toni
unread,Mar 9, 2011, 4:30:22 AM3/9/11Sign in to reply to author
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to Affaire du petit Grégory Villemin : Mensonge d' Etat ?
Voici la transcription de l' appel anonyme du dit : " corbeau à la
voix rauque et essoufflée ", du dimanche : 24 avril 1983 qui aurait
été adressé à : 22 heures à Jean-Marie V., sur son lieu de travail :
Auto Coussin, tel qu' il était publié par le site :
gregoryvillemin.free, avant qu' il n'en soit retiré d' Internet par
les parents du petit Grégory (c'est un copié/collé ):
" X (corbeau) : hé ben, ça va les gendarmes sont pas près de guetter
mon coin, je vais pouvoir continuer… Pour la table d’écoute chez
VERDU, vous vous trompez bien, ce n’est pas VERDU qui vous veut du
mal… Marcel JACOB est à éliminer
JM : ta gonzesse est à l'écouteur?
(rire féminin derrière l'individu)
X : Pour savoir comment ta femme travaille, j’ai téléphoné à son usine
en me faisant passer pour l’inspecteur du travail, c’est comme çà que
je connais ses horaires de travail… Je suis même allé au magasin
d’usine, car je me suis dit: tiens! La femme du chef a peut-être été
pistonnée, et c’est peut-être elle qui tient le magasin… Je me suis
rendu compte que ce n’était pas elle qui tenait le magasin… Mais je me
suis alors dit que la gonzesse qui tenait le magasin ne valait pas
mieux qu’elle, elle aussi une putain toute maquillée…
JM : Arrête de te faire passer pour Roger Jacquel. Viens t'expliquer
entre quatre yeux
X : entre quatre yeux? ça m'étonnerait entre quatre yeux...il y en
avait du monde ce jour là.. le jour des pneus
JM : maintenant que tu as résolu le problème, ta fille va être bien
vue (JM fait allusion à sa belle soeur Liliane, fille de Roger
Jacquel)
X : elle a déjà mangé la fondue chez moi? Liliane , quand elle vient
me voir, elle me dit "ouais mes beaux-parents vont croire que c'est
moi? je ne reçois pas d'appel anonyme...les parents vont finir par me
découvrir" Alors l'idée m'est venue de lui téléphoner, comme je savais
qu'elle entregistrait, de lui mettre tout sur le dos, comme ça elle
peut se laver les mains..de toute façon une fois on a voulu m'accuser
mais ça n'a pas pris...toi avec tes coups de téléphone où tu changes
ta voix je t'ai reconnu...et moi avec ça tu me fais un alibi.. tiens
tes parents l'autre fois, je les ai vus à Granges, ils m'ont dit
bonjour, et j'ai pensé sacrée bande de cons! j'étais au café chez
Lenard
X : T’es plein de pognon.
JM : Jacky gagne autant que moi
X : tu ne te fous pas un peu de ma gueule, Jacky gagne dans les 7000
frs, et toi tu gagnes bien un million par mois.
JM : alors là, j'en suis loin
X : pas tant que ça...C’est toi qui touche le plus dans la famille.
T’es quand même un chef.
JM : chef, chef, chef, tu sais ce que c'est qu'un chef, c'est un
surveillant
X : Tu es dans l’équipe à Henry et Thomas ; tu te fais toujours péter
le cul ?
JM :oh hé arrête un peu, je me suis pas toujours laissé faire dans le
boulot
X : je sais bien, mais maintenant tu te fais péter le cul
JM : N'importe quoi!
X : Je ne peux pas blairer les chefs. Quand tes parents montent chez
Jacky, ta mère leur dit: ouais, Jean-Marie est borné, il est borné, à
dire que c’est vous qui téléphonez.
JM : ah bon?
X : On ne voit que toi.. J'en avais ras le bol d'entendre Jacky et
Liliane se plaindre. C'est pour ça que je me suis décidé de vous en
faire voir...J’arrête de téléphoner, pas comme la dernière fois,
parole d’homme.
JM : Mais t'as qu'à venir on va s'expliquer entre quatre yeux
X : Oh ben cela serait trop beau, tu saurais qui je suis, et puis tu
es trop balèze...ah oui, pour les pneus de Liliane , ça ne peut être
que toi, car l'autre tout fou qui est à côté de chez ton père, il a
aussi la trouille que son père...
X : tu ne peux pas blairer la Liliane!
