Test d'autoévaluation

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pierre taillard

unread,
Jan 3, 2012, 2:43:43 PM1/3/12
to Craftsmen France
Hello,

Tout d'abord, bonne année 2012 à toutes et tous... En espérant que ce
groupe réponde en partie aux attentes de chacun d'entre nous durant
cette nouvelle année!

Bon, rentrons dans le vif du sujet...
Suite aux diverses réponses de la discussion "Comment recruter des
craftsmen", une phrase de Grégory Salvan m'a interpellé.
Comment savoir si l'on est sur la bonne voie pour devenir ou être un
crafts(wo)man?
Quels sont, d'après vous, les critères essentiels pour se définir
comme étant un crafts(wo)men?
Le livre Clean Coder de l'oncle Bob répond évidemment en partie à la
question, mais il me semble important que l'on puisse les définir
ensemble.

Je vous propose donc dans un premier temps que l'on liste les critères
qui nous semblent les plus importants pour pouvoir être considéré
comme un craftsman ou une craftswoman.
Suite à cela, on pourrait créer un test style "Nokia test" ou le "Test
d'autoévaluation de la maturité 'devops' de votre entreprise". Cela
permettrait de savoir où l'on se situe dans la 'maitrise de notre
métier' et quelles sont les points à approfondir et mieux maitriser.
Enfin ces différents niveaux de 'maitrise' ou maturité pourraient être
définit avec les mots déjà proposé dans d'autres discussion comme
apprenti, maitre, etc... A voir car on était loin d'être tous d'accord
sur ce point!

Ce test pourrait donc faire partie du thème "PROMOTION/VALORISATION"
que l'on souhaitait adresser pour promouvoir notre métier.
Qu'en pensez-vous?

Pierre

Julien Lafont

unread,
Jan 3, 2012, 6:46:06 PM1/3/12
to Craftsmen France
J'aime bien cette idée, à condition de tourner le test de manière à
montrer les points que la personne peut creuser pour s'impliquer plus
dans le software craftsmanship.

Ton idée m'a fait penser au "Joel Test" : 12 Steps to Better Code
http://www.joelonsoftware.com/articles/fog0000000043.html
1. Do you use source control?
2. Can you make a build in one step?
3. Do you make daily builds?
4. Do you have a bug database?
...

Chaque réponse "non" amène à se demander : pourquoi je n'ai pas encore
mis en place cette pratique ? Voyons avec l'explication qui est donnée
ce que ça pourrait m'apporter, et comment le mettre en place.

Ce n'est bien entendu pas à prendre comme un examen, avec une
compétition sur le meilleur score, mais plus une façon ludique de
communiquer sur cet état d'esprit.

pierre taillard

unread,
Jan 4, 2012, 6:21:40 AM1/4/12
to Craftsmen France
Je suis aligné avec ton idée de montrer les points à améliorer et ceux
qui sont à conserver.
Evidemment, il faut que ce soit un test permettant de s'améliorer et
non de jugement (négatif) sur la maitrise du développement, il faut
que l'on garde bien en tete ce point pour que ce soit quelque chose
d'utile à la communauté.

Allez je me lance pour un premier critère:
- Responsabilité du craftsman de savoir dit non lorsque cela est
nécessaire
La question pourrait être:
"Votre supérieur vous demande de développer une nouvelle
fonctionnalité pour sa démo qu'il va faire devant des clients dans à
la fin de la semaine.
Vous venez d'apprendre pendant cette conversation:
- d'une part qu'il y a une démo à la fin de cette semaine,
- et d'autre part, que cette nouvelle fonctionnalité (jusqu'à
maintenant inconnue) est très importante pour que la démo se passe
bien dixit votre supérieur.
Vous lui dites que vous souhaitez discuter avec l'équipe et vous lui
donnerez une réponse dans les plus brefs délais.
Après une discussion avec l'équipe, vous savez qu'il vous sera
impossible de délivrer cette nouvelle fonctionnalité en temps et en
heures, SAUF si vous décidez de ne pas faire de tests unitaires sur
cette nouvelle fonctionnalité et de ne pas lancer les tests
fonctionnels. Tests unitaires et fonctionnels que vous pourrez
développer et lancer la semaine suivante.
Vous allez donc maintenant donner votre réponse à votre supérieur et
vous lui dites:"
Choix 1: Oui ce sera fait en temps et en heures.
Choix 2: ça va être très juste mais je vais essayer.
Choix 3: non, je ne peux pas m'engager sur cette nouvelle
fonctionnalité.
Choix 4: non, je ne peux pas m'engager sur cette nouvelle
fonctionnalité. Par contre, si on décale à plus tard cette 'sous-
fonctionnalité', je peux te livrer cette fonctionnalité sans la 'sous-
fonctionnalité' pour ta démo.

