Christine VILLEMIN a fait un coup de génie malfaisant, pour enfumer les enquêteurs... Démonstration :

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Toni Denis

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Dec 27, 2014, 12:39:49 AM12/27/14
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Christine VILLEMIN a fait un coup de génie malfaisant, pour enfumer les enquêteurs... Démonstration :

Lisez bien d'abord : le mémoire de Maître Chastant-Morand en faveur du non-lieu ... citation :

'"SUR L’IMPOSSIBILITE MATERIELLE POUR MADAME  CHRISTINE VILLEMIN D’AVOIR COMMIS L’ACTE  EFFROYABLE DONT ELLE A ETE INCULPEE. 

Si au terme de l'instruction menée à EPINAL, il a été posé pour  postulat que l'enfant, qui a été retrouvé dans la Vologne à  21h15', a été assassiné à 17h15', force est de constater, comme l'a  toujours soutenu la Défense, que cette hypothèse est loin d'être rapportée... 

La seule certitude retirée, est que l'enfant est bien mort noyé,  sans que l'on n'ait pu, en tout état de cause, conclure s'il avait  été noyé dans la Vologne ou dans une quelconque eau, et déposé  ensuite dans la Vologne... 

Mais retenir cette dernière éventualité pour le S.R.P.J. eut été manifestement inconciliable avec le fait qu'à compter de 17h 32' 41" (disque contrôlographe du car de M. Christian CLAUDON)  Madame Christine VILLEMIN ne s'est plus jamais trouvée  seule, et n'avait plus la moindre possibilité de se rendre en  quelque endroit que ce soit, le long de la Vologne... 

Dès lors, après en avoir "présumé" l'heure, le S.R.P.J. de  NANCY présuma également le lieu du crime, en retenant à  partir de constatations dénuées de significations, faites par les  gendarmes, un " lieu privilégié " d'immersion. 

Ce faisant, le S.R.P.J. de NANCY n'hésita pas à occulter les éléments naturels excluant irrémédiablement la vraisemblance  de son hypothèse Ainsi, ce n'est que la reconstitution organisée  dans le cadre du supplément d'information qui a pu révéler dans le dossier l'existence jusque là cachée d'un ru et démontrer  l'impossibilité de le traverser les bras chargés d'un fardeau,  pour qui aurait voulu de la route rejoindre la Vologne,
 l'expérience infructueuse tentée par la greffière de la Chambre  d'Accusation de l'enjamber sans rien porter, s'étant avérée  impossible (S.I/D.I39 p.7) 

Or, si une empreinte de chaussure avait pu, lors des premières constatations, être relevée, il n'avait pas été découvert, à  l'époque des faits, de traces de pas d'un adulte, ni de traces de  pas d'un enfant, au point où le ru était franchissable ! 

Pas davantage, n'avaient bien sûr été retrouvé de traces de pas  le long de ce ru, qu'il a été, le jour du transport sur les lieux le 15  (?) octobre 1987, indispensable de remonter pour trouver un point  de passage. 

A cette première invraisemblance s'ajoutait celle découlant des  essais de reconstitution exécutés avec un mannequin, reprenant  autant qu'il était possible à l'identique le corps du petit Grégory,  tant au regard de la masse volumique de la taille ou que de  l'habillement, et qui ont démontré que le corps déposé en ce  qu'il a été convenu d'appeler le " lieu privilégié ", ne parvenait  pas même jusqu'à la retenue d'eau (le mannequin ayant coulé
une première fois après avoir buté sur une branche d'arbre, et  une seconde fois naturellement! ) (les autres essais effectués  ensuite à titre de simple expérience de travail à partir d'un  mannequin ne présentant pas scientifiquement tous les aspects  rappelés du premier, n'ayant pas davantage été concluants: en  effet si ledit mannequin a réussi à passer la retenue d 'eau, il n'a  pas pris la direction du point de découverte de l'enfant et
surtout portait ensuite sur lui-même des traces de charriage (traces terreuses-herbes...), toutes traces dont l'enfant était entièrement indemne. 

