Lisons avec connaissance

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Hubert Bisselele

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Jun 4, 2015, 5:10:46 PM6/4/15
to Southerncocom Cocom, COCOM-NC/RALEIGH
Monsieur Salomon Valaka,
Je crois avoir exprimé mon opinion pour rétablir la vérité. Les faits relevés sont réels et vérifiables. Parler de la littérature est une faiblesse d’argumentation. Vous avez confirmé davantage mes préoccupations. J’ai seulement noté que les querelles des Congolais ne datent pas d’aujourd’hui.
Cependant, nous devons noter ce qui suit :
1- La différence d’opinion ne doit pas faire de nous des ennemis. Toute personne a le droit d’écrire et d’exprimer positivement son opinion. Quant vous pointez les doigts, on peut les retourner aussi contre vous.
3- Le tribalisme est une forme de discrimination, et toute discrimination est un crime condamnable par la loi. Elle se dessine et se pratique au sein de cette communauté. Certains parmi nous l’on remarqué aussi.
4-Nous vivons dans un pays démocratique, la censure de l’information est une méthode et une pratique dictatoriales.
6-En tant qu’être humain, nous ne sommes pas parfaits, et nous n’avons pas le monopole du savoir non plus. On ne peut réussir qu’en se complétant les uns et les autres.
Après les élections de 2009, on s’est retrouvé avec 2 comités de Cocom , j’ai l’impression que vous avez effacé de l’histoire votre aile. Aujourd’hui, ce comité semble n’avoir jamais existé. Je vous ai demandé la liste de vos réalisations qui tarde à venir. Les congolais vous ont également observé à distance. Combien des memberships et des recettes avez-vous amené de votre coté, lors de la réconciliation ? La question reste posée.
J’ai relevé que le problème de cette communauté réside dans l’homme congolais, et non pas dans la forme de l’institution ou le contenu des textes légaux. Certains politiciens africains ont toujours déclaré que le Congo élabore des textes légaux de grande qualité mais, qui ne sont pas suivis.
Voici le parcours et les turbulences de Cocom qui, pourtant, a été créée pour l’entre-aide mutuelle :
La Cocom Colonie a été présentée comme étant la meilleure formule, mais d’après vos récits, il y a eu le conflit et le procès intenté contre le Président qui, pourtant, n’a pas démérité. En 2001, Cocom est devenue un ONG, avec un fonctionnement hybride, ONG + Colonie, on a eu une crise qui a frôlé un autre procès en 2006, avec l’existence de 2 comités exécutifs parallèles. Puis est intervenu la médiation. En 2009, nous avons encore Cocom hybride, ONG+Colonie, qui nous amena au procès, et à une longue crise, avec une fois de plus, l’existence de 2 comités exécutifs, puis la réconciliation en 2014. On attend l’issue du climat actuel pour se prononcer. Ce sont des querelles continuelles, on ne tire jamais des leçons des expériences passées. Les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets, dit-on..
D’après vos explications, vous avez une formule magique qui va nous aider. Celle d’amener le Conseil des sages comme dans les collectivités rurales ou chefferies au Congo. Peut etre ce sera la meilleure solution.
A mon avis, nous pouvons changer des formes, changer des textes, mais tant que nous continuerons avec la même mentalité et la même pratique du tribalisme déguisé, notre chemin sera encore très long, avant de voir le bout du tunnel. Nous risquerons d’aller de crise en crise, tant que les malins continueront à tirer les ficelles dans l’ombre.
Le verset de Mathieu 5:9, qui vous chagriné ne vient pas de moi, il est tiré de la bible pour notre inspiration et édification. Dieu seul connait de quel coté nous nous trouvons. Mais, il s’agit d’une interpellation qui nous concerne tous, qui portons le titre de chrétiens ou qui se réclament fils de Dieu.
En ce qui concerne les Grants, bien que vous avez bien fait d’obtenir le 501c(3), vous conviendrez avec moi qu’avec notre organisation qui se recherche encore, malgré le chemin parcouru et sa longue expérience, et, tant que nous n’aurons pas atteints certains standards requis, soyons certain que personne ne financera aucun de nos projets. C’est la raison pour laquelle depuis 2001 jusqu'à ce jour, on n’a jamais bénéficié de ce privilège.
Vous avez insinué que nous n’avons pas compris le principe énoncé. C’est une constatation erronée. Il y a une nette différence entre un principe général et une idée ou opinion personnelle. On peut exprimer des opinions différentes, mais, en se servant du même principe. C’est pourquoi, j’ai bien souligné que : Si vous êtes d’accord avec ce principe, alors pourquoi…Le Dr. Mubenga s’est servi du principe général de leadership pour appuyer peut être son idée d’inclusion, et, j’ai utilisé le même principe pour vous poser ma question. Qu’est ce qui est difficile à comprendre ? Referez vous svp aux règles de la dissertation.
Toutefois, vous semblez ne pas tenir compte de sa déclaration de ne pas appartenir à aucun groupe de la communauté. Cela dénote sa frustration et sa déception de la manière dont nous nous comportons, et il préfère garder sa distance. J’estime que c’est une décision responsable, qui donne une matière à réflexion.
Vous avez la passion et le temps pour écrire, utilisez ce talent que Dieu vous a donné de manière positive et profitable.
Hubert Bisselele 
 
