1. EMPLOI DU TEMPS DE CHRISTINE VILLEMIN LE 16 OCTOBRE 1984 quel est-il ?
1 / Méthodologie :
1.1. : Prise en compte des seuls PV et documents du site dit de
référence : celui des parents de Grégory Villemin :
http//gregoryvillemin.free.fr/ : tels qu'ils ont été émis sur INTERNET naguère :
dont non-lieu, le mémoire de Maître Chastant-Morand en faveur du
non-lieu et le schéma horaire ... Vérification des lieux grâce à GOOGLE
maps et EARTH.
1.2. : Prise en compte des seuls témoignages se recoupant au moins par
un autre témoignage... les autres ne sont pas validés
1.3. : Prise en compte des analyses du Pr Duprez qui n'a pas
trouvé de corps minéraux ni végétaux dans les lobes des poumons de
Grégory après une analyse faite au microscope : Il n'est pas
scientifiquement crédible que le bonnet de laine ait pu filtrer des
éléments microscopiques pas plus que l'absence de ces corps ne serait due à
une hydrocution empêchant à Grégory d'apirer de l'eau... puisqu'on en a
trouvée dans les poumons mais aussi dans l'estomac... lors d'une noyade
la victime commence comme l'on dit par : "boire la tasse " puis est
asphyxiée par le manque d'air
On note rappel et remarques :
1.4. 1. les exactions ont commencé dans les familles Villemin /
Laroche en 1981... date de la naissance du petit Grégory et
l'intrusion de Christine Villemin dans ces deux familles
2. Documents pris en compte :
2.1. NON-LIEU
[...]II -I -FAITS ET PROCÉDURE
[...]
Le 16 octobre 1984 à seize heures trente, Grégory Gilbert
VILLEMIN, âgé d'un peu plus de
quatre ans comme étant né le 24 août 1980 à SAINT-DIE, fils de
Jean-Marie VILLEMIN, fut
recueilli à sa sortie de l'école maternelle de
LEPANGES-sur-VOLOGNE, commune des Vosges
où ses parents habitaient, par Madame Christine MATHIEU épouse
JACQUOT, demeurant en
cette localité, HLM Gais Champs, bâtiment 4 n° 19, qui avait
mission de le garder en attendant
que sa mère, Christine BLAISE épouse VILLEMIN, alors âgée de
vingt-quatre ans, couturière à
la Manufacture de Confection Vosgienne, dite MCV, vienne le
prendre en charge après son
travail. L'enfant était vêtu d'un anorak bleu et d'un pantalon en
velours vert foncé et avait la
tête nue car le temps était très beau ce jour-là.
Vers seize heures cinquante, Christine VILLEMIN vint chercher son
fils. Après avoir bavardé
quelques minutes avec la gardienne à laquelle elle raconta qu'elle
était pressée parce qu'elle
devait repasser du linge, elle fit monter Grégory dans son
automobile Renault 5 noire à deux
portes et regagna son domicile, 4, rue des Champs, en un lieu
écarté, sur une colline
dominant la vallée de la Vologne, à la lisière d'une forêt où elle
et son mari avaient fait bâtir
un pavillon confortable en 1981. Il y avait alors en cet endroit
deux autres habitations mais
l'une d'elles était inoccupée.
Entre dix-sept heures quinze et dix-sept heures trente, Christine
VILLEMIN qui, selon ses
dires, avait laissé l'enfant jouer sur un tas de sable devant la
maison après l'avoir coiffé d'un
bonnet de laine, tandis qu'elle-même repassait du linge dans une
pièce située à l'arrière de
son logement, sortit pour le surveiller mais ne le vit pas.
Après l'avoir appelé et cherché en vain, elle interpella Madame
Marcelle DROUOT épouse CLAUDON qui, venant d'une pâture
située un peu en dessous de la demeure des époux VILLEMIN,
regagnait sa ferme sise à
quelques centaines de mètres de distance en conduisant un troupeau
de trente six vaches,
puis son voisin Gilbert MELINE, occupé à balayer ces gravillons au
bord de la route et leur
demanda s'ils avaient aperçu Grégory.
Madame CLAUDON et Monsieur MELINE répondirent
par la négative et ce dernier chargea un promeneur de passage,
Monsieur Bernard COLIN,
d'interroger sa femme qui cousait dans son logement tout proche.
Celle-ci n'ayant rien vu, la mère repartit au volant de sa voiture
aux HLM Gais Champs et chez les parents d'Aurélien
PARISSE, camarade de son fils, près de la poste de LEPANGES, en
pensant que celui-ci avait
peut-être voulu rejoindre ses compagnons de jeux habituels. Cette
recherche, effectuée à vive
allure, étant restée vaine, Christine VILLEMIN regagna son
domicile en empruntant la rue des
Bosquets.
