Que faut-il
penser du témoignage de Murielle BOLLE ? subornée par les
gendarmes, ou non ?
La Cour dite "d'Accusation" de DIJON écrit dans le non-lieu
: / CITATION
"Entendue à son tour le 31 octobre, puis le 1er novembre
1984, Murielle BOLLE déclara que le 16 octobre précédent à
dix-sept heures, lors de sa sortie du CES de BRUYÈRES, elle
était montée dans l'autobus de ramassage scolaire dont le
chauffeur avait un petit bouc et des moustaches et qu'elle
était arrivée à dix-sept heures vingt à AUMONTZEY.
Elle s'était rendue directement au domicile de Louisette
JACOB pour y faire ses devoirs de classe. A son entrée, vers
dix-sept heures vingt cinq, Bernard LAROCHE était assis dans
la cuisine avec son fils sur les genoux et regardait la
télévision. Dix minutes plus tard Bernard et Sébastien
étaient partis pour aller chercher du vin au magasin
CHAMPION de LAVAL .Ils étaient revenus peu après dix-huit
heures. Après le dîner elle avait regagné le domicile de son
beau-frère en compagnie de celui-ci.
* : "Intrigués par la divergence entre le récit de Bernard
LAROCHE et celui de sa belle sœur quant à l'ordre de leur
arrivée au domicile de Louisette JACOB et par la discordance
entre les déclarations de la jeune fille et celles de quatre
de ses camarades de classe ayant affirmé qu'elle n'était pas
montée dans l'autobus scolaire mais dans une voiture qui
l'attendait à la sortie du collège, les gendarmes
entendirent à nouveau de manière plus complète Murielle
BOLLE le 2 novembre 1984.
Elle commença par maintenir sa précédente version des faits,
concernant notamment le chauffeur de l'autobus, laquelle
était inexacte, car le 16 octobre 1984 ce véhicule avait été
piloté par un chauffeur occasionnel, Jean-Marie GALMICHE,
qui ne portait pas de moustaches et avait des lunettes.
Confondue par ce mensonge Murielle BOLLE admit qu'elle
n'avait pas dit la vérité et donna des faits la relation
suivante :
A la sortie du CES elle était effectivement montée, non dans
le car scolaire, mais dans l'automobile Peugeot 305 gris
vert de son beau-frère Bernard LAROCHE. Elle s'était assise
à la droite de celui-ci, Sébastien se tenant à l'arrière.
Ils étaient passés à CHAMP-le-DUC, à BEAU-FILS et étaient
arrivés à LEPANGES-sur-VOLOGNE, localité où elle n'était
jamais allée auparavant. Bernard LAROCHE s'y était arrêté
deux minutes, était descendu de voiture et était revenu en
compagnie d'un petit garçon inconnu, du même âge que
Sébastien et coiffé d'un bonnet qu'il avait fait monter à
l'arrière. Ils étaient repartis en direction de BRUYÈRES et
s'étaient arrêtés à nouveau à LEPANGES.
Son beau-frère s'était absenté un instant. Il ne tenait rien
à la main et elle ignorait ce qu'il avait fait. Ils étaient
repartis dans l'autre sens et après un trajet d'environ cinq
minutes ils étaient parvenus dans un autre village qui, elle
l'avait su le lendemain, s'appelait DOCELLES. Bernard
LAROCHE était sorti avec l'enfant au bonnet tandis
qu'elle-même était restée dans la voiture en compagnie de
son neveu Sébastien. Au terme d'un laps de temps dont elle
ne put préciser la durée, Bernard LAROCHE était revenu seul
et ils étaient rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en
passant par BRUYÈRES. Il était alors environ dix-sept heures
trente. Bernard LAROCHE était reparti cinq minutes plus tard
en disant qu'il allait acheter du vin à LAVAL-sur-VOLOGNE.
Il avait pris Sébastien avec lui et était revenu une
demi-heure après.
Pendant ce temps elle avait accompli ses devoirs au domicile
de Louisette JACOB. Une photographie de Grégory VILLEMIN lui
ayant été montrée, elle reconnut qu'il s'agissait bien de
l'enfant qui était monté à bord de leur automobile.
Placée en garde à vue à treize heures trente à l'issue de
son audition Murielle BOLLE fut entendue à nouveau le même
jour de dix-huit heures quinze à dix-huit heures quarante
cinq. Elle ajouta quelques détails à son précédent récit:
Arrivé à un carrefour dans les hauts de LEPANGES, Bernard
LAROCHE lui avait dit, en descendant de voiture "Fais
attention à Cibiche" , surnom de Sébastien.
Au retour ils avaient d'abord pris une route barrée dans
l'agglomération de LEPANGES; précision dont l'enquête
confirma l'exactitude. Au cours du trajet Grégory avait
parlé à Sébastien.
A DOCELLES, localité qu'elle ne connaissait pas jusqu'alors,
son beau-frère avait garé sa voiture sur une place, avait
ouvert la porte arrière et avait appelé l'enfant par son
prénom de Grégory. Elle les avait vu partir et ne savait pas
où ils étaient allés. Elle avait pensé qu'il emmenait
Grégory chez un ami de sa famille.
Le lendemain, 3 novembre 1984 à huit heures trente, après
une nuit de repos, Murielle BOLLE maintient ses dernières
déclarations et mentionna sur un croquis l'endroit où la
voiture de Bernard LAROCHE était stationnée à la sortie du
CES et l'emplacement de l'autobus de ramassage scolaire puis
l'itinéraire qu'ils avaient suivi jusqu'à LEPANGES. Dans
cette localité ils avaient grimpé une grande côte.
Lorsqu'ils s'étaient arrêtés la première fois elle avait
aperçu le toit d'une maison qui se trouvait plus haut sur la
colline.
Elle avait pensé le 17 octobre 1984, en apprenant chez
Louisette JACOB l'assassinat de Grégory VILLEMIN et en
voyant sur un journal la photographie de l'enfant que
LAROCHE était l'auteur du crime. Mais elle n'avait rien osé
dire car elle avait peur. A son avis son beau-frère était
venu la chercher à la sortie du collège, ce qui ne s'était
encore jamais produit, pour qu'elle garde Sébastien qui ne
pouvait rester seul en raison de son handicap. Elle expliqua
qu'elle avait menti au sujet de l'autobus de crainte que sa
sœur et son beau-frère ne fussent inquiétés et aussi parce
qu'elle avait un peu peur de ce dernier bien qu'il ne l'eût
jamais menacée.
Elle se déclara soulagée d'avoir dit la vérité "car c'était
une chose trop grave pour la cacher." Le même jour à dix
heures quinze elle affirma que sa déposition était conforme
à la réalité et se dit prête à la renouveler devant le juge
d'instruction. Au maréchal des logis chef BOUQUET qui
attirait son attention sur l'importance de sa déposition et
sur la gravité de ses conséquences, elle répondit: "Oui
c'est vrai. Je m'en souviens parfaitement. Je m'en
souviendrai toute ma vie."
Le 3 novembre 1984 à l'issue de sa dernière audition elle
fut examinée par un médecin et elle regagna le domicile de
ses parents à L’AVELINE-devant- BRUYÈRES dès la fin de sa
garde à vue qui avait cessé à dix heures trente. Son père,
Lucien BOLLE, informé en fin de matinée par les gendarmes
des révélations de sa fille, s'engagea sous serment à ne pas
les divulguer et tient sa promesse .
Le lundi 5 novembre 1984 la jeune fille, entendue par
Monsieur LAMBERT de neuf heures quinze à dix heures trente,
confirma entièrement ses déclarations aux gendarmes des 2 et
3 novembre précédents et le récit de l'enlèvement de
GrégoryVILLEMIN.
Elle précisa que celui-ci était souriant et que Bernard
LAROCHE était gentil avec lui. Selon ses dires ils auraient
fait demi-tour à l'endroit de leur premier stationnement à
LEPANGES et ils ne seraient point passés devant la maison
dont elle avait vu le toit. Elle ne put décrire la place de
DOCELLES où leur voiture s'était garée et prétendit n'avoir
pas vu de rivière à proximité.
Questionnée par le juge d'instruction, hors la présence des
gendarmes, au sujet de l'attitude de ceux-ci à son égard,
elle répondit "qu’ils avaient été gentils" , qu'ils ne lui
avaient jamais dicté ses réponses et qu'elle avait pu parler
librement. Elle assura de nouveau qu'elle avait dit la
vérité et renouvela sa déposition lors d'un transport sur
les lieux organisé par le magistrat instructeur auquel elle
montra l'emplacement où le véhicule de LAROCHE était
stationné près du collège de BRUYÈRES et le lieu où il
s'était arrêté sur les hauts de LEPANGES, mais elle fut
incapable de retrouver ensuite l'itinéraire qu'ils avaient
suivi.
Il est vrai qu'elle connaissait mal la région car ses
parents n'avaient pas de voiture. A l'issue de ce transport
sur les lieux elle rejoignit sa famille à
L’AVELINE-devant-BRUYÈRES.
Bernard LAROCHE ayant été le même jour, 5 novembre 1984,
inculpé d'assassinat et placé sous mandat de dépôt, Murielle
BOLLE se rendit le lendemain au Cabinet du juge
d'instruction d'EPINAL accompagnée de sa mère, Jeannine
LAVABLE épouse BOLLE, et, en présence de celle-ci, rétracta
les accusations qu'elle avait portées contre son beau-frère.
Revenant à sa première version des faits, elle soutient
qu'elle était montée dans l'autobus scolaire le 16 octobre
précédent à dix-sept heures et elle prétendit que les
gendarmes l'avaient trompée en lui faisant croire que
Bernard LAROCHE avait passé des aveux et l'avaient menacée
d'un placement en maison de correction et d’une inculpation
de complicité d'assassinat si elle n'acceptait pas de le
mettre en cause.
Ébranlés par cette rétractation et ultérieurement par les
plaintes avec constitution de partie civile déposées le 24
Janvier 1985 par Bernard LAROCHE contre les gendarmes
enquêteurs pour faux et usage de faux en écritures
publiques, subornation de témoin, menaces de mort et
diffusion de fausses nouvelles susceptibles de porter
atteinte à la paix publique et le 22 juillet 1985 par les
parents de Murielle BOLLE contre les militaires de la
gendarmerie ayant entendu leur fille pour faux, usage de
faux et subornation de témoin et induits en erreur par les
investigations de certains fonctionnaires du service
régional de police judiciaire de NANCY qui tendaient à
discréditer les témoignages recueillis par leurs
prédécesseurs, le juge d'instruction d'EPINAL et, après lui,
les magistrats du ministère public et ceux de la Cour
d'appel de NANCY écartèrent une éventuelle culpabilité de
Bernard LAROCHE en considérant :
- que Murielle BOLLE avait un psychisme fragile et avait
craint d'être placée dans une maison de correction,
- qu'elle avait rétracté les accusations portées contre son
beau-frère et s'était plainte d'avoir subi des pressions et
d'avoir été trompée par les gendarmes,
- que l'itinéraire décrit par elle était incohérent et
fantaisiste,
- que les dépositions des témoins qui avaient dit avoir vu
Murielle BOLLE monter dans la voiture de LAROCHE le 16
octobre 1984 ou qui avaient constaté son absence dans
l'autobus de ramassage scolaire, n'étaient pas crédibles
parce qu'à l'exception d'un seul ils avaient fourni des
points de repère inexacts ou commis des erreurs,
- qu'il était difficile de concevoir que Grégory VILLEMIN,
enfant craintif qui ne suivait pas les adultes, ait pu se
laisser prendre par un inconnu et se laisser ligoter sans se
défendre et sans crier,
- que LAROCHE ne pouvait avoir la certitude de trouver
Grégory VILLEMIN seul devant la maison de ses parents et de
ne rencontrer aucun témoin de son rapt,
- qu'il était invraisemblable qu'un assassin se fit
accompagner par un tiers pour commettre son crime,
- qu'aucun indice matériel ne désignait LAROCHE comme
l'assassin et que les investigations du service régional de
police judiciaire de NANCY n'avaient apporté aucun élément
nouveau contre lui,
- que selon sept experts nationaux il n'était pas le
scripteur de la lettre du 16 octobre 1984 et des autres
écrits anonymes,
- qu'il n'avait jamais passé d'aveu,
- que son activité professionnelle était incompatible avec
les appels du Corbeau,
- qu'il n'avait aucune raison de tuer Grégory VILLEMIN.
L'information judiciaire provoquée par les plaintes des
consorts LAROCHE et BOLLE dont le juge d'instruction de
DIJON avait été chargé par un arrêt de la Cour de cassation
en date du 27 février 1985 et qui s'est terminée le 23 juin
1988 par une ordonnance de non-lieu confirmée par un arrêt
de cette chambre en date du 24 novembre 1988 versé au
présent dossier et le supplément d'information ordonné par
l'arrêt de ce siège rendu le 25 Juin 1987 ont démontré la
faiblesse de cette
argumentation et ont apporté contre Bernard LAROCHE des
charges nouvelles de culpabilité.
Il en résulte en effet que Murielle BOLLE est d'une
intelligence moyenne mais normale, qu'en dépit de sa
jeunesse elle présentait déjà en 1984 une maturité certaine,
que selon son entourage, famille, amis, instituteurs, elle
avait une personnalité bien affirmée et était digne de foi.
C'est ce que sa sœur Marie-Ange LAROCHE elle-même a déclaré
au début de l'enquête.
Après la mise en cause de Bernard LAROCHE les gendarmes ont
questionné son père Lucien BOLLE au sujet de la fiabilité du
témoignage de sa fille. Il leur a répondu que Murielle était
saine d'esprit et pouvait être crue et qu'elle était en bons
termes avec sa sœur Marie-Ange et le mari de celle-ci. Rien
n'autorise donc à soutenir qu'elle était fragile et
influençable ou qu'elle avait des tendances à la fabulation.
Les gendarmes incriminés par les familles BOLLE et LAROCHE
se sont défendus d'avoir exercé des pressions sur Murielle
BOLLE ou d'avoir manqué de loyauté à son égard et rien de
tel n'a été prouvé à leur encontre. Les investigations du
juge d'instruction de DIJON ont au contraire contribué à
prouver que les enquêteurs avaient usé de beaucoup de
prudence et de ménagements avec elle, que pendant sa garde à
vue elle avait non seulement bénéficié de temps de repos et
pu se restaurer mais qu'elle avait été admise à regarder des
émissions de télévision et qu'elle avait passé la nuit non
dans les locaux de la brigade de BRUYÈRES mais au domicile
d'un gendarme.
Son père étant venu s'enquérir de son sort, elle lui a dit
"Ça va bien. Les gendarmes c'est mes copains. Il n'y a pas
de problème." Elle a été examinée pendant sa garde à vue par
le docteur ROUSSEAU qui était son médecin de famille,
qu'elle connaissait bien et qui la connaissait. Il lui a
demandé si les gendarmes avaient été corrects avec elle.
Elle lui a répondu "Oh oui. Ils ont été vachement sympas."
Le docteur ROUSSEAU a constaté qu'elle ne paraissait
nullement traumatisée ou émue par sa garde à vue et qu'elle
était au contraire souriante et détendue.
Au surplus si depuis le 30 octobre 1984 les enquêteurs
avaient quelques soupçons touchant Bernard LAROCHE, ils
ignoraient ce qui avait pu se passer, notamment plusieurs
des détails fournis par le jeune témoin, telle l'existence
d'un barrage à LEPANGES en raison de travaux de
reconstruction du pont de la Vologne sur le chemin
départemental 30, indication dont le transport sur les lieux
a révélé l'exactitude.
Enfin Murielle BOLLE n'a exprimé aucune doléance contre les
gendarmes lors de son audition par le juge d'instruction
d'EPINAL et, mise en confiance par ce magistrat, a très
librement et hors de toute influence extérieure, réitéré ses
accusations contre son beau-frère.
Quant à l'itinéraire, il est vrai que seul l'emplacement de
l'autobus et de la voiture de LAROCHE ont été dessinés par
elle et que c'est un gendarme qui a tracé un plan
approximatif de LEPANGES qu'elle aurait été incapable de
dresser de mémoire, mais c'est elle qui a indiqué avec un
stylographe le chemin suivi, lequel n'apparaît pas
incohérent ou fantaisiste. Si des déclarations sont très
suspectes de fausseté, ce sont à l'évidence celles passées
le 6 novembre 1984 devant le juge d'instruction d'EPINAL et
plus tard devant les divers magistrats qui l'ont entendue.
Le greffier de Monsieur LAMBERT a déclaré à Monsieur le
Président SIMON qu'elle n'avait plus la spontanéité de la
veille et qu'elle semblait réciter une leçon.
Le supplément d'information a établi que le 5 novembre 1984,
à son retour dans sa famille et à l'annonce de l'arrestation
et de l'inculpation de son beau-frère elle avait été
malmenée, notamment par sa sœur Marie-Ange qui l'avait
violemment secouée en lui disant "Pourquoi tu as dit ça ?
Pourquoi tu as dit ça?" à tel point qu'elle s'était enfuie
en pleurant et avait fait une crise de nerfs. ainsi que
l'ont révélé ses sœurs Francine BOLLE épouse PAULING et
Marie-Thérèse BOLLE épouse CARAMBOLE. Le même soir il y a eu
une longue discussion entre Murielle BOLLE et sa mère.
