Déposition de Steve Brown ( 1975 - 1990 )

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Steve Brown

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Jul 4, 2025, 3:59:53 PMJul 4
to Agenda - Planning - Regrets
Que s'est-il passé ? Pourquoi on se réveille un beau matin dans un gouffre, en pleine chute libre ? 

Accusations à l'endroit de deux gouvernements qui ne seront pas nommé dans cette courte autobiographie. Que faut-il comprendre de cette lettre insolite ? Qu'il faut éviter de juger au premier coup d'œil. Je vous invite à essayer de comprendre ma situation qui, il faut le dire, sort de l'ordinaire. Mais de cela, je n'en suis pas responsable. Il se serait produit un événement, à mon insu, qui aurait entraîné l’arrestation d’un magistrat et de plusieurs officiers de police. Je tiens à spécifier, ici, ce qui explique le rapport étrange que j’entretiens avec cette crise en développement, que je n’ai rien à voir avec les déboires de ce travailleur de la justice et ces travailleurs de la sécurité publique, que je ne connais même pas. C'est en 1980 que cette histoire, qualifié par moi de vendetta sans aucune raison, va commencer à m'atteindre insidieusement, comme un véritable poison lent. Je ne peux évidemment pas savoir, ni même me douter, que des individus me vise avec des fabrications de faux, vole mon identité et recrute des menteurs. Il est maintenant facile de comprendre, étant donné qui je suis, que les criminels visaient à travers moi des gens que je ne connais pas et avec qui je n'ai donc rien à voir, mais encore une fois, par simple déduction, des gens qui ont peut-être quelque chose à voir avec ces fameuses arrestations d’un juge et d’officiers de police. Vous comprendrez que démêler tous ces mystères exalte ma curiosité, d'autant plus que, désormais, ma sécurité en dépend. Mon nom est Steve Brown et je demeure au 3429 Ave Des Églises à Lévis, Québec, Canada. 

Qui suis-je ?

Comme bien des citoyens québécois, j'ai été un décrocheur, j'ai quitté l'école à l'âge de 15 ans. Mais en 1975, je me suis repris en main et suis retourné aux études. J'ai étudié dans un collège privé pour avoir un métier. Ensuite, je suis retourné aux études pour terminer mon secondaire, il me manquait le secondaire IV et le V. Durant l'hiver 1977, je suis entré à temps plein au CÉGEP Limoilou, mais sous condition de terminer mon secondaire V par les soirs, ce qui fut fait. En 1979, j'ai quitté le réseau collégial, (avec peine, j'adorais ce milieu.) mais au lieu de m'inscrire à l'Université, comme prévu, j'ai décidé de travailler à temps plein pour rembourser mon prêt de mon prêt et bourse. Le nouveau plan : travailler à temps plein et étudier à temps partiel. Je suis donc entré à l'emploi du ministère du revenu, au début de l'année 1980, un contrat de deux ou trois mois pour le temps des impôts. Au printemps 1980, je suis devenu agent de sécurité à temps plein pendant environ 11 mois et suis demeuré agent à temps partiel jusqu'en 1982. Je suis ensuite devenu chômeur jusqu'en 1990. Pendant ce temps (8 ans), je me suis passionné pour divers genres d'écriture. Je ne suis pas une personne importante, j'avais cependant observé que l'on me visait souvent (propos indirect, allusion indirect, sans s'adresser directement à moi), sans raison, assez pour que de 1985 à 1989, je note l'heure de mon départ de la maison, le nom et l'heure d'arrivée à ma destination et l'heure du retour à mon domicile (l'endroit où je demeurais). Ceci afin de savoir, où à peu près, je me trouvais, à n'importe quelle heure, quand j'étais à l'extérieur. À la fin du mois d’avril 1990, un événement inattendu allait se produire, pour la première fois la lumière, venue d'une porte entrouverte par un poste de radio, me permettait d'espérer découvrir l'identité et les mobiles des individus qui me persécutaient et qui avaient, quelques années plus tôt, formé le projet de m'assassiner. Avant d'aller plus loin, il faut expliquer ici l'utilité, pour certains individus, d'un poste de radio ou de télévision. L'utilité, c'est l’utilisation de ces médias dans le cadre d’enquêtes. Vient s’y joindre une technologie que peut utiliser, à peu près, n'importe qui. Pensons par exemple aux clous (micro espion pour écoute murale haute performance) qu'utilisent les forces policières avant une intervention dans un logis occupé par une personne d'intérêt. Savoir, ce que ces personnes enquêté écoutent, entraîne une influence positive pour la sécurité publique. Tout ce système a peut-être joué un rôle dans le déclenchement de cette crise. 

