Explication de texte: Aimons- nous vivant (François Valéry)
marcellus55
C'est vrai : les paroles sont particulièrement… touchantes (oui, on
dit ça maintenant), mais n'oublions pas que Delanoë est à Lionel
Florence ce que France Gall est à Eve Angeli.
> Comme une envie de dire je t'aime
> Quand on est au bout de soi même
> Quand il n'y a plus aucune raison de le cacher
Ces conditions sont cumulatives : quand il n'a plus besoin de se
cacher ET qu'il est au bout de lui-même, François Valéry a envie de
dire je t'aime.
> Comme une envie de rêver tout haut
> Te dire enfin les mots qu'il faut
> Les mots faciles qui ont le pouvoir de déranger
Les mots faciles, là, on voit bien. Par contre, à mon avis, ce ne sont
pas les mots qui sont dérangés.
> Et ce soir,
> Je veux briser les ponts
> Du silence
Les ponts du silence… C'est soit le mur du silence, soit le pont des
soupirs, mais pas le pont du silence ou le mur des soupirs…
> Franchir le mur du son, le temps d'une chanson
Le mur du son, je sais pas, mais le mur du con, je pense qu'on l'a
passé depuis la première phrase.
{Refrain:}
> Aimons-nous vivants
Oui, c'est beaucoup plus pratique. D'autant qu'aimer une morte est
puni par la loi. Donc, soyons raisonnables, aimons-nous vivant.
> N'attendons pas que la mort nous trouve du talent
Non, n'attendons surtout pas parce que si François Valéry attend que
quelqu'un lui trouve du talent…
> Aimons-nous vivants
> S'il faut danser, je veux danser maintenant
> Aimons-nous vivants
> Aimons-nous debout
Pourquoi pas… Debout, assis, couché. François Valéry devait faire un
résumé du Kama Sutra dans cette chanson. Mais « aimons nous en faisant
la brouette pékinoise » ne cadrait pas avec le reste. La phrase étant
trop longue, le public de François Valéry risquait la rupture
d'anévrisme.
> Faisons la paix, faisons l'amour entre nous
A la limite, je veux bien faire la paix avec lui. Mais plus, non, j'ai
du mal.
> Aimons-nous surtout
> Pour ne plus jamais, jamais vivre à genoux
> Aimons-nous vivants
C'est bien clair maintenant ?
> Combien de larmes et de sourires
> De mots qu'on n'a pas osés dire
> Dieu que le silence est une arme qui fait souffrir!
A méditer. Y'a pas à dire, on a à faire à de la grande poésie.
> Combien d'amours inavouées
> Combien de passions condamnées
> Au nom de ceux qui ne pourront jamais en mourir?
Si quelqu'un peut m'expliquer cette strophe, je ne la comprends pas.
> Mais ce soir,
> On va se dépasser
> Faire la fête,
Super !!! Faire la fête avec François Valéry !!! Et après, réunion du
club des fans de lexhomil anonymes.
> Au nom de l'amitié, simplement pour chanter
> C'est vrai, on ne peut pas changer le monde
A qui le dite vous mon brave monsieur
> Je sais, mais je veux y croire une seconde
> Aimons-nous vivants
> Maintenant
Comme quoi, Lionel Florence n'a pas le monopole de la... chanson
touchante.
Matthieu
Pavlik Morozov
> > Combien d'amours inavouées
> > Combien de passions condamnées
> > Au nom de ceux qui ne pourront jamais en mourir?
>
> Si quelqu'un peut m'expliquer cette strophe, je ne la comprends pas.
Fastoche.
Comme vous le savez, Delanoë est influencé depuis toujours par Nostradamus.
Il essaie ici d'imiter une centurie fameuse de Michel de Nostredame afin de
nous indiquer un secret du futur entre les lignes.
Des amours inavouées, c'est bien entendu l'homosexualité
Des passions condamnées, c'est de toute évidence la bestialité homosexuelle
que "ceux qui ne pourront jamais en mourir" éprouvent, qui pour leur chien,
qui pour leur poney, qui pour leur hamster.
Quant à ceux qui ne pourront jamais en mourir, ce ne peut être que les
Boches - seuls êtres assez vils et bas pour ne pas se suicider de honte,
quand ils sont pris à génocider des juifs ou des tziganes, ou à sodomiser
leurs roquets.
Pour récrire de manière plus courte cette strophe, nous pourrions avoir:
Le vil Boche est pédéraste et bestial.
Voilà.
--
PGå
Les portes sont fermées
Les fenêtres sont vides
François PIGNON
"Pavlik Morozov" <akahhr(mortauspam)@yahoo.com> a écrit dans le message de
news:IpKdncTNpqV...@scarlet.biz...
Merde, quelle saloperie !!!
Le nazisme, né de la psychose
engendre des psychotiques.