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La main de ma soeur

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Tardigradus

unread,
Sep 29, 2008, 1:07:20 AM9/29/08
to
Bonjour,

QUelle est l'origine de cette expression : ma ain de masoeur dans la
culotte d'un zouave ? Et a-t-elle un sens particulier ?

Merci,

--
Tardigradus

Anne G

unread,
Sep 29, 2008, 2:00:54 AM9/29/08
to
Tardigradus wrote:

> Bonjour,

> QUelle est l'origine de cette expression : la main de ma soeur dans la


> culotte d'un zouave ? Et a-t-elle un sens particulier ?

> Merci,

Le sens que je lui ai toujours connu, c'est « mon oeil en parachute »,
en belge. « Je ne te crois pas », en français universel.

Pour l'origine, sais pas...

--
http://2graphistesencavale.blogspot.com/

Jeffbie

unread,
Sep 29, 2008, 5:01:30 AM9/29/08
to
Pensant avoir bien réfléchi, Tardigradus répondit celi et ceça :

> QUelle est l'origine de cette expression : ma ain de masoeur dans la
> culotte d'un zouave ? Et a-t-elle un sens particulier ?

Oui : vertical et alternatif.

--
"Tu vis pas ici dans ta maison :
tapissée partout mais pas dans les toilettes."


Tardigradus

unread,
Sep 29, 2008, 7:12:40 AM9/29/08
to
Jeffbie <jef...@citrus.fr> wrote:

> Oui : vertical et alternatif.

Arf. Vu comme ça, ça pourrait aussi bien être de la bicyclette...

Et plus sérieusement ?
--
Tardigradus

Tardigradus

unread,
Sep 29, 2008, 7:22:06 AM9/29/08
to
Anne G <ann.g...@gmail.com.invalid> wrote:

> Le sens que je lui ai toujours connu, c'est « mon oeil en parachute »,
> en belge. « Je ne te crois pas », en français universel.

Un peu comme : et la marmotte... ?

C'est une expression que j'ai toujours connue dans un emploi détourné,
des chansons, des sketches, un allusion au détour d'un dialogue dans un
roman... Mais en fait je m'aperçois que je n'ai jamais su ce qu'elle
voulait dire ni d'où elle sortait. Elle ne doit pas être très eune, car
il n'y a plus de zouaves depuis longtemps, sauf au pont de l'Alma. Bien
que j'aie remarqué cet été beaucoup de jeunes femmes portant des
pantalons qui n'étaient pas sans rappeler sa fameuse culotte.

--
Tardigradus

Kiriasse

unread,
Sep 29, 2008, 8:26:32 AM9/29/08
to
Cette expression est salace et évoque des plaisirs défendus.
C'est peut-être pour cela que la main de Tardigradus a tremblé en tapant la
question...
Elle me rappelle l'histoire de cette fille qui se plaignait à une copine de
l'avoir emmenée dans un bal fréquenté par des militaires : «Je n'aime pas
danser avec un zouave, on ne peut pas savoir ce qu'il pense... ».
Kiriasse
Répondant à

===
"Tardigradus"

dphn

unread,
Sep 29, 2008, 8:50:29 AM9/29/08
to
Kiriasse :

> Cette expression est salace ...


> Elle me rappelle l'histoire de cette fille qui se plaignait à une copine de
> l'avoir emmenée

Qui a emmené qui ? Est-ce "cette fille" qui a emmené sa copine au bal
des zouaves ? (mais dans ce cas pourquoi s'en plaindrait-elle) ou
n'est-ce pas plutôt la "copine" qui se plaint auprès de "cette fille"
que celle-ci l'ait entrainée dans un endroit aussi mal famé ?

Je ne pourrai pas profiter du sel de votre histoire tant que vous
n'aurez pas éclairci ce passage obscur.

N'oubliez pas que mes neurones ont été bouffés aux mites.