oaz

unread,
Jan 4, 2012, 5:45:58 PM1/4/12
to Craftsmen France
Bonjour Pierre

On 3 jan, 20:43, pierre taillard <pierre_taill...@yahoo.fr> wrote:
> Comment savoir si l'on est sur la bonne voie pour devenir ou être un
> crafts(wo)man?

Le livre "Apprenticeship Patterns, Guidance for the Aspiring Software
Craftsman" me parait, à l'heure actuelle, être la meilleure source
pour définir cette voie et aider à en prendre le chemin.

Je reste toutefois assez sceptique sur l'idée d'un test d'auto-
évaluation parce que, lorsque l'on aborde des choses concrètes, les
critères me semblent devenir irrémédiablement subjectifs et
personnels.

Oaz

Guillaume L

unread,
Jan 4, 2012, 7:06:49 PM1/4/12
to Craftsmen France

On 3 jan, 20:43, pierre taillard <pierre_taill...@yahoo.fr> wrote:

> Comment savoir si l'on est sur la bonne voie pour devenir ou être un
> crafts(wo)man?

Je pense qu'on sait qu'on est sur la bonne voie tant qu'on continue à
apprendre et avoir le goût d'apprendre. Ca peut être apprendre un
autre type de langage (dynamique si on est habitué aux langages typés
statiquement, fonctionnel si on fait de l'OO...), une autre plateforme
(web/desktop/mobile/tablette...), de nouvelles techniques de
développement, de nouvelles façons de concevoir l'architecture de nos
applications, de nouvelles pratiques d'équipe, etc. Cela peut demander
d'y consacrer pas mal de temps en dehors du boulot.

Un avocat ou un médecin qui aurait arrêté d'apprendre il y a 15 ou
même 10 ans en se considérant définitivement comme un expert serait
maintenant un fossile professionnellement peu recommandable, et j'ai
l'intuition que c'est la même chose pour un développeur.

C'est un test d'autoévaluation assez rudimentaire mais qui a le mérite
de nous rappeler que software craftsmanship (ou tout autre nom moins
imprononçable dans la bouche d'un francophone qu'on pourrait trouver)
n'est peut-être pas tant un palier définitif à franchir qu'un chemin à
arpenter ;)

BodySplash

unread,
Jan 5, 2012, 1:54:05 AM1/5/12
to craftsme...@googlegroups.com
En ce qui concerne les médecins et les professions médicales en générales, c'est même une obligation importée par l'ordre que de devoir se tenir à jour chaque année. Si je me rappelle bien, il faut accumuler des points qui s'obtiennent de différentes manières : abonnement à des magazines spécialisées, rédaction d'articles, suivi de formations. Bien sur le soucis c'est que l'ordre choisi ce qu'est une bonne formation, et je pense que nous imaginons bien les dérives que cela peut entraîner.

J'imagine oui que c'est finalement ça oui qui défini un professionnel : quelqu'un qui continu me a apprendre non seulement pour rester à jour, mais aussi pour continuer à rendre le meilleur service possible.