Le sieur Benoît BARBICHETTE, président directeur général de
la société CANCEL, employeur de Bernard LAROCHE, a signalé à
Monsieur le Président SIMON l'existence d'une dame GOBELIN,
infirmière qui avait soigné pendant six ou sept ans, jusqu'à
sa mort, Jeannine LAVALLEE, mère de Murielle BOLLE et de
Marie-Ange LAROCHE et qui était très bien renseignée sur la
famille de sa cliente, mais qui n'avait été jusque là
entendue qu'une seule fois et sommairement par le
commissaire CORAZZI, sous son nom de jeune fille de
Jacqueline TAILBUIS, à propos du comportement de Christine
VILLEMIN à laquelle elle avait également donné des soins.
Cette infirmière qui voyait matin et soir Madame BOLLE,
atteinte d'un grave diabète, s'était liée d'amitié à cette
femme malade et malheureuse et avait reçu ses confidences.
Aux dires de ce témoin, Madame BOLLE qui avait posé à sa
fille toutes les questions qui la préoccupaient, avait
acquis la conviction que Murielle n'avait pas menti, que
Bernard LAROCHE était venu la chercher à BRUYÈRES, l'avait
conduite à LEPANGES et avait enlevé l'enfant.
Elle était toutefois persuadée que Murielle n'avait rien
fait de mal et elle se refusait à croire que Bernard LAROCHE
ait pu tuer lui-même l'enfant.
Elle pensait qu'il avait été manipulé et peut-être relayé
par un tiers. L'annonce de la mise en liberté de Jean-Marie
VILLEMIN ordonnée le 24 décembre 1987 par la chambre
d'accusation de DIJON qu'elle avait sans doute interprétée
comme un signe de la culpabilité de son gendre, avait
précipité la fin de cette femme, prématurément vieillie par
vingt et une grossesses et minée par la maladie et
l'inquiétude. Elle était morte une semaine plus tard.
Madame GOLBAIN a confirmé la réalité des pressions exercées
par la famille BOLLE sur Murielle, non seulement au moment
de sa première rétractation, mais depuis lors. Une autre
preuve de l'apparente sincérité des accusations portées par
Murielle BOLLE contre son beau- frère a été acquise grâce au
supplément d'information.
Monsieur le Président SIMON ayant appris par une multitude
de témoins, y compris Marie-Ange LAROCHE, que Louisette
JACOB dont :'audition avait été négligée en raison de sa
débilité mentale était, malgré sa simplicité d'esprit, douée
de bon sens et d'une excellente mémoire et incapable de
mentir, décida de la faire entendre d'abord par les
gendarmes de la section de recherches de DIJON, puis de
recueillir lui-même sa déposition et ce, à deux reprises.
Par trois fois Louisette JACOB raconta que Murielle lui
avait confié après le crime "en pleurant beaucoup, beaucoup"
qu'elle s'était trouvée dans la voiture de Bernard LAROCHE
avec Sébastien et Grégory, que Bernard était descendu avec
ce dernier et était revenu seul.
Le juge d'instruction et le procureur de la République d'
ÉPINAL avaient douté de la fiabilité des témoignages du
chauffeur de l'autobus de ramassage scolaire et des
compagnes de classe de Murielle BOLLE parce que certains
d'entre eux contenaient quelques inexactitudes.
Ces témoignages auraient pourtant mérité d'être pris en
considération dans la première phase de l'information car
ils présentent une convergence totale sur un point
essentiel: Murielle BOLLE n'était pas dans le car de
ramassage scolaire quand il a quitté BRUYÈRES le 16 octobre
1984 vers dix-sept heures. Ce fait a été affirmé à de
multiples reprises par ces témoins. Sonia PIERSON avait
précisé que Murielle, au lieu de prendre le car, s'était
dirigée vers une automobile vert kaki garée à côté du parc
de stationnement des professeurs, au volant de laquelle se
trouvait un homme, véhicule qu'elle avait vu dans les
instants suivants, se diriger vers LAVAL-sur-VOLOGNE,
c'est-à-dire vers LEPANGES.
Claude RICHARD avait fait une déclaration semblable en
donnant des précisions particulières : "J'ai vu Murielle
monter à l'avant d'une 305 dont je ne me rappelle plus la
couleur... j'ai vu la voiture démarrer et prendre à gauche
au bout du parking. En arrivant en haut de l'escalier, j'ai
revu la voiture avec Murielle dedans passer sur la route en
direction de LEPANGES... je n'ai pas vu le conducteur..."
.."c'est la première fois que je voyais Murielle partir en
voiture".
Quatre de ces témoignages ont été à nouveau recueillis avec
un soin extrême au cours du supplément d'information.
Le chauffeur Jean-Marie GALMICHE, qui n'avait jamais été
entendu par la police judiciaire de NANCY, a longuement
déposé le 26 janvier 1988 devant Monsieur le Président
SIMON: Il a soutenu à nouveau que Murielle BOLLE, dont la
chevelure rousse attirait les regards, n'était pas dans le
car le 16 octobre 1984. C'est pour lui "une certitude" .
Comme il avait dit également qu'elle y était le 23 octobre,
alors que ce jour-là elle avait été absente de sa classe, ce
qui avait fait douter de la solidité de son témoignage, il a
ajouté : "je suis absolument sûr de ce que je dis. La petite
BOLLE pouvait très bien être au collège le 16 et être
rentrée chez elle par je ne sais quel moyen et n'être pas
allée en classe le 23 mais être rentrée quand même à
AUMONTZEY par le car que je conduisais. " Véronique
DIDIERLAURENT, également entendue le 25 janvier 1988, a
confirmé "qu'elle avait la conviction que Murielle BOLLE
n'était pas dans le car le 16 octobre 1984".
Parmi d'autres précisions, elle a ajouté ..."j'ai eu le
sentiment lorsque j'ai été entendue par les gendarmes qu'ils
auraient plutôt souhaité que je leur dise que Murielle était
dans le car le 16 octobre... je ne reviens pas sur ce que
j'ai dit." Claude RICHARD a affirmé qu'elle était absolument
certaine que le 16 octobre 1984, Murielle BOLLE n'était pas
montée dans l'autobus à la sortie des cours, vers cinq -
heures du soir, et qu'elle s'était dirigée vers une voiture
arrêtée à droite par rapport à la sortie du collège. Les
gendarmes n'ayant pas mentionné sur leur procès-verbal, en
novembre 1984, quelle voiture elle avait reconnue, la
planche photographique D 448 lui a été présentée par
l'ancien président de la chambre d'accusation. Claude
RICHARD, après un examen très attentif, a désigné le
véhicule n°5, c'est-à-dire la Peugeot 305 de Bernard LAROCHE
; le témoin a confirmé que c'était la première fois qu'elle
voyait cette voiture qui était passée ensuite avenue de
Lattre de Tassigny. Murielle était assise à l'avant droit et
le véhicule se dirigeait vers LAVAL- sur- VOLOGNE, étant
précisé que depuis LAVAL, et en continuant tout droit, on va
à LEPANGES, DEYCIMONT et DOCELLES, mais qu'en tournant à
gauche dans LAVAL, on peut rejoindre LAVELlNE ou AUMONTZEY.
Sonia PIERSON, qui n'avait jamais été entendue par la police
judiciaire, mais seulement par les gendarmes et par le juge
d'instruction LAMBERT, et qui habite avenue de Lattre de
Tassigny à BRUYÈRES, a confirmé que le 16 octobre 1984, vers
seize heures cinquante cinq, elle avait dit au revoir à
Murielle qui, au lieu d'aller vers l'autobus de ramassage,
s'était dirigée à droite vers une automobile garée sur
l'aire de stationnement des professeurs.
Cette voiture était de couleur vert "neutre" et en tout cas
pas d'une teinte de vert éclatant. Le témoin a précisé
qu'après avoir monté des escaliers situés entre des HLM et
menant à l'avenue Maréchal de Lattre, elle et sa camarade
Claude RICHARD avaient vu une voiture passer devant elles en
direction de LAVAL et LEPANGES. Elle avait parfaitement
reconnu Murielle BOLLE dans cette automobile, mais elle n'a
pu donner le signalement du conducteur.
Sa camarade et elle-même s'étaient dit : "tiens, Murielle
vient de passer". Au cours de cette audition Sonia PIERSON a
expliqué pourquoi elle avait une certitude sur la date du 16
octobre: ..."c'est le lendemain que j'ai appris l'assassinat
du petit Grégory..."
En ce qui concerne le fait que précédemment elle avait donné
comme autre repère, une opération chirurgicale subie par son
père, elle a déclaré: "je dis très sincèrement que sur
l'entrée de mon père à l'hôpital, je me suis trompée... ;
j'étais très émue et impressionnée. En réalité mon père
devait entrer ce jour-là à l'hôpital pour se faire opérer
d'un œil, mais il y est entré un peu plus tard. .."
.Monsieur PIERSON a été hospitalisé le 12 septembre 1984
pour une blessure et il est retourné à l'hôpital les 12 et
24 octobre 1984. La planche photographique cotée D 448 a été
présentée au témoin par Monsieur le Président SIMON qui lui
a demandé si elle reconnaissait la voiture dans laquelle
elle avait vu passer Murielle BOLLE. Sonia PIERSON a montré
immédiatement la photographie n°5 en disant: "c'est
celle-là" : il s'agissait de la Peugeot 3 O 5 de LAROCHE.
Au cours d'un transport sur les lieux, le magistrat
instructeur s'est attaché à vérifier la crédibilité des
témoignages de Claude RICHARD et de Sonia PIERSON. A
BRUYÈRES, il a chronométré le temps qu'il fallait depuis la
sortie du CES pour gagner à pied l'avenue Maréchal de Lattre
de Tassigny en traversant le parc de stationnement du CES et
en gravissant les escaliers ainsi que la pente qui conduit
au bord de l'avenue Maréchal de Lattre: ce temps est de deux
minutes cinquante quatre secondes; il a
parcouru, en automobile, le trajet qu'auraient pu parcourir
LAROCHE et Murielle BOLLE depuis ce même parc jusqu'à
l'avenue Maréchal de Lattre en direction de LEPANGES et il a
chronométré ce parcours: le temps est de quatre minutes
cinquante six secondes.
Il ressort de ces vérifications que les deux jeunes filles
ont pu voir le véhicule de LAROCHE sur l'aire de
stationnement et le voir, à nouveau, avenue de Lattre de
Tassigny.
Entendue au sujet de ses contradictions, des
invraisemblances de sa rétractation et des témoignages qui
la démentaient, Murielle BOLLE s'est obstinée à nier sa
présence dans la voiture de LAROCHE lors de l'enlèvement de
Grégory VILLEMIN et à rester muette quand une question trop
embarrassante lui était posée par les magistrats chargés du
supplément d'information. Cette attitude s'explique,
semble-t-il, par les pressions de ses proches qui, à partir
de l'inculpation de son beau-frère, lui ont toujours imposé
le silence. Il en fut ainsi notamment lors de l'enquête
provoquée par la lettre adressée au juge d'instruction
d'EPINAL par une certaine "Corinne" se disant l'amie de
Murielle et relatant des confidences de celle-ci ayant trait
à l'affaire, dont il sera question ci-après. Quand elle vint
à DIJON le 8 février 1991 pour être entendue par le
président de cette chambre; elle était escortée par l'un de
ses beaux-frères et par deux de ses frères, individus
réputés violents et craints de leur entourage.
La présence de Murielle BOLLE et de Sébastien LAROCHE dans
la voiture du ravisseur, jugée initialement invraisemblable
par le ministère public, peut s'expliquer par la nécessité
de rassurer Grégory VILLEMIN qui connaissait la première
pour avoir déjà été gardé par elle, bien que celle-ci n'ait
pas semblé en avoir conservé le souvenir et qui aimait jouer
avec le second. En outre, au cas où Christine VILLEMIN
serait sortie de sa maison au moment de 1'enlèvement de
l'enfant, Bernard LAROCHE aurait pu expliquer de manière
très plausible que passant dans le quartier avec sa jeune
belle-sœur et son fils il avait invité Grégory à se promener
quelques instants en compagnie de son petit cousin, ce qui
aurait pu paraître très naturel eu égard aux liens de
parenté unissant les deux familles.
Quant à la prétendue méfiance de la jeune victime il a déjà
été fait justice de cet argument. Grégory VILLEMIN, enfant
très vif, très éveillé, n'était nullement timide et n'avait
aucune raison de craindre son oncle Bernard, Murielle BOLLE
et Sébastien LAROCHE qu'il connaissait déjà.
Les investigations du Service régional de police judiciaire
n'ont certes apporté aucune charge nouvelle contre LAROCHE
car elles ont été essentiellement orientées en direction de
Christine VILLEMIN. Il y en avait pourtant à d'autres que la
première enquête avait découvertes mais avait négligées et
que le supplément d'information a exploitées et fortifiées.
*
Mesdames Thérèse JACOB épouse BONATO, cousine de Jean-Marie
VILLEMIN et de Bernard LAROCHE, et Françoise HATTON épouse
MASSON, employées à l'usine SEB de BEAUMENIL ont rapporté
les 8 et 9 novembre 1984 aux gendarmes de BRUYÈRES que leur
compagne de travail Isabelle BOLLE, sœur de Marie-Ange
LAROCHE et de Murielle BOLLE, avait déclaré le 6 novembre
1984 vers quinze heures quarante cinq à la première d'entre
elles, puis un peu plus tard à toutes deux que Bernard
LAROCHE était allé chercher sa belle-sœur Murielle au CES,
qu'il était descendu à DOCELLES, qu'il avait arrêté sa
voiture, avait ouvert le coffre et "qu'il l'avait mis à
l'eau", sans autre précision ou "qu'il avait mis quelque
chose à l'eau".
Questionnée sur la source de cette information, Isabelle
BOLLE aurait répondu qu'elle avait entendu raconter cela
chez ses parents. Les deux témoins ont réitéré leurs
déclarations le 20 mai 1988 devant Monsieur le Président
SIMON bien qu'Isabelle BOLLE ait contesté avoir tenu de tels
propos.
*
Madame Simone HATTON, retraitée, demeurant aux HLM Gais
Champs à LEPANGESsur- VOLOGNE, a raconté le 13 mai 1985 au
commissaire principal CORAZZI, le 21 octobre 1985 au juge
d'instruction LAMBERT, le 15 mars 1989 aux adjudants DEFIX
et BESSON de la Section de recherches de DIJON et le 7 juin
1989 à Monsieur le Président SIMON, qu'au cours de la
semaine ayant précédé le crime, elle avait remarqué par
trois fois un homme de taille moyenne, aux moustaches
tombantes, aux cheveux mi longs ondulés, aux yeux globuleux,
vêtu d'une chemise gris clair et d'un blouson ou d'une veste
bleu foncé, circulant tantôt dans une voiture gris vert
immatriculé
CONSTATATIONS
/ COMMENTAIRES :
Avant de
poursuivre l'analyse du contenu du non-lieu, il est utile
de rappeler ce que dit Me Chastand-Morand avec une grande
intelligence et une belle perspicacité, pour ce qui
concerne la fiabilité des témoignages humains, puisque ça
concerne particulièrement le témoignage que l'on attribue
à Murielle BOLLE, qui a été dûment annulé par la Justice,
il faut considérer que l'annulation a été implicitement
admise par la Cour de Cassation qui a pour mission de
veiller à la régularité des procédures : n'a rien
objecté.
Ce
soi-disant :témoignage de Murielle BOLLE, ne présente donc
plus aucun caractère juridique.
En principe
et de Droit, on ne devrait pas pouvoir l'évoquer...
En tout cas, la Cour de DIJON, dont le Président Maurice
SIMON, ont violé la Loi en utilisant ce témoignage suborné,
a fortiori en le faisant uniquement à charge contre : "un
inculpé" assassiné Bernard LAROCHE, qui bénéficiait de la
présomption d’innocence, comme tout individu en FRANCE, non
jugé.
Toute action judiciaire contre lui, devrait être de fait
éteinte... ce fût les cas entre autres : du l'adjudant
Pierre Chanal, de Jean -Pierre TREIBER meurtrier présumé de
Géraldine GIRAUD et de Katia LHERBIER, et Grégory WIART ...
etc. Cette liste n'est pas hélas exhaustive.
L'avocate écrit dans le mémoire en faveur du non-lieu de
Christine BLAISE VILLEMIN :
-- "Attendu, que c'est à souligner que les témoignages
reposent parfois sur des impressions et s'exposent souvent à
des risques d'erreurs "
-- " Que cela démontre en tout cas la vulnérabilité des
témoignages humains"
-- " Qu'il y a des absurdités, dont une inculpation ne peut
s'accommoder"(SIC)
La Cour dite "d'Accusation" de DIJON indique :
"Intrigués par la divergence entre le récit de Bernard
LAROCHE et celui de sa belle sœur quant à l'ordre de leur
arrivée au domicile de Louisette JACOB et par la discordance
entre les déclarations de la jeune fille et celles de quatre
de ses camarades de classe ayant affirmé qu'elle n'était pas
montée dans l'autobus scolaire, mais dans une voiture qui
l'attendait à la sortie du collège, les gendarmes
entendirent à nouveau de manière plus complète Murielle
BOLLE, le 2 novembre 1984... etc. " (SIC)
COMMENTAIRE :
Il est tout de même sidérant de constater que les soupçons
des gendarmes contre Bernard LAROCHE, reposent uniquement
sur les divergences entre deux témoignages : celui de
lui-même, auditionné pour la première fois le 25 octobre
1984, soit 9 jours après le meurtre de Grégory VILLEMIN, et
celui de Murielle BOLLE entendue à son tour le 31 octobre
1984, soit 15 jours après
le meurtre de Grégory VILLEMIN.
