ""I
hen we have very big economic projects like |llie| Koodankulam Inuclear
power projeetl. All this covers strategic partnership. Strategic, in my
understandinK, is cooperation that will last for decades. It will
continiii.' despite tliv changes thai lake place in this couinrv, in Russia
or anywhere else." Does he expect any shift in emphasis finiTi the new
Government in India? "I iloii'i think so. nothing will change. In Rus-si.i
,ind India, there is a very strong national con- .sensus on the desirability
of having good relations. Whsilrvel government ciiincs lo power here or in
Russia, our bilalcr.il relations will conlinue to nourish." "The new
alliance that lias come to [lower has as its major component, the Indian
National CongreSsS; and the Nehru-dandhi family have been true pioneers of
Russian- Indian cooperation," lie said, adding llial while lie dealt with
the BIl'-led Government during his slim »s, Ambassador, (hey knew he had
been a "good friend" of the Congress. According to Mr. Kadakin, the previous
(lovcrnint'm gave "enough and sufficient attention" to relations with Russia
and referred lo the animal silluinils that had been taking place since 2000.
Describing Koodankiiliim as a "strategic pilot project for India,' llic
outgoing envoy said lie was hopeful thai ir-idc between the two countries
wouldl pick up next year when hard currency transactions would begin. What
is the principal memory lie carries back from New Delhi? "It's my second
hoine. I can't imagine life withoul India, Thai is (lie gic.ilest nit'niory
hut, of course, there arc so m.iny other memories, I remember inler.iciions
with Indini (.andlli. with Rajiv K.aiulliij. with Sonia Kiaiulhi]. I
remember their children when (hey were still smiill. I remember when former
1'riine Minister |Alal Itiharil Vajpayee was 1-oreign Minisler [in
the.Mor.irji Des;ii Government] ami In' spoke only I lindi. It was al the
time when my Hindi cninc very handy."
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Defense Daily 28 June 2004 By Calvin Biesecker After several weeks of
delays, two Israeli-built unmanned aerial vehicles (UAV) are now operating
in support of U.S. Border Patrol agents in Arizona as part of an enhanced
effort to clamp down on illegal trafficking of people and drugs from Mexico.
Flights of the 450 Hermes UAVs will last through the summer as part of the
Arizona Border Control Initiative, which was announced in March, the
Department of Homeland Security said on Friday. The use of the Hermes
systems mark the first non-military use of UAVs for border protection, DHS
said. "The development of UAVs in protecting the borders of the U.S.
demonstrates the commitment this administration has to testing new
technologies and systems to better secure America," Asa Hutchinson, under
secretary for Border and Transportation at DHS, said in a statement. The
single-engine Hermes aircraft are equipped with electro-optic sensors and
communications payloads, giving the Border Patrol greater real-time
surveillance capability and providing communications links for coordinating
multiple units on the ground in remote, desolate areas during operations at
day and night, DHS said. The Hermes system can fly autonomously but can be
redirected in-flight by a controller. Each aircraft has up to 20 hours of
flight endurance and will operate at around 9,500 feet with an 18,000-foot
ceiling. The cruising speed is 91 mph. The initiative, which includes
additional border patrol agents, four additional AStar 350 helicopters and
new sensor technology, is expected to cost over $10 million when it is
finished at the end of October. Israel's Elbit Systems makes the Hermes
while Eurocopter, a division of European Aeronautic Defence and Space Co.
(EADS), supplies the AStar.
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Singapore Airlines (SIA) inaugure l'itinéraire commercial le plus long dans
le monde, en lançant le premier service sans escale à emprunter la route
transpolaire entre New York et Singapour.
Les quelque 16 600 km (9 000 NM) qui séparent les aéroports de Singapour
Changi et de New York seront franchis en dix-huit heures, en moyenne. Ce
nouveau service permettra aux passagers de gagner environ quatre heures sur
leur temps de voyage.
Pour ce service vers New York, ainsi que pour le premier service sans escale
vers Los Angeles, que Singapore Airlines avait inauguré en février dernier,
la compagnie utilise des quadriréacteurs Airbus A340-500. Cet avion est déjà
exploité par les Emirats pour assurer des vols sans escale à destination de
l'Australie, depuis sa plate-forme aérienne de Dubaï.
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Britain's Royal Air Force may run on its fleet ofVC-10 tankers for several
more years than planned if it cannot agree to a deal with the EADS-led
AirTanker consortium to supply new Airbus A330 aircraft for the Future
Strategic Tanker Aircraft (FSTA) requirement. Defence Logistics Organisation
(DLO) officials here have talked with VC-10 maintenance provider BAE SYSTEMS
Customer Solutions & Support about extending their contract, the company
confirmed. "We are in discussion with the DLO about a fall-back position in
the short to medium term about sustainment of the VC-10 fleet," a BAE
spokesman said. The company signed a 206 million pound ($375.8 million) deal
with the DLO earlier this year to maintain the Royal Air Force's 19 VC-lOs
until the beginning of the next decade. One industry source said he thought
the move to extend the deal was a precautionary measure by the Ministry of
Defence in case it couldn't complete the 13 billion pound Private Finance
Initiative (PFI) deal with AirTanker. The existing FSTA schedule has the
last VC-10 out of service in 2011. The industry source said it was possible
they are talking about extending it between two and five years. The FSTA
deal's troubles emerged June 21, when the Financial Times published a leaked
June 10 letter from Defence Procurement Agency boss Sir Peter Spencer to
AirTanker, demanding revisions to cost and conditions. Spencer said he would
recommend scrapping the deal if his requirements were not met. Revised
proposals were delivered to the Defence Procurement Agency by AirTanker on
June 24. Now consortium executives wait nervously to see whether their new
proposals have met Spencer's requirements. The industry source said
AirTanker's proposals had not complied with PFI requirements when selected,
and they still had not resolved the issue satisfactorily prior to Spencer's
letter. The losing Boeing bid had not been compliant for the same reason, he
said. PFI status keeps the cost off the balance sheet at the MoD, a critical
requirement for the cashstrapped ministry. It also emerged last week that an
unsolicited bid by aircraft modifications specialist Marshall Aerospace to
supply Lockheed L1011 Tristar airliners converted to carry wingmounted
refueling pods had been rejected. The Royal Air Force already operates
Tristars
nectoco
Source: reuters du 29.06.2004
MOSCOU, 29 juin (Reuters) - Le constructeur russe d'avions de chasse Irkout
pourrait proceder cet automne a one emission d'actions nouvelles pour
permettre a EADS de prendre cinq a 10% de son capital, a-t-on appris mardi
d'une source du groupe russe. "Les discussions continuent et comme les deux
parties sont de grands groupes, il nous faudra peut-etre jusqu'a I'automne
pour emettre les actions nouvelles", a declare la source a Reuters avant
d'ajouter qu'lrkout, constructeur des chasseurs SoukhoT, etait pret a ceder
cinq a 10% de son capital a EADS. "Nous faisons cela a I'attention d'un
investisseur strategique, c'est a dire EADS (...) Nos dirigeants ne sont pas
disposes a ceder leurs propres titres. C'est la raison pour laquelle nous
émettrons des actions nouvel!es", a expliqué !a source.
nectoco
Source: Bloomberg du 29.06.2004
Airbus SAS, the world's biggest planemaker, said work on the planned A380
airliner won't be delayed by a court decision barring the extension of its
Hamburg factory's runway to accommodate the plane's freighter version. The
plant will outfit the interior of the 555-seat plane, which will become the
world's biggest airliner when it goes into service in 2006. Airbus is
already extending the runway by 16 percent to 2,684 meters (8,800 feet) for
the A380 passenger model and had sought to add another 589 meters to handle
the heavier freighter, Rolf Brandt, an Airbus spokesman, said. Hamburg's
administrative court agreed with local residents' opposition to the plan,
which would have required ripping out fruit-tree groves that are in the way,
and ruled against it, Rolf Gestefeld, president of Hamburg's higher
administrative court, said. Handelsblatt reported on the ruling in today's
edition. "This only affects plans for a runway extension for the freight
version," Gestefeld said in a phone interview. "It has nothing to do with
the passenger-version plans. Those can go ahead." The decision will
"definitely not" delay the A380's development, Brandt said in a phone
interview. Airbus said in a faxed statement that it plans to appeal the
decision.
nectoco
Singapore Airlines pourrait commander one trentaine d'avions neufs d'Ici un
mois ou deux, avec one option sur one vingtaine d'autres, a annonce mardi
son president, Koh Boon Hwee. Lors d'une interview a Reuters, il s'est
refuse a preciser si Boeing ou Airbus etaient favoris, meme si I'americain
pourrait avoir un avantage puisqu'il a fourni deja la plus grande partie de
la flotte de la compagnie. La commande, destinée auz court, moyen et long
courriers, comprendra "probablement" 25 a 30 appareils, plus des options, a
precise Koh. La compagnie possede 86 avions: 52 Boeing 777, 29 Boeing 747 et
cinq Airbus A340-500. Singapore compte devenir la premiere compagnie
mondiale a utiliser Ie nouvel Airbus A380 de 555 passagers au printemps
2006. "Tant Boeing qu'Airbus ont fait des propositions intéressantes, mais
je dirais quo la decision finale n'interviendra pas avant un mois ou deux",
explique Koh. L'offre de Boeing a la compagnie comprend Ie 7E7, de taille
moyenne, son premier avion entierement nouveau en dix ans. Celle d'Airbus
est constitute autour de la famille des A340.
nectoco
La formation comme outil de cohésion de la communauté Airbus, tel est le
projet d'Airbus en lançant l'AirBusiness Academy. En 1992, Airbus et
Rolls-Royce créent à Blagnac Euresas, organisme de formation aéronautique
destiné initialement au personnel des deux entreprises. Ce centre vient
d'être rebaptisé AirBusiness Academy (ABA), inauguré ce 18 Juin 2004 en
présence de Noel Forgeard, président d'Airbus. Simple changement de nom ?
Non, l'idée est bien de doter l'organisme de formation d'une nouvelle
identité, associée à une stratégie redéfinie, pour supporter Airbus et ses
partenaires dans leur croissance. En effet, Airbus est maintenant le premier
constructeur aéronautique civil . Pour se maintenir ä cette place, la
formation de son personnel doit étre ä la pointe tant au niveau technique
que managérial. De plus, avec ses 47000 employés répartis sur plusieurs
sites européens, la création d'une culture d'entreprise reste un enjeu de
taille pour Airbus. «ABA doit aider à centrer cette culture maison sur nos
valeurs que sont le produit et le client. L'enseignement de pratiques de
travail communes ne peut que développer un sens fort d'appartenance à une
même entreprise» , souligne Noël Forgeard. Et la difficulté s'étend
maintenant à la centaine de nouveaux coopérants de l'A380 qui doivent à leur
tour être initiés aux méthodes de travail d'Airbus, après, pour certains,
n'avoir parlé que le langage Boeing. ABA prévoit donc d'élargir l'origine
des 3000 stagiaires annuels vers les partenaires des nouveaux programmes
Airbus, les compagnies aériennes ou les autorités de certification. Avec la
création d'un centre de documentation, ses 8 formateurs à temps plein et 100
intervenants extérieurs, la création de 4 salles de cours supplémentaires et
de nouvelles collaborations avec des universités prestigieuses comme
Cranfield en Angleterre, l'organisme de formation prend un nouvel essor. Il
devient un véritable centre d'expertise aéronautique. «Notre nouveau nom
symbolise ces changements. Il permettra à nos clients de nous identifier
tout de suite. Et dans Air- Business Academy, Airbus est bien caché dans le
mot» conclut Paul Clark, directeur général d'ABA.
nectoco
Source: Seattle Times du 30.06.2004
Paris - Boeing Chairman Harry Stonecipher vowed in an interview with the
Financial Times yesterday to take unspecified action on European government
support for rival Airbus but said it was in no one's interest to start a
trade war. "Trade wars, as they go on and on and on, are not in anybody's
interest," Stonecipher told the London newspaper, denying that he wanted to
take a case to the World Trade Organization (WTO). "Probably Airbus' biggest
market is the U.S. market, so I don't think they want a trade case, and
neither do we." Still, Stonecipher, said he would act this year against the
alleged Airbus subsidies. European governments are financing nearly a third
of the cost of the Toulouse, France-based plane maker's new A380 superjumbo
jet. Airbus says the financing is in the form of repayable, market-rate
loans that conform with the terms of a 1992 trade agreement between the
United States and Europe. Airbus has also argued that Boeing receives
indirect subsidies for its commercial aerospace business through Pentagon
research-and-development money intended for its military programs.
Mitucci
> Boeing va passer & l'attaque sur le dossier des subventions accordées à
> l'industrie aéronautique. Le géant américain prendra dès cette année des
> mesures concrètes pour que son grand rival européen Airbus
La vache! Ils se pissent dessus de trouille les ricains là...
