AFFAIRE DU PETIT GREGORY VILLEMIN (suite)
Pourquoi le petit Gregory n'a pas été jeté vivant dans les eaux froides de la VOLOGNE ?
C'est d'une totale aberration sur un nombre incalculable de motifs et surtout par les risques insensés qu'aurait pris l'auteur du crime, de se faire apercevoir, et ce, quel qu'il soit.
Il faut reprendre cette affaire du petit Grégory VILLEMIN, au début.
Nous avons un enfant dont le corps a été jeté dans une rivière, avec la certitude absolue compte tenu de la revendication du crime par une lettre envoyée le jour même, et un appel anonyme provenant du meurtrier qu' il s'agit bien d'un crime. Le plus abominable des crimes : celui d'un jeune enfant... ce qui soulève d'emblée la désapprobation générale et la colère de l'Opinion Publique.
On s'aperçoit comme toujours que lorsqu'il y a un cadavre où que ce soit, spontanément arrivent tous les vautours qui rappliquent pour s'entredéchirer et réduire en lambeaux de chair, sans aucune retenue, sans aucune décence la pauvre dépouille encore chaude de la victime.
Ainsi arrive en premier le bouffe-merde : Jean-Miche BEZZINA, de RTL... la première station en écoute de France : pas besoin de lui faire de dessin... il perçoit de suite en hyène lorgnant sous cape, le butin : le paquet de FRIC qu'il va ramasser en vendant des soupes immondes frelatées.
Jean-Miche BEZZINA, sait bien après l'affaire du tueur d'enfant de Troye : Patrick Henry... qu' il va pouvoir optimiser avec synergie et donner l'inertie des ventes aux tonnes de PPAC... (papier à cul d'activation du prurit anal ) en vendant l'horreur et la lâcheté. Il connait en pro, ce qui va attirer le maximum de moutons de Panurge, assoiffés de films gores, d'épouvantes, qui en manque, drogués par le malheur, en redemandent.
Il a un crime entre les mains...Jean-Miche BEZZINA, tire à la roulette : le coupable... pas le temps de le rechercher ... pas le temps de cogiter et d'élucider : il faut de suite engranger, ramasser le fric, en battant le fer quand il est encore chaud...
Il tire au sort ... pour lui le coupable : ce sera Christine VILLEMIN, parce que pas fou... On ne le prend pas le Mafieux : pour un jambon... lui le barbeau dépravé, des bars à péripatéticiennes de Nancy, connait un peu mieux les annales du crime que les jeunots encore puceaux lancés dans le bain mouvant et écumant le glauque de l'affaire : le juge Lambert et le pandore Sesmat... qui débarquent dans la vie active... comme un clou dans une soupe immangeable.
J-M BEZZINA, en fait-diversier de le la rubrique : " chiens écrasés " de RTL, sait que dans la majorité des cas d'infanticides par les parents eux-mêmes ...donc les cas de filicides : c'est très souvent les mères qui sont responsables. Il choisit au moindre risque de se tromper : la coupable et charge le baudet.
Il a le crime et son coupable... Jean-Miche BEZZINA doit alors trouver le scenario, qui après étude du marché, à la vue de l'Opinion Publique, des chalands, lui rapportera le plus de FRIC et il lance le slogan très accrocheur : le mensonge éhonté, que dénonce en le martelant Serge Garde :
"Un enfant jeté vivant dans les eaux froides de la Vologne "...
Jean-Miche BEZZINA fait lui-même la promotion et la publicité de sa trouvaille spécieuse ... : " je n'ai jamais en trente ans que je fais ce métier, vu un crime d'une telle sauvagerie d'une telle atrocité...C'est L'AFFAIRE... peut-être pas l'affaire du siècle..."? mais juteuse sûrement : tait-il.
Il est vrai qu'on a eu à Paris, des ratonnades au bord de la Seine, qui ont été tues à l'Opinion publique par secret d’État, des resquilleurs et passagers clandestins de bateaux, qui ont été jetés vivants dans les mers et les océans du Monde ... mais jamais on n'avait vu ce fait-divers sordide d'un enfant jeté vivant dans les eaux, après un crime très longtemps préparé et prémédité... un scoop béni !
