Falta de confianza en los gobiernos y
sus instituciones
A la luz del informe de la
ASN (Autoridad de Seguridad Nuclear )
francesa en el que se ha ocultado a la opinión pública un defecto de serie en 34
reactores franceses, lo acontecido en España respecto a la Central Nuclear de
Ascó, al accidente de Palomares... me crea una inseguridad, una falta de
confianza en las autoridades con respecto a su independencia a los
intereses de la industria nuclear.
Nuestro gobierno debe exigir a Francia el
cierre cautelar de las centrales nucleares afectadas, si llegara a
producirse un accidente nos afectaría por proximidad muy de lleno.
La industria nuclear se nos vende como una tecnología
segura, barata y fiable. Sin embargo cada vez más, como un goteo se van
haciendo públicas sus deficiencias y fallos en su protocolo.
En la codicia humana está la respuesta: por obtener
mayores beneficios se ahorra y se dejan al límite las cuestiones técnicas.
Acabamos de verlo en el reciente desastre del vertido de petróleo en el Golfo de
México, se carecía de la válvula de seguridad.
Es hora de darles carpetazo e invertir en energías
alternativas. Y también de exigir a nuestros gobiernos responsabilidad y
transparencia.
Rosa Burgos Pérez
DNI 17134497A
670239141
Traducido con el google. Más abajo el
original francés.
ADVERTENCIA: Error grave de
seguridad en 34 reactores nucleares franceses
Réseau "Sortir du nucléaire" la
voz de alarma y pedir a la ASN a jugar su papel y para exigir el cierre cautelar
del FED de los reactores en cuestión
"Discovery" el último en una
preocupante "anomalía", serie de 34 reactores
La noticia se mantuvo escondido
discretamente en la parte inferior del sitio de la Autoridad de Seguridad
Nuclear (ASN): A raíz de recientes estudios, FED acaba de "descubrir" un
inquietante "anormalidad" de serie en 34 de sus reactores. En todos los reactores de 900 MW
en caso de fuga de los principales del circuito primario, el agua del circuito
de inyección de seguridad puede ser incapaz de evitar la crisis.
La Autoridad de Seguridad Nuclear
(ASN) y advierte: "En una situación de accidente, por incumplimiento de ciertos
tamaños de la presión primaria, la inyección de seguridad de alta presión no
puede ser suficiente para enfriar el corazón del reactor" (i) .
La inyección de agua del sistema
de seguridad es el único dispositivo que permite un retraso de la fusión nuclear
en el corazón de una fuga importante de agua del circuito primario. Su papel es la inyección de boro
del agua masiva (ii) en este circuito para suprimir la reacción nuclear y
enfriar el corazón. FED descubre oro, mientras que
los primeros 900 MW reactores funcionando durante más de 30 años (iii), no está
en condiciones de evaluar si el agua inyectada a través del sistema se
distribuye uniformemente en los tres lazos del circuito primario del reactor;
la admisión de la ASN, que "no
puede permitir una refrigeración suficiente del corazón del reactor" (iv).
EDF tiene 34 reactores nucleares
tiene una duración de un cuarto de siglo antes de garantizar la eficacia de la
prevención primaria de la fusión nuclear. ¿Por qué este descubrimiento se
produce tan tarde? Es sumamente preocupante que un
problema de esta magnitud se han mantenido tanto tiempo ignoradas por EDF ...
Las plantas en cuestión son:
Blaye (Gironde), Bugey (Ain), Chinon (Indre-et-Loire) Cruas (Ardèche), Dampierre
(Loiret), Fessenheim (Haut-Rhin), Gravelinas (Norte), Saint- Laurent des Eaux (Loir-et-Cher),
Tricastin (Drôme). O la totalidad de los 34
reactores de 900 MW nucleares, algunos de los cuales ya han alcanzado 30 años de
operación.
EDF también ha puesto todos sus
huevos en una canasta, multiplicando los riesgos de paso ...
En virtud del principio de
precaución, la Red "Sortir du nucléaire" demanda el cierre de los reactores en
cuestión
Un accidente causado por estas
"anomalías" tendría consecuencias catastróficas. En un contexto donde los
problemas de seguridad están aumentando en los últimos años (v), esta
posibilidad debe tenerse siempre en cuenta. Preocupa especialmente que 21
reactores funcionan con combustible de plutonio MOX contiene.
Más que nunca, el descubrimiento
de estos fracasos muestra claramente la necesidad de una energía de transición
política tan pronto como sea posible, para llegar finalmente a cabo del riesgo
nuclear francés impuestas durante décadas.
En vista de estas deficiencias de
seguridad, la Red "Sortir du nucléaire" solicitud de ASN para jugar su papel, y
exigir FED, en virtud del principio de precaución (vi), el cierre sin demora de
los 34 reactores que se trate.
