JPh
Madame le premier adjoint, sa fonction n'appartient pas à son sexe.
Je m'attendais à telle réflexion de votre part, cher Nestor, mais la
question ne portait pas là-dessus...
D'ailleurs, il me semble qu'on disait déjà "madame la première adjointe"
avant le féminisation, mais je me trompe peut-être. Quant à la dame en
question, une socialo-communiste notoire, elle apprécierait sans doute assez
peu que je l'appelasse "madame le premier adjoint".
JPh
>Je dois écrire une lettre à une première adjointe (d'une commune).
>Faut-il commencer (et terminer) la lettre par "Madame la première adjointe,
>...." ou est-ce que "Madame, ..." est suffisant ?
Madame suffit. Et ce serait incorrect de rappeler le titre. Mais
dans le texte vous pouvez bien faire référence à « la première
adjointe » juste pour narguer les constipés de droite si votre
municipalité pense du bon côté... Dans le cas contraire, cela serait
surtout amusant de voir les réactions (dans tous les sens du terme...)
Dominique
Évidemment, si elle est socialo-communiste, elle est fâchée avec le
français. Logique. C'est le gouvernement du "Master" (Lang), de
l'anglais à l'Eurocorps (Richard), de l'anglais dans les notices des
OPCVM pour faire plaisir à leurs amis banquiers (loi MURCEF, Fabius), de
l'anglais pour les brevets européens (Pierret), des modes d'emplois
autorisés en anglais et en pictogrammes (Tasca), etc.
Dans la suscription de la lettre écrivez :
« Madame X,
« Première Adjointe au maire de ...
« (adresse) »
Et ensuite,
« Madame la Première Adjointe » ou « Madame » (sauf si vous êtes
employé communal et que vous lui écrivez dans l'exercice de vos
fonctions).
Pour la formule de politesse, « Madame la Première Adjointe » n'est
pas inutile.
Tout peut dépendre naturellement de la taille de la commune et de la
connaissance que vous avez (ou non) de la personne en question.
N.-B. -- N'écoutez pas le Schtroumpf grognon avatar(i)é en
Pingouin : fé-mi-ni-sez !
--
Luc Bentz
<http://www.langue-fr.org/>
FAQ de news:fr.lettres.langue.francaise :
<http://www.chez.com/languefrancaise/faq/faq.htm>
Écrivez à M. le Maire qui transmettra...mais si c'est une femme qui est
maire de la commune:
Madame le Maire?
Madame la Maire?
Madame la Mairesse?
Quidam
>Écrivez à M. le Maire qui transmettra...mais si c'est une femme qui est
>maire de la commune:
>Madame le Maire?
>Madame la Maire?
>Madame la Mairesse?
Madame la Maire.
épouse Y
> « Première Adjointe au maire de ...
Premier adjoint au maire de ...
> « (adresse) »
>
> Et ensuite,
>
> « Madame la Première Adjointe » ou « Madame » (sauf si vous êtes
Madame le Premier adjoint
> N.-B. -- N'écoutez pas le Schtroumpf grognon avatar(i)é en
Écoutez
> Pingouin : fé-mi-ni-sez !
Demandez son avis à Madame Carrère d'Encausse, qui est le Secrétaire
perpétuel de l'Académie française.
>Demandez son avis à Madame Carrère d'Encausse, qui est le Secrétaire
>perpétuel de l'Académie française.
Un avis sur cet avis :
<http://www.chez.com/languefrancaise/index/F/finesse.htm>
N'oubliez pas de passer chez madame le crémier en sortant, on n'a plus
de lait.
--
___________
_/ _ \_`_`_`_) Serge PACCALIN -- sp ad mailclub.net
\ \_L_) Il faut donc que les hommes commencent
-'(__) par n'être pas fanatiques pour mériter
_/___(_) la tolérance. -- Voltaire, 1763
> Demandez son avis à Madame Carrère d'Encausse, qui est le Secrétaire
> perpétuel de l'Académie française.
