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resume d' un texte

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DuquesnoyMapuce

unread,
Jan 11, 2005, 2:27:53 PM1/11/05
to
je passe le concours d 'assistante sociale et je dois faire un resume et j
aimerais avoir des explication sur la facon de le faire

Pierre Hallet

unread,
Jan 11, 2005, 2:40:17 PM1/11/05
to
DuquesnoyMapuce :

> je passe le concours d 'assistante sociale et je dois
> faire un resume et j aimerais avoir des explication
> sur la facon de le faire

Consultez peut-être cette page-ci :

<http://www.georgetown.edu/faculty/spielmag/courses/txt/resume.htm
>.

--
Pierre Hallet.
FAQ du forum fllf : <http://www.langue-fr.net/faq/faq.htm>.

(dito)

unread,
Jan 11, 2005, 3:13:47 PM1/11/05
to
duquesn...@aol.com (DuquesnoyMapuce) a eu inscrit dans le volumen
de fr.lettres.langue.francaise :

>je passe le concours d 'assistante sociale et je dois faire un resume et

>j'aimerais avoir des explications sur la facon de le faire

Cela existe encore ce genre d'épreuves ? On l'a supprimée du bac il y a
quatre ans et des BTS il y a plus longtemps.

1) Déterminer l'idée directrice du texte et donc ce que l'auteur veut
démontrer ou expliquer. Il vaut mieux résumer cela en une phrase avant
de commencer.

2) Lire le texte et encadrer les mots outils (mais, si, or, donc, à
cause de, en effet) en se limitant à ceux qui se rapportent à des
parties essentielles et non à des digressions ou des redites.

3) Souligner ensuite les mots clés du texte, ceux qui se rapportent aux
notions essentielles qui sont en jeu (thème du texte, idéologie de
l'auteur ou du texte contesté).

4) Tenter ensuite de dégager un plan de ce texte en 3, 4 ou 5 parties
que l'on peut peut-être regrouper en 2 avec des subdivisions. Rédiger
alors un titre pour chacune de ces parties et sous-parties. Indiquer
aussi les liens logiques entre chacune à partir de 2 (cause,
conséquence, but, condition, opposition, concession, addition,
gradation). Le plan se dégage à partir de 1, c'est une ramification de
l'idée directrice avec les transitions qui amènent du point de départ
(un fait, un exemple, une idée générale) au point d'arrivée (la
conclusion).

4) Déterminer une quantité de texte à récrire pour chacune des parties
et sous-parties. La proportion est en général d'un quart ou d'un
cinquième par rapport au texte de départ. Si on a une sous-partie de
cent caractères, il faudra faire une phrase de vingt caractères.

5) Tout est compté en mots. Les chiffres et les abréviations ne sont pas
admis. Un mot composé avec trait d'union vaut pour un (savoir-faire)
mais attention à l'orthographe ! Un petit mot comme « j' » vaut aussi
comme un mot à part entière, attention à la fausse concision.

6) Déterminer dans chaque partie ou sous-partie ce qui est idée et ce
qui est exemple ou illustration. On peut trapper l'exemple le plus
souvent et donc le mettre entre parenthèses dans le texte de départ,
mais l'exemple peut aussi être résumé s'il contient une idée par
lui-même. En tout cas, il faut éviter la redite de l'idée et de
l'exemple.

7) La proportion d'erreur de compte est de + ou - 10 %.

8) Il faut reformuler le propos de l'auteur. Cela se fait
a) par les synonymes ;
b) par des hyperonymes ou termes plus généraux et englobants (on n'a pas
à reprendre une énumération ou bien tous les termes spécifiques).
C'est une traduction, exactement comme en langues.

9) Il faut éviter trois écueils ; reprendre les mots de l'auteur tels
quels, surtout ses expressions typiques ; changer les opinions de
l'auteur ou la proportion qu'il accorde à des faits ; commenter ce que
dit l'auteur (on écrit comme si on était l'auteur).

10) Certains mots clés ne peuvent pas être changés (par exemple dans un
texte sur la démocratie, le mot démocratie s'impose) parce que ce sont
des mots clés. Surtout ne pas chercher à tout prix des synonymes pour
des mots courants ou essentiels.

Le commentaire doit montrer :
a) que l'on a compris le texte de départ et ses intentions ;
b) que l'on a analysé sa construction logique ;
c) que l'on est capable de reformuler le propos sans le trahir ;
d) que l'on possède une certaine richesse syntaxique et lexicale.
C'est un exercice *très* difficile et mal payé. Pour s'entraîner, il
faut se reporter aux annales de bac antérieures à 2000.

Frédérique

unread,
Jan 11, 2005, 3:43:16 PM1/11/05
to
(dito) écrivit à l'aide de son clavier AZERTY, QWERTY ou peut-être
QWERTZ :


> duquesn...@aol.com (DuquesnoyMapuce) a eu inscrit dans le volumen
> de fr.lettres.langue.francaise :
>
>> je passe le concours d 'assistante sociale et je dois faire un resume et
>> j'aimerais avoir des explications sur la facon de le faire
>
> Cela existe encore ce genre d'épreuves ? On l'a supprimée du bac il y a
> quatre ans et des BTS il y a plus longtemps.
>

> Le commentaire doit montrer :

Je crois que Mapuce doit faire un résumé, pas un commentaire de texte,
non ?

--
Frédérique

(dito)

unread,
Jan 11, 2005, 3:47:52 PM1/11/05
to
Frédérique <fmarred...@free.fr>, membre de la gens Gang des
moineaux, a eu inscrit dans le volumen de fr.lettres.langue.francaise :


>Je crois que Mapuce doit faire un résumé, pas un commentaire de texte,
>non ?