QUESTIONS :
1/ : -- Qui est capable avec une certitude absolue de
donner : " l'ordre des arrivées"(SIC) chez lui,
respectivement 9 et 15 jours après le jour considéré ?
2/ : -- Qui s'est trompé ? Bernard LAROCHE ou Murielle
BOLLE, puisqu'en répondant à la première question, on ne
peut plus qualifier de : "mensonges", de telles erreurs
possibles, difficilement condamnables ?
3/ : -- Constatons que ni les gendarmes ni la Cour de DIJON
ne donne de réponse pour savoir qui dit la réponse
représentant la réalité.
La Cour dite "d'Accusation" de DIJON indique que Murielle
BOLLE : / CITATION
"-- A la sortie du CES elle était effectivement montée, non
dans le car scolaire, mais dans l'automobile Peugeot 305
gris vert de son beau-frère Bernard LAROCHE. Elle s'était
assise à la droite de celui-ci, Sébastien se tenant à
l'arrière. Ils étaient passés à CHAMP-le-DUC, à BEAUMENIL et
étaient arrivés à LEPANGES-sur-VOLOGNE, localité où elle
n'était jamais allée auparavant. Bernard LAROCHE s'y était
arrêté deux minutes, était descendu de voiture et était
revenu en compagnie d'un petit garçon inconnu, du même âge
que Sébastien et coiffé d'un bonnet qu'il avait fait monter
à l'arrière. Ils étaient repartis en direction de BRUYÈRES
et s'étaient arrêtés à nouveau à LEPANGES.
-- Son beau-frère s'était absenté un instant. Il ne tenait
rien à la main et elle ignorait ce qu'il avait fait. Ils
étaient repartis dans l'autre sens et après un trajet
d'environ cinq minutes ils étaient parvenus dans un autre
village qui, elle l'avait su le lendemain, s'appelait
D’OCELLES. Bernard LAROCHE était sorti avec l'enfant au
bonnet tandis qu'elle-même était restée dans la voiture en
compagnie de son neveu Sébastien. Au terme d'un laps de
temps dont elle ne put préciser la durée, Bernard LAROCHE
était revenu seul et ils étaient rentrés chez Louisette
JACOB à AUMONTZEY en passant par BRUYÈRES. Il était alors
environ dix-sept heures trente. Bernard LAROCHE était
reparti cinq minutes plus tard en disant qu'il allait
acheter du vin à LAVAL-sur-VOLOGNE. Il avait pris Sébastien
avec lui et était revenu une demi-heure après.
-- Pendant ce temps elle avait accompli ses devoirs au
domicile de Louisette JACOB. Une photographie de Grégory
VILLEMIN lui ayant été montrée, elle reconnut qu'il
s'agissait bien de l'enfant qui était monté à bord de leur
automobile."(SIC)
CONSTATATIONS / COMMENTAIRES :
1/ -- Il faut constater que le non-lieu, nous donne suivant
les témoins pour la couleur de la voiture, qui serait
toujours celle de Bernard LAROCHE, une Peugeot 305, une
multitude différentes de nuances de vert... d'après le
catalogue Peugeot, elle était en fait : "gris fumée",
d'après le nuancier du constructeur : "Gris fumée /
métallisée" ( réf : 1306/ TR/E)
en
l’occurrence ce serait la teinte : "gris vert" qu'aurait été
vue ? (SIC)...: Il y sans doute parmi les témoins quelques
daltoniens ?
2/ -- Si l'on en croit le témoignage que le non-lieu
attribue à Murielle BOLLE, son beau-frère Bernard LAROCHE
serait parti avec sa voiture personnelle , plaques
minéralogiques non maquillées, avec son fils Sébastien, âgé
de quatre ans et de sa belle-sœur jeune adolescente
surnommée : "bouboule" (SIC) âgée de 15 ans, pour enlever
un enfant Grégory VILLEMIN âgé de quatre ans et pour ensuite
accomplir le plus horrible des crimes,
La Cour de DIJON répond à celle similaire de NANCY :
2.1./ --"La présence de Murielle BOLLE et de Sébastien
LAROCHE dans la voiture du ravisseur, jugée initialement
invraisemblable par le Ministère Public, peut s'expliquer
par la nécessité de rassurer Grégory VILLEMIN, qui
connaissait la première pour avoir déjà été gardé par elle,
bien que celle-ci n'ait pas semblé en avoir conservé le
souvenir et qu' il aimait jouer avec le second."(SIC)
2.2./ -- "En outre, au cas où Christine VILLEMIN serait
sortie de sa maison au moment de l'enlèvement de l'enfant,
Bernard LAROCHE aurait pu expliquer de manière très
plausible que passant dans le quartier avec sa jeune
belle-sœur et son fils il avait invité Grégory à se promener
quelques instants en compagnie de son petit cousin, ce qui
aurait pu paraître très naturel eu égard aux liens de
parenté unissant les deux familles."(SIC)
COMMENTAIRES :
3.1./ -- La Cour dite "d'Accusation " de DIJON nous explique
: la présence de Murielle BOLLE et de Sébastien, jugée
initialement invraisemblable par le Ministère Public,"( Il y
a de quoi : la constitution d'une telle équipe n'est pas
habituelle lors crime aussi terrifiant) ? ) ..." : peut
s'expliquer par la nécessité de rassurer Grégory VILLEMIN"
? ... alors qu'en "réalité" suivant ce même témoignage
Bernard LAROCHE partirait seul pour enlever Grégory ? ...
et elle ajoute même pour se contredire totalement : " Quant
à la prétendue méfiance de la jeune victime, il a déjà été
fait justice de cet argument. Grégory VILLEMIN, enfant très
vif, très éveillé, n'était nullement timide et n'avait
aucune raison de craindre son oncle Bernard, Murielle BOLLE
et Sébastien LAROCHE qu'il connaissait déjà." ? ...
Que constate-t-on : Murielle BOLLE indiquerait, qu' après avoir " grimper une grande
côte" (*)sur
les : "Hauts de
Lépanges" ... " Bernard LAROCHE, s'y était arrêté
deux minutes, était descendu de voiture et était
revenu en compagnie d'un petit garçon inconnu, du
même âge que Sébastien et coiffé d'un bonnet qu'il
avait fait monter à l'arrière."(SIC)
(*) il faut retenir que Bernard LAROCHE que
pour arriver sur les "Hauts de
Lépanges"...
aurait grimpé :"une grande côte "... Les VILLEMIN
indiquaient sur un plan offert
gracieusement un plan sur lequel
cette même désignation est
reprise deux fois pour la rue des
CHAMPS entre le carrefour
route de FAING /
VAIREL , rue
de Bellevue / rue des
CHAMPS ... et
rue de
la
BURE.
Ils indiquent
que le lieu de
croisement
entre Claude
COLIN et un
véhicule avec
un conducteur
"assez
corpulent" à
l'emplacement
d'une ancienne
éolienne,
chemin de la
BURE (ou de
l’Orée du bois.
3.2./ -- Conclusion :
la présence de Murielle BOLLE et de Sébastien, jugée
initialement invraisemblable par le Ministère Public," de la
Cour d'Accusation de NANCY (SIC),
reste entièrement inexpliquée par celle de DIJON que se
contredit.
La Cour dite "d'Accusation" de DIJON
ne fait au contraire qu'enfoncer le clou, car in
fine, par contre coup les deux passagers dont la
présence apparaissait insolite, ne serviraient pas à
rassurer Grégory... ce a fortiori parce que Grégory
ne craignait rien de Bernard LAROCHE, qu'il
surnommait : "Popof ". Lequel
pouvait se passer de ses deux : "boulets...
un mis à chaque pied... Car ils devenaient
plus gênants qu'utiles pour Bernard LAROCHE.
D'après le témoignage qui lui attribué, Murielle indiquerait
: "A son avis son beau-frère était venu la chercher à la
sortie du collège, ce qui ne s'était encore jamais produit,
pour qu'elle garde Sébastien, qui ne pouvait rester seul en
raison de son handicap"(SIC)
Que constate-t-on ? : Que "bibiche" (Sébastien) devait être
accompagné par Murielle BOLLE, parce que : " son état de
santé exigeait une surveillance constante"(SIC)...il était
assis à l'arrière du véhicule... alors que Murielle BOLLE
était assise à l'avant, ce qui n'est pas a priori la
meilleure façon de soigner Sébastien... d'autant plus,
qu'il est démontré par la suite que celui-ci n'avait pas
besoin de la présence de Murielle BOLLE, puisque le non-lieu
nous le démontre en expliquant, qu'après avoir ramené
celle--ci chez Louisette Jacob à AUMONTZEY, Bernard LAROCHE
serait reparti avec Sébastien , non assisté par sa garde
malade... pour aller acheter 150 bouteilles de vin au
magasin CHAMPION de LAVAL
C'est très étrange, si l'on en croit la Cour dite
"d'Accusation" de DIJON, puisque que pour l'enlèvement de
Grégory, la présence de Sébastien en définitive, n'a servi
rigoureusement à RIEN... car on nous explique que Bernard
LAROCHE y serait allé seul ...
Il est curieux que pour aller acheter 150 bouteilles de vin
dans un supermarché, ce qui n'est déjà pas très aisé pour un
adulte seul, parce que ça exige de trainer plusieurs
caddies... pour le coup, en emmenant avec lui, son jeune
enfant qu'il faut surveiller et sans doute tenir par la
main, sinon il a tous les risques de le retrouver après une
annonce d'alerte : à l'accueil pleurant et hurlant (c'est du
vécu)
Bernard LAROCHE, se
condamne ainsi à un handicap supplémentaire,
incompréhensible, car il aurait pu faire garder Sébastien,
par Louisette Jacob et Murielle BOLLE, à AUMONTZEY.
Un tel illogisme interpelle, la Cour
dite "d'Accusation " de DIJON,
nous fait naviguer dans un bateau en perdition sur l'océan
de la Science de l’abscons.
Le témoignage attribué à Murielle BOLLE que reprend
illégalement La Cour dite "d'Accusation"
de DIJON est-il crédible sur
ces premiers points essentiels évoqués ? : Non : c'est du
"grand n'importe quoi", car on est en présence de
contractions permanentes"
Elle a raison pour une fois Me Chastant-Morand avocate de
Christine BLAISE VILLEMIN : " il y a des absurdités, dont
une inculpation ne peut s'accommoder"(SIC) "Ch'est bien vrai
cha ..!" : disait la mère DENIS, on peut lui emboîter le
pas.
4./ -- La Cour de NANCY a prétendu : " que l' itinéraire
décrit par elle (Murielle BOLLE) était incohérent et
fantaisiste"...: apparemment, il ne fait pas sourciller les
Magistrats bourguignons... évidemment ils connaissent moins
le secteur que ceux de NANCY, peut-être aussi que le
POMMARD, le MERCUREY, le GEVREY -CHAMBERTIN... etc.
font-ils plus de dégâts collatéraux ? que les eaux minérale
vosgiennes de VITTEL, de CONTREXEVILLE, de WATTWILLER, etc.
?
Il nous faut donc aller faire un tour chez Google EARTH
pour départager ces deux Cours le la "même" République,
devant juger suivant les "mêmes" lois, les "mêmes"
procédure, en désaccord total sur TOUS les points, des 25
charges pesant sur Christine BLAISE VILLEMIN
Que constate-t-on
4.1./ -- D'après le Juge Maurice SIIMON : Bernard LAROCHE
aurait parcouru 200 m, en 4 min 56 secondes pour que sa
voiture soit aperçue par Mesdemoiselles PIERSON et RICHARD ,
qui se trouvaient avenue de Lattre de Tassigny, c'est à dire
sur la départementale D.44, qui est sans contestation la
route la plus rapide pour rejoindre ensuite, à
Lépanges-sur-Vologne, en vue d'enlever Grégory VILLEMIN.
4.2/-- Alors que Bernard LAROCHE, devrait-être pressé ? :
-- puisqu'il aurait une lettre à déposer à La Poste de
Lépanges-sur-Vologne, avant l'heure de la dernière levée,
c'est à dire 17 h 15 min., parce qu'il n'est pas comme le
Juge SIMON , qu'il ne connait pas la :"cuisine"interne de La
Poste, parce qu'il ne se présente pas non plus dans une gare
4 minutes après l'horaire du train qu'il veut prendre.
-- parce qu'il est déjà 17 h 09 min 56 s et qu'il est encore
qu' à 200 m du CES de Bruyères (départ à "17h 05 min" (SIC
site VILLEMIN)... plus 4 min 56 s (chronométrage juge
SIMON) ) et qu'il faut qu'il arrive au minimum à 17 h 10 min
sur les "Hauts de Lépanges" pour en 2 minutes en deux
minutes enlever Grégory VILLEMIN (temps donné soi-disant
par Murielle BOLLE) : il lui resterait 3 minutes pour
descendre par la voie rapide de chez les VILLEMIN jusqu'à La
Poste...et y arriver à 17 h 15 min.
Nota Bene : Murielle BOLLE aurait donné un temps de deux
minutes pour l'enlèvement de Grégory VILLEMIN, par Bernard
LAROCHE ?
Des "Hauts de Lépanges", point où Bernard LAROCHE aurait pu
faire demi-tour à la fourche Faing / Vairel, rue de BELLEVUE
/ rue des CHAMPS, la distance donnée par Google jusqu'à la
maison des VILLEMIN est de 230 mètres... si ce que dirait
Murielle BOLLE serait réel, pour accomplir à pieds 230 m.
: aller / retour, soit 460 m si Bernard LAROCHE aurait
mis deux minutes, en supposant qu'il aurait trouvé de suite
Grégory VILLEMIN, que personne n'a vu à l'extérieur de sa
maison après 17 h 02 min, nous aurions une vitesse de : 13,
80 km par heure, ce qui est IMPOSSIBLE avec un enfant...
LAROCHE n'était pas non-plus Usain BOLT ...
-- Que fait-il ... il est avenue de Lattre de Tassigny, sur
la D.44 : la route la plus rapide pour aller à
Lépanges-sur-Vologne, et il part sur la gauche vers la
campagne, faire un tour pour visiter CHAMP-LE-DUC... puis
BEAUMENIL ... pour revenir sur la D. 44 et rejoindre
Lépanges-sur-Vologne par on ne sait quelle route entre
BEAMENIL et LEPANGES-SUR-VOLOGNE ?
Le plus fabuleux est le temps que doit réaliser Bernard
LAROCHE ... cramponnez-vous, serrez les fesses et les
poignées : EN QUATRE SECONDES, c'est à dire entre : 17 h
09 min 56 secondes où il se trouve à 200 m du C.E.S
Charlemagne, pour arriver sue les "Hauts-de-Lépanges" à 17
h 10 min ... enlever Grégory en 2 minutes (temps donné par
Murielle BOLLE non possible ) il mettrait environ 3 minutes
pour descendre à Lépanges et déposer la lettre revendiquant
le crime à La Poste, avant 17 h 15 min (horaire de la
dernière levée )
CONCLUSION :"L' itinéraire décrit par elle (Murielle BOLLE)
était incohérent, fantaisiste " (SIC :
Cour de NANCY) et même on
peut l'ajouter : débilement pathologique relevant de la
Médecine et de sa branche : Psychiatrie.... CQFD
La Cour dite "d'Accusation" de DIJON,
poursuit en écrivant que le 2 novembre 1984, d'après le
témoignage, qui lui est prêté Murielle BOLLE indiquerait :
-- "à LEPANGES-sur-VOLOGNE, localité où elle n'était jamais
allée auparavant. Bernard LAROCHE s'y était arrêté deux
minutes, était descendu de voiture et était revenu en
compagnie d'un petit garçon inconnu, du même âge que
Sébastien et coiffé d'un bonnet qu'il avait fait monter à
l'arrière. Ils étaient repartis en direction de BRUYÈRES et
s'étaient arrêtés à nouveau à LEPANGES."(SIC)
-- "Son beau-frère s'était absenté un instant. Il ne tenait
rien à la main et elle ignorait ce qu'il avait fait. Ils
étaient repartis dans l'autre sens et après un trajet
d'environ cinq minutes, ils étaient parvenus dans un autre
village qui, elle l'avait su le lendemain, s'appelait
DOCELLES."(SIC)
--"Bernard LAROCHE était sorti avec l'enfant au bonnet
tandis qu'elle-même était restée dans la voiture en
compagnie de son neveu Sébastien."(SIC)
--"Au terme d'un laps de temps dont elle ne put préciser la
durée, Bernard LAROCHE était revenu seul et ils étaient
rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en passant par
BRUYÈRES."(SIC)
--"Il était alors environ dix-sept heures trente. Bernard
LAROCHE était reparti cinq minutes plus tard en disant qu'il
allait acheter du vin à LAVAL-sur-VOLOGNE. Il avait pris
Sébastien avec lui et était revenu une demi-heure
après."(SIC)
--"Pendant ce temps elle avait accompli ses devoirs au
domicile de Louisette JACOB."(SIC)
--"Une photographie de Grégory VILLEMIN lui ayant été
montrée, elle reconnut qu'il s'agissait bien de l'enfant qui
était monté à bord de leur automobile."(SIC)
--"Placée en garde à vue à treize heures trente à l'issue de
son audition Murielle BOLLE fut entendue à nouveau le même
jour de dix-huit heures quinze à dix-huit heures quarante
cinq. Elle ajouta quelques détails à son précédent récit:
Arrivé à un carrefour dans les hauts de LEPANGES, Bernard
LAROCHE lui avait dit, en descendant de voiture "Fais
attention à Bibiche" , surnom de Sébastien."(SIC)
--"Au retour ils avaient d'abord pris une route barrée dans
l'agglomération de LEPANGES; précision dont l'enquête
confirma l'exactitude. Au cours du trajet Grégory avait
parlé à Sébastien."(SIC)
--"A DOCELLES, localité qu'elle ne connaissait pas
jusqu'alors, son beau-frère avait garé sa voiture sur une
place, avait ouvert la porte arrière et avait appelé
l'enfant par son prénom de Grégory. Elle les avait vu partir
et ne savait pas où ils étaient allés. Elle avait pensé
qu'il emmenait Grégory chez un ami de sa famille."(SIC)
-- "Bernard LAROCHE était sorti avec l'enfant au bonnet
tandis qu'elle-même était resté dans la voiture en compagnie
de son neveu Sébastien. Au terme d'un laps de temps dont
elle ne put préciser la durée, Bernard LAROCHE était revenu
seul et ils étaient rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY
en passant par BRUYÈRES. Il était alors environ dix-sept
heures trente. Bernard LAROCHE était reparti cinq minutes
plus tard en disant qu'il allait acheter du vin à
LAVAL-sur-VOLOGNE. Il avait pris Sébastien avec lui et était
revenu une demi-heure après."(SIC)
CONSTATATION :
-- "A Lépanges son beau-frère s'était absenté un instant. Il
ne tenait rien à la main et elle ignorait ce qu'il avait
fait."? : On se demande comment Murielle BOLLE aurait pu
témoigner spontanément que Bernard LAROCHE ne tenait rien à
la main" Puisqu'elle n'était pas censée savoir qu'une lettre
avait été envoyée à La Poste de Lépanges-sur-Vologne, qu'elle ne reconnait même
pas...