Communiqué du 11 février
2011
ALERTE : grave défaillance de sûreté
sur 34 réacteurs nucléaires français
Le Réseau "Sortir du nucléaire" tire
la sonnette d'alarme et demande à l'ASN de jouer son rôle et d'exiger d'EDF la
fermeture préventive des réacteurs concernés
"Découverte" récente d'une
inquiétante "anomalie" de série sur 34 réacteurs
La nouvelle est restée
discrètement enfouie au fond du site de l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) :
suite à de récentes études, EDF vient de "découvrir" une inquiétante "anomalie"
de série sur 34 de ses réacteurs. Sur tous les réacteurs de 900 MW, en cas de
fuite importante du circuit primaire, le circuit d'injection d'eau de sécurité
pourrait s'avérer incapable d'empêcher la fusion du coeur.
L' Autorité de
Sûreté Nucléaire (ASN) avertit ainsi : "en situation accidentelle, pour
certaines tailles de brèche du circuit primaire principal, l’injection de
sécurité à haute pression pourrait ne pas permettre de refroidir suffisamment le
cœur du réacteur" (i).
Le système d'injection d'eau de sécurité est le
seul dispositif qui permette de retarder une fusion du cœur nucléaire lors d'une
fuite importante d'eau du circuit primaire. Son rôle est d'injecter massivement
de l'eau borée (ii) dans ce circuit pour étouffer la réaction nucléaire et
refroidir le cœur. Or EDF découvre, alors que les premiers réacteurs 900 MW
tournent depuis plus de 30 ans (iii) , qu'elle est incapable de mesurer si l'eau
injectée par ce système se répartit uniformément dans les trois boucles du
circuit primaire de ces réacteurs ; de l'aveu de l'ASN, cela "pourrait ne pas
permettre de refroidir suffisamment le cœur du réacteur" (iv).
EDF a donc
laissé tourner 34 réacteurs nucléaires pendant un quart de siècle avant de
s'assurer de l'efficacité du système principal de prévention de fusion du coeur
nucléaire. Pourquoi cette découverte survient-elle si tardivement ? Il est
extrêmement inquiétant qu'un problème d'une telle ampleur soit resté si
longtemps ignoré par EDF...
Les centrales concernées sont les suivantes :
Blayais (Gironde), Bugey (Ain), Chinon (Indre-et-Loire), Cruas (Ardèche),
Dampierre (Loiret), Fessenheim (Haut-Rhin), Gravelines (Nord), Saint-Laurent des
Eaux (Loir-et-Cher), Tricastin (Drôme). Soit l'ensemble des 34 réacteurs
nucléaires 900 MW, dont certains atteignent déjà les 30 ans de
fonctionnement.
EDF a ainsi mis tous ses œufs dans le même panier,
multipliant les risques au passage...
En vertu du principe de précaution,
le Réseau "Sortir du nucléaire" demande la fermeture des réacteurs
concernés
Un accident provoqué par ces "anomalies" aurait des
conséquences catastrophiques. Dans un contexte où les problèmes de sûreté se
multiplient depuis quelques années (v), cette éventualité doit impérativement
être prise en compte. D'autant plus que 21 des réacteurs concernés fonctionnent
au MOX, un combustible à base de plutonium.
Plus que jamais, la
découverte de ces défaillances fait apparaître de manière criante la nécessité
d'une décision politique de transition énergétique la plus rapide possible, pour
sortir enfin du risque nucléaire imposé aux Français depuis des
décennies.
Au vu de ces défauts de sûreté, le Réseau "Sortir du
nucléaire" demande à l'ASN de jouer son rôle, et d'exiger d'EDF, en vertu du
principe de précaution (vi), la fermeture sans délai des 34 réacteurs
concernés.
Contacts :
Charlotte Mijeon : 06 75 36 20 20
Xavier
Rabilloud : 06 74 19 28 06
Secrétariat national : 04 78 28 29
22
NOTES :
i. Lien vers l'avis de l'ASN sur ce défaut majeur de
sûreté
:
http://www.asn.fr/index.php/Les-actions-de-l-ASN/Le-controle/Actualites-du-controle/Avis-d-incidents-des-installation-nucleaires/2011/Anomalie-generique-concernant-le-systeme-d-injection-de-securite
ii.
L'eau borée a pour fonction de modérer les réactions nucléaires dans le
coeur.
iii. Le tout premier des réacteurs de 900 MW a été connecté au réseau
électrique en avril 1977, à la centrale de Fessenheim (Alsace). Le dernier des
34 réacteurs 900 MW a été connecté au réseau électrique en novembre 1987 à la
centrale de Chinon (Indre-et-Loire).
v. Rapport « Le point de vue de l'IRSN
sur la sûreté et la radioprotection du parc électronucléaire français en 2009
»
vi. Le principe de précaution a valeur constitutionnelle depuis
l'intégration de la Charte de l'Environnement dans la Constitution en
2005