--
La Ligne par l'image
http://www.laligne.org
Mitucci par l'image
http://www.mitucci.com
nectoco
HELSINKI - Finnair will buy 12 new planes from Brazilian aircraft maker
Embraer in a deal worth some $320 million as Finland's national carrier
continues to renew its fleet. Finnair also said on Wednesday it has the
option to order an additional 8 planes. "The value of the firm order
aircraft on the basis of the manufacturer's listed price is approximately
$320 million," it said in a statement. The ordered 76-seat Embraer 170 jet
planes will replace Finnair's MD-80 fleet and ATR-72 turboprop aircrafts,
Finnair said. Deliveries will be made between September 2005 and May 2007.
"Shifting to a single aircraft type will bring significant savings in
operating costs," Finnair Chief Executive Keijo Suila said in the statement.
"At the same time fuel consumption will be cut by a third and air traffic
charges will decrease." The new aircraft will be used on some of F5-nnair's
domestic and European routes, the firm said
nectoco
SINGAPORE: Asian airlines recorded a 108 percent rise in international
passenger traffic in May from a year ago, confirming their full recovery
from the impact of SARS, an industry association said Tuesday. Globally, the
annual growth rate was 38 percent, the International Air Transport
Association said in a statement released by its regional office here
nectoco
Financial Times du 30.06.2004
From Mr David Soskin. Sir, I have always suspected that the bureaucrats in
Brussels live in their own world. European Commission spokesman Reijo
Kemppinen (Letters, June 28) confirms this. Mr Kemppinen writes that
"President Prodi's team has been the driving force behind the birth of
low-cost airlines". Really? I always thought that Herb Kelleher and Lamar
Muse, who together built up Southwest into the most successful airline in
history, and Michael O'Leary and Stelios Haji-Ioannou., who introduced cheap
flights to Europe, might have had something to do with it. Perhaps all these
gentlemen did was a little tidying-up?
nectoco
Source: La Tribune du 30.06.2004
La compagnie aérienne allemande Lufthansa et le groupe européen EADS
souhaitent créer une flotte commune spécialisée dans le transport militaire,
afin de répondre à un appel d'offres de l'Otan, a confirmé hier un
porte-parole de EADS en Allemagne, confirmant les informations révélées dans
le Financial limes Deutschland(FTD). Le montant du contrat de l'Alliance
atlantique, qui doit être fixé à l'automne, est estimé à 1 milliard d'euros,
selon le FTD. Dans ce contexte, les partenaires souhaitent constituer une
flotte qui pourrait compter jusqu'à six gros avions russes de transport de
type Antonov 124, et qui serait mise ä la disposition des pays européens de
l'Otan jusqu'à la fin 2012 au moins, a expliqué le porte-parole d'EADS. La
flotte peut s'enrichir de Béluga, l'avion-cargo géant d'Airbus, a-t-il
également précisé. Ces appareils pourront aussi étre utilisés dans le cadre
de vols civils. Lufthansa et EADS veulent créer ,o Béluga un Jo#-ven#e qui
permettra de faire la transition jusqu'à la mise en service du futur avion
de transport militaire européen A400M. Notons que EADS a récemment été
retenu par la Grande-Bretagne, qui a choisi les Airbus A330. Ces appareils
(avions ravitailleurs) seront mis à disposition de la Royal Air Force.
nectoco
BAE Systems, the giant defence contractor once known as British Aerospace,
is going to generate Clbn more cash in 2004 than it had led the market to
believe as recently as February. This was the breathless conclusion of Colin
Crook of UBS, the most highly respected analyst of the aerospace industry,
after he met BAE's management. It was a nugget of news too big and too
important to wait for the ponderous process of publishing a full investment
note on the company, so it was rushed out to Mr Crook's clients yesterday.
He wrote: "A combination of higher oil-related cash flows, lower Airbus
customer financing and a better prepayment flow will all contribute to this
performance." BAE has been holding Its dividend at 2002 levels because
profits have been poor since the economic downturn and attacks on 11
September 2001 sent the civil aviation industry into turmoil, and there have
been a string of high-profile disputes with the British Government, its main
customer on the defence side. Better cash flows, though, will be the key to
restarting dividend increases in 2005 or some bulls were suggesting
yesterday - perhaps even later this year. Investors are also hoping that BAE
will have news soon on orders for new Eurofighter Typhoon aircraft, while
they have also been cheered by an upbeat statement earlier in the week that
the company will develop a new computer for Boeing's Chinook helicopter. To
cap it all, ythe Famborough Air Show next month is set to be an upbeat
affair this year, celebrating stirrings of a rebound in the aerospace
industry. In very heavy trading, BAE shares were up 8.5p, more than 4 per
cent, to 218.75p, making them the best performer in the FTSE 100. The blue
chip index closed in the red, never fully recovering from the disappointment
of Wall Street's overnight slide. However, with the Dow Jones Industrial
Average some 60 points to the good when London dosed, thanks to strong
consumer confidence numbers, the FTSE 100 ended just 6.3 lower at 4,512.4.
Despite those confidence figures, there were fears over the health of the US
consumer economy, and in particular the outlook for the mortgage market
given soon-to-be-rising interest rates. Washington Mutual a mortgage bank
from the same region as Royal Bank of Scotland's US businesses, issued a
profits warning overnight, citing higher rates, and BBS shares ended down
17p to 1,617p. Meanwhile, the cooling UK housing market, as suggested by the
latest Nationwide figures, sent HBOS, the owner of the UK's biggest mortgage
lender the Halifax, down lip to 690p. Man Group, the hedge fund manager,
ended as the worst blue-chip performer, down 41p at l,459p as investors
sweated over the financial stability of the industry Most hedge funds take
on a lot of debt, and the worry is that returns could fall substantially as
a result of higher interest rates. The doomsters even predict some funds
will fail, and the structure of the industry - where a lot of the investment
trlcMes down through "funds of funds" such as those operated by Man - is
such that one significant failure could create difficulties for many more.
Man says these fears are overdone but, what with its main funds losing money
over recent months, investors are not backing the company at the moment. Its
shares peaked at l,856p back in April, Mining stocks were also out of
favour, after figures showed rising stockpiles of copper. These suggested
the deficit of supply compared to demand may be easing and sent metals
prices lower. Anglo American came off worst, its shares down 19p at 1,138p.
Antotagasta was 14p lower at 951.5p, and Rio Tinto dipped 15p in 1,321y.
LogicaCMG fell 4.75p to 180p on talk of poor trading at its German business
and disappointing take-up of its new generation of mobile phone network
software. Investors were suyping on pubs and brewers shares after a little
tiddler from the sector, Pubs 'n' Bars, reminded the market that Euro 2004
and the nice weather has brought people out for a drink. Pubs 'n' Bars
itself was up a penny at 43p, but there were bigger gains for the biggest
landlords: Enterprise Inns was 15.5p better at 580p and Mitchells & Butlers
was up 8p to a record 279.5p. Greene King, the Bury St Edmunds brewer, was
Z2.5p frotMer at 970.5p while Belbaven of Scotland rose 4p to 475.5p on
chatter that recent sales have been 14 per cent ahead of budget. There was a
boardroom coup at Zytronic, the touch screen technology group. John Kenmair
is taking over as chief executive after complaining that lan Lawson, the
previous incumbent, is standing in the way of efficiency improvements.
Rather than looking ahead to the improved profitability promised by Mr
Kenmair, investors reckoned that the board were prompted to make the
reshuffle after seeing some poor internal figures. Zytronic shares fell 3p
to 53.5p.
nectoco
Le constat est unanime : les armées européennes, dans le cadre des
interventions menées sur des théâtres d'opérations éloignés, sont
handicapées par le manque d'hélicoptères lourds, aptes à transporter sur de
longues distances des charges importantes. Conscient du problème, le groupe
Eurocopter avait lancé il y a quatre ans un programme de développement avec
la firme russe Mil, qui produit les plus gros engins du monde. Mats ce
projet, dénommé MI-38, n'a débouché sur aucun résultat tangible. En
conséquence Eurocopter a décidé d'étudier un nouvel appareil, le HTH (Heavy
Transport Helicopter, hélicoptère de transport lourd). Selon des sources
proches du dossier, celui-ci, un engin trimoteur, pourra emporter une charge
de 10 à 13 tonnes ou 70 soldats sur une distance de 1 200 kilomètres. Une
innovation importante pour le groupe qui, souligne-t-on au siège de
Marignane, « n'a jamais développé un très gros hélicoptère ». Mais le jeu en
vaut la chandelle. Car les armées de l'Otan sont équipées d'appareils
Sikorsky CH-53 ou Boeing CH- 47 Chinook, de conception américaine, dont la
mise en service remonte à la guerre du Vietnam. En dépit des multiples
opérations de « rétrofit », ils seront bient6t atteints par la limite d'üge.
Un marché existe donc de part et d'autre de l'Atlantique. Selon un rapport
indépendant d'experts internationaux, les besoins sur le seul marché
européen d'une machine de ce type seraient de 200 à 220 unités à l'horizon
2015. Outre la France, qui ne dispose pas d'appareils lourds, l'Allemagne
veut remplacer à cette date ses CH-53G. Déjà la Délégation générale pour
l'armement et des militaires de l'armée de terre allemande auraient défini
les contours de ce que devra être le futur appareil. Mais ce projet est trop
vaste pour être seulement porté par Eurocopter. Le leader mondial du secteur
envisagerait donc, plutôt que de développer seul un engin de ce type à un
coût prohibitif, de fédérer Américains et Européens autour du projet. Les
pistes de l'italien Agusta-Westland et de l'américain Sikorsky - qui étudie
lui aussi un projet de ce type - seraient envisagées. Dans cette hypothèse,
Eurocopter serait gagnant sur tous les tableaux. La société enrichirait sa
gamme du seul produit lui faisant encore défaut et, par le biais d'une
coopération transatlantique, pourrait peut-être s'ouvrir les portes du
marché militaire américain, tout en partageant les coûts de recherche et
développement. Car il faudra encore compter avec les traditionnelles
contraintes budgétaires. Eurocopter, qui a demandé des crédits au ministère
allemand de la Recherche et du Développement, se heurte outre-Rhin à des
réticences. Toutefois, certains parlementaires allemands, issus des partis
Vert et socialiste, envisageraient une solution. Arguant des difficultés
techniques de l'avion de combat Eurofighter, ils demanderaient au ministre
allemand de la Défense, Péter Struck, de réduire la commande des tranches 2
et 3 de l'avion de combat, la portant de 180 appareils à 150, afin de
financer le futur hélicoptère lourd.
nectoco
Source: International Herald Tribune du 30.06.2004
Edward Aldridge's storied career exemplifies the dizzying spins of the
revolving door between the Pentagon and its military contractors. He has
been secretary of the air force, president of McDonnell Douglas and, most
recently, an under secretary of defense. Now he is a member of the Lockheed
Martin board, a detail that did not prevent him from, being named to head
President George W. Bush's commission on space exploration. Lockheed is one
of NASA's biggest contractors, and only Senator John McCain, Republican of
Arizona, objected and called for Aldridge's removal, complaining of conflict
of interest. But Aldridge, who receives $155,000 a year from Lockheed and
owns $115,000 of company stock, stayed put. Last month, the commission
called for privatizing much of NASA. One of the biggest potential
beneficiaries is United Space Alliance, a Lockheed company that operates the
space shuttle and does more business with NASA than any other contractor.
Aldridge brushes off criticism of his roles, saying that his actions are in
compliance with ethics laws. "It doesn't bother me, and I don't give it any
credibility," he said in a telephone interview. "The space commission's
agenda is for the next 50 years. We didn't get into any issues on who will
be bidding on contracts down the road. We just want to create a vision for
success and what is right for NASA." For years, the revolving door between
the Pentagon and military contractors has spun without much notice in
Washington. But the multiple roles played by top Pentagon and government
officials, like Aldridge, who have joined the ranks of military contractors
as executives, board members and lobbyists, have come under closer scrutiny
since a top air force official negotiated a lucrative job contract with
Boeing while still overseeing Boeing business. This is not the first time
Aldridge's actions have raised eyebrows. Last year, in the month before he
left the Pentagon for Lockheed's board, Aldridge approved a $3 billion
contract to build 20 Lockheed F/A-22s after having long criticized the
program as overpriced and threatening to cancel it. While the number of
people who make such transitions is not tracked by the government, the
Project on Government Oversight, a Washington nonprofit group that studies
military spending, was to issue a report on Tuesday showing that 288 top
government officials since 1997 have taken positions at the 20 largest U.S.
military contractors at levels high enough that they were disclosed in
federal regulatory filings. The infusion at such firms as Lockheed, Boeing,
Northrop Grumman and Raytheon makes it hard "to determine where the
government stops and the private sector begins," the report states. On
Capitol Hill, McCain, who heads the Senate Commerce Committee, will hold
hearings soon on the Pentagon's revolving door, the first on the subject in
nearly a dozen years. Senator Robert Byrd, Democrat of West Virginia, tried
to insert a provision into the 2005 Pentagon spending bill last week to
tighten ethics laws, but his effort met stiff opposition. "The potential for
abuse is enormous," Byrd said. Under current law, government officials who
make contracting decisions must either wait a year before joining a military
contractor or, if they want to switch immediately, start in an affiliate or
division unrelated to their government work. One big loophole is that these
restrictions do not apply to many high-level policy makers, like Aldridge,
who can join corporations or their boards without waiting. Byrd's proposal
would have extended the waiting period to two years and made it apply to
many policy makers like Aldridge. The proposal would also have eliminated
the provision exempting government employees from the waiting period if
their new job were in a division unrelated to their government work. Even
the Bush administration, which has been criticized for its close ties to
corporate America, is siding with some of the critics. Defense Secretary
Donald Rumsfeld has called for the Pentagon general counsel's office to look
into the rules governing negotiations between top-level government officials
and contractors who might want to hire them. This year the White House
issued an executive order making it more difficult for senior administration
officials seeking employment with government contractors to get waivers
exempting them from many of the ethics rules as they negotiated their
post-government jobs. The steady march along the Potomac from the Pentagon
to military contractors has its defenders. Steven Kelman, a professor at the
Kennedy School of Government at Harvard, said the revolving door enabled
hard-working government employees to accept low wages, if they knew there
was a future benefit. "Given the lower salaries in government for senior
people," said Kelman, who also works for Accenture as a lobbyist promoting
closer links between The potential for conflict of interest is attracting
some scrutiny, but not without resistance. business and government, "if you
prevented them from having careers after they left government in the area
where they worked, it would be harder to recruit and retain civil servants."
