Les services de renseignement US démentent le plan de Poutine pour conquérir l'Ukraine et l'Europe "selon des sources de renseignement US"

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Roland Marounek

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Dec 21, 2025, 2:26:06 AM (3 days ago) Dec 21
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Important discours de la directrice du renseignement national US Tulsi Gabbard

https://x.com/IslanderWORLD/status/2002604340909892072

« ... Mais ce que j'ai constaté ces derniers mois, c'est que chaque fois qu'ils [Russes et Etatsuniens probablement] progressent et se rapprochent de cet espoir de paix, les bellicistes au sein de l'État profond interviennent et essaient de faire tout ce qu'ils peuvent pour les en empêcher.

Ils utilisent les mêmes vieilles tactiques qu'ils ont toujours utilisées: l'État profond, au sein des services de renseignement, instrumentalise, ‘arme’ l'information pour saboter les progrès. Ils la divulguent à leurs amis et aux grands médias de propagande pour diffuser de fausses informations et propager un récit mensonger.

Ils attisent la peur et l'hystérie comme un moyen de justifier la poursuite de la guerre et leurs efforts pour saper les initiatives de paix du président Trump.

Dans ce cas précis, ils cherchent à entraîner l'armée US dans un conflit direct avec la Russie, ce qui est, au final, ce que veulent l'UE et l'OTAN.

Nous ne pouvons pas permettre que cela se produire. Nous devons voir clairement ce qui se passe sous nos yeux et rester unis dans cette cause de la paix. »

 

https://x.com/DNIGabbard/status/2002484806978834862

Non, il s'agit d'un mensonge et d'une propagande que Reuters pousse volontairement au nom des bellicistes qui veulent saper les efforts inlassables du président Trump pour mettre fin à cette guerre sanglante qui a fait plus d'un million de victimes dans les deux camps.

Dangereusement, vous faites la promotion de ce faux récit pour bloquer l'effort de paix du président Trump, et fomenter l'hystérie et la peur parmi les gens pour les amener à soutenir l'escalade de la guerre, ce qui est ce que l'OTAN et l'UE veulent vraiment afin d'entraîner l'armée des Etats-Unis directement dans la guerre avec la Russie.

La vérité est que la communauté du renseignement américain a informé les décideurs politiques, y compris le membre démocrate du HPSCI cité par Reuters, que les services de renseignement US estiment que la Russie cherche à éviter une guerre plus importante avec l'OTAN. Ils estiment également que, comme l'ont montré ces dernières années, les performances de la Russie sur le champ de bataille indiquent qu'elle n'a pas actuellement la capacité de conquérir et d'occuper l'ensemble de l'Ukraine, sans parler de l'Europe.

 

Contexte : L’agence Reuters a diffusé une « information » selon laquelle  les services de renseignement US affirmeraient que « Poutine n'a pas abandonné son objectif de s'emparer de toute l'Ukraine et de récupérer des parties de l'Europe qui appartenaient à l'ancien empire soviétique. » (voir la dépêche sur https://www.reuters.com/world/europe/us-intelligence-indicates-putins-war-aims-ukraine-are-unchanged-2025-12-19/)

Commentaire de « The Islander »
https://x.com/IslanderWORLD/status/2002604340909892072

C'est ainsi que les guerres se prolongent au XXIe siècle. Pas avec des déclarations. Pas avec des votes parlementaires. Mais avec des fuites de renseignements anonymes, blanchies par les médias complaisants, programmées précisément pour étouffer la diplomatie avant qu'elle ne puisse respirer.

L'agence Reuters est un flagrant exemple, blanchissant des récits de renseignements comme du journalisme. Elle a choisi l'interprétation la plus favorable à l'escalade disponible et l'a enveloppée dans l'autorité de l'anonymat - six sources « familières avec le renseignement US », l'une d'entre elles citant un rapport plus récent datant de la fin septembre, pour affirmer que Vladimir Poutine a l'intention non seulement de s'emparer de toute l'Ukraine, mais aussi de « récupérer » des parties de l'Europe. Il ne s'agissait pas d'une analyse. Il s'agissait d'un récit de menace : maximale, apocalyptique et commodément non vérifiable. Le genre qui transforme la négociation en ‘apaisement’ et la retenue en ‘trahison’. Le genre qui pousse les dirigeants élus à entrer en guerre sans jamais demander l'avis de l'opinion publique.

