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1944: 60,000 women raped by Frenchmen in Italy !!!!!!

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Johan Viroux

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Jan 28, 2009, 10:21:10 AM1/28/09
to

1944: 60.000 femmes violées par des Français en Italie!!!

In : R.E., 2008/2009, s.p.

Un pays riche en femmes et en vin


(.) C'est ainsi qu'à maintes reprises des unités françaises furent
autorisées à commettre des viols massifs, notam­ment à Freudenstadt et à
Stuttgart en 1945. Un viol de masse, dans sa forme la plus abjecte, a
également eu lieu en Italie centrale en 1944.

Jusqu'au printemps 1944, le front allemand d'Italie te­nait, le long de la
ligne Gustav à Monte Cassino, en res­pect les Alliés. Il y avait parmi eux
le Corps Expédition­naire français. Placé sous le commandement du général
Juin, il était composé de troupes majoritairement nord-africaines. Le 12 mai
1944, ils allaient percer les lignes de front allemandes à la rivière
Garigliano, qu'ils passèrent, atteignant la montagne et ensuite la vallée du
Liri ainsi que la Via Cessilina.

Leur commandant en chef, Alphonse Juin, né à Bône en Algérie, était
parfaitement au fait des comportements propres à ses Marocains. Voici
pourtant l'ordre, tota­lement impensable pour tout membre de la Wehrmacht,
qu'il a lancé la veille de l'offensive, pour stimuler pour ses troupes : «
Quand vous aurez exterminé l'enne­mi , ce soir, vous allez trouver au-delà
des montagnes un pays riche en femmes et en vins. Votre général vous en fait
le ser­ment : Après la défaite de l'ennemi, les maisons, les femmes et le
vin seront à vous pour cinquante heures. Pendant cinquante heures vous allez
pouvoir faire ce qui vous tient à cour ! » C'est en effet ce qui allait se
passer au détriment d'une population d'un pays qui était pourtant (à ce
moment) passé du côté des Alliés.

Une phase d'occupation sans aucune retenue, parfaite­ment hors-la-loi, dura
alors cinquante heures. Les Fran­çais avaient souhaité septante heures, qui
ont été rédui­tes à cinquante par le haut commandement américain. Les Alliés
avaient réussi à percer les lignes de défense allemandes et les troupes
marocaines envahirent les val­lées situées derrière le front initial. Les
deux jours qui suivirent allaient être l'enfer pour la population italienne
des alentours de la ville de Cassino et de la région de Frosinone. Les
comptes rendus officiels font état de 60.000 cas de viols dans les trente
agglomérations de la zone.

Vingt ans plus tard, le magazine allemand Stern (n° 52, 1965) pouvait écrire
:

« Les Marocains se ruèrent comme une horde de démons sur une population
terrorisée et traumatisée par les combats. Ils violèrent jeunes filles et
femmes de 22 a 80 ans sans s'occuper de leur état de santé. Ils violèrent
même « des femmes malades, enceintes, ou démentes ». Seules quelques rares
jeunes femmes échappèrent aux viols a répétition. Les Marocains les
cher­chaient partout, de la cave au grenier... La femme la plus âgée de la
ville d'Ausone mourut durant son viol... Dans une ville voisine deux
fillettes de onze ans furent violées et en mouru­rent. Et deux sours qui
avaient fui leur maison pour gagner la forêt y furent la assaillies par deux
cents Marocains impitoya­bles. Une des deux mourut et l'autre dut être
placée dans un asile. Des maris qui défendaient leurs épouses et leurs
filles furent battus à mort ou attachés aux montants des lits et for­cés
d'assister aux séances atroces de viols perpétrés par la soldatesque
d'Alphonse Juin ».

Deux ans après les faits un journal important d'Italie écrivait : « Pendant
quatre jours, les femmes ont subi la la violence décharnée des troupes de
couleur. Beaucoup d'hommes furent aussi violés, notamment le vieux curé
d'Esperia, qui mourut peu après de cette bestialité. Les religieuses de
/'Ordre du Sang Très-sacré (Ordine des Priziosissimo Sangue) de Vallecorsa
ne furent pas épargnées ».

Un autre journal rapporte l'affaire : « Qui savait a Rome ce qui s'était
passé quelques jours avant, en cette seconde quinzaine de mai 1944, dans les
villes d'Esperia, Pontecorvo, Auspenia, San Elia ? Cela avait été une chasse
sauvage et sans pitié. Une après l'autre, les maisons avaient été mises sans
dessus dessous, les forêts passées au peigne fin, les réfugiés assiégés,
femmes et enfants jetés a terre et battus a mort, les uns après les autres
ou tous ensemble, avec leurs bras levés, ces malheureux couverts d'horribles
blessures. Les corps téta­nisés par les crampes, les visages méconnaissables
et ensan­glantés par les coups. Par monts et par vaux retentissaient les
cris et les hurlements. Dans les dépendances du camp d'un régiment, les cris
des femmes violées et maltraitées troublaient le repos des officiers
français... »

Voilà comment beaucoup d'Italiens ont vécu la libération de l'occupation
allemande. Ces actes de bestialité furent rapportés en Conseil des ministres
pour en débattre le 7 avril 1952. Le général Juin ne fut nullement inquiété
pour ce crime de guerre délibéré, qui aurait valu à coup sûr la peine de
mort pour tout officier allemand tombé aux mains des Alliés. Bien au
contraire, Alphonse Juin allait devenir Maréchal de France et finalement un
des Commandants en chef de l'OTAN.

Article extrait de Der grosse Wendig
(sic)httv://www.thenewsturmer.com/TNS%202008/Training of the German.htm

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