Jean-Miche BEZZINA impose le scenario, aux autres marchands de soupes, qui rappliquent de toute part... "Les rats de la Vologne"... ce qui est péjoratif pour les animaux... la SPA devait les poursuivre. Ils ne font aucune objection : la genèse et la conclusion du crime leur convient ... pas de doute : ce sont bien les plus à même de rapporter le max. ... de pognon.
Arrive la dinde d’élevage...Elle rapplique avec ses sabots... de la Lorraine... la FEMME... Europe N° 1 ayant vu son concurrent direct des radios périphériques, RTL, occuper de suite le terrain, contre attaque... Inutile d'envoyer des diplomates... qui n'arriveraient pas à contrer... non dans ces cas là, on envoie LA FEMME, qui avec ses atouts et ses atours va piper les cartes... et l'ordre établi, en recueillant suffrages et PV.
RTL avait choisi son coupable... L. LACOUR : il fallait qu'elle en trouve un autre ? Partager la même merde à deux ce n'est pas rentable... sinon arrivant en retard, elle ne pouvait plus doubler le maquereau et sa mère maquerelle larbin; qui avait posé son cul pachydermique sur le site, et dominaient déjà de leur haine féroce et de leur suffisance patho : l'affaire Grégory.
LACOUR, l' efficacité prévalant sur honnêteté : s'est choisie un autre coupable... celui jeté en pâture à l'Opinion Publique, qui réclamait une tête par le carriériste voyou, opportuniste : SESMAT... Laroche avait selon lui : " le profil "... du mec qui ne peut pas sentir ni "poulets" et ni "pandore" l'anarcho-communard : Bernard Laroche sarcastique dans ses réponses lors de ses auditions, ce qui devient une tare impardonnable pour ceux dont la tête au ciel est voisine...
Sont arrivés aussi les fouilles-fouteurs de merdes habituels : Denis Robert... Marguerite Duras...." cancer mon amour"... "Hiroshima ma prostate " .. et l'ordurier dit : "GRAND REPORTER" du : " poids des mots du choc des photos "... de Paris-Match... l'abominable beauf' à la Cabu : Jean KER, de la communauté des GROS PIFS... avec sa queue de cheval fallacieuse... volée au passage sur un rat...
On a ainsi réuni : tout ce que la France pouvait receler de crevures... dans ses immondices...ses culs-de-basses fosses, pour foutre le désordre... car ces ordures savaient depuis toujours que dans tout désordre : il y avait profits à tirer, et un max de FRIC à se faire... en divisant en deux et à mort : l'Opinion Publique.
Nous avons vu pourquoi : ils ont vendu au Peuple de France : "Un enfant jeté vivant dans les eaux froides de la Vologne "
Il nous appartient de retrouver la réalité des faits, qui était vous, vous en doutez moins accrocheuse, moins vendeuse... parce qu'elle entrait dans le presque banal des horreurs des actualités mortifères quotidiennes du RAS...
On doit au préalable se poser la première question : Pourquoi le meurtrier a-t-il choisi de noyer un enfant et de jeter le corps dans une rivière ?
D'abord noyer ou étrangler... voire abattre avec une arme ? ... la réponse est évidente comme pour les petits chats d'une portée qu'on ne veut pas ... leur tremper la tête dans l'eau d'un seau, en appuyant derrière la nuque : c'est plus facile, moins sauvage, moins repoussant, que de serrer un petit et tendre cou, entre les mains ou de les abattre dans un bain de sang qui laisse des traces.
Mais sur le plan risque : mettre un enfant dans une rivière : c'est de loin la solution qui en présente le plus... car les rivières en France sont jalonnées de témoins potentiels... de lieux et espaces de promenade, de loisir et de pêche...
Le meurtrier qui a de toute évidence fait une étude et une gestion des risques a dû appréhender ce risque potentiel et le réduire au minimum en restant le moins longtemps possible au regard des témoins au bord de la Vologne... dans ce cas : pas question de neutraliser et de lier l'enfant à découvert.