Arrivée devant la ferme des époux CLAUDON, elle fut immobilisée
quelques minutes
par leur troupeau de vaches qui barrait la chaussée. A cet
instant, survenait un autobus de
ramassage scolaire conduit par Christian CLAUDON, fils de ces
exploitants agricoles.
Le même jour, peu après dix-sept heures trente, Michel VILLEMIN,
frère de Jean-Marie
VILLEMIN, habitant AUMONTZEY (Vosges), village situé à une
douzaine de kilomètres de
LEPANGES-sur-VOLOGNE, sortit de son domicile sis à proximité de la
maison de ses parents
Albert et Monique VILLEMIN, héla son jeune frère Lionel, âgé de
douze ans et l'invita à
chercher d'urgence leur mère qui était allée, en compagnie de son
mari, rendre visite à l'une
de ses sœurs à peu de distance.
A l'arrivée de ses parents, quelques minutes plus tard, il leur
raconta qu'il venait de recevoir une communication téléphonique du
Corbeau à la voix rauque
et déguisée. Selon sa première déposition aux gendarmes, cet
interlocuteur inconnu aurait
tenu les propos suivants :
"Je te téléphone car cela ne répond pas à côté. Je me suis vengé
du chef et j'ai kidnappé son
fils. Je l'ai étranglé (squogié ? stanglé ? ) et je l'ai jeté à la
Vologne. Sa mère est en train de le rechercher mais elle
ne le trouvera pas. Ma vengeance est faite. "
Monique VILLEMIN téléphona aussitôt à sa bru pour la mettre en
garde. Ne réussissant pas à
la joindre, elle alerta successivement son fils Jean-Marie à
l'usine AUTO-COUSSIN de
LACHAPELLE-devant-BRUYERES, Gilberte CHATEL veuve BLAISE, mère de
Christine VILLEMIN,
demeurant à BRUYERES, et la gendarmerie de cette localité. Il
était alors environ dix-sept
heures quarante cinq. cinq minutes plus tard, les gendarmes furent
à nouveau prévenus par
la mère de l'enfant qui semblait au comble de la détresse.
A l'annonce de la disparition de son fils, Jean-Marie VILLEMIN
regagna en hâte sa maison,
saisit une carabine et se précipita à GRANGES-sur-VOLOGNE au
domicile de Roger JACQUEL,
beau-père de son frère aîné Jacky VILLEMIN, qu'il soupçonnait
d'être le Corbeau et d'avoir
enlevé l'enfant, afin de délivrer celui-ci ou de le venger, mais
la vue d'une voiture qu'il prit
pour celle des gendarmes le fit renoncer à son projet.
A LEPANGES où Gilberte BLAISE, les époux Albert VILLEMIN et leur
fils Michel étaient arrivés
ainsi que les gendarmes de BRUYERES, les recherches s'organisèrent
aussitôt. Les bois des
alentours, puis la vallée de la Vologne furent explorés.
A vingt et une heures quinze des pompiers découvrirent le cadavre
de Grégory VILLEMIN dans la Vologne, au lieu-dit Derrière
le Moncey, au centre de l'agglomération de DOCELLES, village d'un
millier d'habitants situé à
six ou sept kilomètres en aval de LEPANGES.
Le corps, dont la tête émergeait de l'eau, était adossé à un
barrage déversoir à une dizaine de mètres au-delà d'une passerelle
dite Pont
Bailey, franchissant la rivière pour relier la rue de la Vologne à
la rue du Moncey, un peu
après la jonction de ce cours d'eau avec son affluent le Barba et
avec le canal d'une papeterie
voisine.
L'enfant portait son anorak bleu à parements verts et oranges, son
pantalon vert foncé et ses
souliers bleus. Sa tête était coiffée de son bonnet de laine bleu
marine, blanc et bleu roi,
enfoncé jusqu'à la base du cou.
Ses chevilles et ses poignets étaient liés au moyen de cordelettes
mal serrées par des noeuds de tisserand, ressemblant à des noeuds
à flot mais
d'une facture plus compliquée. Une autre cordelette semblable
entourait le cou de l'enfant.
Celui-ci, dont les membres étaient encore souples, semblait dormir
paisiblement. Aucune
trace de violence n'était visible.
Le lendemain, une lettre postée à LEPANGES le 16 octobre 1984 et
portant le cachet de 17
heures l5 fut distribuée par le facteur au domicile de Jean-Marie
VILLEMIN. Elle était adressée
à celui-ci et son texte était le suivant :
"J'espère que tu mourras de chagrin le chef. Ce n'est pas ton
argent qui pourra te redonner
ton fils. Voilà ma vengeance, pauvre con. "
o o o [...] Le Professeur Duprez, chargé d'examiner les poumons
de l'enfant, constata un oedème important mais ne découvrit
pas de corps étrangers végétaux ou minéraux dans les bronchioles
et alvéoles malgré une
inspection très attentive des différents lobes au microscope
[...](FIN DE CITATION)
2.2. Mémoire de Maître Chastant-Morand en
faveur du non-lieu de Christine Villemin :
[...] SUR L’IMPOSSIBILITE MATERIELLE POUR
MADAME CHRISTINE VILLEMIN D’AVOIR COMMIS L’ACTE EFFROYABLE DONT
ELLE A ETE INCULPEE. (Citation nota : l'affichage des temps a
été corrigé pour être de forme normalisée)
[...]