Je m'a gourré pour des raisons obscures (j'ai détesté donner des
résumés, les corriger ou préparer à cette épreuve). Je parlais du résumé
bien sûr. Il ne faut surtout pas faire intervenir ses propres opinions
ou commenter les opinions de l'auteur dans un résumé !

Isabelle Hamey

unread,
Jan 11, 2005, 3:58:04 PM1/11/05
to
"Frédérique" a écrit :

Avant d'arriver à un résumé, il faut passer par les étapes énumérées par
"(dito)". Dommage que vous les ayez zappées.


Isabelle

Frédérique

unread,
Jan 11, 2005, 4:05:18 PM1/11/05
to
(dito) écrivit à l'aide de son clavier AZERTY, QWERTY ou peut-être
QWERTZ :

Oui. Je me souviens que le résumé était le genre de devoir le plus
difficile en français au lycée (quand on le comparait au commentaire ou
à la dissertation)

Mais, hier comme aujourd'hui, c'est le plus formateur, je crois.
Comment résumer ce qu'a voulu dire l'auteur ? Cela demande un effort de
synthèse, de la concentration, de la rigueur, et il n'est pas besoin
d'avoir un avis perso, en plus... Résumer parfaitement un texte prouve
qu'on l'a compris, qu'on peut en tirer les idées principales et cela
oblige à se centrer sur le point de vue de l'auteur.
C'est le plus rigoureux des exercices.
Il déteste "les phrases" et la "littérature", au sens d'ornements
inutiles, en plus.

--
Frédérique

Frédérique

unread,
Jan 11, 2005, 4:06:53 PM1/11/05
to
Isabelle Hamey écrivit à l'aide de son clavier AZERTY, QWERTY ou
peut-être QWERTZ :


> "Frédérique" a écrit :
>>
>> (dito) écrivit à l'aide de son clavier AZERTY, QWERTY ou peut-être
>> QWERTZ :
>>
>>> duquesn...@aol.com (DuquesnoyMapuce) a eu inscrit dans le volumen
>>> de fr.lettres.langue.francaise :
>
>>>> je passe le concours d 'assistante sociale et je dois faire un resume et
>>>> j'aimerais avoir des explications sur la facon de le faire
>
>>> Cela existe encore ce genre d'épreuves ? On l'a supprimée du bac il y a
>>> quatre ans et des BTS il y a plus longtemps.
>
>>> Le commentaire doit montrer :
>
>> Je crois que Mapuce doit faire un résumé, pas un commentaire de texte,
>> non ?
>
> Avant d'arriver à un résumé, il faut passer par les étapes énumérées par
> "(dito)".

Tout faux !

> Dommage que vous les ayez zappées.

Et vous ?
C'est vrai que vous êtes bête, en fait.
(et je ne suis pourtant pas très méchante).

--
Frédérique

(dito)

unread,
Jan 11, 2005, 4:36:10 PM1/11/05
to
Frédérique <fmarred...@free.fr>, membre de la gens Gang des
moineaux, a eu inscrit dans le volumen de fr.lettres.langue.francaise :

>Oui. Je me souviens que le résumé était le genre de devoir le plus

>difficile en français au lycée (quand on le comparait au commentaire ou
>à la dissertation)

Il place la barre très haut, mais surtout différemment des autres
devoirs. On croit se rassurer avec le texte de départ comme filet parce
que l'on manquerait d'idées ou de connaissances, mais cela demande
exactement les mêmes compétences que pour le commentaire, la
dissertation et le sujet d'invention, sans aucune possibilité
d'esbrouffe ou de personnalisation. Le résultat était des notes
médiocres dans la plupart des cas, quelques-unes mauvaises et fort peu
de bonnes. Il avait été conçu au départ pour les élèves les plus faibles
afin de leur assurer un moyen de réussite sécurisant et c'est tout le
contraire qui s'est passé.

>Mais, hier comme aujourd'hui, c'est le plus formateur, je crois.

Je crois que j'ai plus appris en enseignant que je n'ai transmis alors.
C'est formateur, mais surtout pour les meilleurs élèves. Il y aurait
aussi énormément de choses à dire à propos du choix des textes qui
évoluaient dans une culture socio-ethnologico-psycho-politique
vasouillarde du Nouvel Obs, du Monde ou de leurs officines et affidés.
En BTS, ce devait être différent et on ne devait pas se taper des textes
remplis de métaphores à la mode chez les Frustrés. Je préfère résumer un
texte de Tocqueville qu'un machin de BHL ! L'un a du nerf, l'autre pas.

>C'est le plus rigoureux des exercices.
>Il déteste "les phrases" et la "littérature", au sens d'ornements
>inutiles, en plus.

Oui, mais il faut dire que c'est comme la traduction au sens noble : on
donne énormément, on reçoit peu. Et on gagne beaucoup intérieurement.

Frédérique

unread,
Jan 11, 2005, 9:19:53 PM1/11/05
to
(dito) écrivit à l'aide de son clavier AZERTY, QWERTY ou peut-être
QWERTZ :

> Frédérique <fmarred...@free.fr>, membre de la gens Gang des
> moineaux, a eu inscrit dans le volumen de fr.lettres.langue.francaise :

[à propos du résumé de texte]


>> Mais, hier comme aujourd'hui, c'est le plus formateur, je crois.

> C'est formateur, mais surtout pour les meilleurs élèves.

Chais pas. Ça ne dispense pas de pratiquer d'autres exercices
d'expression et de réflexion, qui sont également très formateurs, bien
sûr, mais il est vrai que savoir faire une synthèse d'une documentation
est le meilleur moyen de s'approprier un sujet, si technique soit-il,
dans la vie (professionnelle) en général.

