Affaire du petit Grégory Villemin : Mensonge d' État ?
GREGORY VILLEMIN
Le 16 octobre 1984, GREGORY disparaît pour toujours, entre : 17
heures 05 minutes... et : 17 heures 15 minutes.
"LES PARENTS VEULENT LA VÉRITÉ DEPUIS 26 ANS !"
ILS FINIRONT GRÂCE à VOUS , PAR LA TROUVER, Communiquez le lien de ce
groupe : MERCI ! POUR L' ANGELOT QU' ON DIRAIT PEINT PAR RAPHAEL
DANS LA REPRÉSENTATION DE LA MADONE DE SIXTE de DRESDEN
SA MORT NE DOIT PAS RESTER IMPUNIE !
TRANSMETTEZ Le LIEN de CE GROUPE à TOUS VOS AMIS, QUI PEUVENT AIDER L'
ENQUÊTE à ABOUTIR !
Demandez la re publication intégrale du site dit :" de référence :
gregoryvillemin. free" : IL COMPORTAIT DES DOCUMENTS D' UNE
ESSENTIELLE IMPORTANCE POUR TROUVER LA VÉRITÉ : Ils étaient publiés
sur INTERNET, pour une raison inconnue ? Sans doute une autocensure ?
Ils ont malheureusement disparu. SVP : il faut obvier à cette perte
irréparable.
A / : Les extraits des minutes du greffe du NON-LIEU : "INÉDIT et
EXCEPTIONNEL" de 1993 : de la COUR d' APPEL de DIJON
B / : Le : " SCHÉMA HORAIRE " des reconstitutions et des
chronométrages ( du SRPJ et du Juge Simon)
C / : Le Mémoire (*)de Me Chastant-Morand en faveur du non-lieu de la
mère, qui était : "injustement" inculpée ?
(*) C' est à dire les conclusions qui ont été présentées pour
obtenir le non-lieu, ce sont les arguments de la défense de la mère
inculpée, présentés à la COUR : " d' ACCUSATION " de DIJON.
ATTENTION ! Sur le :" SCHEMA HORAIRE", "UNE REGRETTABLE
ERREUR" ( volontaire ? ) attribue à la page : 3 / 6 au
paragraphe : Rep. : 5, une situation, qu' il faut inverser et
attribuer à BERNARD LAROCHE : ( d' après les extraits recopiés et
non paginés du NON-LIEU, qui indique que le lieu probable de l'
immersion de GREGORY, serait au centre de DOCELLES, près du ruisseau
Le BARBA, et du local des pompiers ?), Car c' est à lui, qu' est
donné cette possibilité, ce qui est l' hypothèse la plus
vraisemblable et la plus plausible à L' HEURE DE SORTIE des usines
et des écoles, où il y a le plus de monde dans les rues.
OMISSION ! Parce que le Lieutenant de la Gendarmerie ne l' a jamais
imaginé, à la suite d'un : " FOULAGE MALENCONTREUX ", parmi les
nombreuses autres hypothèses émises et chronométrées, n 'apparaît pas
celle de :" la neutralisation " de Grégory à son domicile, car elle ne
serait pas d' après lui : "ENVISAGEABLE" (et peut-être trop simple et
aussi trop aisée ? )
NOTA BENE :
Nombreux forums sur INTERNET, débattent de cette douloureuse affaire
du petit : GREGORY. Malheureusement, ceux qui sont contradictoires,
où toutes les opinions peuvent être exprimées, sont censurés après
avoir été acceptés par les modérateurs et publiés sur INTERNET ( " C'
dans l' air", "FRANCE-TELEVISION", "LE MONDE" )... a contrario, un
autre, totalement illégal, où l' on voit le portait de l'
Administrateur ( peut-être un fils illégitime d' ADONIS ou de
Narcisse ? ), est partout ! volant les droits d' auteur des
photographies et des documents publiés, violant le Droit à la vie
privée, et le Droit à l' image, dus à tout citoyen, violant le respect
dû aux morts. Ce site accuse, calomnie ignominieusement et nommément,
sans aucune preuve en appui, bon nombre de protagonistes innocents, ou
soupçonnés, de ce meurtre odieux, et en particulier ceux qui sont
décédés... et celui qui a été assassiné. L' Administrateur de ce site
n' est jamais inquiété ! : "VERITE OFFICIELLE" ou : " MENSONGE D'
ETAT " ? : " JUSTICE à DEUX VITESSES " ? Telles :" les éclatantes et
très bonnes santés " de Messieurs les Présidents Pompidou et
Mitterrand ( pour ne pas faire de jaloux ), que nous véhiculaient tous
les médias... Made in PRAVDA de l' Ex-URSS ? mais en France en :
2000 !
*
La clé de : " l'énigme" de l'affaire Grégory, se trouve en
décortiquant, en disséquant, mot à mot, le non-lieu de l' un des
deux : " inculpés d' alors",
Celui : rédigé par la COUR d' APPEL de DIJON, et non pas dans les
recherches ADN, qui ont été ciblées, sur ce qu' on savait
pertinemment, qu' on ne trouverait jamais rien !
Il ne faut pas mésestimer : que le corps de l' enfant a été incinéré,
à la demande des parents et avec l' accord de la Justice, ( de cette
même Cour d'Appel de Dijon, qui a beaucoup oeuvré en faveur des
parents de Grégory, de Chambre dite : " d' Accusation " pour en
devenir : " défenseur - avocat ", violant ainsi sa mission ! )
alors qu' il avait été primitivement inhumé, et ce, quand les
recherches ADN, commençaient à être utilisées en France...avant la
requête de condamnation de l' État : " pour faute par destruction de
pièces à conviction "! après que : " le témoin et suspect principal
ait été aussi supprimé ", par le père de Grégory... cet autre
élément de preuve, qu' était le corps de l' enfant a été détruit :
Demander, exiger même, des recherches ADN, des années plus tard, est-
ce cohérent ou encore un des stratagèmes, du site dit "de référence",
débusqués, itératifs, pour abuser l' opinion publique, et faire
semblant de chercher ce que l' on saurait depuis longtemps ?
D' après le Procureur de cette toujours Cour d'Appel de Dijon, bien
omniprésente... Les seules deux traces d'ADN : " identifiables ",
qui permettent donc, sans ambiguïté de mettre un nom sur une personne
jusqu'ici inconnue, ont été découvertes sur une lettre postérieure au
crime de l'enfant, et... ne prouveront hélas, jamais rien :
" Où étiez-vous le : 16 octobre 1984 à : 17 H 00 ' ?, Fournissez
votre alibi " : IMPOSSIBLE ! : L' enquête est déjà terminée.
Pourquoi vouloir analyser ce qui ne prouvera rien, afin de
satisfaire : " des gesticulations d'avocats vénaux et véreux " ? ...
à quoi joue la Cour d' Appel de Dijon ? Nous mènerait-t-elle en
bateau ?
Conclusions incontestables des recherches ADN :
a/ Si l'ADN, permet dans certains cas, de prouver la culpabilité
formelle d' un criminel, par exemple à la suite d' un viol, dans
d'autres, il faut l' associer à une enquête, à des recoupements, pour
savoir pourquoi l' ADN trouvé : est-il là ? alors... qu'il n' aurait
aucune raison d' y être ?
b/ L'absence de trace ADN, ne prouvera jamais l'innocence
certaine de quiconque ( pas plus que l' absence d' empreintes
digitales... ne prouverait et ne prouvera jamais qu' un délinquant
n' a pas commis le délit, dont on le soupçonne)
Les malfrats pour éviter d'être pris, prennent des gants... C' est
une parade élémentaire... ils ne laissent aucune trace, ce n' est pas
une raison pour les considérer :" INNOCENTS".
c/ Les : " exclusions " , avec des ADN : " non identifiables ", ne
servent rigoureusement à rien non plus : puisque c' est une recherche
d' innocence, par absence de trace identifiable d'ADN : mais encore
plus hasardeuse.
Pourquoi cibler les recherches sur certaines pièces et pas sur
d'autres ? par exemple : la seule lettre du :16/10/1984, postée
normalement avant l'heure de levée, affichée sur la boîte à lettres
de La Poste, (17 h 00 ' ?) n'a jamais été analysée pour rechercher des
traces d' ADN, qui auraient menées : " directement à l'assassin.
"
Elle était la seule dans ce cas, parmi toutes les autres, puisqu' elle
aurait conduit de façon sure, à l'assassin.
Elle a été déclarée d' une manière aussi irrévocable que curieuse,
donc sujette à suspicion : " définitivement perdue pour la Science.
"
Cette lettre et son enveloppe ne bénéficieraient donc pas, des
progrès énormes de la Science ? : " abîmée " par les hommes du : "
capitaine ", mais pourquoi ne trouverait-on pas de l' ADN, même :
" abîmé " , a-t-on essayé ? : Non !
Où est le principe attribué faussement à Lavoisier : " Rien ne se
perd, rien ne se crée, tout se transforme."
On ne sait pas s' il elle n' est pas perdue aussi matériellement... ou
détruite : " volontairement " ? Car elle comportait le fameux
foulage..." magique " du capitaine de Gendarmerie. ( qui n' était que
lieutenant en 1984 )
" Magique " : parce qu' il n' a été trouvé par foulage : que les
seules deux lettres d'une griffe, provenant paraît-il (?) de la page
précédente du bloc de l'auteur ? Pourquoi : le reste du texte n'
aurait-il pas foulé la page suivante : celle reçue ? ( La lettre
anonyme du : 16/10/1984 )
Ou l' auteur usait-il donc, les pages précédentes de son bloc, que
pour n' y porter qu' une seule griffe rudimentaire, au bas des
feuillets : " drôle d'écrivain " ?
Suivant le : " Capitaine " : ce foulage aurait été découvert
après : 3 semaines d' enquête !
Selon lui et pour résumer : " L' assassin aurait-il signé lui-même, la
lettre : " anonyme " revendiquant son crime... ? " (digne d'un
bêtisier macabre ? surtout qu' il ne devait pas être, si niais que
cela pour ne jamais s' être fait prendre :" le corbeau ", par les
gendarmes, qui avaient reçu une plainte deux ans auparavant.
En regardant une vidéo de M6 sur Internet , (qui a aujourd'hui
disparue... tout disparaît dans cette affaire !) : on se demande
plutôt si les gendarmes n' avaient pas quelques problèmes sérieux de
vision ?
La lettre une autre... ( il ne faut surtout pas faire la confusion
tentée, plus ou moins en abusant l' esprit ), cette lettre examinée
par BIOMNIS, a été expédiée en juillet 1985... neuf mois après le
crime odieux de Grégory. Quelques mois... après l'assassinat de
Bernard Laroche par Jean-Marie Villemin, père : " génétique " nous
dit -on de Grégory ?
Ce serait le seul résultat concret positif de BIOMNIS, s' il est
avéré... parce que paraît-il (?) , des fragments de poumon de Grégory
existeraient dans les scellés de la Cour d' Appel de Dijon ?
Curieux !... Pourquoi avoir attendu, si longtemps pour lever ce
doute qui pesait dans certaines hypothèses?
Bernard Laroche était mort et... enterré ! Mais le : " Capitaine
"peut, ( peut-être ? ), encore croire, à un envoi posthume d' une
lettre préparée à l' avance et envoyée par un complice ?
Ce serait là, du genre des même trouvailles que ses hommes avaient
faites... pas un seul nom débusqué parmi tous les corbeaux , qui
devaient croasser dans un cacophonie aussi indescriptible que
maléfique, sur le secteur de la Vologne.
Les uns essayant de piéger les autres ! Il suffit de consulter la
liste des milliers d'appel facturés, elle figure sur le non-lieu !
Le : " Capitaine " (ou ses subalternes ) avec sa (ou leur)
suffisance a (ont) pris celui-ci, (ou ceux-ci ?), pour un (des)
demeuré(s), mais le(s) corbeau(x) était plus malin, que lui, s' il a
utilisé le type d'écriture, qui est le moins identifiable, c'est qu'
il était futé et bien renseigné. Ne jamais sous-estimé par
autosuffisance : " l' interlocuteur "
Question : Qui du capitaine, (qui était lieutenant alors ?), qui n'
a pas réussi à identifier un seul nom d' un corbeau, ou... du
détestable volatile, qui ne s' est jamais fait prendre : avait le
Q.I. supérieur ? Il est vrai que lorsqu' on oublie de faire des
perquisitions élémentaires, on ne peut pas penser de suite, à
lui !
Conclusion définitive : Un corbeau vole beaucoup plus haut ...
qu' un : " Capitaine " de gendarmerie... et ses hommes !
Les deux ADN " identifiables ", sur une lettre postérieure au crime,
peuvent appartenir à... 60 millions de Français, puisque les lettres
du corbeau, parues dans la presse, étaient faciles à imiter,
utilisant des majuscules angulaires, l' écriture la moins facilement
identifiable ! Écriture dite dans les bureaux d' étude : écriture
"bâton".
Après analyse des 60 millions, il restera peut-être un million de : "
non exclus " ? ... qu' en faire ?
Seule conclusion certaine : BIOMNIS, se sera fait de belles
réserves d' or massif ! Peut-être de quoi sécuriser la piscine des
patrons ? ( un ex-dirigeant de cette grande Société est mort noyé,
par un chaude nuit d' été...)
Donc : les recherches avec les traces trouvées d' ADN, ne donneront
absolument rien, puisque la lettre du : 16/10/1984 semble perdue à
tout jamais.
La solution de l'énigme, réside alors dans le non-lieu prononcé par la
Cour d' Appel de Dijon , qui a manipulé l' opinion publique : Il a
annulé : 25 charges, indices graves troublants et concordants, avec
pour le moins quelques entorses à la Loi... pour éviter de présenter
devant une Cour d' Assises : un prévenu présumé coupable, en le
soustrayant dans une espèce de : " hold-up " : " : au jugement
prononcé : " au nom du Peuple français " à un procès contradictoire
avec jury populaire aux Assises )
Il faut le lire une centaine de fois, et après ajoutant des points
d'interrogation, après points d'interrogation, vous ne pourrez plus
valider avec certitude : une seule de ses conclusions.
Vous êtes invités à le faire.
Malheureusement : et ce n'est certes pas un hasard ? Si, les
extraits de la grosse des minutes du non-lieu ont disparu depuis
quelques jours d' INTERNET, où elles figuraient depuis quelques
années, et aussi que des forums ont été censurés et rayés d' INTERNET,
celui de : "C' dans l'air " a survécu quelques mois... avant de
disparaître brutalement l' an dernier ? L' ancien module de C. Thines
avec : 2416 posts, en nov. 2009, ceux de : "FRANCE/ TELEVISION -
2" , puis récemment le : 17 septembre 2010, celui du Journal LE
MONDE.
Qui manipule et exerce des pressions ? alors que d' autres forums,
défavorables à l' autre famille ( celle des Laroche ). Forums qui
sont insultants, diffamatoires, calomnieux et parfois même orduriers,
violant la Loi, résistent curieusement à la censure ? deux poids
deux mesures ? où :" vérité officielle " à véhiculer ?
Pourquoi le texte du non-lieu a-t-il disparu du Net ? Il y figurait
depuis plusieurs années... catalogué d' :" inédit ! en France, :" d'
exceptionnel dans les annales de La Justice ! " : Il l ' était
certes, en effet... et même un peu trop !
Il y a une leçon qu' il ne faut jamais oublier : Quand ont veut trop
prouver, on débouche immanquablement sur le résultat définitif :
celui de démontrer finalement son contraire.
C' est ce qui a été fait par la Cour de Dijon, qui dite : " d'
Accusation ", c' est transformée en : " avocate " . Rien que de la
belle ouvrage ! seulement quand on triche trop, ça finit par se
voir... et là, c'était... : comme le nez au milieu de la figure.
Il est à lire ! Ce non-lieu inique est vicié, pas que de Droit,
mais aussi techniquement aberrant :
Il a annulé d' un revers de main méprisant : les 25 charges de la
Chambre d' Accusation de Nancy... que l' on n' entend pas... pas
plus, que le commissaire Corazzi du S. R. P.J., qui a mené l'
enquête, après que les gendarmes en aient été écartés. Les Magistrats
des deux Cours étant : " des professionnels du Droit " (payés pour
cela par le contribuable !)comment ont-ils pu interpréter d' une façon
aussi antagoniste, les mêmes règles, la même réglementation, les mêmes
lois ?
C' est "Mon Capitaine " que l' on voit à la TV, chaque fois qu' un
événement, qu' un élément, nouveaux, sont découverts... celui qui
prétend : depuis 24 ans que Bernard Laroche est :" le seul coupable
" de cette affaire : " non innocenté" ! (encore en 2008, à " C' dans
l'air "...) Il ne connaîtrait peut-être pas bien la Loi le
capitaine ?
Assassiné, Bernard LAROCHE, est à jamais : " présumé innocent
" : au bénéfice du principe fondamental de : " la présomption
d'innocence," due à tout prévenu non jugé et par impossibilité
matérielle, pour lui de répondre, et se défendre ( autre principe de
Droit, un jugement doit être contradictoire ! ), il est illégal d'
instruire, à l' encontre d' une personne décédée.
La Cour de Dijon, qui : " bidouille ", et se concocte des : "
amendements" sur mesure, faits à la Loi, depuis qu' elle s' est
emparée, on ne sait trop pourquoi de l' Affaire Grégory ? et qui en
rajoute une couche à chaque fois, a fait quelques contorsions au
règlement, instruisant des charges contre un prévenu assassiné, des
erreurs techniques évidentes pour un spécialiste, et en donnant un
satisfecit curieux, à un témoin qui n' a jamais rien vu, et qui a
été trouvé par hasard dans l' étude d' un avocat de la famille
Villemin, à Mulhouse en Alsace ! ( ça ne s' invente pas : lisez vous-
même : annulation de la 1ère charge! )
Le non-lieu trouve un : " ravisseur " , il ne franchit pas le pas,
de l' accuser du meurtre, mais il dit qu' il n' est peut-être pas l'
assassin ? et laisse celui-ci et ses complices, dans la nature ?
Curieux ?
La Cour d' Appel de Dijon, ne croit même pas à ce qu' elle raconte,
comment veut-elle, que des individus cartésiens... et incrédules
pareils à St- Thomas : puissent la croire ? Une aberration de
plus !
Voici quelques extraits des minutes et actes du Secrétariat du Greffe
de la Cour d'Appel de Dijon ( non-lieu, retiré d' INTERNET, en
septembre 2010, mais vous pouvez le retrouver, car beaucoup d'
ordinateurs l' ont en mémoire... et il vous est même gracieusement
offert en pièces jointes )
Recommandation : Il faut lire attentivement dans la rédaction des
faits : à la page, où un fait débute par : " Le 16 octobre 1984,
à seize heures trente minutes... etc."
Le troisième paragraphe débute par :" entre : 17 h 15' et 17 h
30' ..." etc.
Décortiquez attentivement l'exclusion de la douzième charge... où l'
on trouve sa seule phrase cartésienne et sensée, de la littérature
toute sibylline de notre justice , et parfois des arguments dignes de
la Science de l' abscons.
Relevez comment est rédigé : " l'alibi " de l' exclusion de la
première charge, accordé à l' un des " inculpés d' alors "... un chef
d'œuvre épistolaire judiciaire !
En substance : à cause d'un troupeau de 36 vaches que l' un des :
" inculpés d' alors ", dit avoir rencontré et avoir été bloqué :
Chemin des Bosquets, après l' avoir vu partir, de la proximité de son
habitation : rue des Champs...
Le fait est d' autant étrange, que ce n' est pas le chemin le plus
court pour une personne pressée à qui l' on aurait ravi un enfant, de
rentrer chez elle, quand elle procéderait à ses recherches, pour
venir se bloquer volontairement, sur un troupeau de 36 vaches, qu'
elle aurait vu en partant ?
Relevez : Le temps écoulé entre ces deux points, tels que développés
dans la rédaction du non -lieu, il permet de dire que l' un des : "
inculpés d'alors ", avait mis en allant " chercher l' enfant "( à
Lépanges... chez la nourrice Madame Jacquot et chez...Madame
Parisse, la mère d'un petit copain de Grégory ) : exactement le même
temps que l' agricultrice, ( plutôt son : "amant " ) qui seul
témoigne : pour faire rentrer son troupeau de 36 vaches, ( à partir
de la pâture située près d' où aurait joué Grégory ) et parcourir
une distance d' environ 700 m., et qu' en revenant bloqué par le
troupeau, un car stoppé derrière la voiture, conduit par le fils de
l'agricultrice, aurait donné l' heure exacte de cette rencontre
inopinée : " de : 17 h 32 minutes 41 secondes ", grâce à son
contrôlographe, dont la particularité, nous décrit le non-lieu, était
que vérifié presque deux ans plus tard : " il fonctionnait très bien.
"
Ces coïncidences fortuites, simultanées, sont douteuses, parce que
relèvent de probabilités extrêmement faibles, voire nulles, pour qu'
elles soient toutes simultanément réunies et semblent donc être le
fruit d'une construction : "traficotée par la manipulation de la
gent : "avocatière", qui excelle dans cet art particulier de faire
prendre aux autres : les vessies pour des lanternes ! ".
D' autant que les témoins disent : qu' après avoir échafaudé
plusieurs plans, et donner un faux-témoignage, ils ont fini par
avouer qu' ils avaient menti !
En outre , il est remarquable de noter aussi que l' heure indiquée
à la seconde près ! ! ! par le contrôlographe- enregistreur du car,
correspond d' après la rédaction du non-lieu à l' heure précise où
Michel Villemin, l' oncle de Grégory, prétend avoir reçu l' appel
anonyme de l' assassin, lui indiquant :
" j'ai kidnappé le fils du chef, je l' ai étranglé, je l' ai jeté dans
la Vologne, sa mère le cherche, mais elle ne le trouvera pas"(SIC)
Pour trouver la solution de l' énigme, qui permet de constater qu' "
un " au moins des deux " suspects d' alors " est innocent, il faut
partir de la donnée extrêmement précise de l' heure de la : "
troisième " communication téléphonique anonyme ? C.T . donnée par
l' assassin annonçant avec exactitude ce qui s' était passé, qui
serait de : 17 h 32' X'' ( l' heure, enregistrée sur le
contrôlographe du car scolaire !)
Il faut donc remonter de ce point extrêmement précis, avec le
minutage chronométré des séquences conduisant à la réalisation du
crime, tel que l' avait fait le SRPJ, décrit dans le paragraphe
concernant l' exclusion de la 12 ème. charge.
Un calcul par itérations : permet de découvrir le résultat de : " l'
énigme", d' après évidemment, et en incluant les seules données
disponibles sur INTERNET, et écrites du non-lieu de la Cour d' Appel
de Dijon, du mémoire en faveur du non-lieu, de Me Chastant-Morand
produit pour la défense de l' inculpée... en l'absence d' autres
possibilités non formulées dans les minutes du non-lieu... notamment
d' un autre suspect, jamais identifié, en utilisant d' une façon
stricte et délibérée : les seules informations données par le site
dit : "de référence.gregoryvillemin.free", en méprisant
dédaigneusement, ce qu' ont pu écrire des journalistes : "rats"
indignes de porter ce nom, tel l' infâme Ker de Paris-Match, dont la
Justice aurait dû s' occuper du cas, pour complicité dans l'
assassinat de Bernard Laroche, dont ont peu dire qu' il fut l' un des
principaux, instigateur, avec les gendarmes... et d' autres !
Notre : " Capitaine " n' en a eu toujours...qu' un coupable : Bernard
Laroche ! Lui n' a pas varié d' un iota (Burgaud bis ?) Alors,
il ne faut peut - être pas le croire ?
Mais, il a dit en octobre 2009, après les découvertes de traces ADN
dans les scellés, qu' il avait toujours cru que le crime avait été
perpétré par un homme et une femme... En anticipant un tantinet les
recherches du laboratoire BIOMNIS. Pardonnez l' expression :" un vrai
abruti", doublé d' un escroc ! ( C' est à dire pratiquant l' abus de
confiance)
Il adapte suivant les nouveaux évènements, mais attendons les
résultats... Si l' ADN identifiable, de l'homme était le sien, on
aurait droit à ce que l' on appelle : " un comique de situation ! "
Il dit depuis toujours, qu' " il aurait résolu l' enquête en 15 jours
" ... mais les faits réels prouvent que ses hommes en trois ans, n'
avaient pas réussi à débusquer à la chasse ... un seul misérable
corbeau ! et Dieu sait si ce volatile maléfique était présent dans
les Vosges, au dessus de la vallée de la Vologne.
Pour résoudre l'équation : Il faut répondre aux questions :
a / Qui avait intérêt et pouvait revendiquer le crime avant qu' il
ne soit commis ?
b / Qui pouvait poster la lettre annonçant le crime, avant l' heure
de levée affichée sur la boîte à lettres de La Poste de Lépanges, sans
connaître le fonctionnement interne de celle-ci ?
c / Qui avait intérêt à donner l' appel anonyme de : 17 h 32' X'', en
précisant :" que la sa mère le cherche, mais ne le trouvera pas",
pour annoncer le crime aussitôt commis, au risque de se faire prendre
et sans laisser aucune distance aux enquêteurs ? Alors qu' alerte
donnée toutes les routes devaient être surveillées ?
d / Qui fait dans son écriture normale (non masquée, comme lors d'
une dictée !) des "V" , sur la lettre anonyme, tel que celui de
Vologne de l' enveloppe, avec des hampes, des oves internes ? idem
sur la lettre ?
e / Qui avait la possibilité de préparer l' enfant : "avec
raffinement", pour la : "mise à l'eau ": en étant sûr, de ne pas
être découvert ?
f / Pourquoi la mère de l' enfant n' a-t-elle appelé la gendarmerie
qu' à : 17 h 50' ? alors qu' elle pouvait le faire ( d' après l'
emploi du temps qu' elle a donné), bien avant ?
g / Où était-elle à : 17 h 40', alors que les dames Ory et Pluton
témoignent l' avoir vue au village ?
h / Pourquoi Grégory (mort... ou vivant ) a-t-il été jeté
volontairement dans la Vologne ? alors qu' il aurait pu être déposé
partout ailleurs dans la nature, plus aisément, sans aucun risque pour
l' auteur du meurtre d' être aperçu ?
i/ Pourquoi le site dit : " de référence" modifiait-t-il l' emploi du
temps de CV et certains paramètres ?
j/ Pourquoi les auteurs de ce site, les parents de Grégory, qui
disent : "vouloir connaître la vérité", font-ils obstruction à tout
ce qui pourrait y conduire et font-ils censurer tous les forums qui
sont contradictoires... et pas celui partialement favorable et
ordurier du manipulateur protecteur implicite d' assassin de Claude
Thines ?
Cherchez et vous trouverez, mais, il faut le faire : sans préjugé,
sans haine, sans sentiment partial, mais aussi et surtout sans
sensiblerie, parce que c' est un crime atroce, le pire sans doute,
qui puisse exister, qui échappe totalement au rationnel, au sensé.
Relisez Hervé Bazin, cela vous aidera beaucoup plus que toute la
littérature ignoble pestilentielle, qui a été publiée sur l'
enquête, pour : " faire du fric, " en faisant du sensationnel, des
scoops, en veux-tu en voilà, de la surenchère morbide, ignoblement,
vénalement, sur le cadavre de ce pauvre et malheureux chérubin de
GREGORY !
*
Voici republiés les messages de intervenant : "toni" sur le forum du
journal LE MONDE de G. Moréas
Les éléments nécessaires pour suivre la résolution du défi du site
dit : "de référence . gregoryvillemin.free", se trouvent en pièces
jointes :
Tous proviennent exclusivement (et volontairement) de ce site, relevés
dans ses différentes moutures successives, remodelées à la convenance
des parents de Grégory. il sembleraient qu' ils réagissent rapidement
ainsi aux débats des forums, qu' ils suivent avec une soucieuse
attention ? allez savoir pourquoi ?
Le défi fut lancé par le site dit :" de référence. gregoryvillemin.
free", qui était sur lNTERNET, avant novembre 2009, dans son :"
schéma horaire "
1/ Cette version a été brusquement suspendue en novembre 2009, suite
à la publication d' une réponse précise et détaillée,
intitulée :"projet soumis à discussion sur le déroulement des faits
du : 16 octobre 1984", en réponse à un sujet lancé (du 09/11/2009)
par Claude Thines :" Votre avis sur le déroulement des faits ", d'
abord le 10 novembre 2009, sur le forum de : "Justice plus nette",
puis repris sur les forums de " France-Télévision."
Elle comprenait entre autres (liste non exhaustive) :
1.1 : Un extrait recopié de la grosse des minutes du non lieu, non
paginé et codé (copier/coller impossible)
1.2 : Un : " schéma horaire" avec les chronométrages su SRPJ et du
Juge Simon.
1.3 : Un plan Google Earth, sur lequel étaient portés tous les sites
principaux des lieux du drame : Lépanges-Sur-Vologne, Docelles,
Bruyères, Aumontzey, etc.
On pouvait zoomer jusqu' à : 100%, afin de voir les moindres détails
et survoler, tel depuis un hélicoptère, tous les lieux, où se sont
déroulés toutes les séquences de ce drame affreux.( superflu donc, d'
aller faire du tourisme macabre, sur place)
2/ La deuxième version indiquée :" publiée en janvier 2010",
(antidatée) qui comportait entre autres : (liste non exhaustive) :
2.1 : Un extrait recopié de la grosse des minutes du non lieu, non
paginé et codé (copier/coller impossible) la même que précédemment
2.2 : Le mémoire de la défense dans l' intérêt de CV, en faveur du non-
lieu de Me Chastant-Morand, présenté à la Cour d' Appel de Dijon
2.3 : Le mémoire de ce même avocat, pour la condamnation de l' État
pour fautes diverses, en juin 2004.
Avec ces seuls documents, n' importe quel internaute normalement
sensé, sachant lire... (parfois : entre les lignes), sans jamais avoir
suivi cette douloureuse affaire, sans jamais avoir lu un seul des
nombreux livres ignobles et vu un seul film, des rats immondes, qui
ont fait des montagnes d' argent, sur la dépouille d' un bambin
adorable ( en vendant du PPAC qui vous flanque du prurit anal !), sans
avoir vu aucun débat à la TV, sans être jamais allé sur place,
tranquillement assis, devant son ordinateur, pouvait résoudre cette :
"pseudo- énigme", qui ressemble fortement en réalité à un mensonge d'
État ! C'est incroyable et pourtant c' est la réalité !
Sur la deuxième version, " Le schéma horaire" , et son défi... avaient
disparu (devinez pourquoi ?)
3/ La troisième version publiée en septembre 2010 comportait le
paragraphe : "16 octobre" , de l' emploi du temps de le mère de
Grégory le jour du meurtre... qui était : "en cours "... depuis le 16
octobre 1984 !
Cette version qui ne permettait pas de modifier les conclusions des
deux premières, mais au contraire de les confirmer, a été rapidement
retirée du NET, et a fait place au
communiqué laconique suivant :
"Créé, par Jean-Marie Villemin, lui et son épouse n’avaient rien
censuré de leur double parcours judiciaire. Ils souhaitaient rendre
public pour ne plus dépendre ni souffrir du filtre des autres.
Sur la page d’accueil, il y avait cette phrase de Natalie Clifford
Barney qui résumait parfaitement l’état d’esprit du couple au terme
de sa longue errance médiatico-judiciaire : "Nous devons plaindre
sincèrement ceux qui ne savent que critiquer durement les autres,
semer la division et les paroles du malheur. Ils se construisent une
prison de solitude et n’imaginent que le mal qui n’est que dans leur
esprit."
Depuis qu'ils ont demandé pour la seconde fois la réouverture de la
procédure sur l'assassinat de leur enfant Grégory, malgré le non lieu
en faveur de sa maman, et leurs démarches pour soutenir l'espoir de
découvrir toute la vérité, les parents sont aujourd'hui encore
victimes d'un ou des corbeaux, qui manipulent les mots et affabulent
des hypothèses sur différents forums, afin de les empêcher d’avancer
sur le chemin de la vérité. Ce site est interrompu.
Septembre 2010 "
(Fin de citation)
Petites parenthèses : les "corbeaux", dont Jean-Marie, parle ne
sont pas de la même race malfaisante, que celui (ou ceux ?) qui l'
importunait, car les premiers, qui s' expriment sur INTERNET, sont
facilement repérables et identifiables, par qui de Droit, grâce à
leur : " IP "... et vous allez pouvoir juger vous-même : qui manipule
les mots et qui affabule ? Par ailleurs, ce communiqué qui se veut
celui de victime est un tantinet pleurnichard et il ne convaincra
personne, ce n'est pas du Musset dans le texte : " Les plus
désespérés, sont les chants les plus beaux, et j' en connais d'
immortels qui sont de purs sanglots..."
Ce sont ces informations données par le site dit : " de référence.
gregoryvillemin. free", qui permettent de résoudre la pseudo énigme,
en ne laissant qu' une seule solution possible... pareil qu' au
Sudoku, puisque la Cour d' Appel de Dijon, n' ayant débusqué aucun
autre prévenu depuis 1984, et n' ayant décidé de n' en poursuivre
aucun, nous laisse comme seule alternative : " C' est l' un : Bernard
Laroche ou l' autre : la mère de Grégory ? "
Vous n' aurez pas d' autre choix de possibilité (celui... peut-être de
l' âne de Buridan ?)
NOTA BENE :
Si cette solution unique possible, bien qu' arithmétique... était
erronée, ce qui est possible ? Ce serait uniquement à cause des
fausses informations, qui ont été gracieusement fournies par le site
dit : "de référence . gregoryvillemin.free", à qui personne, il faut
le noter... ne demandait absolument : rien !
P.S. : La troisième version du site dit : " de référence.
gregoryvillemin. free" a été publiée en septembre 2010... (après
"verrouillage" du forum : " L' affaire du petit Grégory" du journal
LE MONDE, de Monsieur Georges Moréas), cherchez le lien de
causalité ? Celle-là, était antidatée :" de novembre 2009"
Elle a disparu : le 29 septembre pour laisser la place au communiqué
laconique, genre Mater Dolorosa, ci-avant .
Elle n' est pas utile à la compréhension, car bien au contraire au
lieu de répondre à certaines questions, elle en provoque de nombreuses
nouvelles supplémentaires. Elle ne résolvait qu ' en partie l'
impossibilité pour CV d' être revenue à : 17 h 32' 41'' de ses
prétendues : "recherches au village"... mais, les 36 vaches de la
fermière Madame Claudon, allaient encore beaucoup trop vite !
Le pire : cette version innocentait encore plus Bernard Laroche,
puisqu' il ne lui manquerait plus : 10 minutes, pour réaliser toutes
les séquences qui lui sont imputées, jusqu' à l' aboutissement du
crime, mais avec celle-ci : 11' 30'' (Monsieur Claude Colin ayant
encore adapté son témoignage n' aurait pas vu la voiture de BL à 17 h
16', mais :
"vers: 17h 17'30" "(SIC) : C' était écrit comme cela ! : " vers " !
pour un témoignage non spontané, humain, sujet à erreur : quelle
précision... 7 ans après les faits !
Par ailleurs : cette fois c' est le paragraphe : "Procédure", qui
venait d' être autocensuré, de toutes les pièces judiciaires
auxquelles, on pouvait faire référence ( Extraits du non-lieu,
mémoires de Maître Chastant- Morand, en faveur du non-lieu, et contre
l' État, avec le jugement de la condamnation de l' État, entre
autres. )
Par contre, elle en rajoutait, comme l' on dit, à Augias, mais ne
répondait en réalité qu' à la Science de l' abscons, en publiant :
"16 octobre" qui était "en cours" sur la précédente version.
Un : "en cours", qui attend depuis 26 ans ! une réponse exacte,
avérée, vérifiable, pour : "meubler" de manière crédible et
cohérente : 30 minutes inoubliables de la vie d' une mère, le 16
octobre 1984, de 17H 03' à 17 h 32' 41'' ! Jugez-vous-même.
Munissez-vous de ces documents en pièces jointes, affichez-les, sur
un ordinateur portable si possible, et vérifiez, ce qui va suivre.( L'
utilisation de deux ordinateurs, facilite la tache. Impossible d'
imprimer les documents, du site "de référence", pas sympa... ils ont
été codés, pour empêcher toute impression et en particulier les :
copier/coller )
*
Rappel pour mémoire :
Le : " site de référence gregoryvillemin.free", avant qu' il ne soit
suspendu en novembre 2009, indiquait sur le document intitulé :"schéma
horaire", et en son paragraphe :
"Sur la possibilité de commettre le crime : l' hypothèse des avocats
de Laroche : l' accident maquillé en crime, voyez vous-même aux
travers les chronométrages " (DIXIT)
1/ Cette : "invitation" faite aux internautes apparaissait étrange,
car à la lecture de toutes les hypothèses, nombreuses, détaillées,
chronométrées, évoquées... aucune n' incluait cette possibilité ?
bizarre ?
2/ Sur ce même document, dans une espèce de bulle (style BD) sur fond
bleu azur :
Le site de référence", donnait ce commentaire dans ce défi aux
internautes :
" Dans la procédure, il y a toutes les données pour la réalisation d'
un schéma horaire, avec lequel il est possible de déterminer séquence
par séquence, des principaux protagonistes de cette affaire...
Et pourtant personne n' a pris le temps d' essayer de reconstituer le
rôle de chacun. Alors qu' il y avait les éléments pour le faire. Le
résultat est éloquent."
(SIC, fin de citation)
Question : Constatation avérée ce : "résultat éloquent" est hélas, 26
ans plus tard : toujours d'actualité, et peut être vérifié.
La question qui reste en suspens, est celle-ci : Pourquoi dans les
très nombreuses demandes faites à la Cour d' Appel de Dijon, les
auteurs du site dit de :" référence " qui sont les parents de Grégory,
n' ont-ils jamais demandé que cette analyse élémentaire et les
reconstitutions qui en découlent, soient faites, ce qui donnerait par
l' arithmétique un résultat : "éloquent"... et incontestable ? et ce
qui coûterait beaucoup moins au contribuable que les recherches ADN,
ciblées, sur ce que Me Moser, leur rusé (même un peu trop !) avocat,
informé par un compatriote suisse, sait d' avance qu' elles ne
donneront rien... et si même, par miracle elles conduisaient à la
Vérité, Me Moser sait aussi que les Magistrats de la Cour d' Appel de
Dijon, ne la révèleront pas à l' opinion publique, tant ils ont les
mains et pieds liés par toutes les décisions abusivement et
illégalement complaisantes qu' ils ont délivrées à l 'égard du couple
Villemin. (34 mois de prison pour un meurtre sauvage, froidement
exécuté, après préméditation, n' est-ce pas un royal cadeau ?)
Depuis le : 18 septembre 2010, une troisième version du site : "
référence", était venue encore contredire les deux précédentes, elle
était antidatée de : "novembre 2009", alors que celle qui l' avait
précédée, l' était (antidatée) : " de janvier 2010"... Les parents de
Grégory et leurs conseils trichent, et ça se remarque un peu trop, et
c' est même très suspect pour des : "victimes", qui disent chercher
la VERITE... et être : "innocents" !
Le défi avait été lancé, il a été relevé et publié sur le blog du
journal : "Le MONDE", forum : " L 'affaire du petit Grégory" de
Monsieur Georges Moréas, (Auteur du Commissaire Moulin), en juillet,
août, et début septembre 2010.
Malheureusement pour une fâcheuse et récurrente raison, sans doute d'
État ? il a été :"verrouillé", à la lecture, (le 17/09/2010) après
avoir été suspendu aux contributions des Internautes : le 10 septembre
2010.
Mais Liberté, Droit d' Expression obligent, il va être pallié, obvié,
à cette abusive atteinte aux Droits acquis par la Révolution
française de 1789. L' analyse va être remise en ligne sur Google /
Plus/ Groupes/ "Affaire Grégory : énigme ou mensonge d' État ? ", au
moins pour ce qui concerne les billets du pseudo : "toni". Vous y
trouverez quelques arguments très répétitifs... mais il a fallu
expliquer plusieurs fois à certains intervenants incrédules... Mille
excuses.
INTERNET est un espace de liberté, qu' il faut préserver à tout prix.
Chacun doit pouvoir en toute liberté (sauf évidemment pour l' apologie
des délits et des crimes, etc. ) y déposer ses informations, ses
questions et ses doutes.
Celui qui est le plus fautif, ce n' est pas celui qui ment, mais
plutôt celui qui digère tout, sans se fatiguer à se poser des
questions, sans vérifier, sans penser.
" Cogito Ergo Sum " (" je pense donc je suis !" ) : disait René
Descartes... Alors tant pis ! pour les moutons de Panurge, qui ne
veulent pas faire cet effort indispensable pour naviguer sur le WEB,
ils paieront, par où ils ont fauté, ce qui doit s' appeler : la
justice immanente ?
C' est identique pour le reste, n' avalez pas, sans analyse
préalable, toutes :" les soupes", que certains veulent vous faire
manger, n' oubliez pas de répondre à l' éternelle question
rituelle :" à qui les mensonges rapportent -ils du fric ?"
INTERNET offre beaucoup de défis, à ceux qui les apprécient.
Pour quitter un peu l' histoire de ce drame affreux que fut le meurtre
du petit Grégory, en guise de diversion, pour se ressourcer, pour
respirer un air plus frais, on peut résoudre d' autres énigmes, de la
même manière, sans aucun préjugé au départ :
Mallory et Irvine, les deux alpinistes britanniques ont-ils atteint
l'Everest en 1924, avant de mourir ?
Les Britanniques après l' échec cuisant dans la conquête des pôles,
et la victoire au goût de défaite, du Matterhorn ( Cervin ),
aimeraient bien... et laissent planer le doute.
Ils ont triché en enlevant volontairement des pièces du puzzle, sur
le WEB : donc impossible de le reconstruire.
On a vu les 2 alpinistes Mallory et Irvine, pour la dernière fois,
près du 1er, ou 2 ème ressaut de la : " route nord", dont le 2 ème a
longtemps été : "infranchissable".
Après 1960, les Chinois ont trouvé la solution, pareil que bien
avant : celle de la poudre... ( Ils sont :" fortiches" ces Chinois !
ils vont nous : "bouffer" ! "Quand la Chine s' éveillera !" : écrivait
Alain Peyrefitte :" le fliqueur des "JT", sous de Gaulle", on y est
en plein dedans !), en mettant une échelle en aluminium, c' est plus
facile ! pour parvenir au sommet... et y déposer quelques ordures qui
témoignent du passage.
Il fallait juste comme l' oeuf(*) de Colomb, y penser ! (*) : qui
n'est d' ailleurs pas de Christophe... Mais , de Brunelleschi, l'
archi. qui a réussi à poser une coupole sur la cathédrale de Sainte-
Marie des Fleurs à Florence, jusqu' à là, à ciel ouvert ! (" il faut
rendre à César...": disait Jésus, nous l' allons faire ! )
Lors de la conquête du Matterhorn le : 14 juillet 1865, par Edward
Wymper, le père Taugwalder a-t-il coupé la corde, pour sauver une
partie de la cordée ? Sûrement pas !
Depuis la conquête du K2 par une cordée italienne le 31 juillet 1954,
pourquoi Walter Bonatti : " gregario-porte bouteilles", vitupère-il
depuis plus de 50 ans, ses deux compagnons de cordée Lacedelli et
Campagnoni, qui ont atteint les premiers, le deuxième sommet du
Monde ?
Il faut dire pour être honnête, que les deux larrons, un
peu :"bourrins", l' ont bluffé le beau et cristallin Walter, pour
lui faire porter leurs bombonnes d' oxygène... D' ailleurs il n' était
pas tout seul à le faire... un autre compagnon d' infortune sherpa...
mais pakistanais celui là : Madhi, d' une nuit à la belle étoile... à
plus de 8000 m ! y avait laissé ses doigts, gelés, le pauvre... mais
il n' y a que Walter qui râle : crime de lèse-majesté ?
Bonatti oublie de dire : que tels les coureurs cyclistes gregari, qui
en tête du peloton, font pendant toute la course," le sale boulot " :
mener le groupe pour les leaders, il avait bien laissé les deux autres
s' épuiser, pour ouvrir la voie jusqu 'à la vierge.. afin de sortir
de :" sa boîte", en pleine forme, pour le sprint final.
Il s' était fait : "porter pâle"... et avait pris : " un jour de congé-
maladie", quelques jours avant l' attaque du sommet... Le fourbe !
qui a fait le même coup pour sa première en solitaire sur l' Aiguille
du Dru, qui portait son patronyme... (Grandeur et décadence : l
'aiguille est tombée depuis, et une certaine C. Estivelle dans les
années 1990, avait mis quelques heures, où Walter avait passé
plusieurs jours dans les années 50, pour effectuer cette première
célèbre ! les records sont faits pour être battus.)
Il avait juste oublié de prévenir son compagnon d' infortune avec
qui, il avait manqué la première tentative.
Pourquoi : Messieurs Blatter et Platini refusent-ils la vidéo lors
des matchs de football ? Allez ! la réponse est facile, cherchez...
question de fric... vous pouvez facilement la deviner.
"L' énigme" de la mort de Grégory se résout d' après les seules
indications données par le site dit : "de référence
gregoryvillemin.free"... et toutes ses moutures, qui commençaient à
faire : " un peu désordre", de telle sorte que la seule solution à
laquelle, elles conduisent, si elle peut être erronée ( c' est
possible ?), ce n' est qu' à cause des mensonges qui ont été plus ou
moins sciemment distillés, par des arroseurs... qui se retrouvent
aujourd'hui arrosés.
*
Voici le texto du site dit :" de référence . gregoryvillemin.free",
tel qu' il apparaissait : le 18 septembre 2010 :
(c'est un copier/ coller, fautes comprises !) :
"L' INTERET DE CE TRAVAIL CONSISTE A RECHECHER L'HEURE DE L'ENLEVEMENT
DE GREGORY
Après la découverte du corps de l'enfant, la confusion et l'affolement
étaient dans tous les esprits.
Dès le départ, l'enquête démarre sur des horaires qui vont se révéler
faux, comme par exemple:
- Gilbert MELINE, pensait s'être déplacer au croisement VILLEMIN vers
17h30' pour balayer les gravillons sur la route, alors qu'il était
17h15'
- Christine VILLEMIN pensait être sortie de chez elle vers 17h30 et
être de retour chez elle après son périple au centre du village vers
17h40', alors qu'elle était sortie pour la deuxième fois de chez elle
à 17h22' et de retour à son domicile vers 17h35'
Or, ce n'était sans compter sur les déclarations des témoins des HLM
"le Gai Champ" qui situaient le retour de Christine VILLEMIN, aux HLM
à la recherche de son fils vers 17h30. Ce n'était sans compter sur les
auditions de Marcelle CLAUDON et de son fils Christian, deux témoins
qui étaient certains d'avoir aperçu Christine VILLEMIN vers 17h32'
bloquée devant la ferme familiale, lorsqu'elle remontait du village
vers son domicile.
Mais surtout? Il aura fallu attendre plusieurs mois pour avoir la
certitude qu'effectivement Christine VILLEMIN était bien bloquée
devant la ferme CLAUDON à 17h32'41'' résultat de l'expertise du disque
contrôlographe du bus scolaire conduit par Christian CLAUDON fils de
Marcelle CLAUDON.
Ces recherches au village ont été chronométrées à deux reprises par le
SRPJ : 6'35'' et 6'37''. Avec le calcul suivant 17h32'41'' - 6'36'' =
17h26'05'' il est acquis que s'est bien vers 17h26' qu'elle est
partie de chez elle vers le Village. Avec ce résultat et la
démonstration qui va suivre ; il est permis de conclure avec
certitude que le départ de Christine VILLEMIN de son domicile pour
aller vers les HLM puis au village était bien vers 17h26'. D'autre
part, il est permis de conclure que lorsqu'elle sortira de chez elle,
une première fois pour faire rentrer son enfant il était exactement :
17h18'.
Ce document est une étude plus approfondie, plus poussée, par rapport
aux arguments des avocats de la défense de Christine VILLEMIN, mais
également aux analyses et conclusions judiciaires.
Aucune contradiction sur le déroulement des faits et gestes des
témoins des hauts de LEPANGES par rapport aux chronométrages des
enquêteurs et par rapport au résultat du disque contrôlographe du bus
scolaire.
Il ressort de ce travail que Grégory VILLEMIN fût enlevé dans une
fenêtre horaire entre 17h05' et 15h15', un laps de temps qui
correspond au passage de Bernard COLIN devant le ferme des MELINE vers
et la présence à nouveau de Gilbert MELINE à l'extérieur, pour balayer
devant chez lui vers 17h15', puis au croisement VILLEMIN pour balayer
les gravillons vers 17h17'.
La justice a écarté la folle construction intellectuelle du SRPJ
contre Christine VILLEMIN. D'après leur chronométrage, il lui aurait
fallu 29'57'' pour accomplir l'irréparable entre 16h52' et 17h22' une
fourchette radicalement impossible, elle ne pouvait rentrer chez
elle; sans être vu par G.MELINE avant 17h15'. Elle ne disposait qu'au
maximum 23 minutes, entre 16h52' (sortie MCV) et 17h15' (G.MELINE de
nouveau à l'extérieur).
L'hypothèse la plus probable est qu'entre 17h10 et 17h13', le
ravisseur passant devant la maison VILLEMIN, apercevant Grégory à
l'extérieur, il ne peut s'arrêter immédiatement au risque d'être
aperçu directement de la maison MELINE à quelques mètres, le temps de
réagir avec une excitation certaine , il s'arrête à 100m, à
pieds(200m A/R 4'30' maximum) pour enlever l'enfant, puis de nouveau
dans son véhicule circulant en direction de la ferme CLAUDON, il
croiserait vers 17h17'30'' Claude COLIN qui se rendait au parc à vache
pour déposer vers 17h19' Marcelle CLAUDON.
Le ravisseur a bénéficié d'un concours de circonstances, Gilbert
MELINE était de nouveau à l'extérieur vers 17h15'. Cette personne
aurait pu être témoin de l'enlèvement si sa maison n'était pas en
contrebas, masquée par une butte du côté de l'orée des bois. Il n'est
pas exclu qu'un ou des témoins se soient murés dans le silence par
crainte des retombées médiatico-judiciaire, voir d'éventuelles
menaces.
Gilbert MELINE, après plusieurs heures d'audition, reconnaissait avoir
reçu (comme plusieurs témoins des hauts des hauts de LEPANGES) les
confidences de Marcelle CLAUDON, faisant état du croisement avec une
voiture de couleur verte, lorsqu'elle se rendait au Parc à vache avec
Claude COLIN ce 16 octobre 84 entre 17h17' et 17h18'. Gilbert MELIN
ajoutait: "si l'on me confie un secret je le garde pour moi."
Aucun mobile ne justifie le meurtre d'un enfant? inutile de
recherche le rationnel? le meurtrier ne pouvait savoir à l'avance si
Grégory serait seul à l'extérieur ce 16 octobre 84. Il est fort
probable qu'il y a eu de la surveillance et d'autres tentatives. Une
fois l'enfant dans sa voiture, plus rien ne pouvait stopper sa
folie. Il est bien évident que si un meurtrier est capable d'enlever
un enfant devant le domicile de ses parents, il est aussi capable,
discrètement derrière un local, de jeter l'enfant dans une rivière au
centre d'un Village.? d'autant que rien ne prouve que personne n'ait
rien vu?
DEMONSTRATION format Gif:
Prochainement sur cette adresse web :
Dans l'hypothèse Bernard LAROCHE :
Il a été démontré par le recoupement des témoignages recueilli, que
Bernard LAROCHE est contredit au moins à quatre reprises sur son
emploi du temps :
- Une première fois, sur son périple à GRANGES SUR VOLOGNE vers
15h50,avant d'aller chez Michel VILLEMIN.
- Un deuxième fois lorsqu'il affirme qu'il avait été convenu avec son
ami ZONCA (démenti par ce dernier), d'acheter du vin au magasin
CHAMPION ce 16 octobre 1984.
- Une troisième fois lorsqu'il dit, qu'il serait monté directement
chez lui après l'encaissement de son tiercé, alors que ce dernier
avait pris la direction de chez ses beaux parents, lors du croisement
à LAVELINE DEVANT BRUYERES, aperçu par Michel VILLEMIN et les parents
de celui-ci qui descendaient à LEPANGES SUR VOLOGNE.
- Une quatrième fois, avec sa belle s?oeur Murielle BOLLE, sur la
présence de l'un par rapport à l'autre au domicile de la tante
Louisette JACOB.
Les témoignages de Gérard GAUDEL, puis de Marie Thérèse BARADEL née
GAUDEL la soeur de Gérard, amis à Bernard LAROCHE. Devant le SRPJ,
ils déclareront avoir vu Bernard LAROCHE avec son ami 8 break, le 16
octobre 84 à Granges Sur Vologne vers 15h50' : " nous lui avons fait
salut de la main "? Il résultera de ces témoignages indiscutables
parce qu'étayés par la référence au disque contrôlographe du camion de
Gérard GAUDEL que Bernard LAROCHE est allé chez ZONCA avant de venir
chez Michel VILLEMIN.
Bernard LAROCHE pour se rendre chez Michel VILLEMIN, est d'abord
monté chez lui pour changer de voiture, de son Ami 8 pour sa 305
Peugeot. Pourquoi ? Il aurait été plus facile pour lui de garder l'Ami
8 pour acheter 25 cartons de six bouteilles de vins (150b de 75cl). Il
n'a pu mettre que 22 cartons dans son coffre? et les trois autres
cartons dans l'habitacle.
Au terme des enquêtes successives Bernard LAROCHE ne pourra se
prévaloir d'aucun alibi entre sa sortie de la maison de chez Michel
VILLEMIN à 16h20' et son départ pour le magasin CHAMPION vers 17h50'.
Pouvait-il se prévaloir d'un alibi, entre 18h25', lorsqu'il a croisé à
LAVELINE DEVANT BRUYERES, entre AUMONTZEY et BRUYERES, la voiture des
Albert et Monique VILLEMIN conduite par leur fils Michel, et la prise
de son travail au tissage ANCEL de GRANGES SUR VOLOGNE à 21h00' ?
