De combien d'injustices suis-je coupable demande le Juge LAMBERT ?

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Toni Denis

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Mar 10, 2015, 2:11:48 AM3/10/15
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AFFAIRE DU PETIT GREGORY (suite)

De combien d'injustices suis-je coupable demande le Juge LAMBERT ? (vous retrouverez quelques pages de ses livres sur Internet )

Réponse = sans aucun doute et volontairement : AUCUNE.

On se doit d'accorder le bénéfice du doute, au juge Lambert, car aucun indice ne permet d' accuser de malhonnête délibérée le Juge Jean-Michel LAMBERT : l'erreur est pardonnable...

La faute délibérée, le déni, la forfaiture, sont des délits qu'il n' a pas commis.

Mais quel abus de faiblesse ? ... incroyable de ce juge, du Parquet de Nancy, de son Procureur, emportés par un véritable déluge par des crocodiles assoiffés de sang, d'horreurs... pour du FRIC, ayant trouvé un marigot pestilentiel, nauséabond, révulsant, vomitoire, à la hauteur de leurs tares et de leurs vices.

La Justice dispose de toutes les lois et de tous les moyens, pour qu'on ne l'entrave pas, et a fortiori : pour ne pas être comme ce fut le cas, prise en otage, par des journaleux qui vendaient l’horreur à coups de torchons hideux et de scoops odieux, vendeurs, inventés.

La Justice n'en a usé AUCUN : imparable faute, qu'elle aurait dû payer de ses deniers, elle -même : civilement pour les magistrats Nancy, pénalement pour ceux félons de Dijon.

Ce n'était pas aux contribuables citoyens de payer pour elle.

L'article 1382 du Code Civil dit de : "Napoléon" le rappelle dans une phrase d'une logique cartésienne d'une simplicité exemplaire, que Justice et justiciables ont eu le temps d'apprendre depuis 1804 :

Article 1382 : Créé par la Loi 1804-02-09 promulguée le 19 février 1804

"Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer."

Combien, à quel prix ont été monnayé par les journaleux indignes : " RATS DE LA VOLOGNE " ? : les procès verbaux, les photographies de l'instruction de cette affaire du petit Grégory... que chacun, sort sans décence, sans intelligence, sans retenue, de dessous le manteau, pour se la péter ? en bravant, méprisant, les lois.

Pourquoi ne punit-on pas, d'une peine maximale, démonstrative, empêchant toute récidive : ces délinquants manipulateurs d'Opinion Publique ?

Pourquoi le citoyen-contribuable, qui paie des Juges, la police, les gendarmes, etc. : devrait-il encore payer pour leurs erreurs ?

Si oubliant corporatisme délictuel et complicité La JUSTICE appliquait cette Loi de 1804, qui est sienne de manière EXEMPLAIRE ... les Juges et les Magistrats réfléchiraient, à deux fois avant de poursuivre tout individu, en laissant filer volontairement sur la place publique les secrets toujours bafoués de l'instruction.

Il est vrai que l’exemplarité n'a jamais été un cheminement usité par ceux qui s'emparent du Pouvoir... encore moins pour imposer contre la loi : leurs abus.

L'injustice dans cette affaire est venue de l'incompétence technique, du manque de logique du Juge... mais aussi de la matière première médiocre, avariée, corrompue, que lui ont fournie les enquêteurs.

Certains se sont aux ordres de Sesmat : comportés en voyous, en délinquants. Il ne peut faire aucun doute qu'ils aient essayé de piéger un individu, pratiquement tiré... sur un coup de dé, pressés qu'ils étaient par l'Opinion publique, qui réclamait un coupable, à tout prix.

Suborner des témoins, prêcher le faux, pour essayer de percevoir le vrai, font plus de dégâts collatéraux, qu'ils n'apportent de résultats efficients. Pour en être convaincus, il suffit de consulter l'histoire de la Justice...Ces méthodes à la limite du Droit, ont toujours conduits à des guerres entre clans, et par contre-coups à des énigmes jamais plus, élucidées.

Changer de cheval au milieu du gué, n'a pas été la solution la plus perspicace... parce qu'il était logiquement prévisible que les seconds enquêteurs n'auraient qu'un seul objectif : s'opposer aux premiers.