> Il y aurait
> aussi énormément de choses à dire à propos du choix des textes qui
> évoluaient dans une culture socio-ethnologico-psycho-politique
> vasouillarde du Nouvel Obs, du Monde ou de leurs officines et affidés.

Je ne me souviens pas avoir eu ce type de texte à résumer, mais plutôt
des textes littéraires.
D'ailleurs des fois décourageants parce que tellement bien écrits qu'on
se demandait bien ce qu'on allait pouvoir en dégager avec nos propres
pauvres mots et s'il y avait matière à élaguer grand-chose d'un texte
qui semblait parfait. Je pense à Valéry, notamment.
On se rabattait alors sur le commentaire ou sur la dissert.
Une demi-heure passée à choisir le sujet !

Sinon, ça peut être intéressant de (faire) résumer un article de
presse, non ?

--
Frédérique

Anne

unread,
Jan 11, 2005, 9:26:52 PM1/11/05
to
Frédérique wrote:

> Sinon, ça peut être intéressant de (faire) résumer un article de presse,
> non ?

De nos jours ? Trois lignes la demi-page...

--
Anne
Moi, j'ai payé de mes clairs de lune de vouloir allonger les jours.
Claude Léveillée

Stéphane De Becker

unread,
Jan 12, 2005, 2:06:01 AM1/12/05
to
C'est très royalement que l'on se fout des mages
Car avec intérêt on ouit le ramage

de (dito) :

> Frédérique <fmarred...@free.fr>, membre de la gens Gang des
> moineaux, a eu inscrit dans le volumen de fr.lettres.langue.francaise :

>> Oui. Je me souviens que le résumé était le genre de devoir le plus
>> difficile en français au lycée (quand on le comparait au commentaire ou
>> à la dissertation)

> Il place la barre très haut, mais surtout différemment des autres
> devoirs. On croit se rassurer avec le texte de départ comme filet parce
> que l'on manquerait d'idées ou de connaissances, mais cela demande
> exactement les mêmes compétences que pour le commentaire, la
> dissertation et le sujet d'invention, sans aucune possibilité
> d'esbrouffe ou de personnalisation. Le résultat était des notes
> médiocres dans la plupart des cas, quelques-unes mauvaises et fort peu
> de bonnes.

Le concours d'entrée à l'administration belge (rang 10) ne comportait
(comporte encore ?) qu'une seule épreuve : le résumé d'une conférence d'une
vingtaine de minutes (défense de prendre des notes pendant la
conférence !) ; et puis seulement la discussion des arguments développés par
l'orateur.
J'arrivai environ cinquantième sur cent vingt. Cent vingt admis au stage,
dois-je préciser, car il y avait quelques 1 500 candidats, tous
universitaires. Mais la plupart incapables de résumer cette foutue
conférence.

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Stéphane De Becker

unread,
Jan 12, 2005, 2:53:26 AM1/12/05
to
C'est très royalement que l'on se fout des mages
Car avec intérêt on ouit le ramage

de Babacio :

> Dans quelques heures c'est moi le conférencier. Je me demande quelle
> proportion de l'assemblée sera capable de résumer ma foutue
> conférence.

C'est un test pour tout homme politique. Je me rappelle en avoir entendu
deux qui n'étaient pas exactement du même bord : Paul-Henri Spaak et
Jean-Louis Tixier-Vignancour. Tous deux avaient des idées claires et
percutantes.

> Tout dépend du nombre de personnes que je largue dans les 5 premières
> minutes, en fait. Tout l'art consiste à en garder le plus possible,
> après c'est tout cuit.

Et ce qui est pire, c'est que l'orateur sent que son public suit ou ne suit
pas. Le reprendre en main, c'est du grand art.

(dito)

unread,
Jan 12, 2005, 3:07:49 AM1/12/05
to
Babacio <bab...@free.fr>, membre de la gens Le Triangle, a eu inscrit

dans le volumen de fr.lettres.langue.francaise :


>Je crois que pour ce concours (entrée à l'école d'AS) il ne s'agit pas
>plutôt d'une synthèse (on a plusieurs documents, et on doit rédiger
>un document synthétique).

C'est possible, cela se pratique au lycée dans certaines disciplines
comme l'histoire-géographie, les sciences économiques et sociales (on
peut y ajouter aussi les travaux personnels encadrés que notre ministre
vient de supprimer contre toute logique pédagogique), et on retrouve
cela à l'université dans les formations du même domaine. De toute
manière, les écoles d'assistants sociaux (comme les écoles d'éducateurs
spécialisés, d'éducateurs de jeunes enfants) sont des établissements
privés qui fixent eux-mêmes leurs modalités de recrutement et qui ont
des concours différents d'un département à un autre, la seule condition
est l'égalité de traitement. La correction est néanmoins effectuée par
des profs de l'EN qui sont réquisitionnés. Si c'est une synthèse de
dossier, ce seront plus des profs de tertiaire, mais les nouvelles
épreuves de culture générale et de communication dans les classes
post-bac se rapprochent maintenant de cette démarche. Dans le cas de la
synthèse, il faut construire aussi un plan comme pour une dissertation
afin de comparer ensuite les faits. Si c'est un résumé, ce seront des
profs de français. Le texte unique peut être de longueur variable, la
proportion était une réduction de 400 à 100 mots en sections techniques,
de 800 à 200 mots en sections générales (il vaut mieux commencer par les
textes en technique), mais on avait des textes de 2 000 ou 4 000 mots
dans les classes de DUT ou de BTS, soit l'équivalent d'une page de
journal et en fait un vrai dossier. Il vaut mieux se renseigner sur la
nature de l'épreuve (résumé ou synthèse), son orientation (littéraire,
communication, sciences humaines), le statut des documents (on peut
avoir des graphiques, des témoignages, des images, des extraits
juridiques) et la longueur du texte ou du dossier, voire leur contenu
(une étude de cas en communication-vente pour un bac technique, cela
fait beaucoup de pages, mais le contenu est très basique). Je pense que
la barre se situe au niveau du bac et non de ce qui se pratique en
post-bac. L'école doit être en mesure de montrer les épreuves des années
précédentes qu'elle doit conserver en archives, il suffit de les
demander, cela épargne la moitié du travail, et si on a des rapports de
jurys c'est encore mieux...