----- Forwarded Message -----
From: "salomon Valaka vala...@hotmail.com [SOUTHERNCOCOM]" <SOUTHE...@yahoogroups.com>
To: "coco...@yahoogroups.com" <coco...@yahoogroups.com>; "southe...@yahoogroups.com" <southe...@yahoogroups.com>; Mubenga Pascal <mt...@hotmail.com>; Bwensa Malosa <bwe...@yahoo.com>
Sent: Wednesday, June 3, 2015 8:42 AM
Subject: [SOUTHERNCOCOM] Lisons avec connaissance

 
LISONS
AVEC
CONNAISSANCE...
 
Bien souvent, lorsque frustrations et déceptions frappent dans nos murs, nous développons cette habitude de maintenir un calme apparent, voire de l'indifférence car personne ne veut être pointé du doigt.
 
Mais au bout de ces frustrations, poussé à l'extrême, certains d'entre nous prennent tout de même le courage de s'exprimer malgré eux, parfois, rien que pour soulager le poids qui pèse dans leur cœur.
 
Tel est le cas de l'auteur du document intitulé: "Dear Countrymen." Ce dernier avait une peur bleu rien que de voir son nom apparaître sur les foras. C'est un compatriote avec qui je cause plus d'une fois. Nous échangeons sur plus d'un sujet et il demeure un confident et un réconfort moral pour moi personnellement. Notre respect est réciproque et il est l'un ces lecteurs qui soutiennent notre action. Bref...un ami.
 
Il avait décidé de réagir sur mon article sur la COCOM. Seulement, à ce que je sache,  il n'avait pas ce courage de publier, apparemment lui-même, ses écrits. Au demeurant, je ne savais même pas qu'il a écrit car il ne m'avait rien dit en avance....jusqu'au moment où j'ai lu son message privé m'adressé, accompagnant son article et le coup de téléphone qui en suivi. Il voulait simplement s'adresser à ses compatriotes. C'est donc à moi SEUL à qu'il avait adressé son message POUR LE LIRE. Rien a été dit que je devais le poster après pour notre communauté. Dans notre causerie téléphonique, cette éventualité n'était même pas discutée. C'est dire que je pouvais garder ce message pour moi, le jeter à la poubelle sans que personne ne le sache. Et diantre! pourquoi devais-je le faire? Au nom de la "Vérité" qui est chaire chez certains hypocrites de la ville, j'ai publié ce document, sans retenue, sous forme de "LU POUR VOUS"
 
Depuis, certaines langues sont déliées. L'homme est cité en référence par plusieurs compatriotes qui ont décidé que le temps est venu pour que "eux aussi" encouragés,  participent au débat.
 
