LISONS
AVEC
CONNAISSANCE...
Bien souvent, lorsque frustrations et déceptions frappent dans nos murs,
nous développons cette habitude de maintenir un calme apparent, voire de
l'indifférence car personne ne veut être pointé du doigt.
Mais au bout de ces frustrations, poussé à l'extrême, certains d'entre nous
prennent tout de même le courage de s'exprimer malgré eux, parfois, rien que
pour soulager le poids qui pèse dans leur cœur.
Tel est le cas de l'auteur du document intitulé: "Dear Countrymen." Ce dernier avait une peur bleu rien que de voir son
nom apparaître sur les foras. C'est un compatriote avec qui je cause plus d'une
fois. Nous échangeons sur plus d'un sujet et il demeure un confident et un réconfort
moral pour moi personnellement. Notre respect est réciproque et il est l'un ces
lecteurs qui soutiennent notre action. Bref...un ami.
Il avait décidé de réagir sur mon article sur la COCOM.
Seulement, à ce que je sache, il n'avait
pas ce courage de publier, apparemment lui-même, ses écrits. Au demeurant, je
ne savais même pas qu'il a écrit car il ne m'avait rien dit en avance....jusqu'au
moment où j'ai lu son message privé m'adressé, accompagnant son article et le
coup de téléphone qui en suivi. Il voulait simplement s'adresser à ses
compatriotes. C'est donc à moi SEUL à qu'il avait adressé son message POUR LE
LIRE. Rien a été dit que je devais le poster après pour notre communauté. Dans
notre causerie téléphonique, cette éventualité n'était même pas discutée. C'est
dire que je pouvais garder ce message pour moi, le jeter à la poubelle sans que
personne ne le sache. Et diantre! pourquoi devais-je le faire? Au nom de la
"Vérité" qui est chaire chez certains hypocrites de la ville, j'ai
publié ce document, sans retenue, sous forme de "LU POUR VOUS"
Depuis, certaines langues sont déliées. L'homme est cité
en référence par plusieurs compatriotes qui ont décidé que le temps est venu
pour que "eux aussi" encouragés, participent au débat.
Seulement, lisons ce document avec une
attention soutenue. Il dit entre autre ce qui suit:
«...I chose not to belong to any groups mentioned above,
for my own personal reasons. Am I still considered a Congolese? Am I
still considered a member of the Congolese Community? Would I support
anyone in a need? Am I expecting a financial support in times of
tragedy? My responses to all the above questions are yes. Now where
is the dilemma? While being informed about the current tragedy via a
phone conversation, one of our countrymen called me and said. “Are you aware of
the tragedies?” I replied, yes. He asked me, “was the victim or
were victims members of Cocom?” I replied, I don’t know. He then
said, “I am very sad about the tragedy, but wanted to be sure whether to
contribute”. I asked, why you said that? He then proceeded by
saying, “I am not a member of Cocom. I would like
to contribute for a non-member of Cocom; maybe he or she will render the same
favor when a tragedy will knock at my door.” WOW!!!
It is sad that we have gotten to this point. I have learned one lesson in leadership, that is do not
change what is not broken; rather improve it or leave it alone.
Cocom/Raleigh has had a good reputation (legacy) of taking care of its loved
ones. This tradition needs to be maintained. People contributed based on
friendship, sympathy, etc. ...»
Devons-nous traduire ce message en Français pour certains
qui l'ont fait sien? L'idée de l'auteur est pourtant claire comme de l'eau
limpide, inodore, incolore et insipide. Clairement donc, il est pour une
association inclusive (que nous suggérons), il voudrait que toutes les tragédies dans notre communauté soient
traitées de la même manière.
Mal lu, ces autres Congolais qui entretiennent une certaine hypocrisie et qui se cache
derrière les versets bibliques mal adaptées à leur situation, donnant ainsi à
la Parole de Dieu une interprétation particulière, croient que l'auteur défend
leur cause. Zéro! Vous êtes tous de côté!
Or pourquoi nous combat-on?
·
Pour avoir condamné et
désavoué publiquement des statuts irréalistes qui ne répondent pas aux besoins
de la communauté; statuts instaurés par un groupe de gens non-visionnaires qui
se sont accaparés des documents légaux de la COCOM depuis 2009 sans rien
réaliser quelque chose d'intéressant pour la communauté.
"On" nous dit qu'ils ont été formés pour une bonne gouvernance
des ONG. Ils ont reçu des plaques qu'ils ont postés dans leurs maisons ou
bureaux. L'internet est témoin. L'un d'eux croit nous donner des leçons en ce
qui concerne le bon fonctionnement des ONG et des Grants et des fonds qui
devaient découler de l'ONG. Je me demande combien des "Grants" ils ont
reçu pendant tout ce temps (de 2009 à 2014) quand l'on sait qu'ils se sont présentés un certain
4 août 2014 avec un compte bancaire rouge et une ONG sans membres,
littéralement. Bref, ils ont changé,
ils ont modifié (do not change) ce qui a été une simplicité
depuis des années: "Une entraide
mutuelle" dans un domaine bien adapté.
De là: ".