Marion Gevers

unread,
Jan 12, 2005, 5:01:52 AM1/12/05
to
Le Tue, 11 Jan 2005 21:13:47 +0100, (dito) a écrit :
> duquesn...@aol.com (DuquesnoyMapuce) a eu inscrit dans le volumen
> de fr.lettres.langue.francaise :
>
>
> 6) Déterminer dans chaque partie ou sous-partie ce qui est idée et ce
> qui est exemple ou illustration. On peut trapper l'exemple le plus
> souvent et donc le mettre entre parenthèses dans le texte de départ,
> mais l'exemple peut aussi être résumé s'il contient une idée par
> lui-même.

Que signifie le verbe « trapper » ? Je l'ignore, et j'ai donc
consulté mon PR ; malheureusement celui-ci est muet à ce sujet.
Il y a la trappe, certes, mais je serais étonnée qu'il s'agisse
ici soit de piège, soit d'ordre monacal même houblonné...

Marion
--
Marion Gevers,
Newcastle, NSW, Australia
mar...@eepjm.newcastle.edu.au

Kiriasse

unread,
Jan 12, 2005, 6:11:08 AM1/12/05
to
Je présume qu'après tout ça « DuquesnoyMapuce », prise d'horribles
démangeaisons allergiques et d'hallucinations, va se renseigner sur les
dates d'inscription au concours permettant par exemple de devenir facteur
aux P.T.T. (petit travail paisible, dit-on, à ce qui est devenu La Poste).
Bon courage.
Kiriasse
http://www.kiriasse.fr


===
"(dito)" <desi...@alussinan.org> a écrit dans le message de news:
mia8u054k0mqmmsn1...@4ax.com...

DB

unread,
Jan 12, 2005, 6:17:35 AM1/12/05
to

"Kiriasse" :

> aux P.T.T. (petit travail paisible, dit-on, ą ce qui est devenu La Poste).

Ah, on disait P.T.P. dans votre famille ?


Isabelle Hamey

unread,
Jan 12, 2005, 6:23:38 AM1/12/05
to
DB wrote:
>
> "Kiriasse" :
>
> > aux P.T.T. (petit travail paisible, dit-on, à ce qui est devenu La Poste).

>
> Ah, on disait P.T.P. dans votre famille ?

R.A.T.P : rentre avec tes pieds

P.T.T. : petit travail tranquille


Isabelle

Message has been deleted

Kiriasse

unread,
Jan 12, 2005, 7:06:49 AM1/12/05
to
Lapsus, mon cher.
Paisible ou tranquille, quelle différence ?

===
"DB" <phed...@noos.fr> a écrit dans le message de news:
cs30da$o3b$1...@yucatan.franconews.org...
>
> "Kiriasse" :
>
>> aux P.T.T. (petit travail paisible, dit-on, à ce qui est devenu La

Isabelle Hamey

unread,
Jan 12, 2005, 7:11:56 AM1/12/05
to
Babacio a écrit :

> Isabelle Hamey.


> >> > aux P.T.T. (petit travail paisible, dit-on, à ce qui est devenu La Poste).

> >> Ah, on disait P.T.P. dans votre famille ?

> > R.A.T.P : rentre avec tes pieds

> > P.T.T. : petit travail tranquille

> Machin n'avait jamais compris la blague.

Un autre que j'avais oublié mais que je viens de lire ailleurs.

ANPE : avec nous, pas d'espoir.


Isabelle

Ork

unread,
Jan 12, 2005, 8:18:00 AM1/12/05
to
Marion Gevers <mar...@marion.newcastle.edu.au> a écrit :

>Le Tue, 11 Jan 2005 21:13:47 +0100, (dito) a écrit :
>> duquesn...@aol.com (DuquesnoyMapuce) a eu inscrit dans le volumen
>> de fr.lettres.langue.francaise :
>>
>>
>> 6) Déterminer dans chaque partie ou sous-partie ce qui est idée et ce
>> qui est exemple ou illustration. On peut trapper l'exemple le plus
>> souvent et donc le mettre entre parenthèses dans le texte de départ,
>> mais l'exemple peut aussi être résumé s'il contient une idée par
>> lui-même.
>
>Que signifie le verbe « trapper » ? Je l'ignore, et j'ai donc
>consulté mon PR ; malheureusement celui-ci est muet à ce sujet.
>Il y a la trappe, certes, mais je serais étonnée qu'il s'agisse
>ici soit de piège, soit d'ordre monacal même houblonné...

Faire passer à la trappe ?

--
Ork
« Pour toute illogique que soit »

joye

unread,
Jan 12, 2005, 8:27:04 AM1/12/05
to

"Ork"

> >> 6) Déterminer dans chaque partie ou sous-partie ce qui est idée et ce
> >> qui est exemple ou illustration. On peut trapper l'exemple le plus
> >> souvent et donc le mettre entre parenthèses dans le texte de départ,
> >> mais l'exemple peut aussi être résumé s'il contient une idée par
> >> lui-même.
> >
> >Que signifie le verbe « trapper » ? Je l'ignore, et j'ai donc
> >consulté mon PR ; malheureusement celui-ci est muet à ce sujet.
> >Il y a la trappe, certes, mais je serais étonnée qu'il s'agisse
> >ici soit de piège, soit d'ordre monacal même houblonné...
>
> Faire passer à la trappe ?