> dans un bal fréquenté par des militaires : «Je n'aime pas
> danser avec un zouave, on ne peut pas savoir ce qu'il pense... ».

--
dphn


Tardigradus

unread,
Sep 29, 2008, 9:39:59 AM9/29/08
to
"Kiriasse" <http://www.kiriasse.fr/mailtokir/mailtokir.html> wrote:

> Cette expression est salace et évoque des plaisirs défendus.

Certainement pas ! Je ne vois absolument pas en quoi les plaisirs que
vous évoquez seraient défendus, ni par qui, d'ailleurs ! Le seraient-ils
que ça n'en serait que meilleur, la désobéissance ajoutant du piment à
la chose, et le spectacle de la rage des bien-pensants un zeste de
jubilation.

--
Tardigradus

Kiriasse

unread,
Sep 29, 2008, 9:59:12 AM9/29/08
to
Je pense que vous êtes plus jeune que moi... Mais être moderne donnerai-il
tous les droits et supprimerait-il tous les interdits et cette
désapprobation qui remonte à l'histoire d'Onan ?
La jeunesse ne s'étonnerait-elle plus, comme moi quand j'ai découvert ce
livre de pédagogie, il y a pas mal d'années, que « Libres enfants de
Summerhill » fasse l'apologie de la masturbation ?
Kiriasse
Répondant à

===
"Tardigradus"

Bernard Cordier

unread,
Sep 29, 2008, 10:04:12 AM9/29/08
to

"Kiriasse" <http://www.kiriasse.fr/mailtokir/mailtokir.html> a écrit dans le
message de news:48e0df24$0$904$ba4a...@news.orange.fr...

> Je pense que vous êtes plus jeune que moi... Mais être moderne donnerai-il
> tous les droits

Ne pas être jeune donnerait-il des droits sur l'orthographe ?

Kiriasse

unread,
Sep 29, 2008, 10:10:54 AM9/29/08
to
Je redonne ma phrase puisque vous l'avez découpée de façon à lui faire
perdre son sens.
<cit.>

Elle me rappelle l'histoire de cette fille qui se plaignait à une copine de
l'avoir emmenée dans un bal fréquenté par des militaires : «Je n'aime pas
danser avec un zouave, on ne peut pas savoir ce qu'il pense... ».
</cit.>
Je peux ainsi constater que, décidément, les quelques neurones qui vous
restent sont vraiment bouffés aux mites.
Je ne trouve rien d'incorrect à ma phrase (je ne parle pas du sens).
Kiriasse
Répondant à

===
"dphn" <dp...@alussinan.org> a écrit dans le message de news:
mn.eb7a7d899...@alussinan.org...

Kiriasse

unread,
Sep 29, 2008, 10:14:24 AM9/29/08
to
Non, mais la presbytie nuit à la correction des fautes de frappe.
Kiriasse
Répondant à

===
"Bernard Cordier"

dphn

unread,
Sep 29, 2008, 10:43:20 AM9/29/08
to
Kiriasse :

> Je redonne ma phrase puisque vous l'avez découpée de façon à lui faire
> perdre son sens.
>
> <cit.>
> Elle me rappelle l'histoire de cette fille qui se plaignait à une copine de
> l'avoir emmenée dans un bal fréquenté par des militaires : «Je n'aime pas
> danser avec un zouave, on ne peut pas savoir ce qu'il pense... ».
> </cit.>

Vous avez un de ces toupets... J'ai reproduit votre phrase sans y
changer la moindre lettre, il est facile de le vérifier.

Mais puisque vous estimez que ma copie scrupuleuse n'a aucun sens, vous
reconnaissez implicitement que votre originale n'en a pas davantage. Je
suis flatté que pour une fois vous vous rendiez d'aussi bon gré à mes
arguments.

> Je peux ainsi constater que, décidément, les quelques neurones qui vous
> restent sont vraiment bouffés aux mites.

