L'implacable, l' imparable, le seul scénario possible est inscrit dans les auditions et fichiers, recueillis par la Justice.

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Toni Denis

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Mar 2, 2015, 1:22:30 AM3/2/15
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AFFAIRE GREGORY VILLEMIN (Suite)

L'implacable, l' imparable, le seul scénario possible est inscrit dans les auditions et fichiers, recueillis par la Justice.

Il découle, il résulte : directement des premières auditions des principaux témoins, avant qu'elles ne passent au moulinet, retravaillées par le cynisme, la perversité, le vice, la vénalité, etc. : des politicards, des magistrats, des avocats et des médias.

Revenons sur ce qu'elles furent, écrites noir sur blanc.... aux premières lueurs, de l'enquête ratée, avant que d"être noyées dans l'abîme abyssale obscure de la dérive : frico-médiatico-juridico-politique des intérêts particuliers et des abus de pouvoir :

Première audition de Monsieur Gilbert MELINE :

"Depuis : 4 ans, j'ai les Villemin comme voisins.

Jamais eu d'histoires avec eux.

Le 16 octobre dans l'après midi, j'ai fauché en face de chez moi jusqu'à 17 heures.

Puis devant ma maison, j'ai nettoyé la lame de ma faucheuse. Disons, une demi-heure.

Après j'ai balayé le carrefour entre chez moi et les Villemin. Y avait du gravillon.

C'est dangereux pour les vélos.

C'est alors que Mme Villemin m'a demandé si j'avais vu Grégory. J'ai répondu non. On a cherché."

Question :___ : " l'enfant, vous l'avez vu dans l'après midi?"
__ - "Non. En fait, je ne l'avais pas vu depuis plusieurs jours.

Question :___"Avez vous remarqué quelque chose de suspect autour de la maison ces derniers temps?"

__ " Non. Sinon, bien sur, j'aurais prévenu les gendarmes, car les menaces, les coups de téléphone, les lettres et les dégradations sur leur maison et leur voiture, je savais tout ça."

Première analyse : Monsieur MELINE, a passé son après-midi à l'extérieur le 16 octobre 1984, de sa ferme située à 100 mètres d'après Google EARTH de chez les VILLEMIN : son champ de vue est ouvert sur la maison de ceux-ci, et sur les trois possibilités d'y accéder : Par la rue des Champs, par le chemin de la Bure,( ou Orée du bois), par le chemin qui mène de chez MELINE, au bosquet.

Le déplacement de Monsieur MELINE du lieu où il lavait la lame de sa faucheuse au croisement entre la rue des Champs et le chemin de la Bure ne s'est pas fait de manière instantanée...Il faut le quantifier en nbre de minutes... d'autant q u' a fortiori : il dit avoir balayé ce chemin entre la ferme et le croisement. (100 m ? )

M. MELINE indique qu'il n'a vu nul de suspect... et que le petit Grégory depuis plusieurs jours : il ne l'a pas vu, ce qui confirme à la fois les dires de la mère de l'enfant ... : Grégory était malade la semaine précédant celle du crime et était gardé par sa grand-mère à Bruyères, mais infirme aussi... les indications de son livre, selon lesquelles le 15 octobre 1984, Grégory serait allé, voir le petit veau de Monsieur MELINE ?

Première audition de Christine BLAISE VILLEMIN :

"J'ouvre la porte, je ne vois pas Grégory. Je fais le tour de la maison. Je rentre. Il s'est peut-être caché dans une pièce. Personne.

Je monte chez les Méline. Nos voisins. Leur ferme est à une cinquantaine de mètres (100 m) au dessus de chez nous. Grégory y va souvent.

M. Méline est justement au croisement entre nos maisons. Il n'a pas aperçu mon fils, mais il me conseille d'aller questionner son épouse.

A ce moment là, un autre voisin, Bernard Colin, passe devant nous. C'est l'heure de sa promenade avec son chien.

M. Méline lui dit "Quand vous serez devant chez moi, demandez voir si Grégory n'est pas avec ma femme"

Ce qu'il fait. Mme Méline sort et nous crie qu'elle n'a pas vu mon garçon.

Je rentre à la maison. J'appelle. Pas de réponse, je préviens M.Méline que je prends ma voiture et...je demande à M.Méline de surveiller alentour, le temps que je revienne. Je ferme ma porte à clé.

Je prends ma voiture et je descends au village chercher mon fils.

D'abord je m'arrête chez la nourrice, Christine Jacquot. Grégory est peut-être revenu jouer avec son fils.

Question :__: " Il était quelle heure?"

__ : " 17h40 (faux : d'après Madame Jacquot qui était resté au bas du HLM , moins de 20 minutes après pris la garde de Grégory soit : 16 h 55 + 20 min = au plus 17 h 15 minutes)

Je crois, parce que j'ai été bloquée en sortant de chez moi par Marcelle Claudon qui rentrait ses vaches.

Elle rouspétait qu'elle était en retard, et que d'habitude ses vaches sont à l'étable pour 17h30.

Je cherche au village. Toujours pas de Grégory. Je remonte par l'autre route, celle du lotissement, la plus longue pour revenir chez moi.