Il a prétendu avoir passé cet espace de temps soit à son domicile,
soit chez sa tante Louisette JACOB, mais il n'y a que les dépositions
de sa belle-soeur Murielle BOLLE pour confirmer ses allégations dont
la preuve n'est pas rapportée avec certitude".
Il existe trois chronométrages dans la procédure sur la faisabilité
hypothèse Bernard LAROCHE. Ce témoin avait la possibilité selon les
aveux de Murielle BOLLE, d'être sur les hauts de LEPANGES au plutôt
vers 17h10.
1er. Avec les gendarmes (D.309) pour l'enlèvement et le meurtre de
Grégory (17h00' - Départ du CES BRUYERES - LEPANGES - DOCELLES -
AUMONTZEY) il aurait fallu au minimum 37 minutes 30 secondes. En
ajoutant le chrono (SI/D408) correspondant à ses achats et à
l'encaissent de son tiercé, il pouvait être au magasin CHAMPION vers
17h48', au PMU vers 18h06' et au carrefour à LAVELINE DEVANT BRUYERES
aperçu par Michel VILLEMIN et ses parents qui descendaient à LEPANGES
vers 18h16'.
2e. Avec le SRPJ (SI/D564) pour l'enlèvement et le meurtre de Grégory
- (Départ AUMONTZEY - BRUYERES - LEPANGES - DOCELLES - AUMONTZEY) il
aurait fallu au minimum 44 minutes 45 secondes. En tenant compte d'un
départ à 17h00 du CES BRUYERES et son retour au carrefour de LAVELINE -
DEVANT BRUYERES il aurait fallu un minimum de 36 minutes 45
secondes.En ajoutant le chrono (SI/D408) correspondant à ses achats et
à l'encaissent de son tiercé, il pouvait être au magasin CHAMPION vers
17h47', au PMU vers 18h05' et au carrefour à LAVELINE DEVANT BRUYERES
aperçu par Michel VILLEMIN et ses parents qui descendaient à LEPANGES
vers 18h15'.
3e. Avec le juge SIMON (SI/D408) pour l'enlèvement et le meurtre de
Grégory (17h00' - Départ du CES BRUYERES (et non du lycée Lurçat) -
LEPANGES - DOCELLES - AUMONTZEY) il aurait fallu 48 minutes. En
ajoutant le temps correspondant à ses achats et à l'encaissent de son
tiercé, il pouvait être au magasin CHAMPION vers 17h58', au PMU vers
18h16' et au carrefour à LAVELINE DEVANT BRUYERES aperçu par Michel
VILLEMIN et ses parents qui descendaient à LEPANGES vers 18h26'.
Remarque: En fonction de certains chronométrages et de l'estimation
des temps morts, il y a une variation d'une dizaine de minutes entre
les chronométrages des premiers enquêteurs (Gendarmes /SRPJ) et celui
du juge SIMON.
Conclusion: Il n'y a pas d'incompatibilité dans cette hypothèse,
Bernard LAROCHE pouvait être aperçu sur les hautes de LEPANGES
entre17h17' et 17h18' (voiture verte) et se retrouver au carrefour de
LAVELINE DEVANT BRUYERES entre 17h15' et 17h26'."
DEMONSTRATION format Gif:
Prochainement sur cette adresse web "
(FIN DE CITATION du texte :"16 octobre " )
J' avais écris alors : "Conseil : sauvegardez-le bien, cela peut vous
être utile, car il risque encore d' évoluer"... trop tard, il est
déjà parti !
En effet, il a été :" définitivement", on peut le supposer ? retiré
le 29 septembre 2010, pour laisser la place au communiqué où les
parents se présentent victimes de : "corbeaux" " qui affabulent !"
*
C' est ce texte et son paragraphe : "16 octobre", tel qu' il a été
publié sur INTERNET le : 18/09/2010, par le site dit : " de
référence. gregoryvillemin. free".
Petits commentaires : Ce :" 16 octobre" tente de répondre au sujet du
blog du journal : Le Monde de G. Moréas, qui a été : "verrouillé",
censuré : le 17 septembre 2010... très étonnant ce lien de causalité !
1/"Censuré" : à ne pas confondre avec : " modéré", car les messages
qui avaient été publiés sur INTERNET, par Le MONDE, étaient passés
par le modérateur, qui les avait acceptés et publiés, comme ceux de :
"C' dans l' air", en 2008, ceux de "France-Télévision", en novembre
et décembre 2009, ainsi que le premier module... " non modéré" de :
"Justice plus nette", de Claude Thines, qui comprenait : 2416 posts,
avant d' être suspendu en novembre 2009.
"Censuré" : signifie que la liberté d' expression, est en France, ce
qu' était LA PRAVDA, (La vérité en russe !), de l'
ancienne :"République socialiste soviétique" ! Vous voyez le genre...
Philippe Bilger : "défenseur de : La libre expression", en a été
informé.
2/ La version de l' emploi du temps de CV contredit totalement les
autres versions... celle : "du schéma horaire", celle des extraits du
non-lieu de la Cour d' Appel de Dijon, celle des conclusions du
mémoire de l' avocate de CV, Me Chastant-Morand, déposées en faveur du
non-lieu à la Cour d' Appel de Dijon, en 1993 ! toutes fournies
gracieusement sur INTERNET par le site dit : " de référence" !
3/ Les accusations nouvelles, portées contre Bernard Laroche, ne sont
étayées d' aucune preuve en soutien...et de plus, non : "recoupables",
elles falsifient les faits, tels que développés dans les extraits de
la grosse des minutes du non-lieu de la Cour d' Appel de Dijon !
utilisant elle, illégalement : le deuxième témoignage annulé
juridiquement de Murielle B. !
On nous parle encore de contrôlographes... infaillibles ? alors que
tous ceux qui ont vécu les années 1980, ont une idée plus réaliste des
trafics frauduleux, connus de notoriété publique, qu' en faisaient les
transporteurs !
On nous dit que Bernard Laroche s' est contredit 4 fois... dans ses
auditions... On peut constater, en tout cas : bien moins que le site
dit : " de référence", et en tout cas, rien n' est précisé pour ce
qui le concerne, l 'intérieur de la fenêtre de temps, essentielle à
l' enquête, qui est le 16 octobre 1984, celle comprise entre : 16 h
52' et 17h 32' 41'', qui seul nous intéresse.
On se moque de ce qu' aurait fait Bernard Laroche, ou tout autre
présumé auteur du meurtre, le 16 octobre 1984 : avant :16 h 52', et
aussi après : 17h 32' 41'', ça n' a aucune espèce d' importance pour
la résolution de " l' énigme" : le crime était consommé.
On peut se limiter pour les deux seuls suspects d' alors, à l' analyse
respective de leur emploi du temps, millimétrée de ce créneau très
réduit : 40 minutes et 41 secondes !
Il est certain que la mort de Grégory est à situer entre : 17h 03' et
17h 32'... L' incomplète digestion du repas de midi,( ou même d' une
hypothétique pomme, qu' il aurait mangée au goûté, selon la mère ?)
le prouve !
Auriez-vous vu, beaucoup d' enfants de 4 ans, croquer une pomme, sans
qu' on leur la prépare en morceaux pré-coupés ? de plus le petit ange
Grégory ne pesait pas très lourd pour son âge ( Le mannequin utilisé
pour les tests dans la Vologne pesait : 12 kilogrammes, un poids
voisin de celui de la victime : écrit en substance le non-lieu.) Par
ailleurs, la mère qui donne son avis sur le contenu de l' estomac de
Grégory, était : "bonne couturière" et non : médecin légiste.( La
Cour n' avait pas à tenir compte de cette indication non prouvée)
Petit exemple de contradiction : l' ami Zonca, a indiqué à la
Justice : que si Bernard Laroche était venu chez lui, le 16 octobre
1984, des voisins l' auraient sans doute vu, c' est vrai à l' heure ou
BL, l' avait indiqué... mais aussi à celle qu' indiquait le site :
grégoryvillemin.free ! cet argument n' est pas recevable !
Le site :" gregoryvillemin.free " "16 octobre", répond à certains
argumentaires du forum de G. Moréas, (ils sont très attentifs
les :"innocents " !), en les reprenant, il avait été écrit en
substance :
"Aucun mobile au Monde ne permet de justifier le meurtre d' un enfant
innocent de 4 ans, chercher le rationnel, dans l' irrationnel et dans
la folie des hommes, est impossible, en déplaise à
Napoléon" ( "Impossible n' est pas français" : aurait dit notre
Empereur ? pas sûr ?)
On peut soutenir aussi que le kidnapping d' un enfant en présence (ou
à proximité ) de sa mère est impossible. Toutes les mères, dignes de
ce nom, même celles physiquement de force nettement inférieure à
celle d' un homme - ravisseur, lutteraient jusqu' à la mort pour
sauvegarder leur progéniture chérie, d' autant qu' elle la saurait
menacée, c' est l' instinct maternel, qui ne se préoccupe pas des
risques mortels encourus !
C' est le même réflexe et le même instinct, qui prévalent dans le
règne animal, la génitrice ne réfléchit plus, ce n' est plus le
cerveau qui la guide, mais son instinct.
L' hypothèse de la mise à l' eau de Grégory près du local des pompiers
au centre de Docelles, en plein jour, à proximité d' une usine
importante fonctionnant en continu et non loin d' habitations, où l'
on ne peut jamais être sûr que personne, derrière une fenêtre, ne
vous regarde, est invraisemblable.
Ne sachant pas avec certitude, s' il avait été repéré ou pas pendant
l 'exécution de son acte odieux, l' auteur du meurtre aurait-il commis
l' imprudence de téléphoner du même village, aussitôt après la mise à
l' eau de l' enfant ? C'est une aberration insensée, suicidaire, qui
ne tient pas !
*
Un message de :" HMN" ( Ex :"Harmony" du premier module) qui en dit
plus que certains discours, sur ce que l' on peut penser de l'
attitude de J-M. V :
Vous le retrouverez sur : " Justice plus nette" où, il y a beaucoup
de détectives très imaginatifs... qui :" enquêtent", dont certains
ne sont même pas capables de reconnaître la littérature primaire de
l' Administrateur, quand il s'exprime avec maint pseudo sur d' autres
forums, mais où d' autres très rares, sont dotés tout de même, du
pouvoir de réflexion.
" Re: Grégory.free supendu
HMN le Jeu 7 Jan 2010 - 16:41 écrit :
"Non, je ne veux pas être cruelle, mais depuis 25 ans, nous avons
appris à connaître JMV. Ce n'est pas forcément un reproche.
Les parents se taisent mais le site existe et quand celui-ci est
suspendu, on trouve normal d' y aller encore !
Prétexte : "liberté d'expression pendant l' instruction".
Mais je pense que vous avez remarqué que personne n'a de liberté de
parole dans cette affaire : tout doit être dit pratiquement sous le
manteau, car si par malheur on a un mot de travers JMV fait carrément
fermer le site ou le blog ou ...
Oui, je suis un peu agressive et vous prie de m' en excuser mais nous
savons tous aujourd'hui (je précise aujourd'hui, car depuis les
résultats ADN, j'ai beaucoup lu ce style de phrase : cette fois nous
sommes certains que CV est définitivement innocentée !!!
Plus fort que tout , ça ! que les parents n'ont rien à voir dans le
départ de leur enfant, mais établir des hypothèses sur tous les
protagonistes en le nommant tous un par un, ne gêne personne.
Fort heureusement, car c'est ainsi que nous trouvons des avancées.
Mais revenir sur des détails qui touchent les parents, nous n'en avons
pas le droit !
Lorsque que l'un de nous avance un moindre mot relatif à CV, il doit
s'entourer de mille précautions pour éviter des ennuis à Claude !
En restant dans les règles et la justice, il serait pourtant possible
de s'exprimer un tant soit peu plus, mais non !
Alors la liberté d'expression uniquement pour les victimes, et bien
non, pas à cent pour cent ..." (Fin de citation)
Bravo "HMN" ! vos explications concises n' exigent aucun commentaire
complémentaire : " NO COMMENT ! ", vous avez tout compris ! Pas les
autres !
*
"Les Villemin une histoire française" : écrit sur INTERNET : Me
BILGER :
Vous pouvez lire le blog d' un haut personnage de l' État, qui
prétendrait défendre : "La libre expression" ? ( Si ! ma non
troppo ?)
Non ! Monsieur Bilger, en réalité : un gros mensonge d' État, où la
Justice a subi la pression du pouvoir... et l' abus permanent de cette
illusoire : "séparation des pouvoirs", dont-on nous rebat les
oreilles.
Pourquoi dans une démocratie, légitimiste, l’ attitude équivoque de
JMV depuis qu’ il a cru avoir le droit de se faire : ” justicier” en
méprisant la Loi, la Justice, en assassinant son cousin est aussi
inadmissible qu’ inacceptable ?
JMV a appliqué la Loi dite : ” du talion”, symbolisée par : ” œil pour
œil, dent pour dent “… (Là, c’ est un mort pour un mort… on a envie de
dire :” un à un, balle au centre !” mais ce n' est pas du sport
truqué...mais des crimes odieux ! ), il en demande encore beaucoup
plus… peut-être d’ être élevé au grade de Chevalier de la Légion d’
Honneur ?
Il faut revenir à l’ origine de cette loi qui avait pour but, tout
autre que la vendetta de Prosper Mérimée, développée dans Colomba, d’
éviter les excès.
Le mot « talion » vient du latin talis qui signifie « tel », « pareil
», « de ce genre ». Ce mot introduit donc la similitude entre deux
éléments comparés. Pour limiter les excès de vengeance, le roi de
Babylone, Hammourabi (1793-1750 av. J.C.), instaurera un code qui
permit de mettre « la droiture et la justice dans la bouche du pays »
en empêchant de punir quelqu’un au delà de son offense.
À chaque litige correspondait donc une punition similaire de même
nature. Le roi fit graver sur une stèle de pierre noire de plus de 2
mètres de hauteur, l’ensemble des lois qui devait ainsi régir son
royaume. Ces lois étaient réparties en 7 colonnes et comprenaient à
l’origine 282 paragraphes. Une partie de celles-ci furent cependant
ultérieurement effacée au bas de la stèle. Découverte au tout début du
XXe siècle, elle est aujourd’hui au Musée du Louvre. (source INTERNET)
http://www.interbible.org/interBible/decouverte/comprendre/2005/clb_051021.htm)
Ce faisant : la Justice, l’ État, “Le Peuple français “, le
contribuable ne doivent plus rien à un assassin(*) qui a cru devoir au
mépris de la Loi, régler ses comptes lui-même.
(*)" Assassin" oui ! parce qu' il faut appeler un chat : " un chat
"... ou changer notre vocabulaire...( l' édulcoration use les mots qui
finissent par devenir des mensonges !)
Il est sordide et scandaleux, qu’ un criminel ait été reçu au Sénat,
soit interviewé dans des émissions de télévision, ça qualifie les
délits d’ apologie de la violence et de crime.
C’ est dénier et retirer, toute mission d’ ordre public à l’ État, et
encourager de telles pratiques, en ouvrant les portes à l’ Anarchie.
La Justice a pour mission de service public, entre autres, de protéger
le Citoyen de ce type d’ individu potentiellement très dangereux.
Il est aussi scandaleux qu’ un criminel mène par le bout du nez la
Justice, après avoir court-circuité le rôle légal de celle-ci, en lui
demandant aujourd’hui, et depuis 26 ans de rechercher une vérité, (qu’
il devrait connaître ? en tout cas son épouse : un peu mieux ?)
alors qu’ il entrave les recherches en concomitance, en faisant
éliminer méthodiquement, une à une, toutes les preuves, après avoir
tué : ” le témoin, prévenu principal”
Il est scandaleux que JMV ait empoché : 35 000 Euros, de dommages et
intérêts payés par le contribuable pour faute de l’ État.
S’ il y a eu effectivement, et c’ est indéniable : fautes des
enquêteurs, fautes des juges, fautes des légistes, etc. , dans ce cas,
tel que le prévoit l’ article :1382 du Code Civil, ce sont ceux qui
ont commis ces fautes, qui doivent en payer toutes les réparations,
et non le contribuable, qui n’ est responsable de rien !
En revanche : il appartient à la Justice : “ au nom du Peuple
français” , suivant la formule consacrée, de rechercher la vérité et
de punir les coupables, elle n’ a pas à le faire sur les injonctions,
et suivant le bon vouloir ciblé, d’ un tueur.
Les machinations de la Cour d’ Appel de Dijon commencent à agacer
sérieusement le Citoyen, il serait temps qu’ elle soit dessaisie de
cette affaire, où depuis longtemps elle est partie et juge ! où elle
bafoue tous les principes fondamentaux du Droit.
Quand on analyse les motivations que la Cour de Cassation a données
pour :” dépayser” le dossier du meurtre sordide de Grégory, établi par
la Cour d’ Accusation de Nancy, à celle de Dijon, qui s’ est
transformée en avocat de la défense, on ne peut qu’ être scandalisé
qu’ elle ait pu valider un non-lieu inique, qui est un déni de
justice, où l’ on a enquêté et relevé des charges contre un mort, qui
ne pouvait plus répondre, où l’ on félicite :” un témoin courageux “…
qui n’ a rien vu…où on cite un autre témoin, que l' on a forcé à
témoigner, où l’ on ne poursuit pas les auteurs : des faux-
témoignages, des substitutions et subornations de témoins, les
éventuels complices d’ un : "hypothétique kidnappeur”… ni les
complices implicites, journalistes et gendarmes du meurtre de Bernard
Laroche... etc. etc.etc.
Il est assez incroyable qu’ on ait pu envisager comme l’ a fait, la
Cour d’ Appel de Dijon, d’ exhumer le cadavre d’ un homme assassiné,
qui bien que prévenu, bénéficie pour toujours légalement de la sacro-
sainte : " présomption d’ innocence !"
Va-t-on aussi exhumer la dépouille de l’ adjudant Chanal, qui s’ est
suicidé, alors qu’ il était suspect dans la disparition des jeunes
militaires de Mourmelon ? Enquêter sur Treiber ?
Quand La Justice viole la Loi, c’ est un rude coup porté à la
Démocratie !
La Justice connaît depuis longtemps la vérité, il est inutile de faire
semblant de demander le recours à l' ADN.
"La pseudo énigme" de ce crime abject, peut être résolue par une
arithmétique élémentaire de niveau CM2. Le site dit :"de référence
gregoryvillemin. free, première mouture", en lançait le défi dans
son : "schéma horaire", il a dû brusquement être suspendu en novembre
2009, par ses auteurs ! parce qu' un internaute l' a relevé et le
résultat est : "éloquent !", et ce devant son ordinateur, sans avoir
jamais lu un seul bouquin, ni vu un seul film, des rats qui ont gagné
des sommes pharamineuses, sur le cadavre d' un petit angelot, que l'
on dirait sorti tout droit du tableau de Raphaël : "La Madone de
Sixte", que l' on peut admirer à Dresden... et dont les deux petits
chérubins dubitatifs sont repris dans beaucoup de publications.
"Quand une mère est impliquée dans un infanticide, levée de boucliers
des biens-pensants, cris d' horreur et au blasphème du chœur des
vierges, qui croient qu' elles sont devenues mères par insémination
divine, et qui défendent corps et âme, contre toute logique : un
assassin : la Justice se : "dégonfle", les enquêteurs hissent le
drapeau blanc... Le crime :"le plus naturel" qui soit, et aussi le
plus odieux, n' est ni justiciable, ni condamnable ! passez votre
chemin !" : ai-je écrit sur le forum de G. Moréas !
La preuve : pour cette jeune mère, qui vient de défenestrer son bébé
du 8 ème étage... Elle même ne sait pas pourquoi ? Les mêmes
"humanistes" trouvent mille excuses, idem pour le crime de la petite
Maddie, où le premier Ministre britannique s' est mis de la partie,
alors que la culpabilité de la mère est prouvée. Le petit Antoine d'
Issoire, disparaît de plus en plus et va quitter la mémoire
collective. ce n' est pas valorisant pour une Nation d' avoir à juger
une mère infanticide... alors il est préférable de passer un coup de
gomme... de devenir mal-voyant, tartuffe ! : "cacher ce sein que je
ne saurai voir "
Ok ! pas de problème on peut adhérer sans retenue, il est impossible
de condamner devant La Justice, une mère meurtrière de son enfant, le
crime dépasse l' entendement... Elle ne doit répondre que de la
Médecine, dans sa spécialité spécifique : La Psychiatrique.
Mais objection à votre Honneur, pour ce cas : l' affaire Grégory, le
petit ange est mort et un adulte a été froidement assassiné, alors que
la peine de mort était abolie en France avec pour maîtres d' oeuvre
et contre l' opinion publique défavorable : Messieurs Mitterrand et
Badinter, depuis 1981 ! Personne n' a le Droit au 20 ème siècle de
faire tuer, ou de tuer, réglementairement un homme... et encore
moins : sans jugement.
Le meurtrier voudrait être déclaré :" justicier", il croit dur comme
fer, que s' il prouvait, que sa victime était bien l' auteur du crime
abominable de Grégory, il serait blanchi du meurtre commis... et
auréolé de la gloire du justicier : chevalier blanc, sans peur et sans
reproche ?
Erreur fatale : Jean-Marie, vous ne pourrez jamais justifier un crime
qui défiera toujours la Loi. Vous êtes et resterez à jamais, même
dans les archives : un assassin.
Monsieur Nicolas Sarkozy voudrait détecter la délinquance dès le plus
jeune âge, à l' école maternelle, il y aurait un principe de
précaution, qui serait infiniment plus prioritaire, c' est celui d'
empêcher d'abord en les rendant stériles : les assassins de procréer.
Ainsi, J-MV, ( tels quelques acolytes), s' attache à poursuivre
encore et toujours : un homme qui est mort, et qui même s' il était l'
auteur inqualifiable, du crime odieux , (ce que personne ne peut
croire, même pas la Cour d' Appel de Dijon !), l' aurait expié, aurait
payé le prix de celui-ci... Cela relève d' une obsession morbide et
pathologique ! La Justice devrait lui faire obligation de soins.
On ne tue pas une nouvelle fois, un mort, c' est abject parce que c'
est la lâcheté la plus détestable, c' est pour cette raison impérieuse
et morale, avec quelques autres : Madame Bezzina (que je ne connais
pas , mais que j' admire, et d' autres), nous ferons tout pour vous
l' en empêcher ! et s' il n' en restait qu' un, (ce qui étonnerait),
j' essaierais d' être celui-là !
Telle est ma quête : trouver celui (celle) qui a privé de la vie un
petit innocent ( si beau, qu' il me fait verser une larme, chaque
fois que le vois), sans haine, sans sensiblerie, sans préjugé et sans
a priori, car ils obèrent la réflexion, et falsifient les jugements,
mais aussi avec abnégation et pugnacité.
Jean-Marie : je lui trouve une seule excuse, elle est de taille : il
l' adorait cet enfant... et le petit Grégory adorait plus encore :
son père... peut-être est là, le mobile recherché du crime odieux ?
Ma belle-maman : lorsque notre premier enfant est né, ( ma fille...
et qui pouvait faire valoir une certaine expérience justifiée et
prouvée, dans ce domaine, en ayant eu dix rejetons, à élever ) m'
avait dit : " Vous savez mon :" pauvre toni", votre billet de mille
Francs ( elle parlait en anciens Francs ) a subi une détestable
dévaluation, il ne vaudra plus désormais que : 500 Francs..." Je n' ai
pas compris tout de suite ?
Mais, après... effectivement : Quand l' enfant paraît (comme l'
écrivait Victor) : l' amour de la mère devient plus fort pour sa
progéniture, que celui qu' elle n' accordera plus à son compagnon-
géniteur... Mais l' inverse existe... plus rarement. Ce qui est vrai
pour l' homme, l' est parfois aussi pour la femme, dans ce cas : "
Il faut savoir encore sourire... etc. " : chantait Charles
Aznavour... et certain(e)s ne savent-ils (elles) pas ?
*
Une citation et un symbole: citation : que j' emprunte à la compagne
de ma vie. Sages paroles que, j' ai faites miennes et que j' ai
transmises à mes enfants, elles sont de Bertolt Brecht. Elles vous
aideront, à comprendre pourquoi, il faut toujours et sans cesse
combattre, lutter, parfois, et même souvent, contre les moulins à
vent, tel Alonso Quijana dit le : Chevalier à la triste figure, Don
Quichotte, Seigneur de la Mancha.
"Mon fils tiens-toi près de tes semblables, et bats-toi pour qu' il n
'y ait pas deux sortes d' Hommes sur Terre." (Bertolt BRECHT)
"Rêver un impossible rêve, porter le chagrin des départs, brûler d'
une possible fièvre, partir où personne ne part, aimer jusqu' à la
déchirure, aimer même trop, même mal, tenter sans force et sans
armure, d' atteindre l' inaccessible étoile, telle est ma quête... et
puis lutter toujours, sans question ni repos, se damner pour l' or
d'un amour, je ne sais si je serais ce héros ? Mais mon coeur est
tranquille, et les villes s' éclabousseraient de bleu, parce qu' un
malheureux brûle encore...etc."
(Jacques BREL)
*
Petit conseil à ceux qui recherchent la vérité sur l'affaire GREGORY
N' allez pas sur le site de Claude : Allias Claude Thines , tels les
partisans de :" la vérité officielle", vous y invitent, pour
dialoguer... Inutile le site n' est pas contradictoire... C' est un
lynchage permanent à sens unique, pas de quartier ! Haro !
principalement sur les morts !
Ce site est partial. Cela fait comme, il l' a écrit un peu partout
sur les forums qui traitent de l' affaire Grégory :" 24 ans que Claude
cherche", mais, il n' a pas mis à jour, cela fait en fait : 26 ans...
et toujours rien ! pas le moindre commencement de début de réponse.
Vous retrouvez sa litanie habituelle, sa rhétorique indigeste, ses :
" croustillances", etc. et quelques arguments étincelants d'
intelligence, qui éclairent le personnage, regardez le site chat
borgne, il débute par :
" Corazzi : un nom corse... qui favorise une commissaire véreux !
"(SIC !) : Commentez ! qu' en pensez-vous amis corses et autres ?
Sur tous les sites INTERNET , qui parlent de l' affaire... et sur
Facebook ...Il est le gagnant toute catégorie du concours lancé
par : " Le Canard enchaîné" : "Ma trombine partout" ! Adonis et
Narcisse réunis, mâtinés de Tartarin de Daudet... (Alphonse... avec
un peu du Léon ?)
Par contre, ne manquez pas d' utiliser ce site, pour la documentation
très fournie, elle est très détaillée, très intéressante, et unique,
un travail de titan...Claude :" a des détectives qui travaillent pour
lui, sur les bords de la Vologne" (SIC Claude)
Elle est : "unique" sur INTERNET... car elle vole(ce que les autres
sites ne font pas ! ) le copyright des photos et documents de presse ,
(regardez dans : " recherche d' images sur Google", il y a toujours
indiqué : " L 'image peut être soumise à des droits d' auteur" ), elle
viole le droit à l' image, et le droit à la vie privée dus à tout
Citoyen, elle viole le respect dû aux morts...Ce site calomnie et
accuse sans aucune preuve en soutien, de préférence les morts (ou
celui assassiné), mais qu' importe : prenez un masque, il en reste
quelques uns à Roseline ! bouchez-vous le nez et profitez-en : " c'
est gratos " !
Sur le forum de : " C' dans l'air ", j' avais mis à Claude Thines :
20 / 20 pour son imagination et : 0 / 20 pour sa logique... ( aussi
bien qu' à sa détective de choc Miss Marple EL... Elle répond de la
Science de l' abstrus... l' écrit du vice donnant le bras à celui du
crime? ... langue de vipère ? " dame pipi" en rupture de bans ?
Mystère ?)
Pour l' argumentaire, c' est du : " mon Capitaine " qui l'a inspiré,
l' un n' a pas trouvé un seul des corbeaux, l' autre refuse la vérité,
qui est en fait évidente. M. Duras avait malheureusement raison !
Personne ne peut prétendre qu' elle n 'avait pas 10 fois le Q.I. de :"
Mon capitaine " : ça se saurait !
Claude est manipulé par les Conseils et la famille V. Il faut que
les intervenants soient agréés par Jean-Marie... sinon ils sont :
"bannis, "... ce sont soi-disant :" des perturbateurs" !
Sur son site, il y a en première page l' avertissement hypocrite :
"Attention, tous les messages ayant un semblant de diffamation seront
supprimés sur le champ"
C' est un avertissement du même genre que sur les paquets de
cigarettes, les bouteilles de vins, d' alcool, les jeux de hasard...
Hypocrisie quand tu nous poursuis !
Lisez-le...( LOL!) : de la calomnie, de la diffamation, des
aberrations, des débilités monstrueuses, des accusations graves, sans
la moindre preuve en appui, il n' y a que cela, surenchère
permanente, Ebay ferait de l' or au pourcentage de : "connerie"
atteint.
Dès que vous allez poster un message, qui sera, à contre sens de la
direction à sens unique, qui débouche immanquablement toujours sur la
même impasse depuis 26 ans, où on veut vous faire aller : il sera
censuré, ou vous serez sévèrement critiqué : vous : "diffamez, vous
calomniez", les autres pas... Faut pas confondre.
Avec le pseudo : " vre ", entre autres, par nos messages qui gênaient
visiblement : Jean-Marie... Claude a dû suspendre son premier module,
à la demande expresse de l' homme au fusil J-MV, qui a des arguments
de persuasion très doux... presque homéopathiques, mais efficaces,
car il tire d' abord et réfléchit ensuite... ou plutôt... il essaye,
et là, :" c' est pas gagné ! "
L' ancien module de Claude, s' est arrêté ainsi à : 2416 posts, au
compteur, en novembre 2009.
Claude ne pouvait pas le censurer, ni le manipuler ! tous les messages
passaient, c' était gênant ! des fois qu' un internaute aurait trouvé
une autre vérité, plus plausible que celle : "officielle" !
Claude l' a indiqué par message personnel par e-mail... Le Jean-
Marie : il prend tout ce qui est contraire à sa : "Vérité"... qui ne
doit pas être de son épouse ? comme provenant du Commissaire Principal
CORAZZI, avec la même perspicacité grâce à laquelle, il n' a jamais
réussi à reconnaître un seul des corbeaux, qui nombreux (ou seul ?)
lui causaient.
Le Commissaire Corazzi hante les jours et les nuits...: " des
innocents"... c' est chronique, une maladie inguérissable,
cachectisante.
C' est aussi une pathologie récurrente du site : "Justice plus
nette", où l' on vous prend à bras raccourcis, soit pour CORAZZI,
soit pour Madame BEZZINA, dès que vous déviez de la ligne tracée...
testez vous-même !
Courageuse Madame Bezzina, il faut lui tirer le chapeau, avec :" ce
qu' elle prend depuis des années"... je lui tire le mien... et bien
bas !
En même temps, disparaissait le site dit : " de référence .
grégoryvillemin. free", les extraits du non-lieu de la Cour d' Appel
de Dijon... qui permet en le décortiquant de trouver la solution de
la pseudo énigme. (gregoryvillemin/ free... a été suspendu et il n' y
avait plus aucun document... "jusqu' à la fin de l'
instruction" (SIC) ).
Vous ne savez pas pourquoi ? devinez !
Ce sont eux également qui ont fait fermer le forum de : " C dans
l'air ", en 2008... Curieuse façon de vouloir : "connaître le
vérité"...après avoir éliminé celui, qui n' était alors le : "témoin,
principal suspect"... puis en supprimant une pièce à conviction
essentielle : la dépouille de l' enfant.
Les parents ont fait incinérer le petit corps du chérubin , dès que
les recherches ADN ont débuté, avant de se plaindre contre l' État
des défaillances des légistes, et de la perte de pièces à
conviction... " Gonflés" ! pourtant, cela se qualifie
judiciairement : d' entrave à l'exercice de la Justice par
destruction de preuves et de pièces à conviction... avec encore aux
commandes, la complicité implicite de la Cour d' Appel de Dijon qui a
autorisé l' incinération !
Réfléchissez et demandez -vous pourquoi ?
Je me suis fais " virer " : le 11 novembre 2009: "banni", "
perturbateur " , alors que j' avais donné la clé de la recherche et
que je n' avais jamais cité un seul nom ! à la demande de J-M V,
celui qui dit : " vouloir connaître la vérité depuis 26 ans", ( que
son épouse doit mieux connaître que lui ?) Il voudrait surtout tuer
une deuxième fois son cousin, ça lui permettrait de s' afficher :"
justicier" et de peut-être postuler prochainement pour la Légion d'
Honneur ?
En fait, il voudrait aussi (intérêts communs) faire innocenter
définitivement son épouse, contre laquelle des soupçons justifiés
pèsent toujours : 25 charges, des indices graves troublants et
concordants, ça ne se gomme pas comme cela, d' un revers de main !
Même par un juge qui était paraît-il amoureux ? à la libido en
effervescence à plus de 60 ans... sans doute pressé par les :
"politiques"...à cause de l' illusoire : "séparation des pouvoirs" ?
Le juge qui se prenait paraît-il, pour une Diva ? serait peut-être
décédé d' une épectase ? Allez savoir ? comme le disait
Clémenceau...: " Il voulait être César...aurait-il fini : Pompé(e)" ?
Pour ceux qui connaissent le dossier : le point capital essentiel de
l' affaire est l 'annonce de la mort de Grégory, qui a été faite
par l' appel téléphonique anonyme reçu par Michel Villemin, son
oncle, aux "environs" de : " 17 h 32 'X''."
C' est cet appel, qui a tout déclenché, il a donc bien existé, car
c' est Monique Villemin, la grand-mère de Grégory, qui a ameuté le :
16 octobre 1984, à partir de : 17 h 35', environ ? : sa bru qu'
elle n' a pas pu joindre à son domicile et pour quelle raison ?
mystère ? son fils sur son lieu de travail chez Auto-Coussin" , la
mère de sa belle-fille, puis les gendarmes à : 17 h 45'.
Deuxième point : l' un des suspects d' alors, ne part peut-être pas
rechercher son enfant au village ni à : 17 h 21'... ni à plus de :
17 h 28' 08'', mais plutôt entre : 17 h 08' et 17 h 15'... mais
peut-être pas pour aller, où il le prétend ? Cherchez vous aller
trouver, c' est évident ! Nous allons y revenir. ( à 17 h 28' 08 "
"Les recherches au village" , étaient peut-être superfétatoires, allez
savoir ? )
Concluez-vous-même : BL devait venir de Bruyères pour kidnapper
Grégory et c' est à plus 7 km, autre point : personne n' a jamais vu
l' enfant vivant et devant la maison après : 17 h 00' ... 17 h
03' ... Devinez pourquoi ? et les volets étaient fermés en plein jour
et par grand soleil... pour quelle raison ? pas de traces de pas,
non plus, d' un éventuel kidnappeur, soi-disant : venu à pieds sur le
tas de sable et autour du pavillon... étrange, non ?
Je vous laisse réfléchir... il ne faut surtout pas prendre au
comptant la soupe que l' on veut vous vendre...Elle était indigeste
en 1984 et reste immangeable en 2010, ni pour cette affaire, ni d'
ailleurs, pour d' autres aussi mystérieuses.
Soyez des Saint-Thomas et suivez avec minutie point par point le : "
Je pense... donc je suis " : de René Descartes, et je vous assure que
vous trouverez.
*
Exemple d' arguments développés par Claude Thines, pour vous faire
votre propre idée personnelle sur son cas.
Vous pouvez trouver encore sur Internet ses : "croustillances
" (SIC)... à la : "mords-moi le nœud" (Re SIC) de Claude, sur le site
http://chatborgne.canalblog.com/archives/2006/10/18/2938753.html
(Les autres dizaines de sites qui avaient été inondés par les mêmes
accusations, aussi fantaisistes que racistes, ont fait la lessive.
(c'est un : "copier/coller")
" Corazzi : un nom corse... qui favorise un commissaire véreux...!
Ce commissaire a falsifié des preuves afin de confondre en justice
Christine Villemin, parce qu'il ne trouvait pas d'autres personnages a
inculper...! Les hauts magistrats l'ont reconnu coupable de ses gestes
et investigations véreuses...!
Cela fait 24 ans que j'étudie et que j'analyse l'affaire Grégory...Je
passe mes nuits à réfléchir et à démêler cette affaire remplie de
véritables noeuds juridiques...
Tous les détracteurs qui accusent Christine Villemin doivent réfléchir
à une chose :
Si Christine était l'investigatrice du meurtre de son fils, croyez-
vous, qu'au bout de 3 ans à avoir harcelé tout le monde au téléphone,
qu'elle se serait passé d'alibi solide concernant les 20 minutes de
l'enlèvement...?? Il ne faut pas sortir de l'ENA pour penser à
l'affirmatif...!! Ce meurtre s'il a été prémédité par Christine, comme
veulent le faire croire si bien Jean-Michel Bezzina, journaliste
décédé en 2001 (pour ceux qui s'interrogent dans un message un peu
plus haut sur la mort de cet homme), Jacques Corazzi, commissaire
véreux, et le juge Lambert, avec ses multiples fiascos de son dossier,
aurait-elle "omis" son alibi le jour du crime...?
Soyons raisonnable...
Il est clair que Laroche a participé à l'enlèvement, pas au meurtre ;
comme l'a dit le Procureur Général Ruyssen lors du procès de Jean-
Marie Villemin : "Il existe de très lourdes charges sur Bernard
Laroche quant à sa participation à l'enlèvement de Grégory"...Un
point, c'est tout...!
Voici ce qui "pèse" contre Bernard Laroche entre suspicion et jalousie
et pourquoi Jean-Marie est devenu un assassin :
1) Bien entendu, les accusations de Murielle, stipulant des détails
croustillants quant au profil du pavillon et du centre de Lépanges
(route barrée). Et j'en passe...
2) La lettre avec des exemples d'insultes que l'on a retrouvée chez
Laroche avec ces mentions "...pauvres cons que vous êtes tous..."
3) La cassette que l'on a également retrouvée chez Laroche avec "Chef
on a soif..." (appel anonyme)
4) La longue-vue que possédait Laroche pour surveiller les époux
Albert et Monique Villemin.
5) Les contradictions de son ami Zonca.
6) Laroche savait ou croyait qu'Albert Villemin soutirait de l'argent
à son propre père.
7) Laroche en voulait fortement aux Villemin de vouloir mettre
Louisette et Chantal, sa fille, dans un asile...
8) Il n'y a jamais eu d'ordre d'arrivée chez Louisette entre Bernard
Laroche et Murielle Bolle le soir du 16 octobre à 17h20-25. En
admettant que Murielle ait menti quant à l'enlèvement de Grégory, même
sur ce détail ils n'étaient pas d'accord...Un fait troublant qui n'a
jamais été élucidé...
9) La pression de certains gendarmes et journalistes (Ker entre
autres) envers Jean-Marie ("si on avait fait ça à mon fils je saurais
quoi faire" )
10) Les mystifications et falsifications de preuves de Corazzi (porte
bien son nom corse celui-là !)
11) La même marque d'insuline retrouvé chez Jeanine Bolle et celle que
Monsieur Grandjean, garde-champêtre, découvrit près du Barba.
12) Sonia Pierson, Claude Richard...Témoins ayant vu Murielle monter
dans la voiture de Laroche à 17h à la sortie du lycée.
13) Jean-Michel Galmiche, chauffeur du car scolaire, témoin de
l'absence de Murielle dans ce même car.
14) Bien sur, Claude Colin et Claudon ayant vu une voiture verte avec,
à son volant et côté passager, un homme corpulent à moustaches et une
jeune femme rousse.
15) Les experts graphologues ayant accusé formellement Laroche dès les
premières investigations.
16) La forte complicité entre Laroche et Michel Villemin. Ce dernier
étant l'informateur du premier.
17) Les "essais" de séduction de Laroche envers Christine, Liliane et
Ginette. Econduit, Laroche s'en fut bien honteux...
18) La légère infirmité du fils Laroche alors que Grégory était en
pleine santé.
19) L'achat du salon de cuir et le prêt pour agrandir le garage.
20) La visite de Michel et Ginette deux jours avant l'assassinat.
21) Le deuxième portrait-robot ressemblant étrangement à Laroche.
22) Les errances et fautes absolument grotesques et digne d'un
débutant du juge Lambert.
23) Le foulage avec les lettres L et B qu'a découvert le gendarme
Klein...
24) Le fait que Murielle savait faire les piqûres (déclarations de
l'infirmière et de sa propre mère)
25) La mère de Murielle était persuadée que Laroche avait participé à
l'enlèvement.
26) Toujours Jeanine Bolle, la mère de Murielle et Marie-Ange, qui
disait avoir fait des pressions sur sa fille la veille de ses
rétractations. (déclarations faîtes auprès de l'infirmière quelques
temps avant sa mort)
27) Le fait que Marie-Ange Laroche, le lendemain du meurtre de
Grégory, va à une cabine téléphonique pour téléphoner aux gendarmes,
alors qu'elle a le téléphone chez elle...
28) L'engouement de cette même Marie-Ange, au départ de l'enquête et
au cours du coup de fil mentionné ci-dessus, à vouloir faire accuser
quelqu'un d'autre (les Hollard)
Etc etc...
Maintenant les cerveaux les plus fantasques trouveront eux-mêmes son
ou ses complices...
Je vous rappelle que Christine Villemin a bénéficié d'un non-lieu pour
"absence totale charge", fait unique dans les annales de la justice
française...!
Je mettrai en ligne prochainement ce que j'ai écris sur l'affaire
Grégory. J'attends l'accord de la famille Villemin...
Une chose est sûre : Il faut que Grégory soit laver de cette eau qui
l'a sali...avant 2011...!!
Que la vérité lui soit rendue...sa vérité...!
Posté par Claude94, 13 mars 2008 à 13:31"
( Fin de citation... fautes non corrigées )
Nota bene : Claude s' est appliqué dans une littérature au style
primaire, à trouver plus de charges que la Cour de Nancy en attribuait
à l 'autre inculpée (28 ! pour 25 ! Bravo l' artiste)... mais il s'
est mélangé les pinceaux, car peut-on considérer comme un passif le
fait que : " Laroche en voulait fortement aux Villemin de vouloir
mettre Louisette et Chantal, sa fille, dans un asile..." ... ? qui a
du coeur et qui n' en a pas !
*
Messages postés sur le forum LE MONDE,"L' affaire du petit Grégory" de
G. Moréas... Attention ! Ils ne sont pas des copies conformes
Re Publication sur : INTERNET des messages : " verrouillés",
du forum de Georges Roméas, du journal LE MONDE et de certains du
forum : "Justice plus nette."
Avertissement ! Les messages qui vont suivre sont : "en
substance", ceux qui ont été publiés sur les forums censurés.
Des modifications, des précisions, des corrections d'erreurs
mineures, ont été apportées aux messages originaux, mais il peut vous
être certifié qu'elles n' en modifient, ni altèrent, ni la teneur,
ni le sens général.
toni
*
Rappel : Le 13 juillet 2010 : Anniversaire de cinquante ans ! un
demi-siècle !
Joyeux anniversaire CV !
Nous attendons tous, avec impatience que vous puissiez enfin terminer
l' " en cours" du : " 16 octobre 1984", promis sur votre : " site de
référence" : Gregoryvillemin.free ", dans sa nouvelle mouture, privée
de vos précieux : " schémas horaires ", et leurs perspicaces
indications et conseils.
26 ans : pour "meubler" : 32 minutes 41 secondes de votre emploi du
temps, entre : 17 h et : 17 h 32' 41 "...le 16 octobre 1984 (des
minutes pourtant inoubliables), ça fait un peu long...ne trouvez-vous
pas ?
toni
*
Comparaison des diverses et... variées versions de l 'emploi du
temps de la mère de Grégory, le 16 octobre 1984, après : 17 h 00' :
-- Celle transcrite par les conclusions : du mémoire (1)de la
défense dans l' intérêt de CV, rédigé par Me Chastant-Morand, publié
jusqu' au 18 septembre 2010, sur INTERNET, par le site dit de
référence : "gregoryvillemin.free",seconde mouture", donc : document
de base de la défense, présenté à la Cour dite : " d' Accusation" de
Dijon, pour la défense de l' inculpée. Ce sont des : "aveux" faits à
la Justice par CV, et il est formellement interdit de les retoucher
comme le faisait le paragraphe : "16 octobre " de septembre 2010.
-- Avec la version donnée par le : "schéma horaire" (2) de la même
source le site dit : "de référence . gregoryvillemin.free" , mais
dans sa première mouture, (provenant des mêmes parents de Grégory)
publiée sur INTERNET, pendant plusieurs années, avant qu' elle ne soit
brusquement suspendue par ses auteurs en novembre 2009.
-- Avec les extraits du non-lieu délivré par la Cour d' Appel de
Dijon au bénéfice de l' inculpée.
Avertissement important ! : Les conclusions produites pour CV, par le
mémoire de Maître Chastant-Morand, sont celles de la défense de l'
inculpée, qu' ont reçues, les Magistrats de la Cour :" d' Accusation"
de Dijon, pour juger, de la suite à donner : Procès en Assises, ou
relaxe de l 'inculpée. (elles doivent être les seules, dont il faut
tenir compte ! )
A/ Elles ont servi de base pour délivrer le fameux : " non-lieu" :
"unique et exceptionnel ", de 1993.
B/ Elles constituent la version des faits telle que donnée par l'
inculpée CV !
C/ Il ne peut être opéré aucune modification, par exemple : celles
que tentaient les parents de Grégory, après la censure demandée du
forum LE MONDE : "L 'affaire du petit Grégory" , de G. Moréas.
On constate que :
1/ Les horaires des faits principaux ne concordent pas, et divergent :
Horaire d' arrivée de CV à son domicile : 17 h 01' pour le mémoire
(1)... entre 17 h 02' et 17 h 03', pour le : "schéma horaire"(2)
("CV vue vers 17 h 02' à 300 m remontant vers son domicile...")
Horaire de sortie de CV de son domicile, pour surveiller Gregory :
17 h 23' pour le mémoire (1)... 17 h 17' pour le : "schéma
horaire"(2)
Horaire de départ de la pâture de Madame Claudon et de son troupeau de
36 vaches, selon le mémoire(1) : 17 h 20' 01" ("17 h 32' 41", moins
12' 3 " 58 = 17 h 20' 01" ",
(l' avocate Chastant-Morand serait-elle fâchée avec l
'arithmétique ? ) (17 h 32' 41"moins 12 ' 30" = 17 h 20'11")... 17 h
19' pour le : "schéma horaire"(2) : " 17 h 18' Madame
Claudon bloque l 'entrée du domicile (de) Christine pour le passage
des vaches et voit Christine cherchant son enfant, 17 h 19' : départ
de la pâture, retour des vaches à la ferme. Mme Claudon débloque
l'entrée du domicile de CV, au passage des vaches (4 minutes) plus
tard " (fin de citation (2))
Il faut bien noter la formulation employée, elle va prendre une
extrême importance : "17 h 18' : Madame Claudon ... voit Christine
cherchant son enfant "(2)
Horaire de départ de CV pour ses recherches au village, selon le
mémoire(1) : après sa rencontre avec Bernard Colin, soit après : 17 h
28' 08"...(plus quelques minutes au moins une ou 2 ? pour redescendre
de la ferme des Meline, démarrer et sortir la Renault 5 du garage ) à
17 h 23', selon le : "schéma horaire"(2) .
Horaire de la rencontre avec Monsieur Bernard Colin (le promeneur avec
son chien) : 17 h 28' 08 " pour le mémoire(1)... 17 h 33' pour le
" schéma horaire"(2).
Durée du blocage de CV par le troupeau de vaches à l'entrée de la
ferme Claudon :
-- Le non-lieu écrit : " Arrivée devant la ferme des Claudon, elle
(CV) fût immobilisée quelques minutes par leur troupeau..."
-- Le mémoire(1) en faveur du non-lieu indique : " devant la ferme
Claudon, elle (CV) fût bloquée quelques secondes... "
-- Le "schéma horaire "(2) donne deux chronométrages SRPJ,
identiques : référencés : D1037 et D1038 : " passage troupeau de
vaches : 30 secondes"
En réalité (vérité de La Palice ?) la durée maximale du blocage
éventuel à l' entrée de la ferme est le temps qui s' écoule... entre
l' entrée de la première vache et le passage de la dernière... et
dépend de la longueur du : "peloton" (il est impossible qu' il ait
duré : "plusieurs minutes", le non-lieu n' est pas crédible sur ce
point )
2/ Il y a une discordance dans l' ordre chronologique des faits entre
les deux versions(1) et (2), celle du mémoire(1) et celle du :
"schéma horaire"(2)... et aussi avec les extraits du non-lieu(3), qui
est entre ( ) : une recopie non paginée et avec quelques fautes... de
la grosse des minutes du Greffe de la Cour d' Appel de Dijon et non
une copie avec les sceaux de la Justice.
D' après le mémoire(1) et le non-lieu (3) : CV serait parti au village
à la recherche de Grégory, après sa rencontre avec Messieurs Meline et
Bernard Colin.
D' après le : "schéma horaire"(2)... la rencontre avec Messieurs
Meline et Bernard Colin aurait eu lieu au retour de CV, après les
recherches de Grégory au village (" le retour de CV à 17 h 33', après
les recherches de Grégory au centre du village, correspond au retour
de promenade de Mr Colin (Bernard) devant chez Meline " )
(citation :" du schéma horaire"(2).)
Le : " schéma horaire"(2) ajoute : " A partir de 17 h 33', Christine
n' est plus jamais seule à son domicile. Les Meline sont là, ensuite
les gendarmes, ensuite la famille et J-M. sont arrivés vers : 18 h 40
'" (fin de citation de (2))
Cette affirmation se heurte à trois dissonances, non élucidées, des
minutes du non-lieu :
-- Dans l' exclusion de la 12 ème charge, la Cour d' Appel de Dijon
indique que : " CV aurait pu être vue au village par les dames Ory et
Pluton à : 17 h 40', aux dires de celles-ci". (Ces deux témoignages
sont ensuite totalement ignorés, et daubés ! )
-- Après la communication téléphonique anonyme de 17 h 32' X'' , reçue
par Michel Villemin, il rechercha sa mère qui s 'était absentée de son
domicile et l' informa. " Monique Villemin, téléphona alors,
aussitôt à sa bru pour la mettre en garde. Ne réussissant pas à la
joindre, elle alerta successivement son fils J. M. , puis Gilberte
Chatel, mère de CV... et la gendarmerie de Bruyères à environ 17
h45'..."(citation du non-lieu (3))
Questions :
-- CV n ' ayant pas répondu à l' appel, était-elle à son domicile
comme le prétend le : " schéma horaire"(2) ce qu' a toujours soutenu
CV ?
-- "CV n' appela à son tour les gendarmes qu' à : 17 h
50'..."( citation du non-lieu (3)) alors qu' " elle n' était plus
jamais seule à son domicile",et toujours accompagnée des Meline",
d'après le : "schéma horaire"(2), depuis : 17 h 33' ?
-- Comment expliquer que chez elle, pouvant facilement téléphoner,
elle n' aurait pas averti, ni son époux, ni ses beaux-parents, ni sa
mère, d' abord, dès la disparition constatée par elle, de Grégory,
à : 17 h 23' ?... ni ensuite, après : 17 h 33 ', après le résultat
négatif de ses prétendues : "recherches au village" ?
3/ Le déroulement des faits présente des contradictions :
-- D'après le mémoire en faveur du non-lieu(1) : " après avoir
interrogé Madame Claudon et recherché une dernière fois Grégory chez
elle... Madame CV sortit sa voiture et ce, alors que les vaches
défilaient, et descendit par la voie rapide... vers les HLM."(fin
citation de (1))
-- D' après :" le schéma horaire "(2) , CV partirait faire les
recherches au village à : 17 h 23', après être sortie à : 17 h 17',
après avoir laissé Mme Claudon bloquer l' entrée de son domicile à :
17 h 18', et avoir attendu : 4 minutes (soit au total : 5 minutes)
que l' entrée de son domicile soit débloquée à 17h 23'... donc que les
36 vaches... et Madame Claudon soient passées devant sa demeure. (et
donc : ne "défilaient" plus ? )
-- D'après le mémoire(1) en faveur du non-lieu : CV serait partie
après sa rencontre avec Messieurs Bernard Colin et Meline ( ainsi
après : 17 h 28 ' 08 '', plus le temps de descendre de la ferme des
Meline, de démarrer sa voiture et de sortir.
-- Suivant : " le schéma horaire"(2) : La nourrice Mme Jacquot et Mme
Parisot déclaraient qu' entre le départ de CV des HLM, avec
Grégory,vers : 17 h 00', et son retour à : " la recherche de Grégory",
" il y aurait eu moins de 20 minutes"(2), ce qui est contredit par le
mémoire(1) et par : "le schéma horaire"(2).
Horaire d'arrivée aux HLM d'après le mémoire(1) :17 h 31' 05 ". (17 h
28' 08" (départ de CV au plus tôt, après sa rencontre avec Messieurs
Bernard Colin et Meline), plus 2 minutes 57 secondes (chrono SRPJ
pour aller du domicile aux HLM : soit : 17 h 31' 05" ) soit plus de
20 minutes !
Il faut constater dans le cas évoqué par le mémoire(1) : si CV est aux
HLM à : 17 h 31' 05 ", il ne lui reste plus, qu' une minute et
36secondes ( 17 h 32' 41 " moins 17 h 31' 05"), pour questionner la
nourrice, pour aller chez Madame Parisse, près de la gare de
Lépanges, l' interroger et remonter jusqu' à la ferme des Claudon, et
y être bloquée de : "plusieurs minutes" à : "quelques
secondes" (selon les diverses versions) par le troupeau, avant
l'entrée du car à la ferme à : 17 h 32' 41", ce qui est
matériellement impossible.