Seulement, lisons ce document avec une attention soutenue. Il dit entre autre ce qui suit:
 
«...I chose not to belong to any groups mentioned above, for my own personal reasons.  Am I still considered a Congolese? Am I still considered a member of the Congolese Community?  Would I support anyone in a need?  Am I expecting a financial support in times of tragedy?  My responses to all the above questions are yes.  Now where is the dilemma?  While being informed about the current tragedy via a phone conversation, one of our countrymen called me and said. “Are you aware of the tragedies?”  I replied, yes.  He asked me, “was the victim or were victims members of Cocom?”  I replied, I don’t know.  He then said, “I am very sad about the tragedy, but wanted to be sure whether to contribute”.  I asked, why you said that?  He then proceeded by saying, “I am not a member of Cocom. I would like to contribute for a non-member of Cocom; maybe he or she will render the same favor when a tragedy will knock at my door.”  WOW!!!
It is sad that we have gotten to this point. I have learned one lesson in leadership, that is do not change what is not broken; rather improve it or leave it alone.  Cocom/Raleigh has had a good reputation (legacy) of taking care of its loved ones.  This tradition needs to be maintained. People contributed based on friendship, sympathy, etc. ...»
Devons-nous  traduire ce message en Français pour certains qui l'ont fait sien? L'idée de l'auteur est pourtant claire comme de l'eau limpide, inodore, incolore et insipide. Clairement donc, il est pour une association inclusive (que nous suggérons), il voudrait que toutes les tragédies dans notre communauté soient traitées de la même manière.
Mal lu, ces autres Congolais qui entretiennent  une certaine hypocrisie et qui se cache derrière les versets bibliques mal adaptées à leur situation, donnant ainsi à la Parole de Dieu une interprétation particulière, croient que l'auteur défend leur cause. Zéro! Vous êtes tous de côté!
 
Or pourquoi nous combat-on?
 
·        Pour avoir condamné et désavoué publiquement des statuts irréalistes qui ne répondent pas aux besoins de la communauté; statuts instaurés par un groupe de gens non-visionnaires qui se sont accaparés des documents légaux de la COCOM depuis 2009 sans rien réaliser quelque chose d'intéressant pour la communauté.
 
"On" nous dit qu'ils ont été formés pour une bonne gouvernance des ONG. Ils ont reçu des plaques qu'ils ont postés dans leurs maisons ou bureaux. L'internet est témoin. L'un d'eux croit nous donner des leçons en ce qui concerne le bon fonctionnement des ONG et des Grants et des fonds qui devaient découler de l'ONG. Je me demande combien des "Grants" ils ont reçu pendant tout ce temps (de 2009 à 2014)  quand l'on sait qu'ils se sont présentés un certain 4 août 2014 avec un compte bancaire rouge et une ONG sans membres, littéralement. Bref, ils ont changé, ils ont modifié (do not change) ce qui a été une simplicité depuis des années: "Une entraide mutuelle" dans un domaine bien adapté.
 
De là: ". I have learned one lesson in leadership, that is do not change what is not broken; rather improve it or leave it alone. "
 
D'où la question: L'idée de qui l'auteur supporte ici pour que ces hypocrites s'accrochent sur une citation qui ne fait que les déshabiller? Soyez bien des juges.
 
·        Pour avoir insinué que la COCOM devra appartenir à nous tous. Comment un Président de l'association devrait se permettre de publier un communiqué nécrologique rien que pour les membres inscrits mais qui, dans le processus, accepte aussi l'argent des non-membres; mais que lorsque un non-membre se trouve devant la même situation, il se tait parce que les statuts ne le lui permet pas (Voir l'interview du Président Papy...cas de feu Maurain (Dieu ai son âme). Si tel est le cas, pourquoi ne pas adresser son communiqué, rien qu'aux membres inscrits à l'association? Pourquoi la communauté est invité à côtiser pour un membre effectif et que les membres effectifs ne sont pas informés ni encouragés de le faire pour les non-membres? Ne voyons-nous là un cas de deux poids, deux mesures?
 
De là cette remarque: “I am not a member of Cocom. I would like to contribute for a non-member of Cocom; maybe he or she will render the same favor when a tragedy will knock at my door.”
 