Je suppose que vous n'en êtes pas trop surpris.

> Je ne trouve rien d'incorrect à ma phrase (je ne parle pas du sens).

Ah ? Vous regrettez déjà d'avoir admis votre erreur ?

--
dphn


Kiriasse

unread,
Sep 29, 2008, 10:58:56 AM9/29/08
to
Vous êtes sûr d'avoir les yeux en face des trous ?
Kiriasse

===
"dphn" <dp...@alussinan.org> a écrit dans le message de news:

mn.ebeb7d899...@alussinan.org...

dphn

unread,
Sep 29, 2008, 11:49:44 AM9/29/08
to
Kiriasse :

> Vous êtes sûr d'avoir les yeux en face des trous ?

Au moins autant que vous. Mais pourquoi me posez-vous cette question ?
Aurais-je commis une erreur quelque part ?

--
dphn


kduc

unread,
Sep 29, 2008, 12:02:15 PM9/29/08
to
Bernard Cordier a écrit :
Hi, hi, vous l'avez bien eu... Bravo !

--
kd

Tardigradus

unread,
Sep 29, 2008, 1:42:58 PM9/29/08
to
"Kiriasse" <http://www.kiriasse.fr/mailtokir/mailtokir.html> wrote:

> Je pense que vous êtes plus jeune que moi...

Probablement, mais pas tant que ça. Un chose est sûre, je ne suis ni cul
serré, ni cul-bénit.

> Mais être moderne donnerai-il
> tous les droits et supprimerait-il tous les interdits et cette
> désapprobation qui remonte à l'histoire d'Onan ?

Elle peut bien remonter à qui elle veut je serais fort intéressé d'y
voir une interdiction fondée sur la Raison, et pas sur une quelqconque
pruderie de vieille bigote.

> La jeunesse ne s'étonnerait-elle plus, comme moi quand j'ai découvert ce
> livre de pédagogie, il y a pas mal d'années, que « Libres enfants de
> Summerhill » fasse l'apologie de la masturbation ?

En quoi la masturbation est-elle nuisible ? et à qui ?

En attendant, et encore une fois, ce fil dévie sur des considération à
la con et je n'ai pas de piste pour répondre à ma question initiale...

--
Tardigradus

Serge Paccalin

unread,
Sep 29, 2008, 3:27:24 PM9/29/08
to
Le lundi 29 septembre 2008 à 07:07:20, Tardigradus a écrit dans
fr.lettres.langue.francaise :

> Bonjour,
>
> QUelle est l'origine de cette expression : ma ain de masoeur dans la
> culotte d'un zouave ? Et a-t-elle un sens particulier ?

Il est question de branlette, je crois. Les zouaves portaient des
pantalons très amples et supposés bien remplis.

Un détournement tragi-comique de l'expression :

<http://fr.youtube.com/watch?v=lQBl60H3Jjw>

--
___________
_/ _ \_`_`_`_) Serge PACCALIN -- sp ad mailclub.net
\ \_L_) Il faut donc que les hommes commencent
-'(__) par n'être pas fanatiques pour mériter
_/___(_) la tolérance. -- Voltaire, 1763

Vs

unread,
Sep 29, 2008, 4:25:51 PM9/29/08
to
L'antéclaviste Tardigradus a pianoté :

> Bonjour,
>
> QUelle est l'origine de cette expression : ma ain de masoeur dans la
> culotte d'un zouave ? Et a-t-elle un sens particulier ?
>
Si quelqu'un a sous la main de sa sœur « Le Bouquet des expressions
imagées : encyclopédie thématique des locutions figurées de la langue
française » de Claude Duneton et Sylvie Claval, il pourra mieux vous
aider.
L'expression se trouve dans « Manon des sources », mais a une origine
antérieure chez les comiques de caf'conç' du début du siècle dernier.
Elle signifie que ce qui vient d'être dit est ridiculement improbable.
Elle est assez proche de « Et mon cul, c'est du poulet ! » ou, plus
récemment de « Et alors, la marmotte, elle met le chocolat dans le
papier d'alu. »

Vs
en oublie sûrement.