Le chronométrage SRPJ D1037 donné par le : "schéma horaire"(2), pour
ce trajet est de : 3 ' 30 " ( 13", plus 1' 15", plus 12", plus 1'
50" = 3' 30 ")
Horaire d'arrivée aux HLM d' après le : " schéma horaire"(2) : 17 h
25' 57" (17 h 23' plus 2 ' 57" =17 h 25' 57"), soit aussi, au delà
des : "moins de 20 minutes", indiquées(2) par Mmes Jacquot et Parisot.
3/ Les descriptions du déplacement de Madame Claudon et de son
troupeau de 36 vaches, recèlent des anomalies et des contradictions.
Ainsi d' après le : "schéma horaire"(2), les 100 premiers mètres du
troupeau de vaches, entre la pâture et le domicile de
Grégory,auraient été parcourus en 4 minutes (départ de la pâture,
à : 17 h 19' et entrée déloquée à : 17 h 23'). D 'où il résulte que
pour faire les quelques 600 m. suivants, le troupeau n' aurait mis,
pour arriver à la ferme : que 9 minutes 41 secondes ( 17 h 32' 41"
moins 17 h 23' = 9' 41") et au total : 13' 41" (4' plus 9' 41")
Le chronométrage total pour le parcours des vaches de la pâture à la
ferme donné par le : "schéma horaire"(2) est de : 12' 30". En toute
rigueur mathématique si le troupeau était effectivement parti à : 17
h19' de la pâture, il serait arrivé à la ferme à : 17 h 31' 30" (17 h
19' plus 12' 30") et le car scolaire n' aurait pas pu être bloqué à :
17 h32' 41 ", par le troupeau des vaches et serait entré se garer,
directement à la ferme
D' après le mémoire(1) en faveur du non-lieu, si CV est partie au
village à plus de : 17 h 28' 08"... alors que : "les vaches
défilaient ", le troupeau, dont le départ de la pâture était situé
d'après ce même mémoire à : 17 h 20', les vaches auraient mis plus
de : 8 minutes 08 secondes, pour accomplir moins des 100 premiers
mètres. Il en résulte que pour arriver à la ferme à : 17 h 32' 41" ,
le troupeau aurait effectué les quelques 600 m suivants, en : 4
minutes 33 secondes ? (17 h 32' 41" moins 17 h 28' 08"= 4' 33")...
Calculez la vitesse !
4/ Le non-lieu(3), le mémoire(1) en faveur du non-lieu, le : "schéma
horaire"(2), insistent pesamment sur le fait que Madame Claudon était
en retard ce jour là, sans en donner aucune explication.
Or, il est inhabituel que les agriculteurs dérogent au cycle horaire
de leurs bêtes, car ils savent que tout décalage, les perturbe
énormément.
D' après le non-lieu (3) : " Monsieur Claude Colin se serait arrêté
vers : 16 h 30' au domicile des époux Claudon pour y boire le
café"... et le mémoire(1) nous indique que : " Madame Claudon rentrait
de son champ de carottes à : 17 h 15' (heure contrôlée sur sa
montre,alors qu' elle était particulièrement en retard ce jour
là)..." (citation du mémoire(1))
Questions :
-- Que faisait à ce moment précis, Monsieur Claude Colin, (qui
était, nous dit le non-lieu : " selon la rumeur publique l' amant de
Marcelle Claudon") , buvait-il seul son café
à : 17 h 15' ?
-- Où était l 'époux de Mme Claudon, que tous les témoins ont vu
avec sa Méhari, alors que ce serait paraît-il ? Monsieur Claude
Colin, qui aurait bloqué la route du bas le : 16 octobre 1984 avec sa
VW Golf blanche ?" Alors qu' il a fallu 7 ans d' instruction pour l'
apprendre ! "
Il est probable du fait des écarts importants de vitesse, non
expliqués du troupeau dans son parcours entre les 100 premiers mètres
et les quelques 600 mètres suivants, que son chronométrage total de :
12 minutes 30 secondes, ait été nettement sous évalué, notamment en
raison de l' obligation de bloquer plusieurs croisements entre le
domicile de Grégory et la ferme Claudon, afin d' empêcher les bêtes de
se disperser.
Les horaires exacts de départ de la pâture de l' agricultrice et de la
sortie de CV de son domicile constituent les moments clés, essentiels
de l' énigme. L' importance de leur précision est capitale, pour sa
solution. Ils détermineraient si Monsieur Claude Colin aurait pu
croiser, ou non, sur le chemin de la Bure... la voiture de Bernard
Laroche, qui serait parti lui du CES d' après le :" schéma
horaire"(2), de Bruyères à : 17 h 05', et parallèlement, et au
premier abord, si CV avait matériellement le temps de commettre le
crime litigieux.
Le fait, qu' ils divergent énormément compte tenu de la fenêtre très
étroite du créneau, pendant lequel a pu se dérouler le crime, et cela,
dans les propres versions données par le site dit de référence,
"gregoryvillemin. free", est un fait troublant à l' encontre des
indications, qu' il donne aux internautes, invités à comprendre.
Pourquoi le site dit :" de référence : grégoryvillemin. free, dans sa
première version", brusquement suspendue en novembre 2009, et son :
"schéma horaire"(2) contredit-il les conclusions du mémoire(1) en
faveur du non-lieu, de l' avocate de CV, Me Chastant-Morand ?
L' explication en est donnée par le site dit de référence :
"grégoryvillemin. free", dans sa première version, et son : "schéma
horaire"(2) :
" Le créneau horaire de Christine est égale ou inférieur à 15 minutes.
Impossible d' avoir le temps de tuer son propre enfant. Les hypothèses
sur Christine (jeter l' enfant à l' eau), sont du : "point privilégié"
du SRPJ, c' est mathématiquement impossible. Si l' on prend comme
hypothèse du centre de Docelles : "local des pompiers", qui semble le
plus vraisemblable aux résultats des constatations, il faut rajouter 5
minutes aux 17 h 22'. C' est encore moins réalisable" (Fin de citation
du :" schéma horaire"(2))
Le chronométrage total par le SRPJ sous la référence D784 du 13 juin
1985 du temps nécessaire à CV pour commettre toutes les opérations
menant à la conclusion du crime, en partant de son atelier M.C.V. à :
16 h 52', est de : 29 minutes et 57 secondes, tel que le confirme le
non-lieu(3) dans son annulation de la 12 ème charge, en validant le
fait que le crime était réalisable pendant cette durée, sous certaines
conditions évoquées, dont celle d' ajouter : 10 minutes au moins pour
les : "recherches au village" .
Le chronométrage total par le Juge Simon sous la référence SI/ D578 du
25/07/1988, du temps nécessaire à CV pour commettre toutes les
opérations menant à la conclusion du crime, est de : 18 minutes 07",
mais il faut le noter : il est fait à partir du domicile de Grégory, à
proximité duquel aurait été vu l' enfant vivant, pour la dernière
fois.
Afin d' établir une comparaison dans des conditions similaires, des
deux chronométrages qui ne débutent pas du même point de départ, on
peut ajouter au chronométrage du Juge Simon, le temps qui s' est
écoulé entre la sortie de l' atelier M.C.V. et l' arrivée de CV à son
domicile, détaillé par le SRPJ, soit : 12' 46".
En partant de la M.C.V. à : 16 h 52', on a donc pour le chronométrage
du SRPJ : 29 minutes 57 secondes, et pour celui du juge Simon :
30minutes 53 secondes.
En partant du domicile de Grégory : le chronométrage du SRPJ donne :
17 minutes 11 secondes, et celui du juge Simon : 18 minutes
07secondes ? La différence des chronométrages est inversée dans les
chronos du temps de neutralisation : 3 minutes pour le Juge Simon... 4
minutes pour le SRPJ.
Le : "schéma horaire "(2) indique à : 17 h 22' : " Retour Christine à
son domicile estimé avec chrono du SRPJ et chrono du juge Simon" (fin
de citation) , après avoir ramené
l' heure de sortie de CV de son domicile... à : 17 h 17', (alors qu'
elle est de : 17 h 23' dans le mémoire(1) de l 'avocate, en faveur du
non-lieu ), il conclut :
" Le créneau horaire de Christine est égale ou inférieur à 15 minutes.
"Impossible d'avoir le temps de tuer son propre enfant. Les hypothèses
sur Christine (jeter l 'enfant à l' eau), sont du : "point privilégié"
du SRPJ, c' est mathématiquement impossible".
"Si l' on prend comme hypothèse du centre de Docelles : "local des
pompiers" qui semble le plus vraisemblable aux résultats des
constatations, il faut rajouter 5 minutes aux 17 h 22'. C' est encore
moins réalisable" (Fin de citation de (2))
Par contre, si l 'horaire de sortie de CV est de : 17 h 23' (tel que
l' affirme le mémoire(1), de Me Chastant-Morand, en faveur du non-lieu
et la lecture de l' heure de son horloge du chauffage qui avancerait
de 7 à 8 minutes, et qui indiquerait : 17 h 30' ?) le crime serait
arithmétiquement réalisable, car le retour de CV se situerait à : 17h
21' 57" pour le SRPJ (16 h 52' + 29' 57") ... et à : 17 h 22'
53", pour le juge Simon (16 h 52' + 30' 53'')
On réalise ainsi pourquoi le : "schéma horaire"(2), du site dit : " de
référence : grégoryvillemin. free, dans sa première mouture",
brusquement suspendu en novembre 2009, manipulait et modifiait, les
conclusions du mémoire(1) en faveur du non-lieu de l' avocate de
CV : pour tenter d' en pallier et d' en masquer les incompatibilités
mathématiques.
Compte-tenu des incohérences constatées entre les horaires fournis par
le mémoire(1) en faveur du non-lieu, le : "schéma horaire"(2)... du
site dit de référence : gregoryvillemin. free, première version, et
la totale imprécision dans la description des faits, du non-
lieu(3),qui situe la sortie de CV de son domicile : "entre 17 h 15' et
17 h 30' ", on ne peut tirer brutalement des chronométrages, une
seule conclusion péremptoire, qui est arithmétique :
CV étant sortie de son atelier à : 16 h 52', la communication
téléphonique annonçant la mort de Grégory ayant été donnée à : 17 h
32' X" : CV aurait disposé de : 40 minutes 41 secondes, pour
perpétrer un crime dont la réalisation totale aurait nécessité : 29
minutes 57 secondes d' après le SRPJ, et 30 minutes 53 secondes,
d'après le juge Simon. Il lui resterait alors un temps de : 10
minutes 44 secondes (SRPJ) ou de 9 minutes 48 secondes (Juge Simon),
pour donner deux communications téléphoniques, anonymes : une à ses
beaux-parents et une à Michel Villemin, et apparaître à la vue de
certains témoins.
*
Quelles sont les possibilités qu' avait BL de commettre le crime en
fonction des témoignages recueillis :
1/ Celui de Murielle, sa jeune belle-soeur de 15 ans. (Sébastien le
fils âgé de 4 ans de BL, ne peut pas témoigner... faut-il le
préciser ?)
2/ Celui Claude Colin, démenti par sa passagère Madame Claudon
3/ Ceux des élèves du CES de Bruyères ?
Le site dit de référence : "gregoryvillemin. free. fr", première
mouture", diffusé sur le NET, jusqu' en novembre 2009, dans son
paragraphe : "Schéma horaire sur BL", indiquait :
17 h 00' : Sortie de Murielle du CES de Bruyères
17 h 05' : Départ du parking CES vers domicile Villemin - Chrono : 8
minutes.
17 h 13' : Arrivé(e) domicile de Grégory - Enlèvement de Grégory -
Chrono : 3 minutes.
17 h 16' : Croisement avec la golf blanche de Claude Colin ( à 200 m
du domicile Grégory)
17h 17' : Christine sort à l'extérieur, recherche Gregory - Monsieur
Meline balaye la route au croisement.
17 h 19 ' : Poste de Lépanges, parking gare, dépôt lettre à pieds
(chrono : 3 minutes) - Départ Docelles
17 h 27' : Arrivé(e) au local des pompiers Docelles - Chrono : 8
minutes.(2)
17 h 32' / 17 h 33' : Appel (1) anonyme pour Michel Villemin -
chrono : 2 minutes."
Constatations :
(1) Appel est écrit au singulier, alors que le non-lieu(3) impute :
trois communications téléphoniques, à l' assassin de l'enfant en
désignant BL, d' une façon sinon incertaine pour le moins sibylline
(il n' aurait pu être que : "le kidnappeur" ? ) :
- Une communication aux grands-parents de Grégory, qui sont absents
de leur domicile : " ... ça ne répond pas à côté... etc."
- Une communication à l' oncle Michel de Grégory : " Je te téléphone
car cela ne répond pas à côté. Je me suis vengé du chef et j'ai
kidnappé son fils. Je l' ai étranglé et je l' ai jeté dans la
Vologne. Sa mère est en train de le rechercher, mais elle ne le
trouvera pas. Ma vengeance est faite " (Fin de citation du non-
lieu(3))
- Une communication à la mère de l'enfant : Pour tenter d' expliquer
comment " le corbeau" lorsqu' il téléphone, pouvait savoir que la mère
recherchait son enfant à : 17 h 32'.(" sa mère est en train de le
rechercher, mais elle ne le (Grégory) trouvera pas " )
Dans l'exclusion des 10/11 èmes charges, le non-lieu(3) de la Cour d'
Appel de Dijon écrit :
" [... ] en effet rien ne prouve que le corbeau n' ait pas téléphoné
à CV. S' il n'a obtenu aucune réponse , il a pu en déduire qu' elle
cherchait son fils, prévision conforme à la réalité " (fin de
citation)
(2) Le schéma horaire du site dit de référence :
"gregoryvillemin.free. fr, première mouture", dans son paragraphe :
"Schéma horaire sur BL", n'indiquait rien...(aucune action) entre :
17 h 27 ' et : 17 h 32'.
On peut supposer que ce site utilisait le chronométrage du juge Simon
référencé : "SI/ D578 du 25/07/1988, chrono sur CV, dans son
hypothèse : 5 , et que ce sont les 5 minutes que comptabilise son
commentaire, écrit de couleur rouge ainsi rédigé :
" Le temps estimé pour neutraliser l'enfant, le ligoter, et le jeter à
l' eau a été de CINQ MINUTES, pour tenir compte des difficultés
qu'aurait rencontrées l' auteur des faits, pour se dissimuler à la vue
des occupants des nombreuses maisons entourant les lieux où, dans
cette hypothèse, l' enfant aurait été jeté dans la Vologne. "
(Fin de citation)
Le signalement de cette "hypothèse", par le site dit de référence :
"gregoryvillemin.free, dans sa première mouture", qui conduirait CV :
" à mettre à l' eau", Grégory dans le centre de Docelles, près du
local des pompiers, est curieuse, car il n' existait aucune charge,
aucun indice grave troublant et concordant contre CV pour qu' elle le
fît en cet endroit précis.
Ce secteur près du local des pompiers au bord du Barba, n' a d'
ailleurs été considéré comme lieu possible de la mise à l' eau de
Grégory, par les premiers enquêteurs qui étaient
ceux de la Gendarmerie, qu' après la découverte du carton avec un
flacon vide ayant contenu de l' insuline, une seringue, du coton,
près du monument aux morts de Docelles, à quelques centaines de mètres
du lieu, d' immersion supposé après.
Les recherches ADN sur le contenu de ce carton, effectuées par
BIOMNIS, en 2009/2010, n' ont donné aucun résultat, d' après le
Procureur de la Cour d' Accusation de Dijon.
Les éléments troublants et concordants établis contre CV, pour : "la
mise à l' eau" de Grégory, reprochés par la Cour de Nancy, situaient
celle-ci, au lieu dit : " point privilégié " près d' un passage à
niveau, en amont de Docelles (voir exclusions 2, 3 et 4 èmes charges)
La Cour d' Appel de Dijon indique pour exclure les 2, 3 et 4 èmes
charges, avec l' hypothèse que Grégory ait pu être mis à l' eau au :
" point privilégié" :
" Ces constatations se heurtent à la même objection que la charge
numéro 2, puisqu' il est très douteux que Grégory V ait pu être jeté
dans la Vologne en amont de Docelles" (fin de citation)
Par la suite, la Cour d' Appel de Dijon se contredit radicalement,
dans son non-lieu, en évoquant le témoignage peu spontané (3 ans plus
tard... d' un certain Monsieur Jean Descy... et en le validant ) :
"Un petit chemin appelé chemin du Tachet, [...] permettait d' accéder
depuis la départementale 44 au bord de la Vologne à Docelles, en amont
de l 'ancien pont Baylet, sans risque d' être vu , information dont
une enquête démontra l' exactitude" (Fin de citation)
Conclusion : Il y avait donc bien d' autres possibilités d' immerger
le corps du petit Grégory, ailleurs qu' en amont du centre urbain de
la localité de Docelles.(CQFD !)
Le site dit de référence : "gregoryvillemin.free, dans sa première
mouture", n' évalue pas le temps qu' aurait mis BL pour emmener
Grégory à pieds, d' une place inconnue, (Murielle n' en aurait
reconnue aucune ? ), jusqu' au bord de l' eau. Il comptabilise
bien la durée de neutralisation et de mise à l' eau de l' enfant (5
minutes, entre : 17 h 27 ' et : 17 h 32 ', en évitant de citer les
faits) mais il ne décompte pas le temps mis par BL, pour aller
ensuite à pieds, jusqu' à une cabine téléphonique, pour donner trois
communications téléphoniques, dont le non-lieu(3), nous précise que
la dernière, celle adressée à Michel Villemin, a eu lieu à 17 h 32 '
X '' ( contrôlographe du car, et chronométrage d' un film diffusé sur
FR3, regardé en ce moment là, par l' oncle Michel Villemin).
Le temps occulté par le site dit de référence :
"gregoryvillemin.free, dans sa première mouture", peut être évalué à
une dizaine de minutes : 1 minute pour permettre à BL accompagné de
Grégory, d' aller de la place où a été garé le véhicule de BL,jusqu
' au bord de l' eau, deux minutes pour se rendre du bord de l'eau, à
une cabine téléphonique, et 3 fois deux minutes pour donner les trois
communications téléphoniques. ( Chrono indiqué d' un appel = 2
minutes)
D'après les données fournies par le non-lieu(3), et elles seules, par
celles du site dit :" de référence gregoryvillemin.free ", et elles
seules, en absence d' informations méconnues , qui n' apparaissent
dans aucun document et nulle part : on peut affirmer que : Bernard
Laroche ne pouvait pas matériellement avoir donné la communication
anonyme attribuée à l' auteur du crime à : 17 h 32' X '', et qu' il
n' aurait pas disposé arithmétiquement du temps suffisant pour
réaliser, séquence après séquence, toutes les opérations qui lui sont
reprochées pour la réalisation totale du crime litigieux.
Pour éluder la 12 ème charge contre CV, le non-lieu(3) écrit :
(*) :"A titre liminaire, il convient d'observer que le fait pour
l'inculpée d'avoir matériellement le temps de commettre le crime
litigieux ne constitue pas en soi : une charge de culpabilité " (fin
de citation)
Il faut retenir cette phrase, car son argumentaire est d' une logique
non contestable.
Suit une explication, où il est dit en substance : que la possibilité
de commettre le crime dans le minutage indiqué, si elle rendait la
réalisation du crime matériellement possible, elle supposait aussi un
enchaînement très rapide, sans le moindre incident perturbateur, sans
la plus légère hésitation... etc.
Cette affirmation personne ne peut la vérifier, en tout cas pas ceux
qui ne possèdent pas les dépositions, mais ce qui peut être dit sans
ambiguïté : c'est qu' elle est valable et s' applique aux deux seuls
suspects, que la Justice n' ait jamais trouvé depuis 1984.
Les enquêteurs, la Justice, ne laissent qu' une alternative : c'est
Bernard Laroche, qui a commis le crime ? ou c' est CV ?
On peut ajouter un argument aussi incontestable que (*): " il convient
d' observer que le fait pour un des suspects de n' avoir pas eu
matériellement le temps de commettre toutes les opérations minutées,
conduisant à la réalisation du crime, constitue pour lui : une preuve
matérielle de sa non-culpabilité."
Anomalies constatées sur le site dit de référence : "gregoryvillemin.
free. fr, première mouture", diffusé sur le NET,jusqu' en novembre
2009, dans son paragraphe : "Schéma horaire sur BL" :
Le "schéma horaire reproché à BL", suppose un enchaînement très
rapide, voire impossible. Ainsi pour arriver du CES de Bruyères au
carrefour fourche: rue de Bellevue / Faing Vairel, à Lépanges
(soit à environ 200 m du domicile de Grégory) à : 17h 13 minutes, BL
n' aurait disposé que de 8 minutes en partant du parking du CES de
Bruyères à :
17 h 05'.
Or le non-lieu(3) écrit : " que le magistrat instructeur, au cours d'
un transport sur les lieux, s' est attaché à vérifier la crédibilité
des témoignages de Claude Richard et de Sonia Pierson :
"Il (le magistrat instructeur) a parcouru le chemin, en automobile,
le trajet qu' auraient pu parcourir Laroche et Murielle Bolle depuis
ce même parc, jusqu' à l' avenue Maréchal de Lattre, en direction de
Lépanges et il a chronométré ce parcours : le temps est de 4 minutes
56 secondes" ...(Fin de citation)
Donc : 4 minutes 56 secondes... pour faire environ 400 mètres... Il
ne resterait ainsi plus que : 3 minutes 04 secondes à BL, pour
faire les 6 à 7 km, jusqu' au carrefour situé à 200 mètres de la
demeure des Villemin à Lépanges. Calculez la vitesse !
Le site dit de référence : "gregoryvillemin.free, dans sa première
mouture", indiquait que :
"Peu après 17 heures, le voisin des Villemin, Monsieur Meline à une
centaine de mètres, lave son tracteur moteur tournant. De l' endroit
où il se trouve il ne peut entendre un véhicule, ni voir l' entrée des
Villemin à cause de deux gros tas de terre. Ensuite il ira balayer la
route au croisement " (fin de citation)... ( à 17 h 17 ')
D' après le schéma horaire : "l' enlèvement " de Grégory aurait eu
lieu entre : 17 h 13' et 17 h 16' et Monsieur Meline, pourtant à l'
extérieur et à proximité immédiate, n' aurait rien vu du rapt de l'
enfant et non entendu la voiture de BL, qui devait pourtant délivrer
de nombreux décibels, pour monter une : " grande côte " ?
Est-il très rationnel et habituel de laver un tracteur : moteur
tournant , car on suppose que cette indication : "non homologuée" par
le non-lieu(3), n' a pas été donnée à titre gratuit ?
*
Peut-on admettre logiquement que les Magistrats de la Cour d' Appel de
Dijon soient les plus crédibles, pour poursuivre une instruction,
dont ils ont produit depuis longtemps : un verdict inique vicié de
Droit ?
Constatations : Le Juge Lambert et la Cour de Nancy ont fait des
erreurs indéniables, c' est une certitude absolue et même un : " doux
euphémisme". mais il ne peut pas leur être reproché d' avoir manquer
à l' honnêteté, à l' inverse il est aussi incontestable que les
Magistrats de la Cour d' Appel de Dijon ont manipulé les faits et ont
violé la Loi.
Les policiers et le Commissaire Corazzi ont peut-être aussi et c' est
probable, fait quelques entorses critiquables et condamnables dans
leur enquête, mais il faut tout de même remarquer que ce sont les
gendarmes, premiers enquêteurs, qui ont été poursuivis en Justice par
une plainte des familles Bolle et Laroche, pour subordination de
témoins... entre autres délits pénaux.
Les Magistrats de Dijon ont distribué des : " non-lieu " pour le
moins complaisants, en violant la Loi, en instruisant sur un prévenu
assassiné, ( qui ne peut plus répondre des délits, qui lui sont
reprochés, ce qui est contraire à un principe fondamental de la
Justice ), en falsifiant délibérément les faits, en falsifiant
volontairement les témoignages, ceci à la convenance de leur jugement,
d' où les incroyables contradictions et erreurs, que recèlent cette
décision, qui n' est pas celle d' une jugement de Justice par un jury
populaire, mais ressemble plutôt à celles(*) de nos Procureurs de la
République, particulièrement bien dressés aux ordres des Garde-des-
Sceaux... quelle que soit la couleur politique arborée par nos
gouvernants
Exemple : celles (*) depuis qu' il a reçu la Légion d' Honneur du
Juge dit :" incorruptible" ... Courroye... et qui a reçu une belle
promotion de Procureur de la République de l' un des Parquets, parmi
les plus importants de France à Nantère, et aussi où les affaires le
plus sulfureuses de l' État sont traitées... Notamment celles de la
ville de Neuilly-sur-Seine: havre de tous les nantis : rubis sur
ongle, de la Métropole.
La rédaction du paragraphe : " faits et procédure" du non-lieu(3) de
1993, est édifiante sur leur complicité à l' égard de l' inculpée et
les accable :
Voici son texte :
" Entre 17 h 15' et 17 h 30', Christine Villemin qui selon ses dires,
avait laissé l' enfant jouer sur un tas de sable devant la maison
après l'avoir coiffé d'un bonnet de laine, tandis qu'elle-même
repassait du linge dans une pièce située à l'arrière de son logement,
sortit pour le surveiller, mais ne le vît pas. Après l'avoir appelé et
cherché en vain, elle interpella Madame Marcelle Drouot épouse
Claudon, qui venant d'une pâture située un peu en dessous (1) de la
demeure des époux Villemin, regagnait sa ferme sise à quelques
centaines de mètres de distance (2) en conduisant un troupeau de 36
vaches, puis son voisin Gilbert Meline, occupé à balayer ces (ou
des ?) gravillons au bord de la route et leur demanda s' ils avaient
aperçu Grégory.
Madame Claudon et Monsieur Meline répondirent par la négative et ce
dernier chargea un promeneur de passage Monsieur Bernard Colin
d'interroger sa femme (2) qui cousait dans son logement tout proche.
Celle-ci n'ayant rien vu , la mère repartit au volant de sa voiture
aux HLM Gais Champs et chez les parents d' Aurélien Parisse, près de
La Poste de Lépanges... [...] Cette recherche effectuée à vive allure,
étant restée vaine , Christine Villemin regagna son domicile en
empruntant la rue des Bosquets.
Arrivée devant la ferme des Claudon, elle fut immobilisée quelques
minutes par leur troupeau de vaches qui barrait la chaussée. A cet
instant survenait un autobus de ramassage scolaire (4), conduit par
Christian Claudon, fils des exploitants agricoles." (fin de citation)
Précisions complémentaires :
(1) D'après le plan Google du site dit de référence :
"gregoryvillemin. free. fr", diffusé sur INTERNET, jusqu' en novembre
2009, il y a moins de 100 mètres entre la pâture et la demeure.
(2) D'après le plan Google du site dit de référence :
"gregoryvillemin. free. fr", diffusé sur INTERNET, jusqu' en novembre
2009, il y a environ 700 mètres entre la pâture et la ferme.
(3) Le site dit de référence : "gregoryvillemin. free. fr, première
mouture", diffusé sur INTERNET, jusqu' en novembre 2009, dans son
paragraphe : "Schéma horaire de CV"(2), indiquait que le 16 octobre
1984, à :17 heures 33 minutes :
" (CV) est de retour chez elle. Christine revoit Mr Meline qui
demande à Monsieur Colin (Bernard) (retour de promenade) de demander à
Mme Meline, si elle n'a pas vu Grégory."
"A partir de 17 h 33 minutes, Christine n' est plus jamais seule à son
domicile. Les Meline sont là, Ensuite les gendarmes ensuite la famille
et Jean-Marie sont arrivés vers 18 heures 40 minutes " (fin de
citation)
(4) Le non-lieu(3) dans l'exclusion de la 12 ème charge, indique :
" Cet appareil (le contrôlographe du car scolaire) dont le parfait
état de fonctionnement a été démontré par les rapports d' expertise
des 11 et 15 février 1986 révèle que le 16 octobre 1984 l' autobus
était de retour à la ferme des époux Claudon à 17 heures 32 minutes 41
secondes. Or il est établi qu' à cet instant Christine Villemin, qui
revenait... [...] par la rue des Bosquets était immobilisée dans cette
voie au niveau de la ferme des époux Claudon par leur troupeau de
vaches qui barrait la chaussée." (fin de citation)
Le site dit de référence : "gregoryvillemin. free. fr", première
mouture, diffusé sur le NET, jusqu' en novembre 2009, dans son
paragraphe : "Schéma horaire(2) de CV", indiquait que le 16 octobre
1984 :
" la promenade de Mr Bernard Colin départ 17 h 02 '
- Chrono : 33 minutes SRPJ
- Chrono : 28 minutes le Juge Simon.
Le retour de Christine à 17 h 33 minutes à son domicile, après les
recherches de Grégory au centre du village correspond au retour de la
promenade de Mr Colin (Bernard) devant chez Meline." (fin de citation)
Le site dit de référence : "gregoryvillemin. free. fr", première
mouture diffusé sur INTERNET, jusqu' en novembre 2009, dans son
paragraphe : "Schéma horaire(2) de CV", indiquait :
Deux chronométrages faits par le SRPJ, (D 1037 et D 1038) permettant
d'évaluer le temps mis par la mère de Grégory : " à la recherche de
Grégory chez sa nourrice et centre du village"
Le premier chronométrage (D 1037) donnait un résultat de : 8 minutes
26 secondes avec le commentaire du site de couleur rouge : " temps d'
arrêt très rapides"
Le second chronométrage (D1038) donnait un résultat de : 8 minutes 27
secondes avec le commentaire du site de couleur rouge : " hypothèse
plus réelle : 9 minutes"
Le non-lieu(3) lui écrit dans l'exclusion de la 12 ème charge :
"[...] compte tenu de la durée des recherches de son fils qu' elle
avait entreprises... [...] et qui avaient certainement duré plus de
10 minutes, il apparaît impossible qu' elle (CV)ait disposé du temps
nécessaire pour commettre le crime qui lui est imputé" (fin de
citation)
Conclusion de l'arithmétique des précédentes données fournies par le
site dit de référence gregoryvillemin.free dans sa première mouture :
Monsieur Bernard Colin qui a été le dernier témoin à avoir vu Grégory
vivant, ayant fait une promenade qui a débuté à : 17 heures 02
minutes, ayant duré d' après le chronométrage SRPJ : 32 minutes et
d'après celui du Juge Simon : 28 minutes : Monsieur Bernard Colin
ne pouvait être à la hauteur de la ferme de Monsieur Meline qu ' à :
17 h 34 minutes pour le SRPJ... et : 17 h 30 minutes pour le juge
Simon, si comme l' écrit le non-lieu(3) à ce moment là, CV : "part à
la recherche de Grégory au village", elle ne pouvait être de retour
devant la ferme de Madame Claudon, d' après les chronométrages SRPJ
( 8 minutes 26 secondes ou 27 secondes), et indication du juge Simon
(plus de 10 minutes) qu' à : 17 h 40 minutes X " : ( 17 h 42'
26'' / 27'', moins 1 minute 19 secondes temps chronométré pour faire
la distance entre la ferme et son domicile... et ouvrir sa porte) et
d'après le juge Simon : à : 17 h 38 minutes X'' . ( 17 h 30', plus :
"plus de 10 minutes", moins 1 minute 19 secondes )
Ainsi : il est démontré que le car scolaire dont le chronographe
indiquait : 17 h 32 minutes 41 secondes, ne peut pas être derrière la
Renault 5 de CV, et il ne peut pas être établi qu' à cet instant
précis : CV, qui revenait... [...] par la rue des Bosquets était
immobilisée dans cette voie au niveau de la ferme des époux Claudon
par leur troupeau de vaches qui barrait la chaussée, puisque d' après
les calculs du Juge Simon, elle ne serait arrivée à la hauteur de la
ferme que plus tard, au minimum à : 17 h 38 minutes et d' après les
chronométrages du SRPJ, au minimum qu' à : 17 h 40 minutes !
Une question reste à élucider :
1/ Pourquoi la mère de l'enfant serait- elle rentrée (si elle est
rentrée ?) par la rue des Bosquets, qui n' est pas la voie, ni la plus
courte, ni la plus directe, pour revenir à partir du village, à son
domicile, sans doute très pressée, après : "ses recherches au
village... effectuées à vive allure"
(Dixit le non-lieu(3))...
2/ Alors qu' elle savait qu' elle allait y être bloquée par le
troupeau, après avoir, avant son départ, comme le précise le non-
lieu(3) : " CV a interpellé Madame Marcelle Drouot épouse Claudon,
qui venant d'une pâture située un peu en dessous de sa demeure...
[...] qui regagnait sa ferme, en conduisant un troupeau de 36
vaches" ?
Constatations :
Sur le point essentiel qui résoudrait " l' énigme", en permettant de
savoir si oui ou non, d'après le témoignage de Murielle B., Bernard
Laroche aurait eu le temps matériel d' arriver de Bruyères, d'
enlever Grégory, puis ensuite avoir le temps disponible d' aller à La
Poste, de se rendre au centre de Docelles, de neutraliser l' enfant,
puis de donner les trois communications téléphoniques que lui attribue
le non-lieu(3), (forcément à partir d' un lieu public et d'une cabine
téléphonique) ... c'est à dire l ' heure où la mère sort de son
habitation, nous avons trois indications qui divergent.
1/ Celle du non-lieu(3) qui écrit : " entre 17h 15 minutes et 17h 30
minutes, la mère de l' enfant...etc.".
On peut noter la totale imprécision, "qui fait un peu désordre", quand
par ailleurs dans les mêmes minutes la Cour de Dijon affirme, qu' en
un lieu très précis : "l' entrée de la ferme", une convergence
simultanée a eu lieu, qui est à probabilité mathématique nulle, de
quatre éléments essentiels :
- 1.1 / Le retour de la mère, rue des Bosquets après : "ses
recherches au village"
- 1.2 / L' arrivée à la ferme, de l' agricultrice et de son troupeau
de 36 vaches
- 1.3 / L' appel téléphonique anonyme annonçant le crime, reçu par
l' oncle Michel Villemin, de Grégory.
- 1.4 / L' arrivée du car scolaire du fils de l 'agricultrice , dont
le contrôlographe indique : 17 h 32' 41 ''
On relève aussi sur le site dit de référence : "gregoryvillemin.free.
fr, première mouture", dans "schéma horaire "(2) que le Juge Simon a
chronométré sous la référence SI/D578, le temps, qu' il aurait été
nécessaire à la mère de l' enfant, pour commettre toutes les
opérations menant à la réalisation du crime.
Le résultat donné est de : 18 minutes 45 secondes en partant du
domicile. Si l' on retranche les 3 minutes comptabilisées pour la
"neutralisation de l' enfant", qui pouvait être réalisée à son
domicile, (parce c' est la solution la plus simple, la plus aisée et
le lieu où CV n' avait aucun risque d' être aperçue), on s'aperçoit
que l' imprécision du non-lieu(3)
" entre : 17 h 15 ' et 17 h 30' " : est de 15 minutes... et
correspond ( à 45 secondes près) au chronométrage du Juge Simon, pour
la réalisation du crime ?
2/ Le site dit de référence : "gregoryvillemin. free. fr, première
mouture", dans "schéma horaire "(2) indique qu' à : " 17 h 17
minutes, Christine sort à l' extérieur , recherche Grégory, Mr Meline
balaye la route au croisement " (fin de citation)
3/ Le site dit de référence : "gregoryvillemin. free. fr, seconde
mouture", dans ses conclusions du mémoire(1) en faveur du non-lieu,
l' avocate des CV indique en sa page 58 :
" 3. troisième phase : Pour déterminer l' heure à laquelle elle (CV)
sortit de chez elle pour appeler son fils, Christine Villemin précisa
qu' elle avait consulté l' heure au programmateur de chauffage, qui
marquait 17 h 30 minutes (ce qui compte tenu du décalage horaire de 7
à 8 minutes pour coller à l' horaire de la M.C.V. faisait 17 heures
23 minutes ) "(Fin de citation)
Nous avons donc trois possibilités données par le site dit : " de
référence gregoryvillemin.free" : " entre : 17 h 15 et : 17 h 30
'(non- lieu(3)... : 17 h 17 '(schéma horaire(2) et :
17 h 23'..." (mémoire(1) en faveur du non-lieu)
Faites votre choix ? petit indice : par résolution arithmétique,
aucune de ces indications, ne peut être celle qui est réelle, car il
ne faut pas oublier d' analyser en même temps : le déplacement du
troupeau des 36 vaches, la durée des 100 premiers mètres... puis celle
des 600 m jusqu' à la ferme.
Sur ce point suivant les trois versions, il existe des impossibilités
matérielles et arithmétique évidentes.
On peut conclure que de la rencontre simultanée en un lieu précis
(entrée de la ferme de Madame Claudon) de 4 conjonctions à probabilité
mathématique nulle, que deux seules peuvent être admises :
-- L' arrivée du car à la ferme à 17 h 32' 41'' (en faisant
abstraction que de notoriété publique dans les années 1980, les
transporteurs se livraient à des fraudes dans l' utilisation des
contrôlographes (substitution de disque et autres...)
-- L' appel téléphonique anonyme annonçant le meurtre, reçu par Michel
Villemin à : 17 h 32' X'' , puisque c' est cette communication, qui a
déclenché toutes les recherches, en particulier par les appels
successifs de Monique Villemin d' abord à sa bru, (qu' elle n' a pas
pu joindre, alors que celle-ci indique être, à partir de 17 h 33'
avec les Meline à son domicile ?) à son fils : JMV, sur son lieu de
travail : Auto-Coussin à la Chapelle-devant-Bruyères, à la mère de CV,
puis enfin à la Gendarmerie de Bruyères à :
17 h 45'.
Ce n' est que cinq minutes plus tard à : 17 h 50', à partir de son
domicile, que CV songea enfin... à donner son unique appel
( identifié, est-il souhaitable de le préciser ? ) , depuis la
découverte de la disparition de Grégory, à : 17 h 50' à la
Gendarmerie, qui était déjà avertie.
*
1/ Analyse et évaluation du degré des difficultés de réalisation de
certaines opérations litigieuses du crime, sans avoir été aperçu par
aucun témoin au cours de celles-ci, pour ce qui concerne Bernard
Laroche :
( En particulier : "l' enlèvement", la mise de la lettre à La Poste,
la neutralisation et la mise à l' eau de Grégory ), pour ce qui
concerne, BL : (d'après les minutes de les extraits du non-lieu(3),
du : " schéma horaire"(2) et du mémoire(1) en faveur du non-lieu, en
utilisant les seules informations du site dit de référence : "
gregoryvillemin. free", (première et seconde version)
-- Difficultés pour l' enlèvement :
Le témoignage non démontré et inexpliqué, que Mme Claudon ait été
exceptionnellement en retard le 16 octobre 1984, pour ramener à la
ferme son troupeau de 36 vaches, élimine d' amblée, la possibilité
que BL aurait eu de préméditer et d' organiser l' enlèvement, en
faisant des repérages par une surveillance des lieux, les jours ayant
précédé le crime. Car si ce retard était réel, BL n' aurait pas pu le
prévoir, et lors de l' enlèvement de Grégory, il se serait trouvé
bloqué par le troupeau des vaches, regagnant la ferme à son horaire
habituel.
Le laps de temps de 3 minutes du chronométrage de l' enlèvement,(donné
par le : "schéma horaire"(2) rend impossible que BL ait pu attendre un
seul instant, que Grégory sorte de la maison pour le kidnapper, et il
est inexplicable,( sauf complicité éventuelle de la mère, qui n' est
pas à exclure ? ) que BL au cas où il aurait pu arriver à 17 h 13',au
carrefour Faing Vairel, rue des Champs, ait pu savoir que l' enfant
se serait trouvé jouant devant son domicile, alors qu' aucun témoin ne
l' a jamais plus vu vivant après : 17 h 02'. Même pas Monsieur
Bernard Colin (le promeneur et son chien) qui serait passé devant la
maison, peu après 17 h 03'.
L 'enfant qui paraît-il (?), aimait caresser le chien, n 'est pas venu
à sa rencontre, bien que Grégory l' ait vu 300 m. auparavant et lui
aurait fait signe ? On sait que les enfants ce cet âge là, adorent les
bêtes... et même parfois un peu trop.
Avec les volets clos et les portes fermées, dans la maison de
Grégory, ses habitants semblaient absents, dans de telles conditions,
il est peu probable que le ravisseur éventuel, en ait fait le tour,
pour découvrir l' enfant, si celui-ci jouait à l' arrière, dans :
"une excavation de : 50 à 60 cm de profondeur, près d'un tas
d'agglomérés."
Il est aussi invraisemblable que ni la mère, ni le voisin Monsieur
Meline qui à l' extérieur : " lavait son tracteur moteur tournant...
puis alla balayer les graviers" n' aient rien vu, ni rien entendu
lors de l' enlèvement :
Il est vrai que la mère ne pouvait pas voir, ni son enfant, ni le
ravisseur à travers les volets clos de sa maison, et qu ' entendant...
sans l' écouter à la TSF :" une émission banale et sans grand
intérêt", (dixit le non-lieu(3)), elle n' aurait pas pu entendre les
cris, ouïr les quelques mots qu' auraient pu échanger : Grégory et
BL allias : "Popof"
Monsieur Méline, à l 'extérieur à moins de 60 m. ne pouvait pas voir
l' entrée du domicile de Grégory, à cause nous dit le site :
gregoryvillemin.free : "d' un tas de terre"... et le deuxième tas de
terre, lui bouchait peut-être la vue sur le chemin de la Bure ?
Il n' a donc pas pu voir la voiture que dit avoir croisée Monsieur
Claude Colin à 17 h 16'... Monsieur Meline ne pouvait pas entendre ni
les cris éventuels de l' enfant, ni le bruit du moteur de la voiture
du ravisseur, puisqu' : " il lavait son tracteur... avec le moteur
tournant... "(SIC : "le schéma horaire"(2))
-- Route barrée à Lépanges :
Dans Lépanges, BL aurait pris une route barrée ? Pour un crime qu' il
aurait prémédité et préparé par des repérages, si l' on admet que des
témoins l' auraient vu au village, le jour même du crime, le 16
octobre, c'est pour le moins curieux... a fortiori, parce que cette
rue barrée ne le menait pas à Docelles, par la voie la plus rapide.
-- Dépose de la lettre du 16 octobre 1984 :
Bernard Laroche ne pouvait déposer cette lettre à : 17 h 19' (tel que
le prétend le : " schéma horaire"(2)), qu' après l' heure de levée
indiquée sur la boîte de La Poste de Lépanges.
Le non-lieu(3) nous développe, pour apporter une explication
antagoniste, une théorie alambiquée sur les pratiques des P.T.T., que
ne peut pas connaître aucun usager, non averti de l' alchimie interne
de La Poste.
L' usager normalement doté de bon sens, s' arrange pour déposer une
lettre, s' il tient vraiment à ce qu' elle parte le jour-même,( c'
était le cas de l' auteur du crime !), avant l' heure de levée, qui
est inscrite sur la boîte, tout comme il se rend à la gare pour
prendre un train... avant son heure affichée de départ, c'est la
logique qui l' impose.
S' il est vrai, que le courrier n' est pas levé à heure fixe à la
seconde près, il faut tout de même qu' il le soit d'une manière assez
précise, pour qu' il soit pré-trié et oblitéré par le bureau de
poste, pour que la voiture effectuant la tournée de ramassage,
puisse le prendre, elle, à heure pratiquement fixe, afin qu' il soit
ensuite acheminé vers le destinataire.
On peut raisonnablement supposer qu' à Lépanges, les lettres déposées
dans la boîte de La Poste, n 'ont pas toutes pour destinataires, des
résidents du village... Ce doit-être même très exceptionnel, voire
suspect ?
L' argument contestable de la Cour d' Appel de Dijon, est à double
tranchant, car dans ce cas, CV aurait également pu déposer la
missive, après l' heure de la levée.
C' est sans doute pour éviter cette accusation, que le mémoire(1) en
faveur du non-lieu(3) contredit celui-ci sur ce point, en prétendant
que la lettre du 16 octobre 1984, aurait été postée à 16 h 40', (On
comprend pourquoi... : CV n' étant sortie de l' atelier M.C.V qu' à
16 h 52'... ).
Selon le témoignage d' une employée des P.T.T. de Lépanges, Mme
Didierlaurent : " ce courrier a été oblitéré entre 16 h 50' et 17
h15' "(fin de citation) et non pas à : 17 h 19'... (horaire indiqué
par le : "schéma horaire"(2), pour le dépôt de la lettre par BL)...
-- Neutralisation et mise à l'eau de Grégory au centre de Docelles
près du local des pompiers :
La neutralisation y est peu vraisemblable compte tenu du temps
nécessaire et des difficultés qu' aurait rencontrées l' auteur du
meurtre pour avoir la certitude absolue de n' être pas découvert,
(papeterie et habitations voisines), la seule mise à l' eau en ce
lieu, présenterait par sa brièveté moins de risque.
-- Appels téléphoniques anonymes à partir d' une cabine publique,
dont le dernier à 17 h 32' X'' :
En 1984, le réseau téléphonique n' ayant pas encore été complété en
France, il fallait parfois prendre la file d' attente pour pouvoir
téléphoner à partir d'une cabine publique et il était difficile d' y
procéder à de longues communications... en passant inaperçu... Fait
avéré aucun témoin n' aperçu un homme corpulent à moustache
téléphonant de Docelles.
Constatation avérée aussi : en plein jour, à une heure de sortie des
écoles et des usines, entre 17 h 05' et 17 h 33', aucun témoin n ' a
vu un individu au profil sinon inoubliable, au moins parfaitement
identifiable, au cours d' une seule des opérations litigieuses
précédemment évoquées.
Pour un suspect, que les Magistrats de Dijon qualifient : "d' homme
secret, prudent et calculateur", Bernard Laroche aurait eu, selon
ceux- ci, un comportement très paradoxal et irrégulier, le jour du
meurtre :
D' abord avoir été bien défaillant... au point de signer, nous dit-on
par ailleurs...( ce qui n' est pas banal... et constituerait une :
"gaffe" monumentale) : par un foulage, la lettre anonyme annonçant le
crime ? s' être adjoint la complicité d' une adolescente de, 15 ans,
avoir emmené son fils de 4 ans, avoir pris une rue barrée à Lépanges,
avoir choisi pour réaliser le meurtre et l' immersion, en plein
jour : le centre d' un village, etc.
Néanmoins, il faut reconnaître que pour : " le reste de sa chevauchée
romanesque ", BL aurait procédé remarquablement, et se serait
miraculeusement débrouillé, pour ne jamais avoir été aperçu, avec
une : "chance" insolite, diabolique ( car d'après le : " schéma
horaire"(2), à une minute près : Monsieur Meline, Monsieur Claude
Colin, Madame Claudon auraient assisté à l' enlèvement, à deux
minutes près : la mère aurait vu enlever son fils ? ) Incroyable ?
Non ? peut-être un peu trop ? ... enfin jugez vous-mêmes.
Quant à expliquer au cas où BL aurait noyé Grégory dans la Vologne,
pourquoi le docteur Duprez : "ne découvrit pas de corps étrangers
végétaux ou minéraux dans les bronchioles et alvéoles des poumons de
Grégory, malgré une inspection très attentive des différents lobes
faites au microscope, ?" (dixit le non-lieu(3), seuls les Magistrats
de la Cour d' Appel de Dijon peuvent le faire... Mais force est de
constater que dans le non-lieu(3), ils ont éludé cette hypothèse...
et toute explication à ce sujet.
2/ Analyse et évaluation du degré des difficultés de réalisation de
certaines opérations litigieuses du crime, sans avoir été aperçu par
aucun témoin au cours de celles-ci, pour ce qui concerne CV :
" L' enlèvement" ?, la neutralisation et la mise à l' eau de
Grégory ), pour ce qui concerne CV (d'après les minutes de l'
extrait du non-lieu(3), du : " schéma horaire"(2) et du mémoire(1) en
faveur du non-lieu, en utilisant les seules informations du site dit
de référence :" gregoryvillemin.free", (1ère et seconde version):
-- Difficulté pour l' enlèvement : Aucune, puisque CV a été vue avec
son enfant vers 17 h 00'
On peut relever que pour une mère qui savait, par des appels anonymes
que Grégory était menacé, elle se serait démontrée d' une singulière
imprudence, voire d'une négligence coupable.
Question :
Peut-on laisser jouer seul, un enfant de 4 ans dans une cour qui n'
était pas fermée, et ouverte sur une rue, le : "surveiller ", à
travers les volets clos... en écoutant la TSF, et sortir après
seulement : 15' à 30', quand on sait que des bambins de cet âge là,
laissés sans surveillance, font une sottise à peu près...toutes les
30 secondes ? (ou peut-être, si elle serait par hypothèse imaginaire :
" le corbeau", ne le savait-elle pas menacée ?)
Quant à son emploi du temps : "gros repassage"... il laisse
dubitatif, certes comme l' écrit le non-lieu(3) pour exclure la 12 ème
charge : "du linge repassé a été vu à son domicile par le gendarme
Michel Henry, par le capitaine Sesmat et par sa belle-mère... (celle
de CV), ce qui sauf mise en scène ou complicité dont il n' existe pas
le moindre commencement de preuve, tend à démontrer qu' elle n' a pas
quitté sa maison aussitôt après l' avoir rejointe à : 17 h 00'...
" (Fin de citation du non-lieu(3))
On peut poser la question : les Magistrats de la Cour d' Appel de
Dijon, par ailleurs si imaginatifs, divagueraient-ils soudain
opportunément vers la naïveté ?
Toute ménagère tient en réserve dans ses armoires des piles de linge
repassé, ("blanc" et vêtements), le mettre en évidence ne constitue
pas une : "mise en scène", ni très longue, ni très compliquée.
Il faut remarquer, que les témoins cités, auraient dû voir, non
seulement du linge repassé, mais aussi une table de repassage, un fer
à repasser... et une corbeille de linge non repassé... puisque le
mémoire en faveur du non-lieu(3) écrit : " C' est après avoir repassé
ce qu' il est usuel d' appeler : "le blanc", que commençant le linge
de Grégory, Madame CV, songea à le (Grégory) faire rentrer " (Fin de
citation)
On peut objecter que : " le gros repassage", a été interrompu au :
"blanc"... et que personne n' a vu la corbeille de linge qu' il
restait à repasser pour Grégory ( prémonition ?), que le repassage
du : "blanc" n 'est pas (8 ème charge) : " une tâche ménagère
exigeant une certaine attention", au point de ne pas pouvoir
entendre, ni suivre ce que dit la TSF... car certaines, "repasseuses",
de ma connaissance...( oui toi ! Caline ! je te vois ! ), sans doute
aussi de la vôtre ? le font aisément... en regardant en concomitance
un film... à la télévision.
-- Dépose de la lettre du 16 octobre 1984 :
CV n 'avait aucune difficulté à poster la lettre revendiquant le
crime, avant l' heure de levée inscrite sur la boîte. C' est à dire :
comme le font habituellement tous les usagers de La Poste, qui sont
béotiens de son fonctionnement interne... Elle était incontestablement
la seule à cette heure là, à pouvoir le faire, en étant sûre de
détenir Grégory.
Elle a été aperçue par plusieurs témoins le : 16 octobre 1984, avant
17 h 00' devant La Poste et pour certains : mettant une lettre dans
la boîte.
Certains témoins malgré les pressions exercées par le Juge Simon ne se
sont pas rétractés.
Selon lui, ceux qui se sont rétractés auraient confondu avec le jour
précédent : " puisqu' il est démontré que l' inculpée (CV) a posté ce
jour-là (15 octobre 1984) une lettre destinée à l' entreprise de vente
par correspondance : Le Vert-Baudet" (fin de citation).
Ce qui est remarquable est de constater que ce type d' argument :
erreur sur le jour, est itératif dans le non-lieu(3).
La Cour d' Appel de Dijon n 'apporte aucune preuve à cette allégation,
en tout cas pas : l' enveloppe oblitérée du : 15 octobre 1984, envoyée
par CV à Le Vert-Baudet... et oublie de signaler que cette lettre du
15 octobre aurait été (conditionnel de rigueur), postée après : 17 h
00', le 15 octobre, après l' avoir été rechercher chez elle !
CV, l' ayant oubliée à son domicile, avait dû l' aller chercher
après la sortie de son travail... Elle aurait donc été postée après :
17 h 00', les témoins qui se seraient trompés de jour, ne pouvaient
pas la voir, et confondre : le train qu' ils avaient pris à la gare
ce jour-là,( comme les autres jours étaient à : 16 h 58' !) donc
déjà parti, quand CV serait arrivée à La Poste le : 15 octobre 1984.
( C' est pourquoi Madame Bezzina demande avec raison... et une pique
d' ironie, à Claude, s' il ne serait pas aussi tombé dans la
Vologne ? )
Le Juge Simon indiquait :"que plusieurs témoignages qui accusaient
l' inculpée ont donc été détruits et... que le crédit qui s' attache
aux autres (ceux qui ne se sont pas rétractés) se trouvent grandement
fragilisés ( Fin de citation du non-lieu(3)... Ce raisonnement serait-
il équitable : à vous de juger ? en tout cas, il témoigne du parti
pris de ce magistrat... séduit ou : "amoureux" ?
Par contre la Cour d' Appel de Dijon, nous débusque et c' est aussi
répétitif dans son non-lieu(3)... une lettre anonyme dont : "elle n'
a pas pu établir si son contenu avait une part de réalité" (SIC)...
signée : "Corinne", dont l' auteur disait avoir 16 ans... et
prétendait entre autres accusations, que BL aurait acheté des faux-
témoins dont Anne-Marie Texeira" (un témoin de La Poste) ?
Cette jeune personne inconnue, ne devait pas bien connaître le Code
Pénal, et ce qu' il en coûte de faire un faux-témoignage ?
"Témoins sous menaces de représailles d' incendie", "témoins
achetés"... Anne-Marie Texaira, etc. " tueur" acheté ? un certain :
René Hairay, la Cour d' Appel de Dijon ne lésine pas sur les graves
accusations : "dont il n' existe pas le moindre commencement de
preuve", tel qu' elle l' indique par ailleurs.