Like baseball teams vying for superstars, top military contractors can each
boast of their generals, admirals and Pentagon civilian brass. For instance,
Lockheed lays claim to General Joseph Ralston, former vice chairman of the
Joint Chiefs of Staff. Boeing has General John Shalikashvili, the former
chairman of the Joint Chiefs of Staff, who is a member of the boards of
other military contractors. Boeing also has Rudy del.eon, former deputy
secretary of defense. To some, this is all for the better. "Personally, I'm
offended by the criticism," said Thomas Jurkowsky, a Lockheed spokesman and
a former rear admiral and chief of naval information. "I interpret it as
someone questioning my integrity. At Lockheed, there are ethics policies and
rules in place, and certainly they are more than sufficient. People know
what is right and what is wrong." The opposition to Byrd's efforts shows how
hard it will be for him to tighten existing rules. "We don't want to make
people unemployable in whole industries," said Alan Chvotkin, general
counsel of the Professional Services Council, a trade group representing
government contractors. Moreover, the revolving door does not just go in one
direction, adding another potential area of conflict. A study by the World
Policy Institute, a nonprofit research group at the New School, found that
the Bush administration in its first year and a half in office named 32
appointees who were former executives, paid consultants or major
shareholders of top military contractors to top policy-making positions.
"There's a danger when you have too many folks from the corporate world
advising you," said William Hartung, the author of the study. "It can lead
to inbred decision making that is pro-corporate and anti-taxpayer." The New
York 'nines
nectoco
C-27J Makers Eager To Step In cancellation of contanche Raises
Pinnteccanica's Hopes
nectoco
Roland
Defense News du 29.06.2004
C-27J Makers Eager To Step In cancellation of contanche Raises
Pinnteccanica's Hopes
TOM KINGTON Defense News 29 June 2004 Finmeccanica managers are optimistic
that the next 18 months will bring a change in fortunes for the C-27J
tactical transport, the aircraft the Rome-based group develops and markets
in partnership with U.S. defense giant Lockheed Martin. The 10-metric ton
turboprop aircraft, produced by Finmeccanica unit Alenia Aeronautica, has
won orders in Italy and Greece, but so far has struggled to break into key
markets such as the United States. The cancellation of the U.S. Army's
Comanche armed reconnaissance helicopter program, however, is seen by
company officials as potentially freeing up more funds for a tactical
transport purchase by the U.S. Army, while Canada is eyeing the C-27J to
fill a search-and-rescue role. Finmeccanica CEO Pierfran-cesco Guarguaglini
has spoken of the need for the Italian group to find gaps to exploit in the
U.S. market, and to find U.S. partners to help them do so. With both the
C-27J and the US101 helicopter, Guarguaglini thinks he has found those gaps.
Lockheed Martin is its partner on both projects. Ottawa wants 15 aircraft
delivered within 18 months of contract signing. In this contest, the C-27J
is up against the EADS CASA C-295. Officials at Madrid-based EADS CASA have
said they suspect the Canadian military is seeking to skew the tendering
procedure in favor of the C-27J by focusing on speed. The ()-27J flies at
325 knots per hour vs. the ()-295's 260 knots. Canadian Air Force Col. Pat
Dowsett, manager of air mobility projects, has denied that the program is
rigged in favor of the C-27J. He said the aircraft eventually selected for
the program will be required to meet specific speed, maneuverability, range
and load-carrying requirements that are based on the Canadian military's 35
years of conducting search-and-rescue missions. The ()-295 previously
defeated the ()-27J in a Brazilian contest. And tnrhere Alenia had sought to
insert its aircraft into the U.S. Coast Guard Deepwater fleet modernization
project, another EADS CASA aircraft, the CN-235, was preselected. Marketing
Strategy While EADS CASA had been helped in bids by its price - around $22
million per plane vs. $25 million for the Italian product - Alenia now has
cut its price to around $22 million. The two aircraft likely will compete
again in the U.S. Future Cargo Airplane (FCA) program, which envisages 128
new aircraft for the Army and Army National Guard. An Alenia source said the
C- 27J could be helped by previous marketing work carried out with the
National Guard, which requires 44 aircraft and is set to have its
requirement rolled in with the Army's on the FCA program. A second Alenia
source said that the combined value of the contracts for the 15 Canadian
aircraft, likely to be signed in 2005, and the first 37 FCAs, likely to be
signed in 2006, would be worth around $2.5 billion. Finmeccanica aims to
build its total aerospace and defense annual revenue to 10 billion euros
($12.1 billion) by 2006-7. The potential Canadian and U.S. sales compare
with the 297 million euros for the 12 C-27Js sold to Greece in 2003 and the
542 million euros paid for 52 better equipped ()-27Js bought by Italy in
2002 and 2003, a deal which included five years of spare parts and
logistics. Partner Dynamics The first Alenia source indicated that with the
new opportunity in the United States, partner Lockheed Martin had become
more strongly committed to the aircraft. Last year, Lockheed sought more of
a subcontractor role to Alenia, which in turn was to take over more
marketing and construction responsibility for the aircraft. Under that deal,
Lockheed Martin ceded to Alenia the marketing responsibility for the C-27J
for most countries outside the United States. Alenia also was seeking to
take over procurement negotiations with Rolls-Royce for the aircraft's
AE2100-D2 engine in order to push costs down. The source said, however, that
the takeover of procurement talks had yet to occur. The ()-27J shares the
sante engine and avionics as Lockheed's ()-530J, and its structure is based
on the G222 transport. While Alenia declined to reveal development costs, a
source said these two factors kept spending relatively low. Outside North
America, Alenia will look to enter the C-27J in tenders it expects to be
launched in Portugal and Australia, and is in talks to sell the aircraft in
Eastern Europe, the source said. David Pugliese contributed to this report
from Victoria, British Columbia.
nectoco
Source: reuters du 29.06.2004
MOSCOU - Un satellite de telecommunication americain n'est pas parvenu a
atteindre son orbite apres avoir ete lance depuis one base maritime, a
annonce mardi la mission de controle russe. "Une fusäe d'appoint qui devait
assurer le placement definitif du satellite sur orbite a ete deconnectee car
elle ne fonctionnait pas correctement", a-t-elle precise dans un communique.
Selon les experts, Ie satellite, qui se situe sur one orbite plus proche de
la Terre que prevu devrait pouvoir rejoindre celle qui lui etait
initialement assignee en utilisant sa propre force motrice. Le satellite
Telstar-18 a ete lance de la base de lancement maritime Sea Launch dont
I'exploitation est assuree par Boeing , le russe RSC Energia, le norvegien
Kvaerner et I'ukrainien louzhnoe.
nectoco
aerospace industry. Although European, national and regional aids to the
European industry only approximately represent ? 1.3Bn, one quarter of the
US budget, Europe's aerospace industry is currently proving its success.
According to Hans Pohl, Research coordinator at Airbus Germany, the key to
this success are the links between support programs at universities and at
national and European levels, networking and the support of new innovative
technologies.
Czerwensky Intern (28/06)
Steph
> Deux Eurofighters de la Royal Air Force ont quitté la
> Grande-Bretagne le 27 juin pour rejoindre Singapour.
> Les avions ont décollé du terrain de BAE Systems, à Warton, à
> 10h13, heure locale. Ces deux appareils seront déployés en Asie du
> Sud-Est pour une évaluation qui devrait durer deux semaines
> environ. Ces avions ont été retenus pour la phase finale du
> programme qui verra le remplacement des chasseurs actuels du pays
> par des avions de nouvelle génération.
Ils arrivent un peu après la bataille quand même ... Ca fait déjà un
moment que les démos des autres concurrents ont eu lieu.
Croisons les doigts pour notre Rafale.
nectoco
a planned 2009 delivery date, the head of the ? 19.6Bn program Adolfo
Revuelta said in denial of speculations that there were delays in building
the new turboprop engine. "We are progressing at the required speed. We have
contract milestones which are being met", he said.
Defense News (29/06)
nectoco
budget commission of the Bundestag. An international contract for the
project between Germany, Great Britain, Spain and Italy , expected for
within a few weeks, continues to be a precondition for the approval however.
When the international contract is signed, Tranche2 of the Eurofighter
project will be approved at a special session of the Bundestag.
Süddeutsche Zeitung (29/06)
nectoco
German Bundestag secures second Eurofighter tranche
EADS welcomes the decision of the Budget and Defence Committee of the German
Bundestag to secure the procurement of the second Eurofighter tranche.
"This is a breakthrough for Germany!" commented Thomas Enders, Head of DS,
which is responsible for the Eurofighter programme in Germany. "This will
make it possible to conclude the contract before the Summer break and thus
avoid an interruption in the production."
nectoco
Source: reuters du : 30.06.2004
Airbus parent company EADS said on Wednesday that it was not interested in
merging with its two key European space rivals. "The conclusion we have
reached is that, even if there would be some advantages, in fact these would
be completely destroyed by the reluctance (of European governments) to deal
with a European monopoly," Francois Auque, chief executive at EADS Space,
told reporters. European space companies Alcatel of France and Italy's
Finmeccanica earlier this month agreed to form two space related joint
ventures in a step towards a possible merger of their space operations. "Our
commitment to the board is to be back to black in the 2004 accounts," Auque
said
nectoco
Etihad Airways, Abu Dhabi's first national airline, is talking to Airbus SAS
and Boeing Co. about buying about 38 aircraft and may announce an order next
month at the U.K.'s Farnborough air show, a spokesman for the company said.
The carrier, owned by the government and started in November, is looking to
acquire Airbus A330- and A340-model planes, as well as Boeing 777 and 7E7
aircraft, as it seeks to more that quadruple its fleet to 50 by the end of
2008, said spokesman Richard Bate by telephone from the Persian Gulf
emirate. ''The carrier was set up to improve connections between Abu Dhabi,
the capital of the United Arab Emirates, and the rest of the world'' as well
as offer transit services between the Middle East, Europe and Asia, Bate
said. Airbus and Boeing are competing to be the world's largest maker of
passenger aircraft with more than 100 seats, after the European company
overtook its Chicago-based rival in plane deliveries for the first time last
year. Abu Dhabi is the Middle East's fifth-largest oil producer. Etihad
operates a fleet of six aircraft, four of them leased, second-hand A330
wide-body planes. Bate said. ''The A330 is and will be the backbone of our
fleet,'' he said. The airline plans to lease four more planes this year, and
has ordered two more, all of them A330s, for 2005, Bate said. Etihad, which
means union in Arabic, flies to eight destinations, including London,
Geneva, Bangkok and Colombo, and plans to add destinations in North and
South America, China and Japan starting next year. Bate said.