Je suis heureux d'apprendre qu'elle n'est pas morte, mais peut-être a-t-elle
une concession à perpétuité.
Bien entendu, on écrira « la secrétaire perpétuelle », et sans majuscules,
elle n'en mérite pas. Au fait, ça veut vraiment dire quelque chose,
secrétaire perpétuel ?
--
Jean Tosti
Ha ha ! Ridicule !
>Demandez son avis à Madame Carrère d'Encausse, qui est le Secrétaire
>perpétuel de l'Académie française.
Et pourquoi pas à Marilyn Manson ou Dana International tant
qu'on y est ?
Dominique
Demandez à Madame Josette Travert, rectrice de l'Académie de Grenoble.
Tiens... par contre, elle est « chancelier des universités » et non «
chancelière ». Est-ce parce qu'elle n'est pas pantouflarde ? ;-)
--
©lõ
Ce n'est pas elle qui définit le bon usage.
Clotilde Chaland a écrit :
> Votez Nestor le pingouin wrote:
> >
> > Demandez son avis à Madame Carrère d'Encausse, qui est le Secrétaire
> > perpétuel de l'Académie française.
>
> Demandez à Madame Josette Travert, rectrice de l'Académie de Grenoble.
Elle répondra sûrement de sa plus belle plume.
> Dans le forum news:fr.lettres.langue.francaise,
> "QUIDAM" <pier...@free.fr> écrivit :
>
>
>>Écrivez à M. le Maire qui transmettra...mais si c'est une femme qui est
>>maire de la commune:
>>Madame le Maire?
>>Madame la Maire?
>>Madame la Mairesse?
>
> Madame la Maire.
>
Madame la mairesse. Si on doit féminiser ce qui n'en a pas besoin, juste
pour se la jouer "mec qui connait son manuel de moralisme", autant aller
jusqu'au bout.
Alors votons :
Mairesse ou mairette ?
--
Amicalement,
D.Durand
------------------
Attention : Plusieurs escrocs se présentant comme des sociétés honnêtes
tentent de recruter des personnes influençables en leur proposant un
travail qui, d'après eux, les rendra riches en ne travaillant que très peu,
et qui plus est à domicile et de manière indépendante.
Ne tombez pas dans le piège, ou vous finirez comme beaucoup d'autres
ruinés, votre vie familiale brisée, et eux un peu plus riches à vos
dépends.
------------------
David Durand a écrit :
> Ne tombez pas dans le piège, ou vous finirez comme beaucoup d'autres
> ruinés, votre vie familiale brisée, et eux un peu plus riches à vos
> dépends.
> ------------------
Puisque votre signature revient de manière récurrente, je vous propose de
suivre la routine orthographique pour le dernier mot (pensez à "dépense" plutôt
qu'à "dépendre").
Madame XXX
Premier adjoint.
Mairie de YYY.
Madame,
J'ai l'honneur ...
(...)
Veuillez agréer, Madame, .... respectueux hommages...
__________________
Jean-Claude Mariotte
jcmar...@kiriasse.fr
http://www.kiriasse.fr
===
"J-Ph" <jpjassigi@_otm_il.com> a écrit dans le message de news:
a9fhlc$r10$1...@wanadoo.fr...
Vous, vous avez le coeur à droite et le portefeuille à gauche, je
dirais.
--
Votez Cindy Lee !
Saperlotte de saperlipopette, savez-vous que « rectrice » au sens de
« plume de la queue des oiseaux » ne figure pas dans mon édition 2000 du
Petit Robert ? qui renvoie rectrice à recteur, alors que le PLI, lui,
connaît la plume de la queue et ne semble pas connaître la rectrice,
dont à laquelle je causais. Mais où va-t-on ?