1. Première phase :
• Madame Christine VILLEMIN étant sortie de la Manufacture de
Confection Vosgienne entre 16h 52' et 16h 53', les
chronométrages ont démontré que :
• le temps requis pour se rendre de la M.C.V. aux H.L.M. GAI
CHAMP où Grégory jouait au ballon, pour Christine VILLEMIN
d'échanger quelques mots avec Madame Christine JACQUOT, qui dût
remonter chez elle, rechercher le petit sac de l'enfant, pour le
faire monter en voiture (ouvrir la porte, faire basculer le
siège vers l'avant, aider l'enfant à monter à l'arrière) et pour
elle même de reprendre le volant et faire demi-tour,
nécessitait. 2 m 06" 88 (S.I./D.I39 p 20)
• et que plus généralement, pour effectuer le trajet, l'amenant
de la Manufacture de Confection Vosgienne aux H.L.M. (temps
d'arrêt aux H.L.M. GAI CHAMP de 3 minutes) et retour chez elle
par la Rue de Bellevue et la Rue des Champs jusqu'à son
domicile, nécessitait 7 min 0 s. (S.I./D.I38 p.3)
• Madame Christine VILLEMIN serait dès lors arrivée chez elle
vers 17h01' - cet horaire concordant tout à fait avec les
propres déclarations de Madame VILLEMIN et celles des témoins:
Madame GRANDIDIER et Monsieur Bernard COLIN
2. Deuxième phase :
• Arrivée chez elle, les gestes accomplis par Madame Christine
VILLEMIN sont les suivants :
• Elle gara sa voiture dans le garage qui n'était pas tout à
fait achevé, fit descendre Grégory de la voiture, prit les
affaires de celui-ci et les siennes, ferma la porte à clef,
rentra dans la maison, demanda à l'enfant s'il ne devait pas
aller aux toilettes, et celui-ci souhaitant jouer dehors, lui
ferma son anorak et lui mit son bonnet.
Sur ce point, la thèse du S.R.P.J. s'est toujours heurtée au
fait que l'enfant avait son bonnet sur la tête, alors que dans
la journée tous les témoins avaient confirmé que l'enfant n'en
était pas revêtu, compte tenu du temps et le bonnet étant resté
sur la table de la cuisine dans la maison, il était
indispensable en suivant la thèse du S.R.P.J. que Madame
VILLEMIN y retourna...
• Voir Madame Christine JACQUOT : " … Son anorak... il n'avait
pas a ma souvenance de bonnet sur " la tête" (Audition à la P.J.
du 16/04/85)
• Voir Madame Paulette DEFRANOUX demeurant aux H.L.M. GAY CHAMP
: "... Le 16/10/1984 le petit Grégory était vêtu... je suis
formelle il ne portait pas de bonnet" (Audition à la P.J. du
15/5/1985)
• Voir Madame Claudine BALLAND : " Il portait... Je suis sure
qu'il n'avait rien sur la tête" (Audition du 6/6/1985)
• Christine VILLEMIN laissa jouer son fils devant la maison et
sur ce point, il n'est pas, comme avait voulu le retenir le
S.R.P.J., surprenant que Monsieur COLIN ne l'ait pas vu en
passant lorsqu'il partait faire sa promenade, dans la mesure où
il est constant que Grégory jouait souvent sur le côté de la
maison, direction forêt, appréciant particulièrement comme tous
les enfants s'amuser dans les excavations (une excavation
d'environ 15 m2 et d'une profondeur de 50 à 60cm avait été
creusée par un entrepreneur en vue de l'édification d'une pièce
supplémentaire que les époux Jean-Marie VILLEMIN destinaient à
leur deuxième enfant), là où il y avait également une table
contre le mur et aussi un tas d'agloos, dans lesquels il garait
ses petites voitures (S.I./P.V. d'interrogatoire de Madame
Christine VILLEMIN et de confrontation avec Monsieur Jean- Marie
VILLEMIN )
L'on peut encore regretter que lors du transport au domicile des
époux Jean-Marie VILLEMIN par le Juge d'Instruction LAMBERT et
le Procureur de la République d'EPINAL, aucun procès-verbal
n'ait été établi, faisant mention de ces éléments, et ce alors
que la question avait bel et bien été évoquée (S.I./D.718 p.7 :
Monsieur VILLEMIN : " Le Procureur m'a demandé si c'était bien
là que le petit jouait car il y avait du sable. Je lui ai
répondu que c'était bien là mais que Grégory jouait aussi sur le
côté dans les agloos. D'ailleurs dans les agloos il y avait
encore des petites voitures de notre petit garçon."