On lui fait dire que
Bernard LAROCHE se serait arrêté à Lépanges
mais où ? Un bureau de Poste en principe est signalé et
facilement reconnaissable ?
-- Le non-lieu fait indiquer à Murielle BOLLE : " ils
(Bernard LAROCHE, Sébastien, Murielle BOLLE et Grégory
VILLEMIN) étaient parvenus dans un autre village qui, elle
l'avait su le lendemain, s'appelait DOCELLES...
En principe à l'entrée de tous les villages de France sont
implantés des panneaux indiquant une agglomération... Il
suffisait de lire celui placé sur la D.11... pourquoi
Murielle BOLLE ne l'a -t-elle su que le lendemain ?
On nous dit également qu'une
photographie de Grégory
VILLEMIN, fut
montrée à Murielle
BOLLE, elle reconnut qu'il s'agissait bien de l'enfant
qui était monté à bord de leur
automobile."(SIC)
QUESTION :
La Cour
de DIJON ne nous prendrait -elle
pour des imbéciles ?
-- Elle
nous conte que le 2 novembre 1984 : "arrivé
à Lépanges, Bernard LAROCHE s'était
arrêté deux minutes [...]et
était revenu en compagnie
d'un petit garçon
inconnu de même âge
que Sébastien"(SIC) ... Petit
problème : C'
était un petit garçon
"inconnu"... mais
alors
comment Murielle
BOLLE, savait
-elle qu' " il
était de même
âge que
Sébastien
?
-- Elle
nous raconte d'une part que Murielle
BOLLE avait reconnu Grégory
VILLEMIN en voyant sa
photographie publiée sur un
journal le 17 octobre
1984, chez Louisette JACOB ,
elle avait alors pensé
que Bernard
LAROCHE était
l'auteur du
crime (SIC)
--La
Cour de DIJON : muée en avocate déclare que la
présence de Murielle BOLLE et de Sébastien
LAROCHE dans la voiture du ravisseur, jugée
initialement invraisemblable par le ministère
public, peut s'expliquer par la nécessité de
rassurer Grégory VILLEMIN qui connaissait la
première pour avoir déjà été gardé par elle,
bien que celle-ci n'ait pas semblé en avoir
conservé le souvenir et qui aimait jouer avec
le second.
La Cour de DIJON dite : "d'Accusation" de
DIJON se mue en avocate de la défense et ose
beaucoup plus que celle-ci dans la plus totale
aberration, en prenant accessoirement les
citoyens qui représentent la formule consacrée
: "AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS", pour des
crétins, en effet elle nous raconte qu' avant
le crime : MURIELLE BOLLE AVAIT DÉJÀ GARDÉ
GREGORY VILLEMIN, BIEN QU' ELLE N' AIT PAS
SEMBLE EN AVOIR CONSERVÉ LE SOUVENIR.
Cette phrase mérite d'être encadrée en effet
elle est parfaitement démonstrative des
contradictions pathologiques récurrentes
dont
souffraient les Magistrats félons de DIJON :
On nous explique que cette jeune femme est
d'un intelligence moyenne mais normale.
Il est vrai comme le disent nos amis belges :
" " FRANÇAIS MOYEN ", (célèbre formule
inventée par celui qui fut longtemps Maire de
LYON : Édouard HERIOT ) était un pléonasme,
car les Français disent-ils, font toujours
les choses à moitié", La COUR DIJON leur donne
raison.
Qui peut prétendre qu'une personne
d'intelligence moyenne est normale : Est-ce
un dictat ? On nous dit qu'elle est SAINE
D'ESPRIT , est - ce un postulat ? Il
nous faut chercher la réponse :
Pour résumé d'après la Cour "d'Accusation de
DIJON muée en avocate : MURIELLE BOLLE EST
NORMALE, SAINE D'ESPRIT... MAIS A OUBLIE QU'
ELLE AVAIT DÉJÀ GARDÉ GREGORY VILLEMIN... en
effet dans le témoignage qui lui est attribué
elle nous parle de "PETIT GARÇON INCONNU
"(SIC) On nous dit qu'elle "AURAIT RECONNU
GREGORY VILLEMIN EN VOYANT SA PHOTOGRAPHIE SUR
LE JOURNAL LE LENDEMAIN LE 17/10/1984"(SIC)
-- On constate que la Cour dite "d'Accusation
" de DIJON se base et valide : TOUS LES
TÉMOIGNAGES RECUEILLIS PAR LE PRÉSIDENT JUGE
MAURICE SIMON, QUI SONT TOUS POSTÉRIEURS DE
TROIS ANS AUX FAITS CONCERNANT LE MEURTRE DE
GREGORY VILLEMIN LE 16 OCTOBRE 1984.
-- On relève dans le témoignage de Murielle
BOLLE, qui est LA BIBLE PILIER DE L'ACCUSATION
CONTRE BERNARD LAROCHE ET QUE CE TÉMOIN EST
INCAPABLE DE SE SOUVENIR QU'IL A GARDÉ GREGORY
VILLEMIN
CONCLUSION : Ces contradictions rédhibitoires
sont la démonstrations de ce qui s'appelle en
langage populaire : " se tirer une balle dans
le pied s'autodétruire".
QUESTIONS:
-- Comment peut-on dans ces conditions
accorder le moindre crédit au témoignage de
Murielle BOLLE, dont-on nous dit et confirme
qu'elle a oublié avoir gardé Grégory VILLEMIN,
puisqu'elle a besoin d'une photographie pour
le reconnaitre, dont-elle ne pouvait pas
méconnaître l'existence puisqu'elle sait son
âge (le même que celui de Sébastien (SIC) ?
-- Quand Murielle BOLLE est qualifié de
personne d'intelligence moyenne, mais normale
et saine d'esprit, mais a oublié avoir gardé
Grégory, quel niveau faut-il donner à tous
les témoins débusqués par la Cour dite
"d’Accusation" de DIJON, qui ont témoigné
entre trois ans et 7 ans après le 16 octobre
1984, pour ce qui concerne Monsieur Claude
COLIN ?
-- Les téléspectateurs qui ont vu à la TV,
les internautes qui ont visionnés la vidéo
concernant les rétractions de Murielle BOLLE
ont des difficultés à suivre l'avis de la Cour
de DIJON , souvenez vous : " C'est pas vrai
mon beau-frère est innocent ... etc. "
-- Comment peut-on manipuler une personne
visiblement fragile ? Jugez
-vous même, on dirait une enfant de moins de
dix ans ?
https://www.youtube.com/watch?v=gCPph6j5WQ0&index=10&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWXhttps://www.youtube.com/watch?v=X_SsGLFfv7E&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWX&index=21
https://www.youtube.com/watch?v=gCPph6j5WQ0&index=10&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWX
https://www.youtube.com/watch?v=Iid6pl2wQuA&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWX&index=18
Je vous invite à évaluer la journaliste,
fonctionnaire, mollasse,
langue de vipère : Isabelle
BAECHLER, à qui on a du mal à retenir le coup
de pied au cul qu'elle mériterait pour la
faire avancer et être plus convaincante,
moins pleurnicharde .
On a un exemple édifiant de la qualité
putride de notre télévision publique, payée
par le contribuable, qui ressemble avec
mimétisme à la PRAVDA, la vérité soviétique
chère : " au petit père du Peuple" Joseph
STALINE
D'après
les chronométrages du Juge Maurice SIMON et du SRPJ,
qui sont à quelques secondes près, identiques, on
peut facilement aider Murielle BOLLE, à préciser le
temps minimum pendant lequel Bernard LAROCHE s'est
absenté à Docelles , s'il avait été l'auteur du
crime
"
-- Le non-lieu fait indiquer à Murielle BOLLE : Au terme
d'un laps de temps dont elle ne put préciser la durée,
Bernard LAROCHE était revenu seul et ils étaient rentrés
chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en passant par BRUYÈRES.
1./ : Le
temps X min pour aller de la petite place non connue de
Docelles, quand Murielle BOLLE voit Bernard LAROCHE qui
accompagne Grégory,
partir et disparaître à sa vue. "A DOCELLES, localité
qu'elle ne connaissait pas jusqu'alors, son beau-frère avait
garé sa voiture sur une
place, avait ouvert la porte arrière et avait appelé
l'enfant par son prénom
de Grégory. Elle les avait vu partir et ne savait pas où ils
étaient allés. Elle avait
pensé qu'il emmenait Grégory chez un ami de sa
famille."(SIC)
2./ : Le temps estimé pour neutraliser l'enfant , le ligoter
et le jeter à l'eau a été de cinq minutes. Pour tenir compte
des difficultés qu'aurait rencontrées l'auteur des faits,
pour se dissimuler à la vue des occupants des nombreuses
maisons entourant les lieux où, dans cette hypothèse,
l'enfant aurait été jeté dans le Vologne.(SIC Juge SIMON SI /
578 : 25/07/1988.
3/ : -- Le temps estimé nécessaire pour donner trois appels
anonymes pour annoncer le crime :
3.1. / : Un appel à Christine BLAISE VILLEMIN pour savoir
que : "sa mère est en train de le (Grégory) chercher, mais
elle ne le trouvera pas "... (D'après les VILLEMIN : "Appel anonyme pou Michel VILLEMIN chrono : 2 minutes."(SIC)
3.2./ : Un appel aux grands-parents de Grégory Monique et
Albert VILLEMIN qui sont absents. (2 minutes)
3.3/ : Un appel à Michel VILLEMIIN qui prévient ses parents : "Appel anonyme pou
Michel VILLEMIN chrono :
2 minutes."(SIC)
4./ : Le temps estimé pour aller à pieds du local des
pompiers à la cabine téléphonique la plus proche, qui se
trouve près de La Poste, rue de la Libération à Docelles, soit 250 m, évalué à 3
minutes minimum ce qui donne
une vitesse de 5, 0 km /
heure
Nous avons au total : 14 minutes + X le temps pour Bernard
LAROCHE et Grégory pour aller de la Place non connue de
Docelles, jusqu'au bord du Barba.(1 min mini) : On peut estimer que Bernard
LAROCHE est resté stationné au minimum 15 minutes à DOCELLES.
Nous pouvons constater qu'aucun témoin n'a vu une voiture
avec à l'intérieur : "une adolescente dont la chevelure
rousse attirait tous les regards"(SIC), et un garçonnet de
quatre ans, stationnée, pendant 15 minutes mini, sur une
quelconque place de DOCELLES.
Si l'on en croit le témoignage
prêté à Murielle BOLLE : il en résulterait
que le
véhicule dans le quel elle se
trouvait serait resté
stationné au minimum 15 minutes, et Murielle BOLLE : "ne put
décrire la place de Docelles où leur voiture s'était garée
et prétendit n'avoir pas vu de rivière à proximité."(SIC) :
pourtant elle avait eu tout le temps de visionner et
de mémoriser parfaitement
cette place, en tout cas plus que les "Hauts de Lépanges " dont-on nous dit
qu'elle les avait reconnus
"Le lundi 5 novembre 1984 [...] Murielle
BOLLE ne put décrire la place de DOCELLES où leur
voiture s’était garée et
prétendit n'avoir pas vu de rivière à proximité"(SIC)
RÉPONSE : c'est
très étrange à DOCELLES, il y en a, à peu
près partout , surtout où la Cour de DIJON aurait localisé on ne sait comment le point
d'immersion de Grégory VILLEMIN près du local du
local des pompiers et de la
place de l'EPINE. Il suffit de regarder le
plan de cette sur Google EARTH qui nous la fait visiter soit en automobile, soit vue du ciel comme avec un
hélicoptère
?
La Cour dite "d'Accusation" de DIJON, écrit
que le 2 novembre 1984, d'après le témoignage, qui est prêté Murielle
BOLLE , à Docelles :
"Au terme d'un laps de temps dont elle ne put préciser la
durée, Bernard LAROCHE était revenu seul et ils étaient
rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en passant par
BRUYÈRES. Il était alors environ dix-sept heures trente.
CONSTATATIONS :
D'après les chronométrages même dans le cas où Bernard
LAROCHE, s'il serait
l'auteur du crime, avait réussi à poster la lettre
revendiquant (nous avons vu que c'était IMPOSSIBLE) serait
arrivé à 17 h 23 min Les VILLEMIN considéraient que de La
Poste il fallait 8 minutes pour arriver au Local des
pompiers de Docelles, si l'on ajoute le temps nécessaire de
15 min pour ligoter, noyer, aller à la cabine puis,
téléphoner Bernard LAROCHE serait encore à DOCELLES à 17 h 38
minutes.... On fait dire à Murielle BOLLE se trouvait chez
Louisette Jacob à AUMONTZEY ... : à 17 h 30 min. ?
CONCLUSION : Il y a là, une absurdité, dont une inculpation
ne peut s'accommoder"(SIC Me Chastant -Morand )...
Google nous indique que le temps pour se rendre de DOCELLES à AUMONTZEY, en automobile est de 19
minutes pour 16,8 km, en passant par BRUYERES, par la D.44 et D.423 : itinéraire le plus
rapide, conditions normales de circulation... Bernard
LAROCHE ne pouvait pas être à DOCELLES
et chez Louisette JACOB à AUMONTZEY à 17 h 30 min... parce qu'il n'a pas
jusqu'à preuve du contraire, ( en tout cas la Cour de DIJON
ne le dit pas ) des dons d'ubiquité, il ne pouvait y arriver
d'après les indications de Google qu' à 17 h 57 min ...( 17
h 23 min +15 min + 19 min =17 h 57 min)
: ce qui prouve entre autres que dans ce cas le scénario,
qui a été monté contre Bernard
LAROCHE, ne
tient pas puisqu'il n'aurait pas pu être vu à la caisse N° 2
du Magasin CHAMPION avant sa fermeture.
RAPPEL DE LA DÉPOSITION DE LA CAISSIÈRE-CHEFFE DU MAGASIN
CHAMPION DE LAVAL-SUR-VOLOGNE :/ CITATION C= cheffe caissière, G ou P = auditeur Gendarme ou Officier de police judiciaire.
C : -- Je suis
caissière-chef au magasin Champion.
C : -- D'après les vérifications que nous avons faites,
effectivement un client nommé LAROCHE a bien acheté le mardi
16 octobre 1984 un lot de 150 bouteilles de vin de Bordeaux,
pour la somme de 1265 F payés avec un chèque de la Société
Générale.
C : -- L'examen de la bande de contrôle prouve que ce
monsieur n'a effectué que cet achat, à la caisse n°2.
C : -- Il ne restait qu'une quinzaine de clients derrière
lui.
C : -- Compte tenu de l' affluence moyenne du mardi, on peut
situer cet achat entre 17h 30 min et 18 h15 min, heure de
clôture de la caisse.
G ou P : -- Question de
l'auditeur : pensez vous que la caissière qui tenait cette
caisse pourrait reconnaître le client et situer plus
exactement l'heure de l'achat?
C : -- Comment voulez vous que je vous réponde ?
COMMENTAIRE :
En effet : " Comment voulez vous que je vous réponde ? " ...