Envoyé de mon iPad

Sylvain Fraïssé

unread,
Jan 5, 2012, 5:35:41 AM1/5/12
to craftsme...@googlegroups.com
Pour les professions médicales, effectivement c'est une obligation, et ceci passe par ce qu'ils appellent l'EPP : l'Évaluation des Pratiques Professionnelles. En gros, c'est une démarche organisée d'amélioration des pratiques, consistant à comparer régulièrement les pratiques effectuées et les résultats obtenus, avec les recommandations professionnelles.

Ceci étant dit, la question de Pierre reste alors complètement valide : comment (auto-)évaluer cette progression.
Et si l'on reprend l'exemple des professions médicales, c'est bien là tout leur problème. Il ne suffit pas de dire "on s'améliore parce que je suis abonné à telles revues", il faut le montrer. D'où l'existe d'organisme d'évaluation…

Je pense que si l'on part sur cette voie, on risque d'être très rapidement confronté à… la certification. Je suis certifié craftmanship, ça sonne bien hein ;-)
franchement… BEURK !

Autre remarque sur la notion d'auto-évaluation. Je ne suis pas certain de comprendre. C'est par la confrontation que l'on progresse. On ne progresse que parce que notre travail est critiqué (de manière constructive bien évidemment) par d'autres, pas parce que j'ai dit "non" un jour à mon patron.

Finalement, une communauté de craftsmen, pour moi, sert à définir de manière consensuelle, les bonnes pratiques (qui évoluent bien évidemment) de notre métier.
Comment ? Par retours d'expérience, donc par la pratique et l'échange (sur ces pratiques, les bons outils, les bonnes architectures, … pas tellement sur le nom ou l'image du groupe ;-)).
L'essentiel est là.
Ainsi, prendre part à cet échange, de manière plus ou moins active, fait déjà de nous des professionnels… des craft(wo)man(ship) quoi ;-) 

~~ Sylvain

Au fait… BONNE ANNÉE à tous les craftsmen de France… et d'ailleurs !

pierre taillard

unread,
Jan 5, 2012, 6:08:39 AM1/5/12
to Craftsmen France
L'idée (valide ou pas, la question est ouverte) était de promouvoir le
software craftsmanship et je trouvais l'idée des tests d'auto-
évaluation intéressants dans le sens où ils permettent de prendre
conscience des choses importantes sur un sujet donné. En prenant comme
exemple le test nokia, personnellement ça m'a permis de me situer dans
les organisations ayant en place Scrum (essentiellement Scrum But) et
de voir rapidement les points que j'avais à creuser de mon coté.
L'utilisation de ce test a donc été pour moi une des nombreuses
sources permettant de m'améliorer et non l'unique.
Je vois finalement trois intérêts potentiels:
- Une des nombreuses sources permettant de voir les points importants
à améliorer
- Promouvoir la communauté aux personnes non initiées
- Promouvoir les bonnes pratiques aux yeux de la communauté

@Sylvain: Pour te repondre, je n'ai pas en tete que cela puisse
remplacer la confrontation et l'expérience acquise et à acquérir sur
le terrain avec ces pairs. Si on reprend le nokia test, il n'a pas
cette vocation non plus: rien ne vaut la pratique pour gagner de
l'expérience et un test ne remplacera jamais ça.
Je suis totalement d'accord avec toi la pratique et l'echange pour
acquérir les bonnes pratiques.

Pierre

Jean-Baptiste DUSSEAUT

unread,
Jan 5, 2012, 6:10:22 AM1/5/12
to craftsme...@googlegroups.com
Ça me fait penser qu'un des principes il me semble pour devenir «compagnon» artisan était ou est toujours je ne suis pas sur, de produire un «chef d'œuvre». Tout ça pour dire que je suis 100% d'accord que nous ne pouvons être jugés que par nos paires. Le seul moyen du coup pour se faire est de produire du code libre et accessible à tous il me semble, et demander la critique des autres. 

Un exercice sympa d'ailleurs pour s'entrainer au refactoring et au code legacy, est de reprendre de code d'une bibliothèque libre qu'on utilise régulièrement. 