C'était après avoir ôté les baskets qu'elle portait dans la
journée, pour chausser des espadrilles et allumer sa chaîne hifi
que Madame Christine VILLEMIN se rendit dans une pièce à
l'opposé de la maison, où l'attendait son linge à repasser. Si
ce fait là avait été mis en doute par le S.R.P.J. de NANCY,
contre certains témoignages existants, le supplément
d'information a confirmé l'existence de ce repassage :
• Madame Christine JACQUOT: (S.I./D.I33). Laquelle rapportait
qu'en venant chercher Grégory, Christine VILLEMIN lui avait dit
avoir " un gros repassage à faire "
• Ginette VILLEMIN qui a déclaré que le soir du crime, elle
avait vu dans la pièce du fond du pavillon de Jean- Marie, du
linge repassé.
• Monsieur Michel VILLEMIN répondant au Président chargé du
d'information (S.I./D.887): "... Je me souviens que ma mère a vu
du linge repassé, elle me l'a dit. "
• Le Capitaine SESMAT (S.I. /D.80) et le gendarme HENRY
(S.I./D.133): ayant confirmé avoir vu une pile de linge repassé
C'est après avoir repassé ce qu'il est usuel d'appeler " le
blanc" que commençant le linge de Grégory, Madame Christine
VILLEMIN songea à le faire rentrer."
3. Troisième phase :
Pour déterminer l'heure à laquelle elle sortit de chez elle pour
appeler son fils, Christine VILLEMIN précisa qu'elle avait
consulté l'heure au programmateur de chauffage, qui marquait
17h30' (ce qui compte tenu du décalage horaire de 7 à 8 minutes
pour coller à l'horaire de la M.C.V. faisait 17h23')
Cet horaire n'a nullement été infirmé par le chronométrage du
parcours effectué par Monsieur Bernard COLIN : lequel, démarrant
sa promenade à 17h, passa devant la maison des époux Jean-Marie
VILLEMIN, suivit le chemin en lisière de forêt, traversant même
certains lieux boisés et ce jusqu'à une cabane, à laquelle il
fit demi-tour pour revenir sur ses pas, jusqu'à ce qu'il soit
interpellé par Monsieur Gilbert MELINE, qui lui demanda
d'inviter son épouse Colette MELINE à lui dire si elle n'avait
pas vu Grégory :
• Le chronométrage de ce parcours étant de 28 min 08 s .24
(S.I./D.I46 p.5 il peut en être déduit que Monsieur COLIN se
trouva à hauteur de la maison de Monsieur MELINE à 17h 28min 08
secondes.
Or, il est à noter que Madame était d'ores et déjà sortie de
chez elle, ayant déjà accompli un certain nombre de recherches
lorsqu'elle n'avait pas retrouvé son petit garçon dehors :
• Elle l'avait appelé à plusieurs reprises, était allée du côté
gauche de la maison où se trouvaient les agloos et l'excavation
où aimait jouer l'enfant, l'avait appelé à nouveau puis étant
rentrée dans la maison, espérant le trouver dans sa chambre,
elle l'avait recherché dans toutes les pièces, puis ressortie et
apercevant Monsieur Gilbert MELINE lui avait demandé s'il
n'avait pas vu son fils. C'est ensuite qu'elle était montée
jusqu'à son niveau, au virage, afin de savoir si Grégory n'était
pas allé dans sa maison, et c'est alors seulement que Monsieur
Bernard COLIN, arrivant et se trouvant à la hauteur de chez lui,
Monsieur Gilbert MELINE l'invita à interroger son épouse.
Cet horaire concorde également avec les faits et gestes de
Madame Marcelle CLAUDON : Laquelle, lorsque Monsieur MELINE par
l'intermédiaire de Bernard COLIN, demandait à sa femme si le
petit Grégory n'était pas chez lui, remontait de sa pâture avec
son troupeau de vaches en direction de la ferme.
Or, sachant que Madame CLAUDON a toujours indiqué avoir quitté
sa ferme en direction de la pâture, rentrant de son champ de
carottes à 17h15' (heure contrôlée sur sa montre, alors qu'elle
était particulièrement en retard ce jour-là) et sachant que le
chronométrage (S.I./D.146 p 12) a déterminé un temps de : 2 min
06" 56 pour se rendre de la ferme à la pâture, l'arrivée de
Madame CLAUDON dans sa pâture peut être située à 17h 17min 06 s.