Tardigradus

unread,
Sep 30, 2008, 3:06:05 AM9/30/08
to
Vs <chb...@courrielchaud.org> wrote:

> Elle signifie que ce qui vient d'être dit est ridiculement improbable.
> Elle est assez proche de « Et mon cul, c'est du poulet ! » ou, plus
> récemment de « Et alors, la marmotte, elle met le chocolat dans le
> papier d'alu. »

merci beaucoup. Il faudrait donc comprendre que la main de ma soeur n'a
pas la moindre chance de visiter la culotte du zouave, qui serait
pourtant abondamment garnie, c'est ça ?

--
Tardigradus

Message has been deleted

Vs

unread,
Sep 30, 2008, 5:40:34 AM9/30/08
to
L'antéclaviste Tardigradus a pianoté :
> Vs rote :

>
>> Elle signifie que ce qui vient d'être dit est ridiculement
>> improbable. Elle est assez proche de « Et mon cul, c'est du poulet !
>> » ou, plus récemment de « Et alors, la marmotte, elle met le
>> chocolat dans le papier d'alu. »
>
> merci beaucoup. Il faudrait donc comprendre que la main de ma soeur
> n'a pas la moindre chance de visiter la culotte du zouave, qui serait
> pourtant abondamment garnie, c'est ça ?

Effectivement, c'est totalement impensable. Nous sommes au début du 20e
siècle, votre sour est une sainte, comme votre mère, et seule une femme
de mauvaise vie aurait ce genre de comportement absolument révoltant.

Vs
Berk, berk, berk !


Kiriasse

unread,
Sep 30, 2008, 7:09:15 AM9/30/08
to
Vous soutenez donc que l'expression « la main de ma soeur dans la culotte
d'un zouave » n'a aucune connotation salace ?
Kiriasse
Répondant à

===
"Vs"

Tardigradus

unread,
Sep 30, 2008, 7:52:47 AM9/30/08
to
Tamtam <Tam...@debrousse.org> wrote:

> Elle rend sourd, dit-on !

Comment ? J'entends rien !
--
Tardigradus

Vs

unread,
Sep 30, 2008, 2:41:12 PM9/30/08
to
L'antéclaviste Kiriasse a pianoté :
> "Vs"

>> L'expression se trouve dans « Manon des sources », mais a une origine
>> antérieure chez les comiques de caf'conç' du début du siècle dernier.
>> Elle signifie que ce qui vient d'être dit est ridiculement
>> improbable. Elle est assez proche de « Et mon cul, c'est du poulet
>> ! » ou, plus récemment de « Et alors, la marmotte, elle met le
>> chocolat dans le papier d'alu. »

> Vous soutenez donc que l'expression « la main de ma soeur dans la


> culotte d'un zouave » n'a aucune connotation salace ?

La connotation est une nuance sémantique de nature affective, propre à
un groupe de locuteurs. Il est donc totalement possible que dans un
groupe donné, restreint, une connotation salace ait été ajoutée à cette
expression. Toutefois, cette connotation n'est pas communément partagée
par les locuteurs de langue française. Ce n'est pas ce que l'expression
dénote.
Le sens initial et communément partagé est, au contraire, un rapport de
similarité entre l'évènement totalement improbable qui vient d'être
évoqué et la quasi-impossibilité que la main de cette sœur puisse ne
serait-ce qu'effleurer la culotte de ce zouave. Reportez-vous à
l'ouvrage de référence que j'ai cité.

Il va de soi qu'une personne totalement obsédée, par goût ou par
réaction, qui recherche le plaisir en tout lieu ou qui y voit le mal,
pourra également trouver une connotation salace à un très large éventail
d'expressions, dont celle-là.