JM : même si je pouvais pas la blairer la Liliane, comme tu le dis, je
n'aurais pas été crever les pneus à Jacky, car c'est lui seul qui
travaille dans son ménage
X : Oui mais ta femme ...elle, elle est couturière, alors que la femme
à Jacky, elle, elle est journaliste! Je t'ai vu samedi près de
l'église de Granges, face à la boucherie Mourot, avec ta femme et ta
R20 toute neuve. Vous aviez des lunettes de soleil...et je t'ai
reconnu l'autre fois au téléphone à deux heures du matin
JM : mais si tu dis ça, c'est que t'es Roger Jacquel
X : mais t'es comme ta mère, tu peux pas m'avoir au téléphone que
c'est Roger Jacquel...et pis, la table d'écoute chez tes parents, je
m'en fous, je peux téléphoner d'une cabine...Ton père je l’ai vu
l’autre fois, le jour du pneu. Je l’ai vu faire le tour de la maison
avec le fusil, j’ai tout juste eu le temps de quitter les lieux, pour
partir le long des parcs derrière le lampadaire et longer le chemin
pour rejoindre ma voiture… De toute façon, ta femme je l’aurai.
Heureusement qu’elle n’a pas marché dans le coup du faux accident
JM : oh!
X : on l’attendait à la sortie de DOCELLES.
JM : mais qu'est ce que tu lui aurais fait?
X : On l’aurait violée
JM : tu m'as l'air bien poussif pour la violer
X : moi je me serais contenter de la tenir, le jeune qui est avec moi
aurait fait le boulot….
JM : je m'en fous, j'ai de l'argent, je suis jeune, j'aurai une autre
minette. Et si tu veux aller après elle, attends au moins qu'elle le
veuille, que tu ne lui fasses pas mal, que tu n'y ailles pas comme un
lapin
X : Espèce de salaud ! Je lui dirai à ta femme, ça va pas lui faire
plaisir. De toute façon, je te mettrai une balle entre les épaules et
si je te loupe, je viendrais t’apporter des oranges à l’hôpital… oh
pis non ! Je m’en prendrai à ton mioche ça te fera plus mal. Ne le
laisse pas traîner, je le surveille avec des jumelles, si je le trouve
dehors, je l’embarque et tu le retrouveras “squofié” en bas, et tu
n’iras pas voir qui c’est
JM: Espèce de fumier, n'essaie pas de toucher au gamin, tu es un homme
mort
X : Ah ! Ah! J’y vais comme je veux chez toi…
JM :Ah oui?
X : C’est pas mal chez toi, tu as de la tapisserie à carreaux dans ta
cuisine. Dans la grande pièce tu as du carrelage couleur pain. Tu as
une belle salle à manger en chêne, mon salaud !
JM : Hé oui
X : Dis donc le chef, tu as du goût, elle coûte combien ? Quatre à
cinq million… Je vais monter chez toi. Demain quand tu rentreras du
boulot tes beaux petits arbres qui sont devant ta maison je les aurai
arrachés et j'aurais marqué Giscard sur ton crépi, tout autour de la
maison… Là, tu ne peux pas prévenir ta femme, tu ne peux pas
téléphoner à l’extérieur, qu’en dehors des heures du bureau.
JM : ce n'est pas grave, j'avais l'intention de changer le crépi en
couleur saumon
X : et pis, quand Liliane descend chez les parents à AUMONTZEY, elle
me dit: Oh! Ben quand Jean-Marie est là avec sa femme, je n’ose pas
rentrer, elle est toujours bien habillée, je suis gênée…
JM : arrête, elle est toujours en jean
X : oh oui! En jeans, mais alors quel cul... Liliane me dit aussi:
quand je veux me plaindre auprès de ma belle-mère, il faut toujours
qu’elle me dise, oh ben! La femme de Jean-Marie à des problèmes de
veines, et pis la femme à Gilbert a des problèmes de sang.
JM : ma parole, t'es Roger Jacquel?
X : c'est à toi de chercher
JM : je vais te citer quatre noms, et je te demande d'être franc pour
me dire si tu fais partie d'un des quatre.
X : d'accord
JM : Roger Jacquel, Pascal Verdu, Serge Noël ou Marcel Jacob?
X : je fais partie d'un des quatre...de toute façon, pour l'histoire
des rétroviseurs, il n'y avait pas que moi qui étais au courant
JM : tu sais ça par Liliane?