C'est pourquoi la mise à l'eau dans le Barba près du local, des pompiers de Docelles, à la vue de plusieurs maisons et à proximité d'une usine papetière travaillant à jet continu : est une ineptie...d'autant plus, qu'aucun indice trouvé sur place ne vient conforter une seule fois cette hypothèse démente... pas même le suborné témoignage de Murielle dont-on prétend qu'elle n'aurait pas vu d'eau de la placette... où avait selon ses dires garé le véhicule BL... alors que de la place de L' Espine est bordée du Barba et de la Vologne ? Personne n'a vu non-plus une voiture stationnée pendant au minimum 15 minutes avec pour passagers : une fille rousse et un jeune enfant... ni à Docelles... ni ailleurs ?
Le carton à insuline a été trouvé à 100 mètres du local des pompiers : près du monument aux morts... Le meurtrier n'était tout de même pas totalement insensé pour perdre du temps et aller à 100 mètres jeter dans une haie un indice qu'il savait qu'ainsi on le retrouverait... alors qu'il aurait pu le jeter dans le Barba... après avoir mis à l'eau l'enfant... où ce carton aurait coulé sans possibilité d'être jamais retrouvé ?
Pour trouver la vérité sur l'affaire du petit Grégory...que faut-il faire ?
1/ Il faut faire les schémas horaires avec les chronos qui étaient donnés par SRPJ et Juge SIMON.
On s'aperçoit qu'ils sont hyper tendus... des sprints successifs...Il aurait fallu les faire d'un seul jet, pour avoir une valeur plus réelle.
Néanmoins cette manière d'opérer, permet d'avoir les temps mini pour chaque séquence.
Ensuite comme pour une gamme de fabrication dans l'industrie, on peut inverser chronologiquement certaines opérations... L'auteur du crime pouvait mettre à la Poste la lettre revendiquant le crime avant 17 h 00... ou après, en allant vers la Vologne.
Il faut étudier l'incidence qu'apporte telle ou telle inversion... et choisir la chronologie qui aboutit au temps passé minimum
On empile ensuite les chronos pour chaque protagoniste possible ...
çà permet de définir QUI PEUT ÊTRE L'AUTEUR DU CRIME? ... parce que si
un des "candidats" : utilisons les vocables du sudoku... dispose du
temps matériel pour exécuter, une à une : toutes les opérations, cela ne
veut pas dire que nécessairement : il est le COUPABLE
Par contre : s'il est le seul à disposer de suffisamment de temps : par exclusion, par élimination des autres candidats qui ne disposent pas matériellement de ce délai minimum... : on est obligé de le considérer comme étant le seul ayant pu commettre le crime.
C'est que qui résulte des schémas horaires... pour deux impossibilités Bernard Laroche ne peut pas être l'auteur du meurtre...: d'abord parce qu'en partant du CES de Bruyères à 17 h 05 min ... faisant 200 m jusqu'à la rue de Lattre de Tassigny en 4 min 56 s ... tel que le prétendait le juge Simon ...: il ne peut plus ensuite arriver à : 17 h 13 minutes sur les hauts de Lépanges-sur-VOLOGNE... pas aller non-plus : à La Poste avant 17 h 15 min, heure de dernière levée... pas lancer un troisième appel de Docelles à : 17 h 32 min 41 s ... pas être à Aumontzey à : 17 h 30 min... C'est matériellement IMPOSSIBLE.
Ensuite compte tenu dans la deuxième phase, de sa présence chez Champion avant la fermeture de la caisse N° 2... à 18 h 15 min, et le nbre de clients qui étaient derrière lui... c'est à dire avant 17 h 05 min... Il ne pouvait pas faire le parcours entre Docelles et Aumontzey, puis entre Aumontzey et Laval-sous Vologne en moins de 32 minutes. On sait que la moyenne horaire de la vitesse réelle de Jean-Marie Villemin dans son périple après la sortie d'AutoCoussin est de 52 km par heure... ce qui empêche BERNARD LAROCHE d'être considéré COUPABLE...: il ne dispose pas matériellement, du temps suffisant.