Cela dit, vous (collectif) ne répondez pas à ma question : « Tiens...
par contre, elle est « chancelier des universités » et non
« chancelière ». Est-ce parce qu'elle n'est pas pantouflarde ? ;-) »
> Ha ha ! Ridicule !
Retenez-vous, très cher, vous allez nous faire une crise d'asphyxie...
Luc, appelez les urgences, vite ! Grognon nous retombe dans le coma.
PPHN
> N'oubliez pas de passer chez madame le crémier en sortant, on n'a plus de
lait.
Et demandez en passant à madame le pharmacien à quelle heure revient son
mari, c'est pour les médicaments du Grognon.
PPHN
> Notre français fout le camp, ma bonne dame ! Mais si la rectrice tient
vraiment à avoir une plume au ..., c'est peut-être son problème. Qui sait ?
elle envie peut-être Zizi Jeanmaire ?
Ou Coluche en période électorale.
PPHN
>Saperlotte de saperlipopette, savez-vous que « rectrice » au sens de
>« plume de la queue des oiseaux » ne figure pas dans mon édition 2000 du
>Petit Robert ? qui renvoie rectrice à recteur, alors que le PLI, lui,
>connaît la plume de la queue et ne semble pas connaître la rectrice,
>dont à laquelle je causais. Mais où va-t-on ?
Marc Fumaroli, du Collège de France et de l'Académie française,
membre de la commission du dictionnaire de l'Académie, s'est fendu en
son temps d'un texte assez crapuleux et grossier qu'un journal à nom de
barbier s'est empressé de publier sur les féminisations : il jouait
alors sur les mots recteur, rectrice et rectale. Cela montre assez bien
la profonde pensée du laudateur des régimes absolutistes et le
permanencier des cercles bonapartistes.
Dominique
> Retenez-vous, très cher, vous allez nous faire une crise d'asphyxie...
>Luc, appelez les urgences, vite ! Grognon nous retombe dans le coma.
Si besoin est, je le réveillerai grâce au mot miracle : « franc
Poincaré » (normalement, il se relève en criant : « à quatre
sous ! »).
NB -- On évitera de réveiller le grognon au cri de « Franc
germinal ! ». Germinal risque de le remettre en transe à cause d'un
autre Émile lettré.
>Madame la mairesse. Si on doit féminiser ce qui n'en a pas besoin, juste
>pour se la jouer "mec qui connait son manuel de moralisme", autant aller
>jusqu'au bout.
Tsss. Persiste et signe, en partageant l'avis de l'Inalf :
« Certains noms ont été féminisés depuis longtemps à l'aide du
suffixe ~esse : « hôtesse, mairesse, maitresse, poétesse ». Ce
suffixe étant aujourdh'ui senti comme désuet, voire dévalorisant, on
a préféré ne plus y avoir recours. Seuls les emplois consacrés sont
retenus (une hôtesse, une maitresse d'école) ; les emplois encore
partiellement en usage sont toujours admis à côté des formes
épicènes proposées ou déjà concurrentes dans l'usage : une maire ou
mairesse, une maitre ou maitresse (d'hôtel, de conférences, etc.),
une poète ou poétesse... » (« Femme, j'écris ton nom », règles de
féminisation, § 2, a, remarque, p. 22).
>Cela dit, vous (collectif) ne répondez pas à ma question : « Tiens...
>par contre, elle est « chancelier des universités » et non
>« chancelière ». Est-ce parce qu'elle n'est pas pantouflarde ? ;-) »
Elle est aussi chancelière.
Poincaré ? Vermine républicaine qui a refusé la requête de Claire
Ferchaud. Vous chercherez sur les moteurs pour savoir qui c'était et ce
qu'elle demandait. En plus, il a fait foirer les médiations des
Bourbon-Parme en laissant le fr:. Ribot éventer l'affaire.
> NB -- On évitera de réveiller le grognon au cri de « Franc
> germinal ! ». Germinal risque de le remettre en transe à cause d'un
> autre Émile lettré.