De ces jeux stériles, ainsi pipés... et comme il était raisonnablement prévisible, il n'est rien sorti de ces luttes d'arrière-garde intestines puériles : rien de bon, ni d'exploitable.

Quand on joue à ces jeux là, en priorité, pour satisfaire son ego, oubliant son Devoir, quand on fait par paresse : l'économie de la réflexion, on laisse filer toute possibilité de résultat : de découvrir la VÉRITÉ

Les gendarmes avaient inventé de toute pièce un scénario et un mobile : abracadabrants, débiles... les policiers n'ont pas fait mieux... : un mode opératoire dément... "un enfant jeté vivant dans les eaux froides de la Vologne " ?

Qui peut le croire ? en voyant ces photos qui ont fait le tour du monde où l'on voit un pompier colosse, tenir dans ses bras que l'on devine puissants, avec infiniment de précaution, un pauvre petit corps qui semble délicatement endormi comme le dormeur du val de Rimbaud... ça donne envie de dire, en pleurant : " il dort tranquille...nature berce le chaudement : il a froid... "

Pourquoi ont-il suivi un marchand de soupes frelatées puant le sale fric volé ?

Il faut leur demander ? ... les notes de frais complaisamment distribuées en prébende et dessous de table, les perspectives de promotion par de belles planques où l'on vole son salaire ont dû faire le reste dans un Monde où le fric prime sur la Morale ?

La conscience professionnelle et le reste ont fait définitivement leurs valises... pour eux : un beau bras plein de vulgarité à la dignité et à l'honneur.

Le résultat tangible : c'est que de tous ces scenari de fous, la coupable manipulant habilement tout, et en sachant en succube de la malfaisance appuyer par chantages et simulations, où çà fait mal, où ça touche l'Opinion publique des brebis et moutons de Panurge... a réussi à filer comme une anguille entre les mains de ceux qui n'ont pas voulu, par sentiments déplacés : la serrer, trop fort, à lui tordre le cou, tel qu'elle l'aurait méritée... :

POUR L'ENSEMBLE DE SON ŒUVRE DE MALFAISANCES ET DE DISGRÂCES .

AFFAIRE DU PETIT GREGORY (suite) 

De combien d'injustices suis-je coupable demande le Juge LAMBERT  ? (vous retrouverez quelques pages de ses livres sur Internet )

Réponse = sans aucun doute et volontairement  : AUCUNE. 

On se doit d'accorder le bénéfice du doute,  au juge Lambert, car aucun indice ne permet d' accuser de malhonnête délibérée le Juge Jean-Michel LAMBERT  : l'erreur est pardonnable... 

La faute délibérée, le déni, la forfaiture,  sont des  délits qu'il n' a pas commis.

Mais quel abus de faiblesse ? ... incroyable de ce juge, du Parquet de Nancy, de son Procureur, emportés par un véritable déluge par des crocodiles assoiffés de sang, d'horreurs... pour du FRIC, ayant trouvé un marigot pestilentiel, nauséabond, révulsant, vomitoire, à la hauteur de leurs tares et de leurs vices.

La Justice dispose de toutes les lois et de tous  les moyens,  pour qu'on ne l'entrave pas,  et a fortiori  : pour ne pas être comme ce fut le cas,  prise en otage, par des journaleux qui vendaient l’horreur à coups de torchons hideux et de scoops odieux, vendeurs, inventés. 

La Justice n'en a usé AUCUN :  imparable faute,  qu'elle aurait dû payer de ses deniers, elle -même : civilement pour les magistrats  Nancy, pénalement pour ceux félons de Dijon.

Ce n'était pas aux contribuables citoyens de payer pour elle.

L'article 1382 du Code Civil dit de :  "Napoléon" le rappelle dans une phrase d'une logique cartésienne d'une simplicité exemplaire,  que Justice et justiciables ont eu le temps d'apprendre depuis 1804 :

Article 1382 : Créé par la Loi 1804-02-09 promulguée le 19 février 1804

"Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer."

Combien,  à quel prix  ont été  monnayé  par les journaleux indignes : "  RATS DE LA VOLOGNE " ? : les procès verbaux, les photographies de l'instruction de cette affaire du petit Grégory... que chacun,  sort sans décence, sans intelligence, sans retenue, de  dessous le manteau,  pour se la péter ? en bravant, méprisant, les lois.