Je demande aux gens que je rencontre s'ils ne l'ont pas vu.

Question :-__ :"Quand rentrez vous chez vous?

__ " vers 17h 45 ou 17h 50. (17 h 20 minutes normalement = temps de "recherche au village" plus de 10 minutes d'après non-lieu... 8 min 26/ 27 d'après chronos SRPJ)

De toute façon avant 18 h car il ne faisait pas encore nuit.

Je pense alors à téléphoner à mon mari à l'usine AutoCoussin., à La Chapelle. Je veux qu'il rentre, qu'il m'aide.

A ce moment là je reste persuadée que mon fils s'est aventuré dans un petit chemin et qu'il joue.

A peine rentrée le téléphone sonne. Ma mère. Elle m'apprend que mon beau-frère, Michel Villemin, a reçu un coup de fil anonyme.

Non! je rectifie. D'abord ma mère me dit de rentrer Grégory et de nous enfermer dans la maison. Je lui dis " Grégory a disparu, je le cherche"

Elle crie. Je comprends mal. Elle parle d'un coup de fil...elle dit "j'arrive". Et elle raccroche.

Le téléphone se remet à sonner. Cette fois c'est ma belle mère. C'est elle qui m'apprend le coup de fil anonyme, que Grégory a été kidnappé par "LUI", et qu''IL" l'a jeté dans la Vologne, et qu'"IL" a ajouté "c'est ma vengeance".

C'est ma belle mère qui a appelé mon mari. Moi, malgré ma panique, je téléphone aux gendarmes de Bruyères. Je leur explique. C'est alors que Jean-Marie surgit. Je veux lui passer le téléphone.

Il ne veut rien entendre.

Il décroche sa carabine. Je m'interpose. Il me bouscule, sort et redémarre...(FIN DE CITATION)

Première analyse :

1/ : Christine VILLEMIN d'après son récit : apporte la preuve que c'est bien au début de la promenade de Monsieur Bernard COLIN, qu'elle est sorti de chez elle, et non au retour de la promenade, tel que l'a expliqué chronométrages en appui Maitre Chastant-Morand, dans son mémoire en faveur du non-lieu. Car c'est au départ de sa promenade et en poursuivant celle-ci, vers le bosquet que Monsieur Bernard COLIN était en situation de passer devant la ferme des MELINE et de questionner Madame MELINE. Impossible au retour on ne demande pas à une personne handicapée de faire demi-tour et d'aller à contre-sens.

2/ : Christine VILLEMIN indique qu'elle a été retardée par le troupeau des 36 vaches de Madame CLAUDON : au départ de ses soi-disant : "recherches au village" alors qu'elle allait prendre la voie dite "rapide" ... et non au retour : lorsqu'elle aurait pris, pour on ne sait quelle raison ? la voie "lente", par la rue du Bosquet, passant devant la ferme.

3/ : Christine VILLEMIN n'évoque absolument pas la rencontre virtuelle, qui résulte immanquablement d'un montage mensonger d'avocats, au niveau de la ferme où 4 faits indépendants, sans rendez-vous préalable, convergent bizarrement en un lieu précis : l'entrée de la ferme rue du Bosquet.

3.1. Arrivée à la ferme des 36 vaches et de Madame CLAUDON
3.2. Arrivée du car scolaire conduit par Monsieur Christian CLAUDON = Blocage , : 30 s.
3.3. Retour de Christine VILLEMIN, après ses soi-disant : recherches au village = Blocage ?
3.4. Appel anonyme de l'auteur du crime chez Michel VILLEMIN à : 17 h 32 min 41 secondes.

Cette rencontre fortuite, inopinée, est d'ailleurs matériellement impossible d'après les chronométrages, puisque partant alors que les vaches "défilaient " (SIC) Christine VILLEMIN ne pouvait arriver en même temps à la ferme que si les temps de parcours auraient été rigoureusement : égaux. Or, ils ne le sont pas : le chronométrage moyen pour le troupeau est de 12 minutes 30 secondes et de 8 minutes 26/ 27 pour Christine VILLEMIN, soit 4 min de moins.

Par ce fait : Christine VILLEMIN, serait arrivée à la ferme quatre minutes avant le troupeau et n'aurait pas pu être bloquée, par le car scolaire, qui aurait pu rentrer sans encombre, puis se garer dans la cour.

4. : Christine VILLEMIN savait d'après son audition : que son enfant avait été jeté dans la VOLOGNE... L’interrogation qui interpelle est : pourquoi ne l'a-t-elle pas dit à son mari lorsque les premières recherches furent entreprises près du bosquet ? Pourquoi celui-ci le reprocha ensuite : à son frère Michel VILLEMIN ?

Quelle est la situation géographique de tous les témoins connus et cités dans les premières auditions ?

Monsieur Bernard COLIN a été dépassé par la Renault 5 noire de Christine VILLEMIN, alors qu'il se trouvait à environ 350 mètres du domicile des VILLEMIN à la hauteur du numéro 11 de la rue de BELLEVUE,.. à 70 mètres de la fourche, avec vue sur la route de Faing/Vairel qui part à gauche.