On aurait dû l'envoyer à l'île du Diable.
Ah, puisqu'on parle de sous, je me demande comment faisaient les anciens
pour calculer aussi vite que dans :
DORANTE: Je suis votre débiteur, comme vous le savez.
MADAME JOURDAIN: Oui, nous ne le savons que trop.
DORANTE: Vous m'avez généreusement prêté de l'argent en plusieurs
occasions, et m'avez obligé de la meilleure grâce du monde, assurément.
MONSIEUR JOURDAIN: Monsieur, vous vous moquez.
DORANTE: Mais je sais rendre ce qu'on me prête, et reconnaître les
plaisirs qu'on me fait.
MONSIEUR JOURDAIN: Je n'en doute point, Monsieur.
DORANTE: Je veux sortir d'affaire avec vous, et je viens ici pour faire
nos comptes ensemble.
MONSIEUR JOURDAIN: Hé bien! vous voyez votre impertinence, ma femme.
DORANTE: Je suis homme qui aime à m'acquitter le plus tôt que je puis.
MONSIEUR JOURDAIN: Je vous le disais bien.
DORANTE: Voyons un peu ce que je vous dois.
MONSIEUR JOURDAIN: Vous voilà, avec vos soupçons ridicules.
DORANTE: Vous souvenez-vous bien de tout l'argent que vous m'avez prêté?
MONSIEUR JOURDAIN: Je crois que oui. J'en ai fait un petit mémoire. Le
voici. Donné à vous une fois deux cents louis.
DORANTE: Cela est vrai.
MONSIEUR JOURDAIN: Une autre fois, six-vingts.
DORANTE: Oui.
MONSIEUR JOURDAIN: Et une autre fois, cent quarante.
DORANTE: Vous avez raison.
MONSIEUR JOURDAIN: Ces trois articles font quatre cent soixante louis,
qui valent cinq mille soixante livres.
DORANTE: Le compte est fort bon. Cinq mille soixante livres.
MONSIEUR JOURDAIN: Mille huit cent trente-deux livres à votre
plumassier.
DORANTE: Justement.
MONSIEUR JOURDAIN: Deux mille sept cent quatre-vingts livres à votre
tailleur.
DORANTE: Il est vrai.
MONSIEUR JOURDAIN: Quatre mille trois cent septante-neuf livres douze
sols huit deniers à votre marchand.
DORANTE: Fort bien. Douze sols huit deniers: le compte est juste.
MONSIEUR JOURDAIN: Et mille sept cent quarante-huit livres sept sols
quatre deniers à votre sellier.
DORANTE: Tout cela est véritable. Qu'est-ce que cela fait?
MONSIEUR JOURDAIN: Somme totale, quinze mille huit cents livres.
DORANTE: Somme totale est juste: quinze mille huit cents livres. Mettez
encore deux cents pistoles que vous m'allez donner, cela fera justement
dix-huit mille francs, que je vous payerai au premier jour.
MADAME JOURDAIN: Hé bien! ne l'avais-je pas bien deviné?
MONSIEUR JOURDAIN: Paix!
DORANTE: Cela vous incommodera-t-il, de me donner ce que je vous dis?
MONSIEUR JOURDAIN: Eh non!
MADAME JOURDAIN: Cet homme-là fait de vous une vache à lait.
MONSIEUR JOURDAIN: Taisez-vous.
DORANTE: Si cela vous incommode, j'en irai chercher ailleurs.
MONSIEUR JOURDAIN: Non, Monsieur.
MADAME JOURDAIN: Il ne sera pas content, qu'il ne vous ait ruiné.
MONSIEUR JOURDAIN: Taisez-vous, vous dis-je.
DORANTE: Vous n'avez qu'à me dire si cela vous embarrasse.
MONSIEUR JOURDAIN: Point, Monsieur.
MADAME JOURDAIN: C'est un vrai enjôleux.