nectoco
EADS a décidément le vent en poupe ces derniers temps. II ne se passe plus
une semaine sans que le titre atteigne de nouveaux sommets. Mardi, en
seance, le cours de l'action est monte jusquä 23,45 euros, son plus haut
niveau depuis trois ans. Indeniablement, le parcours boursier du geant
aeronautique est assez remarquable. Avec une hausse de plus de 21 %, EADS
enregistre la quatrieme meilleure performance du CAC 40 depuis le debut de
l'annee, mais sur un an, l'action affiche la plus forte progression de
l'indice parisien (+118 %). Un parcours inespéré 1'an dernier encore, alors
que le transport aérien mondial peinait ä sortir du marasme dans iequel il
était plongé depuis septembre 2001. La tendance haussiere s'est
veritablement accentuee il y a dix jours, ä la suite d'une rencontre entre
le groupe et des investisseurs. Depuis, les intermédiaires ont, en grande
majorite, revu ä la hausse seit leurs recommandations, seit leurs objectifs
de cours, seit leurs previsions. Dexia Securities, CAI Cheuvreux, Deutsche
Bank, Exane, UBS, et plus recemment ING et Lehman Brothers, ont fait part de
leur optimisme sur les perspectives du groupe et le cours de l'action. Pour
ces derniers, le titre est en bonne voie pour depasser son plus haut
historique de 24,9 euros (atteint en novembre 2000). Certains comme Lehman
Brothers estiment que le cours peut atteindre 28 euros. Les raisons de cet
optimisme ne manquent pas. Outre la reniontee du dollar, EADS, qui na eu de
cesse de se renforcer depuis deux ans dans le militaire, beneficie desormais
de perspectives interessantes dans le civil. Sa Filiale Airbus, qui a livre
128 appareils sur les cinq premiers mois de 1'année, a requ d'importantes
commandes, notamment de la part de JetBlue et de Virgin America. Dans
l'ensemble, le trafic aerien, qui a crü de plus de 19 % entre janvier et mai
(selon l'Iata), est porteur d'espoirs. De sorte que certains intermédiaires
ont change leurs previsions de livraisons pour les annees ä venir. A 1'image
de Deutsche Bank, Exane, Societe Generale ou Lehman Brothers, Dexia
indiquait h semaine derniére tabler désormais un maximum de 310 livraisons
cette annee et de 335 ä 350 livraisons sur 2005. & G-9. Le groupe en passe
de prendre une participation au capital de Irkout Le constructeur d'avions
de chasse et le geant europeen de l'aeronautique poursuivent leurs
negociations en vue d'une entree d'EADS au capital du groupe russe, avancait
hier ce dernier. Préalsblement, une déosion doit étre prise au niveau
gouvernemental, a precise une porte-parole d'lrkout. Quand la decision sera
prise, « Irkout pourrait proceder ä une Emission supplementäre d'actions et
Vadim Vlassov (le President d'EADS Russie) pourra entrer au conseil
d'administration d'lrkout», a-t-elle indique. De son cöte, EADS n'a jamais
cache son interet pour une teile Operation et avait precedemment precise
qu'il serait Interesse pour prendre 10 °A du capital du groupe russe. Les
deux entreprises cooperent dejä ä plusieurs niveaux, notamment pour h vente
de 1'appareil amphibie Bezoo, la maintenance d'hélicoptéres en Russie, et
ils ont des projets de sous-traitance de certaines piéces pour Airbus.
nectoco
BAE Systems' acquisition-hungry Nortia American division said yesterday it
had agreed tm buy a small unit of US riwal Boeing which makes avionics and
other electronics for almost all of Boeing's commercial aircraft. Terms were
not disclos'ed. Boeing has been seekimg to shed smaller manufacturing
businesses and focus insttcad on large aerospace systems and assembling big,
complicated projects. BAE, on the other hand, has been buying up a number of
high-end aerospace electronics businesses in the US, and has emerged as a
leading supplier of sub-systems to military and commercial aircraft makers.
nectoco
SEATTLE - Boeing a annoncé vendredi la vente de sa filiale d'electronique
civile embarquee a BAE Systems, one operation dont Ie groupe americain n'a
pas donne fe montant et qu'il compte clore au troisieme trimestre. Cette
filiale, basee a Irving (Texas), fournit de I'avionique et des systemes de
controle de vol a la plupart des aviona Boeing., BAE coneervera ies 600
personnes qul travai!!ent au Texas mais il est peu probable que Ie groupe
britannique d'aeronautique et de defense fasse de meme avec I'ensemble des
quelque 200 personnes de la filiale qui travaillent dans I'Etat de
Washington, a bit James Scanlon, president de la division solutions de
plate-formes de BAE. Boeing, base a Chicago, a entrepris un recentrage sur
la conception et la construction d'avions et cede des operations de
fabrication de second ordre. L'accord de cession comporte one clause en
vertu de laquelle Boeing s'engage a poursuivre ses achats d'equipements a
BAE pendant huit ans. BAE est considere comme un "fournisseur
nord-americain" par Ie gouvernement americain, a precise Scanlon. "BAE
Systems entend poursuivre sa croissance sur Ie marche americain. Pour one
bonne part, cette strategic de croissance consiste a rechercher sans cesse
des acquisitions strategiques telies que celle que nous annongons
aujourd'hui", a-t-il dit
nectoco
Source: Agence France Presse du 30.06.2004
EADS Socata, filiale du groupe aéronautique européen spécialisée dans
l'aviation générale, a fêté mercredi à son siège tarbais !a sortie du 300e
exemplaire de son appareil vedette, le TBM 700, a indiqué la société dans un
communiqué. Le TBM 700, premier monoturbopropulseur pressurisé a été lancé
en 1987 en partenariat avec le constructeur américain Mooney pour remplacer
les bimoteurs à piston qui constituaient alors l'entrée de gamme de
l'aviation d'affaires. La première livraison a eu lieu en octobre 1990. 34
exemplaires ont été livrés en 2003. Pour s'imposer sur le marché américain,
où elle réalise 70% des ventes de TBM 700, la Socata s'était appuyée sur le
bureau d'études d'Aérospatiale à Toulouse pour sortir l'avion le plus rapide
de sa catégorie (300 noeuds soit 555 km/h) en croisière avec six personnes à
bord, Suivant le mode d'exploitation, son rayon d'action est compris entre
1.315 milles nautiques (2.435 km) et 3 .565 Nm (2.900 km). Selon la
direction, il eet doté d'équipements avioniques offrant "le même niveau
d'information que celui du plus récent des Airbus". Socata a réalisé un
chiffre d'affaires de 163 millions d'euros en 2003 avec un effectif de 1.080
personnes au 1 er janvier 2004, contre 194,6 M EUR en 2002, un recul dû à un
repli des ventes d'aérostructures lié à la conjoncture aéronautique. La
production d'avions représente ainsi environ 55% du chiffres d'affaires en
2003 contre 45% dans la fabrication d'aérostructures (qui pesaient 50% en
2002), a précisé un porte-parole. EADS Socata mise sur un rebond de cette
activité après avoir été retenu pour la structure inférieure de la pointe
avant et les trappes de train du futur A380, pour des éléments de structures
du jet d'affaires Falcon 7 X de Dassault, ou du futur avion de transport
militaire A400M. La société fournit déjä des éléments de structures au jet
brésilien Embraer ERJ170/190 et les cellules des hélicoptères Eurocopter de
la famille EC350/355 Ecureuil et EG33O. Elle est le premier employeur
industriel à Tarbes depuis les réductions d'emplois engagées chez Giat
Industries et Alstom. "Nous comptons maintenir ' notre effectif ä ce
niveau", a précisé le porte-parole.
nectoco
Finnair commande douze Embraer 170 pour 320 M USD (265 M EUR)
Source: Agence France Presse du 30.06.2004
La compagnie aérienne finlandaise Finnair a commandé douze appareils Embraer
170 de 76 places pour un montant de 265 millions d'euros, a-t-elle annoncé
mercredi dans un communiqué. Finnair a également pris une option sur 8
autres appareils du constructeur brésilien. Les Embraer 170, de 76 sièges et
d'une portée de 3.300 km, remplaceront les MD-80 et ATR-72 vieillissants de
la compagnie finlandaise et seront utilisés sur les liaisons intérieures ou
européennes peu fréquentées pour lesquelles ses Airbus A320 sont
surdimensionnés. "Passer à un seul type d'appareil (au lieu de deux) va
permettre des économies de coûts significatives. De même, la consommation de
carburant sera réduite d'un tiers, et les taxes d'aéroport vont baisser", a
commenté Keijo Suila, te directeur général de Finnair. Les nouveaux
appareils seront livrés en 2005 et 2006, a précisé la compagnie
nectoco
A trois semaines de l'ouverture du Salon international de Farnborough, qui
réunira la fine fleur de l'aéronautique mondiale, les industriels
britanniques entrevoient le bout du tunnel. Ils en ont bien besoin après la
purge sans précédent qu'ils se sont imposée. La crise du transport aérien
qui a suivi les attaques du World Trade Center a fait des dégâts : même si
des effets de périmètre ont pu jouer, 40000 emplois directs au bas mot ont
disparu entre 2001 et 2002 dans l'industrie aéronautique britannique. Soit
un recul de plus de 20 %. Le nettoyage a été particulièrement « saignant »
pour les personnels de production dont l'effectif a plongé de 30 %. Quant au
chiffre d'affaires des entreprises du secteur, il a chuté de 15% à 24,6
milliards d'euros... revenant aux niveaux de 1997. «Une période
particulièrement dure, même si, en 2003, le chiffre d'affaires est remonté»,
résume Keith Hayward, directeur des affaires économiques de la Society of
British Aerospace Companies (SBAC), qui regroupe les 3000 entreprises du
secteur. Les PME ont naturellement pris de plein fouet ce choc. Mais les
ténors de l'aéronautique britannique n'ont pas échappé au grand lessivage.
Ainsi, Rolls Royce, le champion anglais des moteurs a accusé un plongeon de
11% de son chiffre d'affaires entre 2001 et 2003, tandis que les livraisons
de moteurs pour avions civils sont cassées de 1362 en 2001 à 746 en 2003.
Presque moitié moins... «Nous n'avons stabilisé ta situation qu'à partir de
2003 et nous avons dû supprimer environ 20 % des emplois», se souvient Péter
Barnes-Wallis, membre du comité directeur du groupe et son porte-parole.
L'autre champion «british», BAE Systems, a subi un recul de 7,6% de son
chiffre d'affaires entre 2001 e1 2002. Quant aux ventes de Smiths Aerospace,
spécialiste des systèmes électroniques embarqués, elles se sont érodées de
12,4% entre 2001 et 2003. Une situation d'autant plus préoccupante que
l'aéronautique britannique fait partie des deux ou trois industries clés de
la «fière Albion». A tel point qu'elle a fait l'objet d'un rapport officiel
rédigé par l'Aerospace Innovation & Growth Team (AIGT), un collectif
d'industriels, syndicalistes, experts et consultants, qui ont planche sur
l'avenir de ce secteur. Remis à l'été 2003 au gouvernement, ce rapport
rappelait que l'aéronautique britannique se classe à la seconde place
mondiale derrière les Américains (en chiffre d'affaires) et qu'elle
contribue à 7% des exportations du Royaume-Uni. Faire face à des programmes
moins importants et qui se raréfient Mais visiblement, elie a mangé son pain
blanc. Les belles années sont révolues, celles où les contrats militaires
américains tombaient comme des petits pains. «Il fut un temps où les
fournisseurs britanniques n'avaient qu'à s'asseoir à la table et attendre
leur tour pour emporter un morceau de tel ou tel programme américain)»,
explique Simon Luxmore, le nouveau directeur général de Messier Dowty
(groupe Snecma), qui a longtemps dirigé la filiale anglaise du iabricant de
trains d'atterrissage. Ces contrats jouaient le rôle classique de
compensation, en échange d'achats de matériels américains. Désormais, les
programmes se sont raréfiés et sont de moindre ampleur. Les Américains ont
tendance à privilégier leurs compatriotes... Et les fournisseurs
d'outre-Manche n'ont pas toujours fait les efforts de productivité
suffisants pour rester compétitifs. «Aujourd'hui, les entreprises du
Royaume-Uni doivent se battre pour gagner de nouveaux programmes», ajoute
Simon Luxmore. Le militaire est traditionnellement stratégique pour les
fournisseurs anglais. Mais ce qui fut une force est devenu fragilisant.
D'autant qu'en Europe, les pressions contre les dérives de coûts et pour
l'étalement des programmes se multiplient. Le Ministry of Défense (MoD) a
récemment fustigé les surcoûts de l'Eurofighter, projet dans lequel BAE
Systems et bien d'autres sont impliqués. Au point d'envisager une réduction
du nombre d'avions qui seront achetés. « II y a actuellement des pressions
incroyables sur les budgets européens», confirme Alan Cook, directeur
général de Cobham, leader mondial des systèmes de ravitaillement en vol. Il
est bien placé pour le savoir, puisque Cobham fait partie du consortium Air
Tanker qui négocie, avec difficulté, les termes financiers d'un mégacontrat
pour rénover la flotte des ravitailleurs de la Royal Air Force. Autre point
de faiblesse : la trop forte dépendance vis-à-vis de Boeing dans le domaine
civil. Tant que l'avionneur de Seattle dominait le monde, tout allait bien.
Mais depuis qu'Airbus a repris le leadership, les industriels britanniques
paient cash le fait d'avoir, pour certains, quelque peu négligé de s'y
accrocher. On peut toutefois penser que le lancement du 7E7 de Boeing
profitera à plein aux fournisseurs du Royaume-Uni. Il n'empêche. Même si les
ailes des Airbus sont fabriquées au Royaume-Uni, ce pays n'est plus un
centre majeur d'assemblage puisqu'il ne fabrique plus aucun avion civil
depuis qu'en 2001, BAE Systems a stoppé la production de son avion régional.