Dans sa conclusion de l 'annulation de la 5 ème charge, le non-
lieu(3) écrit : " qu' il n 'est pas certain que la lettre de
revendication du crime ait été déposée à la poste de Lépanges le
16/10/1984 aux environs de 16 h 55' " (Fin de citation)... mais en
fonction de l' explication du même non-lieu(3), dans le paragraphe :
"résultat de l' information et discussion des charges", il prétend :
" que cette lettre aurait très bien pu être expédiée à : 17 h 20'
"(Fin de citation).
Alors, on doit admettre que non seulement BL pouvait le faire, à :
17 h 20'... mais aussi CV, ce qui est troublant , car à : 17 h 20',
Grégory pouvait être déjà mort, suivant les possibilités qu' offre
l' emploi du temps ignoré, douteux et suspect, de CV entre : 17 h
03' et : 17 h 32' 41''
-- Neutralisation et mise à l'eau de Grégory " au point privilégié ",
ou ailleurs.
Si la neutralisation et la mise à l' eau ont été effectuées au bord du
Barba, ou au centre de Docelles : les difficultés sont exactement les
mêmes pour les deux suspects, afin d' avoir la certitude absolue de n'
être pas découvert, ce qui est du domaine de : l' invraisemblable en
plein jour.
Si la neutralisation et la mise à l' eau ont été effectuées : "au
point privilégié ", ce lieu étant moins à découvert, l' auteur avait
moins de probabilités d' être vu par des témoins... mais ne pouvait
être certain de rien.
On se heurte au fait qu' à cet endroit là, il y aurait eu :" un
ruisseau infranchissable", selon le Juge Simon ? "un ru
infranchissable" : une définition curieuse, que n' ont jamais eu à
résoudre les cruciverbistes ?
Peut-on croire que les premiers enquêteurs, les journalistes, les
curieux, " les rats", pourtant si nombreux qui s' étaient précipités
au bord de la Vologne, après le 16 octobre 1984, n' aient jamais vu
cette : " difficulté insurmontable", découverte quelques années plus
tard par le Juge Simon ?
Le non-lieu(3) écrit : " Ce magistrat s' est attaché à combler les
lacunes résultant des annulations prononcées par les Chambres d'
Accusation de Nancy et de Dijon [...] L 'ampleur du travail qu' il a
accompli est telle qu' il est impossible d' en rendre compte en
détail" (Fin de citation)
Finalement à l' examen, à la dissection, mot à mot, du non-lieu(3),
le lecteur attentif, peut s' apercevoir que le Juge Simon a trouvé
opportunément un : "témoin courageux " : Madame Conreaux, (sortant
de l' étude de Me Moser, avocat de la famille de CV)... "témoin" qui
n' a rien vu... qu' un autre témoin que l' on a forcé à témoigner :
Claude Colin serait l' amant de l' agricultrice.
On se congratule en Bourgogne ? mais le Juge Simon n' a découvert en
fin de compte qu' :
-- " Un ru infranchissable" au bord de la Vologne, (après que son
cours ait été modifié par des importants travaux accomplis
postérieurement au crime),
-- A trouvé la possibilité de poster du courrier après l' heure de
levée indiquée sur les boîtes à lettres...
-- Que CV ne pouvait pas être découverte par sa collègue, lors d' un
appel anonyme : " muet", parce qu' elle n' avait pas un léger cheveu
sur la langue ...
-- Et une femme, qui hormis une paire d' espadrilles, n' aurait
possédé qu ' une seule paire de chaussures ? (vérifiez vous-même : 2
ème charge)
C' est à dire seulement des faits invraisemblables, contestables ou
qui défient le bon sens, sans aucune preuve matérielle en appui, qui
semblent donc pour le moins non pertinents.
Si la : "neutralisation" aurait été effectuée au domicile de
Grégory. Elle n' aurait présenté aucun risque pour son auteur d' être
vu.
Cette hypothèse, expliquerait pourquoi le Docteur Duprez : "ne
découvrit pas de corps étrangers végétaux ou minéraux dans les
bronchioles et alvéoles des poumons de Grégory, malgré une inspection
très attentive des différents lobes faite au microscope." ?
Elle serait confortée par un appel anonyme rappelé dans les faits : "
Après le crime, de nouvelles communications anonymes parvinrent aux
époux : Gilbert Villemin. Certaines particulièrement odieuses
décrivaient les circonstances prétendues de la mort de Grégory, noyé
dans une baignoire et les souffrances qu' il aurait endurées. Leur
auteur ne fut jamais identifié" (Fin de citation du non-lieu(3))
Les volets étaient clos, les portes fermées à clef, les résidents de
la maison semblaient absents, il n' y avait aucun risque qu' un
voisin ou un familier ne vienne frapper à la porte.
Neutralisation terminée (Chronométrage estimé à 3 minutes par le juge
Simon, et à 4 minutes pour le SRPJ), CV pouvait sortir de son
domicile aussitôt après, ou plus tard, et pouvait prétendre : "être
allée faire des recherches au village"... C' est le même itinéraire,
mais en réalité, elle avait la possiblilité d' aller immerger... plus
loin... au bord de la Vologne, le corps de Grégory.
L' imprécision possible des indications horaires des témoignages
humains, ne permet pas d' écarter cette hypothèse, car d' après les
chronométrages du SRPJ et du Juge Simon entre : " la recherche au
village" et "l' immersion possible au : "point privilégié"": il y a
une différence d' environ 5 minutes. (inférieure au décalage de l'
horloge du chauffage de CV, indiqué par le mémoire(1) : 7 minutes...
L'horloge qui avançait indiquait :17h 30'... alors qu' il n ' était
bizarrement que (?) 17 h 23')
Que disait le "schéma horaire"(2): " 17 h 18' : Madame Claudon bloque
l' entrée du domicile (de) Christine pour le passage des vaches et
voit Christine (qui est sortie à 17 h 17') cherchant son
enfant...puis... attend que son entrée soit débloquée...à 17 h 23',
pour partir au village "
On peut supposer que si CV avait demandé à Madame Claudon, à Monsieur
Claude Colin, à Monsieur Meline, de l' aider dans ses recherches, ceux
-ci auraient retardé le départ des vaches de la pâture ? ou que CV
n' aurait pas attendu 5 minutes le déblocage de son entrée ? Une mère
Attend-elle : 5 longues minutes quand son enfant disparaît ?
Question : aurait-elle craint que les personnes présentes autour du
domicile, regardent dans le coffre de la Renault 5 ?
-- Mise à l'eau de Grégory " au point privilégié ", ou ailleurs.
C' est indiscutablement l' opération la plus risquée et la plus
problématique pour CV, même si elle n' a duré que quelques secondes.
Des indices graves troublants et concordants avaient été relevés :
"au point privilégié" par les enquêteurs gendarmes et les magistrats
de la Cour de Nancy, ceux de Dijon les ont annulés d' un revers de
main, en considérant que ce n' était pas des preuves matérielles
accablantes. Vous êtes priés de constater la nuance, qui est de
taille, dans la sémantique judiciaire !
-- Appels téléphoniques anonymes de : 17h 32' X''
CV avait le temps matériel et la possibilité de les donner à partir de
son domicile, ou de la cabine de La Poste de Lépanges, où elle dit
être passée devant " à 17 h 30'," ceci, en fonction de la réalité
des témoignages, qui sont contradictoires, donc litigieux, voire
fallacieux.
Conclusion :
En utilisant les seules informations fournies par le non-lieu(3), et
elles seules, par celles du site dit de référence : "
gregoryvillemin. free", première version et son : "schéma horaire"(2),
la seconde mouture et le mémoire(1), et elles seules, en absence de
données méconnues , qui n' apparaissent dans aucun document et nulle
part : on peut affirmer que :
-- L' analyse des difficultés respectives rencontrées par les deux
seuls suspects que la Justice, ne nous ait débusqués en 26 ans, pour
la réalisation du crime : prouve indiscutablement que BL aurait
disposé de beaucoup moins de probabilités de n' être découvert par
aucun témoin, que n' en avait CV.
-- Dans le chronométrage et le déroulement des faits, donnés par : "
le schéma horaire "(2), du site dit de référence : "gregoryvillemin.
free, dans sa première version" : il manquerait à BL, pour qu' il
puisse réaliser toutes les opérations qui lui sont imputées par la
Cour d' Appel de Dijon, menant à la conclusion du meurtre : au
minimum la durée pour se rendre à pieds jusqu' à la cabine
téléphonique la plus proche du lieu d'immersion, et pour pouvoir
ensuite donner les trois communications ( durée évaluée à : 6
minutes), que le non-lieu attribue à l' auteur du crime. La dernière
serait avant : 17 h 32' X'', alors que CV disposerait de : 10
minutes 44 secondes (SRPJ) ou de 9 minutes 48 secondes (Juge Simon),
pour donner deux communications téléphoniques, une à ses beaux-parents
et une à Michel Villemin, et apparaître à la vue de certains témoins.
Le résultat est : " éloquent"... tel que l' écrivait le "schéma
horaire" (2) dans son défi aux Internautes, dans sa petite bulle
( type BD sur fond bleu azur), du site : "gregoryvillemin. free".
Toutefois: il peut être complètement erroné (*) en fonction de l'
inexactitude des données fournies, par ce site lui-même ( arroseur
et arrosé ? ) parce que beaucoup de questions demeurent sans réponse.
Nota très important (*) : Dans ce cas, la faute en revient : à qui
donne les fausses informations, à qui essaie de piéger, à qui triche,
et non à qui en fait l' analyse et les utilise pour conclure.
" Je pense donc je suis ! ": disait René Descartes... et Saint-Thomas
ne voulait croire qu' en ce qu' il voyait, faites comme eux !
*
Les "Conseils" et le site dit de : "référence. gregoryvillemin.free",
ont une telle propension à prendre l' opinion publique et les
Internautes pour des :" pommes"... que la pomme mue par le principe
découvert par : Isaac Newton, ne va-t-elle pas finir par leur tomber
sur la figure ?
En novembre 2009, ils avaient dû faire un rapide repli stratégique
en retirant d' INTERNET la première mouture et son : "schéma
horaire", qui permettait à tout Internaute de résoudre
arithmétiquement : " l' énigme" en ne laissant aucun doute sur qui est
le seul suspect qui disposait du temps matériel nécessaire pour
commettre le crime... Ils persistent en laissant le tableau : " des
principales manifestations anonymes répertoriées "... dont l' analyse
aboutit, sans surprise, à la même conclusion : "éloquente", que
celle du : "schéma horaire."
Il faut d' abord constater, d' après le non-lieu, d' après toutes les
enquêtes, à la suite des milliers d' appels téléphoniques, des
corbeaux : CV est la seule personne à avoir reconnu des appels
anonymes ( certes : "muets" ! )
" [...] CV a nié avoir adressé (des appels téléphoniques anonymes
malveillants) à ses collègues, hormis quelques appels muets à Monique
Colin et à Claudine Boulay. Cette dernière a prétendu qu' elle avait
reconnu la voix de CV , parce que son interlocutrice avait : " un
léger cheveu sur la langue". Or l' existence d' un défaut de
prononciation de l' inculpée, même léger, n' a jamais été constatée
par les magistrats chargés du supplément d' information,
singulièrement par Monsieur le Président Simon qui l' a pourtant
entendue à maintes reprises et fort longuement. " (Fin de citation
des extraits du non-lieu)
-- Dans le cas, d' un appel : "muet", comment sa collègue aurait-
elle reconnu sa voix, à cause : " d' un léger cheveu sur la langue" ?
-- Comment le juge Simon a-t-il pu vérifier l 'absence : "d' un léger
cheveu sur la langue" ?
Était-il O.R.L. ? non ! mais en revanche, il connaissait Andromaque
et Racine : " pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes ?
" aurait-il fait dire à CV ?
Dans ce cas, Il confondait l' allitération... avec le zézaiement ou
le zozotement... Il n' était pas orthophoniste inscrit en qualité és-
expert auprès d' un tribunal quel qu' il soit ? et son diagnostic
erroné ne peut pas être admis, il aurait dû faire l' objet d'une
cassation.
Le fait que les parents de Grégory adressaient eux-mêmes des appels
anonymes est incontestable, puisqu' il n 'est nullement contredit par
le mémoire de Me Chastant-Morand, en faveur du non-lieu, et est même
confirmé par celui-ci, pour tenter d' expliquer pourquoi le nombre de
leurs communications téléphoniques avait augmenté de manière abyssale,
notamment en début 1983, on lit avec stupéfaction :
" Et ce sans compter tous les appels de tentative d' identification du
corbeau qui ont été lancés par les époux JMV, et ce, après la plainte
déposée à Corcieux, compte tenu de la grande activité de celui-ci (du
corbeau) sur les conseils du chef de la Brigade..." (points de
suspension homologués ! )
"L' atmosphère était tellement empoisonnée, tout le monde s' épiant,
les époux JMV comme les autres membres de la famille, ont passé
quelques appels d' identification, comme ils l' ont d'ailleurs
reconnu."
" Cette dernière (CV ) répondant dans le cadre du supplément d'
information à une question de M. le Procureur Général, exposait
ainsi : " C' est sur les conseils du chef de la Brigade de Corcieux,
que nous avons employé la méthode que je vous ai décrite, pour
identifier le corbeau. C' est également le chef de la Brigade qui
avait recommandé à mon mari de prendre la voix rauque du corbeau pour
susciter les plus vives réactions chez nos interlocuteurs." " ( Fin
de citation !)
On comprend mieux pourquoi, tel que le constate curieusement le non-
lieu : "les appels téléphoniques anonymes... et ceux : "d'
identification ? " ( MDR ! il ne faut pas confondre !) cessèrent le 17
mai 1983, quand la ligne du plaignant (Albert V) eut été mise sous
écoute..." ? (Fin de citation)
Contrairement à ce qu' on aurait pu imaginer, les RG n' avaient pas
envoyé des bristols, ni des avis de passage, pour informer le(s)
corbeau(x) ou la corneille de la mise sous écoute de la ligne d'
Albert V... Le mémoire nous écrit que : C' était le chef de Brigade
de la Gendarmerie de Corcieux, qui informait et... donnait des cours
fondamentaux de formation à un délit... aux corbeaux !
Il n' est pas étonnant dans de telles conditions que la gendarmerie n'
ait jamais réussi à identifier un seul des auteurs des milliers d'
appels anonymes, et que la mise sous écoute de la ligne téléphonique
ne donna aucun résultat.
Les gendarmes de Corcieux, n' auraient-ils pas dû demander des
conseils sur cette spécialité, au super-gendarme promu : " baby-
sitter" de Mazarine à l 'Élysée ?
A ce sujet et en aparté, vous êtes priés de constater que lorsqu' un
Président de La République française, avait fait mettre sous écoute
plus de 800 personnes irréprochables et accessoirement fait molester
l' écrivain Edern Hallier (et autres) qui menaçait de dévoiler un :
"secret d' État," (ou de polichinelle dans le tiroir ?) concernant l'
existence du fruit défendu, des amours ancillaires de ce président...
aucun journaliste, pas même ceux du volatile satirique : " Canard
enchaîné", n' a dit pendant plus de dix ans, un seul mot de
réprobation !
Ce ne sont pas les amours adultères du président, qui sont
critiquables, telle qu' Arletty le disait après la guerre de 40, à
ceux qui lui reprochaient, quelques :" menues" frasques avec l'
occupant : " Mon coeur est à la France... mais mon cul est à moi !"
Elle avait raison : " Atmosphère, atmosphère... vous avez dit
atmosphère ?"
Parenthèse terminée, dans ce ramassis de mensonges, on remarque
néanmoins :
Que : " C' est essentiellement la facturation des deux premiers
bimestres de 1983, respectivement calculée sur 411 et sur 608 unités
de base qui est surprenante chez l 'inculpée et son mari... mais le
corbeau a eu beaucoup d' autres périodes d'intense activité" (Fin de
citation de l' annulation de la 18 ème charge)
Étrangement... on constate aussi, d'après le tableau du site dit :"
de référence gregoryvillemin. free", que cette période de crise
pathologique aiguë du corbeau, en début 1983, correspondait au fait
indiqué que CV était en : "congés," et à : "la maison.".. ( en congés
maladie ? il fallait donc, bien qu' elle s' occupe...) et comme par
hasard, juste avant que la ligne de sa belle-mère : "adorée", fut
mise sous écoute le 17 mai 1983, après que l' époux Albert V de celle-
ci, ait reçu : 27 appels anonymes le même jour !
Petit point à noter : un appel anonyme, peut devenir : "muet", quand
le corbeau, entend qui lui répond : "allô ! ".
On relève aussi que c' est dans cette même période que la mère et l'
épouse de l' ex : "condisciple " de CV (dixit le non-lieu... mais pas
si c... que cela finalement ?) : " Bruno Magron, qui l'avait
abandonnée pour partir avec une autre fille... et qu' elle n' avait
jamais revu (?)"( citation du non-lieu) , ont reçu des appels et des
lettres anonymes de la même teneur sympa, que ceux d' Albert V, tel
que le relate un extrait d' un article de l 'Humanité du 23/11/1993,
du procès de J-MV dont voici le texte, disponible sur Internet :
" Bruno Magron, entendu par les jurés, est une ancienne «liaison» de
Christine Villemin en 1975. Il explique sa rupture avec elle, son
mariage avec Marie-Claude Nicolle, puis quelques années plus tard les
coups de téléphone anonymes reçus par sa femme et sa belle-mère,
toutes deux anciennes collègues de Christine Villemin. En février
1983, Mme Nicolle (la mère) reçoit un coup de fil lui annonçant un
accident de sa fille et de son gendre. La première a «les deux jambes
cassées», le second «est dans le coma». Cet accident n'a jamais eu
lieu. Mme Nicolle affirme avoir reçu chaque semaine ainsi trois appels
sans qu'elle parvienne à identifier son interlocutrice, la voix étant
manifestement celle d'une femme. Marie-Claude (la fille), quant à
elle, est régulièrement insultée, traitée de «salope» pour avoir
«pris» Bruno Magron, celui qui sera son futur mari.
«Êtes-vous l'auteur de ces appels anonymes?», demande le président
Ruyssen à Christine Villemin, qui vient de prendre place à la barre?
«Non, dit-elle sèchement, je n'avais aucune raison. J'ai rompu avec
Bruno Magron fin 1975 et je connais Jean-Marie depuis 1976.» Me
Welzer, pour la partie civile, demande à son tour s'il est vrai que
ses relations ont continué avec Magron pendant que Jean-Marie Villemin
était à l'armée entre 1977 et 1978. Bruno Magron le certifie.
Christine Villemin le nie farouchement, tandis que Me Garraud hurle:
«La boue, la boue!»" (fin de citation)
Si CV n' avait tel qu' elle le prétend : " aucune raison", d' être l'
auteur de ces appels et lettres anonymes, contre celle qui lui a :
"pris " son ex... 8 ans auparavant, on peut admettre que les autres
membres de la famille, en avaient encore bien moins... voire
aucune, puisqu' à eux... Il semblerait que rien ne leur ait été
jamais : "pris" ?
Le non-lieu passe totalement sous silence cette sale manie récurrente,
grave, concourante troublante et cette rancune caractérielle
persistante de CV. qualifiée de femme : " si intelligente et d' une
grande présence d' esprit " ! mais... n' omet-il pas :" avec quelques
légers travers " ?
Les Magistrats bourguignons n' auraient-ils pas dû approfondir la
recherche, et essayer de trouver aussi l' ADN et le reste sur les
lettres reçues par Madame Nicolle, et en savoir un peu plus sur qui
pouvait avoir la malfaisance et la perversité pathologiques affirmées
de donner de tels appels anonymes ignobles ? Pas curieux ? ou
implicitement complices ?
En revanche : équité oblige, le non-lieu rapporte le fait que BL
avait détérioré un panneau dans sa jeunesse, ce qui en faisait
évidemment le criminel en puissance de Grégory !
On remarque aussi que dans cette période : " de grande activité du
corbeau" en début 1983, si les factures des autres protagonistes ont
été : "anormales ", à un moment et à un autre, échelonnés sur
plusieurs années, elles ne l' étaient pas aux deux premiers bimestres
de 1983, qui ont précédé et ont provoqué la mise sous écoute de la
ligne d' Albert V.
Le non-lieu explique " que JMV s' était plaint en 1983, auprès de l'
Administration des postes et télécommunications, surpris par cette
hausse soudaine des factures téléphoniques"... Une erreur étant
improbable, quand l' informatique se : "trompe", c' est dans d' autres
proportions et c' est immédiatement visible... ceci démontre que le
pauvre garçon avec sa structure cérébrale étiolée, avec son maigre
Q.I., n' avait aucune idée de ce que pouvait être les activités
téléphoniques... épistolaires... et autres, de son épouse... Il n'
est malheureusement pas certain qu' il ne le sache encore
aujourd'hui ?
Ses réponses au corbeau sont édifiantes sur son degré d'
intelligence... jugez plutôt :
" à l' occasion de l 'une d' elles (communications anonymes), le
correspondant inconnu avait annoncé qu' il brûlerait la maison de J-MV
[...], celui-ci avait répondu : "je m' en fous". Le corbeau avait
alors dit qu' il s' en prendrait à sa femme, J-MV avait répliqué : "
j' en trouverai une autre". Le corbeau avait enfin menacé d' enlever
Grégory. J-MV qui idolâtrait son fils avait rétorqué : " ne fais
jamais ça", montrant ainsi à son interlocuteur quel était le meilleur
moyen de l' atteindre" (Fin de citation des extraits du non-lieu :
faits et procédure)
On peut objecter à la Cour d' Appel de Dijon, que le corbeau n' était
pas obligé et pouvait faire l' économie de donner un appel anonyme
pour tirer cette conclusion évidente, qui " coule de source "...
Néanmoins si l' on place par hypothèse : "purement imaginaire"... à
l' autre bout du fil, la corneille CV... on se doute qu' elle a eu
un grand plaisir d' apprendre à quel point son époux l' adorait ?
Le couple, que la Cour de Dijon nous décrit : "idyllique", sans
zone d' ombre... ne l' était donc pas tant que cela ?
*
Pour ironiser un peu : ( excusez, il faut changer l' air, qui
devient pesant ! : Voici légèrement torturé, par la satire, un
dialogue :" à peine imaginaire" avec CV :
" façon : Canard enchaîné ", du témoignage de Murielle B. :
Reconstitué : pour :" le choeur des vierges", des biens pensants...
et des imposteurs de notre belle République en déliquescence.
Essayons ensemble de reconstituer l' analyse des faits chère CV, je
ne peux plus convoquer à mon bureau pour audition, votre raffiné
cousin moustachu, car votre époux s' est occupé, un peu trop sèchement
de lui.
Chez mon Cloclo : Ils n'aiment pas mon instruction, qu'ils disent :
" à charge " , alors avant que votre délicat époux, ne lui demande
très obligeamment de fermer son premier forum, qui, il est vrai était
totalement partial, à l' entier bénéfice de votre cousin Bernard, où
l' on n' entendait et n' écrivait jamais la moindre insulte, ni
diffamation, ni calomnie, ni rien n'atteignant la dignité, dans le
silence monacal d' une abbaye cistérsienne de l' Ordre ce Cîteaux,
égayée par l' austère Robert de Molesmes.
C' est du côté de la Cour d' Appel de Dijon, c'est sans doute là, qu'
elle a puisé le génie créatif et l' inspiration des minutes du non-
lieu ?
Claude nous écrit sur tous les forums qui évoquent votre si bel enfant
Gregory, au si beau sourire :
"Ce meurtre s'il a été prémédité par Christine, aurait-elle :
"oublié" son alibi le jour du crime...? Je vous rappelle qu'elle n'en
a pas...ou du moins, pas très solide...Alors ? Un meurtre de cette
envergure se "réfléchit", se "dissèque", se "comprends" et enfin se
"murit"...pour enfin accomplir l'acte criminel !" (SIC ... avec les
fautes, lui aussi, il fait misère à notre bon : Jules Ferry ! )
Qu' en pensez-vous CV ? si c' est vrai, il faut si l' on n' instruit
pas à charge : le dire, aussi pour votre cousin Bernard ? C' est
valable pour l' un comme pour l'autre ?
L' équité , il n' y en pas beaucoup dans les minutes... On va essayer
de rétablir l' équilibre voulez-vous ?
" Mon capitaine" a apporté à l' enquête beaucoup de grains à moudre,
et... de l' ivraie... ainsi la Cour d' Appel de Dijon a pu rouler dans
la farine l' opinion publique.
En effet voici, sur ce forum, où les : " modérateurs", doivent être
comme moi : " à respectable distance " , de votre aimable époux, qui
s' emporte parfois ! Il faut lui donner des calmants ! faites quelques
choses, vous qui le connaissez au lieu de lui : " monter le
bourrichon"
L' ex - lieutenant et aujourd'hui ... Capitaine... ( il a de quoi être
jaloux... Il y a mobile à se venger ? Lui : chef sur des îles
paradisiaques... et un autre, à la lourde ! de L' APAVE à L' ANPE...
c' est pas juste, )
a / ça faisait depuis septembre : 1981, que les corbeaux croassaient
et ce n' est : " qu' après une plainte pour violences de faits, le
1er décembre 1982", que les gendarmes chassaient le détestable
volatile... et qu'il n' avaient jamais réussi, à en dégommer un seul !
Quels piètres chasseurs, ces militaires a dû se dire : " le petit
juge"? " On n' est pas prêts de gagner la prochaine !"
Puis tout à coup : "néanmoins ces agissement cessèrent le 17 mai 1983,
quand la ligne fût mise sous écoute " Si ! si ! c' est écrit comme
cela !
Les gendarmes avaient-ils envoyé un poulet d'invitation, pour
prévenir qu' ils avaient relié le corbeau en ligne directe avec la
gendarmerie ? Ils vous donnaient même des cours de diction et de
croassement pour vos : "appels d' identification" (SIC ! elle a la
sémantique et la rhétorique, adaptées votre avocate ?)
Ces gendarmes : ils ont la manie de mettre des gens communs sous
écoute , vous souvenez-vous, de celui du GIGN, promu : " baby-
sitter " de Mazarine. Il en avait mis plus de 800 reliés directement à
l'Élysée... et personne ne s' en serait jamais douté ? ainsi notre
tonton : "Dieu", pareil à celui qui est au ciel ? il écoutait tout...
même : Edern !
Votre corbeau était futé... comme un renard pour savoir qu' on l'
écoutait ? et pour cesser dés la mise en place de ces petits
enregistreurs indiscrets dans les centre nodaux des Telecom...
Demandez à Mademoiselle : Carole Bouquet ?
En principe... on ne vous les installe pas chez vous ces trucs là ! On
met des : " brettelles ".
Au domicile, ce sont :" les plombiers"... ceux du Canard déchaîné,
par exemple, qui s' invitent chez ce satirique volatile, et qui
viennent, mais qui vous mettent des petits micro-émetteurs... Faut pas
confondre !
Et en 1984... Le Lieutenant n' avait toujours pas le moindre nom à
livrer au : " petit juge" ! (ça ne mérite pas une promotion dans des
îles paradisiaques ça ? Mais, plutôt avec le Commissaire Principal...
mais aux îles Kerguelen, ou en Terre Adélie ?
d / On nous sort la caravane :" Pacouli ", qui part en famille, en
goguette... avec sans doute une baignoire sur la galerie de l' auto, à
découvert non masquée , dans une voiture non volée, enlever votre
pauvre petit enfant : Grégory... avec pour équipage : le débonnaire
moustachu, son fils Seb. de 4 ans, la belle-soeur Murielle, écolière
de 15 ans, et puis sans doute ? : le chien, le chat, l' hamster
goulu, pour amuser les gosses sur la banquette arrière ? (mais ça,
le non-lieu ne le dit pas, il dit que la belle-soeur est là pour
surveiller les petits... plus attentive que vous CV, mais pas sur le
siège arrière, ce qui devait être trop aisé ? mais, sur celui de
devant !
En principe le cousin moustachu devait savoir que votre fort blindé,
était puissamment armé.
Vous iriez vous dans un blockhaus, kidnapper, un enfant, sans le
casque lourd et le gilet pare-balle ? Il paraît qu' on l' avait vu
votre mari, roder autour de la maison avec son fusil ? Il cherchait
quelqu' un qui lui aurait fait des : " vacheries". Il devait être au
parfum le débonnaire moustachu qui savait tout ? non ?
c / Le Bernard prend Grégory, que personne n' a vu à l' extérieur de
la maison après : 17 h 03', mais lui très doué, il le trouve de
suite ... On ne lui a laissé que 8 minutes pour venir du CES de
Bruyères. Il fallait faire vite !
Le Juge " amoureux", votre ami, pilotait-il à Dijon-Prénois ? Ceux
qui sont du coin ? ... C' est lui qui dans une course fantastique en
F1, se passait et se repassait avec Gilles Villeneuve ?
Bon, on continue, il n' y a pas de temps pour musarder. .. route
faisant, notre homme à forte corpulence rencontre chemin de la Bure,
( enfin c' est ce qu' on dit ? On ne sait qui a rencontré l'
autre ? ) : une voiture pilotée par l' amant ", avec sa Dulcinée...
votre voisine, l' agricultrice : aux 36 vaches.
"Amant " : qui était là, alors qu'il n' aurait pas dû y être... qui
avait le mur pendant ses heures de boulot, pour aller voir sa belle...
Il buvait seul son café, pendant qu' elle binait son champ de
carottes ! C'est un : " témoin des faits " rencontré à Mulhouse dans
l'étude de votre avocat chère CV,( cher lui aussi... mais du côté du
porte-monnaie) enfin défenseur : " de la famille ".
Celui- là, avec un patronyme de coureur cycliste, qui devait rouler
uniquement à l' eau minérale : "La Goccia della Carnia" de ses
Dolomites natales, il a trouvé le filon, il gesticule beaucoup !
plus sûrement que le témoin clé qu' il nous pêche : " beaucoup plus
tard " cette rencontre des deux véhicules la : " est confirmée par
les révélations d' un témoin" qui n' a rien vu : " un témoin
courageux : Madame Conreaux, au civisme de laquelle la Cour tient à
rendre hommage !" : Polis et même obséquieux les Magistrats
bourguignons ? Non ! Je ne blague pas ! c' est marqué dessus ... sur
leur non-lieu...comme sur le Port-Salut !
Bof ! on appelle cela d' habitude un délateur... Mais ici : c' est
un témoin, qui dit qu' il a vu l'ours, qui avait vu l'ours...etc.
Une histoire à vous faire dormir debout, le gag : On nous raconte
aussi que ce sont trouvées à confirmer le témoignage, trois femmes,
qui avaient envisagé, ainsi qu' elles le confirmèrent de porter cette
information au juge par une lettre anonyme...
On tient donc le premier corbeau ? mais il vient d' Alsace celui-là...
peut-être coupé avec une cigogne ? Alors, ce n' est pas le bon ?
"L'amant " aurait donc vu, après que l' agricultrice ait dit : "
dégage " au conducteur d' en face en faisant " un geste énergique du
bras ", que le : " Le conducteur était un homme de forte corpulence
et la passagère assise sur le siège avant droit, était une femme aux
cheveux roux "(SIC)
Remarquez : on aurait pu éviter en côte d' Or d'écrire : " sur le
siège avant droit ", parce que si la passagère avait été assise sur
les genoux du conducteur, ça les auraient intrigués nos deux
amoureux ?
Il paraîtrait que la fermière aurait fait ce que l' on appelle plus
trivialement :" un bras d' honneur"...On nous dit aussi, qu' elle le
connaissait le gros velu, vous feriez ça vous CV, à une
connaissance ?
Cette rencontre pose interrogation, non seulement par la façon par
laquelle est découvert un témoin, qui est d' ailleurs démenti par
l'agricultrice... dont on nous dit, que si elle dément : "c' est à
cause de menaces". Les menaces votre respectueux époux n' en faisait
pas lui ? Il tire d' abord... et fait les sommations réglementaires
ensuite.
Ne nous attardons pas sur ces détails insignifiants.
Le problème qui se pose c' est qu' il faut constater que c' est sur
ce cercle : "familial et adultérin" : agricultrice-amant-fils, que
repose la clé de voûte de votre emploi du temps chère CV ? Quelle
tapée de menteurs !
On vous voit avec le fermière, au départ... et à l'arrivée, et le
seul ayant fait du témoignage de la folle chevauchée décrite par la
belle-soeur contre le suspect moustachu, "au profil idéal"... est l'
amant, qui ne pouvait rien dire.
Sa femme " cocue" en aurait pris ombrage ? et qui vous a laissée
aller croupir quelques jours dans un ergastule de notre belle
République ( jours, qui ont coûté très cher aux contribuables, on lui
en veut, vous savez, à ce goujat d' ancien militaire, quel sigisbée
de pacotille !)
Il n' y en a aucun autre témoignage... même les élèves du CES,
questionnées par la Diva de la Cour d' Appel de Dijon, n' ont que
reconnu la voiture 305, de suite... quelques années plus tard,
voiture dont la presse avait publié tant de photographies.
Cette rencontre, si elle est avérée : ils ont quand même ce qui
s'appellent :" de sacrées tronches " les deux passagers avant de l'
automobile verte ? impossible de ne pas les remarquer, et de ne pas
les mémoriser... "7 ans d' information ont été nécessaires", pour ce
témoignage spontané ! Rendez-vous compte ? que fait la Police, la
Gendarmerie ?
Repérés, sauf les enfants... que personne n' a vus,( Grégory, avait
déjà été enlevé dans ce cas), ils devaient être obligatoirement dans
la voiture du Bernard : qui avait du dégager le chemin, et s'
arrêter, pour laisser passer celle d' en face, croyez-vous chère CV,
qu' ils ne l' auraient pas laisser repartir le bambin, pour remettre à
plus tard leur sinistre besogne ?
Voila notre famille "Pacouli" qui part ... et satanée et dure Loi de
Murphy oblige...tout était bien préparé comme dit : Cloclo du 94, qui
a déménagé du côté d' Ales, et qui n' est plus à portée de fusil...
"un crime se réfléchit, se mûrit, se dissèque, etc" (SIC).. . ? tombe
sur rue barrée, a fortiori , sur une rue, qui ne menait pas
directement à Docelles.
On se dit : il jouait avec : " les barjots " aux J.O., votre
cousin ?
Puis, il va à La Poste, après l' heure de la levée indiquée sur la
boîte, et il n' a pas son épouse derrière un guichet lui... pour
antidater le courrier officiel oublié... pour lui faire connaître la
réalité interne du :" Petit Travail Tranquille" ?
Et puis quel : "cave " : tout ça, pour envoyer une lettre anonyme,
qu' il signe par un foulage : "B.L." , pour annoncer le crime, au cas
où, on ne le découvrirait pas !
Le foulage a été trouvé au bout de 3 semaines... le temps que ça
monte en haut, chez les Pandore.
Mon Capitaine, nous en rebat les oreilles depuis 24 ans... Mais il
semble, qu' il ait oublié le disque depuis quelques temps ? son
foulage a disparu... Il aurait pu aider à le refaire ?
Après la caravane : "Pacouli " ayant fini : courses et emplettes,
part à fond la caisse, à Docelles, où elle choisit le plein centre
d' un village d' un millier d'habitants, à l' heure de la sortie des
usines et aussi où quelques écoliers doivent encore traîner dans la
rue, pour ? ? ?
Après : on ne sait plus. La belle-soeur dit que le beau-frère part
avec Gregory, peut-être chez un ami ? puis revient seul... On ne sait
pas, non plus, où il a donné ses trois communications téléphoniques
anonymes ? avait-il déjà un portable ? demandez au Capitaine !
Aucune personne n' a été témoin du stationnement prolongé de son
véhicule, où seraient restés à l' attendre : le fils de 4 ans et la
belle-soeur de 15 ans, pendant au moins 15 minutes...
On dit que la belle-soeur savait faire les piqûres ?
Était-elle aussi experte és-doctorat, de l' action de l' insuline sur
un être humain ? les spécialistes s' interrogent ... en : " l'
absence d' expérimentation possible" ? ? ? ... Ils n' ont donc trouvé
personne pour faire des essais ! Elle tout de suite au parfum !
Elle qui était censée garder le petit Seb ?
L' histoire devient tellement : " abracadabrantesque" comme disait
Rimbaud... imité par notre frère Jacques, qu' il vaut mieux, en rester
à l' espace de temps disponible pour commettre le crime et mettre des
points d'interrogation, pour ne pas divaguer vers l'absurde.
Vous savez vous CV , où votre fêlé de cousin a jeté le petit, près du
local des pompiers à Docelles, où on lisait sur votre fameux : "
schéma horaire ", des chronométrages, si bien faits , que vous avez
retirés du NET dommage ! :
"Le temps estimé pour neutraliser l'enfant , le ligoter et le jeter à
l' eau a été de 5 MINUTES. Pour tenir compte des difficultés qu'aurait
rencontrées, l' auteur des faits , pour se dissimuler à la vue des
occupants des nombreuses maisons, entourant les lieux, où dans cette
hypothèse, l' enfant aurait été jeté dans la Vologne." (SIC)
Vous aviez glissé un petite entourloupette chère CV, aux
internautes que vous vouliez si bien renseigner ? en indiquant que
cette solution possible était pour vous près du ruisseau du Barba, et
près du local des pompiers ?
Mais vous avez triché chère CV, car cette hypothèse là, celle de : "
Mon capitaine", (après qu' il ait trouvé le carton d' insuline...
heureusement qu' une mitrailleuse lourde, datant de 40, n' a pas été
trouvée près du monument aux morts !) est attribuée, au gros
moustachu, en faisant quelques diversions au témoignage de sa belle-
soeur, qui n' a pas reconnu la place de stationnement... mais l' a
tout de même indiquée ? Ils boivent trop de Mercurey en Bourgogne,
les Magistrats ? le Kir du bon chanoine leur monte jusqu' au pif ?
Alors que pour vous, le non-lieu, et le Commissaire Principal, l'
ami honni ? vous voyaient mettre à l'eau Grégory, près de la trace
des pneus Michelin : " spéciaux "...et de la trace du petit pied fin
d' une femme, nous allons y revenir dans l'étude de l' exclusion de
ces indices graves troublants et concordants.
L' adipeux, il aurait été plus futé que vous ? il n' a laissé aucune
trace nulle part, même pas celles de ses gros écrase-merdes, sur
votre tas de sable, ni autour de votre maison... ni au bord de la
Vologne, il volait en hélicoptère ?
Ce n' est pas bien vous savez de tendre ce type de piège, aux
internautes ! j' ai été obligé de le corriger votre : " schéma
horaire ", que j' ai remis sur le NET, lui aussi est sorti par la
porte et va vous revenir par la fenêtre... peut-être dans la
figure ?
Vous allez le voir passer et vous aurez aussi une autre grosse
surprise... pour l' hypothèse la plus plausible, que vous avez omise
chère CV !
Comme par hasard, la plus aisée et la moins risquée pour vous ...
volets clos, porte fermée, vous ne pouviez pas d' être vue. Musique
à fond les manettes, ça couvre les cris du petit ange, le père Meline
qui lavait son tracteur..." le moteur tournant", ne risquait pas de l
'entendre ?
Quand, je vous disais, que j' allais vous causer d' un truc de
baignoire ? vous l' avez jeté dans la Vologne, avec l' eau du bain...
et la baignoire qui va avec : le petit chat ?
Continuons avec l' homme à la moustache tombante et aux favoris
coupés, qui n' en finit pas de déraisonner.
En plus pour compliquer l' histoire voilà, qu' on nous trouve bien
après le crime : " un ensemble pour faire des piqûres d' insuline"...
qui aurait servi à droguer Grégory, mais quelle bande de niais !
Alors qu' il était si facile de faire un demi- tour à : "190 degrés",
comme disait jadis : " le maireu deu marseilleuuu " ! M. J. C.
Gaudin dit : "trottinette", pour jeter tout cela à l'eau, ce serait
trop facile ... Non ! on le jette à hauteur d' homme, bien en vue
sur une espèce de haie ! où le garde champêtre, le trouve quelques
jours plus tard , celui analysé par Biomnis.
Merde alors ! aucune trace d' ADN, c' est ballot ! ... Elle
connaissait déjà l' ADN la petite Murielle en 1984... elle était très
intelligente... mais elle cachait bien son jeu ? elle a tout effacé,
un vrai génie !
Crime accompli, le barbeau, va à une cabine téléphonique donne
trois appels anonymes : un à vous : CV, ( vous n' étiez pas chez
vous... Pourtant après : 17 h 33', votre : "schéma horaire"
indiquait que vous n' étiez plus seule, à votre domicile... mais avec
les Meline ? Bizarre et les dames Ory et Pluton, vous auraient vue
au village à 17 h 40' : hallucinations dues à l' abus des eaux de la
Vologne ? ), un à vos beaux-parents absents de leur domicile, et un
à l'oncle de Grégory, pour annoncer son crime :
" Je te téléphone, car cela ne répond pas à côté . Je me suis vengé
du chef et j' ai kidnappé son fils . Je l' ai étranglé et je l' ai
jeté dans la Vologne. Sa mère le cherche mais elle ne le trouvera
pas . Ma vengeance est faite."
Trois appels téléphoniques qui auraient été donnés par le
moustachu : "au profil idéal", pour qu' on le chope plus vite ! Pour
qu' il ne mette pas trop de distance avec les Pandore avertis et
lancés à ses trousses !
Ce n' est plus du : " barjot ", mais il est mûr pour l' asile
psychiatrique... dans ce cas votre cousin : il échappe normalement à
la Justice. Il faut l'enfermer ! Il est bon pour :" Le nid de coucous"
de Milos, le Bernard ?
Le Capitaine a un mobile, fait sur mesure pour lui... Il taille
beaucoup sur mesure l' ex- Lieutenant !
Mais, il confond : jalousie et vengeance... Il n' a pas lu Prosper
et Colomba : " C' est parce qu' il était jaloux du beau canapé
tout neuf acheté à crédit, par votre ménage chère CV, qu' il s'
est vengé, le vilain moustachu ! et qu' il aurait commis l'
horrible crime : ", sur un angelot que l' on dirait sorti droit de la
Madone de Sixte peinte par Raphaël ?
Alors voilà, pour devenir sérieux, ce qu' avait présenté mon ex-
Lieutenant. Alors mettez-vous à sa place du : " petit juge-funambule
de la pensée" ?
Que faites vous, vous qui êtes : " une femme si intelligente et d' une
grande présence d' esprit " : Vous prenez l' annuaire, vous
cherchez l' asile d' aliénés le plus proche, pour qu' il vienne
chercher : un client sérieusement atteint.
Croyez-vous chère CV, que votre époux va apprécier l' humour, un
tantinet sarcastique du récit ? Pourtant ce résumé falsifie-t-il,
torture-t-il, de manière top satirique, trop caricaturale : le
témoignage de la belle-soeur de Bernard auditionné par les
gendarmes ?
*
Quelques points de réflexion soumis aux internautes :
*
Lire les extraits recopiés... avec des fautes, et non paginés, de la
grosse des minutes du non-lieu(3) du Greffe de la Cour d' Appel de
Dijon, publiés jusqu' au 18 septembre 2010, par le site dit : " de
référence. gregoryvillemin.free", est un pur délice de gourmet.
On y apprend ce que peut être la sémantique et la rhétorique de la
langue de Molière, remaniée par le vice de vieux Magistrats rompus
aux contorsions et aux acrobaties judiciaires, mais dont les
connaissances techniques limitées : " se haussent à connaître un
pourpoint d' avec un haut-de-chausse ..."
Dès les premières pages, on tombe ainsi en arrêt, lors de la lecture
des exposés des faits sur : "ses chevilles et ses poignets ( de
Grégory) étaient liés au moyen de cordelettes, mal serrées par des
noeuds de tisserand, ressemblant à des noeuds à flot, mais d'une
facture plus compliquée... " (Fin de citation du non-lieu(3))
Pourquoi écrire : "noeuds de tisserand"... quand ils s'appellent plus
communément : " noeuds d'écoute " ? Pourquoi est-il utile d'
ajouter : "des noeuds de tisserand qui ressemblent à des noeuds à flot
" ? alors que ces deux types de noeuds sont différents et surtout n'
ont pas du tout la même fonction ?
Tout simplement, on le devine ? : parce que les noeuds de tisserand
ne l' étaient pas... mais au passage, cela a permis aux Magistrats de
montrer du doigt, de manière allusive et avec perfidie, sans avoir l'
air d' y toucher, qui aurait pu les faire ? suivez notre regard SVP !
Par ailleurs, sous l' aspect méthodologique : " un noeud de
tisserand", sert à relier, deux fils, deux cordes, bout à bout,
parfois de diamètre différent , et n' est pas mécaniquement approprié
pour serrer un objet quelconque.
Cette définition sibylline, spéciale, lue, par un technicien, qui
réside dans une région de canuts et de tisseurs, équivaut à peu près à
lui soutenir que l' on aurait vu :" une souris, qui ressemblerait à un
éléphant, mais légèrement plus petite (aurait-elle été beaucoup
malade ? ) et sensiblement différente de forme."
On constatera seulement dans les faits avérés, du cas présent : que
les noeuds de tisserand étaient : "techniquement inadaptés"...mais
que le rédacteur à la technologie défaillante, se raccroche aux
branches, en pratiquant l' abus de confiance.
Conseil : Ne lacez pas vos chaussures en faisant des noeuds de
tisserand, vous risqueriez de les perdre ! Il est préférable et
beaucoup plus efficace d' adopter les noeuds plats ou à flot.
Bis repetita, pour ce qui concerne l' annulation des 3 ème et 4 ème
charge, dont l' argumentaire de la Cour d' Appel de Dijon, doit faire
se gausser les quelques plus de 100 000 techniciens employés chez
Michelin.
On lit :
"Enfin une expertise réalisée seulement en décembre 1985 et janvier
1986, alors que la voiture avait parcouru depuis lors plus de 4000 km,
n' a pas permis aux techniciens commis d' affirmer que les traces
provenaient du véhicule de celle-ci :
-- D' une part parce que qu' ils ne possédaient pas un moulage de
toute la bande de roulement.
-- D' autre part parce qu' il existait une légère différence dans la
largeur des crampons." (Fin de citation)
A partir du moment où les traces au sol ont permis de définir que les
pneumatiques étaient de marque Michelin, de type : ZX, de calibre :
135 x 14", il n' était plus nécessaire et même superfétatoire de
rechercher un moulage de l' entière bande de roulement, parce que le
fabricant Michelin pouvait fournir à la Justice : dimensions et
plans, complets.
Quant à relever :" une légère différence dans la largeur des
crampons"... par métrologie d' une empreinte d' un pneu, laissée au
sol , ceci relève de l' ineptie et de la plus totale incompétence
technique.
Les moules que le constructeur Michelin, fait confectionner chez ses
sous-traitants, en particulier stéphanois, ont des tolérances de
fabrication, inférieures au dixième de millimètre, l' infime
différence due à la dispersion de ces tolérances n' est pas
technologiquement mesurable sur une empreinte relevée sur quel sol que
ce soit. (même avec le procédé le plus précis dit : " à cire perdue")
L' empreinte dépend uniquement de la nature du sol sur lequel, elle
est prélevée...évidemment elle est différente entre du sable et de l'
argile, le Juge Simon a dû confondre avec les empreintes prises chez
son dentiste ? " mal de dents mal d' amour" ?
Par ailleurs : la Cour d' Appel de Dijon, manipule et annule ainsi :
"un indice grave troublant et concordant", d' une empreinte au sol d'
un pneu certes très usité, mais qui correspondait au même type que
ceux qui équipaient la voiture de CV, en ne le considérant pas
comme :" la preuve matérielle accablante" qu' aurait été celle, de
cette de même empreinte, s' il avait pu être défini avec certitude,
de manière scientifique, qu' elle provenait bien d' un pneu de la
voiture de CV.
Pour trouver une preuve matérielle accablante : il aurait fallu que
la trace analysée du pneu, présente un défaut très particulier, qui le
différencie des autres du même type, défaut, qui aurait laissé une
trace différente au sol, de celle des autres, du même type.
Il eut été préférable de commettre pour cette expertise un super
technicien de chez Michelin... Il n' en manque pas chez ce fabricant,
qui est un des plus (sinon le plus) performant du Monde, par exemple
Monsieur Dupasquier, qu' un laboratoire de Police...: " chacun son
métier et les vaches seront bien gardées !"
Petites précisions techniques :
-- Michelin : est le constructeur mondialement connu des pneumatiques
-- ZX : est un type très connu, de pneumatique à carcasse radiale en
acier produit par cette firme.
-- 135 / 14'' : définissent les dimensions du pneumatique.
La première correspond à la largeur entre flancs, qui est sensiblement
celle de la bande de roulement. Elle est exprimée en millimètres :
135mm, 145mm, 155mm, etc.
La deuxième dimension est celle du diamètre de la jante, qui est elle,
affichée en pouces... (allez savoir pourquoi ?). Un pouce égale :
25,40 millimètres. Dans ce cas : 14'' soit : 14 pouces... à ne pas
confondre avec les jantes de 15 pouces de l' Ami 8 de Bernard
Laroche.
D' ailleurs : à vue "de pifomètre", on pouvait établir la
différence : les roues d' une Renault 5, étaient plus petites que
celles d' une Citroën Ami 8... de même une Méhari Citroën, cette : "
voiture " en " plastoc ", que l' on faisait brûler jadis, dans un
arrondissement de Paris, ne pouvait pas être confondue avec une VW
Golf de couleur blanche, si vous voyez où, on peut en venir ?
Quand on lit pour la première fois ce non-lieu(3) de 1993, chef-d'
oeuvre de la littérature judiciaire, on bute immanquablement sur de
telles anomalies... On lui fait confiance de moins en moins au fur et
à mesure de sa lecture, la suspicion s' installe dans l' esprit... et
à la centième "re lecture", le lecteur pointilleux, finit par douter
de tout... et l' on se dit finalement : Nous prennent-ils pour des
demeurés, les Magistrats qui l' ont rédigé ?
*
Une belle bourde de l' avocate de CV, Me Chastant-Morand, dénichée
pour les amateurs : " du mur du çon " (rubrique hebdomadaire du
Canard enchaîné) , du mémoire(1) en faveur du non-lieu(3) :
Dans le paragraphe : "Conclusion sur l' impossibilité matérielle pour
Madame CV d' avoir commis l' acte effroyable dont elle est inculpée"
en la page 60/66; " Maître" Chastant-Morand écrit :
" [...] Enfin, il est constant que le 16 octobre 1984, Madame Claudon
avait du retard pour rentrer ses vaches, retard qui aurait amené
Madame CV qui ne pouvait le prévoir, à réduire encore le créneau
horaire dont elle aurait pu disposer, pour éviter d' être bloquée sur
la route du haut par le troupeau et sur la route du bas par la Méhari
de Monsieur Jean-Louis Claudon, positionnée en travers de la route
(Comment aurait-elle pu deviner que ce soir là, ce ne serait pas
Monsieur Jean-Louis Claudon, qui l' amènerait à la pâture, mais
Monsieur Claude Colin, alors qu' il a fallu sept années d'information
pour l' apprendre !) (Point d'exclamation homologué )"(Fin de citation
du mémoire(1))
" En voilà une question ! quelle est bonne ! " : aurait dit
Coluche !
En effet comment CV, le : 16 octobre 1984, aurait-elle pu deviner
que l' homme qu' elle a vu ce jour là, qui barrait la route du bas
avec sa voiture ( Ce qui d'ailleurs, d'après le même mémoire(1), ne
l' a nullement empêchée de passer... puisque : "CV sortit sa
voiture, et ce, alors que les vaches défilaient, et descendit par la
voie rapide..." ), n' était pas son voisin qu' elle devait bien
connaître : Monsieur Jean-Louis Claudon, époux de l' agricultrice,
mais :" l' amant" (?) de celle-ci : Monsieur Claude Colin..." alors
qu' il a fallu sept années d' information pour l' apprendre" ?
Comment CV aurait-elle pu deviner le : 16 octobre 1984, que le
véhicule qu' elle a vu qui lui barrait la route du bas, n' était pas
une Citroën Méhari, mais une VW Golf blanche? " alors qu' il a fallu
sept années d'information pour l' apprendre " ?
Qui a les réponses à ces questions ? qui sont les mêmes d' ailleurs
pour les autres témoins, qui se trouvaient près du domicile de
Grégory, le : 16 octobre 1984, Monsieur Bernard Colin (le
promeneur), le couple Meline, Madame Claudon, etc.
Et Monsieur Jean-Louis Claudon l' époux : "cocu" (?) de la fermière,
où était-il donc ?
Si un : " témoin courageux" : Madame Conreaux, n' avait pas rapporté
le fait que Monsieur Claude Colin s' était déguisé le 16 octobre
1984, en Monsieur Jean-Louis Claudon , et que la voiture de Société :
VW Golf blanche qu' il conduisait, ne s' était pas masquée en Méhari
Citroën, qui l' aurait su alors ?
Cet ancien militaire, qui : "fait le mur", pendant ses heures de
boulot, pour aller voir sa belle... qui elle, ramasse des carottes,
pendant que lui boit seul le café... est un beau goujat !
Quelle moralité ! il aurait attendu 7 ans, et d' être dénoncé par
un pet foireux de Madame Conreaux, alors que par un témoignage
spontané, il aurait pu innocenter une mère exemplaire, injustement
accusée de meurtre ? Heureusement que les "Zorros" : Simon et
Martin sont arrivés de Dijon, pour le débusquer !
" "Abracadabrantesque"... l' annulation de la première charge : aurait
dit Rimbaud ! imité par Jacquot ! (non pas la nourrice, notre ex-grand
(par la taille) ex- Président ! )
Quand les avocats font prendre les vessies pour des lanternes, ils
leur arrivent de se prendre les pieds dans leur soutane, de s' étaler
de tout leur long dans le prétoire et le spectacle donné au public,
devient pitoyable.
