Le 04/02/2024 à 14:15, Francois LE COAT a écrit :
> Ce que je t'explique, c'est que le matériel informatique américain était
> trop cher.
Tu dis tout le temps "le matériel informatique américain". Or à
l'époque du ST Atari était aussi une société américaine.
> Surtout qu'un ordinateur à l'époque ne servait pas à grand
> chose, à part pour l'apprentissage de la programmation informatique.
Donc non. Revenons sur la gamme d'ordinateurs Atari 8 bit
Sa base logicielle était colossale. Et non ça ne servait pas qu'à
apprendre la programmation informatique. Loin de là. Et plutôt que de
dire de la merde, il suffit de regarder la collection TOSEC dédiée à
Atari.
13200 images.
> Donc les ordinateurs 8bits ATARI, Commodore, Apple, les consoles etc.
> étaient trop chers.
Donc là avec ta bite et ton air crétin tu viens expliquer que le C64
sorti il y a 42 ans a été un échec en raison de son prix trop élevé ?
Sans déconner ?
On estime que le C64 s'est vendu à 20 millions d'exemplaires (à une
vache près).
En fait je pensais que tu étais un autiste asperger, avec au moins
quelques qualités dans le calcul, mais en fait pas du tout...
> Les ordinateurs 8bits abordables étaient anglais.
Attends voir parce que je tente de comprendre ce que tu essayes de dire...
Quand tu parles des ordinateurs anglais, tu parles du ZX ? On estime que
le Spectrum s'est vendu à 9 millions d'exemplaires.
> Pour les consoles, on faisait significativement mieux avec l'arcade.
Tiens ! Soudain l'aspect "abordable" n'a plus aucune importance
maintenant.
> Donc le Mac, le PC, l'Amiga étaient trop chers. Ça n'était pas le
> cas de l'ATARI ST, car Jack Tramiel a vraiment tout fait pour qu'il
> soit le moins cher possible.
Il n'avait pas le choix, il savait que l'Amiga allait sortir en face. Et
je ne comprends pas DU TOUT ta démonstration.
Le succès de l'Atari, ET le succès de l'Amiga sont dans l'histoire
maintenant. C'est pas la peine de tortiller du cul pour expliquer un truc
que tout le monde a vécu.
Et je regarde les chiffres des deux machines, à la grosse louche ça fait
du 6 millions pour le ST, et 7 millions pour l'Amiga. Dans le monde.
> Le marché américain s'est satisfait des
> ordinateurs américains. Mais en Europe, l'ATARI ST a été dans nos
> moyens, et a été un grand succès entre 1985 et 1995, pendant 10 ans.
Putain tu es fort... Donc tu estimes que les européens n'ont acheté des
Atari (et donc des Amiga) UNIQUEMENT parce que c'était moins cher ? Et
donc, corollaire grotesque, que les Américains pêtent tous dans la soie
et ont boudé l'Atari/l'amiga parce qu'ils n'étaient pas assez cher ?
Prendre des faits et arriver à les triturer pour en arriver à cette
conclusion stupide force le respect.
> Si tu as possédé des produits américains avant l'ATARI ST, c'est
> que ce sont tes parents, Pascal, qui te l'ont offert.
Oui et ? C'est quoi le problème ? Que ça soit américain ou que mes
parents m'aient offert un ordi ?
> Tu devais surtout jouer, parce que pour la programmation tu n'es pas très
> doué.
Alors oui, mais ça démoli complètement ton argument "ça servait à
programmer". Un truc bien quand on dit n'importe quoi c'est que ça
ressemble à un truc cohérent.
> Et oui, malgré tout cela, l'ATARI ST était cher, et tout le monde ne
> pouvait pas se l'offrir, à moins d'une motivation de connaisseur ...
A moins de quoi ? ? ?
> Beaucoup d'ATARIstes sont devenus des informaticiens, car il fallait
> réaliser soi-même des développements pour être pleinement utilisateur.
Alors non. C'est pas dans ce sens que ça fonctionne. Tu es fatiguant sans
déconner...
Beaucoup de geeks ont vu dans l'Atari/dans l'Amiga des plateformes
innovantes et enfin capable de satisfaire leurs envies. Il n'y a pas eu de
création spontanée d'individus qui se sont plié à la discipline du
code malgré eux. Heureusement d'ailleurs.
> Aujourd'hui tout le monde s'achète des Mac, des PC. Mais dans les 80's
> le matériel américain était réservé à une petite élite à gros budget.
Oui et ?
> C'est un peu les mêmes qui achètent aujourd'hui un Apple Vision Pro :-)
Ah parce que tu as AUSSI un avis sur l'Apple Vision Pro. On n'est pas
rendu...