MONSIEUR JOURDAIN: Taisez-vous donc.
MADAME JOURDAIN: Il vous sucera jusqu'au dernier sou.
MONSIEUR JOURDAIN: Vous tairez-vous?
DORANTE: J'ai force gens qui m'en prêteraient avec joie; mais comme vous
êtes mon meilleur ami, j'ai cru que je vous ferais tort si j'en
demandais à quelque autre.
MONSIEUR JOURDAIN: C'est trop d'honneur, Monsieur, que vous me faites.
Je vais quérir votre affaire.
MADAME JOURDAIN: Quoi? vous allez encore lui donner cela?
MONSIEUR JOURDAIN: Que faire? voulez-vous que je refuse un homme de
cette condition-là, qui a parlé de moi ce matin dans la chambre du Roi?
MADAME JOURDAIN: Allez, vous êtes une vraie dupe.
Que nenni: c'est un élu (à moins que ce soit une élue?)
Quidam
Oui. Comme Valérie.
> Tsss. Persiste et signe, en partageant l'avis de l'Inalf :
>
> « Certains noms ont été féminisés depuis longtemps à l'aide du
> suffixe ~esse : « hôtesse, mairesse, maitresse, poétesse ». Ce
> suffixe étant aujourdh'ui senti comme désuet
Désuets eux-mêmes !
> « Femme, j'écris ton nom »
Déjection administrative de gratte-papier incultes.
> règles
Les sous-bouseux ronds-de-cuir ne sont pas habilités à en dicter.
C'est trop compliqué. Le plus simple serait de leur supprimer le droit
de vote et l'éligibilité.
>Que nenni: c'est un élu (à moins que ce soit une élue?)
C'est néanmoins une fonctionnaire (au sens de la fonction publique
élective par opposition à la fonction publique de carrière ou
d'emploi).
Ah bon? Je ne demande qu'à en être convaincu...
Quidam (ignare en la matière)
Y en a trop.
Unr grande plume !
> Dans la suscription de la lettre écrivez :
>
> « Madame X,
> « Première Adjointe au maire de ...
> « (adresse) »
Je ne suis pas affirmatif, mais il me semble que premier, deuxième...
adjoint représentent une hiérarchie au sein du conseil municipal, mais
que la formule d'appel est :
« Madame X,
« Maire-Adjointe de ...
« (adresse)
quel que soit le degré d'adjonction. (D'ailleurs, ils ont tous la même
indemnité).
Éventuellement, on peut préciser la fonction :
« Madame X,
« Maire-Adjointe de ..., chargée des affaires sociales, par
exemple.
Je suis conseiller municipal dans un petit village où l'on emploie
encore la formule : « Madame le Maire ». Est-ce-incorrect ou bien est-ce
encore admis ?
La mairesse est l'épouse de monsieur le Maire, mais l'époux de madame la
Maire comment peut-on le nommer ?
--
Gérard Fleurot
Courriel : <fle...@fr.fm>
pour répondre, supprimer "entrop."
> Dans le forum news:fr.lettres.langue.francaise,
> David Durand <adresse_su...@nospam.nospam> écrivit :
> Tsss. Persiste et signe, en partageant l'avis de l'Inalf :
>
> « Certains noms ont été féminisés depuis longtemps à l'aide du
> suffixe ~esse : « hôtesse, mairesse, maitresse, poétesse ». Ce
> suffixe étant aujourdh'ui senti comme désuet, voire dévalorisant, on
> a préféré ne plus y avoir recours. Seuls les emplois consacrés sont
> retenus (une hôtesse, une maitresse d'école) ; les emplois encore
> partiellement en usage sont toujours admis à côté des formes
> épicènes proposées ou déjà concurrentes dans l'usage : une maire ou
> mairesse, une maitre ou maitresse (d'hôtel, de conférences, etc.),
> une poète ou poétesse... » (« Femme, j'écris ton nom », règles de
> féminisation, § 2, a, remarque, p. 22).
