Affaire du petit Grégory : L' histoire d' un corbeau à voix de soprano et de baryton ?

[toni]

Le prétendu : "corbeau homme à la voix rauque et essoufflée " (dixit
le non-lieu) ? était-il en réalité dépourvu d'attributs masculins,
mais pour compenser portait-il un masque genre :"anti-poussière", afin
de modifier sa voix et abuser son monde ?

"Voix rauque et essoufflée !" ( dixit le non-lieu)... : Ils vont bien
les magistrats vipérins bourguignons ! On ressent qu'ils "ne manquent
pas d'air", et qu'ils n'ont jamais essayé de croasser avec un tel
équipement pendant 40 minutes !

Ils ne sont pas non plus très perspicaces : Faire déplacer les pompes
funèbres en utilisant un accessoire qui procure la voix d'un moribond
en apnée, à l'agonie, au seuil de l'extrême onction... un peu de
logique ! croyez-vous que le "croque-mitaine" au bout du fil, n'aurait
pas flairé la supercherie ?

Conclusion évidente et digne de Monsieur de La Palice : Le corbeau qui
était visiblement plus intelligent et d'une plus grande présence
d'esprit (SIC !) que le rédacteur magouilleur du non-lieu, qui lui
attribue ces bienveillantes qualités... et en prime : deux sexes
opposés... masquait sa voix quand il craignait d'être reconnu...
notamment pour communiquer avec ses familiers les plus proches... (qui
disons-le : devaient tout de même être un peu : "bouchés" ? ) et
parlait de sa voix naturelle... quand il ne pouvait pas faire
autrement... en particulier pour obtenir la transmission des
communications, pour faire déplacer des interlocuteurs qui ne le
connaissaient pas, et pour vitupérer ses annonces nauséabondes au
goût macabre, afin qu'elles soient crédibles.

Les appels de ce corbeau, véritable taupe, ont créé l'émulation dans
la famille et un essor spontané d'autres volatiles dits :"
d'identification", nettement moins doués et moins performants, qui ont
laissé quelques traces en faisant passer imprudemment des bruits de
fond, qui font phosphorer les esprits, et qui comme : " maître
corbeau", professoral, le signale dans un appel à J-M V. : " toi avec
tes coups de téléphone, où tu changes ta voix je t'ai reconnu...et moi
avec ça, tu me fais un alibi... "

Ces appels anonymes dits : "d' identification"... conseillés par le
chef de la Gendarmerie de Corcieux ( SIC ! ce qui est tout de même un
comble ! ), se sont avérés néfastes, ont parasité l'enquête en
favorisant le brouillage des pistes, servant ainsi les desseins
malfaisants du corbeau, pour empêcher de le découvrir, mais toutefois
sans lui fournir pour autant le dit : "alibi" souhaité.

Car il est remarquable et regrettable de constater que :

1/ Cet : "alibi" d'un suspecté corbeau, la Justice, l' Opinion
publique, le contribuable qui a raqué pour les erreurs et les
prévarications des politicards, des magistrats, des enquêteurs, etc.
l'attendent depuis plus de 26 ans... et il n'est jamais venu.
Pourtant il ne devrait pas être difficile pour ce soi-disant :
"innocent", avec l' aide de la kyrielle d'avocats, dont certains ont
été sélectionnés parmi les plus véreux et sulfureux de France, de
reconstituer l'emploi du temps exact de trente minutes les plus
importantes de sa vie ?

2/ Ce ne sont pas ceux qui prétendent le plus rechercher la vérité
qui sont les plus coopératifs sur cette voie... Ils auraient même une
fâcheuse tendance à "l'incinérer"... en allant à contre-sens ! Qu'ils
commencent par divulguer ce mystérieux emploi du temps, et l'on pourra
vérifier si l'hypothétique et invraisemblable enlèvement était
matériellement possible... car faut-il le signaler ( ? ) : depuis plus
de 26 ans, ils ne nous ont apporté que des preuves du contraire.

Le corbeau-authentique taupe qui a toujours eu connaissance des
événements avant les autres membres de la famille, était-il relié
directement à la Gendarmerie pour être informé en temps réel ? C' est
la question que pose sa réactivité instantanée, plus que surprenante.
Jugez plutôt :

Le non-lieu du : "suspecté innocent", indique dans son paragraphe :
"faits et procédures" : "Néanmoins ces agissements (appels
téléphoniques anonymes) cessèrent le 17 mai 1983, quand la ligne du
plaignant (le grand-père du petit Grégory) eût été mise sous écoute
" (fin de citation)

A l' analyse du merveilleux tableau : "cinétique virtuel" à la : "
Vasserely", qui était publié par le site : "gregoryvilemin.free" pour
" aider"... les internautes à découvrir " l' éloquente vérité", on
s' apercevait d'abord que "les pauvres parents" avaient opportunément
oublié... quelques appels significatifs du savoir-faire et d'une
curieuse, itérative, sale manie du corbeau... les appels anonymes
avoués :"silencieux"?, mais reconnus parce qu'adressés avec :" un
cheveu sur la langue", à des ouvrières de la M.C.V. au cours des
périodes d'hostilités et de crêpages de chignons...ensuite, d'autres
donnés à la famille Nicolle, dont la fille : "avait pris" Bruno
Magron, ex-condisciple de C.V. (SIC).