On cherche si un protagoniste inconnu caché et attendant Christine VILLEMIN à son retour du travail, pouvait avoir le temps de commettre le meurtre... Ce n'est pas possible non-plus, en sachant qu'il aurait dû stationner avec son véhicule au moins à 280 m de la maison... compte tenu qu'elle était à vue découverte, en évaluant le temps mis pour ravir l'enfant, en allant à pieds le chercher : rend ensuite IMPOSSIBLE qu'il ait pu se rendre à la Poste avant 17 h 15 min et lancer un troisième appel de Docelles à 17 h 32 min 41 s
On s'aperçoit comme au sudoku, qu' il ne reste plus alors : qu'une seule et unique possibilité... ce ne peut être que celui qui détenait l'enfant vivant à 17 h 02 min qui n'avait donc pas besoin de l'enlever, qui avait sans aucun doute déjà envoyé la lettre à la Poste... qui pouvait se dispenser d'un appel anonyme... le premier pour savoir que "sa mère est en train de le chercher mais ne le trouvera pas" qui pouvait finalement : avoir commis le crime litigieux.
Reste à épingler ce qui est le plus malaisé : le mode opératoire, la méthodologie du crime.
1/ La première question pourquoi l'enfant a-t-il été jeté dans une rivière ?
l'interrogation se pose d'autant que l'on sait qu'une rivière rend toujours les corps qui y disparaissent... dans tous les cas : ils remontent à la surface après quelques jours d'immersion ... contrairement à la mer ou dans les océans, où ils peuvent être digérés par la faune marine.
Pourquoi avoir pris le risque de ne pas le jeter dans certains lieux moins ouverts aux témoins et où le corps aurait disparu à jamais ? aucune explication logique n'apparait ? un gros point d’interrogation subsiste, tant qu'on y va pas voir de plus près ?
Tout simplement : parce que dans ce cas et l'analyse du professeur Duprez le prouve... Le petit Grégory a été noyé dans l'eau de la ville, qui n'a pas du tout la même composition chimique que celle des rivières par l'apport de certains désinfectants et de produits chimiques destinés à éliminer les odeurs... par les filtrages qui en éliminent les corps minéraux, végétaux, voire vivants.
Dans ce cas : pour tromper les enquêteurs et donner le change, l'auteur du crime était dans l'obligation fondamentale de jeter le corps de l'enfant dans une rivière, après l'avoir noyé sans aucun risque d'être vu ni entendu à l'intérieur de son domicile. pour que l'on croit à la noyade de l'enfant, dans ses eaux.
En ce sens : pour venir conforter cette thèse : on comprends mieux pourquoi les volets de la maison étaient clos...en plein jour, en empêchant toute surveillance directe de Grégory. Il était ainsi impossible ainsi pour un passant de se douter que la maison n'était pas occupée, pendant la sinistre euthanasie...
Le véhicule de la propriétaire des lieux avait été garé dans le garage vide central où habituellement Jean-Marie VILLEMIN mettait sa Renault 20 neuve... Ainsi l'opération délicate de transfert du corps mort et lié de l'enfant de la table-autel où il avait été sacrifié, au coffre de la Renault 5 noire pouvait se faire à l'abri de tous les regards indiscrets... Parce qu' a fortiori si l'auto avait été garée dans le garage en cours de finition : Monsieur Bernard Colin en passant à moins de 4 mètres, l'aurait manifestement aperçue.
Le fait que Grégory qui aimait venir caresser le chien dalmatien...le prouve... pourquoi s'il avait joué dehors et ayant aperçu Monsieur Bernard Colin quelques instants auparavant : ne serait-il pas allé ce jour là, à sa rencontre ? rien n'est logique... il faut en faire le constat et en chercher les raisons.
2/ Deuxième question : "l' enfant a-t-il été jeté vivant dans les eaux froides de la Vologne"
On commence par analyser les annales du crime... On s'aperçoit que ce n'est JAMAIS arrivé en France à l'encontre d'un enfant pour un crime largement et depuis longtemps prémédité...Ce n'est pas un accès soudain de folie : qui en est le mobile.
Des adultes ont été jetés vivants en particulier dans la Seine principalement à la suite de ratonnades... ou s'y sont jetés dedans... parfois pour éviter et se soustraire aux charges aveugles des forces de l'ordre.