Considérant en outre que Madame CLAUDON met 12 min 03s. 58/100
pour mener son troupeau de vaches de la pâture à la ferme,
l'heure à laquelle elle a quitté sa pâture peut être déterminée
en faisant la soustraction du temps nécessaire de parcours (12
min 03s 58/100 à l'heure à laquelle elle fut de retour à la
ferme avec son troupeau (17h32min 41s par référence au disque
contrôlographe) soit: 17h 32min 41s -12min 03s 58/100 = 17h20'
1" (c'est d'ailleurs l'heure qu'avait donnée Mme CLAUDON
lorsqu'elle avait été auditionnée le 11 décembre 1984 : 17h20
min
Compte tenu des déclarations et des chronométrages du temps
passé par Madame CLAUDON, qui dispose de repères horaires fixes,
le temps dont aurait pu disposer Christine VILLEMIN pour
effectuer un périple meurtrier devait être, ce qui n'a pas été
fait par le S.R.P.J., diminue d'autant, puisque quittant sa
pâture à 17 h20 min 01s. et remontant devant la maison des
époux VILLEMIN, Madame CLAUDON avait rencontré Madame Christine
VILLEMIN.
4. Quatrième phase :
Après avoir interrogé cette dernière et recherché une dernière
fois Grégory chez elle et ce dans l'hypothèse où il se serait
caché. Madame VILLEMIN sortit sa voiture et ce alors que les
vaches défilaient, et descendit par la voie rapide afin de
vérifier si Grégory n'était pas reparti vers les H.L.M. C'est
alors qu'ayant interrogé sans succès Madame JACQUOT, Christine
passa par la rue de la Croisette puis la Rue de la Mairie afin
de vérifier si Grégory n'était pas allé chez son petit camarade
PARlSSE, contourna la maison située face à la Poste pour faire
demi-tour, et revint par la Rue de la Ferronerie et la voie
l'amenant à passer devant la ferme CLAUDON où elle fut bloquée
quelques secondes par les vaches.
Il est constant que Christian CLAUDON a aperçu Christine
VILLEMIN, en descendant de son car, à bord de sa R.5 arrêtée par
le troupeau de vaches, et que l'heure peut être déterminée avec
certitude par l'examen du disque contrôlographe de son car de
ramassage scolaire, dont l'expertise a révélé qu'il était en
parfait état de fonctionnement : - il était 17 h32 min 41s
EN CONCLUSION :
Pour déterminer le laps de temps dont Madame Christine VILLEMIN
aurait pu disposer pour accomplir l'acte innommable dont on l'a
injustement inculpée, conscience prise que Madame CLAUDON,
arrivée dans sa pâture à 17h 17min 06s, se trouvait sur le
chemin des Champs entre 17h 15 min et 17h17min en des lieux
où, compte tenu de la topographie, aucune voiture ne peut monter
du village jusqu'à la maison sans être vu, le chemin des Champs
dominant le paysage (D.368- Madame CLAUDON); P.V. Me BURCK du
14/11/85), il eut fallu que Christine VILLEMIN, partie au mieux
à 17hO3min (compte tenu de la nécessité de passer chez elle
prendre le bonnet de Grégory), fut rentrée pour ne pas être vue
par Madame CLAUDON, avant 17 H 15min, c'est-à-dire qu'elle
n'aurait bénéficié pour aller tuer son
enfant qu'elle adorait, d'un créneau horaire inférieur à un
quart d'heure. ...
Or, le procès-verbal de transport sur les lieux du 25 juillet
1988 (S.I./D.5 ayant envisagé cinq trajets, nécessitant pour les
parcourir dans des conditions optimales 18min 06 s , 17min 13s ,
19min 11s , 18 min 45s, force est de conclure qu'il était
radicalement impossible à Madame Christine d'effectuer ce
parcours invraisemblable.
Enfin, il est constant que le 16 octobre 1984, Madame CLAUDON
avait du retard pour rentrer son troupeau, retard qui aurait
amené Madame Christine VILLEMIN qui ne pouvait le prévoir, à
réduire encore davantage le créneau horaire dont elle aurait pu
disposer, pour éviter d'être bloquée sur la route du haut par le
troupeau et sur la route du bas par la Méhari de Monsieur Jean
Louis CLAUDON, positionnée en travers de la route (comment
aurait-elle pu encore deviner que ce soir là, ce ne serait pas
Monsieur Jean-Louis CLAUDON qui l'amènerait à la pâture, mais
Monsieur Claude COLIN alors qu'il a fallu sept années
d'information pour l'apprendre !)
Dès lors, il est définitivement démontré que Madame Christine
VILLEMIN, même dans l'hypothèse émise par le S.R.P.J., n'avait
pas le temps nécessaire d'effectuer le parcours qui lui a été
imputé, sans compter, au surplus, que l'expertise des
Professeurs MARIN et GISSELMANN n'a pas exclu l'hypothèse d'une
mort de l'enfant assez proche de l'heure de sa découverte
(21h15min), Madame Christine VILLEMIN ne pouvant avoir eu le
moindre rôle, alors qu'à compter de 17h32min 41s (heure du
disque contrôlographe) celle-ci a regagné son domicile où l'ont
rejointe tous les membres de sa famille! (S.I./D.375 p.I8)
2.3. D'après : première audition et version
donnée par Christine Villemin :
J'ouvre la porte, je ne vois pas Grégory. Je fais le tour de la
maison. Je rentre. Il s'est peut-être caché dans une pièce.