X : tu sais, il faut pas trop les écouter non plus...les rétroviseurs
il n'y avait pas que moi qui étais au courant
JM : et mon frère Gilbert, qu'est ce que tu en penses, car je ne suis
pas tout seul dans la famille?
X : Hé ben lui, je voulais lui crever les pneus mais comme il a une
vieille bagnole. elle est souvent en panne et il n'a pas une belle
baraque lui!
JM : et mon frère Michel, il n'y a pas que moi qui ai une belle
baraque, il y a Michel qui habite à côté de chez les parents.
X : hé oui mais si j'approche de la baraque, il y a le cabot qui
gueule. et le père est à côté et encore bien en train de guetter
JM : non, ça m'étonnerait ils sont en discorde...
X : Oh non, plus maintenant!
(en fait ils venaient de se réconcilier, et JM ne le savait pas
encore, comme la plupart de la famille d'ailleurs)
X : ton père il a pas l'age adulte...pauvre con. Il met encore des
chaussettes quand il va se coucher...
X : tu vois, le chef, que tu fais rien, ça fait 40 minutes que tu es
au téléphone. Je ne téléphonerai plus, parole d'homme, mais ce n'est
pas comme la dernière fois, cette fois-ci je ferai des vacheries"
(Fin de citation)
D' après les conclusions déposées par la défense en faveur du non-lieu
concernant les appels du : "corbeau" (tel qu'il était publié par le
site : gregoryvillemin.free), il était mentionné que cet appel
anonyme du dimanche : 24 avril 1983, adressé sur son lieu de travail
Auto Coussin, à 22 heures, à J-M V. , n' aurait pas été pris en
compte par le SRPJ, et que sa relation écrite, aurait mystérieusement
disparu du cahier où Monique V. mentionnait toutes les manifestations
malveillantes.
Selon le mémoire de Maître Chastant-Morand, ce fameux cahier qui
aurait possédé à l' origine 96 pages (Bizarre ! : d'habitude ce sont
des cahiers de 100 pages, mais tout est étrange dans cette
affaire !) , n'en avait plus que 16... lorsqu'il a atterri au
Tribunal. Une sérieuse amputation que l' avocate attribue sans preuve
à l' appui, à mots à peine couverts, au SRPJ, et qu'un gendarme
interrogé, ne confirme pas vraiment, en louvoyant ironiquement sa
réponse, tant et si bien que l' on peut s'interroger : après quelques
milliers d' appels anonymes : Monique V. la belle-mère :
"fausse" (SIC le non-lieu) et donc " non appréciée" (c'est une
litote ?) de C.V. ... peut-être juste un tantinet : "squatter" et
envahissante ? que l' on doit considérer en toute bienveillance, comme
pas très futée, aurait-elle fini à la suite d'un rai de lumière
d'origine divine, par démasquer l'ignoble volatile, et aurait-elle
soustrait à la Justice des documents compromettants pour sa bru ?
De toute évidence tel que le confirme le non-lieu, cet appel anonyme
émane de l' auteur de l' odieux crime et permettrait de l' identifier
clairement.
Il était donc à analyser avec la plus grande minutie, on remarque une
nouvelle fois que la Chambre dite " d'Accusation" de Dijon, a
soigneusement évité de le faire, et s' est dérobée...En ne tirant pour
conclusion dérisoire : qu' ainsi " le corbeau " en menaçant d'
enlever l 'enfant montrait à son interlocuteur (le père) quel était le
meilleur moyen de l' atteindre !(SIC) On pourrait objecter qu' il n'
était pas utile pour "le corbeau" de téléphoner pendant 40 minutes
pour aboutir à cette trouvaille qui serait de même nature que l'
invention de l' eau tiède ?
Tentons de pallier, de remédier, d'obvier à cette "défaillance"
délibérée du magistrat :"amoureux" Simon et des autres, aussi
complaisants.
De suite, deux phrases de cette communication, dans l' art consommé et
reconnu du "corbeau" pour la déstabilisation, appellent deux questions
dont les réponses semblent évidentes, car faut-il insister sur le fait
que le correspondant appelé était Jean-Marie V. et "l' inculpée",
(suivant le vocable usité en 1993 par le non-lieu ) : son épouse.
1/ " toi avec tes coups de téléphone où tu changes ta voix je t'ai
reconnu"
2/ "et je t'ai reconnu l'autre fois au téléphone à deux heures du
matin "
Qui pouvait savoir que J-M V. : "changeait" sa voix lors des appels
anonymes dits : " d' identification " ( pour demeurer dans le lexique
employé dans les faits rapportés par C.V. selon le mémoire de l'
avocate de la défense Maître Chastant-Morand) ?