Vs
Toute ressemblance avec... Fortuite !

Kiriasse

unread,
Sep 30, 2008, 2:52:45 PM9/30/08
to
On ne peut actuellement employer cette expression sans qu'une intention pour
le moins grivoise n'y soit associée. Nul besoin d'être obsédé pour cela.
Cette expression est donc à éviter, sauf pour une plaisanterie dans quelque
salle de garde.
Cela dit pour votre gouverne personnelle.
Kiriasse
Répondant à

===
"Vs"


La connotation est une nuance sémantique de nature affective, propre à
un groupe de locuteurs. Il est donc totalement possible que dans un
groupe donné, restreint, une connotation salace ait été ajoutée à cette
expression. Toutefois, cette connotation n'est pas communément partagée
par les locuteurs de langue française. Ce n'est pas ce que l'expression
dénote.
Le sens initial et communément partagé est, au contraire, un rapport de
similarité entre l'évènement totalement improbable qui vient d'être

évoqué et la quasi-impossibilité que la main de cette s½ur puisse ne

Vs

unread,
Sep 30, 2008, 3:09:54 PM9/30/08
to
L'antéclaviste Kiriasse a pianoté :
> "Vs"

>> La connotation est une nuance sémantique de nature affective, propre
>> à un groupe de locuteurs. Il est donc totalement possible que dans un
>> groupe donné, restreint, une connotation salace ait été ajoutée à
>> cette expression. Toutefois, cette connotation n'est pas communément
>> partagée par les locuteurs de langue française. Ce n'est pas ce que
>> l'expression dénote.
>> Le sens initial et communément partagé est, au contraire, un rapport
>> de similarité entre l'évènement totalement improbable qui vient

>> d'être évoqué et la quasi-impossibilité que la main de cette sœur


>> puisse ne serait-ce qu'effleurer la culotte de ce zouave.
>> Reportez-vous à l'ouvrage de référence que j'ai cité.
>>
>> Il va de soi qu'une personne totalement obsédée, par goût ou par
>> réaction, qui recherche le plaisir en tout lieu ou qui y voit le mal,
>> pourra également trouver une connotation salace à un très large
>> éventail d'expressions, dont celle-là.

> On ne peut actuellement employer cette expression sans qu'une


> intention pour le moins grivoise n'y soit associée. Nul besoin d'être
> obsédé pour cela. Cette expression est donc à éviter, sauf pour une
> plaisanterie dans quelque salle de garde.
> Cela dit pour votre gouverne personnelle.

Vous n'indiquez pas votre groupe de référence, dont je ne suis
certainement pas, mais vous semblez vouloir étendre sa conception du
monde à l'ensemble des individus parlant français.
Je suis assez intéressé par les moyens que vous comptez employer à cet
usage.

Vs
À moins que... Un K2 ?

Nestor le pingouin pour la France

unread,
Sep 30, 2008, 7:10:09 PM9/30/08
to
Vs a écrit:

J'avais vu une pièce de Jacqueline Maillan où elle chantait à un moment
une chanson sur sa pauvre soeur qui avait eu la main coupée, laquelle
était tombée dans la Seine, et flottait en direction du pont de l'Alma.

Retrouvé ! (c'est d'avant la pièce que j'ai vue dans les années 80) :

http://fr.youtube.com/watch?v=lQBl60H3Jjw

--
« Takogo kak Poutine »
« Sie verlassen den amerikanischen Sektor »
Traité de Lisbonne = TCE bis = forfaiture, viol de la démocratie
Il est nul et non avenu

Anne G

unread,
Oct 1, 2008, 1:15:17 AM10/1/08
to
Nestor le pingouin pour la France wrote:


> J'avais vu une pièce de Jacqueline Maillan où elle chantait à un moment
> une chanson sur sa pauvre soeur qui avait eu la main coupée,

Antwerpen ?

> laquelle était tombée dans la Seine

Ah, non.