Cette spécificité est importante. Les fuites de renseignements anonymes ne sont pas des artefacts neutres, ce sont des instruments politiques. Elles façonnent l'émotion du public, réduisent les horizons politiques et fabriquent de l'inévitable. Une fois qu'une population est convaincue que la guerre continentale est préprogrammée, la diplomatie devient illégitime par définition. C'est ainsi que l'on tue la paix sans débat.

Ce schéma n'est pas l'apanage d'une seule salle de rédaction. Il est systémique et délibéré. Dans tout l'écosystème médiatique occidental, les récits d'escalade sont systématiquement blanchis par l'anonymat, l'autorité et l'urgence, créant une boucle fermée dans laquelle la peur génère des titres, les titres fabriquent le consentement, et le consentement génère une dynamique politique qu'aucun représentant élu ne semble en mesure d'arrêter. Reuters n'est pas la maladie. C'est un symptôme d'une architecture plus large qui récompense l'alarme et punit la retenue. Encore une fois, tout est conçu.

C'est précisément la raison pour laquelle la réponse de la directricedu renseignement national des États-Unis est importante.

Tulsi Gabbard n'a pas hésité. Elle a accusé Reuters de diffuser « des mensonges et de la propagande » au nom des bellicistes, a averti que ces récits étaient utilisés pour « fomenter l'hystérie et la peur » afin de bloquer la paix, et a affirmé que les briefings de renseignement transmis aux parlementaires indiquent que la Russie cherchait à éviter une guerre plus vaste avec l'Europe et n'avait aucune intention de conquérir toute l'Ukraine, et encore moins l'Europe.

Cette formulation est cruciale, car elle correspond au compte rendu de Reuters lui-même. La contradiction est accablante : les mêmes services de renseignement cités anonymement pour amplifier la menace présentent, d'après leur propre directeur, une évaluation bien plus mesurée en coulisses.

Cela met en évidence la supercherie au cœur du récit de l'escalade. Même si l'on suppose que les objectifs de la Russie en Ukraine sont maximalistes, il n’en découle pas ni logiquement, ni militairement ni matériellement, que la Russie a l'intention de mener une guerre continentale contre l'Europe de l'OTAN. Ce raccourci n'est pas une analyse de renseignement, mais un conditionnement psychologique.

Après des années de guerre d'usure, la Russie contrôle un peu plus d'un cinquième du territoire ukrainien. Cette réalité ne justifie pas les fantasmes de divisions blindées roulant vers Paris ou Berlin. Prétendre le contraire, c'est substituer la peur aux faits, et c'est précisément ainsi que l'on justifie la guerre.

Mettez cela en parallèle les propos tenus par Gabbard lors du sommet de la TPUSA, où elle avait déclaré : « L'État profond nous combat à chaque étape, et il est présent au sein de chaque agence fédérale

Cette phrase n'est pas rhétorique. Il s'agit d'une description du comportement des institutions. Les bureaucraties dont les budgets, le prestige et les carrières dépendent d'une confrontation permanente n'acceptent pas tranquillement la paix. Elles y résistent en diffusant des informations de manière sélective et hors contexte, en remaniant les évaluations, en retardant les négociations et en redéfinissant les menaces jusqu'à ce que l'escalade apparaisse non seulement nécessaire, mais aussi morale.

Mais c'est là que le discernement est important, car la survie dépend du discernement, pas des intuitions. Gabbard est-elle sincère, ou est-elle simplement autorisée à jouer les dissidentes dans une mise en scène orchestrée ?  Ce n'est pas de la diffamation. C’est de la diligence raisonnable.(...)

 

 


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