Qui pouvait être informé que J-M V. avait donné un appel anonyme...
" d' identification" à Roger Jacquel à deux heures du matin ?
Petit pied de nez, pour répondre à la Défense, ce qu' aurait dû faire
la Cour d' Appel de Dijon, au lieu de l' utiliser comme élément à
charge contre B.L. : il ne semble pas qu' un résident d' Aumontzey
ait pu voir, même avec une longue-vue, quels pouvaient être les
turpitudes et les ébats intimes du couple de Lépanges-Sur-Vologne, a
fortiori ceux se déroulant à 2 heures du matin... pas plus d'
ailleurs, plus près de son domicile, qu' Albert V. dormait avec ses
chaussettes... Il apparaîtrait plus vraisemblable que :" la belle-
maman" devait être un peu bavarde... et sa bru... très, très à l
'écoute ?
Autres interrogations qui sans surprise désigne le même prévenu : qui
pouvait savoir que J-M V. travaillait un dimanche soir à : 22
heures ? Un "corbeau" habitant Aumontzey comme l' écrit la Défense ?
où un plus proche... à Lépanges-Sur-Vologne ?
Qui par ailleurs, mieux que C.V. pouvaient être informée de toutes :
"les bibilles" que " le corbeau " étale tel du linge sale, dans cette
conversation, avec son sens particulier de la provocation pour narguer
son correspondant qui se tient manifestement sur la défensive, et
répond très peu intelligemment ?
Le "corbeau" pouvait s'informer facilement, en s' identifiant ou
pas... Impossible dans ces conditions, de savoir quelles étaient les
indications qu' il pouvait avoir recueillies, afin de pouvoir le
cerner et le... "coincer".
Maître Chastant-Morand s' avance peut-être ? quand dans le mémoire,
elle écrit que les parents du petit Grégory, ne pouvaient pas être
informés de tel ou tel évènement, c' est mésestimer et oublier
que :" le corbeau" était aussi une satanée et perverse : "taupe", qui
pouvait se renseigner à l' insu de ses interlocuteurs... y compris
auprès des enquêteurs de la Gendarmerie...et là, en qualité de
victime ! (ce qui serait tout de même un paradoxe sidérant, mais non
incertain )
Recherchez, (ce que n' a pas fait la Cour de Dijon), qui était le seul
membre dans ce cas, pouvant être si bien renseignée dans cette
tentaculaire famille ?
Seul " canard" dans sa partition musicale presque parfaite, il dévoile
lui-même sa manière cynique d' opérer, ce qu' il ne faut jamais
faire ! Ne jamais fournir le moyen de permettre aux autres de :
"décoder" son comportement !
"toi avec tes coups de téléphone où tu changes ta voix je t'ai
reconnu...et moi avec ça tu me fais un alibi"( dit-il à J-M V. : SIC)
Avec une autre faute note, il aurait dû dire plus exactement :
" Et en faisant cela, tu fournis une fausse piste aux enquêteurs
afin qu' ils suspectent d' autres protagonistes, qui eux sont
totalement innocents"
Résultat acquis indiscutable : tous les enquêteurs se sont fait berner
par le malfaisant individu.
Pour parfaire la démonstration : on peut remarquer que le mémoire de
Maître Chastant-Morand utilise lourdement, abusivement et
prioritairement : " les bruits de fond" et autres imperfections
filtrantes d' appels qui ne sont sûrement que : "parasites" et : "d'
identification " ?
Il n' est donc pas étonnant que la communication anonyme mise en
exergue, où l' on entendrait les battements réguliers d' une machine,
qui serait de tissage ? n' est pas issue du " corbeau homme à la voix
rauque et essoufflée", caractérisant la tessiture vocale de l' auteur
du meurtre, mais plus sûrement d'un corbillat bien silencieux, qui se
contente de dire le mot : "stop"...après le long monologue insultant
de Monique V.
Était-ce un débutant non encore formé... en stage d' apprentissage
dans la recherche en identification ?
Pour ce qui concerne le dit : "alibi", la constatation avérée qui
peut être encore faite en 2011... 26 ans après le crime est que : "l'
inculpée" d'alors, n'a toujours pas fourni à la Justice, ce très
recherché et impossible : " alibi", en donnant son emploi du temps
réel des 30 minutes s' écoulant de : 17 h 02' à 17 h 32', qui sont
probablement les plus importantes de sa vie. Ce, malgré la demi-
douzaine de moutures qu' elle a tentée en vain, de faire avaliser,
depuis le 16 octobre 1984 !