Si le petit Grégory a été déposé dans la Vologne à DOCELLES, à  l'endroit même où il a été découvert, la question qui se pose est de savoir à quelle heure ? Compte tenu de l'existence des maisons ayant une vue directe sur ce lieu (cf. P.V. de  reconstitution: à hauteur de la Mairie au rez-de-chaussée et au  1er étage, il y a à chaque niveau sept fenêtres donnant sur le  Barba et... face aux marronniers... est édifiée une maison dont  les fenêtres ont des rideaux et qui paraît habitée), il est  invraisemblable que nul n'ait rien vu, s'il a été déposé de jour ! 

Dès lors, faut-il considérer, que la forme de couleur bleue que  Madame GUYOT avait aperçue en traversant le PONT BELLEY,  vers 17h30', le 16 octobre 1984, était bel et bien un sac poubelle  comme d'ailleurs elle-même l'avait considéré (D.22), et non pas  le corps de Grégory VILLEMIN, comme l'a laissé croire la  première partie de l'information et ce, car cet horaire de 17h30' permettait de retenir que l'enfant avait déjà été jeté dans la   Vologne...

Pourtant il apparaissait évident que si Madame GUYOT avait vu  un enfant, elle aurait immédiatement alerté les secours, comme  celle-ci l'a d'ailleurs souligné (D.1035) à la P.J., Madame  GUYOT n'ayant cessé de répéter qu'il devait s'agit d'un sac poubelle : "Je me permets de vous dire que bien souvent, des  sacs poubelles dérivent sur ce cours d'eau" (D.119- 25 octobre  1984) ; et c'est donc très logiquement que lorsque le scellé,  renfermant l'anorak porté par Grégory, anorak orné devant et  derrière de couleurs marron et verte, lui a été présenté, celle-ci ne l'a pas reconnu, puisqu'elle n'avait aperçu qu' "une masse"  bleue" (S.I/D.793) sans discerner de tâche claire ni sur les  vêtements ni sur le bonnet et sans discerner non plus ce qui  n'aurait pu passer inaperçu: les mains de l'enfant...

Si le S.R.P.J. de NANCY s'était centré sur l'idée que Madame  Christine VILLEMIN avait matériellement la possibilité de  commettre le crime en 29 m 57", nécessaires au tracé de l'itinéraire qu'il lui imputait, il ne tenait en revanche aucun  compte des allers et venues de Madame Marcelle CLAUDON et  de son troupeau de vaches, de la topographie, et de la nécessité  pour Madame VILLEMIN d'être rentrée dans sa maison rechercher le bonnet de l'enfant qu'il n'avait pas cette journée là,  et changer de chaussures... 

Les chronométrages à nouveau effectués dans le cadre du  supplément d'information, ont permis de confirmer que la folle  hypothèse partialement émise par le S.R.P.J. était radicalement  impossible. 

1. Première phase : 

• Madame Christine VILLEMIN étant sortie de la  Manufacture de Confection Vosgienne entre 16h52' et  16h53', les chronométrages ont démontré que : 

• le temps requis pour se rendre de la M.C.V. aux H.L.M.  GAI CHAMP où Grégory jouait au ballon, pour Christine  VILLEMIN d'échanger quelques mots avec Madame  Christine JACQUOT, qui dût remonter chez elle,  rechercher le petit sac de l'enfant, pour le faire monter en  voiture (ouvrir la porte, faire basculer le siège vers l'avant, aider l'enfant à monter à l'arrière) et pour elle-même  de reprendre le volant et faire demi-tour,  nécessitait. 2 m 6" 88 (S.I./D.I39 p 20) 