--
http://2graphistesencavale.blogspot.com/

Serge Paccalin

unread,
Oct 1, 2008, 1:25:44 PM10/1/08
to
Le mercredi 1 octobre 2008 � 01:10:09, Nestor le pingouin pour la France
a �crit dans fr.lettres.langue.francaise�:

> J'avais vu une pi�ce de Jacqueline Maillan o� elle chantait � un moment
> une chanson sur sa pauvre soeur qui avait eu la main coup�e, laquelle
> �tait tomb�e dans la Seine, et flottait en direction du pont de l'Alma.
>
> Retrouv� ! (c'est d'avant la pi�ce que j'ai vue dans les ann�es 80) :
>
> http://fr.youtube.com/watch?v=lQBl60H3Jjw

�a va, il n'a pas �t� trop dur � retrouver�?

--
___________
_/ _ \_`_`_`_) Serge PACCALIN -- sp ad mailclub.net
\ \_L_) Il faut donc que les hommes commencent

-'(__) par n'�tre pas fanatiques pour m�riter
_/___(_) la tol�rance. -- Voltaire, 1763

Vs

unread,
Oct 2, 2008, 4:52:25 PM10/2/08
to
L'antᅵclaviste Kiriasse a pianotᅵ :

> On ne peut actuellement employer cette expression sans qu'une

> intention pour le moins grivoise n'y soit associᅵe. Nul besoin d'ᅵtre
> obsᅵdᅵ pour cela. Cette expression est donc ᅵ ᅵviter, sauf pour une


> plaisanterie dans quelque salle de garde.
> Cela dit pour votre gouverne personnelle.

Aprᅵs mᅵre rᅵflexion, il me semble que votre mᅵthode qui consiste ᅵ
accorder la prᅵᅵminence ᅵ l'usage contemporain, mᅵme s'il existe des
ouvrages de rᅵfᅵrence fiables pour donner le sens d'un mot ou d'une
expression un peu passᅵe de mode, votre mᅵthode, ᅵcrivais-je, est
peut-ᅵtre ᅵ retenir, en tout cas elle semble intᅵressante.

Vs
Mᅵme si c'est extrᅵmement novateur.

plumplumplum

unread,
Oct 3, 2008, 10:54:30 PM10/3/08
to
Le Mon, 29 Sep 2008 00:00:54 -0600, Anne G a écrit :

> Tardigradus wrote:
>
>> Bonjour,
>
>> QUelle est l'origine de cette expression : la main de ma soeur dans la


>> culotte d'un zouave ? Et a-t-elle un sens particulier ?
>

>> Merci,
>
> Le sens que je lui ai toujours connu, c'est « mon oeil en parachute »,
> en belge. « Je ne te crois pas », en français universel.
>
> Pour l'origine, sais pas...

Imaginez-vous une soeur (non, pas celle-là, l'autre) et sa jolie mimine.

Imaginez le zouave, grand, beau, qui sent bon le sable chaud, la poudre,
la mort, la sueur et la luxure (bah ouais, c'est que du des colonies, ça,
du bronze et du bronzé).

Imaginez donc sa joli mimine (par)fumée qui se gare dans cette vastitude
à plis rudement olfactable qu'est le sarouel du zouave.

J'm'en doute, j'dis rien, mais j'en pense pas moins. C'est pas, bien sûr,
con'c'vable mais j'en dis pas plus.
Et vous ?

Candy le poète anachronique ? :
|(...)
|A la main de sa soeur aux papouilles suaves,
|Investiguant fuineuse en mon froc de zouave,
|Culotte d'alme pont aux rives de la scène
|Où se joue à tâtons l'actif prolégomène
|Du grand combat de l'Un pratélant le Zéro.
|(...)
http://teillier.blogspot.com/2008/03/elle-maime-et-je-porte-un-veston-
de.html

Brasse-sens :
http://tinyurl.com/4ewdwq


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