Il ne s'agit pas là un cas de COCOM "Moziki". Ce terme insultant de l'un des ténors de ce bateau en dérive mais veut survivre à tout prix malgré que désavoué de la majorité des Congolais a manqué le point.
 
A vous tous qui venez de cotez incorrectement et par ignorance l'auteur de ce document mais qui supportent, en faux,  ces statuts, nous vous disons, avec regret,  que vous cotez mal sans avoir rien compris le contenu intrinsèque de son message. Peut-être parce qu'il a rédigé en Anglais, ce qui est curieux car cette langue vous la parlez et la comprenez aussi. Vous croyez vous dédouaner en cherchant des solidaires à votre cause. L'auteur de l'article n'est pas de votre côté car vous, en réalité, vous entretenez cette forme d'hypocrisie, bien cachée derrière une Parole de vie qui est contre la dite hypocrisie; ce qu'il voudrait bien dénoncer.
 
Revisitons "Dear Countrymen" et posons-nous la question de savoir, de quel côté l'auteur se trouve. For ". I have learned one lesson in leadership, that is do not change what is not broken; rather improve it or leave it alone."
Voici pourquoi les Congolais veulent jeter à la poubelle des documents qui les divisent.
 
 
Salomon Valaka
3 juin 2015
© Tous Droits Réservés.

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On May 16, 2015, at 12:46 PM, salomon Valaka vala...@hotmail.com [SOUTHERNCOCOM] <SOUTHE...@yahoogroups.com> wrote:

 

LU POUR VOUS!!!

Dear Countrymen:
 
I would like to preface this brief analysis with the following statement:  I am not a person who likes to engage in any forms of discussion in the public forum.  However, with the tragedy that our community is facing, I feel obligated to voice my opinion. I hope my brief contribution would assist those who hope we can solve our problems as “a community”.
 
Some of us, who came to Raleigh over 15 years ago, remember the legacy that our elders left of coming together as one community to bury our loved ones.  We did it, not because of any ethnic or religious affiliations, but because it was our moral obligation.  The Congolese Community in Raleigh was then small in terms of Congolese immigrants.  Today with the increase in population, it is normal for things to look different.  Rebuilding an organization from scratch is not the only way to make it successful.
 
In the recent past, some people believe they are better served or protected in small organizations, such as churches, ethnic organizations or both.  I respect everyone’s opinion to belong to whichever groups that serve their interests.  As a passive community member and a former community servant, my experiences have been that none of the aforementioned groups will gather $10,000 to bury its members without the support of the entire Congolese community.
 
I chose not to belong to any groups mentioned above, for my own personal reasons.  Am I still considered a Congolese? Am I still considered a member of the Congolese Community?  Would I support anyone in a need?  Am I expecting a financial support in times of tragedy?  My responses to all the above questions are yes.  Now where is the dilemma?  While being informed about the current tragedy via a phone conversation, one of our countrymen called me and said. “Are you aware of the tragedies?”  I replied, yes.  He asked me, “was the victim or were victims members of Cocom?”  I replied, I don’t know.  He then said, “I am very sad about the tragedy, but wanted to be sure whether to contribute”.  I asked, why you said that?  He then proceeded by saying, “I am not a member of Cocom. I would like to contribute for a non-member of Cocom; maybe he or she will render the same favor when a tragedy will knock at my door.”  WOW!!!
It is sad that we have gotten to this point. I have learned one lesson in leadership, that is do not change what is not broken; rather improve it or leave it alone.  Cocom/Raleigh has had a good reputation (legacy) of taking care of its loved ones.  This tradition needs to be maintained. People contributed based on friendship, sympathy, etc. 
 
If Cocom has great dreams to accomplish for the living ones, so be it; but our leaders should build on the successes of the past, not to undo them.  In cases like the tragedy of “LIWA”, announce the incident and include information on how to donate funds.  In doing so, Cocom as an organization would still pursue its current mission and attain its goals, and capitalizes on the past successes.  My analysis has nothing to do with acquiring life insurance, which is a different topic.
 
Sincerely,
 
 
Pascal Mubenga


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Posted by: salomon Valaka <vala...@hotmail.com>
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