Il faut relever aussi qu' avec la même vaine préoccupation, et la
même impossibilité de fournir la vérité, le site :
gregoryvillemin.free, a distillé sur INTERNET pendant des années les
affabulations successives les plus contradictoires et les plus
variées.
Il est grotesque qu' après avoir interrompu la mise en ligne de ces
informations, à cause des contradictions qu' elles véhiculaient,
détectées et mises à jour par certains internautes, son diffuseur
prétende aujourd'hui dans un communiqué pleurnichard : que : "des
corbeaux affabulent... sur INTERNET" (SIC).
Il devrait changer ses lunettes... peut-être trouverait-il : "le
corbeau AOC" authentique, auteur du crime, qui n' est pas mort,
puisque la même stratégie employée pour berner la famille, pour rouler
les enquêteurs, pour estamper la Justice, se poursuit encore
aujourd'hui pour abuser l' Opinion publique ? En tout cas,
proposition lui est faite de bien vouloir vérifier !
Finalement avec toutes les versions données, on ne sait toujours pas
si C.V. est partie : "faire des recherches au village"... et peut-
être un peu plus loin au bord de la Vologne ? avant ? ou après ? le
retour de promenade de Monsieur Bernard Colin. Car entre les deux
possibilité, il est décompté par les chronométrages du SRPJ,
confirmés par ceux du juge Simon : au minimum 28 minutes d' écart...
un gouffre et un énorme clou dans le potage ! car c'est largement la
durée, qui était nécessaire à l' auteur du crime, pour aller déposer
le corps de l' enfant mort puis : "ficelé avec raffinement", dans la
Vologne, (dixit le Maire de Docelles, un des premiers témoins de la
découverte du corps du petit Grégory, qui fait incompréhensible, n' a
jamais été auditionné !) ... et donner ensuite deux appels anonymes,
dont le dernier à Michel V. : 17 h 32' X'' ;
C'est d'ailleurs cette option qu' a retenue le non-lieu dans le
déroulement des faits en validant la première déclaration de C.V.,
dont voici pour rappel le P.V. (copié/collé, qui est reproduit sur le
WEB) :
"- J'ouvre la porte, je ne vois pas Grégory. Je fais le tour de la
maison. Je rentre. Il s'est peut-être caché dans une pièce.Personne.
Je monte chez les Méline. Nos voisins. Leur ferme est à une
cinquantaine de mètres au dessus de chez nous. Grégory y va
souvent.M.Méline est justement au croisement entre nos maisons. Il n'a
pas aperçu mon fils, mais il me conseille d'aller questionner son
épouse. A ce moment là, un autre voisin, Bernard Colin, passe devant
nous. C'est l'heure de sa promenade avec son chien. M. Méline lui
dit : quand vous serez devant chez moi, demandez voir si Grégory n'est
pas avec ma femme. Ce qu'il fait. Mme Méline sort et nous crie qu'elle
n'a pas vu mon garçon."(Fin de citation d'un copié/collé)
Commentaire : on est bien dans le bon sens de la promenade de Monsieur
Bernard Colin, qui au départ arrive, d' abord au croisement où se
trouve Monsieur Méline, puis devant la ferme située plus haut, où se
trouve Madame Méline occupée à coudre, pour la questionner, avant de
rejoindre le bois s'étendant au dessus, pour revenir ensuite en sens
inverse... : 28 minutes plus tard (Chrono juge Simon) ou 33 minutes ?
(chrono SRPJ)
La Cour d' Appel de Dijon a été mise dans l'obligation d' opter pour
cette version, parce qu' elle n' avait pas d' autre possibilité pour
prononcer l' innocence de l' " inculpée", car le déroulement des
faits, délivré à la Cour d' Appel de Dijon par le mémoire de l'
avocate Maître Chastant-Morand était entaché d'une impossibilité
matérielle et mathématique manifeste : C.V. n' ayant pas pu partir
faire ses prétendues : "recherches au village" après le retour de
promenade de Monsieur Bernard Colin accompagné de son chien dalmatien,
soit après : 17 h 29' et en être revenue 3 minutes plus tard, pour
être bloquée à : 17 h 32' 41'' rue des Bosquets, à la hauteur de l'
entrée de la ferme Claudon. (Rappel utile : la durée des "recherches"
donnée par le non-lieu est de : "plus de 10 minutes" (SIC ! ) )
C.V. serait donc sortie de sa maison, entre : 17 h 05' et 17 h 10',
le temps pour Monsieur Bernard Colin de parcourir les 300 mètres qui
séparaient l' endroit, rue de Bellevue, où il a été dépassé par la
véhicule de C.V. et son domicile.