On s'aperçoit aussi en regardant les vidéos que certains journalistes avaient flairé "L'AFFAIRE DU SIÈCLE" et avait de suite découvert le filon des médias et de la gent "avocatière"... que çà allait faire un marronnier qui allait rapporter énormément d'argent... pendant des lustres ... une rentre viagère en quelque sorte.
C'est pourquoi d'un côté, comme de l'autre à l'unisson et à l'envi , tous ont apporté de nouveaux scoops de plus en plus mensongers aux déroulements des faits ... parce que tous avaient une communion d'intérêts convergents pour faire monter les enchères de la sauvagerie et de l'horreur.
2. 1 / On étudie les deux solutions d'abord :" enfant jeté vivant dans la Vologne"
On sait que la mère de l'enfant partant de chez "la nourrice" Madame Jacquot : des HLM, rue Gai Champ à proximité immédiate de la D.44, qui est la route la plus rapide pour aller au "lieu privilégié" au bord de la Vologne, sans ne traverser aucun village... est remontée en direction de chez elle... puisqu'elle a été vue par Madame Grandidier et Monsieur Bernard Colin vers 17 h 00/02 min.
Pourquoi Christine VILLEMIN : n'a -t-elle pas pris directement la route D. 44...alors qu'elle se trouvait à moins de 100 mètres ?
On nous dit : c'est pour se montrer et se faire voir : à proximité de chez elle...
On s'aperçoit que cette thèse s'écroule : Car Christine VILLEMIN n'avait dans ce cas, aucune certitude de rencontrer en chemin : qui que ce soit... Bernard Colin ne faisait sans doute pas la même promenade tous les jours...ne l'avait pas faite la veille alors qu' il pleuvait ? Madame Grandidier pouvait avoir faim avant 17 h 00 et rentrer chez elle avant le passage non attendu de Christine VILLEMIN d'autant moins; que la semaine précédent le meurtre Chrsitine VILLEMIN, prenait dès la sortie du travail de chez MCV, la route de Bruyères pour aller chez sa mère, qui gardait le petit Grégory malade.
L'argument tombe de fait... car personne : ni sur la route de Faing/ Vairel sur laquelle se trouvait le témoin Gremillet, ni du côté de la ferme où se seraient trouvés Madame Claudon et Claude Colin : n'ont vu Christine VILLEMIN descendre à Lépanges-sur-VOLOGNE ou à Docelles, avec le petit Grégory vivant.
Par contre : c'est indéniable et manifeste : tous ont vu Christine VILLEMIN, descendre vers Lépanges-sur-Vologne, par la voie "rapide"... apparemment seule ? ... mais rien ne dit que Grégory ne gisait pas dans le coffre de la R5 ? ...
Il reste à définir avec précision : l'horaire à partir duquel Christine VILLEMIN est partie faire ses soi-disant :" recherches" à Lépanges ... et plus loin ?
A fortiori : ayant dépassé Bernard Colin à 70 mètres de la fourche Faing/ Vairel ... en aucun cas elle ne pouvait se permettre de tourner sous son nez et de partir à gauche sur une route qui ne menait pas à son domicile...
Dans ce cas, vue par Mme Grandidier et M. B. Colin : elle aurait fait semblant d'aller chez elle ... sa voiture ayant disparue, du champ de visibilité des témoins : elle aurait pu passer devant sa demeure , sans s'arrêter et poursuivre par le Chemin de la Bure, puis redescendre par la rue du Bosquet à Lépanges et poursuivre par la D44... jusqu'au : "lieu privilégié"
Mais c'eut été sans compter qu'elle avait un grand risque de croiser à cette heure là, Madame Claudon allant chercher ses vaches, à la pâture, à l'heure habituelle où celle-ci allait les ramener les autres jours.
C'eut été sans compter : que l'enfant n'avait pas de bonnet sur la tête pendant une journée et qu' il faisait beau... Ce qui implique qu'elle passa à son domicile pour l'aller chercher, pour lui le mettre.
On nous dit sans preuve : qu'elle avait ce bonnet dans son auto ? ... Alors là, c'est encore du grand : "n'importe quoi"... qu'elle ait disposé d'un bonnet dans son véhicule, ce n'est pas certain, mais c'est possible... mais ce ne pouvait pas être celui avec lequel Grégory a été retrouvé dans la Vologne.
