Zola ne pourrait-il pas encore dire : "j' accuse ! "

[toni]

Les progrès de la Science sont une chose, ce que veulent bien en faire
les humains, dont les magistrats de la Cour d' Appel de Dijon, une
autre. On peut faire entière confiance à la première, sans accorder le
moindre crédit aux autres.

Il suffit pour cela, de faire quelques constatations en lisant les
documents officiels de la Justice, en particulier toutes les décisions
à sens unique, prises par la Cour d' Appel de Dijon. On relève
d'abord, que l' affaire du petit Grégory avait été : "dépaysée" de la
Cour d' Accusation de Nancy à celle de Dijon, par la Cour de Cassation
pour des raisons qui sont bien bénignes, extraordinairement mineures
par rapport aux violations rédhibitoires et multiples de la Loi que se
sont permis, et que se permettent encore et toujours, les magistrats
de Dijon.

Sans doute étaient-ils à l' origine, sous la pression... et sous la
couverture, du Pouvoir par un ordre venu du plus haut sommet de l'
État ?

Constat : La Cour de Cassation n' a jamais bougé... et les Parquets,
"courroies habituelles de transmission" du Pouvoir, sont allés
toujours dans le même sens.

Il est clair que la Justice a entériné une fois pour toute, une
décision prise en haut-lieu.

La Cour d' Appel de Dijon, a manipulé les faits et corrompu les
procès verbaux d' audition en les arrangeant à sa convenance pour
arriver à ce résultat bancal, qui défie les règles élémentaires des
mathématiques et de la logique, lui permettant de dédouaner un
prévenu, sans pouvoir accuser formellement l' autre, dans une
impossible recherche de la résolution de la quadrature du cercle ?

Après, n' ayant réussi à convaincre personne, y compris elle-même,
consciente que les progrès continus de la Science ferait un jour
futur, éclater à la fois la Vérité, et ses prévarications, elle s' est
appliquée en catimini, sous le couvert fallacieux : "de nouvelles
recherches", à détruire à jamais, une à une, toutes les preuves et
toutes les pièces à conviction. Un exemple démonstratif (entre
autres ) : l' autorisation qu' elle a donnée d' incinérer le corps du
petit Grégory, alors que la même Cour d' Appel de Dijon avait nommé un
expert qui devait rendre ses conclusions sur les causes incroyablement
méconnues de la mort du petit Grégory... avant le 1 er novembre 1993 !
Mort noyé dans les eaux de la Vologne ? ou dans celles issues du
robinet de la ville ?

On constate que ce résultat simple, on l'attend toujours et cet :
"échec télécommandé", n' est certainement pas dû à une déficience de
la Science. Les cordelettes vont passer de vie à trépas, et l' on
pourra dire que la Cour d' Appel de Dijon aura aussi bien réussi la
mission qui lui a été confiée par la Chancellerie et son hold-up de la
Vérité, que celle de Lyon, dans l' affaire de l' assassinat du Juge
François Renaud.

Zola ne pourrait-il pas encore dire : "j' accuse ! "

toniDENIS