*
Une belle contre vérité de Me Chastant-Morand décrochée dans le
mémoire(4) contre l' État devant la Cour d' Appel de Paris :
Paragraphe : " Les carences qui n' ont pas permis de déterminer le
lieu d' immersion de Grégory V"
L' avocate de CV, toujours très droite dans ses bottes, nous écrit
avec un remarquable aplomb :
" Le Tribunal ne peut être suivi lorsqu' il énonce que : " l' on ne
peut... sérieusement reprocher au juge Lambert d' avoir émis l'
hypothèse de la mise à l' eau de Grégory V. en un lieu qui fut, dès l'
origine qualifié de : "point privilégié", cette expression manifestant
à la fois le caractère incertain de l' hypothèse et le consensus qui
s' étaient instaurés entre tous les enquêteurs et experts sur ( le)
lieu d' immersion de l' enfant sur le cours de la Vologne (jugement
page 25) et ce, dans la mesure où contrairement à ce qu' a écrit le
Tribunal, il n' y a pas eu de consensus ... ce lieu privilégié retenu
par le SRPJ, n' étant ni le lieu de la découverte de l' enfant, ni le
lieu retenu par les premiers enquêteurs de la Gendarmerie... (Fin de
citation du mémoire(4), points de suspension homologués !)
Pourtant une trace de l' empreinte d' une chaussure d' une femme a
bien été découverte dans l' herbe, à proximité du : " point
privilégié", le 17 octobre 1984, soit le lendemain du crime, ce qu'
indiquent les extraits du non-lieu(3) dans l' annulation de la
deuxième charge, et ce sont bien les premiers enquêteurs de la
Gendarmerie qui l' ont décelée, puisque le SRPJ, ne menait pas encore
l' enquête. Dommage qu' ils aient omis de relever la pointure ?
Cet indice grave et concordant a été rejeté par la Cour d' Appel de
Dijon, parce que CV se serait baladée paraît-il ? ( d' après le Juge
Simon), en espadrilles au mois d' octobre 1984, (c' était la
saison ?) et parce que la seule paire de chaussures, lui appartenant
était d'empreinte différente (SIC !)
Ainsi le Juge Simon, nous découvre une femme, qui mis à part des
espadrilles, ne possède qu' une seule paire de chaussures... "Mon
capitaine " qui n' a pas lu Mérimée, aurait pu envisager le mobile
que BL se serait vengé... par jalousie de n' avoir pas eu la chance
d' avoir convolé avec une femme aussi économique !
De même, sur le chemin de terre longeant la voie ferrée à proximité du
même : " point privilégié", les premiers enquêteurs, qui étaient
bien encore ceux de la Gendarmerie ont relevé des traces de pneus :
" Michelin ZX : 135 x 14 " différents de ceux de a voiture de BL,
mais analogues à ceux de la Renault 5 de la voiture de CV". Ce qui est
un autre indice grave troublant et concordant, que la Cour d' Appel de
Dijon a balayé de la même manière.
Par contre ni les premiers enquêteurs, ni ceux du SRPJ, ni les
journalistes : "rats", ni les photographes paparazzi : "rapaces",
n' ont jamais constaté la présence : " d' un ru infranchissable", qu'
aurait découvert quatre ans plus tard, le Juge magicien et...
amoureux Simon : " alors que d' importants travaux , accomplis
postérieurement au crime, avaient modifié le cours de la Vologne"
" Un ru infranchissable", l' association antagoniste de ce vocable
avec son qualificatif, doit faire tiquer les cruciverbistes, qui n'
ont jamais eu à résoudre pareille définition ?
Simon a dû confondre avec le Grand Canyon du Colorado, ou les gorges
du Verdon ? pas très féru en géographie ? ou était-il alpiniste tel
un Président de la Cour de Cassation ? Celui qui était auparavant
Procureur à Évry et que le Garde des Sceaux Monsieur Toubon ... avait
fait rechercher, en vain en hélicoptère, près des sommets
himalayens... pour lui faire prononcer aussi, un non-lieu... mais à
l ' égard de ses amis politiques... de la famille Tiberi ?
Maurice aurait pu faire la confusion dans ce cas, avec le deuxième
ressaut de la voie nord de l' Everest, qui a été longtemps réputé :
" infranchissable", jusqu' à ce que les Chinois après 1960, y mettent
une échelle en aluminium pour permettre aux pseudo-alpinistes-
touristes-fanfarons, d' atteindre le sommet ?
On trouve sur Internet beaucoup de photos et vidéos, ( aux copyrights
plus ou moins volés, violant le droit à l' image et le droit à la vie
privée dus à tout citoyen... au respect dû aux morts, etc.) des
protagonistes, et des lieux du crime tels qu' ils apparaissent
aujourd'hui... Personne n' aurait des vues plus anciennes de 1984,
plus démonstratives, pour visualiser ce fameux : "ruisseau
infranchissable" longeant la Vologne, et de cette : " rivière au
courant impétueux" ?
Collectionneurs de photos anciennes ne pouvez-vous pas venir à la
rescousse, et confirmer la présence de ce :" ru" très particulier le
long de la Vologne en 1984 ?
*
L' avocate de CV, Me Chastant-Morand, dans son mémoire(4) contre l'
État : reproche entre autres : La perte d' une pièce à conviction
déterminante.
C' est la lettre du 16 octobre 1984 annonçant le crime, que les fins
limiers de la Gendarmerie, ont irrémédiablement détruite, sans perte
de temps, dès le : 17 octobre 1984, soit le jour de sa réception,
en la saupoudrant de poudre magnétique ( ce peut-être un carbonate
allié à une substance chimique noire ? ) en vue de trouver d'
hypothétiques empreintes digitales.
Des fois que l' expéditeur aurait, après avoir signé la lettre anonyme
par un :" foulage magique B.L. ", " casser la croûte" sur son lieu de
rédaction, en se souillant les mains avec une :" bouffe" bien
grasse... en manipulant par exemple : une bonne tranche de lard de
cette délicieuse, robuste et contiguë charcuterie alsacienne... quel
raffiné !
Il paraît d' après le Colonel Tanguy : " que ce faisant le spécialiste
de police technique de la brigade (de Gendarmerie) des recherches
mettait ainsi en pratique un enseignement reçu quelques mois plus tôt
à son stage de formation" (Fin de citation du mémoire (4))
Le chef de brigade de la Gendarmerie de Corcieux donnait des cours de
croassements aux corbeaux : CV et J-MV... (voir mémoire(1)...et d'
autres enseignaient les méthodes les plus efficaces pour détruire les
pièces à conviction ! à part cela : " Mon capitaine " est très
satisfait du travail de ses hommes et il s' en félicite encore
aujourd'hui !
Le gendarme Klein devenu ultérieurement expert auprès de la Cour d'
Appel de Nancy, ( il n' était donc pas expert agréé, au moment de la
découverte du foulage, et la Cour de Cassation n' a pas demandé l'
annulation de ses expertises ? ), explique : " que ce n' est que
dans le cadre du complément d' information, lorsqu' il a été entendu,
qu' il a révélé (cramponnez vous !) :
" J' ai passé la lettre de revendication du crime aux ultras-violets.
Mais je n' ai pas pu prendre de photographies, parce que nous ne
disposions pas à l' époque de pellicule couleur, ni des crédits pour
nous en doter ! Je le regrette d' autant plus vivement, qu' à cet
examen aux ultra-violets, j' avais parfaitement observé les lettres :
LB "( citation du mémoire(4)
Faut-il préciser qu' une pellicule de négatifs couleurs, de 36 poses,
valait en 1984 aux environs de 30 F ?, (moins de 5 Euros !) C' était
la dèche ! les gendarmes n' avaient pas de chiens pour suivre les
traces : " du kidnappeur", ni autour de la maison de Grégory, ni aux
abords de la Vologne... et même pas les : 30 F de crédits... pour se
payer une pellicule couleur ! Étaient-ils réduits à faire de la
mendicité agressive ?
Ils auraient pu troquer :"une peloche " aux nombreux photographes-
paparazzi-rapaces qui draguaient le secteur... contre un petite
violation de plus, du secret de l' instruction ?
Aujourd'hui la Justice est plus riche, la Cour d' Appel de Dijon
commande beaucoup d' analyses ADN à BIOMNIS ! qui ne servent
rigoureusement à rien.
Ils doivent avoir des actions chez MEYRIEUX, les Magistrats
bourguignons. ? Meyrieux va pouvoir sécuriser sa piscine. C' est
excellent... ça évitera à un autre VIP, de la famille de se noyer à 3
h du mat. par une belle et torride nuite d' été ?
A cause de cela, petites causes, grand effets, on a perdu pour
toujours :" le foulage magique" de : "Mon capitaine"... C' est
ballot !
Le papier du bloc, n' était pas à mémoire de forme ! et l' empreinte a
disparu ! " le témoin suspect principal" aussi... et le corps du
petit Grégory, qui a été incinéré, également...
On ne peut pas dire que l' on n' aura pas tout fait dans cette
sordide affaire, pour faire disparaître preuves et pièces à
conviction ! et ça continue... bientôt ce qu' il reste des cordelettes
va trépasser, par des recherches ADN demandées, qui seraient
destructrices !
La Science permet aujourd'hui de découvrir les causes de la mort de
Toutankhamon, d' un Tyrolien disparu depuis des millénaires dans un
glacier alpin, de retrouver la mobylette (et son voleur), du fils d'
un ex-Ministre de l' Intérieur,...qui a obtenu de la promotion...
mais pas les causes de la mort du petit Grégory en 1984 ?
Pourtant l' ADN trouvé, a été comparé au fichier génétique... et à
tous les protagonistes soupçonnés et re soupçonnés sans preuve... soit
à bien plus de personnes que dans
l' affaire Dickinson... débâcle totale !
Précision : Pour le crime de Dickinson, l' ADN du sperme du meurtrier
trouvé dans le corps de la victime n' exigeait aucune enquête ou
association de preuve complémentaire... On était en présence d' une
preuve matérielle accablante d' une valeur absolue. Ce qui ne serait
pas pour l' affaire du petit Grégory... où il faudrait en plus,
recouper les témoignages... 26 ans plus tard !
Curieusement le Procureur de Dijon, Monsieur Beney, fait des
annonces tonitruantes à la presse et aux médias, quand il indique que
l' ADN, va être prélevé par exemple sur MAL, mais oublie de donner les
résultats quand ils sont négatifs !
Tel en mai 2010, où il a été nettement plus discret qu' en octobre
2009 : " L' ADN ( qui était remarquable en 2009... mais d' une lettre
de juillet 1985)... " n' a rien donné"(SIC)... aucune explication...en
mai 2010 ? : "circulez il n' y a rien à voir ! "
Étrangement : BIOMNIS ne se mouille pas... Mêmes malversations que
pour les contrôles anti-dopage du Tour de France... Pour les
organisateurs : "tout est propre"...même le vainqueur Contador...
pour les autres : " des contrôles positifs seraient passés sous
silence" ? Il est vrai... que c'est le steak du boeuf que Contador
aurait mangé, qui était dopé ! faut pas confondre... tel Gasquet qui
fait un bisou à une amie shootée à la cocaïne ?
Qui croire la Science ou : "les hommes" qui la manipulent ?
En tout cas, pour le : "foulage magique L.B."... disparu, bien qu'
à la retraite, il faudrait peut-être demander à : "Mon capitaine" ,
qu' il se foule un peu... pour aider les enquêteurs ?
*
Si l' on ne connaît pas officiellement les causes de la mort du petit
Grégory, par contre on peut être sûr, (ce qui est réjouissant), que
les avocats de CV, celle-ci et son époux, ne mourront jamais d'
asphyxie, car tous ne manquent pas d' air !
Démonstration :
Dans ses conclusions du mémoire(4) sur la plainte contre l' État des
époux J-MV, devant la Cour d' Appel de Paris en juin 2004, l' avocate
Me Christine Chastant-Morand dénonce avec pugnacité... et un réel
culot :
"les erreurs commises lors de l' autopsie":
"Le Pr Le Breton n' avait pu que déplorer qu' aucun prélèvement de
viscères n' ait été effectué, et ce alors que les examens
toxicologiques destinés à l' identification des substances ayant pu
être absorbées par la victime se font à partir de prélèvements de
viscères qui sont traditionnellement faits en trois bocaux, le
premier comportant le sang prélevé dans la cavité cardiaque, le coeur
et les poumons (le plus possible de morceaux devant être prélevé), le
deuxième bocal comportant l' estomac, son contenu en entier et des
fragments de l' intestin et le troisième bocal comportant les
fragments de reins, de foie, de rate, tout cela n' ayant
malheureusement pas été fait !"
"Il s' agit de déficience d'autant plus lourde de conséquences, qu'
elle entraîne la disparition définitive d' éléments à conviction qui
eussent pu être et qui auraient dû être exhaustivement pris sur le
cadavre de la victime" (Fin de citation)
On ressent dans cette dernière phrase qui est écrite en très gros
caractères gras, toute la conviction, combien ça scandalise Me
Chastand-Morand, avocate et accessoirement "commis tripier occasionnel
" ! et... qu' elle n' a visiblement pas dû assister à l' autopsie,
où : "Mon capitaine" et le Juge Lambert n' étaient pas et c' est
encore un euphémisme, "très à l' aise"... Elle n' aurait sans doute
pas fait les mêmes demandes ?
On sait que les avocats véreux (excusez ce pléonasme) sont :
"gonflés", mais à ce point, ça dépasse les limites du crédible, plus
faux-cul, tu ne peux pas... tu meurs !
Si l' on analyse la chronologie des évènements on s' aperçoit que le
mémoire(4) contre l' État a été rédigé pour un procès contre celui-
ci, ayant eu lieu le : 28 juin 2004, mais que les parents de Grégory
avaient pris la précaution auparavant, au mois de février 2004, de
faire incinérer la dépouille de l' enfant, qui avait été primitivement
inhumé, : " ce qui a entraîné la disparition définitive d'
éléments à conviction qui eussent pu être et qui auraient dû être
exhaustivement pris sur le cadavre de la victime"(SIC, tel que
l'écrit l ' avocate, pour lui renvoyer l' ascenseur ! )
Résultat incontestable avéré : la Science peut aujourd'hui', révéler
les causes de la mort depuis des millénaires de ...etc. mais ne
pourra plus confirmer, ce que tous se doutent, et que la Justice n'
ignore pas non plus : que Grégory a été noyé dans l' eau de la
ville, le 16 octobre 1984, entre : 17 h 05' et 17 h 15',
vraisemblablement dans sa " baignoire."
On lit sur le site dit : " de référence gregoryvillemin. free" :
"21 février 2004, CV et J-MV après une demande préalable à la Cour d'
Appel de Dijon décide(ement) en toute intimité d' exhumé(r) le corps
de Grégory et de le faire incinérer pour garder ses cendres près d'
eux et d' essayer enfin de faire leurs deuils (Fin de citation... avec
les fautes en prime )
J-MV l' homme au fusil, dont l' équipement cérébral semble être le
parangon, copie conforme et doit côtoyer et rivaliser celui de son
frère Michel, n' a jamais réussi à reconnaître l' auteur d'un seul
appel anonyme, mais on constate qu' il commence par tirer et qu' il
réfléchit ensuite... ( enfin qu' il essaye... avec le Q.I. dont il
dispose, ça n' est pas gagné ! Comment a-t-il pu devenir
contremaître... " fayot " vendant ses collègues au taulier ? Encore un
mystère de la promotion : " canapé" ? )
Le : 16 octobre 1984, M. Jacquel avait failli être sa première
victime, le 29 mars 1985, J-MV après plusieurs tentatives les semaines
précédentes, abat d' un coup de fusil Bernard Laroche.
Mais ce n' est pas de sa faute, il n' est responsable de rien !
C' est la Cour d' Appel de Dijon, si complaisante à l' égard du
couple, qui vous le dit, vous pouvez la croire sur parole !
D' après l' Avocat général Kohn (comme son nom l' indiquerait ?) :
" Victime d' un crime odieux perpétré sur son enfant, J-MV n' a pas
trouvé auprès de " son juge d' instruction, le soutien moral qu' il
aurait dû en attendre" "(citation authentique et incroyable pêchée
dans le mémoire(4) contre l' État)
Ainsi est-il reproché au : "mémorable funambule de la
pensée" ( dixit... le même Kohn ) de n' avoir pas joué les :
"baby- sitter" et de n' avoir pas apporté tout le soutien
psychologique, qui n' était pas encore de mode en 1984, et qui l' est
devenu en toute circonstance de nos jours.
Les péquenots sont plus réalistes, plus subtils, moins truqueurs, ils
disent : " chacun son métier et les vaches seront bien gardées !"...
Mais Lambert a de bons dos !
Conclusion de M. Kohn : Si JMV est devenu un assassin, ce n' est pas
de sa faute, c' est celle des gendarmes, des journalistes, du
"journaliste" Ker, (peut-on l' appeler ainsi ?) de L. Lacour et de
consort, des médias, du juge d' instruction Lambert... et aussi
pourquoi pas du curé qui aurait omis au cours de l' enfance de J-MV,
de lui faire l'instruction très catholique (mais pas seulement), de
lui dire : " tu ne tueras point " ? Encore un à qui il faut tout
expliquer !
J-MV pareil à tout être humain, ( à moins que son cerveau atteint d'
encéphalite spongiforme, ne soit en dérangement , dans ce cas il doit
répondre de la psychiatrie), est responsable de ses actes et doit les
assumer... Les autres qui l' ont incité et poussé au crime, le sont
aussi et auraient dû être poursuivis pour incitation à la haine,
entre autres délits pénaux.(voire : complicité de crime).
On comprend mieux ainsi le silence actuel de Laurence... Elle n' a pas
enquêté et soupçonné qu' avec son cerveau...mais il est vrai que le
physique aide une femme. Un proverbe turc, dit en substance : " où,
le diplomate ne réussit pas, envoyez la femme ! "
Ainsi, est-il sidérant de constater que :
-- J-MV a éliminé et réduit au silence éternel : " le témoin
principal, principal suspect" : BL, qui aurait pu nous en dire un peu
plus sur la folle et rocambolesque équipée qu' on lui attribue.
-- J-MV et CV ont fait incinérer la dépouille de Grégory en sachant
parfaitement qu' ainsi, elle n' allait plus révéler tous ses secrets.
-- J-MV, CV et leurs : "conseils" font éliminer méthodiquement
depuis des années, toutes les preuves en demandant des analyses
destructives à la Justice... sur les conseils de Me Moser,( le
découvreur du : " témoin courageux" : Madame Conreaux), qui semble
très bien tuyauté aussi sur ce que les recherches ADN, ciblées, ne
pourront jamais prouver... et qui a remarqué depuis longtemps que les
magistrats de Dijon ont les pieds et poings liés par un non-lieu(3)
inique, vicié de Droit, qui constitue un déni de justice et un hold-
up, qui a privé : " le Peuple français" d' un procès d' Assises, et
des débats contradictoires que prévoit un principe fondamental de
notre Constitution.
Il en profite outrageusement pour les manipuler comme des
marionnettes... mais ses gesticulations et ses élucubrations
commencent par agacer sérieusement, et il faudrait qu' il s' en rende
compte, avant de se faire prendre lui-même pour un pantin.
-- J-MV et CV ont instrumentalisé les médias, écrit des livres... fait
du fric sur le cadavre d' un ange comme les rats journalistes, des
salauds, qui ont pondu des bouquins à ne pas mettre au clou d' un :
"chiotte"... et il y a des crétins complices qui les achètent !
pendant que d' autres font des voyages macabres pour aller visiter les
cimetières et les lieux funestes du crime.
Il est vrai que J-MV et CV (ce sont des circonstances atténuantes ) y
ont été poussés par des avocats vénaux, qui n' ont pas beaucoup de
compassion, ni sentimentale, ni humaine et préfèrent le palpable en
monnaie sonnante et trébuchante... défendre des insolvables ne les
intéressent pas... n' est-ce pas feu Me Garraud ?
La gent : "avocatière" a trouvé un filon inépuisable, un véritable
Eldorado... Elle en rajoute une couche de temps à autre, quand elle
est en manque, ça fonctionne ainsi depuis 26 ans !
-- Il y a 999 probabilités arithmétiques sur 1000, que CV soit l'
auteur du meurtre, puisque dans la fenêtre extrêmement réduite
entre : 17 h 03' et 17 h 32' 41'', de 30 minutes pendant laquelle
toutes les séquences permettant le crime litigieux, jusqu' à son
épilogue, qui est le deuxième appel téléphonique à Michel V, seul le
suspect qui détenait l' enfant encore vivant à : 17 h 03', pouvait
avoir le temps matériel de le commettre, (elle dispose même de 10
minutes 44 " de "bonus" pour donner deux appels ! ) c'est pourquoi
toutes les recherches depuis 26 ans pour impliquer BL avec d'
éventuels complices sont demeurées vaines (La dernière possibilité sur
1000 est que CV soit complice et qu' elle ait livré l' enfant, mort ou
vivant à un comparse ? )
On tente de retarder l' heure de la mort de Grégory, en manipulant les
faits, de l' endormir, de le mettre : "en conserve" ? où ? quand ?
comment ? par qui ? en élaborant des scenari d' une complication et
d' une imagination, diaboliques, d' autres grotesques, alors que
visiblement les acteurs en présence ne sont pas des postulants des
prix Nobel.
Rien n' y fait... l' ADN reste muet, (ou ses informations contrarient
la Cour d' Appel de Dijon, à tel point qu' elle se trouve dans l'
obligation de les laisser sous boisseau ?) preuves matérielles
absentes : Impossible d' impliquer un autre suspect, un autre
complice, impossible de résoudre la quadrature du cercle.
La même impossibilité qu' a le site dit " de référence
gregoryvillemin. free", depuis 26 ans, pour :" meubler" de manière
cohérente et sans faux-témoignages : 30 petites minutes de l' emploi
du temps de CV, le : 16 octobre 1984, en l' innocentant...et pour
découvrir en concomitance en résolvant la quadrature du cercle : la
solution possible pour impliquer un autre suspect.
Quand une mère est impliquée dans un infanticide, levée de boucliers
des biens-pensants, cris d' horreur et au blasphème du choeur des
vierges qui croient qu' elles sont devenues mères par insémination
divine et qui défendent corps et âme, contre toute logique : un
assassin, la Justice se dégonfle, les enquêteurs hissent le drapeau
blanc... Le crime le : " plus naturel" qui soit... et le plus odieux,
n' est ni justiciable, ni condamnable ! Passez votre chemin !
Ces 30 dernières années ont vu plusieurs cas d' infanticides
multiples : en 1984, un homme et une femme ont été condamnés à 8 ans
de prison, pour avoir supprimé 7 nouveaux-nés... en sept ans ! 1990 :
une puéricultrice a été condamnée à 12 ans de réclusion pour avoir
jeté aux ordures quatre nourrissons ! en 2000, dans le Loiret, une
mère cachait trois nouveaux-nés dans le congélateur... la prescription
étant de trois ans... le juge d' instruction prononça un non-lieu ! en
2005, une femme de 41 ans, en Ille -et -Vilaine est condamnée à 15 ans
de réclusion pour le meurtre de quatre bébés... en 2006, trois
nouveaux-nés sont découverts dans un jardin du le Loir-et-Cher... la
mère est mise en examen, l 'affaire est...en cours... 2007, une mère
de 34 ans avoue six meurtres de nouveaux-nés... 2009 : Véronique
Courjault est condamnée à 8 ans de prison... pour le meurtre de trois
bébés... elle vient d' être libérée ! 2010, huit cadavres de nouveaux-
nés sont exhumés dans un jardin, dans la Nord, la mère aurait avoué
les avoir étouffés... Maddie la petite anglaise disparaît au
Portugal... Le petit Antoine à Issoire ?
Résultat scandaleux : en bénéficiant du doute le plus total, (et de
beaucoup d' entourloupes) CV a été blanchie, ce qui, il est vrai, est
un principe de Droit ...(pas les magouilles !) mais par un non-
lieu(3) postulat, qui n' a pas pu recevoir la moindre réponse
contradictoire, même pas de la Cour d' Accusation de Nancy.
Les Magistrats bidouilleurs de Dijon ont choisi partialement pour un
complément d' information "bidon", les enquêteurs, les experts payés,
qui allaient tous dans le sens qu' ils ont prédéterminé, (et que les
politicards leur ont vraisemblablement imposé ? ) en les canalisant
suivant leur bon vouloir... Tout écart a été interdit !
-- J-MV et CV ont été reçus au Sénat, ce qui n' arrive jamais à un
citoyen normal sans histoire, qui n' a jamais commis aucun crime.
( pourtant l' un des deux... au moins... est un criminel !)
-- Ils ont touché, et ce aux frais du contribuable : la somme de 70
000 Euros, pour dédommagement de l' État, pour les fautes et
malversations, énormes de celui-ci, dont ils ont tiré le plus grand
profit, d' abord de celles des premiers enquêteurs (qui ont oublié de
perquisitionner leur domicile après : " le petit repassage"... de
Grégory... par sa mère ? , et avant " le gros ménage"... de celle-
ci, pour éliminer les preuves matérielles accablantes ?)
Le non-lieu(3) s'indigne : "Si CV était l' assassin de son fils, il
serait surprenant que cette femme si intelligente et d' une grande
présence d' esprit n' ait pas fait disparaître, alors qu' elle en
avait le loisir, un indice aussi compromettant pour elle" (cordelette
trouvée à son domicile, 23 et 24 ème charges... et les bottines qu'
elle utilisait le 16 octobre... bizarre : une femme qui hormis une
paire d'espadrilles ne possède qu' une seule paire de chaussures ! )
Qui peut croire qu' elle s' en soit privée, si elle était l' auteur du
meurtre ?
Ensuite pour les manipulations de la Cour d' Appel de Dijon, qui ont
contribué fallacieusement, illégalement, à innocenter CV et à
priver : " Le Peuple français" d' un procès d' Assises.
-- J-MV, a demandé une réhabilitation que la Cour d' Appel de Paris a
refusée. Il faut le noter contre l' avis d' un Parquet, c'est à dire
de ceux qui sont les courroies de transmission des gouvernements, qui
bafouent régulièrement le principe fondamental illusoire, mais sacro-
saint : " de la séparation des pouvoirs"
Il ne reste plus qu' à leur donner la Légion d' Honneur, ils n'
étaient pas encore inscrits sur la promotion du 14 juillet dernier...
mais au train où vont les choses, ils peuvent nourrir des espoirs, ça
va finir par arriver !
Leurs philanthropes avocats vont : "s' en occupationner"... :
comme le disait Clémenceau... " Par ici la monnaie ! Il suffit de
raquer !"
*
La preuve que lors du complément d' information, les témoins
auditionnés et les experts choisis par les Juges Simon et Martin, l'
ont été d' une manière totalement sélective et partiale:
Excluant d' office ceux qui n' étaient pas favorables à l' un des
inculpés, idem pour les enquêteurs, le choix délibéré de faire
reprendre l' enquête irrémédiablement endommagée au départ, par ceux
là même qu' ils l' avaient condamnée à l' échec, n' avait rien d'
innocent, et s' inscrivait bien dans une espèce d' abus de confiance à
l 'encontre de l' opinion publique.
Voici mis en ligne un article intéressant de l' Est Républicain, que
vous pouvez retrouver en tapant sur votre site de recherche favori d'
INTERNET : "Docelles Grégory"
" EXCLUSIF / Affaire Grégory: « Je n'ai jamais été auditionné »
Henri Bourion, maire de Docelles en 1984, était présent quand le corps
de Gregory a été sorti de la Vologne. Il raconte pour la première
fois.
L'affaire a beau dater, dans la mémoire d' Henri Bourion, il reste
des images fortes. L'ancien maire de Docelles n'a pas oublié ce soir
du 16 octobre 1984.
Appelé par le premier magistrat de Lépanges-sur-Vologne, il arrive
alors que le corps de Grégory est encore dans l'eau.
Il fait ouvrir le local des pompiers à quelques mètres de là, pour que
les gendarmes déposent l'enfant.
Lorsque les gendarmes constatent que le garçonnet est ligoté avec des
cordelettes, Henri Bourion est présent : « " Je crois que j'ai aidé à
enlever les cordelettes. Je me revois. C'est flou. Je ne sais plus
très bien ce que j'ai fait. Ça m'a marqué. Je ne trouve pas les mots.
J'ai été choqué par le : ''raffinement'' avec lequel l'enfant était
ficelé. Surpris. C'était soigné.».
Ce sentiment qu' il peine aujourd'hui à verbaliser, le travaille. Il
décide à l'époque d' en parler au Juge Simon, en charge de l' enquête.
« Il m' a dit, je vous auditionnerai, mais au bout du compte, il est
reparti en m' expliquant qu' il avait assez d'éléments ».
Henri Bourion reste avec son ressenti. Il échappe au feu des
projecteurs. « La presse n'est pas venue me voir. Les journalistes
voulaient entendre le maire de Lépanges ».
Henri Bourion aura pourtant un second contact direct avec l'affaire.
C'est à lui que le garde champêtre de Docelles remet le paquet
contenant une seringue, un emballage d' insuline et un coton.
De quoi alimenter de nombreuses hypothèses. « Le garde champêtre
élaguait les sapins. Il a trouvé un paquet contenant une seringue, un
emballage d'insuline et du coton. Je l'ai remis aux gendarmes ».
À quelle date ? Henri Bourion ne peut pas être précis, mais il est
formel : « C'était des semaines plus tard. Pas directement après la
découverte du corps ».
L'ancien maire présume que les deux faits n' ont aucun lien : « Le
paquet avait été jeté juste à côté du monument aux morts ». À
plusieurs centaines de mètres du lieu où on a retrouvé l'enfant. Dans
le Barba, un cours d'eau voisin de la Vologne.
L'enquête n' a pas démontré pour l'instant que la découverte d'
insuline et la mort du petit Grégory étaient liées.
Le pharmacien en poste à l'époque à Docelles, n' a d'ailleurs jamais
été entendu dans le cadre de l'enquête.
Stéphanie Schmitt et Magalie Delle-Vedove." (fin de citation de l
'article de l' EST RÉPUBLICAIN )
Il n' est pas utile... faut-il l' espérer ? sauf pour certains de
comprendre pourquoi le dit : " complément d' information" est une
vaste escroquerie intellectuelle et une machination concertée des : "
politicards", et des Magistrats indignes de Dijon, pour empêcher : "
Le Peuple français" de juger par un débat contradictoire, devant une
Cour d' Assises, une prévenue coupable d' infanticide, sur laquelle
pesaient, et pèsent encore 26 ans plus tard ! : 25 indices qui sont
toujours graves et concordants.
Alors qu' elle avait eu tout le temps suffisant, du fait de l'
incroyable incompétence, négligence, voire complicité, des premiers
enquêteurs, par l' absence de toute perquisition, de faire :" un gros
ménage", pour faire disparaître toutes les preuves matérielles
accablantes à son encontre et d' obvier rapidement aux découvertes que
la Gendarmerie pouvait faire.
Les gendarmes avaient appris à : "croasser" au couple pour lui
conseiller de donner des : "appels anonymes d' identification" (DIXIT
Me Chastant-Morand) et l' informaient quotidiennement du déroulement
de l' enquête !
On peut supposer que si CV avait été informée qu' une empreinte de
chaussure de femme avait été relevée près du : "point
privilégié"..."une femme si intelligente et avec une grande présence
d' esprit", se soit rapidement débarrassée de l' éventuelle paire de
chaussures qui pouvait l' avoir laissée ?
Si les Juges Simon et Martin ont débusqué chez l' avocat de CV, (le
fourbe Me Moser) un : " témoin courageux" Mme Conreaux, tenancière
de "boui-boui"... et un autre, moins courageux... Claude Colin qui
s' était déguisé le : 16 octobre 1984 en Jean-Louis Claudon et dont
le véhicule : VW golf blanche s' était masqué en Méhari,( ce qui a
donné des visions du genre de celles de Bernadette Soubirou, à
CV...et aux autres témoins... il est vrai aussi que l' on n' est pas
très loin du pays de Jeanne d' Arc... ), par contre, ils ont pris
le plus grand soin d' éviter de questionner ceux qui étaient bien
présents au moment de la découverte du corps de Grégory dans la
Vologne.
Le Maire de Docelles et le pharmacien de ce village, auraient pu en
dire un peu plus sur ce paquet contenant l' insuline... en particulier
ce dernier, qui devait avoir la liste complète des patients atteints
de pathologie diabétique, qui venaient acheter régulièrement une
médication, renouvelable à vie.
Cela aurait évité à certains pseudo-détectives et journalistes, de
délirer, de fantasmer, en se droguant avec ce produit, (ou en fumant
la moquette ? ) en lui attribuant des vertus que personne ne semble
connaître sur un enfant qui était plutôt menu pour son âge ( poids
voisin de 12 kg, à plus de 4 ans ! )... et à qui l' on attribuerait
finalement autant de causes conjointes de la mort, qu' au : " moine
aventurier athlétique et sévèrement membré " : Raspoutine.
Par ailleurs, il aurait fallu que l' utilisateur de l' insuline, si
elle a une quelconque relation avec le crime, soit aussi crétin que
l' auteur d' " un foulage magique", pour ne pas se retourner de : 180
degrés, et jeter dans la Vologne, ou le Barba, pour perdre : vitam
eternam, ce paquet qui a été trouvé comme par hasard à hauteur de
regard, et qui a fait beaucoup phosphorer les esprits.
On se demande comment l' individu BL qui n' avait aucune connaissance
médicale aurait pu se servir sciemment des effets inconnus de l'
insuline pour endormir un enfant, qu' il aurait ensuite tué ? alors
qu' aucun expert médical, n' est même pas capable d' émettre la
moindre hypothèse sur les conséquences d' une injection d' insuline...
nous dit le non-lieu(3) : " faute d' expérimentation ! "... Ils n'
auraient donc trouvé personne pour faire des essais... même pas dans
la gent animale ?
On s' interroge aussi pourquoi BL ou ses hypothétiques complices,
auraient endormi Grégory, pour le tuer en le jetant ensuite dans la
Vologne ? et pourquoi dans la Vologne ?
Quelle résistance peut opposer un enfant d'un poids voisin à : 12 kg à
un adulte ? aucune.
Par contre : on perçoit beaucoup mieux pourquoi l' autre suspect
avait la nécessité de mettre le corps ( mort ,) de Grégory dans la
Vologne... après l' avoir sans doute, immergé et noyé, comme on le
fait aux petits chats, dans l' eau de la ville de sa baignoire...
(alors qu' il aurait pu être déposé n' importe où ailleurs ?).
Cet artifice cynique, a sans doute fait :" boire le bouillon" aux
gendarmes... mais aussi aux policiers ! qui ont tous cru que Gregory
avait été noyé dans la Vologne et ce, en ignorant et en daubant les
analyses du Docteur Duprez, ce qui est paradoxal !
Parce c' est bien le seul dans cette affaire, à avoir fait son travail
d' expertise correctement, à l' aide d' un microscope et qu' aucun
avocat n'a critiqué !
L' oedème important du poumon qu' il a relevé confirmerait bien que
Grégory est mort noyé, d' autant plus que de l' eau a été trouvée dans
ses poumons, mais aussi dans son estomac, car comme l' on dit dans l'
imagerie populaire avant de périr noyé, on commence par : "boire la
tasse"
Qui pouvait téléphoner ensuite de retour, bien à l' abri des
recherches, qui seraient aussitôt déclenchées, crime accompli... en
prétendant ce qui la disculpe que : " sa mère est en train de
le( Grégory) chercher mais elle ne le trouvera pas ! " ?
Le Maire de Docelles a été choqué : " du raffinement avec lequel
Grégory avait été ficelé"... peut-on raisonnablement imaginer un
criminel se trouvant en pleine nature, apporter un tel soin, en
multipliant les risques d' être découvert, et perdre un temps
précieux, dont il ne dispose pas : pour soigner la présentation ?
Cela dépasse l' entendement et le seuil de crédibilité de tout
individu.
Pour parfaire le :" raffinement " : on ne peut pas dire non plus que
BL, ou MB soient : "les profils idéaux recherchés "(dixit :" Mon
capitaine"), ils seraient plutôt du type : " démoulés trop tôt, et
bruts de décoffrage ! "... par contre : "une bonne couturière [...]
qui tient bien son ménage..." ?
*
Et si pour détendre l' atmosphère et changer un peu de sujet, on
parlait du :" foulage magique" et des dits : "experts" en écriture ?
Peut-être parce qu' un mauvais plaisant a suggéré, sur INTERNET, qu'
il aurait pu aider lui-même à faire ce fameux foulage, curieusement
dans sa dernière interview : "Mon capitaine" ne parlait plus du
foulage, dont-il nous a rebattu les oreilles, pendant 24 ans, comme
ayant été la preuve formelle de la culpabilité du prévenu Bernard
Laroche.
Ce qui a toujours intrigué, parce que cela relève, si le meurtre du
petit Grégory, n' était pas un drame aussi atroce, d' un bêtisier au
goût macabre :
"L'assassin a lui-même signé... la lettre anonyme annonçant son
crime" !
Digne des Dalton et des Pieds nickelés, réunis ? n' est-ce pas ?
Le " pauvre petit juge... somnambule de la pensée" M. Lambert, si
critiqué, avec : Les informations : " sensées", et la matière
première de premier choix, que lui apportait : "Mon capitaine" devait
se trouver fort dépourvu... quand l' automne fut venu ?
-- Les enquêteurs ont indiqué que le foulage avait été découvert par
l' un d' eux : " 3 semaines après le crime " ?
Hormis, le fait que l' auteur d'un crime soit d'une imbécillité
démesurée, incommensurable, pour envoyer une lettre anonyme, le
revendiquant avant de l' avoir commis, a fortiori, avec une feuille
issue du même bloc, qu' il utilise habituellement pour écrire son
courrier, pourquoi les enquêteurs ont-ils mis : 3 semaines, pour
découvrir un foulage sur une lettre, alors que cet examen basique, ne
nécessite aucun appareillage sophistiqué, et alors que la lettre du :
16 octobre 1984, était le seul élément matériel en leur possession,
le : 17 octobre 1984, qui pouvait mener à l' assassin ?
On peut supposer qu' elle a été auscultée pendant trois semaines :
"sous toutes ses coutures" ?
Pourtant pour mettre en évidence un foulage... : " C' est pas
sorcier ! " : comme ils disent sur FR3, il suffit d' incliner la
feuille, de dos à l' écriture, à la lumière du jour, afin d'obtenir l'
éclairage le plus rasant possible, et l' on voit immédiatement, si le
papier est parfaitement lisse, ou s' il possède des incrustations
autres que celle du texte que l' on distingue par transparence.
Dans un bureau d'étude lorsqu' un dessinateur ( ceux du temps
passé... qui n' utilisaient pas la DAO ), corrigeait une erreur sur
son calque, au grattoir pour un dessin à l' encre, ou à la gomme dans
le cas d' un dessin au crayon, on voyait immédiatement au premier coup
d' oeil, les marques de cette correction.
Jusqu' en 2009, une vidéo de M6, publiée sur INTERNET, expliquait :
"Le foulage magique", de : "Mon capitaine", dans un résumé de l'
affaire Grégory qui durait 18 minutes. Ceux qui l' ont regardée,
pouvaient-ils croire qu' il faille trois longues semaines d'
investigations, pour le découvrir ?
En tout cas, cette vidéo a disparu, en même temps que que le site
dit : " de référence gregoryvillemin. free, première mouture", qui a
été brusquement suspendu, pendant que des forums relatant l' affaire
ont été également censurés(*) d' Internet par France-Télévision ?
Curieuses et troublantes coïncidences ?
Nota bene (*) : " censurés" : faut-il préciser ? car tous ces forums
et leurs contributions, avaient été publiés sur INTERNET après l'
acceptation de leurs billets, par les modérateurs, donc après qu' ils
aient été modérés...
C' est à dire : ils ont été censurés comme l' était la PRAVDA ( La
vérité en russe...suivant : le "petit père du Peuple" : Joseph de son
prénom, Vissarionovich DJOUGATCHVILI de son patronyme, aussi dur à
écrire que les Staline and Co n' étaient pas démocrates ?
-- La question impertinente qui était posée et qui est restée à ce
jour, sans la moindre réponse (sauf celle d'une constante intelligence
d' une Internaute qui me :" marque toujours à la culotte"), est :
pourquoi les enquêteurs n' ont-ils pas trouvé sur la lettre annonçant
le crime ( celle du : 16 octobre 1984, portant l' oblitération de :
17 h 15'), par foulage : le reste du texte que devait nécessairement
comporter la page précédente du bloc, d' où provenait selon eux, le
foulage : "LB"
Pourquoi n' ont-ils découvert que les deux seules lettres, d' une
signature très rudimentaire, donc facilement reproductible ?
D' abord était-ce la signature habituelle de BL ? ou celle qu' il
réservait par mauvaise volonté évidente aux enquêteurs, qui
devaient :" lui courir sur le haricot " ?
Certains : "écrivains", du bord de la Vologne, troublés par l'
angoisse de la feuille blanche, useraient-ils leur bloc de
correspondance, pour ne mettre au bas des feuillets de format A5, qu'
une seule signature ?
Bizarres : "ces secrets de la Vologne", qui rendent les juges, les
enquêteurs, bavards... et amoureux, les témoins strictement muets...
et les auteurs de crime complètement tavelés ?
-- D'après les enquêteurs le foulage et une signature déposée à la
gendarmerie, par superposition et par transparence :" collaient
parfaitement " !
Jamais une signature aussi simple soit-elle, n' est rigoureusement
identique donc : "superposable"... d' ailleurs quand elle ne possède
que deux lettres, elle est encore plus difficile à : "superposer"
qu' une griffe continue, car l' espace vide entre les deux lettres,
n'est jamais le même.
Il suffit de demander à ceux qui contrôlaient jadis la correspondance
des signatures sur les chèques, avec celle déposée dans une banque
par : " superposition parfaite " , aucun chèque n' aurait jamais
été, ni accepté, ni validé !
La seule façon pour qu' elles soient parfaitement : " superposables
", qu'elles : "collent parfaitement", comme le disent les enquêteurs,
est d' interposer un carbone entre les deux feuilles... Comme le
faisaient les dactylos qui n' utilisaient pas les logiciels, mais
tapaient à la machine, en empilant des feuilles très minces
appelées : " pelures " entre lesquelles elles glissaient des
carbones, pour faire les copies des courriers à conserver.
-- Le foulage est dû à la déformation et à la compression des fibres
du papier par le stylo, il est plus profond s'il s' agit d'un stylo à
bille, et pratiquement inexistant si l' écriture est faite à l' aide
d'un stylo-feutre, ou d' un stylo à plume.
L' appui du stylo déforme la surface de la feuille, comprime les
fibres et permet aussi un transfert microscopique de celles-ci de l'
une à l'autre feuille.
Pourquoi par analyse microscopique n' a-t-on jamais essayé de
définir : si ces fibres mutantes étaient bien issues du même bloc, du
même papier ?
-- N' était-il pas béatement naïf de rechercher des empreintes
digitales, sur une lettre anonyme, en considérant que son auteur
devait être un demeuré, pour commettre la négligence, de ne pas
prendre des gants, alors que l' on savait que malgré des milliers
d'appels et plusieurs lettres anonymes, la Gendarmerie n' avait jamais
réussi à mettre un seul nom sur leurs auteurs ? étrange d' ailleurs,
que l' on n' ait même pas trouvé les empreintes et l' ADN du
destinataire ?
On peut constater aussi, que le foulage n' est pas apparu de suite,
mais bizarrement après l' audition par la Gendarmerie de Bernard
Laroche ? Pourquoi ?
Une petite explication ... ( du genre peau de banane, glissée sous les
pieds) :
Connaissez-vous ces lieux, très hospitaliers, (Police ou
Gendarmerie) où de charmantes et accortes personnes, généralement en
uniforme, ( munies encore aujourd'hui d' ordinateurs datant de
Mathusalem, d' écrans EGA, d' antiques logiciels Works ), rédigent
rien que pour vous, en vous entendant, sans vous écouter, une belle
prose, avec une orthographe très originale ? (en 1984, elles le
faisaient encore avec les antiques : Remington, Jappy ou
Olivetti...)
Le texte transcrit ne correspond pas toujours à celui auditionné,
mais qu' importe... Elles vous demandent avec l' extrême obligeance
qui les caractérise, seulement de vous exécuter et de parapher leur
belle littérature, aux bas de de chaque page ? Signez ici SVP !
N' y aurait-il pas eu un : Pandore coopératif, pour glisser
subrepticement... par inadvertance, sous les auditions à signer par
BL, la lettre du : 16 octobre 1984 ?
Qu' en pense : "Mon capitaine" ?
Et si le Gendarme Klein, au lieu de nous montrer des photos illisibles
du foulage magique, nous sortait le document signé par BL qui était :
"superposable" et qui : " collait parfaitement au foulage", la Justice
pourrait identifier d' où il provient, et où il a été signé ?
Ce serait plus facile que d' essayer de trouver, où a été envoyé une
hypothétique page précédente du bloc, ne comportant qu' une griffe à
deux lettres ?
Entre parenthèses : de fameux experts les Klein et Davidson ! Jugez
plutôt :
"Au terme d' une étude très approfondie et minutieuse illustrée par de
nombreuses photographies, les experts Klein et Davidson, ont fait
connaître en conclusion de deux rapports du 10 décembre 1991 :
[...] malgré quelques rares divergences, de nombreuses concordances de
forme permettaient d' attribuer les lettres en écriture cursive, à
savoir la lettre du 17 mai 1983, [...] et la lettre postée à Lépanges
le 16 octobre 1984, ainsi que leurs enveloppes, documents rédigés par
une main gauche particulièrement habile, à Bernard Laroche, qui
possédait une grande maîtrise du geste graphique de la main
gauche" (Fin de citation du non-lieu(3))
"Une main gauche particulièrement habile... et une grande maîtrise de
la main gauche ! "...Vous dites cela à un âne à qui vous présentez les
documents, il vous satellise !
Les lettres et leurs enveloppes sont visibles sur INTERNET, chacun peu
juger du bien fondé de telles conclusions sidérantes, liant l'
incompétence à l' affabulation.
Que distingue-t-on en réalité : Le rédacteur de la lettre du : 16
octobre 1984, sans doute tétanisé par l' émotion, avait perdu toute
coordination et maîtrise, gestuelles... Il est impossible que dans
des circonstances normales, il ait pu écrire aussi mal.
Si on lui avait fait passer le test psychotechnique de Ricossay,
auquel étaient soumis dans les années 1980, les caristes et les
conducteurs d' engin, (et aujourd'hui : les chauffards en recherche
des points perdus du permis de conduire), il aurait été
irrémédiablement recalé.
Il fallait sur une espèce d' ardoise magique, en synchronisant les
mouvements octogonaux de la main gauche et de la main droite, piloter
un curseur et lui faire suivre, une piste ayant grossièrement la forme
d'un 2, sans en toucher les bords, ce qui déclenchait un bip sonore,
qui était suivi immanquablement de mouvements erratiques et
désordonnés. Une feuille de papier enregistrait le tracé effectué et
le nombre de fautes. Elle était présentée au Médecin du Travail, pour
qu' il donne son avis pour les autorisations de conduite.
L' écriture de la lettre du 16 octobre 1984, est irrégulière et part
dans tous les sens... Nos professeurs des écoles mettraient une note
proche de zéro, à un élève de cours préparatoire, qui écrirait ainsi.
" La main était si habile", que le premier "8 "de "88600" de l'
enveloppe a été tenté, en faisant deux zéros superposés, que l'
auteur n' a pas réussi à faire tangenter ! et ressemble à un 6.
Par contre et croyez un ex-dessinateur : le "V" de Vologne avec des
oves internes est très typique d' une écriture féminine.
Il aurait été plus judicieux au lieu de faire exécuter des dictées aux
principaux protagonistes (où chacun pouvait facilement masquer sa
vraie écriture ) de rechercher les courriers qu' ils avaient envoyés
et d' en faire la comparaison avec les missives anonymes...
Par exemples pour CV : la commande adressée le : 15 octobre 1984
au : " Vert Baudet"... les déclarations d' impôts de BL, MAL, et
consort...Ne trouvez-vous pas ? Les résultats eussent été plus
pertinents ?
Et si au lieu de faire reconnaître les écritures par des pseudo-
experts... incompétents et truqueurs, la Justice avait demandé à un
collège de professeurs des écoles leur avis, ou à un bureau d' études,
croyez-vous que les résultats auraient été aussi contestés ?
*
Réponses faites aux intervenants du forum Le MONDE :
*
“Sacré Toni ! Il nous bassine avec ses arguments/redondants à la “mord-
moi-l-noeud”, mais il ne sait toujours pas nous expliquer comment
Christine Villemin a tuer son fils…!” nous dit : “moi” ?(Claude
Thines)
Réponse :
Mon cher Claude… vous qui avez toujours battu en retraite…quand on
vous a donné des arguments irréfutables, que vous ne pouviez pas
contrer.
Il vaut mieux que les témoignages et arguments soient : ” redondants”,
plutôt que tels les vôtres et ceux de vos : ” pseudo-
détectives” ( qui : ” travaillent pour vous aux bords de la
Vologne”) , à la : ” mords-moi-le nœud” (comme vous le dites en
devenant vulgaire) : contradictoires, discordants, incohérents, voir
complètement débiles, car c’ est bien pour cela que le site dit : ” de
référence grégoryvillemin.free, première version”, en manipulant
fallacieusement les faits et leur chronologie, s’ est fait piquer en
novembre 2009, en : ” flag”, la main dans le sac !
Vous devriez être plus loquace sur ce sujet et dire à vos amis : Qui
vous manipule ? Qui vous a fait suspendre le premier module avec
ses : 2416 sujet ?
On attend vos réponses !
D’ après votre : “investigatrice” de choc, tel que vous l’ écriviez
naguère (il n’ y a guère de temps) en voulant parler : “d’
instigatrice” à propos de CV… Miss Marple qui n’ en est plus à une
ineptie près (Elle ne doit pas avoir eu beaucoup d’ enfants, ou alors
il y a très, très longtemps, et dans son hospice, où elle se meurt d’
ennui, elle ne s’ en rappelle plus ?)
Grégory à 4 ans… qui ne pesait que 12 kg, qui devait avoir la même
digestion difficile que sa mère (8 ans pour ne pas avoir digéré de s’
être faite jeter par Bruno Magron, pour CV ! et 5 heures nécessaires à
Grégory, pour ne pas arriver à digérer une pomme, voire 9 h… pour le
repas de midi ? ) savait tout faire : du vélo, nager, fuguer de chez
sa mère-grand… pour aller faire ses courses et ses achats de bonbons…
tout seul à Bruyères…Il serait même monté lui-même dans la voiture de
BL !
S’ il avait su aussi écrire en faisant la faute que vous avez commise,
et en plagiant Omar…
Il aurait pu écrire : ” Maman pourquoi tu m’ as “tuer” ? ”
C’est peut-être la question que se pose toujours ce petit ange du haut
de son ciel ?
toni
*
"Faut il être stupide quand même, au delà même de l' inexactitude pour
ne pas dire contre-vérité de ce que vous écrivez là, que c' est
précisément cette idée loufoque que le crime aurait été commis dans ce
créneau horaire même élargi à une demi heure comme vous le faites en
vous asseyant sur les témoignages de mme Claudon, de m. Méline, de la
nourrice, de la mère du petit camarade de Grégory, et l' horodateur du
car du fils Claudon, cet horaire donc serait la meilleure preuve de l'
innocence de Christine Villemin : pourquoi voulez vous qu' elle se
précipite tuer son enfant en 15 minutes avec tous les risques de se
faire prendre, alors que comme le disait si justement le SRPJ, pour
une fois, elle était seule à disposer librement de l' enfant, et ce
jusqu' à 20h30 au moins" (EL...)
Écrivait en réponse à un de mes billets, une internaute dont le
marquage à la culotte ressemble à celui de certains défenseurs d'
Helenio Herrera, qui pratiquait : le "catenaccio" à l' INTER de
MILAN !
Réponse :
Je m' assois effectivement comme vous le dites, sur l' emploi du temps
donné par CV de : 17 h 03' à 17 h 32' 41 '' pour des raisons que j'
ai données en citant une à une les discordances, qui existent, entre
les extraits du non-lieu(3), les conclusions du mémoire(1) en faveur
du non-lieu écrites par Me Chastant-Morand et le : "schéma
horaire"(2), tous ces documents proviennent du même site dit de :"
référence gregoryvillemin. free" et ont la même source, et j' attends
le : " en cours : 16 octobre" de la troisième version. Son
accouchement qui ne fera pas la une de Paris-Match est très
laborieux... quel travail depuis 26 ans !
Sans contestation possible, tous les témoins concernés par l' emploi
du temps de CV au niveau du domicile de Grégory, se sont entendus et
ont menti. C' est une certitude absolue, que personne ne peut nier,
pas même les Magistrats de la Cour d' Appel de Dijon, qui dans ce
bréviaire de littérature juridique qu' est l' annulation de la
première charge, reconnaissent.
Si ces témoins se sont concertés, leurs auditions étaient sans
dissonance, donc les enquêteurs qui n' étaient pas très futés et qui
auraient pu s' apercevoir que c' était trop parfait pour être vrai, n'
y ont vu que : " du bleu" de la fumée, et ont validé.
Heureusement que les : "Zorros" de Dijon sont arrivés pour découvrir
le pot aux roses... mais ce qu' ils en retirent, et rectifient n' est
hélas, ni plus crédible, ni plus convaincant, bien au contraire et
c' est bien là, qu' est le clou indigeste dans leur brouet.
Ils auraient pu relever la conjonction, insolite, non démontrée et
irréaliste de 4 faits, en un lieu précis : l' entrée de la ferme de
Madame Claudon, de 4 coïncidences en un point distinct, qui est à
probabilité mathématique pratiquement nulle (Il y a autant de
possibilités arithmétiques que tous ses : "faits" soient
simultanés... que de gagner le gros lot au Loto) :
-- L' arrivée à la ferme, de Madame Claudon et de son troupeau de 36
vaches.