• et que plus généralement, pour effectuer le trajet,   l'amenant de la Manufacture de Confection Vosgienne aux H.L.M. (temps d'arrêt aux H.L.M. GAI CHAMP de 3  minutes) et retour chez elle par la Rue de Bellevue et la  Rue des Champs jusqu'à son domicile, nécessitait 7 m 1" (S.I./D.I38 p.3)

• Madame Christine VILLEMIN serait dès lors arrivée  chez elle vers 17h 01' - cet horaire concordant tout à fait  avec les propres déclarations de Madame VILLEMIN et  celles des témoins: Madame GRANDIDIER et Monsieur
Bernard COLIN 

2. Deuxième phase : 

• Arrivée chez elle, les gestes accomplis par Madame Christine VILLEMIN sont les suivants : 

• Elle gara sa voiture dans le garage qui n'était pas tout à  fait achevé, fit descendre Grégory de la voiture, prit les  affaires de celui-ci et les siennes, ferma la porte à clef,  rentra dans la maison, demanda à l'enfant s'il ne devait  pas aller aux toilettes, et celui-ci souhaitant jouer dehors,  lui ferma son anorak et lui mit son bonnet. 

Sur ce point, la thèse du S.R.P.J. s'est toujours heurtée au fait  que l'enfant avait son bonnet sur la tête

, alors que dans la journée tous les témoins avaient confirmé que l'enfant n'en était pas revêtu, compte tenu du temps et le table de la cuisine dans la maison, il était indispensable en  suivant la thèse du S.R.P.J. que Madame VILLEMIN y retourna... 

• Voir Madame Christine JACQUOT : " … Son anorak... il n'avait pas a ma souvenance de bonnet sur " la tête"  (Audition à la P.J. du 16/04/85) 

• Voir Madame Paulette DEFRANOUX demeurant aux  H.L.M. GAY CHAMP : "... Le 16/10/1984 le petit Grégory  était vêtu... je suis formelle il ne portait pas de bonnet"  (Audition à la P.J. du 15/5/1985) 

• Voir Madame Claudine BALLAND : " Il portait... Je suis  sûre qu'il n'avait rien sur la tête" (Audition du 6/6/1985) 

• Christine VILLEMIN laissa jouer son fils devant la  maison et sur ce point, il n'est pas, comme avait voulu le retenir le S.R.P.J., surprenant que Monsieur COLIN ne  l'ait pas vu en passant lorsqu'il partait faire sa  promenade, dans la mesure où il est constant que  Grégory jouait souvent sur le côté de la maison, direction  forêt, appréciant particulièrement comme tous les  enfants s'amuser dans les excavations (une excavation  d'environ 15 m2 et d'une profondeur de 50 à 60cm avait  été creusée par un entrepreneur en vue de l'édification  d'une pièce supplémentaire que les époux Jean-Marie

VILLEMIN destinaient à leur deuxième enfant), là où il y  avait également une table contre le mur et aussi un tas  d'agloos, dans lesquels il garait ses petites voitures  (S.I./P.V. d'interrogatoire de Madame Christine  VILLEMIN et de confrontation avec Monsieur Jean-  Marie VILLEMIN )  L'on peut encore regretter que lors du transport au domicile des  époux Jean-Marie VILLEMIN par le Juge d'Instruction  LAMBERT et le Procureur de la Républiqued'EPINAL, aucun  procès-verbal n'ait été établi, faisant mention de ces éléments,  et ce alors que la question avait bel et bien été évoquée  (S.I./D.718 p.7 : Monsieur VILLEMIN : " Le Procureur m'a  demandé si c'était bien là que le petit jouait car il y avait du  sable. Je lui ai répondu que c'était bien là mais que Grégory  jouait aussi sur le côté dans les agloos. D'ailleurs dans les  agloos il y avait encore des petites voitures de notre petit  garçon." 