À l'attribut « trappeur », on voit l'étymologie qui nous dit que /trapper/
est de l'ancien français : . 1827; angl. trapper « qui chasse à la
trappe », de to trap; cf. a. fr. trapper (1530)

Je suppose qu'en français européen, on dirait « attraper », comme dans «
Attraper quelques bribes de conversation. Þ saisir, surprendre. »

Je note qu'il y a 6 260 occurrences de *trapper* en googlant
francophoniquement.

--
Joye

Ork

unread,
Jan 12, 2005, 8:29:24 AM1/12/05
to
"(dito)" <desi...@alussinan.org> nous a expliqué comment on fait un
résumé :

>1) Déterminer l'idée directrice du texte et donc ce que l'auteur veut
>démontrer ou expliquer. Il vaut mieux résumer cela en une phrase avant
>de commencer.
>

>2) (...)

Jamais je n'avais eu une explication aussi détaillée et claire sur la
marche à suivre. Réflexion faite, je ne me rappelle pas avoir eu
d'explication tout court avant aujourd'hui.

Frédérique

unread,
Jan 12, 2005, 4:50:48 PM1/12/05
to
Anne écrivit à l'aide de son clavier AZERTY, QWERTY ou peut-être QWERTZ
:


> Frédérique wrote:
>
>> Sinon, ça peut être intéressant de (faire) résumer un article de presse,
>> non ?
>
> De nos jours ? Trois lignes la demi-page...

Non, un exercice de synthèse qui permet de s'assurer de la
compréhension d'un texte "informatif".
Une analyse est peut-être plus pertinente (style "Arrêt sur image").
Que nos chères têtes blondes cessent de gober n'importe quoi.

Mais c'est peut-être peine perdue. Leurs aînés, 22-25 ans, bac + 4,
regardent la Star Ac et achètent Voici.
J'en suis sidérée.
Je dois tourner "vieille conne" mais, de mon temps, un "bac +4
universitaire" était une sorte de rebelle intello pourvu d'un esprit
critique acéré envers notre société de consommation.
Un esprit libre, qu'on pouvait parfois taxer d'austérité (je ne trouve
pas les mots exacts, ma génération étant hédoniste), mais quelqu'un
faisant partie de la frange "cultivée" de la société française. Pas
forcément gaucho, ce n'est pas ce que je veux dire. Un esprit, si ce
n'est éclairé, mais éduqué. A l'époque, il n'aurait pas lu "Waouh, je
lis Podium !" (réservé aux 12-15 ans neuneux et neuneudes).
Je ne plaisante pas. J'ai entendu à la téloche il n'y a pas deux
semaines, lors de reportages sur l'année nouvelle, des slogans "bonne
année, bonne santé, et surtout célébrité".
Sidérant.
Je vais choquer, mais si encore les gens voulaient du pognon...
Non, ils veulent leur quart d'heure de célébrité, en passant à la télé,
chez Fontaine et l'autre ou chez Delarue.

--
Frédérique
C'était mon quart d'heure énervé mais sincère.

(dito)

unread,
Jan 12, 2005, 5:00:43 PM1/12/05
to
Frédérique <fmarred...@free.fr>, membre de la gens Gang des
moineaux, a eu inscrit dans le volumen de fr.lettres.langue.francaise :

>Non, ils veulent leur quart d'heure de célébrité, en passant à la télé,
>chez Fontaine et l'autre

L'autre connard, c'est Bataille. Mais les deux peuvent se résumer dans
les deux crétins de la télé. Tout le monde comprend l'allusion, même
ceux qui n'ont pas la télé. Ils se partagent un neurone et ils en sont
fiers. Il faut les applaudir !

Message has been deleted

Frédérique

unread,
Jan 12, 2005, 5:32:14 PM1/12/05
to
Babacio écrivit à l'aide de son clavier AZERTY, QWERTY ou peut-être
QWERTZ :


> (dito)


>
>>> Non, ils veulent leur quart d'heure de célébrité, en passant à la télé,
>>> chez Fontaine et l'autre
>>
>> L'autre connard, c'est Bataille. Mais les deux peuvent se résumer dans
>> les deux crétins de la télé. Tout le monde comprend l'allusion, même
>> ceux qui n'ont pas la télé.
>

> Désolé de vous décevoir, mais je ne sais pas qui sont ces gens là, et
> leurs noms m'évoquent Brigitte et Georges.

RAV : rien à voir, c'est du TF1.
http://verite.fr.tc/

Euh... Ça fait longtemps que vous nous avez quitté, Babacio ? (heureux
homme).

--
Frédérique

Rafi

unread,
Jan 12, 2005, 5:39:35 PM1/12/05
to

"Babacio" <bab...@free.fr> a écrit dans le message de
news:m2d5wa7...@baba.ba...
| (dito)

|
| >>Non, ils veulent leur quart d'heure de célébrité, en passant à la
télé,
| >>chez Fontaine et l'autre
| >
| > L'autre connard, c'est Bataille. Mais les deux peuvent se résumer
dans
| > les deux crétins de la télé. Tout le monde comprend l'allusion,
même
| > ceux qui n'ont pas la télé.
|
| Désolé de vous décevoir, mais je ne sais pas qui sont ces gens là, et
| leurs noms m'évoquent Brigitte et Georges.

Qui sont Brigitte Bataille et Georges Fontaine ?

lamkyre

unread,
Jan 12, 2005, 5:41:21 PM1/12/05
to
Rafi a écrit :


> Qui sont Brigitte Bataille et Georges Fontaine ?