Personne.
Je monte chez les Méline : nos voisins. Leur ferme est à une
cinquantaine de mètres au dessus de chez nous. Grégory y va
souvent.
M. Méline est justement au croisement entre nos maisons. Il n'a
pas aperçu mon fils, mais il me conseille d'aller questionner son
épouse.
A ce moment là, un autre voisin, Bernard Colin, passe devant nous.
C'est l'heure de sa promenade avec son chien.
M. Méline lui dit "Quand vous serez devant chez moi, demandez voir
si Grégory n'est pas avec ma femme" Ce qu'il fait.
Mme Méline sort et nous crie qu'elle n'a pas vu mon garçon. Je
rentre à la maison. J'appelle. Pas de réponse.
Je préviens M.Méline que je prends ma voiture et...je demande à
M.Méline de surveiller alentour, le temps que je revienne. Je
ferme ma porte à clé. Je prends ma voiture et je descends au
village chercher mon fils.
D'abord je m'arrête chez la nourrice, Christine Jacquot. Grégory
est peut-être revenu jouer avec son fils.
Question : ___Il était quelle heure?
-Reponse ___ : 17h40 je crois, parce que j'ai été bloquée en
sortant de chez moi par Marcelle Claudon qui rentrait ses vaches.
Elle rouspétait qu'elle était en retard, et que d'habitude ses
vaches sont à l'étable pour 17h30.
Je cherche au village. Toujours pas de Grégory. Je remonte par
l'autre route, celle du lotissement, la plus longue pour revenir
chez moi. Je demande aux gens que je rencontre s'ils ne l'ont pas
vu.
Question : ___- Quand rentrez vous chez vous?
Réponse : ___- vers 17h 45 ou 17h 50. De toute façon avant 18h car
il ne faisait pas encore nuit. Je pense alors à téléphoner à mon
mari à l'usine Autocoussin., à La Chapelle. Je veux qu'il rentre,
qu'il m'aide. A ce moment là je reste persuadée que mon fils s'est
aventuré dans un petit chemin et qu'il joue.
A peine rentrée le téléphone sonne. Ma mère. Elle m'apprend que
mon beau-frère, Michel Villemin, a reçu un coup de fil anonyme.
Non! je rectifie.
D'abord ma mère me dit de rentrer Grégory et de nous enfermer dans
la maison.
Je lui dis " Grégory a disparu, je le cherche" Elle crie. Je
comprends mal. Elle parle d'un coup de fil...elle dit "j'arrive".
Et elle raccroche.
Le téléphone se remet à sonner. Cette fois c'est ma belle mère. C'est
elle qui m'apprend le coup de fil anonyme, que Grégory a été
kidnappé par "LUI", et qu''IL" l'a jeté dans la Vologne, et
qu'"IL" a ajouté "c'est ma vengeance".
C'est ma belle mère qui a appelé mon mari. Moi, malgré ma panique,
je téléphone aux gendarmes de Bruyères. Je leur explique. C'est
alors que Jean-Marie surgit. Je veux lui passer le téléphone. Il
ne veut rien entendre. Il décroche sa carabine. Je m'interpose. Il
me bouscule, sort et redémarre...(FIN DE CITATION )
3. Emploi du temps tel qu'il peut être supposé, reconstitué
de Christine Villemin le 16 octobre 1984... entre 16 h 52 min
sortie supposée de MCV et 17 h 50 min ... crime consommé et
annoncé à 17 h 32 min 41 secondes
Il est ce 16 octobre 1984 entre 16 h 50 et 52 min Christine Villemin
sort de MCV elle est pressé : elle a un gros repassage à faire et
elle est en tête du peloton
Christine Villemin est sortie de MCV entre 16 h 50 et 16 h 52 min
est passée à la Poste pour poster une lettre, trois témoins l'ont
vue, puis est allée chez Madame Jacquot prendre Grégory qui jouait
au ballon à l'extérieur et qui était réticent à aller avec sa maman
(pourquoi ? ) Nota : cette lettre revendique le crime et a été mise
dans la boîte à La Poste de Lépanges-sur-Vologne avant l'heure de
levée de 7 h 15 min. 5 collègues de chez MCV... virent Christine
Villemin poster une lettre le 16 octobre avant 17 h 02 min.