Pourquoi ne punit-on pas,  d'une peine maximale, démonstrative,  empêchant toute récidive :  ces délinquants manipulateurs d'Opinion Publique ?

Pourquoi le citoyen-contribuable,  qui paie des Juges, la police, les gendarmes, etc.  : devrait-il encore payer pour leurs erreurs ?

Si oubliant corporatisme délictuel et complicité  La JUSTICE appliquait cette Loi de 1804,  qui est sienne de manière EXEMPLAIRE ... les Juges et les Magistrats réfléchiraient,  à deux fois avant de poursuivre tout individu,  en laissant filer volontairement sur la place publique les secrets toujours  bafoués de l'instruction.

Il est vrai que l’exemplarité n'a jamais été un cheminement usité par ceux qui s'emparent du Pouvoir... encore moins pour imposer contre la loi :  leurs abus.

L'injustice dans cette affaire est venue de l'incompétence technique, du manque de logique du Juge... mais aussi de la matière première médiocre, avariée, corrompue,  que lui ont fournie les enquêteurs.

Certains se sont aux ordres de Sesmat :  comportés en voyous,  en délinquants. Il ne peut faire aucun doute qu'ils aient essayé de piéger un individu, pratiquement tiré...  sur un coup de dé,  pressés qu'ils étaient  par l'Opinion publique, qui réclamait un coupable, à tout prix.

Suborner des témoins, prêcher le faux, pour essayer de percevoir le vrai, font plus de dégâts collatéraux, qu'ils n'apportent de résultats efficients. Pour en être convaincus, il suffit de consulter l'histoire de la Justice...Ces méthodes à la limite du Droit,  ont toujours conduits à des guerres entre clans, et par contre-coups à  des énigmes jamais plus, élucidées.

Changer de cheval au milieu du gué,  n'a pas été la solution la plus perspicace... parce qu'il était logiquement prévisible que les seconds enquêteurs n'auraient qu'un seul objectif :  s'opposer aux premiers.

De ces jeux stériles, ainsi pipés... et comme il était raisonnablement prévisible, il n'est rien sorti de ces luttes d'arrière-garde intestines puériles : rien de bon, ni d'exploitable.

Quand on joue à ces jeux là, en priorité, pour satisfaire son ego, oubliant son Devoir, quand on fait par paresse :  l'économie de la réflexion,  on laisse filer toute possibilité de résultat : de découvrir  la VÉRITÉ

Les gendarmes avaient inventé de toute pièce un scénario et un mobile : abracadabrants, débiles... les policiers n'ont pas fait mieux... : un mode opératoire dément... "un enfant jeté vivant dans les eaux froides de la Vologne  " ? 

Qui peut le croire ? en voyant ces photos qui ont fait le tour du monde où l'on voit un pompier colosse,  tenir dans ses bras que l'on devine puissants, avec infiniment de précaution, un pauvre petit corps qui semble délicatement endormi comme le dormeur du val de Rimbaud... ça donne envie de dire,  en pleurant : " il dort tranquille...nature berce le chaudement : il a froid... " 

Pourquoi ont-il suivi un marchand de soupes frelatées puant le sale fric volé ?

Il faut leur demander ? ... les notes de frais complaisamment distribuées en prébende et dessous de table, les perspectives de promotion par de belles planques où l'on vole son salaire ont dû faire le reste dans un Monde où le fric prime sur la Morale ? 

La conscience professionnelle et le reste ont fait définitivement leurs valises... pour eux :  un beau bras plein de vulgarité à la dignité et à l'honneur.   

Le résultat tangible :  c'est que de tous ces scenari de fous, la coupable manipulant habilement tout, et en sachant en succube de la malfaisance appuyer par chantages et simulations,  où çà fait mal, où ça touche l'Opinion publique des brebis et moutons de Panurge...  a réussi à filer comme une anguille entre les mains de ceux qui n'ont pas voulu, par sentiments déplacés :  la serrer, trop fort,  à lui tordre le cou, tel qu'elle l'aurait méritée... : 

 POUR L'ENSEMBLE DE SON ŒUVRE DE MALFAISANCES ET DE DISGRÂCES .
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