C'était après avoir ôté les baskets qu'elle portait dans la journée,  pour chausser des espadrilles et allumer sa chaîne hifi que  Madame Christine VILLEMIN se rendit dans une pièce à  l'opposé de la maison, où l'attendait son linge à repasser. 

Si ce fait là avait été mis en doute par le S.R.P.J. de NANCY, contre certains témoignages existants, le supplément  d'information a confirmé l'existence de ce repassage : 

• Madame Christine JACQUOT: (S.I./D.I33). Laquelle  rapportait qu'en venant chercher Grégory, Christine VILLEMIN lui avait dit avoir " un gros repassage à faire " 

• Ginette VILLEMIN qui a déclaré que le soir du crime,  elle avait vu dans la pièce du fond du pavillon de Jean- Marie, du linge repassé. 

• Monsieur Michel VILLEMIN répondant au Président  chargé du d'information (S.I./D.887): "... Je me souviens  que ma mère a vu du linge repassé, elle me l'a dit. " 

• Le Capitaine SESMAT (S.I. /D.80) et le gendarme  HENRY (S.I./D.133): ayant confirmé avoir vu une pile de  linge repassé 

C'est après avoir repassé ce qu'il est usuel d'appeler " le blanc" que commençant le linge de Grégory, Madame Christine  VILLEMIN songea à le faire rentrer."

3. Troisième phase : 

Pour déterminer l'heure à laquelle elle sortit de chez elle pour  appeler son fils, Christine VILLEMIN précisa qu'elle avait  consulté l'heure au programmateur de chauffage, qui marquait  17h30' (ce qui compte tenu du décalage horaire de 7 à 8 minutes  pour coller à l'horaire de la M.C.V. faisait 17h23') 

Cet horaire n'a nullement été infirmé par le chronométrage du  parcours effectué par Monsieur Bernard COLIN : lequel,  démarrant sa promenade à 17h, passa devant la maison des  époux Jean-Marie VILLEMIN, suivit le chemin en lisière de forêt, traversant même certains lieux boisés et ce jusqu'à une  cabane, à laquelle il fit demi-tour pour revenir sur ses pas,  jusqu'à ce qu'il soit interpellé par Monsieur Gilbert MELINE,  qui lui demanda d'inviter son épouse Colette MELINE à lui dire  si elle n'avait pas vu Grégory : 

• Le chronométrage de ce parcours étant de 28m 08 "24 (S.I./D.I46 p.5 il peut en être déduit que Monsieur COLIN se trouva à hauteur de la maison de Monsieur  MELINE à 17h 28' 8".  Or, il est à noter que Madame était d'ores et déjà sortie de chez  elle, ayant déjà accompli un certain nombre de recherches lorsqu'elle n'avait pas retrouvé son petit garçon dehors : 

• Elle l'avait appelé à plusieurs reprises, était allée du côté  gauche de la maison où se trouvaient les agloos et  l'excavation où aimait jouer l'enfant, l'avait appelé à  nouveau puis étant rentrée dans la maison, espérant le  trouver dans sa chambre, elle l'avait recherché dans  toutes les pièces, puis ressortie et apercevant Monsieur  Gilbert MELINE lui avait demandé s'il n'avait pas vu son  fils. C'est ensuite qu'elle était montée jusqu'à son niveau,  au virage, afin de savoir si Grégory n'était pas allé dans sa  maison, et c'est alors seulement que Monsieur Bernard  COLIN, arrivant et se trouvant à la hauteur de chez lui, 

Monsieur Gilbert MELINE l'invita à interroger son  épouse. 

Cet horaire concorde également avec les faits et gestes de  Madame Marcelle CLAUDON : Laquelle, lorsque Monsieur  MELINE par l'intermédiaire de Bernard COLIN, demandait à sa femme si le petit Grégory n'était pas chez lui, remontait de sa  pâture avec son troupeau de vaches en direction de la ferme. 