>
"mairette", je trouvais cela mignon, moi...
--
Amicalement,
D.Durand
------------------
Attention : Plusieurs escrocs se présentant comme des sociétés honnêtes
tentent de recruter des personnes influençables en leur proposant un
travail qui, d'après eux, les rendra riches en ne travaillant que très peu,
et qui plus est à domicile et de manière indépendante.
Ne tombez pas dans le piège, ou vous finirez comme beaucoup d'autres
ruinés, votre vie familiale brisée, et eux un peu plus riches à vos dépens.
------------------
Oups. Je corrige cela à l'instant.
Merci.
--
Amicalement,
D.Durand
------------------
Attention : Plusieurs escrocs se présentant comme des sociétés honnêtes
tentent de recruter des personnes influençables en leur proposant un
travail qui, d'après eux, les rendra riches en ne travaillant que très peu,
et qui plus est à domicile et de manière indépendante.
Ne tombez pas dans le piège, ou vous finirez comme beaucoup d'autres
ruinés, votre vie familiale brisée, et eux un peu plus riches à vos dépens.
------------------
Ben, justement c'est ce qui m'a troublée. Sur le site de l'Académie de
Grenoble, à la page « organigramme » on peut lire : « La rectrice,
chancelier des universités ».
--
©lõ
>> « Femme, j'écris ton nom »
>Déjection administrative de gratte-papier incultes.
S'en prendre vilainement aux personnes, c'est renoncer à débattre.
>Les sous-bouseux ronds-de-cuir ne sont pas habilités à en dicter.
C'est bien ce que je disais.
Luc Bentz
--
http://www.langue-fr.org/
« ... cette sombre superstition qui porte les âmes faibles
à imputer des crimes à quiconque ne pense pas comme elles. »
(Voltaire, Traité sur la tolérance)
>Poincaré ? Vermine républicaine
Je vois bien, Monsieur, que vous ne respectez point le bleu horizon
et que vos manières provocatrices visent à détourner les soupçons.
Caricatural à ce point, vous n'êtes et ne pouvez être qu'un agent
des Rouges, suppôt d'Arlette L., d'Olivier B. ou de Daniel G. Mais
quelque jour, vous vous trahirez en laissant passer que tout a été
écrit dans le Programme de transition de 1938.
Qui plus est, vous en prenant à Poincaré, vous vous attaquez à la
Meuse, et donc à la Lorraine, colline inspirée comprise. Et je vous
soupçonne dès lors, le jour de la Saint-Maurice, au lieu de chanter
les louanges de l'immortel auteur de Colette Baudoche, patriote
messine, de fredonner -- pour qu'on ne vous entende point -- le
couplet des généraux dans votre salle de bains.
Qui sait d'ailleurs si vous ne relancerez pas cette vaine querelle
de « l'homme qui rit dans les cimetières », instruite par ce qui
était alors le Parti communiste S.F.I.C.
Vous êtes démasqué.
>C'est trop compliqué. Le plus simple serait de leur supprimer le droit
>de vote et l'éligibilité.
Et juste après de leur voiler la face ?
>> C'est néanmoins une fonctionnaire (au sens de la fonction publique
>> élective par opposition à la fonction publique de carrière ou
>> d'emploi).
>Y en a trop.
Le Père Amptoire est toujours là ?
Barrès ? Un gnostique copain du sataniste Stanislas de Guaïta ! Son
inspiration n'est pas celle qu'on croit.
On donne ce qu'on veut à la quête, pas aux impôts.
Non, ce n'est pas une tradition française. La tradition française, c'est
la fanchon, et en Bretagne la coiffe.
Et la quichenotte (encore un anglicisme).
