Bonjour,
et merci pour la liste des prix et Igénie.
C'est évident que le fait d'être hors circuit classique, de ne pas
être dans le milieu est aussi un désavantage par rapport à la
communication et la reconnaissance de notre travail. Toutefois, je
mets un petit bémol à votre commentaire. Je n'ai sorti que 2 livres
(le deuxième en mai 2009) et j'ai quand même réussi à me faire
inviter à plusieurs salons du livre (hôtels, repas et stand) sans
trop chercher ni insister. Mon 1er livre a reçu le prix du Regard
Poétique (et un chèque) lors du salon international du livre
insulaire de Ouessant en 2006... comme quoi ! (et c'était la 1ere et
seule fois que je participais à un concours) Et je connais d'autres
auto-éditeurs qui ont été primé (M. Zalio, K.M. Pagé)
Donc c'est vrai que nous n'avons pas les mêmes droits que les
éditeurs qui eux ont des aides souvent conséquentes des DRAC, Région,
Département... ainsi que des aides pour communiquer (salon du
livre...) et des prix littéraires mais si un auto-éditeur se bouge et
porte sont projet entièrement (cad le contenu + le travail d'éditeur)
il est possible d'être presque à égalité avec les maisons d'éditions.
Côté communication, les journaux locaux, revues, magazines et télé ne
font pas la différence entre eux et nous. Pour eux un livre est un
livre, et nous pouvons "facilement" se servir d'eux pour se faire
connaître.
Mais toute la notion d'auto-éditeur se résume -à mon avis- là. Avons
nous les capacités, les moyens, l'envie de porter entièrement notre
projet jusqu'au bout, de la création à la vente ?
Je reste ouvert à toutes remarques, discussions.
Bonne journée,
jeanmarc
www.jmcotta.com
Le 15 juin 09 à 15:28, Juan a écrit :