Le Juge Simon violant le Droit et la mission de la Cour de Dijon,
qui était rappelons le mettre en accusation une inculpée (vocable de
l'époque) tenta d'orienter par une espèce de subornation de témoins
prohibée les témoignages tant et si bien que seuls trois maintinrent
leur premier témoignage... ce qui permet de les valider sans
possibilité de contestations.
il est entre 17 h 55 min et 17 h 59 min rue Gai Champs :
Christine Villemin remonte chez elle elle est vue par deux témoins
Madame Grandidier et Monsieur Bernard Colin qu'elle dépasse rue de
Bellevue à 300 mètre de chez elle, soit à 20 mètres du croisement
avec la route de Faing/ Vairel où se pose la question a-t-elle
tournée à gauche ou à droite ?
Il est 17 h 02 min Christine Villemin a tourné à droite et est dans
sa maison rue des Champs :
Commence alors l'euthanasie... puis le liage soigné du petit Grégory
chrono : 5 minutes comme seule une bonne couturière qui tient bien
son ménage sait parfaitement le faire mais écoutons Me C-M. en
rectifiant son récit :
"
• Arrivée chez elle,
les gestes accomplis par Madame Christine VILLEMIN sont les
suivants :
• Elle gara sa voiture dans le garage de
Jean-Marie qui était au travail ... garage qui était tout à
fait achevé, et qui présentait l'avantage d'être fermé par
une porte, (c'eut été stupide de se faire remarquer au cours
du chargement de la Renault 5 noire... : couleur de
corbillard ? fit descendre Grégory de la voiture, prit les
affaires de celui-ci et les siennes, ferma la porte du
garage à clef, rentra dans la pièce où elle avait prévu
d’euthanasier sonenfant , demanda à l'enfant s'il ne devait
pas aller aux toilettes, et plonger dans le bidet ou le
lavabo ?
• Christine VILLEMIN ne laissa pas jouer son fils devant la
maison et sur ce point, il n'est pas, comme avait voulu le
retenir le S.R.P.J., surprenant que Monsieur COLIN ne l'ait pas
vu en passant lorsqu'il partait faire sa promenade, dans la
mesure où il est constant que Grégory était sur la table à
repasser ... dressée comme un autel comme celle ou Abraham
voulait sacrifier son fils Isaac ... mais à Lépanges-sur-Vologne
: Dieu cette fois : ne s'interposa pas... hélas ! pour
le petit angelot qui passa de vie à trépas, comme le petit chat de
jean-Baptiste Poquelin ... le petit chat est mort... puis on le lia
... ce n'était pas pour l'empêcher de nager s'il avait su, inutile
de lui fermer les yeux dans ce cas.
Zut ! un petit pépin le bonnet habituel qu'il portait en octobre
par les jours d'encore beau temps... mais peut-être pas ce jour là ,
n'était pas assez long pour le nouer sous le menton ...
Qu'à cel ne tienne : elle alla d'un pas vif et svelte prendre dans
l'armoire celui des sports d'hiver qui était fait pour le très
grand froid de la Vologne ?
Elle sortit aussi en même temps : une belle pile de linge tout
repassé... de longue date... pour enfumer les enquêteurs qui n'ont
pas dû souvent entrer dans une piéce lorsqu'une bonne ménagère fait
son repassage? ... et n'ont pas senti cette odeur particulière pas
de fer brulant comme Zola ... mais moite et humide que dégage le
linge sous le fer à repasser ... quels ballots ?
Il es t : 17 h 07 min : Christine sort de chez elle... on l'écoute
en rectifiant son récit :
___" J'ouvre la porte, je ne vois pas Grégory. Je fais le tour de la
maison. Je rentre. Il s'est peut-être caché dans une pièce.
Personne.
Je monte chez les Méline. Nos voisins, leur ferme est à une
cinquantaine de mètres au dessus de chez nous. Grégory y va souvent.
Monsieur Méline est justement au croisement entre nos maisons. Il
n'a pas aperçu mon fils, mais il me conseille d'aller questionner
son épouse.
A ce moment là, un autre voisin Monsieur Bernard Colin, (que je
viens de dépasser à 300 m de chez moi, et qui était rue de Bellevue
à 20 mètres du croisement de la route qui mène à Faing/ Vairel...)
passe devant nous.
C'est l'heure de sa promenade avec son chien.
M. Méline lui dit "Quand vous serez devant chez moi, demandez voir
si Grégory n'est pas avec ma femme"
Ce qu'il fait. Mme Méline sort et nous crie qu'elle n'a pas vu mon
garçon.
Je rentre à la maison. J'appelle. Pas de réponse, je préviens
Monsieur Méline que je prends ma voiture et...je demande à M.Méline
de surveiller alentour, le temps que je revienne.
Je ferme ma porte à clé. (ma maison) Je prends ma voiture et je
descends au village chercher mon fils. D'abord : je m'arrête chez
la nourrice, Christine Jacquot. Grégory est peut-être revenu jouer
avec son fils.
Version Me : C-M : Après avoir interrogé cette dernière Madame
Méline et recherché une dernière fois Grégory chez elle et ce dans
l'hypothèse où il se serait caché.
Madame VILLEMIN sortit sa voiture et ce alors que les vaches
défilaient, et descendit par la voie rapide afin de vérifier si
Grégory n'était pas reparti vers les H.L.M.