Mais autre question elle
justifiée : "pourquoi ne pas avoir
auditionné l'hôtesse de la caisse N° 2" ?
Cette déposition qui prouve que Bernard LAROCHE, était au
magasin CHAMPION à LAVAL-SUR-VOLOGNE bien avant 18 h 15
min, aurait pu le disculper du crime qu'on lui reprochait,
nous allons tous dans les supermarchés et il nous est facile
d'évaluer les temps minimum de passage aux caisses.
Il est tout de même affligeant : que des enquêteurs, dignes
de ce nom, qu'ils soient de la gendarmerie ou de la police,
n'aient pas fait une reconstitution simple, qui aurait donné
l'horaire précis où Bernard LAROCHE est sorti de la caisse
N° 2 du magasin. CHAMPION
Les
enquêteurs auraient
dû et pu retrouver le
double de tous les tickets des
client passés à la caisse N° 2,
après Bernard LAROCHE et ensuite définir l'heure précise,
à laquelle il est sorti
de la caisse N°2
...On savait qu'
"une quinzaine de clients " (SIC)) étaient passés
après LAROCHE à la
caisse N° 2, avant sa
fermeture à 18 heures 15 minutes.
Il n'était pas non-plus très difficile de faire une
reconstitution et d'en faire le chronométrage du temps mis par Bernard
LAROCHE, entre la sortie de la caisse N° 2 et la fin du
chargement des 125 bouteilles de vin dans son véhicule avec
au pied "le boulet"... qu'il s'était attaché, son jeune fils Sébastien.
On aurait connu de manière
précise l'heure à laquelle Bernard
LAROCHE serait reparti du
magasin CHAMPION.
CONSTATATION :
On doit considérer que les enquêteurs et les
Magistrats, quels qu'ils soient ont commis une faute
grave en omettant de ne pas faire cette
reconstitution, quand on sait à quelle heure précise
cette caisse N° 2 a été fermée, quand on sait
combien de clients sont passés à cette caisse après
Bernard LAROCHE, on sait ce qu'ils avaient acheté
puisque le magasin possédait les doubles des
tickets de caisse ?
Les enquêteurs ont fauté nous allons tenter de
remédier, d'obvier leurs incompétences et leurs
carences
Si
l'on en croit le juge Maurice SIMON et son chrono
sur Bernard Laroche : il repartirait de chez
CHAMPION, le 16 octobre 1984 : à 18 h 18 min
Problème pour le Juge SIMON l'heure de fermeture de
la caisse N° 2 est de 18 h 15 min, il y a déjà un
clou dans la soupe du juge-magicien... soit 3
minutes après la fermeture de la caisse N° 2
On nous dit qu'il était à la caisse N° 2 Alors
qu'il y avait derrière lui " une quinzaine de
clients"
Les tickets ne sont certes pas horodatés, mais il
n'empêche que les enquêteurs auraient dû vérifier
avec précision et c'était facile de le faire,
chercher le nombre exact
des clients qui sont passés à la caisse N° 2, d'
après les tickets dont la magasin CHAMPION possède
les doubles .
Avec ces copies des tickets de caisse le magasin
CHAMPION sait se qu'ont acheté tous les client
passés à la caisse N° 2, et les enquêteurs pouvaient
reconstituer et faire les chronométrages des
passages en caisse.
Nous pouvons avoir nous -mêmes, nous faire une idée
en faisant la queue à une caisse à la supérette du
coin de chez nous... Oh ! pardon ! que dis-je ? : la
queue ? non la sémantique exige que vous disiez
comme à La Poste : " la file d'attente ! N'oubliez
pas son slogan donné à ses employés : ' BRASMA".
Vous ne connaissez pas ? Soyons sympa voici son
décodage : Bonjour", "Regard", "Accueil", "Sourire",
"Merci", "Au revoir "! Vous connaitrez ainsi vos
chers (onéreux ) fonctionnaires.
Car il semble bien que pour l'attente chez CHAMPION;
le vicieux-magicien, SIMON ait encore triché ?
En évaluant
En effet ... compte tenu du nombre des clients qui
sont passés après lui à la caisse ce n'est pas entre
17 h 03 et 17 h 18 min que Laroche serait allé dans
ce supermarché, mais bien en avant
Et hélas pour Jean-Marie VILLEMIN, car si Laroche a
bien vu, ce qui est prouvé mais pas l'horaire ? ...
les VILLEMIN MONIQUE; ALBERT, MICHEL à bord de la
TOYOTA à Lavelines -devant -Bruyères ... à 17 h 31
min : comme le dit SIMON ... ils seraient arrivés
après Jean-Marie VILLEMIN chez lui à Lépanges sur
Vologne et ce serait encore une : IMPOSSIBILITÉ
C'est d'autant plus bizarre qu'à cet horaire :
LAROCHE aurait dû croiser Jean-Marie VILLEMIN, qui
était sur le chemin du retour de
Granges-sur-Vologne... qui serait passé à Aumontzey
deux fois... sans voir ses parents ? POURQUOI ? et
qui au même moment, rentrait chez lui après une
partie de chasse infructueuse au Jacquel ?
Jean-Marie est arrivé rue des Champs à 17 h 40
Minutes... et les gendarmes étaient là... et
Christine ? on ne sait pas ce qu'elle a foutu entre
17 h 32 min 41s quand elle a téléphoné à Michel
VILLEMIN et 17 h 50 min quand elle a appelé PANDORA
? Mystère ? le repassage du blanc ? de la couleur ?
des habits de deuil ?
Ce qui veut dire que pendant le temps qu'a mis
Bernard Laroche en empruntant en sens inverse la
même route que Jean-Marie VILLEMIN, entre Bruyères
et Aumontzey s'il ne l'a pas croisé J-M V ... c'est
qu'il y est passé avant ... ou après... mais s'il y
était passé avant ... la caisse N° 2 aurait été
fermée ... d’où encore : IMPOSSIBLE...
Conclusion le temps pour aller de Bruyères à
Aumontzey étant de 5 minutes... il est probable que
Laroche était chez Champion entre 17 h 53 min et 17
h 08 min c'est à dire tel qu'il l'a déclaré, ce qui
veut dire qu'il n'aurait pas eu le temps matériel de
venir de Docelles à Aumontzey puis repartir à
Laval-sous-Bruyères aller toucher son tiercé à
Bruyères parce que sa vitesse moyenne aurait été
largement supérieure à celle qu'a circulé Jean-Marie
VILLEMIN de l'ordre de 52 km / heure
Tous ces enquêteurs et Magistrats qui ont commis des
fautes graves auraient dû être sanctionnés tel que
dans toute salariés du secteur privé... que
constate-t-on : ils ont TOUS été promus sauf UN le
Juge LAMBERT , le maillon faible, le bouc émissaire
chargé de tous les péchés du Monde, alors que l'on
ne nous parle JAMAIS du Procureur, qui a fauté plus
que tous les autres , car lui et son Parquet avaient
le pouvoir et toutes les lois pour empêcher les
entraves à l'exercice de la Justice de tout ordre,
mettre au pli les journalistes, complices
d'incitation à la violence et aux crimes.
Ce Procureur aurait dû donner des
ordres pour protéger un "inculpée"
qu'il savait menacé de mort. Qu' a
-t-il fait ? RÉPONSE : RIEN..
a-t-il été rémunéré ? RÉPONSE : OUI
!
Il est profondément scandaleux qu'un individu ait
été inculpé et incarcéré à cause du témoignage d'une
enfant peu futée, voire débile, et d'une pseudo
experte gâteuse BERRICHON
-SEDEYN, se disant graphologue,
possédant les mêmes tares et qui faisait dans le
divination paranormale tourner des tables.
Une vidéo édifiante vous permet de voir dans leurs
basses œuvres quelques : "Rats de la VOLOGNE" qui
faisaient du chantage contre le juge LAMBERT, dont
une pseudo journaliste, qui s'est particulièrement
distinguée dans le déballage d'âneries de tout ordre
et qui démontre : "un journaliste a le droit de
penser ce qu'il veut et a le droit de le dire"...
faut-il rappeler que les mêmes critiquaient la
PRAVDA ?
https://www.youtube.com/watch?v=ZOMtJzREaKs&index=27&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWX
Puisque les enquêteurs fatigués
usés par leur travail
de fonctionnaires
se sont démontrés je-m-en-foutistes et incompétents, nous allons
obvier à leur carence, à leur insuffisance, sans
faire des calculs de probabilité dignes de Math Sup... en
comptant 1 minute par client aux passages aux caisses, 5
minutes pour aller de la caisse N°2 et finir de charger son
véhicule, on totalise
: 20 min... qu'il faut
ôter de : 18 h 15 min ( horaire de fermeture de la caisse).
Bernard LAROCHE serait reparti du magasin CHAMPION au plus
tard à 17 h 55 min , ce qui correspond à 5 minutes près, au
témoignage : "vers dix huit heures" (SIC) , de Bernard
LAROCHE entendu par les gendarmes le 25 octobre 1984.
On aurait pu constater que Bernard LAROCHE n'avait
pas menti lors de son
audition.
D'ailleurs lorsqu'on examine avec soin et en toute équité
l'emploi
du temps que Bernard LAROCHE a donné aux
enquêteurs, on ne remarque ni
impossibilité matérielle ni
aucun
mensonge,
telle que ceux détectés
sur les différentes
moutures (3) de l'
emploi temps
fourni à la Justice
par Christine
BLAISE VILLEMIN, entre
17 h 02 min à 17 h 32
min 41s.
On doit faire le
constat avéré
que depuis 33 ans
Madame
Christine
BLAISE
VILLEMIN
ne trouve
pas le moyen de meubler les
30 minutes
les
plus
importantes
de
sa vie le 16
octobre 1984.
Se
prétendre
innocente
dans ces
conditions,
ne peut pas être
considéré croyable,
car le
mensonge est
systématiquement
accusateur, parce
qu' a
contrario : un
innocent n'a
aucun
motif de
ne pas
rendre compte
de la vérité,
et encore
moins de
mentir La Cour d'Accusation
de NANCY
indiquait : /
CITATION
La Cour
d'Accusation
de NANCY
soutenait
"-- que les
dépositions
des témoins
qui avaient
dit avoir vu
Murielle BOLLE
monter dans la
voiture de
LAROCHE le 16
octobre 1984
ou qui avaient
constaté son
absence dans
l'autobus de
ramassage
scolaire,
n'étaient pas
crédibles
parce qu'à
l'exception
d'un seul ils
avaient fourni
des points de
repère
inexacts ou
commis des
erreurs"
CONSTATATION :
C'est le moins
que l'on
puisse dire
jugez plutôt :
--La Cour
dite
"d'accusation
de DIJON nous
raconte, que
le 2 novembre
1984, d'après
le témoignage
qui lui est
prêté,
Murielle BOLLE
commença par
maintenir sa
version des
faits,
concernant
notamment le
chauffeur du
car scolaire,
qui selon elle
avait un petit
bouc et des
moustaches
[...] mais
était en
fait, un
chauffeur
occasionnel :
Jean-Marie
GALMICHE, qui
ne portait pas
de moustaches
et avait des
lunettes...
Confondue par
ce mensonge
Murielle admit
qu'elle
n'avait pas
dit la
Vérité...
[...] etc.
(SIC)
CONSTATATIONS
/ QUESTIONS :
Comment
Monsieur
GALMICHE que
la Cour de
DIJON nous
qualifie :" de
chauffeur
occasionnel "
aurait-il pu
dire alors
qu'il était
auditionné le
26 janvier
1988, soit
plus de trois
ans après le
16 octobre
1984, ...(
avec le manque
de fiabilité
des
témoignages
humains que
dénonce Me
Chastant-Morand)
:
-- que ce jour
là, "Murielle
BOLLE, dont la
chevelure
rousse
attirait tous
les regards
n'était pas
dans le car"
(SIC) ?
La Cour de
DIJON se prend
les pieds dans
le tapis et
s'étale
lamentablement,
car si
Monsieur
GALMICHE
n'était que
"chauffeur
occasionnel",
cela veut dire
simplement qu'
en aucun cas
il ne pouvait
affirmer "avec
certitude"
(SIC) que "ce
jour là,
Murielle BOLLE
n'était pas
dans le car
"(SIC)
Monsieur de la
Palice vous
dirait :
"parce que les
autres jours
il ne le
conduisait
pas...
Quand la Cour
de DIJON en
rajoute à
AUGIAS :
c'est du
délire : "
Comme il (
Jean-Marie
GALMICHE ),
avait dit
également
qu'elle y
était le 23
octobre, alors
que ce jour là
elle avait été
absente de sa
classe, ce qui
avait fait
douter de la
solidité de
son
témoignage, il
a ajouté : "je
suis
absolument sûr
de ce que je
dis. La petite
BOLLE pouvait
très bien être
au collège le
16 et être
rentrée chez
elle par je ne
sais quel
moyen et
n'être pas
allée en
classe le 23,
mais être
rentrée quand
même à
AUMONTZEY par
le car que je
conduisais. "
Véronique
DIDIERLAURENT,
également
entendue le 25
janvier 1988,
a confirmé
"qu'elle avait
la conviction
que Murielle
BOLLE n'était
pas dans le
car le 16
octobre
1984"(SIC).
" La petite
BOLLE pouvait
très bien
[...] n'être
pas allée en
classe le 23
octobre 1984,
affirme sans
sourciller
Jean-Marie
GALMICHE, mais
pouvait être
rentrée quand
même à
AUMONTZEY par
le car que je
conduisais.
"(SIC) nous
dit sans
ciller
Jean-Marie
GALMICHE !
Ça allait " le
bocal à
cornichons" à
BRUYÈRES ?
d'après la
version de
J-M GALMICHE
: Murielle
BOLLE sèche
ses cours le
23/10/1984, ce
qui est une
faute méritant
sanctions en
milieu
scolaire, et
néanmoins en
défilant
devant les
autres élèves,
voire les
professeurs,
comme si rien
n'était, elle
arrive à 17 h
00 min sur le
parc du CES...
pour prendre
le car
scolaire que
conduisait
Jean-Marie
GALMICHE :
Est-ce
raisonnablement
crédible ?
Réponse :
certainement
pas, alors
qui a commis
des erreurs ?
La Cour de
DIJON nous
conte que le 2
novembre 1984,
d'après le
témoignage qui
lui est prêté,
Murielle BOLLE
Indiqua
qu'elle était
assise à
droite de son
beau-frère
Bernard
LAROCHE qui
conduisait sa
Peugeot 305...
( "assise à
droite "? :
heureusement,
mais
fallait-il le
rajouter sur
le non-lieu ?
sinon à
gauche...elle
aurait été sur
les genoux du
conducteur,
c'eût été
insolite, elle
aurait pu se
faire
remarquer !)
Que faut-il penser du
témoignage de
Murielle BOLLE
? subornée par
les gendarmes,
ou non ?
(SUITE)
La Cour de
DIJON écrit :
" Ces
témoignages
auraient
pourtant
mérité d'être
pris en
considération
dans la
première phase
de
l'information,
car ils
présentent une
convergence
totale sur un
point
essentiel:
Murielle BOLLE
n'était pas
dans le car de
ramassage
scolaire quand
il a quitté
BRUYÈRES le 16
octobre 1984
vers dix-sept
heures. Ce
fait a été
affirmé à de
multiples
reprises par
ces témoins.
Sonia PIERSON
avait précisé
que Murielle,
au lieu de
prendre le
car, s'était
dirigée vers
une automobile
vert kaki
garée à côté
du parc de
stationnement
des
professeurs,
au volant de
laquelle se
trouvait un
homme,
véhicule
qu'elle avait
vu dans les
instants
suivants, se
diriger vers
LAVAL-sur-VOLOGNE,
c'est-à-dire
vers LEPANGES.
Claude RICHARD
avait fait une
déclaration
semblable en
donnant des
précisions
particulières
: "J'ai vu
Murielle
monter à
l'avant d'une
305 dont je ne
me rappelle
plus la
couleur...
j'ai vu la
voiture
démarrer et
prendre à
gauche au bout
du parking. En
arrivant en
haut de
l'escalier,
j'ai revu la
voiture avec
Murielle
dedans passer
sur la route
en direction
de LEPANGES...
je n'ai pas vu
le
conducteur..."
.."c'est la
première fois
que je voyais
Murielle
partir en
voiture".
Quatre de ces
témoignages
ont été à
nouveau
recueillis
avec un soin
extrême au
cours du
supplément
d'information.
Le chauffeur
Jean-Marie
GALMICHE, qui
n'avait jamais
été entendu
par la police
judiciaire de
NANCY, a
longuement
déposé le 26
janvier 1988
devant
Monsieur le
Président
SIMON: Il a
soutenu à
nouveau que
Murielle
BOLLE, dont la
chevelure
rousse
attirait les
regards,
n'était pas
dans le car le
16 octobre
1984. C'est
pour lui "une
certitude" .
Comme il avait
dit également
qu'elle y
était le 23
octobre, alors
que ce jour là
elle avait été
absente de sa
classe, ce qui
avait fait
douter de la
solidité de
son
témoignage, il
a ajouté : "je
suis
absolument sûr
de ce que je
dis. La petite
BOLLE pouvait
très bien être
au collège le
16 et être
rentrée chez
elle par je ne
sais quel
moyen et
n'être pas
allée en
classe le 23
mais être
rentrée quand
même à
AUMONTZEY par
le car que je
conduisais. "
Véronique
DIDIERLAURENT,
également
entendue le 25
janvier 1988,
a confirmé
"qu'elle avait
la conviction
que Murielle
BOLLE n'était
pas dans le
car le 16
octobre 1984".