On peut conclure que la Cour d' Appel de Dijon en adoptant cette
version ( seule matériellement, mathématiquement, plausible et
possible en fonction des témoignages), exclut toute possibilité d'
enlèvement, puisque de : 17 h 02' : instant où il aurait été doublé
par C.V. et celui de son passage devant le domicile de Grégory, le
témoin Bernard Colin a parcouru exactement le même cheminement que
celui qu' aurait emprunté un ravisseur éventuel, et l' aurait donc
aperçu, c' eût été aussi le cas d'autres témoins, dont Monsieur Méline
posté au croisement de la rue des Champs et du chemin de la Bure.
Pour en revenir aux appels indélicats, il est incontestable que :
"Maître-corbeau" avait toisé ses victimes et avait évalué avec
précision leur quotient intellectuel, si certaines ne recevaient que
des appels silencieux, c'est probablement dû à la seule contre-
réaction de cet être malfaisant, qui lorsqu' il entendait : "allô",
prononcé avec la voix qui ne correspondait pas à celle du conjoint
avec lequel il tenait à converser... imposait le silence. C'est
certainement la raison pour laquelle Albert V. a reçu des séries de :
17 à 27 appels silencieux... Il aurait dû inviter son épouse à
répondre ? à moins que celle-ci ne fût absente du domicile, ce que ne
pouvait pas voir même avec une lunette, un habitant, ne résidant pas
Aumontzey ?
On peut qualifier l' évaluation des intelligences faite par Maître-
corbeau de :" presque parfaite", puisqu' une seule victime pour plus
d' un millier d' appels anonymes, a reconnu son auteur : une salariée
de M.C.V. ! concomitamment un seul de tous les protagonistes de l'
affaire du petit Grégory a avoué un : "appel anonyme silencieux ? "
découvert en raison d' un défaut de prononciation causé par..."un
cheveu sur la langue" ? Il n' y en a aucun autre ! Comprenne qui
pourra : le rapport entre : "appel silencieux" et : " le cheveu sur
la langue" ? pour des éclaircissements à ce sujet vous êtes invités à
vous adresser à Dijon.
En analysant les appels : on peut établir un tableau avec le
classement des correspondants qu' avait sélectionné le machiavélique
auteur du crime (entre parenthèses ces désignations : " corbeau","
taupe", etc. sont péjoratives pour le règne animal, qui devrait porter
plainte pour diffamation à la SPA ! )
On doit placer en tête, en pôle position, médaille d' or, sans aucun
risque d'être accusé de favoritisme partial : Monique V... (plus de
1000 appels et jamais la moindre suspicion sur le patronyme de
l'interlocuteur ordurier qui la menaçait. Si ce n' est pas
pathologique de "la débilité mentale", c'est au moins un manque réel
et cruel d' intelligence... Ensuite médaille d' argent : J-M V. ...
ne pas découvrir quel familier proche, lui avait téléphoné pendant 40
minutes en le narguant, sans qu' il puisse trouver son identité,
vaut bien cette récompense amplement méritée !... puis Michel V..
Faisons grâce aux autres membres de la famille, inutile de classer les
non-médaillés ! Constatons aussi les absences notoires parmi les
destinataires victimes : de tous les membres de la famille de C.V. ?
de tous ceux des familles Laroche, Jacob et Bolle... de Bruno Magron ?
On peut conclure sans risque d' erreur, qu' avec tous ces indices
graves, troublants, concordants, réunis, si les enquêteurs qu' ils
soient de la Police, de la Gendarmerie, de la Justice, etc. n'
avaient pas découvert la VÉRITÉ, c'est qu' ils seraient
pathologiquement aussi : "bouchés" que Monique V. et ...que J-M V.
Il est plus probable que tous la connaissent depuis très longtemps et
" rament" de conserve depuis 1993, en prenant les citoyens pour des
"gogos", pour leur faire avaler l' énorme couleuvre qu' a été le non-
lieu de 1993 ! qui ressemblerait à une grâce politique déguisée dont
l' auteur n' aurait pas osé assumer personnellement ses
responsabilités.
toniDENIS