Ce que vous lirez paraîtra banal, mais comme vous le découvrirez, 2 meurtres et une tentative de meurtre vont rapidement suivre dans les semaines suivantes. Au printemps 1990, vers la fin avril, j'écoutais l'émission du matin à Chrc (poste de radio) et j'ai entendu l'animatrice Myriam Ségal demander à quelqu'un de l'appeler (au téléphone). J'ai compris qu'elle désirait parler d'une soirée que j'avais passée dans un club de danseuses nues. La suite demande un peu de compréhension. Encore aujourd'hui, il m'est difficile d'expliquer la tournure des événements de 1990 et des décennies suivantes, mais désormais, il y a de l'espoir. On voulait m’utiliser comme bouc émissaire. En 1990, des individus, commandés par un gouvernement que je ne peux identifier, tentaient pour la deuxième fois de m'assassiner. Ce qui devient difficilement explicable, c'est que l'on voulait m'imputer, de toute évidence, la mort d'un gangster, alors que je ne connais aucun individu de ce genre pas plus que le monde du crime. J'espère faire la lumière sur cet attentat puisque maintenant, il est possible de connaître la vérité sur ce qui s'est passé avec ce juge et les officiers de police corrompus par le crime organisé. En bref, il me manque une partie de ma vie et c'est pour cette raison que je dois tolérer d'être dur à croire. Par la suite, je suis allé voir pendant des années des avocats, des journalistes sur les conseils d'une procureure de la couronne, une organisation de défense des droits de l'homme (à Montréal), j'avais déjà écrit à la FIDH (fédération internationale des droits de l'homme durant l'hiver 1991) elle ne m'avait pas répondu. Personne n'a pu m'aider. J'accuse, deux gouvernements (dont les noms  n’apparaîtront pas dans cette déclaration), individuellement et collectivement de préparation :    

1. De tentative de meurtre,

Comme il est de règle dans toutes les affaires pénales et à plus forte raison puisqu'il s'agit ici d'accusations venant d'une victime (Steve Brown en recherche de preuves), les Accusés sont présumés innocents jusqu’à ce que leur culpabilité soit prouvée devant un tribunal. Les charges portées à l’encontre des Accusés reposent en grande partie sur des preuves de témoignages de fonder de pouvoirs. Ayant commandé les meurtres dans le cadre d'un complot appelés, dans certains milieux, "frame-up" ou coup du bouc émissaire, les Accusés et leurs Complices ont alors impliqué, dans ce coup monté raté (me mettre deux (2) meurtres sur le dos et tenter de me tuer pour bien sûr m'empêcher de témoigner), un grand nombre de services publics, incluant même le monde des médias sur lequel ils ont carrément fait main basse. Les médias manipulés ont donc permis d'alimenter la crise qui se déroula pendant l'été 1990. Un détenu (que je ne connaissais pas) d'une prison fédérale, qui fut assassiné et dont le groupe a rebondi devant notre domicile et a défilé jour après jour pendant des semaines. Une femme, que je ne connaissais pas, qui fut elle aussi assassinée. Devant ces faits, il est devenu inévitable d'accepter qu'il existe un grand nombre de témoins, parmi eux des fondés de pouvoir. Une savante manipulation des médias a suivi les crimes de l'été 1990. Malheureusement, une affaire de corruption, est à l'origine de cet été sanglant, qui se déroulait dans l'ombre de la crise d'Oka (La crise d'Oka de 1990 a été un conflit majeur entre les Mohawks de Kanesatake et le gouvernement du Québec, qui a duré 78 jours, du 11 juillet au 26 septembre 1990). Le milieu politique a utilisé son influence pour tenir les milieux journalistiques loin de cette affaire de corruption, et ce, jusqu'à aujourd'hui. Le monde des médias canadiens a donc été manipulé les 31 années suivantes pour garder dans l'ombre un certain nombre de scandales, incluant cette affaire de corruption. 

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