Or, sachant que Madame CLAUDON a toujours indiqué avoir quitté sa ferme en direction de la pâture, rentrant de son champ de carottes à 17h15' (heure contrôlée sur sa montre, alors qu'elle  était particulièrement en retard ce jour-là) et sachant que le chronométrage (S.I./D.146 p 12) a déterminé un temps de 2 m 06" 56 pour se rendre de la ferme à la pâture, l'arrivée de Madame CLAUDON dans sa pâture peut être située à 17h17' 06"

Considérant en outre que Madame CLAUDON met 12 m.03" 58 , pour mener son troupeau de vaches de la pâture à la ferme, l'heure à laquelle elle a quitté sa pâture peut être déterminée en faisant la soustraction du temps nécessaire de parcours (12 m.3"  58) à l'heure à laquelle elle fut de retour à la ferme avec son  troupeau (17h 32' 41" par référence au disque contrôlographe) soit: 17h 32' 41' - 12m 03" 58 = 17h 20' 01" (c'est d'ailleurs l'heure  qu'avait donnée Mme CLAUDON lorsqu'elle avait été  auditionnée le 11 décembre 1984 : 17h20') 

Compte tenu des déclarations et des chronométrages du temps passé par Madame CLAUDON, qui dispose de repères horaires  fixes, le temps dont aurait pu disposer Christine VILLEMIN  pour effectuer un périple meurtrier devait être, ce qui n'a pas  été fait par le S.R.P.J., diminue d'autant, puisque quittant sa pâture à 17h 20' 01" et remontant devant la maison des époux VILLEMIN, Madame CLAUDON avait rencontré Madame Christine VILLEMIN. 

4. Quatrième phase : 

Après avoir interrogé cette dernière et recherché une dernière  fois Grégory chez elle et ce dans l'hypothèse où il se serait caché. 

Madame VILLEMIN sortit sa voiture et ce alors que les vaches défilaient, et descendit par la voie rapide afin de vérifier si Grégory n'était pas reparti vers les H.L.M. 

C'est alors qu'ayant interrogé sans succès Madame JACQUOT, Christine passa par la rue de la Croisette puis la Rue de la  Mairie afin de vérifier si Grégory n'était pas allé chez son petit  camarade PARlSSE, contourna la maison située face à la Poste pour faire demi-tour, et revint par la Rue de la Ferronerie et la  voie l'amenant à passer devant la ferme CLAUDON où elle fut bloquée quelques secondes par les vaches.  Il est constant que Christian CLAUDON a aperçu Christine VILLEMIN, en descendant de son car, à bord de sa R.5 arrêtée par le troupeau de vaches, et que l'heure peut être déterminée avec certitude par l'examen du disque contrôlographe de son car
de ramassage scolaire, dont l'expertise a révélé qu'il était en parfait état de fonctionnement : - il était 17h32' 41" 

EN CONCLUSION : 

Pour déterminer le laps de temps dont Madame Christine  VILLEMIN aurait pu disposer pour accomplir l'acte  innommable dont on l'a injustement inculpée, conscience prise  que Madame CLAUDON, arrivée dans sa pâture à 17h17' 06", se  trouvait sur le chemin des Champs entre 17h15' et 17h17', en des  lieux où, compte tenu de la topographie, aucune voiture ne peut monter du village jusqu'à la maison sans être vu, le chemin des Champs dominant le paysage (D.368- Madame CLAUDON); P.V. Me BURCK du 14/11/85), il eut fallu que Christine  VILLEMIN, partie au mieux à 17hO3'(compte tenu de la  nécessité de passer chez elle prendre le bonnet de Grégory), fut  rentrée pour ne pas être vue par Madame CLAUDON, avant 17  H 15', c'est-à-dire qu'elle n'aurait bénéficié pour aller tuer son enfant qu'elle adorait, d'un créneau horaire inférieur à un quart d'heure. ... 