Le bonnet que portait Grégory, n'était pas adapté à la saison d'automne et encore moins pour un jour de beau temps... C'est un bonnet de type : "sport d'hiver" qui se replie plusieurs fois. Sa longueur a permis à l'auteur du crime de le nouer sous le menton ... ce qui aurait été impossible avec son bonnet habituel de tous les jours
Dans ce cas la mère était obligatoirement tenue de passer et de rentrer à son domicile.
Se pose alors le problème du liage ? On nous dit : c'était pour empêcher de nager un enfant de quatre ans ? ... d'abord savait-il ? peut-être pas ?
On remarque dans ce cas, que deux liages : celui des pieds et celui de la tête étaient totalement inutiles...Il suffit de lier les mains pour empêcher un enfant sachant barboter, de nager... Par ailleurs, prend-t-on le risque de gestes inutiles quand on est au bord d'une rivière, et que l' on s'apprête à commettre le plus horrible des crimes, celui d'un enfant ? : CERTAINEMENT PAS
Le mode de liage... peut-on lier un enfant contre son gré lorsqu'on est seul : sans le brutaliser ? Certainement pas.
Le seul moyen de le neutraliser serait de le prendre comme les cowboys ou les gauchos dans la Pampa argentine ... lui prendre la main par un nœud de type : "coulant", et de lui attacher après l'avoir mis à plat-ventre : les deux mains derrière le dos, scène classique des films...et à efficacité garantie.
Que voit-on sur les images en noir et blanc ? : un enfant qui a été ligoté sagement : les mains devant le ventre, et les jambes jointes par des cordelettes qui n'ont pu être disposées ainsi que sur un corps totalement inerte... comme une personne décédée dans son cercueil.
Pourquoi ce type de liage ? : la réponse est évidente : Un simulacre morbide. Comme le dit avec logique le Journaliste Serge Garde : pour bien démontrer que l'enfant avait été victime d'un crime prémédité, d'ailleurs la lettre et l'appel de 17 h 32 min n'ont pas d'autres explications... qu'il ne s'agissait en aucun cas : d'un accident.
Cet appel à Michel VILLEMIN est-il réel ? Il n'y a aucune raison d'en douter, d'autant et c'est certain : qu'il a déclenché toutes les recherches à partir de 17 h 33 min puisque la Gendarmerie et Jean -Marie Villemin ont été avertis dans les dix minutes qui ont suivi.
Aucune blessure, ni marque n'ont été relevées sur le corps de l'enfant : autour des liens... ce qui signifie qu'il ne s'est pas débattu et n'a opposé aucune résistance... parce qu'il était inerte, avant son ficelage
On peut tirer la conclusion certaine que l'enfant a été lié, alors qu'il était au plus mort et au minimum inerte.
IL était IMPOSSIBLE qu'il fut retrouvé tel que le dit l'ex maire de Docelles : " lié avec raffinement "... et avec un type de nœuds, tel que le décrit le non-lieu : totalement inadapté pour neutraliser un être vivant.
L'auteur du crime aurait-il pris le risque de ligoter et de jeter dans une rivière un enfant vivant qui aurait hurlé ? ... en passant de 3 à 5 minutes sur son bord, s'il ne voulait pas, ce qui est une évidence : à tout prix être vu ? Certainement pas...
Car dans la nature et a fortiori aux bords d'une rivière, personne en France n'est certain de n'être pas aperçu par aucun témoin. Il fallait donc que l'auteur du crime limita au minimum le temps sa présence au bord de l'eau, ce qu'il ne pouvait faire qu'avec un enfant inerte et préalablement lié.
Les possibilités qu'on ait pu jeter vivant Grégory deviennent nulles au regard de l'analyse faite au microscope, des deux lobes des poumons de l'enfant. Le professeur Duprez n'a pas pu se tromper... Il n'y a pas découvert d'éléments minéraux, ni végétaux de la Vologne.
Le filtrage possible par un bonnet de laine ou autres , ne sont que balivernes de chaisières incompétentes ou de piliers de bar, d'autant que le bonnet était largement ouvert sous le cou, les liens n'étant pas serrés aurait laissé rentrer et s’engouffrer l'eau.