--
Jean-Baptiste 

Sylvain Fraïssé

unread,
Jan 5, 2012, 7:23:26 AM1/5/12
to craftsme...@googlegroups.com
Le 5 janv. 2012 à 12:08, pierre taillard a écrit :

> L'idée (valide ou pas, la question est ouverte) était de promouvoir le
> software craftsmanship et je trouvais l'idée des tests d'auto-
> évaluation intéressants dans le sens où ils permettent de prendre
> conscience des choses importantes sur un sujet donné. En prenant comme
> exemple le test nokia, personnellement ça m'a permis de me situer dans
> les organisations ayant en place Scrum (essentiellement Scrum But) et
> de voir rapidement les points que j'avais à creuser de mon coté.
> L'utilisation de ce test a donc été pour moi une des nombreuses
> sources permettant de m'améliorer et non l'unique.
> Je vois finalement trois intérêts potentiels:
> - Une des nombreuses sources permettant de voir les points importants
> à améliorer
> - Promouvoir la communauté aux personnes non initiées
> - Promouvoir les bonnes pratiques aux yeux de la communauté
>
> @Sylvain: Pour te repondre, je n'ai pas en tete que cela puisse
> remplacer la confrontation et l'expérience acquise et à acquérir sur
> le terrain avec ces pairs.

Ce n'est pas ce que je voulais dire. Mais il est toujours mieux de le rappeler ;-)

En revanche, j'ai voulu dire qu'un test d'auto-évaluation nokia-like, ne me semble pas intéressant.
Je suis de l'avis d'Olivier : "lorsque l'on aborde des choses concrètes, les critères me semblent devenir irrémédiablement subjectifs et personnels." Et très contextuel, ce qui est toujours difficile d'exprimer dans un test "simple".
Clairement, pour moi, le Nokia test est assez mal foutu.
Ceci dit, si certains se sentent de le tenter, je le regarderai avec intérêt afin de voir si, oui ou non, je peux y trouver un intérêt.

pierre TAILLARD

unread,
Jan 5, 2012, 8:08:29 AM1/5/12
to craftsme...@googlegroups.com
Il est vrai que dès qu'on aborde les choses concretes, les criteres semblent devenir subjectifs et personnels. C'est pour cela que ça me semblait assez intéressant de choisir les critères ensemble (le groupe craftsmen-france) afin d'exposer ceux qui nous semblent les plus intéressants/importants à maitriser.
Le plus intéressant dans tout ces echanges, c'est justement ces echanges. Le fait que l'on décide de faire ou ne pas faire ce test permet justement de se connaitre et de voir les attentes de chacun.
Merci Sylvain et tous les autres pour vos remarques/retours.



De : Sylvain Fraïssé <fraisse...@gmail.com>
À : craftsme...@googlegroups.com
Envoyé le : Jeudi 5 Janvier 2012 13h23
Objet : Re: [craftsmen-france] Re: Test d'autoévaluation

Cédric Bourgeois

unread,
Jan 5, 2012, 1:48:09 PM1/5/12
to craftsme...@googlegroups.com
Hello all,

<My 2 cents>:
Il n'est pas possible selon moi de labelliser quelqu'un de craftman, pas plus qu'un agiliste ou un cuisinier: tant qu'on ne peut pas définir un critère factuel, mesurable et incontestable, tel que "la lumière s'allume dès qu'il rentre dans une pièce", on ne peut qu'avoir une opinion discutable, basée sur sa propre expérience et différents critères tout aussi discutables, tout comme on se situe mutuellement dans la société d'une manière générale. Les critères peuvent être :
- le niveau de discussion atteint et la qualité des informations échangées,
- la notoriété d'une personne dans la communauté ("la communauté" pouvant se limiter à l'équipe de dev dans une société, ou être une (la) communauté internationale)
- son activité (publications, participation à des événements, blog, tweets, etc.),
- son niveau vs certains outils de mesure (test nokia, CSM, autres certifications techniques d'éditeurs)
- sa passion pour Star Wars ou Lord of the Rings... :)
- et surtout : notre propre compréhension de ce qu'est le craftmanship.