Qu'est-ce qu'on se marre !

--
lamkyre

joye

unread,
Jan 12, 2005, 5:43:15 PM1/12/05
to

"lamkyre"

> > Qui sont Brigitte Bataille et Georges Fontaine ?
>
> Qu'est-ce qu'on se marre !

Le goulag était mieux avant.

--
Joye

Rafi

unread,
Jan 12, 2005, 5:44:34 PM1/12/05
to

"lamkyre" <lam...@yahoo.fr> a écrit dans le message de
news:34lna4F...@individual.net...

| Rafi a écrit :
|
|
| > Qui sont Brigitte Bataille et Georges Fontaine ?
|
| Qu'est-ce qu'on se marre !

Je ne connais pas grand chose à la télévision. Surtout TF1.

lamkyre

unread,
Jan 12, 2005, 5:49:32 PM1/12/05
to
Rafi a écrit :

:o)

--
lamkyre

Message has been deleted
Message has been deleted

joye

unread,
Jan 12, 2005, 5:52:42 PM1/12/05
to

"Rafi"

> | > Qui sont Brigitte Bataille et Georges Fontaine ?
> |
> | Qu'est-ce qu'on se marre !
>
> Je ne connais pas grand chose à la télévision. Surtout TF1.

Ah, ça n'existe plus. Ils se sont déchaînés. Depuis un bon moment, cela
s'appelle TLFi.

--
Joye
\
>

Frédérique

unread,
Jan 12, 2005, 5:54:19 PM1/12/05
to
Monique Latrémouille écrivit à l'aide de son clavier AZERTY, QWERTY ou
peut-être QWERTZ :


> On Tue, 11 Jan 2005 22:05:18 +0100, Frédérique écrivait :
>> (dito) écrivit à l'aide de son clavier AZERTY, QWERTY ou peut-être
>> QWERTZ :


>>> Frédérique <fmarred...@free.fr>, membre de la gens Gang des
>>> moineaux, a eu inscrit dans le volumen de fr.lettres.langue.francaise :

>>>> Je crois que Mapuce doit faire un résumé, pas un commentaire de texte,
>>>> non ?
>>>
>>> Je m'a gourré pour des raisons obscures (j'ai détesté donner des
>>> résumés, les corriger ou préparer à cette épreuve). Je parlais du résumé
>>> bien sûr. Il ne faut surtout pas faire intervenir ses propres opinions
>>> ou commenter les opinions de l'auteur dans un résumé !
>>
>> Oui. Je me souviens que le résumé était le genre de devoir le plus
>> difficile en français au lycée (quand on le comparait au commentaire ou
>> à la dissertation)
>
> Je viens de voir ton résumé d'un article de fr.soc.histoire. En
> effet, la compréhension d'un texte n'a jamais dû être ton fort !

Ben voyons...

--
Frédérique

Anne

unread,
Jan 12, 2005, 6:24:38 PM1/12/05
to
lamkyre wrote:
> Rafi a écrit :
>>"lamkyre"
>>>Rafi a écrit :

>>>>Qui sont Brigitte Bataille et Georges Fontaine ?

>>>Qu'est-ce qu'on se marre !

>>Je ne connais pas grand chose à la télévision. Surtout TF1.

> :o)

Ça devient carrément ubuesque.

--
Anne

Stéphane De Becker

unread,
Jan 12, 2005, 11:41:19 PM1/12/05
to
C'est très royalement que l'on se fout des mages
Car avec intérêt on ouit le ramage

d'Anne :

> Ça devient carrément ubuesque.

Qui est Ubue ?

Message has been deleted

Marion Gevers

unread,
Jan 13, 2005, 5:49:07 AM1/13/05
to
Je ne sais pas, j'espère toujours que (dito) veuille bien m'honorer
d'une réponse...

Marion
--
Marion Gevers,
Newcastle, NSW, Australia
mar...@eepjm.newcastle.edu.au

(dito)

unread,
Jan 13, 2005, 7:23:04 AM1/13/05
to
Marion Gevers <mar...@marion.newcastle.edu.au>, membre de la gens The
University of Newcastle, a eu inscrit dans le volumen de
fr.lettres.langue.francaise :


>> Faire passer à la trappe ?
>>
>Je ne sais pas, j'espère toujours que (dito) veuille bien m'honorer
>d'une réponse...

J'ai oublié. C'est rejeter, exclure, occulter, mettre à l'écart,
abandonner, censurer, placardiser. Je trouve le verbe chez Dontchev dans
son dictionnaire d'argot. Cela doit être récent, le terme n'est pas chez
Caradec ou chez Colin, il doit avoir une dizaine d'années. Cela provient
de la Trappe, terme plus ancien pour un camp de relégation par analogie
avec les abbayes trappistes qui sont sous la règle du silence, mais
aussi avec la trappe plus ordinaire. Je préfère nettement ce verbe aux
mots familiers plus répandus comme shunter, zapper.

N.003

unread,
Jan 13, 2005, 11:26:43 AM1/13/05
to

Marion Gevers wrote:
>>
>> Faire passer à la trappe ?
>>

Passer à la trappe : être rejeté, tomber dans l'oubli. Homme politique,
projet qui passe à la trappe. (1845) (Selon le Petit Robert)


Anne

unread,
Jan 13, 2005, 11:39:44 AM1/13/05
to
Stéphane De Becker a écrit:
> Anne :

>> Ça devient carrément ubuesque.

> Qui est Ubue ?

Un type qui a une émission à la télé.