-- Le retour de CV, rue des Bosquets après :" ses recherches au
village" et son blocage par les vaches
-- L' arrivée du car scolaire du fils de l' agricultrice Claudon,
dont le contrôlographe indiquait : 17 h 32' 41 ''
-- L' appel téléphonique reçu par l' oncle de Grégory à : 17 h 32'
X"
Il s' agit là, incontestablement d' un montage aussi artificiel que
virtuel, parmi les plus suspects, a fortiori, parce que CV n' avait
pas à passer par la rue des Bosquets pour retourner chez elle, en
allant au plus vite, puisque cet itinéraire la rallongeait par rapport
à : " la voie rapide" (dixit le mémoire) et parce qu' elle savait
aussi, qu' elle allait se trouver bloquée par le troupeau des 36
vaches, qu' elle avait vu en partant.
Si elle a emprunté cette voie, c' était uniquement dans le but d'
apparaître à certains témoins. Si elle avait été : " la recherche de
son enfant", très pressée, elle aurait : "taillé "au plus court.
Il y a eu substitution de témoins et de véhicules... Pourquoi CV et
les autres témoins n' ont-ils pas vu le 16 octobre 1984, que la
voiture qui barrait : " la route du bas" n' était pas une Méhari,
mais une VW Golf blanche ? (aucune confusion n' est possible entre
ces deux véhicules très différents) et que son conducteur n' était pas
Monsieur Jean-Louis Claudon, mais un autre individu, qui serait M.
Claude Colin ? " alors qu' il a fallu 7 années d' information pour l'
apprendre " ?( dixit Me Chastant-Morand)... Pas un seul n'
aurait :"moufté" et vendu la mèche ?
Par ailleurs , que vous le vouliez ou non, tel que l' écrit Me
Chastant-Morand dans ses conclusions du mémoire(1) pour le non-lieu :
si CV est partie à : "la recherche de Grégory dans le village", après
le retour de promenade de Monsieur Bernard Colin, que l' avocate
situe à 17 h 28' 08''...( chronométrage du Juge Simon) et que : "
le schéma horaire"(2), indique à : 17 h 33'... (chronométrage du
SRPJ) : Il est matériellement impossible que CV, se trouva de
retour rue des Bosquets, avec le car du fils de l 'agricultrice
Christian Claudon, derrière elle, à : 17 h 32' 41 '', car dans le
cas indiqué par : " le schéma horaire"(2) avec le chrono du SRPJ...
elle serait revenue avant d' être partie ! et dans l' hypothèse du
Juge Simon : elle n' aurait disposé au grand maximum, pour : "les
recherches au village"... que de 4 minutes 33 secondes, ce qui est
insuffisant, ( encore aurait-il fallu qu' elle parte dès que Bernard
Colin est arrivé à la hauteur de la ferme des Méline, ce qui n' est
pas le cas : le chronométrage est de : 6 ' 35'', jusqu' à la
ferme )... et : "les vaches qui défilaient " (SIC) quand CV est
partie, auraient fait : 600 m en : 4' 33'', à une très bonne
moyenne... qui les aurait qualifiées pour les J.O. ! (7, 91 km/h)
On peut dire que cette rencontre à probabilité nulle n' a jamais eu
lieu et est une pure invention ! une machination, un montage
captieux !
Par ailleurs : si l' on retient l' hypothèse soutenue par le non-
lieu(3) dans l' exclusion de la 12 ème charge qui indique que les :
"recherches de CV, au village auraient duré plus de 10 minutes",
partant au plus tôt à : 17 h 28' 08 ", CV ne pouvait pas être
revenue avant : 17 h 38' , le car scolaire et son contrôlographe
spécial ( précis à la seconde près !), avait largement le temps d'
être entré à la ferme.
Les témoignages des dames Ory et Pluton, (12 ème charge) qui auraient
vu CV au village à : 17 h 40', sont un mystère qui n' a jamais été
élucidé... ce qui tendrait à prouver qu' à partir de : 17 h 33'
contrairement à ce qu' elle a toujours indiqué, CV n' était pas avec
les époux Meline à son domicile... d' ailleurs si elle avait été chez
elle, sa belle-mère Monique V qui l' a appelée au téléphone, aurait dû
pouvoir la joindre... ce qui d' après le non-lieu(3) n' a pas été le
cas.
Il y a eu manifestement une concertation et une entente illicite, les
auditions ont additionné un tissus concordant de faux-témoignages,
nous sommes en présence d' une : " tapée de menteurs", on met le tout
à la poubelle !
Que cela vous choque ou pas, c'est la règle ? et on peut affirmer
(c'est une donnée mathématique) : que CV en sortant à : 16 h 52' de
la M.C.V., a disposé de : 40 minutes 41 secondes, jusqu' à : 17 h
32' 41'', pour accomplir toutes les opérations conduisant à la
réalisation du crime.
Le SRPJ indiquait que le temps chronométré qui lui était nécessaire
pour accomplir le meurtre était de : 29 minutes 57secondes, en
conséquence, on peut déduire qu' elle disposait bien de : (40 '
41'', moins 29 ' 57'') de : 10 minutes 44 secondes de :" bonus" pour
donner deux appels,( dont le dernier à Michel V à : 17 h 32' X''), et
pour : "défiler" devant quelques témoins.
C' est la résolution brutale arithmétique de " l' énigme", qui fait
fi de tout sentiment, de tout arrangement et de toute complaisance.
Ni le Juge Simon, ni le non lieu(3) n' ont jamais prétendu comme
vous, que CV n' avait pas le temps matériel de commettre le crime...
au contraire, relisez l' annulation de la 12 ème charge... seulement
il ne faut pas confondre :" prétendues recherches au village"... et
immersion de l' enfant.
Reste à faire concorder les témoignages... pour ceux de Madame Jacquot
et de Madame Parisse, c' est aisé, si au lieu d' aller faire des
soi- disant : " recherches au village", CV est allée, tel qu' on peut
le soupçonner... un peu plus loin, immerger son enfant dans la
Vologne (ce qui d' après les chronométrages ne lui prenait que 5
minutes supplémentaires) , CV pouvait rencontrer et se montrer à ces
deux témoins, sans perte de temps excessive, à l' aller ou au retour,
au choix, puisque c' est sensiblement sur l' itinéraire menant au :
"point privilégié".
Quant à recouper avec la réalité mathématique, les témoignages de CV,
des époux et fils Claudon, de Bernard Colin, de Claude Colin et des
époux Meline, le site :" de référence. gregoryvillemin. free", n' y
arrive pas depuis 26 ans, comment voulez-vous que d' autres y
parviennent ?
On procède à la même analyse pour BL, en utilisant le deuxième
témoignage annulé de MB, et en constatant que la non-concordance
décelée dans le premier, par les gendarmes, dans l' ordre des arrivées
chez Louisette, prouve au moins qu' il n' y a eu aucune concertation,
ni entente illicite, préalables entre BL et MB avant leurs auditions
respectives... qui ont eu lieu pour BL le : 25 octobre 1984 et pour MB
le : 31 octobre.
Qui peut donner avec certitude l' ordre d' arrivée à son domicile : 9
à 15 jours auparavant ? Qui peut dire sans possibilité d' erreur
les personnes qu' il a vues ou pas dans un autobus : 15 jours en
arrière ? idem ! Faites l' essai pour ce qui vous concerne, pas sûr
que : " Mon capitaine", ne vous coffre pas avec votre profil idéal !
On fait partir BL et MB du CES de Bruyères à 17 h 05', en
additionnant les chronométrages du Juge Simon, qui devait être aussi
pilote des bolides de Dijon-Prénois ? parce qu' ils sont réduits au
minimum :
Pour faire une bonne quinzaine de kilomètres et pour commettre
toutes les séquences menant au meurtre de Grégory, jusqu' à la
troisième communication téléphonique donnée à 17 h 32' X''... avec des
difficultés de réalisation en passant inaperçu, bien plus importantes
que celles de CV, BL aurait disposé selon le Juge, de moins de : 28
minutes !
Alors, que : " le schéma horaire"(2) ne peut faire arriver BL à
Docelles sur une place inconnue, avec Grégory encore vivant qu' à : 17
h 27', ce qui conduit à constater, en estimant à 5 minutes le temps
de : " neutralisation" ( le chronométrage est donné dans : "le schéma
horaire"(2)) qu' à : 17 h 32' X '', BL serait sur le point de
mettre à l' eau Grégory.
Il lui manquerait ainsi, le temps occulté par le site dit : " de
référence gregoryvillemin.free, dans sa première mouture", qui peut
être évalué à une dizaine de minutes, soit : au moins 1 minute pour
permettre à BL accompagné de Grégory, d' aller à pieds de la place où
a été garé le véhicule de BL, jusqu ' au bord de l' eau, au moins
deux minutes pour se rendre aussi à pieds du bord de l' eau, à une
cabine téléphonique, et 3 fois deux minutes pour donner les trois
communications téléphoniques qui lui sont attribuées. (une de plus à
l' adresse de la mère de Grégory)
Le non-lieu(3) nous permet de faire une étude comparative sur un
parcours réel similaire, qui n' est pas un chronométrage ni corrompu,
ni manipulé. Il nous écrit : " à l 'annonce de la disparition de son
fils, J-MV regagna en hâte sa maison, saisit un fusil... etc." (fin
de citation...Entre ( ), bizarres ces gendarmes qui laissent repartir
JMV... avec un fusil ? )
Or, d' après le : "schéma horaire"(2), du site dit : " de référence,
gregoryvillemin. free", première mouture : JMV serait arrivé à son
domicile le 16 octobre 1984 : " vers 18 h 40' "( SIC) , après avoir
été averti par sa mère, que Grégory avait disparu, par une
communication téléphonique donnée avant : 17 h 45' .
Il aurait ainsi mis plus de 55 minutes pour faire seulement un peu
plus de 15 km qui séparaient La Chapelle-devant-Bruyères, lieu de
son travail chez Auto-Coussin, jusqu' à son domicile... pourtant il
devait être : "on ne peut plus pressé "? (vitesse moyenne : 16, 36 km
par heure)
Un autre élément de comparaison est donné par un chronométrage du Juge
Simon. Le non-lieu(3) écrit que : " le magistrat instructeur, au
cours d'un transport sur les lieux, s'est attaché à vérifier la
crédibilité des témoignages de Claude Richard et de Sonia Pierson :"
"Il (le magistrat instructeur) a parcouru le chemin, en automobile,
le trajet qu' auraient pu parcourir Laroche et Murielle Bolle depuis
ce même parc jusqu' à l' avenue Maréchal de Lattre, (à Bruyères) en
direction de Lépanges et il a chronométré ce parcours : le temps est
de 4 minutes 56 secondes" ...(Fin de citation)
Donc BL aurait mis : 4 minutes 56 secondes... pour faire environ 400
mètres ! ( vitesse moyenne : 4, 86 km par heure).
Ce qui démontrerait que les déplacements du côté de Bruyères n'
étaient pas si véloces que le Juge Simon les a supposés, qu' il
aurait un peu trop appuyé sur : "le champignon ", et peut-être aussi
abusé un tantinet de Mercurey ?
Vérification : Le chrono. total pour arriver du CES de Bruyères, au
carrefour rue des Champs- Faing-Vairel est de 8 minutes, il reste à
BL : 3 ' 04 '' pour faire les 6 à 7 km (vitesse moyenne : de 117 km
par heure... à 137 km/h !)
Conclusion arithmétique : un des deux suspects dispose de : 10' 44''
pour donner deux appels téléphoniques... et il manque à l' autre au
minimum : une minute pour permettre à BL accompagné de Grégory, d'
aller de la place où a été garé le véhicule, jusqu ' au bord de l'
eau, deux minutes pour se rendre du bord de l' eau, à une cabine
téléphonique, et 3 fois deux minutes pour donner trois
communications.
" Pourquoi voulez vous qu' elle se précipite tuer son enfant en 15
minutes avec tous les risques de se faire prendre, Alors que comme le
disait si justement le SRPJ, pour une fois, elle était seule à
disposer librement de l' enfant, et ce jusqu' à 20h30 au moins"...
nous écrit la même Internaute !
Réponse :
La bonne blague ?
Le fait prétendu et contestable que CV aurait laissé seul à l'
extérieur de la maison, un enfant de 4 ans, qu' elle disait menacé...
(peut-être pas... si elle était le corbeau ?), en automne, un 16
octobre... , après 17 h, alors que le soir, le froid tombe très
vite, dans une cour non fermée, et sans surveillance, met en émoi et
terrorise beaucoup de mères plus attentives... et même l
'agricultrice Madame Claudon !
Pouvait-elle, le mettre dehors plus tard, à la nuit tombée et
prétendre qu' il aurait été kidnappé pendant qu' il jouait à l'
extérieur ? Ce n' est pas sérieux ! On l' aurait accusée de
maltraitances, de manque de raison.
*
Un petit problème de niveau scolaire CM2, a été posé sur le forum du
premier module de Claude Thines, réouvert pour quelques jours du 11 au
14septembre 2010
Pour que le gestionnaire Claude puisse prouver un court laps de
temps : " qu' il en avait"... sous la semelle ? "qu' il était
entièrement libre !" (LOL !... libre mais à portée de fusil ? )
Voici son énoncé :
Un petit problème de CM2 pour : " le choeur des vierges et les
autres..."
(El... qui a fait Math sup est autorisée à ne pas répondre, ce serait
trop facile pour elle !)
Vous allez d' abord sur le site dit : " de référence
gregoryvillemin.free", tel qu' il apparaît encore et qui est la
deuxième mouture :(On était le : 14 sept 2010)
Vous allez sur : " Procédure", vous cliquez, et vous recliquez sur :
"mémoire(1) dans l 'intérêt de CV", vous allez page 53 " : sur l'
impossibilité matérielle pour Mme CV d' avoir commis l' acte
effroyable dont elle a été inculpée"... Vous lisez, ou vous faites
lire par quelqu' un qui sait.
Vous lisez avec attention le paragraphe 3 : 3 ème phase... Les V.
avaient un beau canapé, mais une seule horloge (pourrie) du chauffage
qui indiquait :17 h 30'... mais en fait il n' était que : 17 h
23' ( bizarre ! ), heure à laquelle CV serait sortie de son domicile.
Sachant que M. Bernard Colin est arrivé à la hauteur de chez les
Meline à : 17 h 28' 08'' (je l' indique correctement parce Me
Chastant- Morand a une curieuse façon d' écrire les horaires, elle n'
a fait que Math spé ? )... à 17 h 28' 08'' se trouverait avec Bernard
Colin, M. Méline à hauteur de leur ferme.
Vous allez paragraphe 4 : 4ème phase : "après avoir interrogé... etc"
Mme CV sortit sa voiture et alors que les vaches défilaient, et
descendit par la voie rapide"... pour aller faire des prétendues"
recherches au village."
Même en estimant que CV serait partie au plus tôt à : 17 h 28' 08
''( donc, sans compter le temps mis pour descendre de la ferme, pour
démarrer et sortir sa voiture, soit : plus d' une minute !), comment
CV pouvait-elle pu arriver à la ferme des Claudon, sise : rue des
Bosquets, après ses prétendues : "recherches au village", pour être
bloquée par le troupeau à : 17 h 32' 41'' ?
Le non-lieu(3) vous fournit une indication complémentaire pour l'
annulation de la 12 ème : " Compte-tenu de la durée des recherches de
son fils [...] qui avait certainement duré plus de 10 minutes
( * )..."
Si vous trouvez la solution, communiquez la, vite au site de
référence ! Parce que : 17h 28' 08'' plus 10 ', égalent : 17 h 38'
08'', et que les vaches de "course", auraient fait 600 m en moins
de : 4' 33'' !
(*) une constatation "vacharde" de circonstance et à bon escient :"
plus de 10 minutes", certes... mais peut-être pas pour aller faire
des : " recherches au village "?
Les "détectives" de Claude n' ont pas trouvé la solution... On l'
attend toujours ! J' allais leur la donner... mais Claude a senti
venir le vent du boulet, il a fermé immédiatement le premier module...
et la republié parce que ses : " inspecteurs " à la gomme en
redemandaient avec Word... en prenant soin de faire "un gros ménage"
qui a duré beaucoup plus que :" le gros repassage !" de CV ! le : 16
octobre 1984 !
En revanche : Le site dit "de référence. gregoryvillemin. free, dans
la version publiée le : 18 septembre 2010 " aurait trouvé la
combine... Il suffisait simplement de faire partir CV : 2 minutes
avant... et en prenant le chronométrage pour les "recherches au
village", beaucoup plus favorable dans ce cas du : SRPJ (... en
méprisant les : 10 minutes minimum du Juge Simon,( "au diable les
varices, vive les belles jambes ": aurait dit l' autre ! ) soit : 6
minutes 36 secondes, ce qui fait : 17h 32' 41'', moins : 6' 36"
égalent : 17 h 26' 05" pile poil ! bien vu ! Bravo !
Petit problème récurrent tout de même : les 36 vaches auraient mis :
6' 36'' pour faire 600 m., ce qui serait encore un excès de vitesse
verbalisable ?
*
29 / 09 / 2010 : " Site Gregoryvillemin.free suspendu" !
Chers Internautes qui me suivez, je vous avais prévenu, il fallait
sauvegarder les indications de ce site avant qu' elles ne
disparaissent... c'est fait :
Regardez les dernières nouvelles du site dit : " de référence" , de
Jean-Marie... "gregoryvillemin.free". Il vient d' être de nouveau
suspendu : le 29 septembre 2010.
Informez-en vos détectives qu' ils ne mettent pas quinze jours pour s'
en apercevoir ! comme Arnaud, sur le site : "Justice plus nette" de
Claude.
Décidément, il doit il y avoir un lien de causalité, entre la
censure des forums où je poste... et le leur ? J' en parle sur le
forum Orange... Où, on peut encore s' exprimer,et sur " Désir d'
Avenir" aussi !
Voici le texto : copier/coller, tel qu' il apparaît aujourd'hui :
29 septembre 2010, il est encore antidaté du 28/09/2010, comme l'
autre sauvegardez -le ! :
"Créé, par Jean-Marie Villemin, lui et son épouse n?avaient rien
censuré de leur double parcours judiciaire. Ils souhaitaient rendre
public pour ne plus dépendre ni souffrir du filtre des autres. Sur la
page d?accueil, il y avait cette phrase de Natalie Clifford Barney
qui résumait parfaitement l?état d?esprit du couple au terme de sa
longue errance médiatico-judiciaire : "Nous devons plaindre
sincèrement ceux qui ne savent que critiquer durement les autres,
semer la division et les paroles du malheur. Ils se construisent une
prison de solitude et n?imaginent que le mal qui n?est que dans leur
esprit."
Depuis qu'ils ont demandé pour la seconde fois la réouverture de la
procédure sur l'assassinat de leur enfant Grégory, malgré le non lieu
en faveur de sa maman, et leurs démarches pour soutenir l'espoir de
découvrir toute la vérité, les parents sont aujourd'hui encore
victimes d'un ou des corbeaux, qui manipulent les mots et affabulent
des hypothèses sur différents forums, afin de les empêcher d?avancer
sur le chemin de la vérité. Ce site est interrompu.
28 septembre 2010"
(Fin de citation, )
Nota bene :
ça ne vous donne pas envie de pleurer à vous cette belle
littérature, on dirait du Musset.."Les plus désespérés sont les
chants le plus beaux, et j' en connais d' immortels qui sont de purs
sanglots..."
En réalité, il ne s'agit pas de : " corbeaux", parce Monsieur Jean-
Marie V. les trouverait bien plus près de chez lui ! Ce qu' il n' a
jamais réussi à faire, le pauvre garçon !
Il en voit partout ailleurs, Ms : Jacquel, Laroche, etc... Mais ils
sont plus loin !
Tel : le Commissaire principal : Corazzi, il le guète aussi partout,
il hante, non sans raison, ses jours et ses nuits !
Si Jean-Marie veut ouvrir un forum, je lui répondrais à visage
découvert, parce que moi-même, je n' ai rien à cacher, je n' ai jamais
tué personne... Même pas une mouche... à la maison, j' ouvre la
fenêtre pour la faire partir...et les poules que ma mère élevait dans
ma jeunesse, pour les oeufs, mourraient de vieillesse, personne au
foyer ne voulait les tuer !
Je mets au défi Jean-Marie de re publier sa première version du site
dit de référence qu' il avait suspendu en novembre 2009, avec tous les
renseignements, puis la deuxième version complétée par les documents
juridiques... et enfin celle du 18 septembre 2010, qui vient d' être
suspendue avec son : "16 octobre " particulier : publié le
18/09/2010, on laissera juge les Internautes de trouver, celui qui
ment... celui qui affabule... et celui qui dit la vérité ! J' attends
les démonstrations au format GIF qui devaient être faites et promises.
Parce que la seule chose que je poursuis dans cette affaire :
C' est l'assassin de ce petit ange adorable... je n' oeuvre
gratuitement que pour lui... les autres je m' en fous ! ce n' est pas
Jean-Marie : un assassin(*), qui va me donner des cours de Civisme et
de Morale !
(*) assassin : il faut appeler un chat un chat... sinon il faut
inventer une autre langue que le français !
On ne parle pas comme le dit ma compagne : " de béatification de Mère
Teresa ou de soeur Emmanuelle", on ne peut pas utiliser les mêmes mots
pour décrire les acteurs et les actions d' un crime odieux, le pire
qui puisse exister, car aucun mobile au Monde, ne saura jamais
justifier, celui d' un pauvre enfant : un chérubin innocent,
adorable de 4 ans !
*
Messages en réponse aux intervenants sur le forum LE MONDE :
Quelques petites questions banales à mon ami Claude, qui cherche
depuis 26 ans et qui dispose selon lui, et depuis longtemps : " d'
enquêteurs qui travaillent pour lui au bord de la Vologne.
"(SIC...MDR ! )
1/ Pourquoi votre premier forum qui comportait alors : 2416 sujets, a-
t-il été brusquement suspendu le 6 novembre 2009 ? à la demande de qui
S.V.P. ? Seriez-vous prêt pour montrer votre bonne foi, à republier
sur le Net, les derniers extraits ?
2/ Pourquoi selon-vous : le site dit : " de
référence .gregoryvillemin.free" a-t-il aussi, été brusquement
suspendu en novembre 2009 ?
Seriez-vous prêt à republier les réponses à votre forum qui ont motivé
sa suspension sine die, indiquée alors :" jusqu' à la fin de l'
instruction"
3/ Pourquoi ce site dit de "référence" est-il de nouveau apparu sur le
Net... alors que l' instruction n' était pas terminée ?
4/ Pourquoi a-t-il été amputé des : "schémas horaires", des
précieuses indications, des plans Google, qui permettaient à tout
individu...( même moyennement sensé),et ce, sans même se rendre sur
place, sans avoir lu un seul livre, pourtant nombreux, de cette
sordide affaire... de résoudre tranquillement : "l'énigme",
confortablement assis devant son ordinateur ? car comme le disait
avec raison ce : "site de référence" : ( je cite) "le résultat est
éloquent "...(SIC)
En effet : c'est le moins que l'on puisse dire !
toni
*
2415 ème message du premier module de Claude suspendu à : 2416...en
novembre 2009
Ouvert le 11 /09/ 2010... fermé le 14/ 09/ 2010 à 12 h 00'
"Vous nous faites part, depuis la création de ce module, de toutes les
"gueguerres" entre magistrats et avocats, entre journalistes et autres
médias, entre les principales parties, entre présidents de cour etc
etc...
Vous arrivent-ils parfois d'essayer d'élucider l'affaire sans nous
parler constamment de toutes ces instances ? Bien sur, ces joutes
existent, mais croyez-vous que cela apportera la moindre once de
vérité qui serait susceptible de faire avancer l'enquête ?" :
( écrivait Claude.)
Réponse :
Et bien on est bien obligé de faire avec, parce que si toutes ces
rivalités n' avaient pas existé, l' assassin aurait depuis longtemps
été trouvé.
On a beaucoup tapé sur le juge Lambert, mais essayez de vous mettre à
sa place.
Les enquêteurs lui disent :
-- On recherche depuis trois ans des corbeaux qui envoient des lettres
anonymes, qui ont passé des milliers d'appels anonymes, on n' en
connaît pas un seul !
-- On vient de trouver le prévenu qui a fait le crime, il est parti
avec sa petit belle-soeur de 15 ans et son enfant de quatre ans...
-- On ne sait pas s'il avait emmené le chien et le chat pour que les
petits s'amusent à l'arrière du véhicule.
-- Il a de grosses moustaches bien voyantes et la belle soeur rousse
est aussi très remarquable !
-- Ne trouvant pas d'endroit trop isolé entre Lépanges et Docelles,
ils ont noyé l'enfant en plein centre de Docelles,
vers les 17h 30' : en profitant que c' était l'heure de la sortie
des usines et des écoles, où il y avait le plus de monde dans les
rues.
-- L'assassin a envoyé une lettre anonyme, à La Poste... on a
découvert qu'il l' avait signée par un foulage.
-- Puis pour qu' on le trouve bien plus vite, l'assassin a indiqué
par téléphone, où il avait jeté l'enfant.
-- Le mobile on le connaît : c'est parce que l'autre famille venait
d'acheter un canapé tout neuf, alors par vengeance l'assassin a tué le
petit, parce qu'il était jaloux.
Je vais vous dire à sa place : je téléphone à l'asile d'aliénés le
plus proche et j' avertis que j' ai un client sérieux pour lui .
toni
*
Miss Marple : Bravo !
Même lorsque vous êtes prise la main dans le sac en flagrant délit de
mensonge, vous essayez de vous en sortir :
Démonstration : vous écrivez : " l 'enfant n 'ayant été vu par
personne (entre 17 h et 21 h 15')(sauf "Muriel", mais testis
unis...")Vous oubliez juste d' ajouter : testis nullus ! " Un témoin,
pas de témoin" : disait le Droit romain.
Qui : "se donne un mal de chien pour tordre la vérité ?"
Vous prétendez comme Claude, que Grégory n ' est pas mort noyé... Mais
vous contredisez : les conclusions du mémoire en faveur du non-lieu
rédigées par l' avocate de CV, Me Chastant-Morand ... qui en sa
page : 53, écrit exactement le contraire ! :
" La seule certitude retirée est que l 'enfant est bien mort noyé,
sans que l' on n 'ait pu, en tout état de cause, conclure s'il avait
été noyé dans la Vologne ou dans une quelconque eau , et déposé
ensuite dans la Vologne." (fin de citation) et aussi le non-lieu, qui
indique que les médecins légistes ont découvert :" qu' il y avait au
niveau des narines et de la bouche un très important champignon de
mousse montrant que la victime avait respiré dans l 'eau. " (Fin de
citation)...
Suprême "raffinement " l 'enfant aurait-il été noyé dans sa baignoire
dans un bain moussant ?
Vous indiquez :
"- Plusieurs organes ont été conservés, dont les poumons.
- On dispose bien entendu de son ADN, et donc l’ incinération de ses
restes dix ans après son décès n’a strictement aucune incidence sur le
déroulement de l’enquète et les analyses de police scientifique."
Ce qui est une allégation mensongère, puisque le juge Lambert avait
refusé la conservation des organes de l 'enfant, et l 'État a été
condamné à cause de cela !
Vous expliquerez aux internautes que vous ne voulez pas duper ?
Pourquoi la Cour d' Appel de Dijon, si elle disposait, tel que vous l
'écrivez, de l' ADN de Grégory, a attendu 2009 et 25 ans pour
annoncer :" triomphalement" qu' après avoir découvert de l' ADN de
Grégory sur son anorak, BIOMNIS avait pu déterminer que J-MV en était
bien le père génétique ? si selon vous elle disposait depuis longtemps
de certains organes de Grégory, pourquoi n' avoir pas levé ce doute
plus tôt ?
Qui nous mène en bateau ?
Qui : "se donne un mal de chien pour tordre la vérité et duper les
internautes ?" Pourquoi le site dit de : "référence .
grégoryvillemin.free", présente-t-il autant de mensonges et de
contradictions au point qu' il ait été suspendu par ses : "propres"
auteurs en novembre 2009 ? et pourquoi attendons-nous depuis 26 ans
que ceux-ci, nous donnent un emploi cohérent des 32 minutes et 41
secondes, de CV entre : 17 h 00 et 17 h 32', le 16 octobre 1984, ce
qui ne sera que sa X ème version ?
Le pseudo : "PV référence" devrait faire le décompte de vos, et de
leurs mensonges... cela lui éviterait de compter les moutons pour s'
endormir.
toni
*
Miss Marple EL... a écrit... ou fait écrire ? :
"Il est encore une fois inutile de vous faire remarquer les paquets de
sottises que vous écrivez, mais pour les éventuels lecteurs qui
n’auraient pas déserté, rappelons les faits :
- Grégory n’est pas mort noyé comme un petit chat, il n’y avait que
très peu d’eau dans ses poumons.
- Plusieurs organes ont été conservés, dont les poumons.
- On dispose bien entendu de son ADN, et donc l’ incinération de ses
restes dix ans après son décès n’a strictement aucune incidence sur le
déroulement de l’enquète et les analyses de police scientifique.
Je constate sans étonnement que vous n’avez rien compris à mon
raisonnement démontrant qu’il faut considérer la totalité de la
tranche horaire 17h-21h15, l’enfant n’ayant justement été vu par
personne entre les 2 ( sauf Muriel, mais testis unus, donc testis
nullus ! ) mais ça n’a pas beaucoup d’importance, au fond…
Vous vous donnez un mal de chien pour tordre la vérité, mais vous ne
dupez que vous même. ( et encore, est ce bien sûr?)"
Réponse :
In fine... EL... vous ne savez pas lire, faites vous aider par
quelqu' un qui sait et en plus vous êtes discourtoise... pour ne pas
dire plus.
-- Si : " paquets de sottises"... il y a, demandez des explications
à ceux qui les ont publiés sur INTERNET, car je vous mets au défi et
je mets au défi quiconque : de trouver un seul fait relaté, qui ne
figure pas dans les informations falsifiées et contradictoires,
données gracieusement ... par le site dit : "de référence.
grégoryvillemin. free", et vous ne savez sans doute pas pourquoi ce
site, qui n' autorise aucune question, ni réponse... a été
brusquement suspendu en novembre 2009 ?
A la question que vous lui aviez posée à ce sujet, preuves à l 'appui,
il peut vous être certifié que Claude vous a menti ! "grégoryvillemin.
free" a aussi menti, et quand on est innocent on n' éprouve nul
besoin de mentir. Le mensonge devient une charge.
-- Comme Claude vous voudriez que Grégory ne soit pas mort noyé...
Mais comme lui vous ne connaissez même pas l' expression : "se noyer
dans une verre d' eau." Il semble ces jours-ci avoir découvert que :
" l' eau de la Vologne n 'était pas de l' eau douce ? " Il nage et
patauge comme vous, dans ses contradictions.
-- Faites vous relire le non-lieu et le mémoire en faveur du non-lieu
en sa page 53, qui confirme que l' enfant est mort noyé...: "la seule
certitude retirée est que l 'enfant est bien mort noyé, sans que l' on
n 'ait pu, en tout état de cause, conclure s'il avait été noyé dans la
Vologne ou dans une quelconque eau , et déposé ensuite dans la
Vologne." (fin de citation) Puisque c' est l' avocate de CV qui le
dit ?
J' ai compris depuis longtemps votre : " résonnement", qui ressemble
à celui d' un tambour... si Grégory est mort noyé, qui plus est dans l
'eau de sa baignoire... comment BL aurait-il pu être l' auteur du
crime ? d' où vos affabulations et élucubrations insensées.
Vous n' arriverez jamais à résoudre la quadrature du cercle, pas plus
que le site : "gregoryvillemin. free", n' arrivera jamais à trouver
un emploi du temps cohérent à CV, pour condamner à la fois BL et
innocenter CV., c' est arithmétiquement impossible.
En outre vous êtes très mal renseignée, ou vous mentez ?
La Justice ne dispose que de minuscules fragments des poumons de
Grégory, parce que le juge Lambert n' avait pas autorisé la
conservation de ses poumons. Demandez à Claude... il sait...Comme
vous... il sait tout ! c.à.d. : rien !
*
Réponse à : "Miss Marple" EL.. (le pseudo a été retiré par charité
chrétienne) qui dans une vie antérieure devait être chaisière et non
inspecteur ?
Car un enquêteur avant de valider un témoignage le vérifie, en le
recoupant, au moins avec un autre :
-- Que la mère ait vu Grégory vivant le 16 octobre 1984, vers : 17 h
02' est une certitude absolue : plusieurs témoins le confirment : la
nourrice, Monsieur Bernard Colin, etc., donc : non contestable !
-- Que MB ait vu Grégory vivant au plus tard à : 17 h 27', quand le :
"schéma horaire"(2) prétend qu 'à cette heure là, BL était à
Docelles... C' est possible... mais le seul témoin BL (Sébastien était
trop jeune), qui pourrait la contredire, ou... la confirmer (?)... BL
a été assassiné par un individu, qui prétend depuis 26 ans rechercher
la vérité ? en éliminant, le : "principal témoin" et les
preuves... ouvertement ou : "en douce"... (il paraît que les analyses
ADN demandées des liens en mai 2010, les détruiraient à tout
jamais !)
Impossible de recouper le témoignage de MB..." testis unus, testis
nullus" : donc direction poubelle.
En réalité, il est le plus plausible que Grégory soit mort entre :
17 h 03' et 17 h 15', le 16 octobre 1984.
D' ailleurs même si MB avait été la dernière à avoir vu vivant un
enfant "inconnu", cela ne changerait rien au fait non contesté, ni par
le non-lieu(3), ni par le site dit : "de
référence .gregoryvillemin.free", que la communication téléphonique
annonçant la mort de Grégory a bien eu lieu le 16 octobre 1984, à : 17
h 32' X''.
Le corbeau a parfois :" un léger cheveu sur la langue", mais jusqu' à
preuve du contraire, il a dit la vérité... et n' a hélas ! jamais
menti.
L' heure de la mort (entre 17 h 03' et 17 h 30' au maximum ), n' est
contestée, que par ceux qui cherchent des scenari d' une complication
démoniaque ou rocambolesque, en particulier par ceux qui voient des
complicités tout azimut, que la Cour d' Appel de Dijon, tellement peu
convaincue de cette hypothèse, ne s' est : "même pas donnée la
peine", comme vous "Miss Marple", de les rechercher.
Ce crime a été commis par un auteur unique, sinon depuis longtemps les
complices auraient éventé l' énigme.
Faut-il rappeler le crime tragique, de ce boulanger de Saint-Just-sur-
Loire, qui avait été froidement abattu parce qu' il refusait de donner
sa caisse, qui contenait : 20 Euros ? Oui il n' y a pas d' erreur :
20 Euros !
La criminelle présumée, ne se serait jamais faite prendre( l' enquête
s' enlisait depuis plus d' un an), si son amie et complice (passive)
ne l' avait pas dénoncée pour se venger qu' elle ne parte avec une
autre !
Les mêmes : " enquêteurs" qui ne connaissent peut-être pas
Molière ? : "Le petit chat est mort ! "... On peut supposer que dans
les Vosges, comme partout ailleurs en France, on tue les petits chats
en leur plongeant la tête dans un seau d' eau... Inutile de les
droguer à l' insuline ou autre.
C' est la fin tragique la plus vraisemblable du petit chérubin, d'
ailleurs pour quel que soit l' auteur de ce crime horrible.
Il aurait été plus probant pour l' accusation de BL, de trouver au
bord du Barba, un peloton de ficelle... de la même provenance que
celui découvert au domicile de Grégory, et des ciseaux, plutôt qu' un
carton d' insuline... Mais en toute chose : on ne fait jamais que ce
l' on peut.
Quant à l' heure et à la cause du décès de Grégory, impossibles de
vérifier.
C' est le même individu J-MV, qui a fait ( avec l' autorisation de la
Justice ! ) : incinérer le corps de l' enfant (alors qu' il avait été
primitivement inhumé en 1984), coïncidence étrange ou suspecte... au
moment où en France les recherches ADN étaient enfin utilisées, et
juste avant que l' avocate de CV : Me Chastant-Morand rédige ses
conclusions pour un procès contre l' État... en juin 2004, où elle
critique avec un aplomb remarquable et même un culot certain, très
sévèrement, les erreurs faites lors de l' autopsie, les fautes
lourdes de l' enquête sur l' impossibilité de définir le point d'
immersion de Grégory... et où elle ne manque pas d' air : pour la
perte irrémédiable de pièces à conviction ?
On n' est jamais assez prudent, c' est sans doute pour cette raison,
répondant au principe de précaution, que le corps du petit Grégory a
été incinéré préalablement... en février 2004.
Il faut analyser minutieusement la chronologie des faits et
procédures, pour comprendre un peu mieux :"l' énigme" de l' affaire
du petit Grégory.
On remarquera que la Cour d' Appel de Dijon, en a donné l'
autorisation sans ciller, ce qui devait beaucoup l' arranger aussi ?
pour les mêmes raisons sans doute, que les propositions du laboratoire
CARME, pour des recherches ADN, avaient été rejetées par les
enquêteurs bien avant l' an 2000 ?
Juridiquement d' après le Code Pénal, nous sommes en présence :" d'
entraves à l' exercice de la Justice par destruction de preuves et de
pièces à conviction."
Sur un forum d' INTERNET, un intervenant ne comprenait pas pourquoi l'
ADN avait permis d' identifier les causes de la mort depuis des
millénaires de Toutankhamon ? on peut ajouter d' un Tyrolien gelé,
découvert dans les neiges des Alpes, entre autres... et pas celles de
Grégory en 1984 ?
On peut lui souffler la réponse : " ceux-ci n' ont jamais été
incinérés " et la Science n' a aucun motif de falsifier la vérité.
De même l' ADN a permis de retrouver le voleur et : "la mobylette"
d' un fils d' un ex-Ministre de l' Intérieur ... mais toujours rien en
2010, sur l' affaire du petit Grégory.
La Justice chercherait-elle encore une Vérité, qu' elle connaît
depuis longtemps ?
En tout cas, on constate que les Conseils des parents de Grégory,
poussent sans retenue : "à fond, à la roue", sachant que les
magistrats de la Cour d' Appel de Dijon, : " sont grillés, carbonisés,
calcinés", par un non-lieu(3) volontairement inique, vicié de
Droit, par des décisions suspectes de partialité manifeste et de
complaisance illégale, qui ne leur permettent pas le moindre retour en
arrière.
Maintenant les parents demande l' analyse ADN d' un cheveu sorti tout
à coup de : on ne sait où ? l' analyse des voix des appels anonymes,
ce que Me Moser (avocat des parents) refusait avec la force simulée et
la pique d' ironie sarcastique qui le caractérisent, au mois de
novembre 2009, soit quelques mois auparavant, quand cette même
demande avait été faite par la partie adverse ?
Le fourbe Me Moser a compris depuis très longtemps que les Magistrats
de Dijon, sont tel que l' on dit : " pieds et poings liés",
comme... Inutile d' ajouter un dessin ?
Ils mènent depuis des années l' opinion publique en bateau... en
prenant celle-ci pour demeurée...vont-ils finir par couler dans la
Vologne ? L' épilogue en prend le chemin !
Réponse attendue le 29 septembre 2010... mais puisqu' on joue les
prolongations... au 20 octobre !
Conseil pour les amateurs de paris : ne pariez pas un kopeck sur une
décision de la Justice, de la Cour d' Appel de Dijon, ou de la Cour de
Cassation, d' annuler tous les : "non-lieu", aimablement distribués
à : CV, à MB et aux gendarmes, pour que l' affaire soit mise à plat,
l' enquête reparte de zéro, puis passe en jugement devant une Cour
d'Assises.
On en reparle le 30 septembre... et après les prolongations, et tirs
au but ? ... le 20 octobre 2010
*
Réponse à une question de "Miss Marple" EL.
"La question n' est pas de savoir si les empreintes de pneus relevées
étaient celles de l?AMI 8 de Laroche (on sait que ce n' étaient pas
celles de la R5 de CV, ce qui suffit à balayer votre thèse) la
question est : POURQUOI A-T-IL BRÛLE SES PNEUS? (et accessoirement
rasé ses FAVORIS, et non sa moustache),Vous avez une réponse, monsieur
Toni ?" : écrivait Miss Marple EL.
Réponse :
Pour les pneus, non Madame EL..., je ne sais pas, ce fait n' apparaît
sur aucun des documents du site dit : " de référence.
gregoryvillemin.free". Je ne peux donc pas le commenter.
Il faut lui demander à BL... Contrairement à ce que vous pourriez
imaginer, je ne suis pas son avocat, car dans ce cas, je vous aurais
collé depuis longtemps un référé au derrière, ainsi qu' à
Claude...Vous n' inventeriez plus n' importe quoi.
Demandez à Me Wetzler.
Pour les favoris, qui sont indiqués sur le non-lieu(3) :
-- Si BL avait coupé ses favoris après la publication du portrait
robot, j' aurais relevé qu' il y avait un lien de causalité...
-- Mais, comme il les a coupés avant, c' est qu' il devait avoir un
don de prémonition ?
Le non-lieu(3) lui prête aussi des dons d' ubiquité. Il était dans un
bar à Docelles à 17 h... pour se faire tirer son 2 ème portrait
robot : "Photomaton" chez Cornillie... et en même temps devant le CES
de Bruyères (à 13 km) pour attendre MB à 17h 00' , puis à Aumontzey et
à Docelles, (plus de 20 km) "vers les 17 h 30' "! (voir non-lieu(3) :
témoignage de Murielle)
Décidément ce gars là, à l' air débonnaire, avait tous les dons ? même
une grande adresse du geste et de la maîtrise de la main gauche !
Vous qui savez tout, vous ne savez pas si la France, va le présenter
pour un prix Nobel à titre posthume ?
toni
*
Pour rétablir l' impartialité, que vous devez me soupçonner, à juste
titre, de corrompre, voici republié : un message de : "Miss Marple"
EL. sur le forum : " Justice plus nette":
Qui voulait s' occuper aussi gracieusement que courtoisement de ma
personne.
Alors, que je ne lui avais jamais demandé une telle publicité, que je
ne cherche d' ailleurs pas, en lançant un sujet intitulé : "Un certain
toni".
Je ne pouvais pas lui répondre, ce qu' elle ignorait, comme les
autres intervenants inscrits sur ce forum, car Claude, oublie de leur
signaler, qu' il m' en avait : " banni " : le 11 novembre 2009, à la
demande expresse et même très pressante d' un certain Jean-Marie
Villemin, l' homme à la gâchette facile, en tout cas, c' est ce que
Claude m' avait indiqué par message personnel. Il faut donc avoir un
agrément pour y être admis !
Le message de lancement de EL... est tel qu' il avait été publié...
( après quelques jours Claude a censuré le sujet, à ma demande, car ça
tournait au vinaigre et même au lynchage.) C' est un copier/coller :
" Vous l'aurez sans doute remarqué si vous fréquentez le blog Moréas,
celui ci connait de gros problèmes techniques depuis qqs mois, et il
est très difficile de charger les derniers messages, qui
n'apparaissent que de temps en temps et plusieurs jours après avoir
été postés. C'est déjà très pénalisant pour une discussion suivie,
mais en outre, il semble bien que nos réponses, à Claude et à moi, ne
sont pour ainsi dire jamais publiées, alors qu'un "nouveau"
contributeur très actif, un certain Toni, ne se prive pas de nous y
interpeller nommément et nous insulter copieusement, sans qu'il
soitdonc possible de lui répondre....Echantillon récent de la prose de
ce monsieur, (qui répond en outre là bas sur ce qui se dit ici!
pourquoi faire simple quand on peut fairecompliqué?)
<< EL... a écrit sur le site de Claude :
"Bon, je ne vais pas faire dans la dentelle ni prendre de précautions
oratoires, mais tout ça pour moi ce sont des foutaises, et ce crime
n'est pas du tout aussi mystérieux qu'on veut le faire croire, je
pense même qu'il est résolu quasiment en totalité, ce qui manque ce
sont les preuves judiciaires et des détails du déroulement, rien
d'autre. Ne m' en veuillez pas, et surtout sentez vous libre de
conserver votre opinion Laughing? (SIC hic ! Miss Marple EL...)
Réponse :
Autrement dit : "mis à part mes coliques, je n' ai pas mal au
ventre !"
Quelle énormité ! Nonobstant, après réflexion, on peut être
entièrement d' accord, et donner son aval, si l' on inverse l'
identité du suspect visé.
En observant dans ce cas, que les détails du déroulement, sont faciles
à reconstituer, sauf un seul point qui est très épineux à résoudre :
l' artifice par lequel l' auteur du crime a mis à l' eau Grégory, en
ayant la certitude absolue de ne pas se faire remarquer ? (ce qui est
d'ailleurs identique pour l' autre suspect)
Il paraît invraisemblable, que l' on jette dans l' eau de la Vologne,
même en pleine nature, et a fortiori au centre d' un village, un
enfant, en ne masquant pas son apparence de corps humain, l' auteur
étant mis dans l' obligation d' être certain de ne pas être vu.
Grégory aurait-il été jeté avec l' eau du bain? et aussi avec sa
baignoire ? tel Moïse ?
Quant aux preuves matérielles manquantes, le non- lieu(3), nous met
sur la voie : ? " Si CV était l' assassin de son fils, il serait
surprenant que cette femme si intelligente et d' une grande présence
d' esprit n' ait pas fait disparaître, alors qu' elle en avait le
loisir, un indice aussi compromettant pour elle " (cordelettes
trouvées à son domicile, 23 et 24 ème charges, mais il faut constater,
qu' elle n' était pas censée savoir comme elle le dit :" c' est lui
(J-MV) qui bricolait ! "(dixit)), où son époux les avaient toutes
mises, et en avait même, d' après lui, données à BL ! ("s'il en a
données... c'est qu' il en avaient ..." dirait Monsieur de La Palice)
Elle a eu tout le temps aussi, pour faire disparaître la paire de
chaussures ou de bottes qu' elle aurait pu chausser, le : 16 octobre
1984 (2ème charge)
Les gendarmes de Corcieux, donnaient des cours de formation, de
diction et de croassement aux corbeaux, ceux qui menaient l' enquête
informaient, en permanence les parents de Grégory du cours de son
déroulement, et ceux-ci pouvaient facilement réagir en conséquence,
pour brouiller une éventuelle piste.
toni
*
J' ai quelques doutes sur l' identité de l' individu, qui a utilisé le
pseudo : "moi". Parce que Claude Thines dispose depuis longtemps (au
moins trois ans) de la réponse à la question qu' il pose.
Vous pouvez trouver encore sur Internet les arguments :
"croustillants" (SIC) à la : "mords-moi le noeud" (re SIC) de Claude,
sur le site
http://chatborgne.canalblog.com/archives/2006/10/18/2938753.html;
(Les autres dizaines de sites qui avaient été inondés par les mêmes
accusations, aussi fantaisistes que racistes, ont fait la lessive. (c'
est un : "copier/coller ") >>
"Suit le copier coller d'un message de Claude que tout le monde
connait je pense, synthétisant les conclusions de la justice, et qui
avait été posté en effet à l'époque sur bon nombre de forums et de
blogs. Puis il reprend :" (Ecrit EL... miss Marple)
RE : Vous pourrez remarquer qu' on attend toujours que Claude mette
en ligne :
" Ce qu" il a écrit sur l' affaire Grégory"
" Ce qui a motivé la suspension de son premier module de 2416 sujets,
où était décrite, à peine torturée par la satire : la folle et
rocambolesque équipée, attribuée à Bernard Laroche, et où l' auteur
concluait :" Si à la place du Juge Lambert, "mon capitaine" m' avait
rapporté de tels résultats d' enquête, j' aurais pris l' annuaire et
recherché l' asile d' aliénés le plus proche pour le prévenir que j'
avais un sérieux client, à lui livrer pour son nid de coucous "
" Qu' il nous dise pourquoi le site dit : " de
référence.gregoryvillemin. free" , première mouture, a été brusquement
suspendu, en novembre 2009.
" Qu' il mette en ligne : " le schéma horaire" (2) du site dit : " de
référence. gregoryvillemin. free", première mouture, qui lui a été
envoyé, au cas où il aurait omis de le sauvegarder ? afin que ses : "
enquêteurs " puissent y relever les contradictions, qui accusent et
constituent un : 26 ème indice grave troublant et concordant contre
CV.
Son site comporte des photos, et des vidéos, pillant les copyright,
les droits d' auteur, violant le droit à l' image et le droit à la vie
privée dus à tout citoyen, bafouant le respect dû aux morts,etc. etc.
est totalement illégal.
Il est étonnant que les personnes incriminées sans preuve, ne
réagissent pas. Claude ferait-il un site accusateur, similaire à l'
encontre de Monsieur Chanal, le prévenu qui s' est suicidé après avoir
été suspecté de la mort des jeunes militaires de Mourmelon ?
Il y a un avocat : Maître Buffard, qui lui en passerait vite l' envie,
en lui collant au derrière : un référé, qui ne manquerait pas d' être
suivi d' un procès sur le fond.
Claude le sait parfaitement ce qui ne l' empêche pas d' inciter
certains : " jeunes détectives en herbe", qui : " travaillent pour lui
au bord de la Vologne" (SIC), en profitant de leur vulnérabilité, car
méconnaissant naïvement la Loi et même les règles élémentaires de la
décence, de publier des photos et des vidéos, même des cimetières !
alors qu' il garde sous le coude les témoignages les plus
intéressants, pour son enquête personnelle, qu' il n' arrive pas à
boucler depuis 26 ans ! >>
toni"
Ces messages vous donnent une idée du niveau moyen de "réflexion" du
bonhomme, qui remplace l'argumentaire et cache sa méconnaissance (ou
falsification?) du dossier (et de la loi) sous des flots de sarcasmes,
de menaces, d' insultes, tous plus raffinés les uns que les autres...
Si donc vous avez envie de répondre ou réagir à ces affirmations, je
vous propose de le faire ici, puisqu'après tout lui même répond là bas
à ce qui s'écrit ici, et que ses messages à lui passent apparemment
sans difficultés sur le blog Moréas "en panne" alors qu'aucun de ses
interlocuteurs (à part Max berezzina, mais qui parait un peu fatiguée,
la pauvre) n'a ce privilège....(EL...)
RE : Je (toni) peux répondre et je l' ai fait à : "Miss Marple" :
Accuser le forum du journal Le Monde de Monsieur G. Moréas, consacré
à : " L' affaire du petit Grégory", de favoritisme, de censure, est de
la plus totale invention, une allégation mensongère, car si certains
des billets n' étaient effectivement pas publiés (c' était aussi le
cas de quelques uns des miens, très peu... Il faut être patient dans
la vie... "Laisser le temps au temps" : tel que le disait si bien
notre cher : "tonton"), c' était uniquement dû à un dysfonctionnement
technique de ce forum. Il est nécessaire de rétablir la vérité que :"
Miss Marple" EL... a une fâcheuse et itérative tendance à tordre à sa
convenance.
Madame Bezzina est certainement beaucoup mieux informée que cette
mégalo de Miss Marple, qui dès qu' elle a atterri comme un clou dans
la soupe sur le forum de Claude en novembre 2009, s' est mise à
vouloir dès le premier jour tout régenter... la science infuse, c' est
du Nicolas, dans le texte, même vulgarité, même inculture générale,
raconter les plus gros ragots, les plus énormes bobards ne le démonte
jamais; Le culot d' une vielle cynique de 80 balais, et l'
intelligence d' une enfant de 4 ans ! "
toni
"Voici recopiés quelques messages (copier/coller) qui avaient été
publiés:
Re: Un certain "Toni"
Message EL... Aujourd'hui à 11:45 Une de mes réponses a fini par
passer (mais aucune de Claude), je vous copie donc une partie de la
suite, non pas que les délires de cet
individu soient passionnants, mais parce que ça illustre bien le degré
de menaces et d'intimidations diverses qui règnent encore autour de ce
dossier tant d'années après, et montre bien à quoi sont exposés les
témoins qui se taisent encore, ça donne une bonne idée à ceux d'entre
nous qui se posent la question du pourquoi de leur silence...(EL...)
RE : Quelle imbécile ! n' importe quoi ! la mauvaise foi chevillée au
corps, en plus les intimidations dans cette affaire, il n' y en a qu'
un qui les a mise en exécution, il s' appelle Jean-Marie V;
Toni
Toni écrit :
<< Je reviens sur ce point, c' est étonnant tout de même les lacunes
que vous manifestez régulièrement sur ce dossier!" Non, les
destinataires (uniquement JMV en réalité, demandez à Max, cest un de
ses dadas, encore une preuve intangible, pour elle)? écrit EL....
RE : Je vous répète encore et encore, et toujours (vous devriez
deviner pourquoi ?), je n' utilise que les seules informations qui
sont données sur le site dit : "de référence.gregoryvillemin.free",
première et deuxième mouture, (c'est facile à comprendre, mais vous
êtes tellement bouchée.. que cela devient une gageure), et que je n'
ai lu aucun des bouquins de :"chiottes" et pas vu, un seul film, qui
ont permis à leurs rats d' auteurs de se faire du fric honteusement,
vilement, sur le cadavre d' un petit ange.
J' ajouterai même, je n' ai pas lu, le : "16 octobre", qui était
publié gratuitement sur le Net, la première page de ses lignes : "
cuculs", mâtinées à l' eau de rose m' en ont dissuadé.
Je n' invente pas comme vous des indications bidons : " les gendarmes
avec des pincettes " (prouvez-les et donnez vos sources !)
ça rappelle la chanson de Jean Ferrat : " s'il est petit et gros,
suant sous son chapeau, il me dit pas d' alarme, celui-là est si bête
d' après ce qu' on raconte, que même ses collègues qui ne sont pas des
aigles ont pu s' en rendre compte " etc.
Si les traces d' ADN des parents n' ont pas été trouvées sur la
lettre. Ce qui n' est pas prouvé, car j' imagine mal, dans ce cas, le
Proc' de Dijon annoncer triomphalement : " Nous avons trouvé de l' ADN
de CV sous le timbre "... après le non-lieu(3) très complaisant,
fallacieux, et violant le Droit, rédigé par la Cour d' Appel de Dijon.
Après que JMV et CV aient été reçu par les sénateurs, et après qu'
ils aient empoché : 70 000 Euros pour la condamnation de l' État.
Quel auto-coup de pied au derrière il s' enverrait ! ainsi qu' un
drôle de camouflet aux autres ?