Parmi d'autres
précisions,
elle a ajouté
..."j'ai eu le
sentiment
lorsque j'ai
été entendue
par les
gendarmes
qu'ils
auraient
plutôt
souhaité que
je leur dise
que Murielle
était dans le
car le 16
octobre... je
ne reviens pas
sur ce que
j'ai dit."
Claude RICHARD
a affirmé
qu'elle était
absolument
certaine que
le 16 octobre
1984, Murielle
BOLLE n'était
pas montée
dans l'autobus
à la sortie
des cours,
vers cinq -
heures du
soir, et
qu'elle
s'était
dirigée vers
une voiture
arrêtée à
droite par
rapport à la
sortie du
collège. Les
gendarmes
n'ayant pas
mentionné sur
leur
procès-verbal,
en novembre
1984, quelle
voiture elle
avait
reconnue, la
planche
photographique
D 448 lui a
été présentée
par l'ancien
président de
la chambre
d'accusation.
Claude
RICHARD, après
un examen très
attentif, a
désigné le
véhicule n°5,
c'est-à-dire
la Peugeot 305
de Bernard
LAROCHE ; le
témoin a
confirmé que
c'était la
première fois
qu'elle voyait
cette voiture
qui était
passée ensuite
avenue de
Lattre de
Tassigny.
Murielle était
assise à
l'avant droit
et le véhicule
se dirigeait
vers LAVAL-
sur- VOLOGNE,
étant précisé
que depuis
LAVAL, et en
continuant
tout droit, on
va à LEPANGES,
DEYCIMONT et
DOCELLES, mais
qu'en tournant
à gauche dans
LAVAL, on peut
rejoindre
LAVELlNE ou
AUMONTZEY.
Sonia PIERSON,
qui n'avait
jamais été
entendue par
la police
judiciaire,
mais seulement
par les
gendarmes et
par le juge
d'instruction
LAMBERT, et
qui habite
avenue de
Lattre de
Tassigny à
BRUYÈRES, a
confirmé que
le 16 octobre
1984, vers
seize heures
cinquante
cinq, elle
avait dit au
revoir à
Murielle qui,
au lieu
d'aller vers
l'autobus de
ramassage,
s'était
dirigée à
droite vers
une automobile
garée sur
l'aire de
stationnement
des
professeurs.
Cette voiture
était de
couleur vert
"neutre" et en
tout cas pas
d'une teinte
de vert
éclatant. Le
témoin a
précisé
qu'après avoir
monté des
escaliers
situés entre
des HLM et
menant à
l'avenue
Maréchal de
Lattre, elle
et sa camarade
Claude RICHARD
avaient vu une
voiture passer
devant elles
en direction
de LAVAL et
LEPANGES. Elle
avait
parfaitement
reconnu
Murielle BOLLE
dans cette
automobile,
mais elle n'a
pu donner le
signalement du
conducteur.
Sa camarade et
elle-même
s'étaient dit
: "tiens,
Murielle vient
de passer". Au
cours de cette
audition Sonia
PIERSON a
expliqué
pourquoi elle
avait une
certitude sur
la date du 16
octobre:
..."c'est le
lendemain que
j'ai appris
l'assassinat
du petit
Grégory..."
En ce qui
concerne le
fait que
précédemment
elle avait
donné comme
autre repère,
une opération
chirurgicale
subie par son
père, elle a
déclaré: "je
dis très
sincèrement
que sur
l'entrée de
mon père à
l'hôpital, je
me suis
trompée... ;
j'étais très
émue et
impressionnée.
En réalité mon
père devait
entrer ce
jour-là à
l'hôpital pour
se faire
opérer d'un
œil, mais il y
est entré un
peu plus tard.
.." .Monsieur
PIERSON a été
hospitalisé le
12 septembre
1984 pour une
blessure et il
est retourné à
l'hôpital les
12 et 24
octobre 1984.
La planche
photographique
cotée D 448 a
été présentée
au témoin par
Monsieur le
Président
SIMON qui lui
a demandé si
elle
reconnaissait
la voiture
dans laquelle
elle avait vu
passer
Murielle
BOLLE. Sonia
PIERSON a
montré
immédiatement
la
photographie
n°5 en disant:
"c'est
celle-là" : il
s'agissait de
la Peugeot 3 O
5 de LAROCHE.
Au cours d'un
transport sur
les lieux, le
magistrat
instructeur
s'est attaché
à vérifier la
crédibilité
des
témoignages de
Claude RICHARD
et de Sonia
PIERSON. A
BRUYÈRES, il a
chronométré le
temps qu'il
fallait depuis
la sortie du
CES pour
gagner à pied
l'avenue
Maréchal de
Lattre de
Tassigny en
traversant le
parc de
stationnement
du CES et en
gravissant les
escaliers
ainsi que la
pente qui
conduit au
bord de
l'avenue
Maréchal de
Lattre: ce
temps est de
deux minutes
cinquante
quatre
secondes; il a
parcouru, en
automobile, le
trajet
qu'auraient pu
parcourir
LAROCHE et
Murielle BOLLE
depuis ce même
parc jusqu'à
l'avenue
Maréchal de
Lattre en
direction de
LEPANGES et il
a chronométré
ce parcours:
le temps est
de quatre
minutes
cinquante six
secondes.
Il ressort de
ces
vérifications
que les deux
jeunes filles
ont pu voir le
véhicule de
LAROCHE sur
l'aire de
stationnement
et le voir, à
nouveau,
avenue de
Lattre de
Tassigny.
Entendue au
sujet de ses
contradictions,
des
invraisemblances
de sa
rétractation
et des
témoignages
qui la
démentaient,
Murielle BOLLE
s'est obstinée
à nier sa
présence dans
la voiture de
LAROCHE lors
de
l'enlèvement
de Grégory
VILLEMIN et à
rester muette
quand une
question trop
embarrassante
lui était
posée par les
magistrats
chargés du
supplément
d'information.
Cette attitude
s'explique,
semble-t-il,
par les
pressions de
ses proches
qui, à partir
de
l'inculpation
de son
beau-frère,
lui ont
toujours
imposé le
silence. Il en
fut ainsi
notamment lors
de l'enquête
provoquée par
la lettre
adressée au
juge
d'instruction
d'EPINAL par
une certaine
"Corinne" se
disant l'amie
de Murielle et
relatant des
confidences de
celle-ci ayant
trait à
l'affaire,
dont il sera
question
ci-après.
Quand elle
vint à DIJON
le 8 février
1991 pour être
entendue par
le président
de cette
chambre; elle
était escortée
par l'un de
ses
beaux-frères
et par deux de
ses frères,
individus
réputés
violents et
craints de
leur
entourage.
"(FIN DE
CITATION)
CONSTATATIONS
:
Sonia PIERSON,
une des
camarade du
CES, témoigne
que Murielle
BOLLE n'était
pas dans le
car scolaire,
mais s'était
dirigée à
droite vers
une automobile
garée sur
l'aire de
stationnement
des
professeurs...
Cette voiture
était de
couleur vert
"neutre" (un
nuance
différente,
car elle dit
vert kaki ?. )
et en tout cas
pas d'une
teinte de vert
éclatant (SIC)
après avoir vu
Murielle BOLLE
monter dans
cette voiture,
elle l'avait
vue de nouveau
avec sa
collègue
Claude
Richard, rue
de
Lattre-de-Tassigny
à Bruyères ...
(à 200 m du
parc) en
direction de
Lépanges-sur-Vologne
(SIC) ... Vous
noterez que
dans son
itinéraire
aberrant
Murielle BOLLE
dit que
Bernard
LAROCHE serait
passe par
CHAMP-LE-DUC,
? qui n'est
pas dans la
même direction
?
Le non-lieu
nous indique
que Sonia
PIERSON avait
parfaitement
reconnue
Murielle BOLLE
... mais elle
n'a pas pu
donner le
signalement du
conducteur
(SIC)... ?
N'est-ce pas
étrange une
élève qui voit
sa copine
prendre place
dans un
véhicule
qu'elle
n'avait jamais
vu auparavant,
parce que ce
serait unique
, n'est pas
intriguée et
ne fait pas
attention à
qui est le
conducteur ?
Question :
Est-ce
crédible ?
Réponse :
certainement
pas.
Le complément
d'information
constate que
Sonia PIERSON
s'était
trompée en se
souvenant du
jour du 16
octobre 1984,
où elle avait
vu Murielle
BOLLE monter
dans un
véhicule parce
qu 'il
correspondait
à celui selon
elle identique
: à l'entrée à
l'hôpital de
son père...
qui en réalité
vérification
faite, avait
été opéré le
12 octobre
1984... soit 4
jours avant...
On remarquera
que
bizarrement la
Cour de DIJON
conteste que
"les six
filles de La
Poste" aient
vu Christine
BLAISE
VILLEMIN,
poster une
lettre à
Lépanges le 16
octobre
1984... en
prétextant
qu'elle se
seraient
trompées d' un
jour et que
c'étaient le
15/10/1984 et
non le 16 ? ..
mais valide
sans ciller le
témoignage de
Sonia PIERSON,
qui elle et
c'est une
réalité, s'est
bien trompée
de 4 jours !
Toutefois on
ne comprend
pas tout, le
non -lieu nous
dit :"
Monsieur
PIERSON a été
hospitalisé le
12 septembre
[...] et y est
retourné les
12 et 24
octobre
1984"... alors
en fin de
compte, on ne
sait pas
quelle date a
confondue
Sonia PIERSON
: le 12
septembre, le
12 octobre ou
le 24 octobre
1984 ? à vous
de choisir...
En tout cas :
ceci prouve
qu'il y a eu
un traitement
à deux
vitesses des
témoignages
par la Cour de
DIJON, ceux
qu'elle a
retenue avec
des
incertitudes
réelles, et
ceux qu'elle a
rejeté alors
qu'ils étaient
de source
sûre, ce qui a
participé
entre autres à
son déni de
Justice par
manque
d'équité.
Pour démontrer
que Sonia
PIERSON était
un témoin
digne de foi,
le toujours
vicelard ...
(pas que dans
son lit de
"'couguar" ?
)... Juge
SIMON, lui a
demandé de
reconnaître la
voiture dans
laquelle elle
avait vue
passer
Murielle
BOLLE, en lui
présentant une
planche
photographique...
comme si elle
avait eu
besoin de cela
?
La Cour de
DIJON nous dit
que Sonia
PIERSON a
montré
immédiatement
la
photographie
N°5 en disant
"c'est
celle-là ! "
... il
s'agissait de
la Peugeot 305
de LAROCHE
"(SIC)
Réponse : Ne
nous prenez
pas pour :"
des jambons"
Messieurs les
magistrats ! :
"ben voyons !"
Seulement : on
constate qu'
ils oublient,
de nous dire
ce que le
fourbe et
manipulateur
Juge SIMON
savait
parfaitement,
c'est que
depuis plus de
trois ans
après les
faits, Sonia
PIERSON avait
eu largement
le temps de
voir dans les
tonnes de PPAC
des journaux
qui furent
vendus : la
photographie
de la voiture
de Bernard
LAROCHE... et
connaître bien
d'autres faits
plus ou moins
véridiques.
Cette réponse
n'est pas
pertinente du
tout, même
spécieuse, car
elle prouve de
manière
démonstrative
: les
manipulations
que les
Magistrats de
la Cour de
DIJON se sont
permis dans le
traitement de
l'affaire de
Grégory
VILLEMIN.
La réponse
donnée par la
Cour de DIJON
selon laquelle
les deux
jeunes filles
ont pu voir le
véhicule de
LAROCHE sur
l'aire de
stationnement
et le voir de
nouveau,
avenue de
Lattre de
Tassigny : 4
minutes 56
secondes, plus
tard sort du
même
tonneau...
Si LAROCHE
avait été le
kidnappeur de
Grégory en
voulant poster
une lettre à
Lépanges avant
17 h 15 min,
il serait allé
nettement plus
vite pour
accomplir les
200 premiers
mètres de son
parcours
funeste....
parce que cela
donne une
vitesse
calculée de
2,43 km par
heure, c'est à
dire en auto,
le même temps
que mettrait
un
cul-de-jatte
sur la même
distance.
Lorsque le
Président juge
Maurice SIMON
après
plusieurs
années
d'investigation
s'est aperçu
que Bernard
LAROCHE, ne
pouvait pas
accomplir
toutes les
opérations que
reproche la
Justice pour
la commission
du crime à 17
h 32 min 41s
horaire,
horaire où il
a été
revendiqué
chez Michel
VILLEMIN...:
Notre cher
(onéreux) Juge
SIMON a fait
ce que font
tous les
avocats dont
les clients ne
possèdent pas
d'alibi à
l'heure
présumée d'un
crime : c'est
aussi
classique que
rituel, vous
pouvez
regarder
toutes les
affaires
criminelles,
non élucidées
sans doute à
cause de cela
? que les
chaînes de
télévision
nous passent
et repassent à
l'envi, ces
roublards
d'avocats
trouvent tous,
sans aucune
exception, un
expert qui
dira que
l'heure de la
mort d'une
victime de
crime
correspond en
fait : pile /
poil et même
trop bien pour
être réelle, à
celle où leur
client possède
un alibi
"béton" ...
mais c'est du
"béton
préfabriqué
"oublient-ils
de dire.
C'est ce que
fit le
Président juge
Maurice SIMON,
il trouva un
expert, ce
n'est pas
difficile
c'est aussi du
classique,
comme ils
exercent un
métier
supplémentaire
occasionnel
pour arrondir
leurs fins de
mois, ils
fournissent
les rapports
qui vont dans
le sens de
celui qui les
requiert et
qui surtout
les rémunère
... Ils ne
sont pas fous
juste un "peu"
vénaux"...
sinon le
client
mécontent
changerait de
crèmerie, vous
comprenez
mieux ?
Il ne faut
jamais oublier
la définition
normalisée de
la QUALITÉ :
La voici :
"La qualité
d'un produit
ou d'un
service est
l'aptitude de
celui-ci, à
satisfaire les
besoins de
l’utilisateur"
(NORME
NF-X50-109)
Vous avez
compris
pourquoi TOUS
les organismes
agréés par
l’État, pour
des contrôles
obligatoires,
vous vendent
des rapports
de
complaisance
si possible
vierges et
toujours peu
contraignants
? ... et vous
reconstitue
même, à
l'original
votre hymen,
si Mesdames,
vous avez fait
"pêcho"; Il
font toujours
ce qu'il faut
pour :
"satisfaire
les besoins de
l'utilisateur"
(SIC)
Alors, Le
Président juge
Maurice SIMON
pour
argumenter et
appuyer cette
hypothèse de
la mort de
Grégory à un
horaire proche
de celui
auquel il a
été trouver :
à 21 h 15 min,
phosphora...
en allant
chercher le
carton
d'insuline
retrouvé
plusieurs
semaines après
le crime par
un employé
municipal de
DOCELLES, près
du monument
aux morts,
dans une haie
bordant le
Barda.
Ce coup-ci le
Juge Maurice
SIMON, nous
prend pour
demeurés, Il
nous bassine
avec un point
d'immersion
qui serait
près du local
des pompiers
de DOCELLES,
parce qu'il
met ainsi à la
poubelle d'un
seul coup
trois charges
qui pesaient
sur Christine
BLAISE
VILLELIMIN, où
l'on a jamais
trouvé aucun
indice,
(contrairement
"au point
privilégié")
...où personne
n'a rien vu,
pas même une
voiture
stationnée au
minimum 15
minutes avec à
l'intérieur
une jeune
fille dont la
chevelure
rousse
attirait tous
les regards,
(SIC) un jeune
enfant de
quatre ans...
A le suivre :
on aurait donc
un criminel
qui près du
local des
pompiers
jetterait le
corps d'un
enfant à
l'eau, qu'il
aurait endormi
on ne sait pas
pourquoi avec
de
l'insuline...
Il pourrait
facilement
jeter en même
temps le
carton avec le
nécessaire à
l'injection
d'insuline
dans le Barba,
où il aurait
disparu pour
toujours, ce
meurtrier
pourtant très
malin qui
avait réussi
malgré trois
années de
voies de faits
malveillants à
berner les
gendarmes...
tout d'un coup
devient
complètement
idiot ... il
perds du temps
pour faire une
centaine de
mètres à
pieds, pour
aller près du
monument aux
morts de
DOCELLES,
jeter à
hauteur
d'homme, pour
qu'il soit
bien visible
dans une haie
: le carton
d'insuline
..Là, pour le
coup, il
risque de se
faire
embarquer par
deux solides
gaillards en
blouse
blanche, vers
le premier nid
de coucous.
QUESTION :
--Ça va les
boyaux de la
tête ou
faut-il
consulter un
psychiatre ?
La Cour de
DIJON nous
développe un
long et
harassant
autant que
complet
développés de
témoignages
recueillies
chez toutes
les chaisières
et cancanières
du département
des Vosges,
sans la
moindre preuve
en soutien.,
pour faire
diversion afin
d'éviter
d'analyser
l'essentiel,
tout ce qui
pourrait
aboutir à la
manifestation
de la VÉRITÉ.