--
Anne

Stéphane De Becker

unread,
Jan 13, 2005, 12:07:49 PM1/13/05
to
C'est très royalement que l'on se fout des mages
Car avec intérêt on ouit le ramage

de Michel Guillou :

>>> Ça devient carrément ubuesque.

>> Qui est Ubue ?

> Mme Ubu.

Tout s'explique.

Stéphane De Becker

unread,
Jan 13, 2005, 12:14:11 PM1/13/05
to
C'est très royalement que l'on se fout des mages
Car avec intérêt on ouit le ramage

d'Anne :

>>> Ça devient carrément ubuesque.

>> Qui est Ubue ?

> Un type qui a une émission à la télé.

Tout se complique. (Avec Michel, au moins, je pouvais faire semblant de
comprendre)

Rafi

unread,
Jan 13, 2005, 2:18:24 PM1/13/05
to

"lamkyre" <lam...@yahoo.fr> a écrit dans le message de
news:34lnpeF...@individual.net...

Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle. TF1, c'est de la merde.

Marion Gevers

unread,
Jan 14, 2005, 4:44:13 AM1/14/05
to

Merci beaucoup. Moi, « zapper » me fait penser à un truc qui tue
les moustiques ! Emploie-t-on ce verbe indifféremment pour des
personnes et pour des objets, des concepts, des idées ?

(dito)

unread,
Jan 14, 2005, 2:20:14 PM1/14/05
to
Marion Gevers <mar...@marion.newcastle.edu.au>, membre de la gens The
University of Newcastle, a eu inscrit dans le volumen de
fr.lettres.langue.francaise :

>Moi, « zapper » me fait penser à un truc qui tue


>les moustiques ! Emploie-t-on ce verbe indifféremment pour des
>personnes et pour des objets, des concepts, des idées ?

On zappe d'abord les émissions télévisées à l'aide de la zapette (le
piton des Québécois). Ensuite, de manière métaphorique, on peut zapper
tout contenu : un chapitre de roman, une partie d'exposition artistique,
une explication lors d'un cours. Puis, on peut zapper les individus
eux-mêmes : l'élève zappe son prof en se livrant à une activité plus
utile (manucure, tag au blanc, morpion, consulation du portable,
commérages, dégustation et lancer de chewing-gums, fabrication d'avions
en papier), mais le prof peut lui aussi zapper ses élèves, il lui suffit
d'ignorer un doigt obstinément levé ou un nom dans la liste
alphabétique. Ce verbe présente l'avantage alors de ne pas avoir à
utiliser le verbe « sauter » (Oh ! zut ! j'ai sauté la petite
Jessica...) La version Usenet du zapping peut-être la boîtakon, mais
aussi le fait de marquer des articles comme lus sans les ouvrir, on ne
zappe pas une personne mais le contenu des articles écrits par une
personne et celle-ci est là par métonymie. Il y a encore le sens de
zapping comme papillonnage et écoute ou lecture superficielle, mais
c'est juste une atténuation.

Message has been deleted

joye

unread,
Jan 14, 2005, 8:09:21 PM1/14/05
to

"Michel Guillou"

> > Ensuite, de manière métaphorique, on peut zapper
> > tout contenu : un chapitre de roman, une partie d'exposition artistique,
> > une explication lors d'un cours.
>

> On peut zapper toute une partie du programme à réviser. Cela revient à
faire
> une impasse.

N'oublions pas, non plus, que Frank zappa.

--
Joye

chris...@netcourrier.com

unread,
Jan 14, 2005, 8:30:52 PM1/14/05
to
Marion Gevers :

> Moi, « zapper » me fait penser à un
> truc qui tue les moustiques !

En anglais d'Australie, comment dit-on lorsqu'on passe rapidement d'une
chaîne de télévision à une autre?

joye

unread,
Jan 14, 2005, 8:37:40 PM1/14/05
to

<chris...@netcourrier.com>

Chez moi (aux USA, très loin de l'Australie, j'avoue) c'est du "channel
surfing".

"Zap", c'est pour parler de la cuisson dans le four à micro-ondes.

:-)

--
Joye

chris...@netcourrier.com

unread,
Jan 14, 2005, 8:59:20 PM1/14/05
to

Mais où diable le Merriam-Webster online est-il allé chercher son
"zap [2 verb] 3 : to avoid watching(as a television commercial)"
éviter de regarder (par exemple la pub à la télé)?

joye

unread,
Jan 14, 2005, 9:14:58 PM1/14/05
to

<chris...@netcourrier.com>

>Mais où diable le Merriam-Webster online est-il allé chercher son
>"zap [2 verb] 3 : to avoid watching(as a television commercial)"
>éviter de regarder (par exemple la pub à la télé)?

Aucune idée. Je ne dois pas regarder assez de téloche quoi.

--
Joye

Stéphane De Becker

unread,
Jan 14, 2005, 11:56:35 PM1/14/05
to
C'est très royalement que l'on se fout des mages
Car avec intérêt on ouit le ramage

dechri...@netcourrier.com :

> joye wrote:

>>> En anglais d'Australie, comment
>>> dit-on lorsqu'on passe rapidement d'une
>>> chaîne de télévision à une autre?

>> Chez moi (aux USA, très loin de l'Australie,
>> j'avoue) c'est du "channel surfing".

>> "Zap", c'est pour parler de la cuisson
>> dans le four à micro-ondes.
>
> Mais où diable le Merriam-Webster online est-il allé chercher son
> "zap [2 verb] 3 : to avoid watching(as a television commercial)"
> éviter de regarder (par exemple la pub à la télé)?

Sans doute une invention comme celle du Cambridge Advanced Learner's
Dictionary(http://dictionary.cambridge.org/define.asp?key=92141&dict=CALD) :

"2 [I usually + adverb or preposition] MAINLY US INFORMAL to use an
electronic device to change television channels quickly, sometimes to avoid
watching advertisements" (utiliser un appareil électronique pour changer
rapidement de chaîne de télévision, parfois pour éviter de regarder des
publicités).