Vous êtes d' une intelligence rudimentaire, mais aussi d' une
incroyable naïveté. Monsieur Wauquiez cherche les béates qui ont
disparu de sa bonne ville de Le-Puy-en-Velay, vous devriez postuler !
Je vous fait remarquer aussi, que BIOMNIS aurait dû trouver l' ADN de
CV sur le bonnet, puisque cela n' est pas une invention, mais est
écrit sur le non-lieu(3), ce serait elle qui aurait mis le bonnet et
fermé l' anorak de Grégory, et BIOMNIS n' a paraît-il rien trouvé ?
Désolé pour "sansouci"... qui semble avoir le même attirail cérébral
que vous, je n' ai pas pris la place de J-MV chez Auto-Coussin, cela
aurait été une sacrée rétrogradation !
Au contraire lui (J-MV) m' a accordé une solide promotion inespérée,
demandez à Claude ! Je n' ai donc pas de haine, ni d' acrimonie à son
encontre, je l' en remercie !
Pour celui qui demande le mobile. Il doit être le même que celui de
cette mère, qui a défenestré son bébé du 8 ème étage à Toulouse ?
Il n' y aucun mobile au Monde, qui puisse justifier qu' on tue un
enfant, un petit ange innocent de quatre ans !
Chercher le rationnel, dans l' irrationnel et la folie des hommes est
une mission impossible en déplaise à Napoléon ! >>
toni"
---"Mes réponses à des posts précédents qui ont fini par passer, 2 sur
une dizaine envoyées (ce qui permet au monsieur de croire à bon compte
à un manque d'arguments, evidemment) où je rectifiais autant que
possible ses mensonges et confusions volontaires, donnais justement
des sources etc.... J' y ai repris une partie de mes arguments
précédents, mais évidemment on ne peut pas dans chaque message
reprendre la totalité des précédents non publiés, donc une grande
partie de son monologue reste sans contradiction, ce qui est bien
commode!( EL...)
RE : A ça non ! elle ne manque pas d' arguments "Tartarin de
Tarascon", la dame "pipi" du cabaret de sa consoeur Jackie Sardou,
quand elle ne trouve pas dans les poubelles, elle les remplit elle-
même !
toni
EL...
<< Concernant le corbeau, il faut un peu de cohérence. Toute la
famille unanime, et vous avec, considère que le coup de fil de
revendication du crime reçu par Michel émane bien du corbeau à la voix
rauque, le même qui sévissait depuis 81. De deux choses l' une :
- Ou bien ce coup de fil qui n' a eu aucun témoin n'a jamais existé
( ce que je crois personnellement), et alors il signe simplement la
complicité entre MV et le ravisseur, la seule heure à retenir est l'
annonce du crime, c' est à dire celle où les grands parents Villemin
ont été prévenus par ses soins, soit environ 17h40, le temps que
Lionel aille les chercher à pied, puisqu' il n' a pas trouvé urgent de
prendre sa voiture pour aller les prévenir et partir directement à
Lépanges?.
- Soit Michel dit la vérité, ce que vous croyez dur comme fer et
répétez à longueurs de posts, il a donc reçu un appel dont il a pu,
avec l' aide du SRPJ, fixer précisément l' heure, grâce au programme
de télévision qu' il était en train de regarder, après qqs
tatonnements à 17h32 précisément. Il a certifié que cette voix rauque
était bien celle qu' il connaissait, et il n' y a aucune raison de
mettre en doute ces propos-là plutot que les autres si on le croit.
Or à cette heure précise, Christine était bloquée derrière le car du
fils Claudon, trois témoins à la clé, heure certifiée par le
controlographe, qui garantit donc qu' elle n' a pu passer cet appel.
Et par déduction logique, les autres non plus, puisque c'était le même
corbeau
Le corbeau étant à coup sur pour vous l' assassin, la voilà
définitivement innocentée selon votre propre raisonnement
Mais cherchez vous vraiment la cohérence et la logique dans vos propos
décousus et sans queue ni tête. Votre haine irrationnelle mais
ratiocinante contre CV est vraiment pathologique, il faut songer à
vous soigner.(EL...)
RE : Pauvre fille, vous êtes vraiment atteinte, votre cerveau est
dans vos chaussettes. Si Michel Villemin n' avait pas reçu d' appel,
pourquoi sa mère aurait-elle ameuté tout le Monde : CV qu' elle n' a
pas pu joindre chez elle ? (bizarre elle dit être chez elle à partir
de :17 h 33'... et jamais seule avec les Meline... manque de bol les
dames Ory et Pluton l 'ont vue au village à 17 h 40' (12 e charge !)
Jean-Marie chez Auto-Coussin, ( elle a dû mettre un moment pas facile
de joindre quelqu' un dans une boîte, demandez à mon taulier , il m'
appelait tous les jours... il me suivait comme vous... à la trace),
puis la mère de CV à Bruyères et enfin les gendarmes de la même ville
à : 17 h 45' ( 4 appels calculez, enfin si vous pouvez, ce que je
doute !) CV n ' a songé à appeler la gendarmerie qu' à : 17 h 50'...
elle n ' était peut-être pas très pressée... un " gros ménage à
finir ? "... Elle n' a averti personne de sa famille... ou peut-être
par appel anonyme... c' est peut-être pour cela, qu' elle ne s' est
pas crue obliger de rappeler ? qu' en pense Miss Marple ?
La fameuse rencontre devant le ferme Claudon est matériellement
impossible. Résolvez le problème de CM2, les données sont dans le
mémoire de Me Chastant-Morand... en faveur du non-lieu. Cette
rencontre n' a jamais eu lieu c' est une machination, un montage
fabriqué d' avocats... qui ne savent pas compter !
toni
"Une erreur étant improbable, quand l" informatique se : "trompe", c'
est dans d' autres proportions et c' est immédiatement visible"
L'informatique en 83 aux PTT dans les Vosges? Vous vous fichez du
monde?Il y avait bien des erreurs de facturation assez fréquentes,
toute la famille avait vu ses factures augmenter, certains ont eu gain
de cause, et ont été remboursés, pour d'autres l' augmentation du
nombre d' unités a pu être expliquée par des circonstances
particulières. JM et CV n' étaient pas dans le même circonscription
que le reste de la famille, et payaient donc plus cher que la
communication locale lors des nombreux commentaires qui suivaient les
appels du corbeau. De plus étant sur liste rouge, c' était toujours à
eux d' appeler leurs correspondants. Et enfin au moment de cette
augmentation ils recherchaient une voiture et répondaient à de
nombreuses petites annonces. Il est à noter que le nombre d'unités a
augmenté encore plus chez Laroche et M Jacob à la même période?(EL..)
RE : Encore du n' importe quoi : confondre facturation automatisée et
informatisée ... et passage des centraux à l' électronique ! Je
connais une personne qui m' est chère qui a passé : 40 ans comme
contrôleur aux PTT... Il n' y a pas beaucoup de clients qui ont été
remboursés d' erreurs... et il n' y avait que des réclamations des
pipelettes atteintes de téléphonite chronique qui ne se rendaient pas
compte, quand elles téléphonaient sur une autre circonscription que le
compteur d' unités tournait !
toni
Hélas non, Sietsk... on n' était pas capable à l'époque d' identifier
la provenance d ' une communication ou sa réception dans certains
départements, précisément en l' absence de centraux informatisés..
(EL..)
Re : Si détrompez-vous, ça faisait bien longtemps que l' on était
capable aux Telecom de savoir d' où provenaient les appels, seulement
ça coûtait très cher, et c' était réservé aux écoutes spéciales !
demandez à Monsieur Proutaud ! ça ne connaît rien en technique et ça
veut jouer les pédagos : la dame " pipi" !
toni
>Ciao : Dans l' affaire Grégory il n' y a absolument rien et les scellés sont totalement pollués.?
C' est vous qui le dites. On sait très bien faire la différence entre
un ADN parasité et un qui ne l?est pas. Ceux relevés sur la lettre de
85 sont parfaitement ?purs?. Et complets.
Par ailleurs j' ai répondu plusieurs fois sur les pneus (tout comme
sur le fameux train de 16h58, obsession de Max) mais ce blog
fonctionnant de plus en plus mal, mes réponses ne passent pas. En
résumé, l' expertise des pneus a été réalisée au labo de la police
scientifique de Lille,(rapport Haguenoeur et Roelandt) des
incompétents, certainement?. Il faut d' ailleurs souligner que le
témoignage de Descy fait état d' une R5 bleue sur ce chemin Tachet le
jour du crime, mais aussi le jour des obsèques. >>(EL...)
RE : oui ! des incompétents, demandez Monsieur Dupasquier chez
Michelin, lui il a fait ses preuves ! et Jean Descy...(MDR !) son
témoignage est aussi spontané que celui de Claude Colin...un illuminé
qui a voulu se faire remarquer !
toni
<< La question n' est pas de savoir si les empreintes de pneus
relevées étaient celles de l' AMI 8 de Laroche (on sait que ce n'
étaient pas celles de la R5 de CV, ce qui suffit à balayer votre
thèse) la question est : POURQUOI A-T-IL BRÛLE SES PNEUS? (et
accessoirement rasé ses FAVORIS, et non sa moustache) Vous avez une
réponse, monsieur Toni? >>(EL....)
RE : c' est marrant, on retrouve les traces des mêmes pneus que ceux
du véhicule de CV au bord d la Vologne et c' est BL qui était sur une
place que l' on suppose goudronnée, donc sans laisser de trace... qui
brûle les siens ? Quelle est le lien de causalité, " la science infuse
de mes ..." : puisque les roues de la R5 sont de 14 pouces et celles
de l' Ami 8 de 15'' ?
toni
Voilà, ce qu' écrivait entre autres : "Miss Marple" EL...sur le forum
de: " Justice plus nette"... Ensuite, des messages ont été ajoutés, où
j' étais copieusement insulté parce que Claude, avait cru : "
intéressant " le faux -cul, pour me mettre dans : " le caca", de
publier des e-mails personnels que je lui adressais sur sa boîte @
privée, et qui était soumis au secret des correspondances.
En particulier, un qui provenait du pseudo :" Gégé", qui outre des
menaces physiques, et autres amabilités : me traitait de :" fils de
pute" (SIC)
Alors que ce genre d' insulte, du même type que celle qu' a publiée
ignominieusement le journal dit : "sportif", mais de : " MERDE" qu'
est L' EQUIPE, lors de la Coupe du Monde de 2010, en l' attribuant,
après déformation au joueur Nicolas Anelka, me fait sortir de mes
gonds.
Un éditorialiste du journal : Le Progrès, de Lyon, avait cru devoir
l' utiliser en écrivant un article portant le titre de : "Langue de
putes"... pour défendre les turpitudes et les abus délictueux de
Dominique Baudis, et d' un Procureur de Toulouse, mêlés à l' affaire
du tueur en série Allègre.
Cet éditorialiste réputé, P. Maîstre, qui mettait généralement de
bons éditos quotidiens sur : Le Progrès, avait-il dérapé ? en tout
cas, il a reçu une réponse écrite aussi acerbe que cinglante.
"Une langue de putes" : n'est pas moins à estimer que celles de
certains de nos : " politicards véreux" et vénaux, certains voyous
qui peuplent les médias, et ont pignon sur rue.
Car je n' ai aucun préjugé péjoratif bien au contraire, contre ces
braves filles, qui exercent nous dit-on : " le plus vieux métier du
Monde"... et pourtant comme l' on dit aussi vulgairement : " je n' ai
jamais de ma vie...été aux putes"! ".
Victor Hugo, qui avait la libido active, même à un âge très avancé où
l' andropause fait normalement ses effets, les respectait, j' en
fais de même.
Elles apportent un peu de rêve et de bonheur à certains qui sont en :
"manque", certes contre rémunération, peut-on leur le reprocher ?
quand d' autres reçoivent des salaires astronomiques pour des emplois
fictifs ?
Mais surtout : elles évitent à d' autres désaxés de commettre des
crimes et des viols... Elles sont, excusez la formulation : "d'
utilité publique" et oeuvrent plus que certaines associations. Ce qui
est regrettable, c' est le fait qu' elles soient souvent contraintes
et exploitées par des truands, qui eux méritent ample et exemplaire
condamnation.
Entre parenthèses : que l' on ait cru devoir à la Fédération
française de Foot : reprocher à Monsieur R. Domenech, pour grief et
faute grave, de son licenciement, de n' avoir pas signalé l'
accrochage avec Anelka, et l' insulte proférée, est plutôt à mettre
à son bénéfice, à son actif, et à son Honneur ! qu' à son passif !
En déplaise à certains : Bravo Raymond ! je ne vous critiquerai pas
pour cela, je connais trop bien les magouilles de la Mafia "Blatter
Platini"... et je peux vous dire que vous avez fait beaucoup mieux qu'
Aimé Jacquet... et pourtant je connais aussi bien : Sail-sous-Couzan,
son pays natal, et quelques habitants de cette petite cité très
agréable, qui me l' ont conté. Car si la France a gagné en 1998, elle
le doit plus à Platini qu' à Zizou..." l' arbitrage à la maison" a
tourné à plein, notamment contre l' Italie ou Guivarch, Blanc, etc.
auraient dû être expulsés... et où tous étaient autorisés à se
shooter, à se piquer comme des fêlés... "les fesses pareilles à des
passoires" (dixit un joueur)
Blanc a joué à St -Etienne, on aurait dit un de ces singes du
Brésil qu' on appelle " paresseux". Pour la Coupe du Monde 1998, le "
fortifiant" l' avait transformé en vrai : pitbull, il a même réussi
pour l' ensemble de son oeuvre, à se prendre un carton rouge !
L' Honneur, de Raymond, de sa mère, il faut bien le reconnaître
aussi, a été bien souillé ! et c'est dégueulasse ! par ceux ( les
mêmes : "salauds"), qui font là aussi, du fric sur
ces : " gogos de footeux", qui n' ont pas encore compris et ne
comprendront sans doute jamais ? obnubilés par leur chauvinisme
exacerbé, pourquoi la Mafia des Blatter, Platini and Co... refuse la
vidéo ? afin : "d' arranger" au mieux de leurs intérêts vénaux : les
résultats.
toni
*
Message qui n' a pas été publié sur le forum Le Monde de G. Moréas :
Affaire du petit Grégory
( proposé, mais il a été fermé aux commentaires le 10 septembre 2010,
avant d' être : "verrouillé" le 17/09/2010)
" Faut pas parler aux cons ça les instruit" : aurait dit Michel
Audiard ?
On pourrait lui rétorquer en plagiant Desproges au sujet de Marguerite
Duras :" Il n' a pas que filmé des conneries, il en a aussi écrites !"
La réalité est que vous pouvez parler à ce type d' individus autant de
temps que vous le voulez, vous n' arriverez jamais à les instruire !
Mission impossible.
Les détectives de :" l' hospice", prétendent maintenant que Michel
V. n' aurait pas reçu la communication téléphonique de : 17 h 32'
X''... à quoi aurait servi alors, que la Cour d' Appel de Dijon, se
décarcassa comme Monsieur Ducros, pour avaliser la rencontre
inopinée, fortuite, insolite, non démontrée et irréalisable de 4
faits, en un lieu précis : l' entrée de la ferme de Madame Claudon,
de 4 coïncidences en un point distinct, qui est à probabilité
mathématique pratiquement nulle (Il y a autant de possibilités
arithmétiques que tous ses : prétendus : "faits" soient
simultanés... que de gagner le gros lot au Loto) :
-- L' arrivée à la ferme, de Madame Claudon et de son troupeau de
36 vaches.
-- Le retour de CV, rue des Bosquets après :"ses recherches au
village" et son blocage par les vaches
-- L' arrivée du car scolaire du fils de l' agricultrice Claudon,
dont le contrôlographe indiquait : 17 h 32' 41 ''
-- L' appel téléphonique reçu par l ' oncle de Grégory à : 17 h
32' X"
Si tel n' était pas le cas : pas d' appel ? disposant de quelle
information de source sure, la belle mère chérie et adorée... de CV
aurait-elle ameuté : d' abord CV, ( qu' elle n' a pas pu joindre...
pourtant à partir de : 17 h 33 ', CV prétend être à son domicile
avec les Meline ?, par contre les Dames : Ory et Pluton témoignent l'
avoir vue au village à : 17 h 40', qui croire ? ), puis à JMV chez
son employeur Auto-Coussin, puis la mère de CV, et les gendarmes de
Bruyères à : 17 h 45'... alors que CV n' avait même pas songé à
avertir ni son époux, ni sa mère, ni ses beaux-parents, et ce, dés :
" la disparition constatée par elle de Grégory", son seul appel est à
la Gendarmerie à : 17 h 50' ( Alors que cette même Gendarmerie avait
été déjà avertie par Monique V !)
Selon le même : " hospice"... JMV n' aurait pas été renseigné de suite
par son frère Michel V, que Grégory avait été jeté dans la Vologne ?
JMV, venant de son lieu de travail : " en hâte" serait arrivé à son
domicile à : 18 h 40 ' ( temps mis : minimum 55 minutes suivant :" le
schéma horaire"(2)) et serait reparti aussitôt avec son fusil, sans
que les gendarmes qui étaient déjà là, ne disent rien ? Pour aller
faire un tour du côté de Grange-sur-Vologne, pour tenter
de :"dégommer" M. Jacquel, qu' il soupçonnait alors d' être le
corbeau ?
Après sa chasse ratée, et son gibier manqué... à cause c' est ballot !
d' un véhicule qu' il a confondu avec celui de la Gendarmerie, à
quelle heure serait revenu J-MV, à son domicile pour être renseigné
par son frère ? : 19 h 35' ou plus ?
"L' informatique en 83 aux PTT dans les Vosges? Vous vous fichez du
monde?" : écrit " Miss Marple" EL...!
Non Madame EL..., c' est vous !
Rien que pour vous, qui n' avez jamais visité un centre nodal de
téléphone, et dont le conjoint ne devait pas : " travailler " aux
P.T.T., (alors définition de l' acronyme : Petit Travail
Tranquille...C' est en train de changer... On peut prévoir pour
bientôt des suicides comme à France-TELECOM)... un petit cours
élémentaire de téléphonie :
-- D' abord il ne faut pas confondre : " facturation informatisée "
et : " le passage des centraux téléphoniques à l' électronique."
-- L ' informatique a été utilisée dans les entreprises bien avant
1983, seulement les ordinateurs au lieu de faire quelques dm3, comme
aujourd'hui', occupaient des volumes de plusieurs m3. Ceux des
supermarchés Casino, des :" big blue", tenaient tout un étage de
plusieurs centaines de m2 ! Ceux de chez P. Angénieux pour calculer
les optiques, également.
-- Les centres nodaux téléphoniques comportaient des millions de
relais électro-magnétiques disposés sur des racks alignés dans des
allées très longues, et de 4 à 5 mètres de hauteur, sur plusieurs
étages.
-- Ces relais ont été remplacés, quand les Telecom sont passés à l'
électronique, par des composants à semi-conducteurs, minuscules,ayant
la même fonction binaire : tout ou rien, et beaucoup d' autres
supplémentaires, ( ce qui permet aujourd'hui entre autres, de
détailler les facturations, et à : "l' appelé", de lire le numéro de
son correspondant, à moins qu' il ne soit sur :" la liste rouge" ou
qu' il ne fasse pas, volontairement un code chiffré, qui ne fait qu'
afficher, que des zéros sur le téléphone joint ), de même les
armoires volumineuses électriques de commande des machines, où les
relais auxiliaires ont été remplacés par des automates minus, que l'
on programme de nos jours, en fonction du schéma et des
asservissements recherchés.
-- Avant 1980, les postes téléphoniques des usagers étaient loués par
les P.T.T. Ils sont passés du noir austère type : U43, au gris, puis
en technicolor sur des postes référencés : S63. Leurs cadrans étaient
à numérotation décimale. C' est à dire que le retour du cadran lorsque
vous faisiez un chiffre, donnait autant d' impulsions que le nombre
qui était choisi.
Ces impulsions étaient captées dans les centres nodaux par des relais
avec une roue à rochets, qui avançait d' un cran lors de chaque top
reçu... la combinaison des relais enclenchés, vous mettait en ligne
avec votre correspondant (ça remplaçait les fiches que les opératrices
piquaient dans les années 1950, sur des tableaux dans les films de
Maigret, entre autres )
-- Quand les centraux sont passés à l' électronique au début des
années 1980, les claviers de téléphone sont devenus à touches (il y a
eu même des kits disponibles qui permettaient d' équiper les anciens
postes : S63 à cadran, avec un clavier à touches, parce que l'
électronique permet de capter un autre type de signaux appelés à :
"fréquence vocale ", à codage DTMF (dual tone multifrequency, en
british !), à chaque touche (et son numéro), correspondent deux
fréquences distinctes simultanées émises par pression sur la touche :
une haute et une basse.
Les téléphones à touches sont programmés par construction, avec :
16 touches maximum, à l' aide de deux groupes de 4 fréquences
normalisées.
Contrairement à ce qu' écrit EL... les employés des P.T.T. qui
géraient aussi les Telecom, ne recevaient pas beaucoup de réclamations
justifiées... Les : " nanas" en particulier atteintes de "
téléphonite" chronique aiguë, tel CV ? , qui réclamaient, oubliaient
juste quand elles blaguaient pendant des heures, en dehors de leur
secteur, que les tarifs augmentaient de manière exponentielle.
Si vous aviez lu correctement les informations données par le site
dit : de "référence gregoryvillemin, free", au lieu de lire des
bouquins de m... des journalistes-rats, incompétents, qui racontaient
n' importe quoi, pour vendre des tonnes de papier inutilisable, même
comme :" p.p.a.c." , parce que ça vous vous flanque du prurit anal,
vous vous seriez aperçue que l' un des protagonistes possédait un
téléphone avec un clavier à touches, ce qui veut dire contrairement à
ce que vous pensez : dans les Vosges, il n' en était pas resté à l'
ère du "jurassique" ... Madame la Parisienne... Eux savent ce que sont
les airelles, peut-être pas vous ?
Par ailleurs : contrairement à ce que beaucoup pensent, dans les
années 1980, il y avait déjà des téléphones mobiles dans des voitures,
qui étaient reliés aux centres nodaux par liaison hertzienne. Tout
radio-amateur, un peu bricoleur, pouvait les écouter, car ils n'
étaient pas codés, ainsi que beaucoup d' autres liaisons radio, (pas
besoin de faire un dessin), en décalant tout simplement les
fréquences d' un récepteur quelconque : " grand public", en insérant
en parallèle, sur chaque condensateur variable ou les varicaps des
têtes HF, une petite capacité céramique de 15 pF, sur chaque
compartiment du tuner HF... pour quelque dizaines de Francs, et en
quelques minutes, le tour était joué.
Il avait aussi la C.B., " Citizen Band (en AM, FM, et BLU) qui
existait bien avant 1980...: interdite à l' utilisation... mais non à
la vente (comprenne qui pourra... pareil que les autos et les motos
qui peuvent rouler à plus de 250 km/ h alors que la vitesse en France
est limitée au maximum à 130 Km/h ! vous ne pouvez aller vous en
amuser qu' en Allemagne... ce qui est très limitatif), puis les postes
CB à modulation de fréquence ont été autorisés en 1981, (mais avec
une puissance et nbre de canaux, réduits)
Ce type de liaison radio n' était pas ( et n' est toujours pas) sûr du
tout, pour ce qui concerne la confidentialité ! Des oreilles
indiscrètes écoutaient, en particulier dans les Préfectures...mais pas
seulement, et la :" gonio" de repérage existait aussi ! elle déjà en
1940 !
Réponse à Claude Thines :
Vous êtes de mauvaise foi : Ce n' est pas la version que vous m' aviez
donnée pour la fermeture de votre site de : 2416 sujets, (vous ne
teniez pas à être mis dans l' obligation de le fermer à cause de la
demande expresse et pressante d' un individu dangereux prénommé : Jean-
Marie... si vous n' avez plus le Email perso que vous m' aviez envoyé
le 11/11/2209, une copie est à votre disposition ! ), alors, puisque
vous, vous en dites : capable, remettez-le en ligne, au moins : "
Miss Marple" EL... comprendra (peut-être ? il y a parfois des
miracles !), que mes arguments selon vous : " redondants", n' ont pas
varié d' un iota, et que les résultats : "bidons" des ADN ciblés,
dont j' avais prévu qu' ils ne donneraient absolument rien, n' ont
en rien démenti mes propos.( aucune correction à apporter !)
Je crois en la Science, au Mathématiques, mais pas aux hommes qui
les manipulent.
Mettez aussi en ligne, au lieu de mettre le vôtre, qui est encore
différent : "le schéma horaire "(2), du site dit " de
référence .gregoryvillemin. free. première mouture", suspendu en
novembre 2009, comme cela tout le monde pourra vérifier qui :"
racontent des âneries et des informations mensongères"... et qui :
donnent des indications exactes et avérées !
Vous pouvez faire remarquer aussi à EL..., que jamais les avocats de
Bernard Laroche, ne vous ont fait fermer votre site, calomniateur,
accusateur et illégal, contrairement à Jean-Marie V. qui a fait
censurer tous ceux qui lui étaient défavorables et légaux, car
contrairement au vôtre, ils ne comportaient aucune photo au
copyright volé, violant le droit à l' image, à la vie privée, dus à
tout citoyen, au respect dû aux morts, etc. ( C' dans l' air, France-
Télévision, etc.)
Dites cher Claude, un service SVP, soyez sympa : donnez des
somnifères à la mémère :" Miss Marple" EL... elle ne dort plus ! à 3
heures du mat... elle rumine son fiel et vitupère encore !
toni
*
Nouveau forum du site :" justice plus nette" le 10/11/2009:
contribution censurée aussitôt après publication, à la demande
expresse de Jean-Marie !
SUJET : " Re: Nos idées sur le déroulement des faits..."
Réponse :
Projet de possibilité proposée au débat pour le déroulement des faits
suivant les données du non-lieu, pour discussion, sous réserve de
validation :
Ce raisonnement découle du minutage du parcours, tel qu'il a été
décrit par la PJ, et indiqué dans l'exclusion de la 12 ème charge du
non-lieu.
Ce paragraphe recèle l'une des seules phrases et conclusion,
indiscutables du non -lieu, car elles sont d'une logique toute
cartésienne, comme tous en aimeraient avoir plus souvent :
"A titre liminaire, il convient d'observer que le fait pour l'inculpée
d'avoir matériellement le temps de commettre le crime litigieux ne
constitue pas en soi une charge de culpabilité "
Cet argument est d'une logique que René Descartes aurait avalisée : "
incontestable."
Pour la description des faits qui va suivre dénommons pour la
compréhension :
a/ " premier suspect " : celui qui est en possession de l'enfant à 17
h 00'
b/ " deuxième suspect " : le ravisseur de l'enfant.
Suit une explication, où il est dit en substance : que la possibilité
de commettre le crime dans le minutage indiqué, si elle rendait la
réalisation du crime matériellement possible, elle supposait aussi un
enchaînement très rapide, sans le moindre incident perturbateur [...]
Cette affirmation personne ne peut la vérifier, en tout cas pas ceux
qui ne disposent pas des dépositions, mais ce qui peut être dit sans
ambiguïté : c'est qu' elle est valable et s'applique aux deux seuls
suspects, que nous ayons "sous la main ", (excusez l'expression), sauf
toutefois pour le risque d' incidents retardateurs, qui est d'autant
plus grand, pour celui qui a le plus de kilomètres à faire, qui est
celui appelé le deuxième suspect.
D'après le minutage donné et réalisé en reconstitution par la PJ : "
il faut à celui que nous nommerons le premier suspect : 29' 57" pour
commettre le crime. "
Examinons le cas du premier suspect :
Si la fermière binait à 17 h 14' (timing de Claude), le temps de se
préparer de partir rejoindre la pâture, elle peut y être à 17 h 16'...
le calcul de la PJ disant que ce suspect pouvait être de retour à 17 h
21' 57", en quittant l'usine à 16 h 52', dans la mesure ou ce premier
suspect à 5 minutes d'avance : donc non possible... Si ce premier
suspect part à 17 h 16', plus 21 minutes 57' (puisqu'il faut
retrancher 8 minutes en partant du domicile, où il se trouve à 17 h
00), ce suspect étant de retour à 17 h 37' 57'' : donc : non possible
non plus, puisqu'à 17 h 32' 41", il est bloqué par le troupeau et que
le car serait derrière... avec son contrôlographe très particulier
(voir contrôle de la DRIRE ?)
Examinons le cas du deuxième suspect :
Si la fermière binait à 17 h 14 ' (timing de Claude) : "l' amant" qui
témoigne, peut croiser la voiture de ce deuxième suspect à : 17 h 15',
à 100 m de l'habitation du premier suspect.
Il dispose donc de : 17 minutes 41secondes pour aller jusqu'à
Lépanges, perdre du temps dans une rue barrée. On se demande,
pourquoi ? puisque ce n'est pas la voie la plus directe pour aller à
Docelles, et on constate au moins une impréparation totale ( Claude
dit : "Un meurtre de cette envergure se "réfléchit", se "dissèque", se
"comprends" et enfin se "mûrit" : Il y a tout même matière à
s'interroger ? )... pour aller à La Poste, pour partir rejoindre
Docelles, laisser sa voiture sur un parking, emmener l'enfant à pieds,
jusqu'à la Vologne, l'attacher, lui donner la mort, (ou vice
versa ?) ... Passons sur la piqûre d'insuline ? le mettre à l'eau,
aller à pieds de nouveau jusqu' à une cabine téléphonique et donner
enfin trois coups de téléphone, dont le dernier serait à 17 h 32'
41"... Conclusion identique à celle du premier suspect : Le crime est
matériellement impossible dans le temps disponible.
La fermière ne binait donc pas à 17 h14' ? puisque les deux suspects
n'avaient pas matériellement le temps de commettre le crime.
La fermière ne peut que s'être trompée sur l'heure de son binage ?
puisque le crime a bien eu lieu et est un fait avéré non contestable.
Pour rendre le crime possible pour les deux suspects, on est obligé de
déplacer l'heure où "la fermière binait", pour qu'elle tende vers 17 h
00'.
Si on la déplace vers 17 h 00, on diminue les probabilités que le
deuxième suspect puisse arriver à temps à Lépanges, et il faut trouver
l'instant où il peut avoir en concomitance les temps suffisants, à la
fois de venir de Bruyères et puis celui d'aller à Docelles, en même
temps cela donne de l'espace au premier suspect pour qu'il procède à
la mise à l'eau et pour qu'il revienne avant 17 h 32' 41", se bloquer
sur le troupeau ?
Ainsi si le binage est à 17 h 08' 51", le premier suspect dispose des
21' 57" nécessaires d'après le minutage de la PJ, pour arriver à 17 h
32' 41" à son habitation... ou au niveau du troupeau ?
Au moment du binage à 17 h 08' 51" les possibilités probabilités du
premier suspect d'être l'auteur partent à ce moment de 0 %, pour
atteindre 100 % à 17 h 00', où le second suspect n'a plus aucune
possibilité d'arriver, puisque qu'il est à cette heure là, à
Bruyères. ( il peut difficilement être arrivé... avant d'être
parti ? )
On constate également que le premier suspect a mis exactement le même
temps pour partir où ? ? ? et revenir au même point, que la fermière,
c'est à dire : le temps pour elle de faire rentrer son troupeau de 36
vaches en faisant environ : 700 m, puisque les deux sont ensemble au
départ à proximité de l'habitation du premier suspect, et les deux se
retrouvent de nouveau ensemble à l'entrée de la ferme, d'où question :
Combien de temps met un troupeau de 36 vaches pour faire environ : 700
m ?
Ce premier raisonnement excluait le temps non connu, que nous pouvons
appeler : t1 , qui était nécessaire pour : "préparer" l'enfant, pour
qu'il soit : "prêt à être mis à l'eau", qui a dû être vérifié en
reconstitution par la PJ, avalisé par le non-lieu, qui évite
remarquons-le, de le détailler ?
La PJ a dû comptabiliser et vérifier par séquences chronométrées : les
temps nécessaires pour donner la mort à l'enfant, l' attacher, voire
le mettre dans un sac en plastique, car le fait de jeter à l'eau un
être humain dans une rivière, sans masquage n'est pas très plausible.
La mise à l'eau a dû être faite logiquement, dans un sac en plastique
ou une enveloppe permettant de cacher le corps, dans ce cas, compte
tenu de ce qui se jette, comme immondices un peu partout en France, et
notamment dans les rivières, c'est beaucoup moins suspect et
repérable : pour des témoins éventuels, quand on n' a aucune certitude
de n'être pas découvert, que si on jette même délicatement une
forme d' être humain, qui dans ce cas, déclenche immédiatement une
alerte.
Il peut être possible que ce sac se soit désintégré dans la Vologne,
ce qui expliquerait que les liens n'étaient pas serrés ? d'autant
qu'une passante témoin a déclaré avoir vu passer d'un pont de
Docelles : ce qu'elle a cru être un sac de plastique ?
Si on l'exclut puisqu'on ne le connaît pas le temps : t1, on arrive à
l'hypothèse décrite précédemment.
Si on inclut la valeur du temps inconnu : t1, qu'il faut soustraire du
temps disponible : 21' 57'', pour procéder la mise à l'eau, sachant
que le premier suspect se trouve dans son habitation à 17 h 00 ', nous
avons pour effectuer la mise à l'eau : 21' 57'' moins : t1
t1 étant le temps nécessaire à la préparation, qui peut être faite à
partir de 17 h 00', par le premier suspect, qui se trouve à son
domicile, pour aller procéder à la mise à l'eau, il dispose donc de :
21 minutes 57 secondes, moins : t1
Ce qui permet de décaler l'horaire où la fermière binait trouvé, en
faisant abstraction de ce temps inconnu : t1, qui rendait possible le
crime à 17 h 08' 51"... vers 17 h 08' 51" plus t1.
On s'aperçoit que si ce temps inconnu : t1 est de : 5 minutes et 09
secondes, on retrouve exactement l'horaire où Claude d'après le non-
lieu faisait biner la fermière à 16 h 14' ! Si cette valeur, qui est
plausible est confirmée on peut dire que :
L'heure du crime accompli étant de 17 h 32' 41 moins (21' 57 moins 5'
09'') soit moins 16' 48 ", le premier suspect peut partir à 17 h 15'
53'' de la rue des Champs et a le temps matériel de procéder à la
mise à l'eau, pour être revenu à : 17 h 32' 41''
Nous avons aussi la condition probable de la mise à la boîte aux
lettres de La Poste, de la lettre postée le 16/10/1984, avant l'heure
de la levée inscrite sur la boîte (si elle et de 17 h 00), ce qui est
logique, puisqu' en principe un usager non averti de l'alchimie
interne de La Poste, opère ainsi, et n' y va pas volontairement après
l'heure.
Le temps d'après les minutages de la PJ, pour aller à la Poste, aller
chercher l'enfant chez sa nourrice et se rendre au domicile est de :
8 minutes, de 16 h 52' à 17h 00'
Le retour rue des Bosquets ou ailleurs ? rue des Champs est possible
à : 17 h 32' 41''.
Dans la mesure où entre 17 h 00' et 17 h 05' 09'', pour aller jusqu'à
17 h 15' 53'', il faut constater qu'il y a : 10' 44 '' de battement ,
qui permettent de décaler le départ et de passer à Lépanges, chez la
nourrice et chez la mère du petit copain du petit Grégory .
La réalisation du crime est possible par le premier témoin, en
respectant les données connues du non-lieu, et en admettant que le
temps non donné de : t1 soit de 5' 09''.
Mais attention ! comme le dit le non-lieu :
"A titre liminaire, il convient d'observer que le fait pour l'inculpée
d'avoir matériellement le temps de commettre le crime litigieux ne
constitue pas en soi une charge de culpabilité ! "
Il reste à évaluer les possibilités du crime par le deuxième
suspect :
Dans la mesure, où ce deuxième suspect n' a laissé dans sa folle
équipée, telle que décrite dans le non lieu , ( si la fermière binait
à 17 h 14') qu' un seul témoignage * : celui de " l'amant ", qui a été
le seul à témoigner d'un croisement à 17 h 15' avec "un véhicule dont
le conducteur était de forte corpulence et la passagère assise sur le
siège avant droit était une femme aux cheveux roux" (dixit le non-
lieu) , on a vu qu'il n'avait pas le temps matériel de réaliser le
crime puisqu'il disposait de 17' 41' auxquelles, il faut retrancher :
5' 09" , il ne lui reste plus pour faire tout le reste que : 12' 32" :
La route de Lépanges à Docelles, se garer sur un parking, aller à
pied, jusqu'à la Vologne, ne parlons pas de la piqûre d'insuline ?
procéder à la mise à l'eau, et repartir à pieds vers une cabine
téléphonique pour donner les trois coups de téléphone, dont le dernier
est à : 17 h 32' 41''.
* Nota bene : il faut rappeler que ce *témoignage pour le moins " tiré
par les cheveux " et découvert bizarrement , dans une étude de maître,
pose interrogation, car le non-lieu nous dit que ce cercle "familial"
avait concocté plusieurs témoignages et que notre fermière dans la
voiture de "l'amant ", n'a jamais confirmé avoir croisé un véhicule
chemin de La Bure, contredisant ainsi celui-ci... Par ailleurs, c'est
ce même cercle "familial", qui décrit le blocage du premier suspect :
rue des Bosquets avec des coïncidences, pour le moins étonnantes et à
probabilités douteuses, avec un car muni d'un contrôlographe, dont le
non-lieu nous dit aussi qu'il fonctionnait très bien... mais deux ans
plus tard ! Reste également à savoir pourquoi le premier suspect se
trouvait rue des Bosquets, alors que ce n'est pas le chemin le plus
court pour rejoindre son domicile, et surtout parce que ce premier
suspect n'ignorait pas qu'il allait être bloqué par le troupeau des 36
vaches, qu'il avait vues en partant.
Concluez ! et donnez vos avis SVP.
Franchissons le Rubicon : " Alea jacta est !"
toni
PS : Le Rubicon ne fut pas franchi... puisque le billet fut aussitôt
censuré et je fus : " banni" en voici ci desssous les griefs
invoqués :
Message perso par e-mail de Claude Thines du 11/11/2009 (copier/
coller) :
"Bonjour,
Je ne publie certainement pas des messages insultants puisqu'ils sont
supprimés automatiquement.
Je reçois des dizaines de mails des différents membres qui se
plaignent de vous. Ils ne sont pas les seuls, puisque tous les
messages que vous écrivez sont diffamatoires, répétitifs et n'ont pas
lieu d'être sur ce forum...Je tien à garder celui-ci propre et surtout
en vie.
Vous ne faites que ressasser les mêmes choses contre Christine
Villemin, sans la citer, mais nous ne sommes pas dupes. Jean-Marie
Villemin m'avait demandé expressément de fermer le module de
commentaires par rapport à vos messages diffamatoires.
Je ne tiens pas à ce qu'il me demande la même chose pour le forum...
Il était si simple de faire comme nous, d'essayer de comprendre les
faits et évènements sans pour autant revenir encore et toujours sur un
non-lieu...
Bien à vous
**********************************
Je suis créateur de site Internet. Vous en avez assez de vous "prendre
la tête" avec le langage HTML et surtout vous trouvez que les tarifs
sont exorbitants ?
Regardez ici -->
http://creationdesite.wifeo.com/creation-de-sites-tarifs.php
vous risquez d'être (agréablement) surpris !
Exemple de sites créés par mes soins :
Site Internet :
http://thinesclaude.wifeo.com
Site Coiffure à domicile :
http://flo-story.wifeo.com et
Site Entreprise d'électricité :
http://snei94.wifeo.com
--------------------------------------------------------------------------------
Date: Wed, 11 Nov 2009 11:24:58 +0100
From: tonid.... @w....fr
To:
flore....@hotmail.fr; toni...@...
Subject : Banni du forum ?
*
Réponse envoyée le même jour par e-mail perso :
Cher Claude.
Pour tout vous dire être banni de votre "pseudo- forum", que je mets
désormais entre guillemets, qui ne veut que monologuer, m' importe
peu, Claude : parce que contrairement à vous ça fait très longtemps,
que j'ai compris le mécanisme, de l'affaire du pauvre petit
Grégory.
Je ne parle pas des parents Villemin, moi, c'est l' enfant , ses
souffrances... et qui l' a tué , qui m' intéresse !
Depuis que le Forum censuré de : " C dan l'air " , où pour finir, car
mes arguments étaient non-contestables, vous aviez cessé de me
répondre, le fait que ce forum ait été retiré m' a conforté dans mon
analyse.
Je me rappelle, je peux la ressortir puisque j'ai tout conservé en
mémoire : la première réponse que vous m'aviez faites qui m' avait
choquée, la première fois, que je suis allé sur le Forum de : "C
dans l'air" , où il y avait votre litanie habituelle : mensongère,
insultante, diffamatoire, calomnieuse et même raciste (Corazzi ), dont
vous aviez inondé tous les forums traitant de l'affaire Grégory.
Vous m' avez répondu : " allez lire les livres sur l' affaire
Villemin et revenez nous voir, quand vous les aurez lus !" ... je
suis revenu !
Vous étiez présomptueux, parce que quand on commence un sujet en
écrivant : "ça fait 24 ans, que je cherche ! etc. " le moins qu'on
puisse vous dire : c'est que ce n'est pas un exploit, que c'est même
inquiétant ! ce n'est pas en votre faveur, et ça invite plutôt le
lecteur un peu sensé, à éviter de vous suivre, pour avoir quelques
chances de trouver un jour la vérité, vous donnez plutôt
l'impression comme les Villemin, de ne surtout pas la connaître ! Mais
eux, je les comprends, pas vous.
Si j'avais fait comme vous dans mon boulot et mis 25 ans pour ne pas
comprendre l'arbre des causes d'un accident, je n'aurais pas tenu
deux jours dans ma boîte, on m'aurait viré de suite.
Vous avez encore moins de chance de trouver que maintenant , je sais
avec certitude, que depuis longtemps les Villemin, où plutôt leurs
avocats , qui sont de très bons "gesticulateurs," juste un peu "
vénaux " et " véreux ", et qui ont trouvé un bon filon, vous
manipulent , comme une marionnette au bout des ficelles, parce que je
crois que le père, le pauvre, avec son Q.I., il est comme les pères
qui ont été innocentés et relaxés, quand on a trouvé des cadavres des
nouveaux-nés de leurs épouses dans les congélateurs, et qu'ils ne
s'étaient pas même aperçus de leur grossesse ! Il faut le faire !
Le Juge Simon (qui devait être un peu " amoureux " ?), avait raison
de dire que le premier " suspect " est très intelligent, mais l' époux
doit avoir un Q. I. extrêmement faible... Il n'a même pas été foutu
de trouver un corbeau... Il est vrai qu'il pouvait difficilement
imaginer, qui était celui-ci ? ( C'est pour cela... que personne n'a
trouvé ! )
Par ailleurs, lire ces bouquins, vous a complément pollué et corrompu
l'esprit , et a fait comme les sondages, pencher votre opinion, vous
avez lu tout ce qui sortait , en ne vous imaginant même pas, que ces
gens là, vous vendaient leur soupe, pour se faire du fric sur un
malheureux bambin assassiné !
C'est dégueulasse, ignoble, infâme, je ne trouve pas des mots assez
forts ! Je n' achèterai jamais cette littérature puante, ordurière,
de " chiotte ".
Quand on veut chercher une vérité, quelle qu'elle soit : il faut
chercher les paramètres avérés, les vérifier, les recouper, et les
valider.
C'est une habitude et un réflexe de professionnel, et pas d'amateur,
et il ne faut surtout pas être influencé par des éléments pollueurs,
litigieux, fallacieux, faisant diversion... et se méfier de ce qu'on
veut bien vous faire voir, mais regarder plutôt dans l'autre sens.
Mais ça aussi : c'est un truc de professionnel, dans un accident du
travail, vous ne trouveriez jamais la vérité : parce que les
employeurs et les salariés mentent.
Vous trouvez des capots, qui sont là, et qui s'ils y avaient été,
ils auraient évité l'accident ? des travailleurs qui chutent, alors
que bizarrement vous les retrouvez, quand vous arrivez : équipés
d'un baudrier de sécurité ? etc. : Il faut analyser ! et pas se
faire blouser.
Un métier ça ne s'improvise pas, ça s'apprend, ça se médite...ça se
mûrit, comme vous dites. Il ne faut pas jouer les Hercule Poirot , ou
autres. Ce sont des romans pour gogos., il ne faut pas confondre.
Pour les éléments pollueurs sur votre pseudo " forum ", je me marre,
quand on parle encore des piqûres d'insuline, c'est du temps perdu,
il ne faut surtout pas se focaliser sur cela , d'ailleurs je vous
avais répondu une seule fois sur ce sujet et puis basta, on daube !
C'est vous mon pauvre Claude qui ressassez toujours les mêmes choses,
on vous l' a encore dit hier ! relisez-vous, combien de fois, vous
l'ai-je répété ? et je vous ai piégé plusieurs fois, car vous dites
une chose et parfois son contraire... trois posts plus loin, c'est
pourquoi, j' ai dû vous inviter, à vous relire et que ça vous a
agacé.
Les inspecteurs professionnels ne vous ratent pas, dans ces cas là,
parce qu'une chose dite ou lue est enregistrée dans leur cerveau.
C'est pourquoi chez la police ou la gendarmerie, on vous pose
plusieurs fois les mêmes questions, jusqu'à ce que vous vous plantiez
et, pan sur le bec ! là, ils vous cueillent.
N' avez-vous pas remarqué, que je vous titillais sur :" la fermière
binait à 17 h14'" ? croyez vous que c'était innocent ? allons,
réfléchissez ! J'essayais de vous faire trouver à vous- même la
solution ! Je vous l'ai écrit en donnant les indices principaux !
Il fallait juste un peu de jugeote, et ne pas penser que l' un des "
suspects " aille comme le dit le non-lieu : chez la nourrice et chez
la mère du petit copain... mais ailleurs, vous voyez où maintenant ,
ou je vous fais un dessin ? C'est là, qu'était le piège, que personne
n'a jamais remarqué sur votre pseudo-" forum ".
Peut-être ? parce que vous le corrompez en guidant seulement vers
une seule direction par votre partialité évidente, et c'est une faute
grave mon cher Watson, ça s'appelle comme le dit votre Miss Marple en
devenir "EL...", de l'instruction faite uniquement à charge ! c'est la
même qu' a faite le Capitaine !
Pour résoudre l'équation, il ne fallait pas partir de 17 h 00, l'
heure de départ, mais avec : "la machine à remonter le temps" que
vous proposiez en me vannant : " en allant sur Google en l'an 3000."..
comme vous écriviez.
D'ailleurs vous m'aviez parlé : " d'enfant dans le coffre d' une
R5.".. et je vous avais répondu une phrase de Jung : " Notre vie
consciente n'est guère qu'une coquille de noix sur l' océan de notre
inconscient" .. Vous la retrouverez deux fois sur votre ancien pseudo
-" forum" !
Non, mon cher Claude, il fallait partir de l'heure : "d'arrivée"
celle de la mort : 17 h 32' 41'', de la fin de ce pauvre enfant
assassiné, notez bien cela, avec tous les efforts que la Cour de
Dijon, a fait pour trouver un pseudo " alibi" à la première
"suspecte" .
A quoi bon alors qu'elle se décarcasse ? pour blanchir par un non-
lieu illégal, présentant des vices juridiques. Ce non- Lieu aurait
dû être cassé par la Cour de Cassation, si la Chancellerie et le
Pouvoir en violant la célèbre " séparation des pouvoirs ", n' étaient
pas intervenus.
Cette heure là, trouvée et prouvée d'une manière si précise, ça aurait
dû vous mettre la puce à l'oreille ? vous êtes un gamin ? et là, oui
tout s'éclaire et devient plus évident.
En plus, je vais vous dire : le contrôlographe devait être
contrôlé, bien avant la date, qui est indiquée sur le non-lieu.
Demandez et renseignez-vous auprès de la DRIRE, qui contrôlait les
poids-lourds et les autobus en 1984 ! (ça c'est un renseignement
technique que des magistrats ignorent, eux, la mécanique n'est pas
leur job )
Vous aimez les enfants, moi aussi ! mais : "ce n'est pas la poussière
qui est sur leurs genoux ! " qu'il faut rechercher, c'est celui qui a
fait le crime odieux, mettez-vous bien ça dans votre tête !
Moi aussi, j' en ai trois petits - enfants, qui tournent dans ces
âges, et je vous garantis que leurs mères, bien que peu athlétiques,
il faudrait les tuer pour leur les prendre.
L'enlèvement sans complicité de la mère ne tient pas, je vous l' ai
toujours dit, ça je n' y ai jamais cru, même dans la vie animale !
Quand les petits- enfants viennent à la maison, je ne les quitte pas
des yeux, sinon aussi sec, ils me font des conneries, comme les
petits chiens dans un appartement.
Savez-vous qu' une étude a été faite pour évaluer les dégâts causés
par les chiens dans un appartement sur une année : l' un des plus
petits : le Chiwawas est celui qui cause le plus de dégâts : 980
Euros en moyenne par an ! une rente !
Alors, dehors dans une cour même pas close, à la vue de tous...
mais bizarrement personne ne l' a vu vous devriez savoir pourquoi,
vous souvenez : quand je vous parlais du repassage... pour un " gros
repassage" , ma femme n' ameute pas toute la ville et ça lui dure la
demi-journée ! là, 15 '... Il était pressé le premier "suspect "...
mais peut-être pas pour ce que l'on nous raconte.
Trouver normal de laisser un enfant de cet âge seul dehors, sans
surveillance... et dire aimer les enfants, ça ne m' étonne plus que
ce vous racontez, qui est arrivé au vôtre !
Vous devriez éviter de l'écrire ! ça non plus, pour un père ce n'est
pas valorisant.
Dehors seul à 17 h en automne : c'est de la pure folie, d'autant que
la famille disait le sentir, menacé... Mais peut-être pas le
corbeau ? Qui lui savait ... Je vous glisse un petit indice et une
peau de banane en même temps ... en passant ... comme les "V" de
Vologne... le binage de la fermière... mais manifestement vous avez du
mal à réagir...
Vous avez du retard à l' allumage mon cher Claude.
Hier, j' ai réagi tout de suite lorsque pas innocemment non plus...
vous avez balancé le sujet pour demander " " Nos idées sur le
déroulement des faits "
Pas dupe ... Vous n'avez pas eu beaucoup de réponses cohérentes...
Attendiez vous seulement la mienne ? qui était mûrie depuis bien
longtemps et que je vous ai distillée par étapes sur deux jours ?
Elle ne vous convient pas, c'est dommage ! Je n' en ai aucune autre à
vous proposer, alors voyez-vous votre pseudo"forum"...
Mais dans ce cas, il ne faut pas dire comme ceux que vous
idolâtrez, : " que vous recherchez la vérité ", parce qu' eux la
connaissent .
Mais plutôt l' un des deux ! l' autre brute au fusil : pas sûr ?
Je vous ai dit que les éléments qui m'avaient choqués dans une
affaire que ne suivait pas du tout d' abord a et b , puis c et d :
a/ Le détachement de la mère lors de l'inhumation du petit Grégory,
sur les images que j' avais vues, d'autres chaînes en ont peut-être
passées d' autres, plus poignantes, ? je n'en sais rien ?
b/ Le fait que les parents aient fait incinérer la dépouille de
Grégory , comme par hasard... dés que les recherches ADN commençaient
à être utilisées, j'avais dit à mon épouse : "tu vois si les Villemin
font cela , c'est qu'ils ont des choses à cacher !"... Curieux de
supprimer des preuves, quand on dit : "chercher"... et ça ne vous
titille même pas ? A ce moment là j'étais d'ailleurs à 70 % de
probabilités.
c/ Quand le forum de "C dans l'air " a été retiré, je suis passé à 80
%
d/ Quand le vôtre a été suspendu en même temps que celui des
Villemin : à 98 %, au maximum, parce que j' évalue à 2% : la
possibilité que le crime ait été commis par un troisième suspect,
mais toutefois sans écarter : la complicité du premier "suspect. ",
pour n' importe lequel des ravisseurs.
Ce matin, j'ai posté une réponse à HMN, je vous autorise à lui donner
mon adresse @ dans les conditions citées sur le post' , que j'avais
émis ce matin à 5 h00, je ne sais si vous l' avez supprimé, vous le
retrouverez.
J'ai reçu un message insultant de votre Einstein, Miss Marple ... au
pseudo d' EL..., elle doit être en court-circuit ? qui est depuis
deux jours sur le forum et qui dirige l'enquête,
Ce coup, je crois que le capitaine est battu, je pensais qu'il ne
pouvait pas y avoir plus nul, ça y est vous tenez la meilleure, la
performance à l'état pur... et puis elle écrit vite, vous allez être
obligé, d'augmenter la capacité de stockage en inepties.
Elle me posait la question : " pourquoi le : "second suspect"
disposait -il de 17' 41'' en partant à 17 h 15' pour arriver à
l'heure du CT de 17 h 32' 41..." Je lui ai répondu, en lui
demandant, si elle avait fait Math-Sup ?
Je lui parlais des endroits où l'on rédige des textes qu'on vous
demande juste de signer, elle me parlait des lettres anonymes, qui
avaient des fautes.
Je lui ai dit : je vous demanderai bien votre âge, mais je sais que
ça ne se fait pas...
Elle a posté un message de 4 pages avec des questions d' une niaiserie
démentielle.
Agacé par ce Docteur en Droit, je lui ai répondu sèchement, parce qu'
elle commençait à me courir sur le haricot et la patience n'est pas
ma principale qualité.
J'ai passé : 2 bonnes heures à lui répondre... après comme elle
pleurait... je lui ai fait mes excuses... mais comme vous êtes un
"modérateur" un peu "truqueur" : vous avez laissé mes excuses et
enlevé , ce pourquoi je les avais faites : mon texte... Donc vous
piégez les "forumers", qui ne peuvent pas suivre le cheminement, qui
ne comprennent pas et ça c'est malhonnête !