Madame Grandidier : qui demeure au numéro : 11 de la rue de BELLEVUE, voit passer Christine VILLEMIN... Elle a faim et son horloge : indique d'après elle 17 h 00... avec la précision non infinitésimale des coucous ? qui ne sont pas suisses à Lépanges-sur-Vologne ? où les horloges semblent s'être déréglées ?

Monsieur Gremillet, de son domicile, sis 36 rue de BELLEVUE, sur le tronçon de route allant de la fourche à Faing/ Vairel, voit passer une automobile montant la rue des Champs entre : 17 h 05 min et 17 h 10 min... qui ne peut être que celle de Christine VILLEMIN, qui a été vue par Madame Grandidier et Monsieur Bernard COLIN, qui comme Monsieur MELINE, n'en ont vu aucune autre...

Monsieur MELINE se trouve à l'extérieur entre sa ferme et le croisement.

En analysant : ces diverses positions et compte tenu que nous sommes en terrain largement à découvert : sur les trois voies permettant l'accès à la maison où Grégory aurait pu jouer...on constate que l'enlèvement était matériellement IMPOSSIBLE, entre le moment où Christine VILLEMIN a dépassé Bernard COLIN, et celui où, cheminant cahin-caha, sur le même itinéraire que celui qu'aurait emprunté un hypothétique ravisseur, en tout cas ayant, la vue sur la maison de Grégory... ce témoin situé aux premières loges : n'a absolument rien vu, pas plus que Monsieur MELINE, que Monsieur Gremillet.

Ces données étant avérées, il nous appartient de rechercher pourquoi l'enfant vu vivant à 17 h 02 minutes : l'a été à ce moment là, pour la dernière fois, sa mort ayant été annoncée à : 17 h 32 min 41 s ?

Il résulte que la seule personne qui ait été aperçue descendant au village a été Madame Christine VILLEMIN, ce qu'elle reconnait ... pour des soi-disant : "recherches au village"

Personne ni Bernard COLIN, Ni Gilbert MELINE, ni Madame CLAUDON qui ont vu partir Christine VILLEMIN au village n'ont indiqué l'avoir vu avec Grégory encore vivant ?

Il en résulte imparablement et Monsieur de La Palice vous le dirait ... si Gregory n'était plus vivant ... c'est qu'il était mort... c'est la seule alternative.

On comprend alors que la seule solution qui résulte : est que Christine VILLEMIN a mis fin aux jours de Grégory, pendant le temps qui s'est écoulé entre le dépassement de Monsieur Bernard COLIN et de son passage près de la maison des VILLEMIN. 350 mètres que l'on peut calculer à une vitesse de un mètre par seconde, compte tenu de la forte pente de 7 % ... soit 350 secondes qui décomptent le passage de l'état de vie à la mort de Grégory... 5 minutes 50 secondes. pour un trépas depuis longtemps programmé.

Et à ce point là : on comprend nettement mieux ce qui est apparu abstrus et nébuleux, au premier abord ... : pourquoi les volets de la maison étaient-ils clos ? ... ce qui est une manière aussi étrange que suspecte de surveiller un enfant que l'on saurait menacé ?

N'était-ce pas en fait pour pouvoir perpétrer sans aucun risque d'être dérangé l'horrible forfait ?

Par quel moyen ? la noyade c'est celle qui vient à l'esprit le plus souvent ... comment meurent les petits chats d'une portée rejetée, à la campagne en FRANCE ? noyés dans un seau... : pas un cri... deux minutes d"immersion maximum et tout est fini, au suivant...

D'où : après l’impérieuse nécessité qui fut celle de mettre à l'eau le petit corps sans vie de l'enfant, dans une rivière... pour donner le change et tromper les enquêteurs. Il faut reconnaître que ce beau piège a parfaitement fonctionné... mais n'oubliez pas les analyses jamais critiquées du Pr Duprez... ce serait dommage, et même une faute de les dauber.

Le liage n'était plus qu'un simulacre... on comprend pourquoi :" il était raffiné" (SIC) et que l'enfant ne portait aucune blessure au niveau de ses liens... et aucun éléments minéraux ni végétaux dans ses poumons ? pas de lézard sur ces points.

Un peu d'eau dans l'estomac, Grégory a bu de manière classique pour les noyés, d'abord :" la tasse"... puis est mort asphyxié quand il a aspiré l'eau dans ses petits poumons ... L'immersion ayant été insuffisamment longue... pour des raisons évidentes... sans doute est-il passé par une phase de coma avant de décéder ?

L'histoire de la fin du petit Grégory est inscrite dans les auditions recueillies par la Justice... Il suffit finalement de rétablir calmement les horaires adéquats, tout devient clair comme l'eau de la source...

CQFD... aucune énigme du petit Grégory ... juste une suite de réflexions logiques et utiles qui vous donne comme au Sudoku... la seule et unique solution possible du faux mystère : GREGORY VILLEMIN ... après ce sont les classiques embrouilles politiques et des médias à leur solde.

Alec Picquet

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Jun 6, 2019, 11:20:02 AM6/6/19
to Affaire du petit Grégory Villemin : Mensonge d' Etat ?
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