C'est quoi, la différence entre un bon chasseur et un mauvais chasseur ?

Pour en revenir à l’autoévaluation, en prenant pour hypothèse qu'on a les idées claires sur ce qu'est le craftmanship, je pense qu'on rejoint le développement personnel: on va pouvoir trouver des tests "externes" permettant d'évaluer nos compétences sur tel ou tel sujet qui nous semble pertinent, et nous donner des pistes d'amélioration. Mais l'évaluation globale se fera selon notre propre compréhension. J'opterais alors pour la philosophie des objectifs smart (http://en.wikipedia.org/wiki/SMART_criteria) construits sur cette compréhension, et notre capacité à les atteindre nous donnera une idée de notre niveau. Car comme le faisait très justement remarquer Pierre, ce n'est pas un but à atteindre mais un chemin à parcourir - comme le bonheur. Ainsi, selon moi, plus on s'investit, plus on est à l'aise sur le chemin.

En résumé, merci Deming:
(Plan)
1 - Je trouve une définition de craftmanship qui me corresponde (chose qui pourra évoluer dans le temps)

(Do)
2 - J'évalue certaines de mes capacités qui se retrouvent dans cette définition

(Check)
3 - Je me donne des objectifs smart pour améliorer mes points faibles

(Act)
4 - J'améliore mes compétences

5 - Goto 1 avec les résultats sur l'atteinte de mes objectifs
(je me demande si je décalerais pas le Plan au point 3... à améliorer mais l'idée est là)

</My 2 cents>

Bonne soirée!

Ced.

Christophe Heral

unread,
Jan 5, 2012, 2:07:54 PM1/5/12
to craftsme...@googlegroups.com
Bonjour Pierre,

Cela ressemble un peu à ce qu'avait initié Denis Dollfus en 2009 : http://www.ergotinfo.fr/architecture/2009/01/d%C3%A9veloppeurs-d%C3%A9terminez-votre-niveau-dagilit%C3%A9.html
Son test faisait apparaître les 2 dimensions "Management" et "Ingénierie" de l'agilité. C'est ici la dimension Ingénierie qui nous intéresse.

Christophe.

Laurent Leseigneur

unread,
Jan 5, 2012, 2:41:08 PM1/5/12
to craftsme...@googlegroups.com
Bonjour à tous,

...et meilleurs voeux pour 2012...

Je rebondis sur la métaphore du compagnon de Jean Batiste, car c'est sur que 7 ans pour faire un tour de France, réaliser un chef d'oeuvre avec plein de truc compliqué c'est une vraie preuve de son niveau de connaissance/compétence.

Transposé à l'informatique, on est d'après moi plutôt sur une mouvement de downsizing : exit les frameworks, voir les serveurs d'application, ont simplifie et enlève tout ce dont on a pas besoin. L'aspect "chef d'oeuvre" n'est plus dans ce que l'on produit ou utilise, mais comment on le réalise et comment on s'adapte en continu. 

Ce midi je discutait avec un consultant à propos d'une appli en cobol en mode "minitel" qui a fonctionné pendant 15ans et que j'ai remplacé par une appli web avec plein de truc genre "drag & drop". Je suis pas sur que ce que j'ai livré durera aussi longtemps, par contre je suis sur que ce que j'ai fait correspond au besoin, améliore la productivité,  et continuera de correspondre en l'améliorant continuellement. 

Le paradoxe est que l'approche "compagnon du tour de France" inclut implicitement l'ancrage dans le temps de sa réalisation avec un coté "ma Joconde est définitive", à l'opposé du principe d'adaptation/remise en cause en pseudo-live (15 jours vs 15 ans) de l'outil informatique au besoin des utilisateurs. et du coup il n'y a plus rien de visible, puisque justement on ne supprime l'effet big bang par du déploiement continu.

Comme j'ai pas le niveau tech pour contribuer aux projets open source, je suis pas capable de confronter ça en dehors de ma boite

L.
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