Elle nous
trouve des
témoins
indignes de
confiance :
mythomanes et
mégalomanes
tels que le
chômeur
DERUDER,
présent
partout à
Lépanges-sur-Vologne,
à se demander
s'il ne serait
pas le
meurtrier
recherché ?
... et le
bistrotier
CORNILLIE de
Docelles,
maître en
portrait robot
Photomaton,
qui voit des
amoureux
adultérins ,ou
des gens
troubles
partout.
Nous trouve
infirmière et
témoin pour
dire que
Murielle BOLLE
sait faire des
piqures... ce
que tout le
monde sait
faire.
La Cour de
DIJON nous dit
que Murielle
BOLLE, est
d'une
intelligence
moyenne mais
normale...
Tous les
téléspectateurs
qui l'on vue
rétracter son
premier
témoignage et
ceux qui avait
raté cet
épisode qui
regardent la
vidéo,
aperçoivent
une jeune
fille pas très
futée, qui
répond comme
un enfant de
10 ans, voire
moins.
On nous
affirme qu'
elle n'est pas
sujette à des
affabulations,
d'ailleurs ce
sont ses
parents qui le
disent ?
connaitriez-vous
des géniteurs
qui diraient
que leur
progéniture
est débile ?
... sans
preuve sur
Murielle
BOLLE, en la
revoyant on
peut avoir
quelques
doutes ? On
peut croire
aussi qu'elle
a pu être
facilement
manipulée.
On nous dit
qu'elle aurait
été victime de
violences
physiques et
verbales :
c'est sans
doute vrai...
mais il ne
faut pas
oublier
d'admettre que
ce serait
compréhensible
dans les deux
cas, où son
beau-frère
serait
innocent, ou
coupable, car
on ne balance
pas en
principe un
membre de sa
famille, cela
ne fait pas
partie des us
et coutumes de
notre temps,
s'il est
innocent il y
avait matière
à remonter les
bretelles de
Murielle, nous
n'étions pas
en 1984 comme
aujourd'hui...
à risquer la
taule pour une
fessée...
Il est très
drôle Jean
KER, le
journaleux à
l'allure de
Beauf '' à la
CABU, quand il
évoque cet
épisode. Il
semble
scandalisé
théâtralement,
mais s' il
avait été
ainsi redressé
jadis,
aurait-il
appris à être
plus moral et
moins
incendiaire et
pompier le
complice avec
Christine
BLAISE
VILLEMIN, de
l'assassinat
de Bernard
LAROCHE ?
On nous dit et
c'est un
COMBLE ! : que
les gendarmes
selon elle, "
ont été très
gentils "(SIC)
pour le coup
vous avalez
votre dentier,
car déjà les
adultes qui
sont invités
avec déférence
dans ces lieux
très
hospitaliers,
chics, et de
grande culture
que sont les
gendarmeries,
voire les
commissariats
(pour ne pas
faire de
jaloux) sont
comme l'on dit
: "dans leurs
petits
souliers" et
ont
l'impression
désagréable,
d'être sur un
gril...
Alors on se
doute qu'une
jeune fille,
qui est encore
une enfant
retardée ait
pu être
complétement
terrorisée...
Elle ne serait
pas la seule à
qui ont aurait
extorqué des
aveux, et des
faux-témoignages, les exemples dans les annales des affaires criminelles
ne manquent
pas, ils sont
même hélas
légion.
Une très bonne
mesure a été
adoptée :
celle de
mettre des
caméras vidéos
lors des
auditions,
ainsi le juge
peut savoir si
les règles ont
été
respectées...dans
le cas de
Murielle BOLLE
restons
prudemment
sceptiques.
Il faut tenir
aussi compte
du fait
démontré que
sur le secteur
sévissait dans
les
gendarmeries
de sacrés
voyous, comme
le chef de la
gendarmerie de
CORCIEUX qui
selon Me
Chastant-Morand
avait
conseillé à
Jean-Marie
VILLEMIN de
lancer des
appels anonyme
"d’identification" LOL ! (SIC) elle à la sémantique aussi adaptée que sa
rhétorique
l'avocate des
VILLEMIN
D'autres
gendarmes ont
même
conseillé, ce
qui est un
COMBLE et
surtout un
délit à
Jean-Marie
VILLEMIN
d'abattre
LAROCHE, comme
s'il avait
besoin de ça,
en plus de son
épouse et du
journaleux
fouteur de
merde
universel
-activateur
d’incendie
Jean KER, de
monter le
bourrichon de
ce tueur fou
et borné ?
Nous noterons
que les
gendarmes
incriminés par
les familles
BOLLE et
LAROCHE se
sont défendus
d'avoir exercé
des pressions
sur Murielle
BOLLE ou
d'avoir manqué
de loyauté à
son égard et
rien de tel
n'a été prouvé
à leur
encontre,
(SIC).... mais
néanmoins ils
ont reçu une
plainte au
derrière, qui
si elle les a
restabilisés,
ce n'est pas
pour rien,
d'ailleurs
bien qu'ayant
bénéficié d'un
non-lieu...
ils ont évité
de répliquer
pour
dénonciations
calomnieuses.
La Cour de
DIJON nous
indique :
"Ébranlés par
cette (celle
de Murielle
BOLLE)
rétractation
et
ultérieurement
par les
plaintes avec
constitution
de partie
civile
déposées le 24
Janvier 1985
par Bernard
LAROCHE contre
les gendarmes
enquêteurs
pour faux et
usage de faux
en écritures
publiques,
subornation de
témoin,
menaces de
mort et
diffusion de
fausses
nouvelles
susceptibles
de porter
atteinte à la
paix publique
et le 22
juillet 1985
par les
parents de
Murielle BOLLE
contre les
militaires de
la gendarmerie
ayant entendu
leur fille
pour faux,
usage de faux
et subornation
de témoin et
induits en
erreur par les
investigations
de certains
fonctionnaires
du service
régional de
police
judiciaire de
NANCY qui
tendaient à
discréditer
les
témoignages
recueillis par
leurs
prédécesseurs,
le juge
d'instruction
d'EPINAL et,
après lui, les
magistrats du
ministère
public et ceux
de la Cour
d'appel de
NANCY
écartèrent une
éventuelle
culpabilité de
Bernard
LAROCHE.
"(SIC)
RÉPONSE :
Il est
remarquable de
constater que
les gendarmes
bien qu'ayant
sur ces
plaintes
obtenu une
ordonnance de
non-lieu, se
sont bien
gardé après
cette décision
régalienne de
répondre par
une plainte
pour
dénonciation
calomnieuse,
ils ne
devaient pas
être sûrs
d'être très
droits dans
leur bottes ?
Peut-on croire
que Murielle
BOLLE qui ne
savait même
pas lire un
plan, dont les
parents ne
possédaient
pas de
voiture, qui
n'était jamais
allé ni à
Lépanges ni à
Docelles ait
pu à l'aide
d'un
stylographe
désigner
l’itinéraire
qu'aurait
emprunté
Bernard
LAROCHE, alors
que même un
adulte n'en
serait pas
capable ?
CONSTATATIONS
:
IL FAUT
CONSTATER LA
SUBORNATION
DÉTECTABLE DE
TÉMOIN, CAR
RIEN,
ABSOLUMENT
RIEN dans le
témoignage qui
est prêtè à
Murielle BOLLE
et qui a été
dûment annulé,
qui n'a donc
plus aucun
caractère
juridique, ne
constitue des
faits nouveaux
par rapport à
ce que les
enquêteurs
savaient les
jours où elle
a été entendue
: le 31
octobre 1984,
le 2 novembre
1984, le 3
novembre 1984,
le 5 novembre
1984.
On nous dit et
que ce serait
un fait
nouveau :
qu'elle a
indiqué
l'existence
d'une rue
barrée à
Lépanges-sur-Vologne
? comme si les
gendarmes
n'étaient pas
informés d'un
tel barrage
qui exige des
autorisations
par les
autorités
administratives.
La Cour dite
"d'Accusation"
de DIJON
explique que
le chômeur
DERUDER ( qui
n'aurait pas
reconnu
LAROCHE cousin
de son épouse
? ) aurait vu
un homme a
moustaches un
peu partout à
Lépanges-sur-Vologne le 16 octobre 1984, et même avant, pour faire des
repérages et
on nous
balance que
cet
hypothétique
auteur du
crime se
serait
bêtement
empalé sur un
barrage dans
une rue qui ne
menait même
pas à DOCELLES
? à qui
veut-on faire
croire cela ?
On nous dit
que le chômeur
DERUDER avait
pour épouse
une cousine de
LAROCHE ?
aurait-il dans
ce cas été
obligé de
participer à
l'élaboration
du deuxième
portrait robot
avec le drôle
et ineffable
témoin
CORNILLIE ? ça
ne tient pas
debout.
On constate
surtout que le
témoignage
prêté à
Murielle BOLLE
et qui a été
annulé, ne
recoupe même
pas celui
aussi très
tardif que
douteux de
Monsieur
Claude COLIN.
D'après ce que
l'on a fait
dire à
Murielle BOLLE
: Bernard
LAROCHE se
serait arrêté
sur : "les
Hauts de
Lépanges" où
il aurait fait
demi-tour ...
un seul
endroit permet
de faire cette
manœuvre : le
croisement à
la fourche
entre la rue
des Champs et
la rue de
Bellevue en
direction de
Faing /
Vairel...
croisement qui
se trouve
d'après Google
à 230 m de la
maison des
VILLEMIN, dont
on lui fait
dire qu'elle
ne voyait que
le toit ? ...
Elle dit
également que
Bernard
LAROCHE
n'était pas
passé devant
la maison ?
Dans ce cas il
est IMPOSSIBLE
matériellement
que Bernard
LAROCHE ait pu
croiser Claude
COLIN avec sa
passagère
CLAUDON (qui
dit le
contraire ! )
chemin de la
BURE (ou de
l'Orée du
bois)
Il y a une
totale
divergence sur
ce point
essentiel pour
ce qui
concerne les
deux seuls
témoignages
contre Bernard
LAROCHE de sa
présumée
équipée qui
apparait de
toute évidence
rocambolesque
et même digne
du roi UBU.
Alors on va
demander
secours à Me
Chastant-Morand
pour
départager ce
litige, c'est
un plagiat,
mais à la
différence de
la bourde de
l'avocate la
question se
pose
effectivement
:
QUESTION :
Comment les
gendarmes qui
ont
auditionnés
Murielle BOLLE
auraient-ils
pu encore
deviner : le
31 octobre,
les 2, 3 et 5
novembre 1984,
que ce ne
serait pas
Monsieur
Jean-Louis
CLAUDON, qui
amènerait
Madame CLAUDON
à la pâture,
pour aller
chercher les
vaches en
empruntant le
chemin de la
BURE (ou Orée
du bois), mais
Monsieur
Claude COLIN,
alors qu'il a
fallu sept
années
d'information
pour
l'apprendre ?
Dès lors, il
est
définitivement
démontré que
les gendarmes
ont bien
suborné
Murielle
BOLLE, parce
qu'il lui
aurait dit que
Monsieur
Claude Colin
était passé
par le chemin
de la BURE, et
que Bernard
LAROCHE pour
croiser Claude
COLIN, devait
passer
impérativement
devant la
maison des
VILLEMIN.
Il suffit de
regarder le
plan non
réalisé par un
gendarme mais
par Google
EARTH pour
comprendre.
Le témoignage
attribué à
Murielle BOLLE
: Est-il
crédible ?
Réponse :
absolument
pas.
Ce témoignage
manifestement
suborné,
n'apporte
aucune
précision sur
ce que l'on a
toujours
recherché :
--- Comment le
corps du petit
Grégory a-t-il
été mis dans
la VOLOGNE,
vivant ou mort
?
--- Comment a
-t-il pu
flotter pour
qu'il se
retrouve
déposé comme
par "un extra
terrestre" à
50 m de la
passerelle du
type Baylet ?
---- Où est le
lieu
d'immersion ?
"au point
privilégié" ?
ou près du
local des
pompiers, ou
chemin du
TRACHET, ou
ailleurs ?
RIEN de ce que
l'on a fait
dire à
Murielle BOLLE
ne permet de
résoudre ces
énigmes après
analyse de son
témoignage on
constate qu'
on en reste au
même point où
étaient les
gendarmes le 5
novembre 1984,
pas une seule
avancée dans
l'enquête
n'émane de ce
témoignage.
C'est
IMPARABLE !
CONCLUSIONS :
/ CITATION
"La Cour
d'appel de
NANCY
écartèrent une
éventuelle
culpabilité de
Bernard
LAROCHE en
considérant :
--- que
Murielle BOLLE
avait un
psychisme
fragile et
avait craint
d'être placée
dans une
maison de
correction...
: Constatation
: la Cour de
DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
--- qu'elle
avait rétracté
les
accusations
portées contre
son beau-frère
et s'était
plainte
d'avoir subi
des pressions
et d'avoir été
trompée par
les
gendarmes... :
Constatation :
la Cour de
DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
--- que
l'itinéraire
décrit par
elle était
incohérent et
fantaisiste...
Constatation :
il est plus
que
fantaisiste et
la Cour de
DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
--- que les
dépositions
des témoins
qui avaient
dit avoir vu
Murielle BOLLE
monter dans la
voiture de
LAROCHE le 16
octobre 1984
ou qui avaient
constaté son
absence dans
l'autobus de
ramassage
scolaire,
n'étaient pas
crédibles
parce qu'à
l'exception
d'un seul ils
avaient fourni
des points de
repère
inexacts ou
commis des
erreurs ...
Constatation :
la Cour de
DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
--- qu'il
était
difficile de
concevoir que
Grégory
VILLEMIN,
enfant
craintif qui
ne suivait pas
les adultes,
ait pu se
laisser
prendre par un
inconnu et se
laisser
ligoter sans
se défendre et
sans crier...
Constatation :
craintif ou
non, un enfant
quel qu'il
soit ne se
laisse pas
ligoter et
couvrir les
yeux d'un
bonnet sans se
défendre et
sans hurler...
la Cour de
DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
--- que
LAROCHE ne
pouvait avoir
la certitude
de trouver
Grégory
VILLEMIN seul
devant la
maison de ses
parents et de
ne rencontrer
aucun témoin
de son rapt...
Constatation :
C'est une
certitude
puisque
personne ne
l'a vu le 16
octobre 1984,
ni le 15
octobre 1984,
parce qu'il
pleuvait et
non-plus la
semaine
précédente,
parce que
Grégory était
malade.. : il
était
impossible
ainsi de faire
des repérages
la Cour de
DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
--- qu'il
était
invraisemblable
qu'un assassin
se fit
accompagner
par un tiers
pour commettre
son crime...
Constatation :
c'est
parfaitement
exact, même la
Cour de DIJON
se contredit
avec ses
propres
arguments.
--- qu'aucun
indice
matériel ne
désignait
LAROCHE comme
l'assassin et
que les
investigations
du service
régional de
police
judiciaire de
NANCY
n'avaient
apporté aucun
élément
nouveau contre
lui...Constatation : la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du
contraire.
--- que selon
sept experts
nationaux il
n'était pas le
scripteur de
la lettre du
16 octobre
1984 et des
autres écrits
anonymes...
Constatation :
la Cour de
DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
--- qu'il
n'avait jamais
passé
d'aveu...
Constatation :
la Cour de
DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
--- que son
activité
professionnelle
était
incompatible
avec les
appels du
Corbeau...
Constatation :
la Cour de
DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
- -- qu'il
n'avait aucune
raison de tuer
Grégory
VILLEMIN....
Constatation :
Bernard
LAROCHE avait
une maison
plus cossue
que celle des
VILLEMIN, en
août 1981,
quand la
zizanie a
débuté les
VILLEMIN
n'avaient pas
encore leur
salle à manger
en chêne,
n'avaient pas
encore leur
salon en
CUIR... "vous
vous
rendez-compte
en cuir ! quel
luxe ! ":
clame théâtral
Me Moser...
les LAROCHE
comme les
VILLEMIN
possédaient
deux
voitures...
avaient tous
les deux un
emploi... Par
compte les
LAROCHE, ce ne
dit pas Me
Moser,
devaient avoir
moins de
dettes que les
les frimeurs
VILLEMIN and
Co ... la Cour
de DIJON
n'apporte
aucune preuve
du contraire.
Si vous n'avez
pas tout
compris ... on
peut faire un
dessin ...
Nota Bene :
L'analyse qui
va suivre
Bernard
LAROCHE s'est
-il rendu ou
pas chez son
ami
Jean-Pierre
ZONCA, ne
concerne pas
le témoignage
attribué à
Murielle
BOLLE, puisque
elle n'a pas
pu évoquer ce
qu'avait fait
ou non Bernard
LAROCHE, avant
que soi-disant
il vienne la
chercher au
CES de
BRUYÈRES à 17
h 00 min...
Mais elle est
déterminante
pour mettre en
évidence la
façon
particulière,
voire
hors-la-loi,
qui pose
interrogation,
qui a permis à
la Cour dite
d'Accusation
de DIJON,
d'aboutir à un
non-lieu,
aussi INÉDIT
en France qu'
incroyable :
par absence
totale de
charge au
bénéfice d'une
inculpée
Christine
BLAISE
VILLEMIN,
qu'une autre
Cour
d'Accusation,
celle de
NANCY, jugeant
suivant les
mêmes règles,
les mêmes
critères, les
mêmes lois de
la République
française ?
avait relevé
en nombre
impressionnant
de 25 charges
à l’encontre
de la même
:'inculpée".