Mais les britanniques n'ont pas baissé les bras. Loin s'en faut ! Primo,
même si les débouchés militaires sont plus risqués, plus aléatoires et moins
juteux qu'avant, ils ont fermement décidé de garder ce cap. De même, la
carte du grand large, politique traditionnelle de l'autre côté de la Manche,
reste de mise. Par les temps qui courent, l'équation «Défense + Etats-Unis»;
peut constituer un double atout. «Le MoD est un client plus actif qu'en
France. Il a une approche qui favorise les équipementiers en leur donnant
une place de premier rang, ce qui a structuré l'industrie britannique»,
analyse John Howes, vice-chairman de Thaïes UK, la plus grosse filiale du
groupe électronique français depuis l'acquisition de Racal en 2000. Thaïes
UK, qui emploie 11000 personnes en Grande-Bretagne dans 70 sites de
production, realise 60 % de son activité dans la Défense. Pas question donc
de renoncer à cette manne. «Nos facteurs de lit(suite de la page si)
croissance son clairement dans le militaire», affirme pour sa part Alan
Cook. Ce marché, gui contribue pour moitié au chiffre d'affaires de Cobham
(1,28 milliard d'euros au total), constitue la meilleure arme anticrise.
«Nous profitons d'une relation de confiance entre nous et le Département de
la Défense américain. Du coup, nos activités militaires n'ont cessé de se
développer ces cinq dernières années», ajoute-t-il. Le systémier est
notamment présent dans l'avion de combat F 35 (ex-JSF) en développement et
le F 22. Et il dispose d'une trentaine de sites de production aux
Etats-Unis, un pays qui pèse 35 % de ses ventes. Une politique active
d'acquisitions Même stratégie chez le fabricant d'aérostructures GKN
Aerospace (2,36 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2003 sur un total
de 7 milliards) : pour pallier les effets du 11 septembre sur le marché
civil, il a racheté une ex-usine de Boeing, à Saint-Louis en 2001, ce qui
lui a ouvert de nouveaux débouchés dans le militaire, par exemple le C 17 et
le F/A 18. tc Il y a cinq ans, les activités de Défense étaient
minoritaires; aujourd'hui elles pèsent 70% de nos ventes», souligne Graham
Chisnall, directeur général de l'engineering de GKN Aerospace. Idem pour
Martin Baker, le spécialiste des sièges éjectables, qui, en 2000, a créé une
usine à Pittsburg pour se rapprocher de ses clients. L'anglais fournit à peu
près tous les grands avionneurs militaires, de Boeing à Lockheed Martin en
passant par Dassault Aviation et BAE Systems. Chez Smiths Aerospace, qui
affiche 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires, la présence aux
Etats-Unis est ancienne et n'est pas un vain mot puisque ce marché génère
près de la moitié des ventes. Et la contribution de la Défense est de 60
ofo. u C'est donc un point clé dans notre stratégie, ce qui nous a conduits
à doubler nos investissements ces trois dernières années (8% de nos ventes)
pour gagner de nouveaux marchés», explique Brian Knight, directeur général
financier de la société. Le systémier est ainsi présent dans la plupart des
programmes militaires qui vont une part importante de notre stratégie: nous
allons vers des zones à bas salaires pour produire les composants à moindre
valeur ajoutée», explique Brian Knight. Les fournisseurs britanniques ont
aussi un autre atout dans leur manche: celui de la spécialisation. «Il est
vrai que nous n'assemblons plus d'avions commerciaux, mais, d'abord, rares
sont les pays qui peuvent aujourd'hui le revendiquer, ensuite, nous avons de
solides leaders dans différents créneaux», plaide Graham Chisnall (GKN). De
Cobham à Martin Baker, en passant par Rolls Royce et Smiths, l'aéronautique
britannique ne manque pas de champions. Sans doute peu de gens savent que
Martin Baker est leader mondial de sa spécialité. Idem pour Cobham avec ses
systèmes de ravitaillement en vol. «Dans ce domaine, nous pouvons dire que
nous détenons quasiment 100% du marché mondial», estime Alan Cook, qui
revendique une stratégie de niches, focalisée à 100% sur l'aéronautique.
Pour protéger jalousement son savoir-faire le groupe ne sous-traite que 10%
de sa production. Et il se renforce dans ses spécialités grâce à une
politique active d'acquisitions : 13 achats effectués en 2003, et cinq
depuis le début de l'année. L'arme des acquisitions est aussi largement
utilisée par des industriels comme GKN et Smiths. Le premier a repris en
octobre les activités aéronautiques de Pilkington, histoire de renforcer sa
branche hublots ; quant au second, il a acheté l'américain Dynamic Gunver
Technologies (DGT) en mars, un fabricant de composants en métaux spéciaux
pour les moteurs, qui lui permet de se consolider sur cette niche de marché.
Rattraper le retard comme fournisseurs d'Airbus Mais le militaire ne suffira
pas à lui seul à assurer la croissance à long terme de l'aéronautique
britannique, C'est sans équivoque l'une des conclusions du rapport de l'AIGT
de 2003. L'avenir du secteur passe, selon cette étude, par un équilibre
entre le civil et la Défense. Comme l'a parfaitement réussi le motoriste
Rolls Royce (lire encadré). Les industriels britanniques, et en premier lieu
ceux qui sont très liés aux débouchés militaires, l'ont bien compris. «Si
nous avons augmenté nos investissements, c'est aussi avec l'objectif à moyen
terme de rééquilibrer le ratio militaire/civil», explique Brian Knight
(Smiths Aerospace). Le systémier s'est ainsi adjugé deux jolis contrats avec
Boeing, en février et en juin, pour fournir l'ordinateur central et les
systèmes d'actionneurs de trains d'atterrissage du futur 7E7, le nouvel
avion commercial de l'américain. Mais comme beaucoup de fournisseurs
britanniques, Smiths n'avait pas vraiment ses entrées chez Airbus. «Jusqu'à
présent, nous n'étions pas un acteur de premier rang. Avec les récents
contrats que nous avons gagnés sur FA 380, notamment dans les actionneurs
des trains, la donne a changé », explique Brian Knight. S'arrimer à Airbus a
été clairement la stratégie mise en place par Simon Luxmore sur le site de
Gloucester (Messier-Dowty UK). «Du coup, le rapport militaire/civil, qui
était de 85 % en faveur de la Défense, s'est en grande partie inversé», se
félicite le nouveau numéro 2 de Messier-Dowty. Un acteur comme GKN Aerospace
aimerait bien en faire autant. «Nous voulons rééquilibrer nos activités.
C'est pour cela que nous avons développé des propositions comme le
partenariat à risque financier auprès d'Airbus, pour l'A 380 et de Boeing
pour le 7 E 7 u, raconte Graham Chisnall. Depuis fin 2003, GKN fournit des
pièces de structures en matériaux composites, l'une de ses grandes
spécialités, pour une valeur de 2 millions de dollars par A 380.
«Logiquement, la reprise du trafic aérien devrait profiter à l'industrie
britannique, car la croissance que nous prévovons sur 2004 et 2005
provizndra principalement du civil», explique Keith Hayward de la S BAC.
C'est tout le mal qu'on leur souhaite. 0 GUILLAUME LECOMPTE-BOINET Les
industriels ont bien compris que le militaire ne suffira plus à assurer seul
leur croissance à long terme.
nectoco
In the five years that I reported on Ryanair, Michael O'Leary, its chief
executive, never swore at me. According to the Financial Times's Lex column,
which recently examined his use of language. Mr O'Leary has sworn at so many
people that anyone who has escaped must be a nobody. Among those Mr O'Leary
has told to "fuck off" are customers who ask for refunds, staff at Buzz (an
airline he acquired), and the Belgian authorities who asked him to repay
subsidies that had been ruled illegal by the European Commission. Some of
Europe's politicians are "loonies" and "communists". The Commission is "an
evil empire". The people who run the Air Transport Users' Council, a UK
consumer watchdog, are a "bunch of halfwits". When Jane 0'Keeffe, Ryanair's
millionth customer, telephoned to complain that the airline had stopped
honouring its award to her of free travel for life, Mr O'Leary shouted at
her: "Who do you think you are. ringing up demanding flights?" David
Bonderman, chairman of Ryanair, said of Mr O'Leary: "His strong point is not
public relations." Not in the conventional sense, perhaps. But if you live
in Europe, you have almost certainly heard of Ryanair. Want to fly from
London's Stansted to Frankfurt or Stockholm? Ryanair will take you there for
less than it will cost you to eat when you arrive (which may be some time
later, as the airports Ryanair flies to are often some distance from the
cities they serve). Just as Nokia has turned little Finland into a mobile
phone success story, so Ryanair has made Ireland the home of European
aviation innovation - except that Mr O'Leary constantly threatens to move
elsewhere in protest at the high charges levied by Aer Rianta. the airports
authority that Mr O'Leary lovingly calls "a national disgrace". There are
about 50 airlines offering cheap flights in Europe, but Ryanair was the
first and is still the most successful- After the roughest couple of years
the airline industry has seen, and after Ryanair's first fall in annual
profits since 1989, the airline still had net profit margins of 19 per cent
in the year to the end of March. Ryanair did not get where it is because of
Mr O'Leary's language, but because of the ruthlessness with costs that goes
with it. It is by constantly looking for savings that he has been able to
offer such low fares. And while he does not need to be so rude (good
manners, after all, cost nothing), when Mr O'Leary argues that he treats his
customers well simply by not ripping them off, he has a point. Siobhén
Creaton's account is an unauthorised history of Ryanair. (I would love to be
at the meeting at which a journalist attempted to persuade Mr O'Leary of the
virtues of an authorised history.) Mr O'Leary does not appear to have
co-operated, although it is not easy to tell, because the book. for all its
virtues, has no footnotes, which means it is difficult to know whether all
Mr O'Leary's quotes come from other people's published interviews or whether
some are from Creaton's own. (Note to the publishers: if you want to provide
no-frills books, you should sell them for 99p, not £9.99.) Whatever Mr
O'Leary's attitude, Creaton, finance correspondent of The Irish Times, has
sensibly not allowed it to get in her way. This savvy, hugely readable book
is measured and fair-minded, regaling us with Mr O'Leary's many verbal
indiscretions without detracting from his achievements - not the least of
which is allowing far-flung Irish families to get together more often. One
of the episodes in the book provides a particularly sharp insight into the
way Ryanair operates. When Go, the low-fares airline set up by British
Airways and since acquired by EasyJet, decided to fly from Dublin to
Edinburgh. Mr O'Leary announced that Ryanair would offer flights from Dublin
to Edinburgh, Its fares would be lower and its flights would be at more
convenient times. (Go's flight schedule, he ventured, was "crap".) Four
months later. Go gave up flying from Dublin to Scotland. Harbar.'i ('assani,
Go's head, said of this scrap with Ryanair: "You can't take on someone with
lower costs because they dig deeper than you to lower their prices and still
make money while you're blet'ding." Ryanair's costs may be low, but has it
grown too fast? The original impetus for Europe's low-cost airlines was what
the travel business calls VFR _ visiting friends and relatives. That was why
flights between Ireland and England and between England and Scotland proved
so popular. But are all those other destinations viable? Creaton notes that
by the spring of 2004, Ryanair was offering flights to 125 European
airports. Yet flights between the UK and Ireland accounted for 44 per cent
of revenues in 2002 and 36 per cent in 2003. However happy families are to
see each other, there are only so many flights they can take. Ryanair is now
a large airline and new opportunities will be harder to find. Mr O'Leary
recently conceded to the FT that Ryanair's "mythical aura of infallibility"
had gone. The next chapter will be as interesting as the last
nectoco
Les missiles sol-air, menace pour l'aviation civile, selon un rapport
Source: Agence France Presse du 30.06.2004
Une trentaine de "groupes non-étatiques", dont certains sont classés comme
terroristes, posséderaient des lanceurs de missiles sol-air, qui peuvent
être utilisés contre des avions civils, selon un rapport publié mercredi à
Genève. .. "La menace sur les avions civils est à même d'affecter les
citoyens de tous les pays voyageant sur les principales lignes aériennes",
estime l'Annuaire sur les armes légères 2004, selon lequel 100.000 de ces
lanceurs portables sont répartis à la surface du globe. En novembre 2002,
deux missiles sol-air Sam-7 de fabrication russe, guidés par la. chaleur que
dégagent les avions, ont été tirés contre un appareil israélien peu après
son décollage de Mombasa (Kenya), sans le toucher. Dans les années 80, de
très nombreux missiles américains Stinger avaient été fournis par les
Etats-Unis, via le Pakistan, aux moujahidine afghans qui luttaient contre
les troupes soviétiques. "Sur ces 100.000 (lance-missiles portables) figure
une quantité indéterminée de systèmes aux mains de groupes non-étatiques,
dont certains ont été classés comme organisations terroristes", d'après
l'annuaire réalisé par l'Institut des hautes études internationales de
Genève. "Jusqu'à présent, il est avéré qu'au moins 13 de ces groupes
possèdent ces lanceurs et 14 autres en détiendraient", selon l'étude. "Ceux
qui se trouveraient entre les mains de groupes liés de près ou de loin à
al-Qaïda sont particulièrement préoccupants". Entre 1.500 et 5.000 lanceurs
se seraient retrouvés dans la nature en Irak à la suite de la chute du
régime de Saddam Hussein en avril 2003. En novembre dernier, un avion cargo
a ainsi été touché par un Sam-7 après son décollage de Bagdad, obligeant
l'appareil à faire un atterrissage d'urgence, rappelle l'étude. L'annuaire
souligne que ces armes petites et légères sont aisément transportables dans
un coffre de voiture et disponibles au marché noir, y compris les derniers
modèles plus destructeurs et d'une portée plus longue. Les modèles récents
sont en outre conçus pour rendre inefficaces les leurres que peuvent iancer
les avions cibles pour échapper aux missiles. Les seules limites à leur
utilisation sont les difficultés de stockage et d'entretien et leur
fonctionnement relativement compliqué, comme le montre l'échec de la
tentative d'attentat de Mombasa, les missiles ayant, semble-t-il, été tirés
trop près de leur cible. Mais "si davantage d'utilisateurs qualifiés
deviennent disponibles, des erreurs comme celles qui se sont produites à
Mombasa auront moins de chances d'étre commises", avertit l'étude. "La
dissolution de l'armée irakienne signifie sans aucun doute qu'un certain
nombre de soldats entrafnés au maniement des lanceurs sont aujourd'hui au
chômage et à la recherche d'une autre carrière". Pour faire face à la
menace, la compagnie israélienne El Al envisage d'installer des systèmes de
leurre sur ses appareils, au prix d'un million de dollars par avion équipé.