Or, le procès-verbal de transport sur les lieux du 25 juillet 1988  S.I./D.5 ayant envisagé cinq trajets, nécessitant pour les parcourir dans des conditions optimales 18m.6", 17m.13", 19m 11'', 18m 45", force est de conclure qu'il était radicalement  impossible à Madame Christine d'effectuer ce parcours  invraisemblable. 

Enfin, il est constant que le 16 octobre 1984, Madame  CLAUDON avait du retard pour rentrer son troupeau, retard qui  aurait amené Madame Christine VILLEMIN qui ne pouvait le prévoir, à réduire encore davantage le créneau horaire dont elle  aurait pu disposer, pour éviter d'être bloquée sur la route du  haut par le troupeau et sur la route du bas par la Méhari de Monsieur Jean Louis CLAUDON, positionnée en travers de la route

(comment aurait-elle pu encore deviner que ce soir là, ce ne serait pas Monsieur Jean-Louis CLAUDON qui l'amènerait à la pâture, mais Monsieur Claude COLIN alors qu'il a fallu sept années d'information pour l'apprendre !) ... en disant la Vérité ?

Dès lors, il est définitivement démontré que Madame Christine VILLEMIN, même dans l'hypothèse émise par le S.R.P.J., n'avait pas le temps nécessaire d'effectuer le parcours qui lui a  été imputé, sans compter, au surplus, que l'expertise des  Professeurs MARIN et GISSELMANN n'a pas exclu l'hypothèse  d'une mort de l'enfant assez proche de l'heure de sa découverte (21h15'), Madame Christine VILLEMIN ne pouvant avoir eu le moindre rôle, alors qu'à compter de 17h32' 41" (heure du disque  contrôlographe) celle-ci a regagné son domicile où l'ont rejointe tous les membres de sa famille! (S.I./D.375 p.I8)
(FIN DE CITATION)

Et vous, vous apercevrez que Christine VILLEMIN, a juste décalé de 20 minutes, cet emploi du temps, qui est affecté d' impossibilités matérielles manifestes, car elle ne peut pas partir de chez elle par la voie"rapide" pendant que les vaches défilent (dixit mémoire) : tel qu'elle le dit à : 17 h 29 min (mini) pour être ensuite bloquée par les 36 vaches, devant la ferme des Claudon à : 17 h 32 min 41 s...

Les 36 vaches ne peuvent pas faire 650 m en 3 min 41 s... et Christine VILLEMIN ne peut pas effectuer des soi-disant : "recherches au village effectuées à vive allure qui ont duré plus de 10 minutes" (SIC non-lieu) ...en 3 min 41 secondes.

Monsieur de La Palice, même s'il n'a pas fait "Math spé"; vous le dirait... lui qui n'est allé jusqu'à CM2

Christine VILLEMIN dans un petit stratagème anodin, a juste décalé son emploi du temps réel, du chrono que fait Bernard Colin, qui passe à 17 h 10 minutes, devant chez elle ( instant "t" où elle est en réalité, sortie) après avoir été dépassé 300 m auparavant...rue de Bellevue, et revienne du bosquet où il est allé se promener en passant au préalable à l'aller, devant Madame Meline, pour lui demander si elle n'avait pas vu le petit Grégory...:

"Et bien non ! " : aurait pu répondre Madame Meline ..." puisque le petit Grégory était déjà dans le coffre de la Renault 5, cachée dans le garage de Jean-Marie Villemin, qui n'était pas alors occupé... puisque le propriétaire de la Renault 20, bossait chez AutoCoussin... et le tour est joué !

Bravo l'artiste ! çà vaut bien un non-lieu déni de Justice ! en daubant 25 faits, graves, troublants et concordants... qui le resteront.

Mais demander des dommages et intérêts aux contribuables et les prendre en supplément pour des : "jambons" ... faut pas pousser la "mémé" dans les orties... elle n'a pas de culotte... d'après ce qu' on dit ? Allez savoir ?

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