2.2. Il ne peut donc que subsister pour seule possibilité : celle que l'enfant a été noyé à son domicile et ensuite délicatement lié pour marquer et signer le crime... puis il a été déposé dans la Vologne... comme Moïse.
Dans ce cas : il faut rechercher comment la mère a pu procéder. Il faut reprendre les premières auditions, celles qui n'ont pas encore été : "retravaillées"... puis corrompues, par les avocats
Elles étaient celles-ci ... il suffit de remettre en place les horaires exacts pour les substituer à ceux erronés :
Audition de Meline
Depuis 4 ans, j'ai les Villemin comme voisins. Jamais eu d'histoires
avec eux. Le 16 octobre dans l'après midi, j'ai fauché en face de chez
moi jusqu'à 17 heures. Puis devant ma maison, j'ai nettoyé la lame de ma
faucheuse. Disons, une demi-heure.Après j'ai balayé le carrefour entre
chez moi et les Villemin. Y avait du gravillon. C'est dangereux pour les
vélos. C'est alors que Mme Villemin m'a demandé si j'avais vu Grégory.
J'ai répondu non. On a cherché.
- l'enfant, vous l'avez vu dans l'après midi?
- Non. En faut je ne l'avais pas vu depuis plusieurs jours.
- Avez vous remarqué quelque chose de suspect autour de la maison ces derniers temps?
- Non. Sinon, bien sur, j'aurais prévenu les gendarmes, car les
menaces, les coups de téléphone, les lettres et les dégradations sur
leur maison et leur voiture, je savais tout ça.
Audition de Christine VILLEMIN :
J'ouvre la porte, je ne vois pas Grégory. Je fais le tour de la maison. Je rentre. Il s'est peut-être caché dans une pièce. Personne. Je monte chez les Méline. Nos voisins. Leur ferme est à une cinquantaine de mètres au dessus de chez nous. Grégory y va souvent. M. Méline est justement au croisement entre nos maisons. Il n'a pas aperçu mon fils, mais il me conseille d'aller questionner son épouse.
A ce moment là, ( 17 h 08/ 10 min) ... un autre voisin, Bernard Colin, passe devant nous.
C'est l'heure de sa promenade avec son chien. M. Méline lui dit : "Quand vous serez devant chez moi, demandez voir si Grégory n'est pas avec ma femme"
Ce qu'il fait. Mme Méline sort et nous crie qu'elle n'a pas vu mon garçon. Je rentre à la maison. J'appelle. Pas de réponse, je préviens M.Méline que je prends ma voiture et...je demande à M.Méline de surveiller alentour, le temps que je revienne. Je ferme ma porte à clé. Je prends ma voiture et je descends au village chercher mon fils.
D'abord je m'arrête chez la nourrice, Christine Jacquot. Grégory est peut-être revenu jouer avec son fils.
- Il était quelle heure?
- 17h40 ( 20 minutes après que Christine VILLEMIN ait pris en charge l'enfant à 16 h 55 min soit 16 h 55 min + 20 minutes = 17 h 15 minutes Mme Jacquot était en bas de l'immeuble ... sans montre) je crois, parce que j'ai été bloquée en sortant de chez moi par Marcelle Claudon qui rentrait ses vaches. Elle rouspétait qu'elle était en retard, et que d'habitude ses vaches sont à l'étable pour 17h30.
Je cherche au
village. Toujours pas de Grégory. Je remonte par l'autre route, celle du
lotissement, la plus longue pour revenir chez moi. Je demande aux gens
que je rencontre s'ils ne l'ont pas vu.
- Quand rentrez vous chez vous?