Les Etats-Unis réfléchissent aussi ä cette possibilité. Mais généraliser une
telle mesure serait coüteux et d'une efficacité douteuse. Les détecteurs de
missiles placés à bord des avions risquent en effet d'avoir du mal à repérer
la chaleur dégagée par un lanceur dans les zones urbaines qui entourent en
général les aéroports. Seul un meilleur contrôle des exportations paraît à
même d'enrayer la menace. Mais alors que 105 armées du monde détiennent ces
armes, "les efforts internationaux pour enrayer la prolifération ont jusqu'à
présent été faibles", déplorent les auteurs de l'étude. Ils se félicitent
toutefois des initiatives prises ces dernières années par les Etats-Unis et
la Russie. Cette dernière fait face à la menace des missiles sol-air en
Tchétchénie. Au moins 15 entreprises mondiales produisent ces équipements
dans autant de pays, dont l'Egypte, le Pakistan, la Corée du Nord, mais
également Singapour et le Vietnam, qui ont acquis des licences de
fabrication de modèles russes et chinois.
Thierry
> "nectoco" a écrit..
>> Note interne. mardi, 29 juin 2004
>>
>> Deux Eurofighters de la Royal Air Force ont quitté la Grande-Bretagne le
> 27
>> juin pour rejoindre Singapour.
>> Les avions ont décollé du terrain de BAE Systems, à Warton, à 10h13, heure
>> locale. Ces deux appareils seront déployés en Asie du Sud-Est pour une
>> évaluation qui devrait durer deux semaines environ. Ces avions ont été
>> retenus pour la phase finale du programme qui verra le remplacement des
>> chasseurs actuels du pays par des avions de nouvelle génération.
>
> Tiens, tiens, phase finale ça veut dire que le choix est déjà fait ou pas
> encore ? Sinon faut espérer que le Rafale leur fera meilleure impression...
je ne pense pas que se soit un pb d'impression, mais plutot un pb
"commercial" .... les français ne savent pas vendre ... :(
nectoco
A vouloir être trop gourmand, EADS s'est fait taper sur les doigts par le
ministère de la Défense britannique (MoD) . Ce dernier a su parfaitement
faire entendre au groupe européen tout son mécontentement sur les
propositions qu'EADS a adressées aux Britanniques.
Le MOD a tiques sur le faramineux contrat (19,7 milliards d'euros) de mise ä
disposition à la Royal Air Force (RAF) d'une flotte complète
d'avions-ravitailleurs. Afin d'alléger les coûts du MoD, l'industriel avait
initialement promis la venue de clients civils en vue de mutualiser les
frais de locations des appareils, Airbus A330-200, qui peuvent être
reconvertis pour le marché civil du fret. Ce qui devait très logiquement
faire baisser le coût de la location de la RAF. Or, les grands acteurs du
marché du fret, UPS en tête, Fedex voire DHL, se sont désistés les uns après
les autres. C'est ainsi que le groupe européen a reporté naturellement ce
manque à gagner sur l'effort du MoD, que ce dernier a évalué entre 150 et
350 millions d'euros. Pressé par le Trésor de réaliser plus d'économies sur
ce type de contrat public-privé, en Private Finance Initiative (PFl), le MoD
a donc mis une très grosse pression sur EADS qui a revu son offre à la
baisse. Car, fait on observer au sein des industriels du secteur, le MoD et
leTrésor britanniques sont des interlocuteurs à prendre très au sérieux.
nectoco
Le transport aérien croise les doigts pour 2004. De janvier à mai, le trafic
international de passagers du ciel a en effet grimpé de 19,4 %, selon les
chiffres que vient de dévoiler l'Association internationale du transport
aérien (Iata) . Reste ä savoir si ce rebond, après la déprime liée à la
guerre en Irak et à l'épidémie de Sras, va se traduire dans les comptes des
compagnies aériennes. Car cellesci sortent de trois années de marasme.
L'Organisation de l'aviation civile internationale (Oaci) vient ainsi
d'annoncer que, selon des chiffres préliminaires, la perte d'exploitation
des transporteurs aériens réguliers des 188 Etats membres de l'organisation,
a représenté 0,9 % de leurs recettes. C'est certes un peu moins mauvais
qu'en 2002, puisque ce ratio négatif atteignait alors 1,6 %. Mais cela n'en
représente pas moins une perte opérationnelle de 2,8 milliards de dollars
l'an passé, avec des recettes de 312,9 milliards qui ne viennent pas
équilibrer des dépenses de 315,7 milliards. Toutefois, les premières
progressent de 2,3 % quand les secondes n'ont crû que de 1,5 %. En terme de
« résultat financier net après prise en compte de postes hors exploitation
tels que les intérêts, subventions et déduction de l'impôt sur les
bénéfices », l'Oaci annonce une perte pour le transport aérien en 2003
équivalent à 2,1 % des recettes d'exploitation (contre 3,7 % en 2002), soit
6,63 milliards de dollars. Ces chiffres complètent les données, valables
uniquement pour le transport aérien international, fournies par l'Iata le 7
juin, à Singapour, lors de l'assemblée générale annuelle. L'Association du
transport aérien international affichait alors une perte cumulée de 30
milliards de dollars sur trois ans (en gros, depuis les attentats du 11
septembre 2001) dont un trou de 4 milliards en 2003. Quant ä l'espoir d'un
retour aux bénéfices cette année - avec trois milliards de profits
attendus -, il a été douché par la hausse des prix du pétrole qui menace de
contrecarrer cette sortie du rouge. De quoi conforter l'avis d'un banquier
du secteur qui souligne qu'« en tendance de long terme, le transport aérien
n'est pas une activité qui dégage de bénéfices en exploitation pure ».
nectoco
Blunkett tells Brown to temper his ambitions
Source: Independent du 01.07.2004
DAVID BLUNKETT has urged Gordon Brown to cool his desire to take over from
Tony Blair, as part of a bitter dispute between Home Secretary and
Chancellor over the Home Office's blueprint for the next five years. Mr
Brown, a long-standing critic of what he regards as inefficiency at the Home
Office, has refused to sanction Mr Blunkett's five-year strategic plan
because he is not satisfied it would deliver value for money. The
Chancellor's intervention has delayed publication of the plan and infuriated
the Home Secretary, who has appealed over Mr Brown's head to Mr Blair. Mr
Brown and Mr Blunkett have clashed during previous spending negotiations but
repaired relations. Whitehall sources say their relationship is now "back in
the deep freeze". Mr Brown has not taken a close interest in the five-year
plans for health and education because he had already allocated their
budgets for the next few years. But he was alarmed by Mr Blunkett's
proposals to boost spending on community support officers and prisons and is
forcing him to justify them in great detail After a new outbreak of tension
between Mr Brown and Mr Blair, Mr Blunkett says in an interview published
today that the Chancellor should temper his leadership ambitions and
suggests Mr Blair will continue as Prime Minister for some years. "It's
important that those of us who are privileged, because we are, to be at the
very cutting edge of government, to be at the centre of events, don't
presume that we should be immediately taking somebody else's job," he told
the New Statesman. Although he insisted his spending negotiations with Mr
Brown were "perfectly amenable", he added: "I'd like the Prime Minister to
remain as long as he feels he has the drive, the energy and leadership to do
it, and I see no sign of those diminishing at all." Mr Brown, who held
meetings about his government-wide spending review yesterday, has also been
involved in difficult negotiations over the transport and defence budgets.
Alistair Darling, the Transport Secretary and an ally of Mr Brown, has
resisted Treasury demands for cuts in his department's spending. The
Chancellor is understood to have demanded more savings on subsidies to the
rail services, which have soared in spite of a failure to convince
travellers they are improving. The roads budget could also face deep cuts,
despite demands by the CBI for more road building across Britain. Rumours of
a "bust-up" between Mr Darling and Mr Brown were denied last night by
friends of the Transport Secretary. GeoffHoon, the Defence Secretary, has
been ordered to make cuts in the armed forces, although it will be presented
as a small real-terms increase in his budget when the figures are published
on 12 July. The Navy will have to mothball a number of warships. The Army
could lose two battalions but the most savage cuts are facing the RAF,
threatened with losing 5,500 men. There have been rumours that the Red
Arrows could also face the axe but sources close to the Defence Secretary
dismissed the idea. The £20bn Eurofighter project is being blamed for the
bulge in spending but the Chancellor has been told penally clauses in the
contract for 232 of the fighters are too expensive for the order to be
scrapped.
nectoco
Le motoriste français, au travers du Joint-venture CFM International avec
Général Electric, a remporté la motorisation du futur avion de patrouille
maritime multiruksions (MM&) de l'US Navy. Les 108 exemplaires prévus (une
version du Boeing 737) seront donc propulsés par le célèbre CFM 56-7B, ce
qui rapportera près de 2 milliards de dollars aux deux partenaires. Pour
Boeing, ce contrat MMA, remporté il y a quelques jours, est une aubaine,
puisqu'il permet à l'avlonneur de pérenniser des capacités dans son usine de
Renton (dans la banlieue de Seattle), où sont assemblés les B 737
nectoco
Source: TTU-Weekly Newsletter du 30.06.2004
Dans Ie cadre du programme JCM (Joint Common Missile) visant a trouver un
remplacant pour les missiles Hellfire, TOW et Maverick, Lockheed-Martin
vient d'obtenir du Pentagone un contrat initial de 53 millions de dollars
portant sur Ie developpement de ce nouveau systeme d'armes. La valeur du
contrat devrait, toutefois, s'elever au total a 1,6 milliard de dollars en y
incluant Ie developpement final, I'industrialisation et la fourniture des
deux premiers lots de production. Les besoins exprimös par le Pentagone
portent sur pas moins de 54 000 missiles, pour one valeur totale estimee a
plus de 5 milliards de dollars. Lockheed-Martin, qui etait en competition
avec Boeing et Raytheon, propose un missile en mesure d'engager sa cible a
one distance de 16 km tire a partir d'un helicoptere et de 24 km tire a
partir d'un avion de combat. II sera dote d'un seeker trimode
revolutionnaire (guidage laser semi-actif, IR et radar a ondes
millimetriques) et d'une charge militaire multirole, avec double charge
explosive pouvant fonctionner comme charge creuse centre les vehicules
blindes et explosive a fragmentation pour trailer des cibles moins dures.
nectoco
EADS Sogerma Services intègre la suite Upper Class à bord des A340-600 de
Virgin Atlantic
La nouvelle suite Upper Class de Virgin Atlantic est en cours d'installation
sur ses Airbus A340-600, dans le cadre d'un programme de rénovation majeur
qui démontre l'aptitude de EADS Sogerma Services à fournir des solutions
intégrées en matière de conception, d'installation et de certification de
cabines d'un très haut niveau de confort à bord des avions de ligne.