I
have learned one lesson in leadership, that is do not change what is not
broken; rather improve it or leave it alone. "
D'où la question: L'idée de qui l'auteur supporte ici pour que ces
hypocrites s'accrochent sur une citation qui ne fait que les déshabiller? Soyez
bien des juges.
·
Pour avoir insinué que
la COCOM devra appartenir à nous tous. Comment un Président de l'association
devrait se permettre de publier un communiqué nécrologique rien que pour les
membres inscrits mais qui, dans le processus, accepte aussi l'argent des
non-membres; mais que lorsque un non-membre se trouve devant la même situation,
il se tait parce que les statuts ne le lui permet pas (Voir l'interview du
Président Papy...cas de feu Maurain (Dieu ai son âme). Si tel est le cas,
pourquoi ne pas adresser son communiqué, rien qu'aux membres inscrits à
l'association? Pourquoi la communauté est invité à côtiser pour un membre
effectif et que les membres effectifs ne sont pas informés ni encouragés de le
faire pour les non-membres? Ne voyons-nous là un cas de deux poids, deux
mesures?
De là cette remarque: “I am not a
member of Cocom. I would like to contribute for a non-member of Cocom; maybe he
or she will render the same favor when a tragedy will knock at my door.”
Il ne s'agit pas là un cas de COCOM "Moziki". Ce terme insultant
de l'un des ténors de ce bateau
en dérive mais veut survivre à tout prix malgré que désavoué de la majorité des
Congolais a manqué le point.
A vous tous qui venez de cotez incorrectement et par ignorance l'auteur de
ce document mais qui supportent, en faux,
ces statuts, nous vous disons, avec regret, que vous cotez mal sans avoir rien compris le
contenu intrinsèque de son message. Peut-être parce qu'il a rédigé en Anglais,
ce qui est curieux car cette langue vous la parlez et la comprenez aussi. Vous
croyez vous dédouaner en cherchant des solidaires à votre cause. L'auteur de
l'article n'est pas de votre côté car vous, en réalité, vous entretenez cette
forme d'hypocrisie, bien cachée derrière une Parole de vie qui est contre la
dite hypocrisie; ce qu'il voudrait bien dénoncer.
Revisitons "Dear Countrymen" et posons-nous la question de savoir, de quel côté
l'auteur se trouve. For ". I
have learned one lesson in leadership, that is do not change what is not
broken; rather improve it or leave it alone."
Voici pourquoi les Congolais veulent jeter à la poubelle des documents qui
les divisent.
Salomon Valaka
3 juin 2015
© Tous Droits Réservés.
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LU POUR VOUS!!!
Dear
Countrymen:
I
would like to preface this brief analysis with the following statement: I am not a person who likes to engage in any
forms of discussion in the public forum.
However, with the tragedy that our community is facing, I feel obligated
to voice my opinion. I hope my brief contribution would assist those who hope
we can solve our problems as “a community”.
Some
of us, who came to Raleigh over 15 years ago, remember the legacy that our
elders left of coming together as one community to bury our loved ones. We did it, not because of any ethnic or
religious affiliations, but because it was our moral obligation. The Congolese Community in Raleigh was then
small in terms of Congolese immigrants.
Today with the increase in population, it is normal for things to look
different. Rebuilding an organization
from scratch is not the only way to make it successful.
In
the recent past, some people believe they are better served or protected in
small organizations, such as churches, ethnic organizations or both. I respect everyone’s opinion to belong to
whichever groups that serve their interests.
As a passive community member and a former community servant, my experiences
have been that none of the aforementioned groups will gather $10,000 to bury its
members without the support of the entire Congolese community.
I
chose not to belong to any groups mentioned above, for my own personal
reasons. Am I still considered a
Congolese? Am I still considered a member of the Congolese Community? Would I support anyone in a need? Am I expecting a financial support in times
of tragedy? My responses to all the
above questions are yes. Now where is the
dilemma? While being informed about the
current tragedy via a phone conversation, one of our countrymen called me and
said. “Are you aware of the tragedies?”
I replied, yes. He asked me, “was
the victim or were victims members of Cocom?”
I replied, I don’t know. He then
said, “I am very sad about the tragedy, but wanted to be sure whether to
contribute”. I asked, why you said that? He then proceeded by saying, “I am not a
member of Cocom. I would like to contribute for a non-member of Cocom; maybe he
or she will render the same favor when a tragedy will knock at my door.” WOW!!!
It
is sad that we have gotten to this point. I have learned one lesson in
leadership, that is do not change what is not broken; rather improve it or
leave it alone. Cocom/Raleigh has had a
good reputation (legacy) of taking care of its loved ones. This tradition needs to be maintained. People
contributed based on friendship, sympathy, etc.
If
Cocom has great dreams to accomplish for the living ones, so be it; but our
leaders should build on the successes of the past, not to undo them. In cases like the tragedy of “LIWA”, announce
the incident and include information on how to donate funds. In doing so, Cocom as an organization would
still pursue its current mission and attain its goals, and capitalizes on the
past successes. My analysis has nothing
to do with acquiring life insurance, which is a different topic.
Sincerely,