Alors ce matin, alors que le "modo" n'était pas encore réveillé ( il
faut faire une modération a priori mon cher ! ), puisque vous aviez
fait sauter mon message en laissant mes excuses, j'ai remis le texte
qui avait motivé celles-ci, parce que votre inspectrice Miss Marple en
devenir, m' a insulté, parce qu'elle n'a pas compris : pourquoi
mon texte était censuré... et les siens, et mes excuses : toujours
là.
Mais je vous jure que vous allez avoir du mal à lui faire comprendre,
voici ce que je lui avait répondu à une de ses questions :
Toni "J' aurais envie de vous demander votre âge, car vos
interrogations dont la compréhension découle de source, me
surprenaient, mais je sais que ça ne se fait pas".
EL... : "Il figure dans mon dernier post, soixante ans. Un peu jeune
pour la démence sénile, et un peu trop pour la légèreté adolescente
Laughing""
Toni : " Vous ne l'avez pas remarqué, mais je crois que ma demande
est antérieure à votre réponse, mais comme je ne lis pas entièrement
vos posts, parce qu'en balayant , je daube d'office ceux qui pour moi
ne présentent aucun intérêt, j'ai pu ne pas vous lire et c'est
pourquoi, je posais l'interrogation et... transmission de pensées ?
je ne sais pas ? J'hésitais figurez-vous effectivement entre celles
que vous me proposez, mais j'avoue que n' étant pas docteur, je ne
peux pas faire pour vous un diagnostic certain sur votre pathologie,
et encore moins vous fournir une thérapie efficace."
Alors, je veux bien faire des excuses sur un forum, mais pour que ceux
qui le lisent, sachent pourquoi ? il faut donc laisser le texte qui
les motivent ou tout censurer, vous comprenez vous ?
Je n'ai pas l'habitude de quitter mon froc' pour une savante qui
déboule et qui ne comprend jamais rien, c'est tout juste du niveau de
CM1, quand on dispose d'un tel cerveau, il faut dialoguer avec ceux
qui ont le même !
Libre à vous de censurer, mais ce que vous faites est inacceptable,
je veux bien que vous censuriez mes textes, mais pas d'une façon
sélective, qui vous arrange, mais d'une manière motivée et j' exige
que vous censuriez aussi : ce qui motive mes réponses et mes excuses.
Sinon, j' irais où il faudra, pour faire respecter l'intégrité des
forums sur Internet, je vais en causer deux mots, avec ce que
comporte vôtre pseudo "forum" , où vous cherchez une publicité :
celui qui découvrira le pot aux roses, en cherchant en dehors du
pseudo-"forum" des informations privées... ça me rappelle une émission
de délations à la TV , de Pierre Bellemare... mais, il n' y en a eu
qu'une !
Vous allez avoir beaucoup de mal à justifier mon éviction tout à fait
injuste à mon encontre par les griefs que vous me faites, là, j' ai
déjà donné et l'autre partie a ramassé.
Je vous souhaite bien du plaisir pour la faire avaliser : je vous
prenais pour l'Abbé Pierre et je vous croyais honnête, mais vous
êtes : (comme vous l'indiquez), et je vous comprends sous des
pressions inadmissibles de vos soi-disant " innocents personnages" au
fusil... votre " dégonfle " est en train de faire changer ma
conviction à votre égard.
Parce que, je ne suis pas moi sujet à la " dégonfle ", je peux vous
certifier que des pressions et des menaces, j' en connais et en ai
subi un sacré tas, celles-là, vous allez les retrouver bientôt dans
l'actualité, je ne cherchais aucune publicité à mes contributions, je
voulais vous en faire cadeau, mais j'envisage de les offrir à
d'autres... et je parle couramment plusieurs langues, si vous voyez ce
que veux dire ?
Pour répondre à votre courriel :
"Les dizaines de mails comme vous dites, qui se plaignent de vous,
ils ne seraient pas aussi insultants" que moi... mais à contre-sens
contre la famille Laroche ? Vous me prenez pour une pomme, ou
quoi ?
Et ceux que vous avez publiés partout : à votre avis : ils ne sont
pas diffamatoires peut-être ?
Si "vous tenez à garder votre forum propre," alors là, je suis mort de
rire ! il va falloir commencer mon cher Claude, par bien vous laver,
et lessivez vos petits associés que vous manipulez.
Quant à : Jean-Marie Villemin, il est un assassin de la pire espèce,
celle qui se balade avec des armes, qui met en joue avec son Q.I.
lamentablement bas, tout ce qui bouge et lui paraît suspect, il a fait
ses preuves... il serait même du genre récidiviste, si la 4L de la
gendarmerie ne s'était pas trouvée chez les Jacquel le jour du crime
de Grégory.
Je vous rappelle, à vous, qui me faites des citations évangéliques de
protecteurs d'individus, en : "soutenant un assassin et une :
"possible" infanticide", que les forces de l' ordre et la Justice de
la République : ont pour mission de protéger la population en
empêchant d'agir : les tueurs à la gâchette trop facile, tout comme
contre les pédophiles, les violeurs et autres salopards, etc.
Par ailleurs : Je me fous de ce que pense cet assassin, parce que
moi : je ne tue pas une mouche et les poules que j'élevais,
mourraient de vieillesse, votre morale à votre convenance, je n' en
ai rien à cirer, comme on dit je m' en tamponne le coquillard !
J'adore votre dernière phrase : "Il était si simple de faire comme
nous, d'essayer de comprendre les faits et évènements sans pour autant
revenir encore et toujours sur un non-lieu..."
Le "protecteur d'assassin" , qui redevient l'abbé Pierre ? je rêve !
on croit revoir : Mister Hyde et Mister Jekill...
Mais, c'est vrai c'est plus simple à dresser un mouton de Panurge,
savez-vous que vous avez raison : C'est pour cela, que nous avons
eu la guerre de 1939/1945... il fallait faire comme Monsieur Hitler le
demandait... Et combien de morts cela a coûté à votre avis ?
J' espère, que vous avez bien lu le message : que vous avez tout
de suite censuré ... celui émis à 18 h00, le 10 novembre 2009, après
votre demande de réactions sur un sujet que vous aviez vous-même
créé et lancé : Bravo ! Je vous félicite ! à part cela, vous n'êtes
pas un hypocrite ! mais attention, il risque fort de réapparaître
avec vos propres messages, j' étudie la suite à donner.
Après l' avoir posté : samedi à 18 h 00, je suis parti : mission
terminée, votre pseudo " forum", si je peux appeler cela un forum, ne
m' intéresse plus, si c'est pour taper partialement sur des gens,
qui ne m' ont rien fait et contre qui je n'ai aucune preuve, je ne
suis pas votre homme.
Vous excellez et avez des compétences dans ce domaine : alors
continuez ! vous allez finir par trouver ! mais peut-être pas ce que
vous cherchiez...
Pour ce qui me concerne, j'ai sorti de la merde le technicien, sur
qui tous tapaient dessus : médias, assurances, organismes, etc.
facile sur un maillon faible ! Il était inculpé injustement dans la
catastrophe du pic de Bure, et je peux dire que "gratos" (mais aussi
par vengeance contre ma boîte de merde... (APAVE), qui m' avait viré,
je peux vous dire que ça lui a coûté très cher, vous trouverez les
jugements sur le WEB). j' ai évité la taule à cet homme
septuagénaire et malade, il était en retraite depuis 7 ans, quand
l'accident est arrivé !
Je ne ne soutiendrai jamais un assassin, mais des pauvres types, et
là, je crois que vous tapez encore en violant la loi : contre un
assassiné injustement par une brute abrutie.
Relisez plusieurs fois, parce que vous comme EL... vous avez du mal
à comprendre du premier coup... Elle c' est foutu pour toujours !
Salut et bien bonjour chez vous, et à vos complices !
toni
*
Forum du Journal LE MONDE : " L 'affaire du petit Grégory "de Georges
MOREAS
Ce forum qui était contradictoire, tous les intervenants qui le
désiraient, pouvaient s' exprimer librement a été fermé aux
commentaires le 10 septembre 2010, puis : "verrouillé" à la lecture le
17 septembre 2010
"En raison de certains débordements, à compter du 10 septembre 2010,
les commentaires sont fermés sur ce billet. GM"
Réponse de Monsieur Moréas à même question : pourquoi ?
"Bonjour,
Vous savez, je tiens un modeste blog, pas un forum, et les
commentaires, souvent d'ailleurs répétitifs et sans grand intérêt,
surchargeaient le site (près de 7.000).
De plus, j'étais dans l'incapacité de procéder au filtrage, ce qui
pouvait poser problème.
Voila, vous savez tout.
Cordialement.
GMoréas"
"Merci encore et encore, Monsieur Georges Moréas ! votre forum était
contradictoire et non manipulé !"
toni
Forum censuré en 2009 sur France-Télévision, complément d' enquête: "
Affaire Grégory le filon des médias et la gent : "avocatière" :
Réponse à la question : "censure des forums : pourquoi ?" :
"Bonjour monsieur Toni
Nous recevons votre courriel, merci de nous donner votre point de vue.
Je transmets au spécialiste du forum, ainsi qu'aux responsables de
complément d'enquête, votre message.
Cordialement
Françoise
Service de la médiation"
>>> "Médiateur des programmes France 2 3 4"
<
nor...@francetelevisions.fr> 19/11/2009 19:34 >>>
Reachemine par : Médiateur des programmes France 2 3 4
<
nor...@francetelevisions.fr>
From : toni....@....fr
Sujet : Censure des forums - complément d'enquête
Début : Thu, 19 Nov 2009 18:40:00 +0100 (CET)
Je suis depuis un an en attente de la réponse du responsable de
complémént d' enquête... Elle va peut être arriver ? mais d' autres
sujets ont été censurés depuis en septembre 2010 !
toni
*
Forum France-Télevision : " Affaire Grégory : le filon des médias et
de la gent : "avocatière" " (censuré en décembre 2009)
Sujet : " Nos idées sur le déroulement des faits "
Le lundi 09 novembre 2009, à 21 h 44' : Claude Thines lance un peu
vicieusement et avec quelques arrière-pensées sur son : " Nouveau
forum" -- "venez en parler.".. concernant l'affaire GREGORY, un sujet
qu' il intitule :
" Nos idées sur le déroulement des faits " (Sic)
Il joint le message suivant : (avec sa partialité un peu trop
habituelle )
" Nous pouvons débattre sur le sujet et uniquement sur les faits.
Tous les posts incluant les charges du non-lieu seront immédiatement
supprimés... "
( Fin de citation ... on a juste le droit de tomber à bras raccourcis
sur les morts et l' assassiné !)
" Nos idées sur le déroulement des faits..." demandait Claude... en
restreignant un tantinet le champ de manoeuvre : La Cour d' Appel de
Dijon n'ayant trouvé que deux prévenus, qui sont aujourd'hui, pour
des raisons différentes juridiquement : " présumés innocents " :
La mission était terminée avant d'être commencée !
De plus, quand on cherche un assassin on ne peut pas utiliser les
mêmes vocables que lorsque l' on veut parler de Nounours ou de
Primprenelle...Mission difficile, voire impossible, que celle de
disserter du crime le plus odieux, qui puisse exister, en mâtinant en
édulcorant la rédaction par la rhétorique et la sémantique,
parfumées à l' eau de rose.
Pourtant le site : "Justice plus nette" sent le rat crevé, à trois
cents mètres... ça rappelle la puanteur dégagée par un équarrisseur
qui avait enseigne sur rue, au centre de mon agglomération et qui
incommodait tout le voisinage.
Nous avons vu que La Loi l' interdit... Alors dans la mesure où
Claude, demande de violer la Loi, comme d' ailleurs, le fait avec
un peu plus de doigté, de contorsions, faussement innocentes, plus
discrètes, en les masquant, ( elle connaît tout de même le
Droit ) ...d' une manière plus sibylline, la Cour d' Appel de Dijon,
par contre, elle fait des énormes erreurs techniques. Les Magistrats
ne sont pas des techniciens, ça se remarque, le cambouis n' est pas
leur truc ! Ils ne sont pas équipés de bleus de chauffe, mais de
soutanes... et il est préférable de ne pas trop regarder les
dessous... qui ne sont jamais très nets.
On reviendra sur ce sujet dans LA DISCUSSION : il y a de belles
perles... gardons les pour la fin, pour le dessert... ça ne les
empêche pas aussi en Droit, de lui faire quelques délicieuses
entorses, et mine de rien, de savants croque-en-jambe, en glissant
des vicieuses entourloupettes.
Que fait la Cour de Cassation habituellement ? Quel est son rôle ?
là, elle n' a pas bougé d' un cil : ordre venu du haut ?
Ne pleurez pas citoyens communs des mortels : la Loi n'a jamais
été la même pour tous !
Il y a comme à Rome : d' un côté, les plébéiens... et de l' autre :
les patriciens, pour ceux plus cultivés qui comprennent mieux ainsi,
et pour les autres :
" Les billes et... ceux qui les font rouler ! ", ainsi va l'
Égalité !
L' Égalité inscrite sur les frontons des palais de notre République
n' est-elle pas suffisante pour vous manants ?
Alors soyons : " fous " , ils violent la Loi, pourquoi pas les
autres ?
Pour permettre la compréhension du développement du déroulement
possible des faits et la faciliter, en préambule, les définitions :
-- prévenu (A) : celui qui serait le ravisseur de Grégory.
-- Prévenu (B) : celui qui détient l' enfant à 17 h 00' :
Suivant les témoignages figurant sur le non-lieu :
-- Appelons : " l'agricultrice ", celle qui voit le prévenu (B), au
départ rue des Champs, et qui le revoit de nouveau... bloqué à
proximité de sa ferme sise : rue des Bosquets.
-- Appelons : "l'amant", le monsieur, qui avec son véhicule,
transporte l'agricultrice, jusqu' à sa pâture située : rue des
Champs, en passant par le chemin de la Bure. ( "amant" : ce n'est
pas une plaisanterie. C' est inscrit dans les minutes du
Greffe ! il n' y avait donc pas que le juge qui avait de la
nouille en érection ! il y a en a d'autres, qui en sont
soupçonnés, sans que ce ne soit démontré )
La Cour d' Appel de Dijon, n' ayant pas poursuivi d'autres personnes
complices ou ravisseur différent, du prévenu (A), nous ne pouvions que
raisonner sur les possibilités de commettre ce crime odieux, par l' un
ou l'autre des deux prévenus, seule alternative.
L' hypothèse que l' un fût : le complice de l'autre, n'est pas à
écarter, parce que la possibilité d' un enlèvement d'enfant, sans
l'acharnement de la mère, à le sauvegarder, dans une lutte âpre, on
pourrait dire jusqu'à la mort , est peu plausible, même dans le
règne animal, on ne le voit jamais dans les nombreux reportages
consacrés à ce sujet.
On peut constater aussi : Que dans tous les cas d' infanticide, la
Justice, a eu toujours beaucoup de difficultés, à impliquer la mère.
Il n' est pas aisé de franchir ce pas, et ce n'est pas sans
risque...et les magistrats évitant par facilité de prendre trop de
responsabilités, préfèrent se voiler la face, pour ne pas juger.
Sauf, quand ils ne peuvent pas faire autrement, et quand la
Justice, par exemple, découvre des petits cadavres dans les
congélateurs, là, pas de dérobade possible, elle juge l'
infanticide... puis la libère au plus vite, en catimini.
Pour la petite Maddie au Portugal, malgré les traces d'ADN trouvées,
nonobstant les découvertes du chien de la Police anglaise accusant la
mère... il y eut une levée de boucliers des moralistes, le Premier
Ministre britannique s'est mis de la partie, la relaxe fût prononcée,
sans qu' on ne trouve l 'ombre d' un seul coupable... Actuellement,
le petit Antoine d' Issoire, commence apparemment à sombrer dans
l'oubli ?
Le crime : " le plus naturel "... et le plus odieux ne serait-il : ni
justiciable, ni condamnable ? plus faux-cul ! tu ne peux pas !
Claude : nous tendant une espèce de piège, dont il connaît le secret,
nous répondîmes à son appel.
La mission était de : " deviner " , ce qui avait pu se passer le :
16 octobre 1984.
Revenons 25 ans en arrière, avec : " la machine à remonter le temps
", que proposait en : " vannant " Claude.
On le prend au mot parce que la situation était alors différente :
Le prévenu (A) n'était pas encore mort, et donc justiciable.
Le prévenu (B) non encore blanchi par les bienfaits et la clémence "
inédite " de la Cour d' Appel de Dijon, était aussi prévenu, et donc
condamnable.
Nous avons le droit légalement d' épiloguer, de disserter, voire de
divaguer ? : les décisions de Justice n' ont pas été encore prises.
Allons- y, pour un projet de possibilité proposée au débat à Claude*,
pour le déroulement des faits, suivant les données et elles seules,
contenues dans les faits et discussions du non-lieu, rédigé par la
Cour d' Appel de Dijon, qui s'est emparée,( l' expression n'est pas
trop forte ), de l'affaire Grégory et la manipule toujours et
encore :
* : puisque c'est Cloclo, qui nous y invite : ... Et si vous avez
des problèmes pour comprendre certains faits relatés, vous êtes
invités instamment, à vous adressez en Côte d'Or, pour les
renseignements complémentaires : ils sont très diserts sur le
sujet ... il suffit de leur demander... chacun devant demeurer
responsable de ses actes, de ses paroles, de ses écrits, etc.
Le raisonnement découle du minutage du parcours, tel qu' il a été
contrôlé, par la Police Judiciaire, et relaté dans l'exclusion de la
12 ème charge du non-lieu.
Ce paragraphe recèle l'une des seules phrases et conclusion,
indiscutables de la grosse des minutes du Greffe, car elle est d'une
logique toute cartésienne, comme tous, en aimerions avoir plus
souvent de la part de la Justice :
"A titre liminaire, il convient d'observer que le fait pour l'inculpée
d'avoir matériellement le temps de commettre le crime litigieux ne
constitue pas en soi : une charge de culpabilité " : Là, bravo !
ils se sont forcés les magistrats bourguignons ! il va y avoir de l'
hernie dans l' air !
Retenons bien cette phrase, il n' y en aura pas d'autres, car cet
argumentaire est d'une logique que René Descartes aurait avalisée : "
incontestable, incontournable ", en donnant la note maximale de :
20/20
Suit une explication, où il est dit en substance : que la possibilité
de commettre le crime dans le minutage indiqué, si elle rendait la
réalisation du crime matériellement possible, elle supposait aussi un
enchaînement très rapide, sans le moindre incident perturbateur ...etc.
(du baratin à deux balles !)
Cette affirmation personne ne peut la vérifier, en tout cas pas ceux
qui ne possèdent pas les dépositions, mais ce qui peut être dit sans
ambiguïté : c'est qu' elle est valable et s'applique aux deux seuls
prévenus, que nous ayons "sous la main ", (excusez l'expression), sauf
toutefois pour le risque d' incidents retardateurs, qui est d'autant
plus important, pour celui qui a le plus grand nombre de kilomètres à
parcourir, qui est celui nommé arbitrairement : prévenu : (A), et
qui doit traverser un village après être sorti de Bruyères.
D'après le minutage donné et réalisé en reconstitution par la Police
Judiciaire : " il faut à celui que nous nommons le prévenu (B) : 29'
57" pour commettre le crime. "
Nota bene : à ce sujet, il existait sur " le site des V. " : un
schéma horaire, donnant plusieurs versions, celle : SRPJ, et celle
du Juge.
Voici livré texto, le commentaire des V. " hypothèse plus réelle "
celle du Juge, faite un bon nombre d' années plus tard, faut-il le
rappeler ? par rapport à celle : SRPJ : en 1984. ( La preuve :
quand on vous disait que dans cette famille, on préfère les
militaires de la Gendarmerie aux : "poulets de la grande maison" ) Ils
l' ont même prénommé Simon l' un des rejetons... le prochain sera
peut-être Martin ? La Justice aurait dû faire stéréliser tout cela,
inutile de donner des filiations à un assassin... "Petit Nicolas" :
prétend qu' il faut détecter la : "racaille" au berceau... il devrait
s'y prendre par mesure de précaution... un peu plus en avant...
empêcher sa gestation !
Vous ne trouverez plus sur INTERNET, ce document précieux, ni les
extraits du non-lieu, alors que le site dit :" de référence", avait
mis en ligne, quelques jours auparavant, son livre : "16 octobre",
pour contrer celui de MAL, au bénéfice gratuit, de tous les
internautes. Vous n' avez rien raté !" du cucul " : genre :" Petite
maison dans la prairie"... mais rédigé par des repris de Justice, ça
donne un peu de sel... et de piment.
Ils ont été retirés, et il serait étonnant qu'ils réapparaissent un
jour.
Comme l' on dit trivialement : " on s'est payé la tête du citoyen !
" , et ce n'est pas un vain mot... Nous y reviendrons pour le dessert
de " la discussion. "
Pour l' analyse, au départ, il faut fixer les paramètres connus :
Le prévenu (A) d'après le témoignage de sa belle-soeur, invalidé
juridiquement, mais retenu tout de même par la Cour d' Appel de Dijon,
(on vous dit : "entorse" , en voilà une ), est à Bruyères et
attend celle-ci, devant son CES, pour partir à 17 h 00'/05', suivant
la rédaction des faits : ravir Grégory, qu'il sait sûrement être
devant sa maison, sise : rue des Champs, à Lépanges-sur-Vologne,
jouant sur un tas de sable, entre 17h 00' et ? ? ? ... après c'est
le mystère, on ne sait plus : on cherche depuis 25 ans, l'énigme,
mais rassurez-vous beaucoup l' ont trouvée.
Le prévenu (B), lui, on nous dit qu'il est à son domicile à 17 h
00' . Il s' apprête à faire un : " gros repassage ", " il est pressé
" tel qu' il l'a annoncé à la nourrice Madame Jacquot, et entend la
radio... qui est dans une autre pièce, où était le poste de TSF, sans
écouter, parce qu'il s' agissaient d' émissions banales et sans grand
intérêt... L'enfant lui, jouerait innocemment dans la cour, sans
clôture, sur un tas de sable, où pourrait être derrière la maison ?
parce qu' aucun témoin, ne l'a vu, même pas le promeneur avec un
chien, qui est passé quelques minutes après 17 h 00', devant
l'habitation, dont les volets étaient clos... malgré le soleil.
( attention ! c'est authentique : on n' invente rien)
Le prévenu (B) ne peut pas entendre le petit Grégory, puisqu'il
entend la radio... sans l'écouter... et ne peut pas le voir, puisqu'
il le : "surveille" à travers les volets fermés... parce qu'il fait
soleil ( si vous ne croyez pas, demandez à Dijon, des renseignements
complémentaires, la rédaction reproduit les minutes, sans les
falsifier.)
Le prévenu (B) d'après les faits, met exactement le même temps : "
pour aller à la recherche de son enfant au village ", à Lépanges, en
passant chez la nourrice, puis chez la mère du petit copain Parisse,
de Grégory... que met l'agricultrice pour faire rentrer, à partir de
la proximité de l'habitation du prévenu (B), son troupeau de 36
vaches , jusqu'à sa ferme sise, environ 700 m. plus loin : rue des
Bosquets.
Puisque le prévenu (B) et l'agricultrice sont ensemble au départ, et
se retrouveraient paraît-il ? de nouveau ensemble près de la ferme à
17 h 32' 41'' ! .
" C'est curieux " : dirait Saint-Thomas ? il est aussi étrange, que
pour la véracité des témoignages, ça pose problème, d'autant qu'il y
a le fils, avec un contrôlographe très spécial, qui contrôlé presque
deux ans plus tard... s'avéra très, très bien fonctionner...( là, vous
vous s' adressez à la DRIRE... qui étalonne aussi nos chers
(onéreux) radars ), et puis, il y a même " l' amant ", qui
constitueront à eu trois le seul témoignage de la folle et incroyable
virée du prévenu (A), mais aussi : " l'alibi " du prévenu (B); Il
paraît que l'un d' eux a été menacé par la famille du prévenu (A) ?
D' où on retient, que pour ses " recherches ", à Lépanges, le
prévenu (B), a mis exactement le temps que le troupeau a usé, pour
faire : 700 m.
Durée inconnue du trajet, que nous nommerons : t3, celle que met un
troupeau de 36 vaches pour faire environ : 700 m. Allez à la campagne,
faites-vous bloquer sur une route... même nationale... par un
troupeau, vous aurez le temps de mesurer la vitesse moyenne... pas
pressées ces demoiselles !
Paramètres fixés : Il faut faire l' examen des diverses possibilités
de commettre le crime par les deux prévenus.
On doit commencer par celui qui à : 17 h 00', est avec Grégory :
le prévenu (B), pour lequel, nous savons qu'il est sûr d'être avec
l'enfant, puisque plusieurs témoins disent l' avoir vu dans la
voiture : une Renault 5, de couleur noire : avant 17 h 03 '.
Après, hélas pour le pauvre chérubin... plus aucun témoin ne le vit
vivant !
Si " l'agricultrice binait" à : 17 h 14' ( comme l' écrit le
timing de Claude... Il s'est fait chambrer ! il en a décortiqué le
chronométrage sur son site, à la seconde près !)
1/ Le temps de se préparer pour partir rejoindre la pâture, rue des
Champs (700 m. environ ), dans la voiture de : " l'amant ",
l'agricultrice peut y être à : 17 h 16', et rencontre le prévenu
(B)
Le calcul de la Police Judiciaire estimant après chronométrage que la
réalistaion complète du crime nécéssitait : 29' 57'', disait que ce
prévenu (B) en quittant l'usine M.C.V. de Lépanges, à : 16 h 52',
pouvait être de retour à : 17 h 21' 57", après avoir commis le crime
(16 h 52 + 29' 57'')
Il n' est alors que : 17 h 16' : l'agricultrice et le prévenu (B),
sont ensemble à ce moment là, à proximité de l'habitation du prévenu
(B)
Le prévenu (B) par rapport au temps de référence de : 17 h 21' 57 '',
à : 5 minutes 57 secondes d'avance, et donc nous pouvons
conclure : qu'il n'a pas pu matériellement réaliser le crime. ( la
durée disponible lui étaient insuffisante )
Conclusion (1) : crime non possible pour le prévenu (B) en partant de
son domicile à 17 h 00'.
Dans le cas où le prévenu (B) au lieu de partir à : "la recherche
de son enfant au village" , aurait pris à : 17 h 16', une autre
direction ? Nous ajoutons les : 21 minutes 57' ( puisqu'il faut
retrancher : 8 minutes aux : 29 ' 57 '' (temps total à partir de
l'usine M.C.V.)), en partant du domicile, où il se trouve à : 17 h
16' , il a : 21' 57 '' " disponibles ", pour réaliser le crime.
2/ Le prévenu (B) étant de retour à : 17 h 37' 57''...(17 h 16' + 21'
57'')... pour : 17 h 32' 41 " heure fatidique ''
La réalisation du crime n'est pas possible non plus, puisqu'à : 17 h
32' 41", il est bloqué par le troupeau, et le car est derrière... Il
lui aurait manqué : 5 minutes 16 secondes.
Conclusion (2 ) : crime non possible pour le prévenu (B) en partant
de son domicile à : 17 h 16'.
3/ Il faut examiner les possibilités de l 'éventuel : " ravisseur" :
le prévenu (A) de commettre le crime :
Si " l' agricultrice binait à : 17 h 14 ' " (timing de Claude) :
"l' amant" qui témoigne, et la transporte, peut croiser la voiture
de ce prévenu (A) : chemin de la Bure à : 17 h 15', à 100 m de
l'habitation du prévenu (B) .
L'heure du crime accompli étant inférieure à : 17 h 32' 41'',(moins
le temps des 3 C.T. ), il dispose donc de : 17 minutes 41secondes,
pour aller jusqu'à Lépanges,
Où, il perd du temps dans une rue barrée.
Il va va à La Poste, après l'heure de levée inscrite sur la boîte à
lettres de La Poste. ( il ne connaît pas une postière celui-là ? )
Désormais le prévenu (A) peut se diriger à Docelles
Le prévenu (A) arrive à Docelles, à l'heure de sortie des usines et
peut-être des écoles ? quitte sa voiture, part à pied laissant son
fils de 4 ans et sa belle-soeur de 15 ans, dans le véhicule en
stationnement sur un parking.
Le prévenu (A) emmène Grégory à pied, jusqu'à la Vologne.
Le prévenu (A) procède à la mise en place des liens : poignets,
chevilles et bonnet.
La prévenu (A) donne la mort, (ou vice versa, avec la phase
précédente ? )
Passons sur la piqûre d'insuline dont la nécessité n'est guère
plausible ? : 0 seconde allouée
Le prévenu (A) procède à la mise à l'eau de l' enfant dans la Vologne
ou la Barba ?
Le prévenu (A) part à pied de nouveau jusqu' à une cabine
téléphonique.
Le prévenu (A) donne enfin trois appels de téléphone, un : chez la
mère de Grégory, qui n'est pas là, un : chez les grands parents de
Grégory, qui ne sont pas ici, puis le troisième serait à : 17 h 32'
X'' , chez l'oncle de Grégory, et revient prendre sa voiture, où son
enfant Sebastien, et sa belle-soeur Murielle, l'attendent.
En l'absence de complices, puisque telle est l'hypothèse retenue par
la Cour d' Appel de Dijon, qui a estimé qu'il n' y avait plus
personne à poursuivre.
Conclusion : identique à celle du premier suspect :
Le crime est matériellement impossible pour le prévenu (A), dans le
temps disponible, puisqu' il disposait de : 17' 41'' jusqu'au moment
fatidique de : 17 h 32 ' 41 '' et que le temps " alloué " pour le
suspect (B) de commettre le meurtre est de 21' 57 '' Il faut
attribuer au prévenu (A), plus de temps du fait que pour lui, qu' il
a de plus grandes difficultés pour la réalisation de certaines
opérations, (attaches des liens, et neutralisation de l'enfant, dans
la nature ), ajouter le temps d' aller à La Poste, ajouter le temps
perdu dans la rue barrée, ajouter le temps passé pour aller à la
cabine téléphonique et donner les 3 appels téléphoniques, mais en
revanche retrancher le temps compté pour le retour du prévenu (B) du
passage à niveau de Docelles, jusqu'à la rue des Bosquets. ( il est
évident qu' il était inutile pour lui de revenir, ce temps on ne le
trouve pas, ce serait trop facile, mais dans la mesure où la vitesse
est indiquée par le schéma horaire : 60/80 km par heure, il peut
être évalué à : 9 mn )
Il en résulte que " l' agricultrice ne binait " pas à : 17 h14' ?
puisque les deux prévenus " disponibles " (A) et (B) n'avaient pas
matériellement le temps, ni l'un, ni l'autre, de commettre le crime.
Malheureusement le fait est là : le meurtre a bien été commis, c'
est un fait avéré, non contestable, il faut donc convenir que
l'agricultrice ne pouvait que s'être trompée sur l'heure de son : "
binage dans son champ de carottes ? "
Pour rendre le crime possible pour les deux prévenus, on est mis dans
l'obligation de déplacer l' heure appelons la : t2 , où "
l'agricultrice binait ", pour qu' elle tende vers 17 h 00'.
Si on déplace itérativement : t2 , vers 17 h 00, parallèlement, on
diminue les probabilités pour que le prévenu (A) , puisse arriver à
temps à Lépanges, en étant parti du CES de Bruyères à 17 h 00' / 05' ,
et il faut trouver l'instant où, il peut avoir en concomitance , les
durées suffisantes, à la fois de venir de Bruyères, puis celle
d'aller à Docelles commettre le crime, après s'être emparé de Grégory.
D'après le tableau des chronométrages du : "schéma horaire "
lorsque celui-ci était disponible sur INTERNET la " famille V. " ,
indiquait :
" il résulte de ces chronométrages et estimations que si le prévenu
(A) a quitté en compagnie de sa belle-soeur le CES de Bruyères à 17
h 00 ', il pouvait être à Lépanges, au point susnommé à : 17 h
10' " (SIC le tableau émis sur le Web, juste une distorsion pour
éviter de donner les patronymes des personnes citées nommément ! )
A ce moment là, première possibilité, au prévenu (A) d'arrivée à
Lépanges, au point sus nommé, et de repartir sans même décompter le
temps d'enlever Grégory, lui donne : 22 minutes 41 secondes, pour
faire toutes les opérations énumérées dans la première hypothèse.
4/ Hypothèse de la première possibilité du prévenu (A) d' arriver au
point d'enlèvement à Lépanges à :17 H10 ' (10 ' temps minimum donné
par V.)
a/ Il ravit l'enfant rue des Champs.
b/ Il se dirige vers le centre de Lépanges,
c/ Où il perd du temps dans une rue barrée.
d/ Il va à La Poste après l'heure de levée.
e/ Il se dirige vers Docelles
f/ Il quitte sa voiture part à pied, laissant son fils et sa belle
soeur, dans le véhicule en stationnement sur un parking.
g/ Il emmène Grégory à pied, jusqu'à la Vologne.
h/ Il procède à la mise en place des liens des poignets, des
chevilles et du bonnet.
i/ Il donne la mort, (ou vice versa ?)
Passons sur la piqûre d'insuline.
j/ Il procède à ma mise à l'eau de l'enfant dans la Vologne.
k/ Il part à pied de nouveau jusqu' à une cabine téléphonique.
l / Il donne enfin trois C. T. un : chez la mère de Grégory, un :
chez les grands -parents de Grégory, puis le troisième serait à :
17h 32' X", chez l'oncle de Grégory.Il revient à son véhicule, où
l'attendent son fils et sa belle soeur.
Par rapport au : 22 ' 41'' , " alloués ", au prévenu ( A), dans le
temps, qui lui reste : 07 ' 41'', il apparaît qu' il y a
pratiquement l'impossibilité matérielle de commettre le crime ( le
chronométrage du Juge lui donnant : 6 ', pour arriver à La Poste,
et : 9 ' pour aller de La Poste au parking à Docelles ), ayant usé :
15 ' : Il lui reste : 7' 41 '' pour faire toutes les autres
opérations : g / h / i / j / k / l.
Plus l'heure, où " l'agricultrice binait " : t2 , tend vers 17 h
00, plus le prévenu (B) dispose de durée pour commettre le crime et
être revenu à :17 h 32 ' 41'', rue des Bosquets, quand celles de
l'autre prévenu (A) décroissent.
Ses probabilités augmentent de : 0 % , à l' heure, où il dispose du
temps minimum de : 21' 57 '', soit : 17 h 32 ' 41'' moins 21' 57 ''
= 17 h 10' 44 '', pour augmenter jusqu' à atteindre : 100 % de
probabilités à : 17 h 00 ''
Puisque à ce moment, le prévenu (A) ne peut pas être arrivé à
Lépanges ... alors qu' il n'est pas encore parti de Bruyères (c'est
évident : mais on ne sait jamais avec les zozos qui ont menés l
'enquête on peut s' attendre à tout ! )
Le prévenu (A) ne dispose lui, que de la fenêtre étroite entre le
moment, où il peut à la fois, arriver à Lépanges, provenant du
CES de Bruyeres, puis ravir l'enfant , puis partir et arriver à
Docelles, pour donner la 3 ème C.T. à : 17 h 32 ' X ''.
Cette fenêtre est dans le chronométrage des séquences : le surplus
s'il en a ? , pour venir de Bruyères, ravir l'enfant et aller à
Docelles, sans même s'arrêter ?
Ce premier raisonnement excluait : le temps non connu, que nous
pouvons appeler : t1 , qui était nécessaire pour : " préparer " l'
enfant, pour qu'il soit " prêt " à être jeté à l'eau, qui a dû être
vérifié en reconstitution par la Police Judiciaire, le non-lieu, lui
a donné l'aval, mais évite de le détailler, ce qui empêche quiconque
de pouvoir remonter le mécanisme et le cours des événements... et
rendre toute contradiction impossible, toutefois dans la mesure où la
famille V. avaient émis sur INTERNET, les reconstitutions possibles,
pour bien les renseigner... peut-être un trop ? On peut s' y
référer... quand on dit : " chercher la vérité "... on finit par la
trouver !
Avec certitude la Police Judiciaire, bien avant le Juge, a dû
comptabiliser et vérifier par séquences chronométrées : les temps
nécessaires, opération après opération pour la réalisation du crime,
notamment :
--- Pour neutraliser et donner la mort à l'enfant
--- Pour attacher l'enfant en lui liant les membres et le bonnet.
--- Voire le mettre dans un sac en plastique, ou une enveloppe, pour
dissimuler sa mise à l'eau, car immerger un corps humain, sans avoir
la certitude de ne pas être vu, est problématique : en cas de
découverte, l'assassin déclenche aussitôt l' alerte, et la
surveillance des routes.
Si on l'exclut puisqu'on ne le connaît pas le temps : t1, on arrive
aux conclusions décrites précédemment. ( impossibilité matérielle de
réaliser le crime pour les deux prévenus... en tout cas peu plausible
pour le prévenu (A)
Si l'on inclut la valeur du temps, qui est inconnu et que l'on
appelle : t1, qu'il faut soustraire du temps disponible des : 21'
57'', pour procéder à la préparation pour la mise à l'eau, sachant
que le prévenu (B), se trouve dans son habitation à : 17 h 00 ', il a
pour effectuer la mise à l'eau : 21' 57'' moins : t1
t1 étant le temps nécessaire à la préparation, qui peut être faite à
partir de : 17 h 00', à son domicile, ce qui est beaucoup moins
risqué... par le prévenu (B), qui a ce moment là, détient l'enfant.
Il se trouve dans son habitation, où il ne peut être dérangé puisque
avec les volets clos, elle apparaît absentée de ses habitants.
Pour aller procéder ensuite à la mise à l'eau, il dispose donc de :
21minutes 57 secondes, moins : t1
Ce qui permet de décaler l'horaire où la " fermière binait " trouvé,
en faisant abstraction de ce temps inconnu : t1, qui rendait possible
le crime à : 17 h 10' 44 '' ... vers 17 h 10 ' 44 + plus : t1.
Le tableau des simulations, qui était sur INTERNET, sur la site de la
famille V. reproduisant les tests effectués par le Juge et le SRPJ,
et qui a été retiré, donnait une valeur de : 5 minutes pour : t1
On lisait sur le tableau des chronométrages pour la mise à l' eau
près du local des pompiers à Docelles :
"Le temps estimé pour neutraliser l'enfant , le ligoter, et le jeter
à l' eau a été de 5 MINUTES. Pour tenir compte des difficultés
qu'aurait rencontrées, l'auteur des faits , pour dissimuler à la vue
des occupants des nombreuses maisons, entourant les lieux, où dans
cette hypothèse, l'enfant aurait été jeté dans la Vologne."
Il y a un : " petit piège ", à ne pas rater ! car cette hypothèse
là, est attribuée au prévenu (B), au cas où la mise à l' eau, se
serait effectuée, près du local des pompiers à Docelles... alors qu'
en réalité : le non lieu et le témoignage de la belle soeur du
prévenu (A) l'attribuent à celui-ci !
Parce que pour le prévenu (B), le SRPJ situe la mise à l' eau :" au
point privilégié", près du passage à niveau avant Docelles, dans la
rédaction de l'exclusion de la 12 ème charge.
L'heure du crime accompli, étant de : 17 h 32' 41'' -- moins (21'
57 -- moins : 5' 00''), soit moins : 16' 57 ", le prévenu (B),
peut partir à : 17 h 15' 44 '' , de la rue des Champs et a le temps
matériel de procéder à la mise à l'eau, au passage à niveau de
Docelles, pour être revenu à la première limite, à : 17h 32' 41''
On s' aperçoit que contrairement au chronométrage et à la suite des
séquences faites par le juge, le prévenu (B) peut très bien
neutraliser l'enfant, le ligoter à son domicile, puisqu'il s' y
trouvait à : 17 h 00'... volets fermés. Envisager de lui faire,
effectuer ces opérations dans la nature, n' est pas très cohérent,
( "à la vue des occupants des maisons etc. " : voir texte
précédent ), près du lieu de la mise à l' eau, ce serait aberrant,
car il comporte pour lui un risque inutile à prendre.
Nous pouvons faire remonter l' horaire : t2, jusqu' a : 17 h 05' 00
'', ( soit : 17 h 00' , (où le prévenu (B), est à son domicile)
plus : 5 minutess , temps de préparation maxi, puisque là, il n ' y a
pas les difficultés évoquées précédemment et de plus : les volets
son clos.)
Ce qui donne une fenêtre au prévenu (B) pour réaliser le crime en
partant à partir de : 17 h 05 ', jusqu' à : 17 h 15' 44 '', qui est
l'heure la plus tardive pour revenir juste dans le temps minimum de :
21' 57 " (05' + plus 16 ' 57 '' ) , et être bloqué : rue des Bosquets
à l' heure fatidique de : 17 h 32' 41''.
La fenêtre rendant le crime possible pour le prévenu (B) s'étale en
partant de son domicile de : 17 h 05' , jusqu' à : 17 h 15' 44 ''
soit pendant : 10 minutes et 44 secondes.
Nous avons aussi la condition probable de la mise à la boîte aux
lettres de La Poste, de la lettre postée le : 16/10/1984, avant
l'heure de la levée inscrite sur la boîte (si elle est de :
17 h 00 ? ), ce qui est logique, puisqu' en principe un usager non
averti du fonctionnement interne de La Poste, opère ainsi, et n' y va
pas volontairement après l'heure... pas plus qu' il n' irait à la gare
après l' heure de départ d' un train.
Le temps d'après les minutages de la Police Judiciaire , pour aller à
La Poste, aller chercher l'enfant chez sa nourrice et se rendre au
domicile est de 8 minutes de : 16 h 52' à
17h 00', donc inclut le passage à La Poste.
Le retour rue des Bosquets ou ailleurs ? rue des Champs est possible
à : 17 h 32' 41'', avec un " bonus" supplémentaire de : 10 ' 44 ''
pour donner deux appels téléphoniques.
Ce surplus de temps, permet de passer à Lépanges, qui est sur la
direction vers la Vologne, chez la nourrice et chez la mère du petit
copain Parisse, du petit Grégory, en revenant ou en partant vers le :
"point privilégié"
Constatation : Les minutes du non-lieu indiquent pour le prévenu
(B) :" que sa recherche s'est effectuée à vive allure " ... elle
aurait été faite dans le temps qu' ont mis les vaches et
l'agricultrice, pour effectuer la distance d' environ 700 m. entre la
proximité de l'habitation et la ferme rue des Bosquets, soit le
temps : t3.
La réalisation du crime est possible par le prévenu (B), en respectant
toutes les données connues du non-lieu et en admettant que le temps
donné de : t1, soit de : 5' 00'', et il dispose de : 10' 44 ''
supplémentaires, s'il part à 17 h 05' ... ce qui est probable puisque
ça correspondrait beaucoup plus vraisemblablement à l' indication
étrange que donne la vitesse du troupeau... qui doit être plus proche
de : 27 ' 41", en partant à 17 h 05' , que de 16' 41"en partant de
17 h 16'.
CONCLUSION DE LA VÉRIFICATION DES FAITS : en prenant en compte
seulement les faits qui sont connus et décrits, en l'absence d'autres
non connus, tels que décrits dans les minutes du Greffe de la Cour
d' Appel de Dijon, les valeurs indiquées sur les chronométrages ( non
indiquées dans les minutes ) , affichées sur INTERNET :
Le prévenu (B) a le temps matériel de commettre le crime, il dispose
même de : 10 ' 44'' supplémentaires, à partir de la durée la plus
brève, réduite au minimum.
Mais attention ! ! ! comme l' écrit le non-lieu :
"... il convient d'observer que le fait pour l'inculpée d'avoir
matériellement le temps de commettre le crime litigieux ne constitue
pas en soi une charge de culpabilité !"
Par contre :
On peut affirmer avec certitude : que le prévenu (A) n'avait pas le
temps matériel de réaliser le crime, en partant tel que l'indique la
grosse du non-lieu du CES de Bruyères : à 17 h 00'/ 05', pour
commettre le meurtre, suivant les séquences chronologiques du
témoignage attribué à sa belle-soeur, et pour lui permettre de donner
son dernier appel téléphonique à l'oncle de Grégory : Michel V., à
l' heure donnée avec un telle précision ? qu' elle semblait , plus
inspirée d'un montage, que de le la réalité :" 17 h 32 minutes
et 41secondes "... Finalement : l' heure du contrôlographe,
témoigne pour le prévenu (A) de son innocence.
Avec l'étonnant concours de coïncidences simultanées
extraordinaires, que comportait cette indication issue d'une
probabilité comparable, à celle de gagner le gros lot au Loto, il a
fallu bien se décarcasser , pour innocenter finalement un prévenu (B)
supposé : '' coupable ''...
Ce qui doit rappeler l' histoire filmée inénarrable, par les frères
Lumière... :" de l'arroseur arrosé !"
On peut tricher... mais, il ne faut jamais trop exagérer , car
après, ça se repère un peu trop et les Saint-Thomas + " Je pense donc
je suis "... ils vous vous voient, venir avec vos gros sabots... A
vouloir trop démontrer, on finit toujours par démontrer le contraire.
Le forum sur ce sujet a été censuré, après publication par FRANCE-
TELEVISION, en décembre 2009, pendant que le site de : "référence
gregoryvillemin. free", s' auto-censurait, en indiquant la
formulation : "pendant la durée l' information ouverte "
Ne cherchez pas de lien de causalité... Il n' y en a sans doute
aucun ? (LOL !)
*
Dernière actulalités : du 20/10/2010 :
*
AFFAIRE GRÉGORY - La justice sur les traces de l'assassin (Source : Le
POINT)
De nouvelles investigations sur des scellés non encore exploités ont
été ordonnées par la cour d'appel de Dijon, ravivant les chances
d'identifier le coupable.
Ce sera sans doute l'épilogue de l'affaire Grégory Villemin. À la
suite des expertises muettes menées par le laboratoire Biomnis au
printemps dernier, la justice a ordonné, mercredi, six nouvelles
analyses à la demande des parents de l'enfant assassiné en octobre
1984, dans les Vosges. Il s'agit des "dernières expertises pertinentes
que l'on peut faire en l'état de ce que l'on sait faire", souligne le
procureur général de la cour d'appel de Dijon Jean-Marie Beney.
Ces analyses porteront sur des éléments non encore exploités et en
premier lieu sur le "très long" cheveu prélevé sur le pantalon de
Grégory par le laboratoire Biomnis chargé des dernières analyses. Des
prélèvements d'ADN seront également effectués au coeur des noeuds des
trois cordelettes ayant servi à ligoter l'enfant. Il s'agit du scellé
le plus porteur d'espoir, celui "susceptible de nous rapprocher au
plus près de l'assassin", indique le procureur général.
Lettre anonyme
Autre investigation à venir : le foulage "L B" (empreinte laissée par
un écrit sur une feuille placée en dessous) identifié au bas de la
lettre de revendication du crime datée du 16 octobre et adressée au
père de Grégory, Jean-Marie Villemin. "Encore faut-il que cette pièce
n'ait pas été abîmée par les poudres utilisées à l'époque", note le
procureur général.
L'expertise des voix du corbeau, également ordonnée, dépendra, quant à
elle, de la qualité des enregistrements de l'époque, étant précisé que
"les techniques actuelles fonctionnent mal sur des supports anciens",
explique le procureur. Il est, par ailleurs, regrettable que le seul
appel qui soit, d'après la justice, l'oeuvre de l'assassin ou d'un
complice, celui qu'indique avoir reçu le frère de Jean-Marie Michel
Villemin, le 16 octobre 1984 vers 17 h 30, n'ait pas été enregistré.
Autre objet susceptible de "parler" : une lettre anonyme envoyée en
1985 au juge d'instruction Jean-Michel Lambert, classée en son temps
avec d'autres lettres anonymes, puis ressortie par le juge Maurice
Simon qui avait repris l'enquête en 1987. "Le magistrat avait
sélectionné cette longue lettre qui apporte de nombreux détails sur
les circonstances du meurtre", explique Jean-Marie Beney. Mais on n'a
jamais retrouvé le signataire anonyme, une certaine "Corinne".
L'objectif est d'extraire les éventuels ADN sous les deux timbres de
l'enveloppe en vue de les comparer avec la base des 200 ADN déjà
prélevés.
Nouveaux prélèvements ADN
Quatre nouvelles personnes devront également se soumettre à des
prélèvements d'ADN. "Il ne s'agit pas de membres de la famille, mais
de deux couples faisant partie de l'entourage proche de Grégory et de
ses parents."
L'avocat des parents Villemin, Thierry Moser, se dit très :
"satisfait de la décision de la Cour de Dijon" et des investigations
ordonnées, dans lesquelles il place un grand espoir. "J'espère
qu'elles permettront de mettre au jour l'implication des différentes
personnes ayant participé de près ou de loin à l'assassinat de
Grégory."
Reste à désigner les experts chargés de ces différentes analyses. Ce
que fera le président la chambre de l'instruction, Jean-François
Pontonnier, dans les prochaines semaines. Quant aux résultats des
investigations, ils ne sont pas attendus avant le début 2011.
*
Les magistrats intègres de La Cour d' Appel de Dijon organiseraient-
ils : l' impossibilité matérielle de pouvoir découvrir un jour la
Vérité ? pour cacher à jamais, leurs manipulations dans l' affaire du
petit Grégory ?
Ils ne s' y prendraient pas autrement : Ils avaient autorisé l'
incinération de la dépouille ( primitivement inhumée) du petit
ange...
Ainsi : On connaît les causes de la mort de Toutankhamon..., décédé
depuis des millénaires... maintenant, celles de Grégory en 1984,
resteront pour toujours un mystère !
Les cordelettes vont y passer... et trépasser ! ( les noeuds
initiaux... de :" tisserand" (MDR !) Le "prévenu, suspect principal"
Bernard Laroche... assassiné... ne dira plus rien !
Et en plus... les mêmes qui mènent la Justice par le bout du nez, ont
obtenu la condamnation de L 'État pour : "pertes de pièces à
conviction " : 70 000 Euros payés par le contribuable !
Chapeau bas Messieurs pour l' imposture, vous êtes très, très forts !
les meilleurs !
Le bateau avec lequel la Cour d' Appel de Dijon, nous balade depuis 20
ans... serait-il en train de sombrer ?
Pourquoi ne pas relever le défi de la petite bulle sur fond bleu azur,
lancé par le :"schéma horaire" du site dit : " de
référence.gregoryvillemin.free", (trop simple ou trop peur du
résultat ? ), les reconstitutions oubliées par le Juge : "amoureux"...
et tricheur : feu Simon ?
"Le coeur des noeuds" ! Foutaise ! les noeuds initiaux... de :"
tisserand ? ressemblant à des noeuds à flot...mais d'une facture plus
compliquée..." (MDR !) ont été défaits depuis longtemps ! Me Chastant-
Morand avocate de CV, dans son mémoire en faveur du non-lieu, a donné
les longueurs respectives au dixième de millimètre près ! (page 10 :
respectivement... 96,60 cm : scellé N° 3... 82 cm : scellé N° 4...
105,60 cm : scellé N° 5... longueur totale : 285,20 cm (SIC ! ça ne
s'invente pas ! au 1/10 ème de millimètre ! comment les mesurer...
sans défaire les noeuds, et comment le faire avec une telle
précision... qui a une idée pour mesurer un élastique ?)
On va analyser l' ADN de la lettre anonyme signée : "Corinne", que 60
millions de citoyens auraient pu écrire le : 06 août 1985... et qui ne
mènera à rien ! Un poil pubien ? itou ! Mais ce sera pour la prochaine
fois... pour la prochaine couche ! Il faut bien que les avocats,
ils : "croûtent " tout de même ?
De quelle couleur est le :" très long cheveu" qu' on nous sort, tel le
lapin du magicien... Il ne pouvait pas en dire plus Monsieur Beney ?
pas besoin du labo pour le savoir... mais peut-être est-il daltonien ?
On ne peut pas dire qu' il n' a pas la tête de l' emploi ! seraient-
ils tous formatés à la Fouquier-Tinville, les Procs' en France ?
Pourquoi ne pas analyser les lettres reçues par Mme Nicolle : belle-
mère de Bruno Magron, ex-de CV et qui l' a " jetée" ? Il devait avoir
quelques bonnes raisons le Bruno ? qui n' étaient pas d' ordre
physique ?
Si :"le petit juge somnambule de la pensée" (dixit Kohn...No
Comment !) : Lambert et la Cour de Nancy ont indéniablement commis des
erreurs énormes... il ne peut pas leur être reprochés d' avoir manqué
à l' honnêteté. Par contre, les pseudo- magistrats de la Cour d'
Appel de Dijon , pareils à ceux de celle de Lyon, complice implicite
des assassins du juge Renaud, ont fauté et violé la Loi ! dans une
machination et un abus de confiance collectif, intellectuel, à l'
encontre de l' opinion publique, du peuple, à qui cette Cour a fait le
hold-up d' un procès d' Assises, contradictoire, avec jury
populaire : "Au nom du Peuple français !"
Que fait la Cour de Cassation ? L 'affaire du petit Grégory n' est pas
une énigme, depuis très longtemps, mais un mensonge d' ETAT !
toni
*
Nota bene : Faites-vous votre propre opinion, et si vous trouvez des
erreurs, des inexactitudes,
je vous saurais gré de bien vouloir les communiquer, afin que je les
rectifie. Je vous en remercie par avance.
Je mets au défi public Jean-Marie V. : de re publier tout ce qu' il
avait mis sur le INTERNET, depuis le début, toutes les versions et
tous les documents : schémas horaires et pièces judiciaires, plus les
plans : GOOGLE EARTH, ainsi les internautes qu' il voulait piéger
constateront d' eux-mêmes : qui ment, qui affabule, et qui dit la
VERITE ?
Question subsidiaire : avec tous ces documents, n' était-ce pas
possible de découvrir la VERITE :" de cette énigme " :
tranquillement assis confortablement devant son ordinateur, sans
bouger d' un millimètre ! Vous pourrez faire vous-même cette
expérience passionnante... elle prend quelques heures, qui valent le
détour.
Cordialement @+ et bonne lecture à tous !
toniDENIS