Les travaux d'installation sont réalisés dans les locaux de EADS Sogerma à
Toulouse. Révolutionnaire dans sa conception, la suite Upper Class de Virgin
Atlantic comprend des sièges Sleeper et un bar privé.
nectoco
Jeux olympiques 2008 : EADS propose des solutions high tech à la
municipalité de Pékin
A l'occasion d'une conférence de presse organisée à Pékin par EADS Defence
and Communications Systems (DCS), en coopération avec Eurocopter, EADS
confirme son intention de renforcer sa présence en Chine, en proposant à la
municipalité de Pékin la mise en ouvre d'un système de sécurité, dans l'
optique des Jeux olympiques qui se dérouleront dans le pays en 2008.
nectoco
Vietnam Airlines touche ses deux premiers Airbus A321 la semaine prochaine
Source: Agence France Presse du 01.07.2004
Vietnam Airlines prendra livraison lundi ä Hambourg de ses deux premiers
Airbus A321, nouvelle étape dans sa politique de développement de sa flotte,
a-t-on indiqué jeudi de source officielle. Les deux appareils font partie
d'un accord signé en octobre 2002 entre Vietnam Airiines et le consortium
européen portant sur cinq A321. ABN Amro et Natexis Banques Populaires ont
signé en mai dernier avec Vietnam Airiines un accord de financement de 150
millions de dollars pour l'achat de trois de ces Airbus A325 -200. Les
avions délivrés lundi font partie de cet accord, a précisé Nguyen Chan,
porte-parole de Vietnam Airiines à Hanoï. Deux autres avions seront livrés
en août, l'un financé de la même manière et l'autre par quatre banques
publiques vietnamiennes. Le cinquième appareil, attendu début 2005, fera en
principe l'objet d'un prêt du gouvernement vietnamien. Vietnam Airiines est
l'une des entreprises publiques les plus rentables du pays et a connu ces
dernières années une croissance jamais démentie. En août dernier, le
porte-drapeau du Vietnam avait pris possession du premier d'une série de
quatre Boeing 777-200ER. L'achat issu d'un prêt de Citigroup avait été
garanti, pour la première fois dans l'histoire du pays, par l'Export-lmport
Bank américaine. Le second Boeing du même type, dont l'achat avait été déjà
financé par l'ABN Amro et également garanti par l'Ex-lm Bank, était entré en
service en octobre, alors que la livraison de deux autres Boeings doit
intervenir fin 2004 et en 2005. En janvier dernier, la société a annoncé sa
volonté de doubler sa flotte d'ici 2010 afin de s'imposer comme un des
acteurs importants de l'industrie aérienne en Asie
nectoco
The county should benefit from hiring related to the new Boeing jet. But to
what extent is hard to determine. The state's economic-development agency
has reported that Boeing's new 7E7 jetliner will create 8,000 to 24,000 jobs
by the end of this decade. It's a vast range that includes Boeing workers,
suppliers to Boeing and unrelated companies buoyed by business from
aerospace workers. But how many of those jobs will land in Snohomish County
is harder to quantify. Mark Klender, a Deloitte Consulting managing partner
who worked on the states research, said he couldn't separate the numbers
into county-level data but said the bulk of the jobs will be in the Puget
Sound region. Others estimated specific benefits to the county, and they're
optimistic. Jerilee Mosier, the vice president for work-force development at
Edmonds Community College, predicted 75 percent of the jobs 6,000 to 18,000
will be in Snohomish County. "I really think the suppliers are going to want
to be based very close to the plant," Mosier said. John Monroe, a former
Boeing 777 executive who leads 7E7 efforts for the Snohomish County Economic
Development Council, said the news supports the type of employment he and
council President Deborah Knutson have expected. He said he is working with
three Boeing direct suppliers who are considering moving a total of 150
workers to the county. Many job watchers, however, say it s still too early
to tell where the jobs will land because more of the manufacturing of the
7E7 will be outsourced compared with previous jetliners. Ken Hudson, the
business agent for International Longshore and Warehouse Union Local 32 the
union that handles cargo work at the Port of Everett believes the work means
more container ships, either from Boeing or Boeing suppliers. "We're hoping,
and we think, based upon what we're hearing, that we'll increase our numbers
here," Hudson said. The union has 25 registered members; it used to have
more than twice that during better economic times, when Boeing cargo as well
as ships of logs, alumina and other products arrived more often. The state
Department of Community, Trade and Economic Development (CTED) is working to
locate property for one element of the 7E7 manufacturing program that will
definitely be here: a $10 million, 40,000-square-foot training facility
within a 10- minute drive of Boeing's Everett plant. Boeing will use the
facility, promised in the state's 2003 legislation package, exclusively for
five years. More than a dozen property owners, real-estate developers and
other organizations submitted 21 informal proposals for state consideration
by the mid-May deadline, said Robin Pollard, the CTED's 7E7 project manager.
On Friday, CTED officials met with representatives from Everett and Edmonds
community colleges about using the Applied Technology Training Center, a
28,000-square-foot building on Seaway Boulevard owned by the Everett college
but shared by both campuses. Michael Kerns, the vice president of
administration at Everett CC, said the college has been promoting the
Applied Technology Training Center as well as roughly 40,000 square feet of
building space the college owns at Paine Field. "We want to work with the
state," Kerns said.
nectoco
The fate of United Airlines rests largely in the hands of its bankers at J.
P. Morgan Chase. Now that the U.S. government has firmly rejected United's
request for more than $1 billion in loan guarantees, the airline will be
asking its bankers at J. P. Morgan and Citigroup to fill the gap. The
spotlight will shine brightest on Morgan, which has a history of rescuing
companies viewed by the financial markets as hopeless cases, notably Lucent
and Xerox. More recently, the bank was hired to arrange an $8 billion loan
to finance the exit from bankruptcy of Adelphia Communications, whose
executives face charges of accounting fraud. With the completion Wednesday
of J. P. Morgan's merger with Bank One, even more is riding on United's
future. Bank One issues a credit card tied to United's frequent flier
program, and the card is one of the most profitable of its kind, according
to the Nilson Report, an industry newsletter. The bank has said it will
suffer a big loss if United goes out of business and it has to substitute
another rewards program for those cardholders. After the combination, J. P.
Morgan will be the largest issuer of Visa and MasterCard, based on card
balances, said David Robertson, Nilson's publisher. The United card
accounted for 10 percent of the two banks' outstanding card balances at the
end of last year, he said. James Dimon, the chief executive of Bank One who
became president of the combined bank, can be expected to keep a close eye
on the matter. "Jamie is very interested in the outcome," said a person
involved in the reorganization. To draw the money United has said it needs,
at least $1.6 billion, it may need to lure investors who will demand a
stake. In the last major airline bankruptcy, at US Airways, the pension fund
in Alabama invested roughly $500 million for 37 percent of the airline and
board control. The New York Times . Air Canada outlines plans Air Canada has
filed a plan of arrangement with the Ontario Superior Court detailing its
proposed operations after emerging from creditor protection, The Associated
Press reported from Toronto. The plan includes a reduction to the airline's
mainline fleet of smaller aircraft, work force reductions and no
negotiations with unions on wages until at least 2006.
nectoco
Source: Le Revenue du 02.07.2004
Le prix élevé du pétrole et le durcissement de ta concurrence freinent le
redressement des transporteurs. Malgré tous leurs efforts pour réduire les
coûts et abaisser leur point mort, certaines compagnies aériennes
européennes restent très fragiles. La semaine dernière, deux transporteurs
ont ainsi dû revoir à la baisse leurs objectifs annuels. Swiss, tout
d'abord, craint de ne pas atteindre l'équilibre opérationnel cette année. La
raison principale de son pessimisme ? Le prix du pétrole qui, malgré sa
récente baisse, reste à des niveaux élevés. Le transporteur suisse estime
qu'il devra faire face à une dépense supplémentaire de l'ordre de 85
millions d'euros si le kérosène reste au prix de 360 dollars la tonne. Des
revenus unitaires en forte baisse. Dans la foulée, la compagnie suédoise SAS
a annoncé qu'elle ne s'estimait plus en mesure d'afficher un résultat (avant
impôts et éléments exceptionnels) positif cette année. SAS invoque la forte
baisse de ses revenus unitaires (le «yield», revenu par siège, a reculé de
22,5% en mai, par rapport au même mois de 2003), et les incertitudes quant à
leur évolution dans la mesure où la concurrence est de plus en plus vive.
Malgré la reprise progressive du trafic, le secteur est donc loin d'être
sorti d'affaires. La sélectivité reste donc de mise pour investir dans le
transport aérien
nectoco
Alors qu'Air France a ouvert la ligne en janvier. China Southem. la
troisième compagnie aérienne chinoise, a effectué cette semaine son premier
vol entre Canton et Paris. Les deux transporteurs ont conclu un accord de
partage de code sur cette liaison, que le français exploite désormais à la
fréquence quotidienne, tandis que son partenaire, démarre son programme avec
cinq vols hebdomadaires. China Southem est très courtisée pour rejoindre
l'alliance commerciale SkyTeam. alors que la destination de Canton. qu'Air
France a été la première compagnie européenne à desservir, devrait
rapidement monter en puissance, grâce à l'ouverture, le 8 juillet, du nouvel
aéroport Baiyun - qui deviendra la plus grande plate-forme internationale de
Chine. Dans sa configuration initiale - 3,2 milliards de dollars ont déjà
été investis -, il pourra absorber 25 millions de passagers par an. jusqu'en
2010. Sa capacité sera portée à 80 millions de voyageurs annuels, et à 2.5
millions de tonnes de fret d'ici à 2030. Baiyun devra s'imposer face à
l'aéroport de Hong Kong, qui draine 55 % du trafic passager régional mais
c'est sur le trafic fret que la concurrence sera la plus vive : selon le «
South China Morning Post », le nouvel aéroport offrirait déjà des tarifs
inférieurs de moitié. FedEx envisagerait même d'y transférer sa plateforme
régionale des Philippines.
nectoco
Source: Defense Daily du 01.07.2004
Following recent tests of its SceanEagle unmanned aerial vehicle (UAV) in
Joint Forces Command's (JFCOM) Forward Look III exercise, Boeing [BA] is
"pretty close" to a contract award-possibly from the Marine Corps. "We are
pretty close," Boeing spokesman Chick Ramey told Defense Daily yesterday.
"We've been in discussion with the Marines as well as a number of other
customers, so we're very close to contract." Boeing is developing ScanEagle
with The Insitu Group. Boeing and Insitu last year signed a long-term
contract to continue collaborative efforts and begin production on the
ScanEagle {Defense Daily, July 8). The recent Forward Look III exercise at
the Marine Corps' base in Cherry Point, N.C., took place June 12-21. Due to
inclement and unfriendly weather, ScanEagle was the only UAV that could fly
each day of the exercise, according to Boeing. During the exercise the
ScanEagle was tasked with providing ISR coverage and time-sensitive
targeting functionality within a broad network that included other UAV types
and a variety of different nodes. "For a vehicle that's as low-cost as this
vehicle is, for us to be able to get in under the weather and provide
persistent ISR capability on every day of the mission is really quite an
outstanding feat," Mark LaVille, Boeing's Forward Look mission commander,
told Defense Daily yesterday. LaVille further explained Boeing's objectives
within Forward Look. "Forward Look definitely is not about controlling the
individual UAV, it's about taking the information that's already available
and collecting it one location for that joint forces commander to support
him," he said. "It performed for the most part flawlessly for our
expectations," LaVille said, regarding the ScanEagle's performance during
the recent exercise. "We were able to complete all nine missions that were
assigned." Earlier this year, Boeing said it completed the autonomous launch
and later recovery of Scan Eagle front a 58-foot fishing boat, the
Shackieton.
nectoco
Source: The Business Journal du 01.07.2004
Arizona Sen. John McCain has joined the chorus of concern over the federal
grounding of airplanes and tankers used to fight western wildfires. Earlier
this year, the U.S. Forest Service grounded some aging contracted aircraft,
worrying about safety issues. That sparked major concerns from Arizona
congressional members including McCain and Gov. Janet Napolitano that the
federal government would be hampered in its fire fighting capabilities this
summer. The Bush administration has responded by deploying some temporary
aircraft to Western states and is looking to get older planes back up to
code and in service. The Forest Service has also unveiled plans to replace
existing older contracted planes with new ones. However, McCain and East
Valley Congressman Jeff Flake have voiced concerns about the cost and
implementation of the plan and whether it will be effective this fire
season. The senior senator reiterated those concerns Tuesday. McCain and
fellow Arizona Republican Sen. Jon Kyl were main architects of the "Healthy
Forests" legislation. The Bush administration pushed for the measure, which
hopes to thin small trees and brush in western forests and fast track the
approval process for such efforts. Democratic presidential candidate John
Kerry and environmental groups oppose Healthy Forests worrying it opens
old-growth areas to logging.
nectoco
Lockheed Martin Corp. has been awarded a $2 billion Air Force contract
modification for the previously announced purchase of 22 F/A-22 Raptor
fighter aircraft, the Pentagon said Thursday. The modification "definitizes"
the purchase of the batch known as Lot 4 and associated equipment, a
contract announcement said. The F/A-22 is designed to replace the 15-C as as
the top U.S. air-to-air fighter
nectoco
Roland
Source: Defense Daily du 01.07.2004
The Senate in its version of the FY '05 Defense Appropriations Bill directs
the Air Force to prepare a report studying the possibility of generating an
outsized heavy lift capability within the Civilian Reserve Air Fleet (CRAF).