Vous en rencontrez souvent dans votre arrondissement des femmes qui
portent le fichu ? et du côté de Nantes des Bretonnes qui portent la
coiffe ? La tradition qui ne se transmet pas, qui se perd, voire
disparaît, s'appelle folklore et non pas tradition.
Allez vite porter vos fiches au général André, vous êtes en retard m'a
dit Bidegain.
Et la mantille, à la messe.
Carré Hermès.
> et du côté de Nantes des Bretonnes qui portent la coiffe ?
Guère, Hélas.
Pourtant la coiffe nantaise n'avait rien d'encombrant comme la
bigoudenne. C'était plutôt le genre de celle de Bécassine.
Folklore parisien.
> > et du côté de Nantes des Bretonnes qui portent la coiffe ?
>
> Guère, Hélas.
>
> Pourtant la coiffe nantaise n'avait rien d'encombrant comme la
> bigoudenne. C'était plutôt le genre de celle de Bécassine.
Folklore, vous dis-je. Tradition disparue vous dis-je.
--
©lõ
Comme la "douanière - motarde", présentée à la télé à l'occasion de la
grève des gabelous ?
Féminisation que de bêtises on commet en ton nom !
>Comme la "douanière - motarde", présentée à la télé à l'occasion de la
>grève des gabelous ?
>Féminisation que de bêtises on commet en ton nom !
C'était tellement plus simple quand seuls les hommes accédaient... à
certains corps.
Luc Bentz
http://www.langue-fr.org/
--
« Vingt-cinq langues meurent chaque année ! Elles meurent,
faute d'avoir été parlées. Et les choses que désignent
ces langues s'éteignent avec elles. »
Érik Orsenna, « La Grammaire est une chanson douce »
Le protectionnisme, ça existe !
Vu les images, pour accéder au corps des "douanières - motardes" il faut
franchir de sacrées barrières !
> C'était tellement plus simple quand seuls les hommes accédaient... à
> certains corps.
===8-o
LUC ! Je vous défends de continuer à lire (l'excellent) Marc Goldstein ! ! !
JLL
> LUC ! Je vous défends de continuer à lire (l'excellent) Marc Goldstein !
! !
Mais c'est qu'elle nous fait sa crise de jalousie, la Joye.
PPHN
>languef...@chez.com wrote:
>
>> C'était tellement plus simple quand seuls les hommes accédaient... à
>> certains corps.
>LUC ! Je vous défends de continuer à lire (l'excellent) Marc Goldstein ! ! !
Je vais vous appeler JLL-Basica... parce que vous interprétez. ;-)
Bon, si je n'ai plus droit au Marc Goldstein, aurais-je droit au
marc de Bourgogne ? (Le marc de café, ça n'est pas vraiment mon
truc).
Celui qui vous dirait "la grammaire est une question de tègles sans
intérêt" est un idiot.
Cette questionn, et les réponses qui l'accompagnent, illustre bien en
quoi la langue peut être le véhicule de débats idéologiques, moraux, etc.
> "Luc Bentz" >
> > >Comme la "douanière - motarde", présentée à la télé à l'occasion de
> > >larève des gabelous ?
> > >Féminisation que de bêtises on commet en ton nom !
> >
> > C'était tellement plus simple quand seuls les hommes accédaient... à
> > certains corps.
>
> Le protectionnisme, ça existe !
Pourriez-vous préciser ce que vous entendez par « protectionnisme » dans
ce contexte ?
>> Que nenni: c'est un élu (à moins que ce soit une élue?)
> C'est néanmoins une fonctionnaire (au sens de la fonction publique
> élective par opposition à la fonction publique de carrière ou
> d'emploi).
De toute facon, ca ne change rien a la question d'origine : on sert bien des "M.
le professeur" a des professeurs d'universite qui sont des fonctionnaires de
carriere...
JPh (sur clavier qwerty)
--
Utilisez notre serveur de news 'news.foorum.com' depuis n'importe ou.
Plus d'info sur : http://nnrpinfo.go.foorum.fr/