- vers 17h 45 ou 17h 50. De toute façon avant 18h ( 17 h 50 min) ... car il ne faisait pas encore nuit. Je pense alors à téléphoner à mon mari à l'usine Autocoussin., à La Chapelle. Je veux qu'il rentre, qu'il m'aide. A ce moment là je reste persuadée que mon fils s'est aventuré dans un petit chemin et qu'il joue. A peine rentrée le téléphone sonne. Ma mère. Elle m'apprend que mon beau-frère, Michel Villemin, a reçu un coup de fil anonyme. Non! je rectifie. D'abord ma mère me dit de rentrer Grégory et de nous enfermer dans la maison. Je lui dis " Grégory a disparu, je le cherche"
Elle crie. Je comprends mal. Elle parle d'un coup de fil...elle dit "j'arrive". Et elle raccroche. Le téléphone se remet à sonner. Cette fois c'est ma belle mère. C'est elle qui m'apprend le coup de fil anonyme, que Grégory a été kidnappé par "LUI", et qu''IL" l'a jeté dans la Vologne, et qu'"IL" a ajouté "c'est ma vengeance".*... (elle savait Christine VILLEMIN que Grégory avait été jeté dans la Vologne pourquoi ne l'a -t-elle pas dit à Jean-Marie VILLEMIN dès son retour à 18 h 40 min... ce qu'il reprocha à son frère Michel V ? )
C'est ma belle mère qui a appelé mon mari. Moi, malgré ma panique, je téléphone aux gendarmes de Bruyères. Je leur explique. C'est alors que Jean-Marie surgit. Je veux lui passer le téléphone. Il ne veut rien entendre. Il décroche sa carabine. Je m'interpose. Il me bouscule, sort et redémarre... (FIN DE CITATION)
A la lecture de ces deux témoignages il faut retenir que certains faits inscrits comme " constants" par la défense : volent en éclats.
D'abord la rencontre du troisième type avec un horaire d'une précision absolue de 17 h 32 min 41s, devant un lieu précis l'entrée de la ferme des Claudon, qui est le résultat totalement construit d'un montage virtuel d'avocats.
Il faut remarquer que dans son premier témoignage, que Christine VILLEMIN parle du blocage par les vaches au départ de chez elle.. mais non à la ferme... CE QUI POSE UNE GROSSE INTERROGATION SUR LA RENCONTRE à PROBABILITÉ NULLE à 17 h 32 min 41s de 4 faits distincts indépendants et inopinés...
Le problème de ces premiers témoignages, est que dans les premières déclarations nous avons un flot d'horaires complétement imprécis...et forcément erronés.
Toutefois : nous pouvons facilement retrouver ceux pratiquement exacts... par exemple : celui de l'arrivée de Jean-Marie Villemin à Lépanges, après avoir été averti chez AutoCoussin à : 17 h 40 min... Il est parti sans doute à 17 h 45 min... il n'est pas difficile de calculer le temps avec le kilométrage parcouru entre 17 h 45 min et 18 h 40 min quand en présence des gendarmes : il est revenu au chalet après être allé à la chasse à Jacquel à Granges -sur-Vologne ...
Ça permet de calculer sa vitesse moyenne horaire qui a été de 52 km / heure... On note qu'elle est bien moins élevée que celles des chronos de SRPJ et SIMON
On peut savoir : quand Bernard Colin s'est retrouvé devant chez les VILLEMIN... puisqu'il, a été dépassé par Christine VILLEMIN entre 17 h 00 et 17 h 02 min à 350 mètres du domicile de celle-ci.
On connait les deux chronos de sa promenade, vers le bosquet situé au dessus de la ferme, des Meline.
En fonction de cela... on détermine les deux créneaux- fenêtres, où Bernard Colin s'est retrouvé avec les autres témoins, à la hauteur de la maison des VILLEMIN
Au départ entre 17 h 07 min et 17 h 10 min ... c'est là, qu'en continuant sa route vers le bosquet : il pouvait ensuite passer devant la ferme de Madame Meline, pour la questionner.
C'est la seule possibilité... au retour : il aurait été mis dans l'obligation de remonter vers la ferme à contre sens, ce qui est une anomalie contre la logique.
A ce point, il n'y a plus d'alternative possible : quand Christine VILLEMIN "est descendue au village par la voie rapide tandis que les vaches défilaient" (SIC Me Chastant-Morand) ... après la réponse négative de Madame Meline ... le petit Grégory était bien mort ... et il ne restait plus qu' à Christine VILLEMIN à se diriger par la D44, au lieu : "privilégié" , pour l'aller mettre dans la Vologne.
CQFD