"The committee directs the Secretary of the Air Force to provide the
Secretary of the Air Force to provide the congressional defense committees
with a report assessing any and all options to introduce a U.S,-otnrned,
heavy outsized airlift capability into the CRAF based on potential
commercial uses of commercialized versions of U.S. heavy outsized cargo
aircraft without the need for government investment or substantial
involvement," the Senate said in the report accompanying its version of the
appropriations bill. The CRAF comprises a host of civil transports used by
airlines earmarked by the government to lift troops in an emergency. The
CRAF roster includes Boeing [BA] 747 and 767-series aircraft and Airbus
aircraft used by American civil carriers. The Pentagon is undertaking a
Mobility Capabilities Study that will update past reviews of strategic and
intratheater airlift requirements (Defense Daily, June 15). "The committee
is aware of the ongoing Mobility Capabilities Study and the probability that
the current 54.5 MTM (million ton miles)/day requirement will increase," the
Senate report noted.
nectoco
Two episodes describe the predicament of the Atlantic security alliance. The
first was Paul Wolfowitz's address to a meeting of Nato defence ministers in
Brussels soon after the attacks on New York and Washington of September 11
2001. Thanks for the offer, the US deputy defence secretary told European
colleagues eager to stand as one with America against the terrorists, but we
don't need your help on this one. The second came 18 months later when
ambassadors of the North Atlantic Council met on the day of the American
invasion of Iraq. As US and British troops poured across the Kuwaiti border,
representatives of the world's foremost military alliance had weightier
matters to attend to. The first item on their agenda listed outstanding
protocol issues arising from Nato enlargement. With due solemnity the
Council spent 45 minutes sorting them out before moving on to other equally
tricky issues. No one, I am assured, was gauche enough to mention the war.
These testimonies to irrelevance recalled themselves on the eve of this
week's Nato summit in Istanbul. As we gazed south-east over the Bosphorus in
the direction of Iraq, one of those charged with drafting the leaders'
communique remarked that the outcome had been another bad-tempered
compromise. Nato ambassadors had sweated long and hard to gloss over their
differences. But, though thickly applied, the gloss was patchy. The
ambiguities of the text, this official said. had left room for the
obligatory public spat between France and the US. Sure enough, Jacques
Chirac and George W. Bush spent two days sniping at each other. It is
tempting to see these clashes between the US and French presidents as ones
of temperament as much as substance. The body language certainly says the
animosity is heartfelt. Mr Bush, everyone knew, had come to the summit to
show the voters back home that differences with America's allies about Iraq
were in the past; that the US had friends again. Mr Chirac, equally
obviously, was not about to be a party to anything that might enhance Mr
Bush's re-election prospects in November. Such bickering is not confined to
Paris and Washington. We live in times when the political and the personal
have become dangerously entwined. Mr Chirac's relationship with Britain's
Tony Blair often seems almost as bad as that with Mr Bush. Another senior
official in Istanbul recalled the angry summit of European Union leaders two
weeks ago in Brussels. Mr Chirac had crossed the room to threaten publicly
Italy's Silvio Berlusconi for backing Mr Blair in refusing to support
France's candidate for president of the European Commission. In the manner
of a jilted spouse, Germany's Gerhard Schröder had shouted at the British
prime minister that their relationship was "finished". So much for the
trilateralism supposed to see Germany, France and Britain set the political
direction of the newly enlarged EU. Sadly, there is more to these playground
tantrums than personal jealousies and egos. It was apparent in Istanbul that
the fundamental divisions within the alliance exposed by the Iraq war have
not been closed. Mr Bush, some European leaders would concede, had made an
effort. The White House had compromised at the United Nations Security
Council on a new resolution framing this week's handover to an interim Iraqi
government. It had stepped back from a confrontation with North Korea and
withdrawn from a long dispute with the UN about whether US troops could be
tried for war crimes in an international court. For France and Germany,
though, these represented tactical shifts to help Mr Bush win re-election
rather than any fundamental reappraisal of his unilateralist instincts.
Messrs Chirac and Schröder are betting the bank on a victory for John Kerry,
the Democratic candidate, in November's poll. Thus the entirely predictable
outcome at the summit was a series of compromises that failed to disguise
the alliance's fractures. Nato will help to train the new Iraqi army, but,
according to Mr Chirac, will do so as a collection of nations rather than an
alliance. The leaders agreed to send more troops to help oversee planned
elections in Afghanistan but, because of a separate theological dispute
about the deployment of Nato's rapid response force, far fewer than that
struggling country actually needs. At the heart of the problem lie profound
disagreements about the nature of, and necessary response to, the new
security threats, about what the alliance can or should do to shape events
beyond Europe's borders, about the legitimacy or otherwise of pre-emptive
military action and about the possibilities for reform in the Middle East.
Broadly speaking, Mr Bush and Mr Blair share a view that the west, in this
case in the form of Nato, has to be proactive and interventionist in
confronting the threats. While conceding that the alliance may very
occasionally step outside its borders, France and Germany prefer realism to
what they call foreign adventurism. Much now rests on what happens in Iraq.
The transfer of power to the interim government led by lyad Allawi has one
big political effect- By removing the American face from the occupation, Mr
Bush hopes that Iraq will slip down the news schedules. Paul Bremer, the
president's pro-consul, and the Coalition Provisional Authority have gone.
The crude calculation is that the US television networks will give far less
airtime to Mr Allawi. Perceptions outside Iraq, though, are not the same as
the situation within. The sober judgment of those who have spent a lot of
time in Baghdad is that it could go either way. Given luck, Mr Allawi might
be able to establish sufficient grip to allow rough and ready but reasonably
fair elections to go ahead in January. But anger and frustration could yet
see the country collapse into what one senior British expert has called a
medieval mess. Either way, whatever the outcome of the presidential
election, US and European leaders need to sit down after November to the
fundamental strategic discussion they have studiously avoided since
September 11 2001. Washington will have to reassess the worth of ad hoc
coalitions against fixed alliances, and of legitimacy against unfettered
discretion. European nations will have to ask themselves whether they can
remain spectators in an ever more dangerous world. Until then, Nato must
busy itself with matters of protocol.
nectoco
Intense negotiations are on with the European Union (EU) for India's
involvement in the operational control of'the Galileo Satellite Navigation
Project to which India had in October last year expressed a willingness to
take a 300 million euro stake. China has already signed up with 200 million
euros. The Galileo Joint Undertaking is a venture between the EU and the
European Space Agency and will rival the Global Positioning System (GPS) of
the US. It is scheduled to be operational by 2008. Experts from the two
sides have held two rounds of negotiations in the past few months but
differences remain. "If we arc putting in 300 million euros we must have a
say in the control of the satellite," said a. senior official in the
department of space, During the last India-US Business Summit held here in
November, coinciding with the India-EU annual summit, then prime minister
Atal Bihari Vajpayee had made it clear that India would participate in the
project as an "equal partner" and not as a "mere customer". India's
expertise in cost-effective space technologies could bring both technical
value and price competitiveness to the project, Mr Vajpayee said. The
Galileo system has been conceived as an alternative to the GPS of the US.
The GPS is a worldwide radio navigation system supported by a constellation
of 24 satellites and their ground stations. New Delhi had announced its
decision to support the EU project in the wake of the US war against Iraq in
which the GPS was used extensively. The GPS was developed mainly for
military use and is under the exclusive control of the US. Apart from the
strategic objectives, India sees in the Galileo project an opportunity to
showcase its prowess in space technology, According to officials, the
department of space has already planned linking Galileo to its own proposed
Gagan project, a low earth orbiting satellite that will help boost signals
from Galileo. They said details of China's participation in the Galileo
project was not known. .
nectoco
nectoco
groups", some of which classified as terrorist, could possess ground-air
missile launchers that could be used against commercial planes. Some 100,000
launchers of this kind could be spread worldwide.
AFP (30/06)
nectoco
Sergio
> Les avions ont décollé du terrain de BAE Systems...
Avant de s'écraser très quelques kilomètres plus loin. Les deux
pilotes, des officiers espagnols, ont signalé une extinction brutale et
simultanée qui les a forcé à s'éjecter. L'un des pilotes à commenté :
"hombre, cetté salopérie dé Tayéfoune, yé arrivé pas à en raméné oune
entier à la basse, aye aye..."
--
Sergio
VinMan
> 717-300 jet, a longer version of the original jet, will be able to carry
130
> passengers over a distance of 3,000 kilometres
Il n'y a pas déją un 737 (-600 ? -700 ?) capable de faire cela ?
--
VinMan
Romani ite domum
www.ciel-et-partage.org
VinMan
> faire baisser le coût de la location de la RAF. Or, les grands acteurs du
> marché du fret, UPS en tête, Fedex voire DHL, se sont désistés les uns
après
> les autres. C'est ainsi que le groupe européen a reporté naturellement ce
> manque à gagner sur l'effort du MoD,
Je pige mieux pourquoi l'Anglais a tiqué, du coup.
Nono Le Rouje/RBC
news:40e5d773$0$14475$626a...@news.free.fr:
>> reconvertis pour le marché civil du fret. Ce qui devait très
>> logiquement faire baisser le coût de la location de la RAF. Or, les
>> grands acteurs du marché du fret, UPS en tête, Fedex voire DHL, se
>> sont désistés les uns
> après
>> les autres. C'est ainsi que le groupe européen a reporté
>> naturellement ce manque à gagner sur l'effort du MoD,
>
> Je pige mieux pourquoi l'Anglais a tiqué, du coup.
>
Disons qu'à vouloir le beurre, l'argent du beurre, la crémière et ses
soeurs...
--
Nono Le Rouje/RBC
ICQ: 52647517
MSN: nonolerouje at netcourrier.com (regrouper/remplacer at par @)
`All those moments will be lost in time like tears in rain. Time to die.'
VinMan
> the travel business calls VFR _ visiting friends and relatives.
Rigolo ça : eux aussi ils font du VFR.
VinMan
trafic
> international de passagers du ciel a en effet grimpé de 19,4 %,
Les collègues "opérationnels" confirment que le trafic a fichtrement grimpé,
même l'hiver dernier n'ayant rien de morose.
Morse
| marché du fret, UPS en tête, Fedex voire DHL, se sont désistés les uns après
| les autres.
Je suis sur que les Américains ne sont pour rien dans ce coup là.
--
47°36'57"N-002°50'15"W
news://news.free.fr/fr.rec.aviation & http://www.aviation-fr.info
Une mer calme n'a jamais fait un bon marin.
Proverbe anglais
Morse
Merci
--
47°36'57"N-002°50'15"W
news://news.free.fr/fr.rec.aviation & http://www.aviation-fr.info
Une mer calme n'a jamais fait un bon marin.
Proverbe anglais
"nectoco" <rcot...@SPAMclub-internet.fr> a écrit dans le message de
news:40e5a85e$0$307$7a62...@news.club-internet.fr...
|
|
|
nectoco
C'est marrant que chaque fois les américains soient soupçonnés de vouloir
casser les européens. o ))))
Roland
VinMan
> (...) avec quatre
> sièges de front pour accueillir au total quarante-quatre passagers.
Le charter n'est plus ce qu'il était !
;o)
Siva
> Source: Seattle Times du 30.06.2004
>
> Financial Times yesterday to take unspecified action on European government
> support for rival Airbus but said it was in no one's interest to start a
> trade war. "Trade wars, as they go on and on and on, are not in anybody's
> interest," Stonecipher told the London newspaper, denying that he wanted to
> take a case to the World Trade Organization (WTO). "Probably Airbus' biggest
> market is the U.S. market, so I don't think they want a trade case, and
> neither do we." Still, Stonecipher, said he would act this year against the
> alleged Airbus subsidies. European governments are financing nearly a third
> of the cost of the Toulouse, France-based plane maker's new A380 superjumbo
> jet. Airbus says the financing is in the form of repayable, market-rate
> loans that conform with the terms of a 1992 trade agreement between the
> United States and Europe. Airbus has also argued that Boeing receives
> indirect subsidies for its commercial aerospace business through Pentagon
> research-and-development money intended for its military programs.
At least Airbus is getting the loan which has to be repaid. But Boeing
is getting benefits from Washington State and the government which
they don't have to repay for ever. This case is totally unfair. Airbus
has developed an aircraft which is already sold out for years. Boeing
is not able to digest this and trying to make case agents its rival.
Boeing should better concentrate on developing a better product to
compete, not to try making a case which will hit back to itself. If we
look at the numbers, Boeing is in trouble than Airbus.
glitter
> Note interne. mardi, 29 juin 2004
>
> Deux Eurofighters de la Royal Air Force ont quitté la Grande-Bretagne le 27
> juin pour rejoindre Singapour.
> Les avions ont décollé du terrain de BAE Systems, à Warton, à 10h13, heure
> locale. Ces deux appareils seront déployés en Asie du Sud-Est pour une
> évaluation qui devrait durer deux semaines environ. Ces avions ont été
> retenus pour la phase finale du programme qui verra le remplacement des
> chasseurs actuels du pays par des avions de nouvelle génération.
2 petite question liés à ca.
Un poster, qui viendrait de singapour, sur différent forums dit que le
Rafale et l'Eurofighter ont eu des problemes à cause de la chaleurs et
que des pièces auraient fondus.
Il ajoute qu'il ne faut surtout pas acheter le Rafale car toutes les
docs sont en Francais et que les pilotes refusent de parler autre
chose que le francais.
^
si je suis presque sûr que le second argument est un mensonge pur et
simple, vous en savez plus au sujet de la première remarque ?
merci bien
VinMan
> Un poster, qui viendrait de singapour, sur différent forums dit que le
> Rafale et l'Eurofighter ont eu des problemes à cause de la chaleurs et
> que des pièces auraient fondus.
> vous en savez plus au sujet de la première remarque ?
Ca me rappelle juste Fernandel qui ne pouvait pas écrire parce que l'encre
gelait...