lettre au president
JANE
la telé nous a donnée hier un temoignage bouleverversant de la
precatité en france,j'avoue que monsieur delarue a fait fort il nous a
montré la verité en face
tout d'abord les deux personnes agés qui vivent en caravane dans le
jardin de leur fille ,ensuite des couples ,des femmes seules,et tous
expulsés ou en phase de l'etre prochainement
et puis des marchands de sommeil a 70 euros la nuit pour qu
'on ne prenne pas leurs gosses
je n'ai pas su arreter les larmes qui coulaient sur mes joues
devant tant de tristesse .
pourquoi en 2008 voir un tableau pareil de la france!!!
on donne au banque des centaines de milliards
d'euros mais on laisse des hommes femmes le droit de finir une vie a la rue
et ne croyait pas que vous !!!oui vous qu 'un jour cela ne puisse pas vous
arrivez pour y etre demain
cela va si vite un emploi qui se perd ,une maladie
qui dure un peu trop longtemps,un enfant a assister sinon c'est la faillite
et la rue non je dis que non
il est impossible de continuer ainsi
ces faits me font revivre la pauvreté dans
laquelle je vecus ma jeunesse,le credit au magasin pour manger, les loyers
impayés de mes parents
, quand le proprio se montrait ma mére se cachait, nous les enfants avions
honte et avions la haine envers ce proprio qui venez reclamer son du!!
on lui disait (non non nos parents ne sont pas la) et puis la
honte au magasin devant les copains copines quand la vieille mathilde nous
disait !!alors vous allez dire a votre mere qu'il faut me payer !!!sinon je
ne donne plus rien,
merde alors monsieur le president vous les grands au
gouvernement reprenez vous
on est dans la mouise parce que les
banquiers ont fait joujoux avec les sous des travailleurs je regrette
c'est pas mes enfants qui vont payer leurs conneries
n'entendez vous vous pas comme la rue (gronde)
les couples ont un travail un salaire et
comment il faut payer les factures qui deviennent de plus en plus lourdes,on
regresse monsieur le president on(( regresse))
j'ai toujours dit aux enfants travaillez sinon vous
serez dans le mur ils m'ont ecoutés ils travaillent mais aujourd'hui j'ai
peur pour eux ,
que reste il aux ouvriers juste assez pour ne pas
crevez, allez poussez encore un petit peu et on va tous tomber dans ce trou
,que vous aurez creusez pour sauver les banquiers
simple constatation d'une mere de famille ouvriere
thea