C'est alors qu'ayant interrogé sans succès Madame JACQUOT, Christine
passa par la rue de la Croisette puis la Rue de la Mairie afin de
vérifier si Grégory n'était pas allé chez son petit camarade
PARlSSE, contourna la maison située face à la Poste... " (sic Me C-M
)
___question : ___ Il était quelle heure ? lorsque vous êtes partie
de chez vous :
___ RÉPONSE : 17 h 11 minutes : le temps d' euthanasier Grégory : 5
minutes ... plus le temps de tourner autour de la maison et de
questionner Monsieur Meline, Monsieur Bernard Colin, Madame Méline
et Madame Claudon , chrono : 4 minutes
Pour Monsieur Claude Colin : on ne sait pas ? Elle ne sait pas
Christine Villemin ? mais son avocate Me Chastant-Morand vous
répond :
"comment aurait-elle pu encore deviner que ce soir là, ce ne serait
pas Monsieur Jean-Louis CLAUDON qui l'amènerait à la pâture, mais
Monsieur Claude COLIN alors qu'il a fallu sept années d'information
pour l'apprendre !" (SIC) authentique !
"EN DISANT LA VÉRITÉ : EH ! BANANE " aurait dit Coluche.
Elle a prétendu aller faire des recherches au village, ce qui est
aberrant : un enfant de cet âge là ne va pas si loin... et alla en
fait : mettre à l'eau le corps mort et ficelé de Grégory qui se
trouvait déjà dans le coffre de l'auto.
Il est 17 h 11 min Christine Villemin part chez Madame Jacquot..
écoutons Me Chastant-Morand :
"Après avoir interrogé cette dernière (Madame Méline) et recherché
une dernière fois Grégory chez elle et ce dans l'hypothèse où il se
serait caché. Madame VILLEMIN sortit sa voiture et ce alors que les
vaches défilaient, et descendit par la voie rapide afin de vérifier
si Grégory n'était pas reparti vers les H.L.M. C'est alors qu'ayant
interrogé sans succès Madame JACQUOT, Christine passa par la rue de
la Croisette puis la Rue de la Mairie afin de vérifier si Grégory
n'était pas allé chez son petit camarade PARlSSE, contourna la
maison située face à la Poste pour faire demi-tour... (Fin de
citation)
___ Question : ___" à quelle heure étiez-vous chez Madame Jacquot
... "?
___RÉPONSE :___" 17 h 13 min 57 secondes : distance : 1, 6 km
chrono 2 min 57 s (SRPJ D1037) ... moyenne : 32, 54 km / h - temps
d'arrêt 13 s : " ah ! Madame Jacquot si vous saviez ce que j'ai
enduré depuis" ... 4 ans que mon fils Grégory est né ? chrono : 13
secondes (SRPJ D1037)
Il est 17 h 14 min 10 secondes ... Christine Villemin va jusqu'à
chez Madame Parisse distance : 1, 0 km Chrono : 1 min 15 s (SRPJ
D1037) ... vitesse moyenne : 48 km / h - temps d'arrêt 13 secondes
Il est 17 h 15 min 23 secondes
Christine Villemin emprunte la D. 44 et file à vive allure vers le
"lieu privilégié" où les gendarmes découvrirent le 17 octobre 1984,
trois indices troublants, concordants, compromettants pour elle :
distance 5,3 km : Chrono : 6 minutes -Vitesse moyenne : 53 km /
heure
Il est 17 h 21 min 23 secondes
Mise à l"eau du petit Grégory dans la Vologne : 10 secondes
Il est 17 h 21 min 33 secondes
Christine Villemin retourne chez elle : distance : 5, 8 km -
chrono 7 minutes -vitesse moyenne : 49, 71km/h
Il est 17 h 28 min 33 secondes
Christine Villemin est chez elle et doit lancer deux appels anonymes
: le chrono pour un appel est de 2 min 00 soit 2 min X 2 = 4 min
elle prend le masque qui lui permet de masquer sa voix téléphone à
Monique Villemin absente puis à michel Villemin et lui dit :
"Je te téléphone car cela ne répond pas à
côté. Je me suis vengé du chef et j'ai kidnappé son fils. Je l'ai
étranglé (squogié ? stanglé ? ) et je l'ai jeté à la Vologne. Sa
mère est en train de le rechercher mais elle ne le trouvera pas.
Ma vengeance est faite. "
17 h 28 min 33s + 4 min = 17 h 32 min 33 s
Il est 17 h 40 min Christine Villemin après avoir fait un peu de
ménage... repart au village où elle est vue à 17 h 45 min par
Mesdames Ory et Pluton et revient peut-être par la voie lente et la
ferme de Madame Claudon pour arriver chez elle à 17 h 50 min et
téléphoner aux gendarmes qui depuis un bon moment sont informés