Il apparaît nettement aussi, en comptabilisant les appels mentionnés,
que le corbeau était en phase de crise très aiguë de : "malfaisance
défoulante" au cours des deux premiers bimestres de l'année 1983, ce
qui a conduit les gendarmes à mettre sous écoute la ligne téléphonique
du plaignant : Albert V. ... le 17 mai 1983.

On constate alors, que ce corbeau très éclectique s'est spontanément
adapté à cette nouvelle situation en se convertissant aussitôt à :" l'
épistolariat anonyme..." Il y eut trois lettres " : écrit le non-
lieu : "une découverte le 4 mars 1983, dans les volets de sa maison
(celle de J-M V.) ...( sans timbre... distribuée sans doute par
porteur spécial ? ) ; Deux autres furent adressées le 27 avril 1983 et
le... 17 mai 1983 de Bruyères aux époux Albert V. et Monique V.

17 mai 1983... cette date ne vous dit-elle rien ? : jour de la mise
sous écoute de la ligne d' Albert V. et en réponse dans une espèce de
défi, de provocation, au tac au tac, une lettre anonyme arrive datée
du même jour ! Bizarre ?

Quand on sait par le mémoire des avocats de la défense de C.V. que
les gendarmes de Corcieux conseillaient les parents du petit Grégory,
sur l' art et la manière de croasser, n'en auraient-ils pas fait un
peu trop ? en informant directement en temps réel, une "taupe" ? qui
selon les écrits des avocats, aussi ! centralisait avec l'adorée belle-
maman Monique V., toutes les informations de la famille : celles
obtenues de manière anonyme et d'autres pas ? qui pouvait mieux que
cette "taupe" tuyautée de toute part, réagir aussi promptement ?

Le non-lieu objecte pour exclure la 18 ème charge, concernant
l'élévation soudaine des facturations téléphoniques... sans trop
ciller et en en évitant d'approfondir le pourquoi... (si ce n' est pas
de la complaisance illégale, voire un aveuglement délictueux, ça
devrait lui ressembler ? ) :

"Seuls, trois bimestres intéressant l' inculpée (C.V.) présentent
une augmentation notable par rapport à la moyenne de leur usage du
téléphone, le premier bimestre de 1982 : 376 taxes de base et les
deux premiers bimestres de 1983, à savoir 411 et 608 taxes de
base" [...] C'est essentiellement la facturation des deux premiers
bimestres de 1983, respectivement calculée sur 411 et sur 608 unités
de base, qui est étonnante chez l' inculpée et son mari... mais le
corbeau a eu d' autres périodes d' intense activité" (fin de citation)
L' argument de "défense"... de la Cour dite d' Accusation de Dijon...
ne serait-il pas encore du genre :" à part mes coliques, je n'ai pas
mal au ventre ? "

Vous êtes donc priés par les magistrats dijonnais de ne voir aucun
fait ni troublant ni concordant dans cette brusque montée de la
facture téléphonique de C.V., pendant ces deux premiers bimestres de
1983, coïncidant parfaitement à l'apogée de la crise pathologique du
corbeau, et ce ne serait qu'un hasard fortuit, si le dimanche 24
avril 1983, le corbeau à voix féminine a demandé chez AutoCoussin à
Monsieur Francis Poirot de transmettre à J-M V. un appel téléphonique
anonyme qui aurait duré 40 minutes, (salant sérieusement l'addition),
dont la tessiture vocale de soprano, s' est alors muée en voix de
baryton, lors du changement de correspondant.

Soyez heureux aussi que ce non-lieu "sympa", ne se paye pas votre
tête, en vous expliquant que le surnombre des appels téléphoniques
anonymes n'avait aucune incidence sur les factures des différents
protagonistes, parce que le corbeau n'aurait téléphoné qu'en :"
P.C.V." ! (C.T. payées par l' appelé !)

Il est très étonnant également que les enquêteurs ne se soient pas
interrogés sur le fait que le corbeau au cours de cette conversation
du 24 mai 1983, à J-M V. qui a ressemblé aux suites d'un scène de
ménage interrompue, avec des reproches tous à mesquinerie
essentiellement féminine, ait cru utile de prononcer par deux fois le
slogan, ni très porteur, ni très vendeur... de sincérité de... :
"Paroles d' homme" !

Manque de répartie de J-M V. ? n'aurait-il pas dû demander de vérifier
le contenu du pantalon... au lieu de jouer les fiers-à-bras... "les
balaises" (SIC !) d'opérette ?

toniDENIS