Je me refuse à traduire "MAINLY US INFORMAL" pour ne pas mettre de sel sur
la plaie.

jean b.

unread,
Jan 15, 2005, 3:04:33 AM1/15/05
to
bonjour,

le [15/01/2005 02:59:20], vous, *chris...@netcourrier.com*,
déclariez :

> Mais où diable le Merriam-Webster online est-il allé chercher son
> "zap [2 verb] 3 : to avoid watching(as a television commercial)"
> éviter de regarder (par exemple la pub à la télé)?

<Hachette Oxford>
zap [!]*/ zæp /
I noun (energy) tonus m.
II exclamation paf!
III transitive verb (p prés etc -pp-)
1 (destroy) détruire [town]; tuer [person, animal];
2 (fire at) tirer sur [person];
3 (stun) assommer;
4 (treat) traiter; to zap a tumour with a laser traiter une tumeur
au laser; to zap food with
radiation irradier la nourriture;
5 computing (delete) supprimer [word, data].
IV intransitive verb (p prés etc -pp-) (move quickly) to zap into
town/a shop faire un saut[!] en ville/
dans un magasin; to zap from channel to channel zapper[!].
</Hachette-Oxford>

(*[!] signifie /informal/)

bonne journée,

--
jean b.

Marion Gevers

unread,
Jan 15, 2005, 6:37:56 AM1/15/05
to
Le Sat, 15 Jan 2005 09:04:33 +0100, jean b. a écrit :
> bonjour,
>
> le [15/01/2005 02:59:20], vous, *chris...@netcourrier.com*,
> déclariez :
>
>> Mais où diable le Merriam-Webster online est-il allé chercher son
>> "zap [2 verb] 3 : to avoid watching(as a television commercial)"
>> éviter de regarder (par exemple la pub à la télé)?
>
><Hachette Oxford>
> zap [!]*/ zæp /
> I noun (energy) tonus m.
> II exclamation paf!
> III transitive verb (p prés etc -pp-)
> 1 (destroy) détruire [town]; tuer [person, animal];
> 2 (fire at) tirer sur [person];
> 3 (stun) assommer;

Vous voyez donc pourquoi ça me fait penser à un truc pour tuer les
moustiques...

Marion Gevers

unread,
Jan 15, 2005, 6:35:36 AM1/15/05
to
Flicking through the channels. Mais je ne crois pas que ce soit
particulier à l'anglais australien.

chris...@netcourrier.com

unread,
Jan 15, 2005, 7:17:16 AM1/15/05
to

Marion Gevers (à propos du verbe zapper) :
>
> Flicking through the channels.

Rien à voir a priori avec notre "flicage" policier, mais ça pourrait,
dans une salle de surveillance video. En anglais "a flick" est - ou
était? - un mot d'argot qui veut dire "film", parce qu'il évoque la
rapidité. Le mot "video clip" (en français "clip video") évoque lui
aussi la rapidité avec la parenté avec le "clipper" (même
orthographe en français et en anglais) un grand navire à voile très
rapide.

Olivier Miakinen

unread,
Jan 15, 2005, 6:04:20 PM1/15/05
to
Le 15/01/2005 02:30, chris...@netcourrier.com a écrit :
>
>> [ « zapper » ]
>
> En anglais [...]

Je me trompe, ou le zapping est un mot exclusivement français ?

joye

unread,
Jan 15, 2005, 10:04:33 PM1/15/05
to

"Olivier Miakinen"

> >> [ « zapper » ]
> >
> > En anglais [...]
>
> Je me trompe, ou le zapping est un mot exclusivement français ?

http://www.google.com/search?hl=en&q=zapping&btnG=Google+Search

chris...@netcourrier.com

unread,
Feb 5, 2005, 10:17:34 AM2/5/05
to
DuquesnoyMapuce :

> je passe le concours d 'assistante
> sociale et je dois faire un resume et j
> aimerais avoir des explication sur
> la facon de le faire

Bien qu'ils aient encore quelques années devant eux pour se présenter
à un concours d'entrée dans la fonction publique, les élèves de
l'École des Pervenches, à Carouge dans le canton de Genève, qui
n'ignorent rien de la dureté du monde dans lequel nous vivons, ont le
sens du résumé qui va à l'essentiel :

"Le Fait divers: Quelques brèves écrites par les élèves"

http://minilien.com/?S6LbG3gZwq

jelbe...@gmail.com

unread,
Jan 9, 2018, 9:14:06 AM1/9/18
to
Le mardi 11 janvier 2005 20:27:53 UTC+1, DuquesnoyMapuce a écrit :
> je passe le concours d 'assistante sociale et je dois faire un resume et j
> aimerais avoir des explication sur la facon de le faire

zaeeeeeeeee

naima.ab...@gmail.com

unread,
Dec 31, 2018, 3:27:08 PM12/31/18
to
Le mardi 11 janvier 2005 20:27:53 UTC+1, DuquesnoyMapuce a écrit :
> je passe le concours d 'assistante sociale et je dois faire un resume et j
> aimerais avoir des explication sur la facon de le faire

oui

Paul Aubrin

unread,
Jan 1, 2019, 7:37:34 AM1/1/19
to
Faire un résumé n'est pas un exercice de langue : la façon d'élaguer les
idées secondaires et de condenser les idées principales dépend très peu
de la langue du texte à résumer. Deux types de textes sont difficiles à
résumer: les textes denses où l'on risque d'éliminer les points
marquants, et les textes creux où l'on risque de tout supprimer.
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