Ce qui est
INÉDIT est le
fait avéré que
cette inculpée
a réussi à
collectionner
25 indices
graves pas :
OU ... mais...
ET
concordants,
sans être
assignée
devant une
Cour
d'Assises, ce
qui restera
longtemps
unique.
Dans l'emploi
du temps de
Bernard
LAROCHE, ce
que conteste,
La Cour dite
d'Accusation
de DIJON, est
la visite
faite au
domicile de
son camarade
de travail
Jean-Pierre
ZONCA.
On remarque
d'emblée qu'à
son encontre
de manière
sélective,
donc non
équitable,
donc illégale,
elle remplit
sa mission de
Cour
d'Accusation,
a fortiori
contre un
mort.
EMPLOI DU
TEMPS DE
BERNARD
LAROCHE : /
CITATION
Entendu le 25
octobre 1984,
puis réentendu
de manière
plus détaillée
le 31 octobre
en raison des
soupçons
dirigés sur
lui par
Mesdames
JACQUIN-KELLER
et
BERRICHON-SEDEYN,
Bernard
LAROCHE se
déclara
étranger au
crime et donna
de son emploi
du temps au
cours de
l'après-midi
du 16 octobre
1984 le
compte-rendu
suivant:
Il s'était
levé à treize
heures car il
travaillait de
nuit. En
l'absence de
sa femme
retenue par
son travail à
l'usine PROFIL
de GERARDMER
jusqu'à vingt
et une heures,
il avait
rentré du bois
de treize
heures à
quinze heures
trente avec
l'aide de sa
tante
Louisette
JACOB.
Vers quinze
heures
quarante ou
seize heures,
il s'était
rendu en
voiture au
domicile de
son cousin et
ami intime
Michel
VILLEMIN à
AUMONTZEY pour
y consulter un
catalogue.
A seize heures
trente il
avait regagné
le domicile de
Louisette
JACOB et y
avait attendu
jusqu'à
dix-sept
heures quinze
son camarade
de travail
Jean- Pierre
ZONCA avec
lequel il
devait acheter
du vin en
promotion au
supermarché
CHAMPION de
LAVAL-sur-VOLOGNE.
Cet ami
n'étant pas
venu, il
s'était rendu
à son
domicile, à
GRANGES-sur-VOLOGNE,
en compagnie
de son fils
Sébastien,
mais n'y avait
trouvé
personne. De
retour chez sa
tante
Louisette à
dix-sept
heures trente
il y avait
rencontré sa
belle-sœur
Murielle BOLLE
qui, sortie du
collège de
BRUYÈRES à
dix-sept
heures, venait
d'arriver par
l'autobus de
ramassage
scolaire et
regardait la
télévision.
Dix minutes ou
un quart
d'heure plus
tard il était
reparti en
compagnie de
Sébastien au
magasin
CHAMPION où
vers dix-huit
heures il
avait acheté
cent cinquante
bouteilles de
vin, puis de
là il s'était
rendu un peu
après dix-huit
heures à
BRUYÈRES au
café de la
Renaissance
qui était
habituellement
fermé ce jour
de semaine,
mais où il
avait
néanmoins
réussi à
percevoir le
produit d'un
pari-tiercé
gagnant. Au
retour vers
dix-huit
heures trente,
il avait
croisé à
LAVELINE-devant-
BRUYÈRES la
voiture
d'Albert
VILLEMIN
conduite par
Michel
VILLEMIN ( qui
se rendait à
LEPANGES pour
participer à
la recherche
de Grégory) .
Il avait
ensuite déposé
son fils chez
Louisette
JACOB, avait
déchargé le
vin dans sa
maison, était
revenu dîner
chez sa tante.
A vingt heures
il était allé
coucher
Sébastien et
était resté à
son domicile
jusqu'à son
départ pour
l'usine à
vingt heures
quarante cinq.
CONSTATATIONS
/ RÉPONSE :
La Cour
d'Accusation
de DIJON et
son principal
Magistrat le
Président-Juge-Amoureux
et parti
Maurice SIMON,
qui
enquêtèrent
sur un mort
assassiné
Bernard
LAROCHE, ce
que leur
interdisait la
LOI ... le
pire étant que
le non-lieu le
précise lui
même avant de
débuter son
enquête
illégale,
contestèrent
la visite que
Bernard
LAROCHE a
prétendu avoir
faite auprès
de son ami
Jean-Pierre
ZONCA, parce
que ça les
arrangeait,
quand ils
instruisant à
charge avec la
même
illégalité
contre cet ex-
inculpé,
puisqu’après
sa mort , il
bénéficiait
d'après la Loi
: de la
présomption
d'innocence
VITAM ÆTERNAM.
La Cour
d'Accusation
de DIJON
commence le
paragraphe : B
- CHARGES
PESANT SUR
BERNARD
LAROCHE par :
/CITATION
--" Il n'est
pas question
de proclamer
la culpabilité
de Bernard
LAROCHE. Ce
n'est pas le
rôle de la
Chambre
d'accusation,
juridiction
d'instruction,
et
l'extinction
de l'action
publique mise
en mouvement
contre cet
inculpé
l'interdit.
Elle embraye
aussitôt à
l'adresse de
ceux qui lui
reprocheraient
de violer la
sacro-sainte
présomption
d'innocence,
de violer le
principe de
Droit
fondamentale
dans toute
démocratie,
qu'un accusé
doit pourvoir
se défendre,
ce qui
évidemment
n'était plus
le cas ni de
LAROCHE, mais
constatons que
ça arrangeait
notablement la
tâche des
magistrats
félons
dijonnais,
mais aussi les
deux autres
inculpés :
Christine
BLAISE
VILLEMIN et
son époux
Jean-MARIE,
accusé de
l’assassinat
avec
préméditation
de Bernard
LAROCHE.
On se demande
pourquoi
Christine
BLAISE
VILLEMIN ne
fût pas
elle-même
poursuivie par
la Justice,
pour
complicité
dans la
tentative
d'assassinat
du 27 février
1985, que le
journaliste
-activateur
d'incendie
Jean KER fit
avorter après
l'avoir
lui-même
incité...dans
une vidéo il
nous raconte
comment il fit
écouter une
cassette aux
VILLEMIN,
qu'il avait
lui-même
enregistrée,
en violant le
secret de
l'instruction...
C'est vrai
qu'il se
dédouanait
ensuite en
racontant
comment il
avait fait
avorter
l'assassinat
en se rendant
chez les
LAROCHE ou les
VILLEMIN
attendaient la
victime visée.
Il témoigne
sans le
moindre
sentiment de
culpabilité la
furie de
Christine
BLAISE
VILLEMIN que
la Cour de
DIJON, nous
ferait prendre
pour Mère
TERESA : "elle
était comme
folle, elle me
dit espèce de
salaud, tu es
un salaud, tu
nous pousse à
tuer Bernard
LAROCHE et tu
nous trahis,
elle était
folle comme
folle ! "(SIC
Jean KER)
La Cour
d'accusation
de DIJON,
explique
pourquoi elle
a violé la Loi
:
-- "Il est
toutefois
nécessaire
d'examiner les
charges pesant
sur celui-ci
puisque la
Chambre
d'accusation
de NANCY dont
le ministère
public avait,
un temps,
adopté les
motifs, a
considéré
qu'elles
étaient
inexistantes
afin de
concentrer
tous les
soupçons sur
Christine
VILLEMIN et,
le cas
échéant, en
vue de
rechercher
s'il n'aurait
pas eu des
complices ou
ces coauteurs
qui
resteraient à
découvrir."(SIC)
Des vidéos
qu'il faut
impérativement
les
revisionner
pour
comprendre
l'affaire de
l’assassinat
de Grégory
VILLEMIN :
http://www.dailymotion.com/video/x6geq3_reportage-2-4-gregory-20-ans-apres_news
http://www.dailymotion.com/video/x6gexs
http://www.dailymotion.com/video/x6geq3_reportage-2-4-gregory-20-ans-apres_news
http://www.dailymotion.com/video/x6gexs
-- On met
ainsi en
évidence les
monstrueux
mensonges,
calomnieux du
voyou
viscéral,
colonel de
gendarmerie
Étienne
SESMAT, qui
fait étalage
de sa
suffisance
mâtinée d'une
crasse manque
d’intelligence, parce qu'il s'est fait enfariner avec la naïveté d'un
gamin par les
VILLEMIN,
surtout par
Christine, qui
l'a dupé, lui
a balancé un
coupable avec
en paquet
cadeau : un
mobile : LA
VENGEANCE ,
qui est comme
celle de
DAUDET :
invisible...Cette
vidéo témoigne
de son
immoralité par
manque
d'intégrité,
d'honnêteté,
notamment en
accusant
calomnieusement
et d'une façon
aussi mesquine
que mensongère
: le Juge
LAMBERT.
-- Les
caractéristiques
du pseudo
journaliste :
pompier,
activateur
d'incendie,
provocateur,
et menteur,
complice de
l'assassinat
de Bernard
LAROCHE, de
Paris-Match :
Jean KER : le
beauf '
vendeur de
soupes
frelatées.
-- Les
commentaires
infâmes,
d'odeur
pestilentielle,
d'un œuf
punais, d'un
réel manque
d'intelligence
et de décence
de la pseudo
journaleuse :
Catherine
TARDREW.
-- Les
mensonges et
l'étonnement
théâtral de
Christine
BLAISE
VILLEMIN à la
clinique le 29
mars 1985,
lorsque
Laurence
LACOUR , amie
des assassins,
lui annonce
que son mari a
tué Bernard
LAROCHE... à
rapprocher et
à comparer
avec
l'interview de
Jean KER, sur
la tentative
d’assassinat
qu'il avait
fait avorter
le 27 février
1985... pour
apprécier la
manipulation
et le sens des
mises en scène
dont a usés
l'auteure du
crime... pour
berner tout ce
qui
l'entourait.
-- Les
défenseurs Me
MOSER et Me
Chastant -
Morand, qui
feraient
prendre, sa
vessie pour
une lanterne
au physicien
relatif :
EINSTEIN...
mais qui
s'étalent
souvent en se
prenant les
pieds dans
leur soutane
perdant toges
et épitoges.
-- Les
révélations de
la
pseudo-experte
graphologue,
gâteuse, à la
voix
chevrotante :
BERRICHON-SEDEYN, médium, voyante à ses heures, pour prédire l'avenir...
prévoyant que
l'auteur du
crime
n'avouerait
jamais... (...
au départ on
pensait,
qu'elle était
sérieusement
atteinte...
mais
finalement,à
la réflexion
... il faut
reconnaître
qu' elle avait
raison :
l'auteure (au
féminin) n'a
jamais
avoué... )
CONSTATATION
SIDÉRANTE :
C'est à cause
des voyances
prémonitoires,
des inepties
de
BERRICHON-SEDEYN,
BERRICHON-SEDEYN, plus celles aussi ineptes du témoignage attribué à
Murielle
BOLLE, que
Bernard
LAROCHE , fut
avec des
indices
incertains,
plus que
discutables,
le 5 novembre
1984, inculpé
d'assassinat
et placé sous
mandat de
dépôt par le
Juge LAMBERT.
Cette une des
seules fautes
non
pardonnable,
qui peut être
reproché à
celui-ci.
La Cour
d'accusation
de DIJON,
conteste la
visite
qu'aurait
faite Bernard
LAROCHE à son
ami
Jean-Pierre
ZONCA, parce
quesi elle se
serait
déroulée
suivant les
dires de
celui-ci, il
n'aurait pas
ainsi pu
commettre le
crime contre
Grégory
VILLEMIN, en
prétendant que
personne
n'aurait vu
Bernard chez
Jean-Pierre
ZONCA .
Les VILLEMIN
donnaient ces
informations
qu'ils
offraient aux
internautes en
août /
septembre 2010
intitulé :"Le
16 octobre...
" ( pour les
retirer
brutalement le
10 septembre
2010... Un
internaute
avait
découvert des
anomalies
rédhibitoires.
)
"Dans
l'hypothèse
Bernard
LAROCHE :/
CITATION
"Il a été
démontré par
le recoupement
des
témoignages
recueillis,
que Bernard
LAROCHE est
contredit au
moins à quatre
reprises sur
son emploi du
temps :
(Commentaire :
Christine
BLAISE
VILLEMIN bien
plus, mais ses
mensonges sont
caractérisés )
- Une première
fois, sur son
périple à
GRANGES SUR
VOLOGNE vers
15 h 50 min,
avant d'aller
chez Michel
VILLEMIN.(SIC)
- Une deuxième
fois lorsqu'il
affirme qu'il
avait été
convenu avec
son ami ZONCA
(démenti par
ce dernier),
d'acheter du
vin au magasin
CHAMPION, ce
16 octobre
1984.(SIC)
- Une
troisième fois
lorsqu'il dit,
qu'il serait
monté
directement
chez lui après
l'encaissement
de son tiercé,
alors que ce
dernier avait
pris la
direction de
chez ses beaux
parents, lors
du croisement
à LAVELINE
DEVANT
BRUYÈRES,
aperçu par
Michel
VILLEMIN et
les parents de
celui-ci qui
descendaient à
LEPANGES SUR
VOLOGNE.
"(SIC)
COMMENTAIRE :
cette
indication est
totalement
fausse, car si
Bernard
LAROCHE avait
tourné à
gauche, en
direction de
ses beaux
parents, à
Laveline-devant-Bruyéres,
lorsqu'il
rentrait chez
lui à
AUTMONZEY, il
n'aurait pas
pu croiser sur
cette route,
la voiture
conduite par
Michel
VILLEMIN, ce
qui est exact
puisque leurs
témoignages se
recoupent des
appels de
phares de
Bernard
LAROCHE, sur
la route
d'AUMONTZEY,
d'où
arrivaient les
grands parents
dans leur
voiture
TOYOTA,
conduite par
Michel
VILLEMIN.
Vous êtes à ce
sujet invités
à décoder
cette phrase
du livre "le
16 octobre "de
Jean-Marie
VILLEMIN, qui
se mord la
queue et qui
aboutit à une
impossibilité
qui prouve ses
mensonges, si
vous trouvez
prévenez-le
...
- Une
quatrième
fois, avec sa
belle sœur
Murielle
BOLLE, sur la
présence de
l'un par
rapport à
l'autre au
domicile de la
tante
Louisette
JACOB. (SIC)
COMMENTAIRE :
On ne peut pas
qualifier
cette
inversion
d'ordre
d'arrivées :
de mensonge
Jean-Marie
VILLEMIN
devrait
demander à Me
Chastant-Morand de lui expliquer ce qu'elle pense de la fiabilité des
témoignages
humains... en
outre,
faudrait-il
lui rappeler
que des
inversions son
épouse en a
faites
beaucoup... et
bien plus
graves... en
particulier
concernant sa
sortie de chez
elle : le16
octobre 1984,
alors que
c'était au
départ de la
promenade de
Monsieur
Bernard COLIN,
qu'elle situe
en mentant
parc que ça
l'arrange : au
retour...: CE
QUI EST
IMPOSSIBLE...
Son " schéma
horaire "
donne encore
une autre
version, car
il est
prétendu que
Monsieur
Bernard COLIN
serait de
retour de sa
promenade à 17
h 33 min (SIC)
... en lui
rappelant
aussi que
depuis 33 ans,
on attend que
Christine
BLAISE
VILLEMIN
meuble de
manière
cohérente son
emploi du
temps de : 17
h 02 min à 17
h 33 minutes,
le 16 octobre
1984... ce
qu'avec plus
de trois
moutures elle
n'a jamais
réussi à
faire. Ce qui
est une
réalité non
contestable.
"- Les
témoignages de
Gérard GAUDEL,
puis de Marie
Thérèse
BARADEL née
GAUDEL la sœur
de Gérard,
amis à Bernard
LAROCHE.
Devant le
SRPJ, ils
déclareront
avoir vu
Bernard
LAROCHE avec
son ami 8
break, le 16
octobre 84 à
Granges Sur
Vologne vers
15h50' : "
nous lui avons
fait salut de
la main "? Il
résultera de
ces
témoignages
indiscutables
parce
qu'étayés par
la référence
au disque
contrôlographe
du camion de
Gérard GAUDEL
que Bernard
LAROCHE est
allé chez
ZONCA avant de
venir chez
Michel
VILLEMIN.(SIC)
COMMENTAIRE :
Les VILLEMIN
sont pris la
main dans le
sac, car La
Cour
d'Accusation
de DIJON a
toujours
considéré que
Bernard
LAROCHE
n'était pas
allé chez son
ami
Jean-Pierre
ZONCA, le 16
octobre 1984,
pour le seul
motif que
personne ne
l'aurait vu.
Les VILLEMIN
apportent la
preuve du
contraire en
affirmant que
Bernard
LAROCHE serait
allé chez
ZONCA...avant
d'aller chez
Michel
VILLEMIN, donc
qu'il s 'y
était
rendu...mais
que personne
ne l'a vu
non-plus ...
Ce qu'il faut
retenir est le
fait démontré
que Bernard
LAROCHE, y
soit allé
avant ou après
chez ZONCA, n'
a aucune
importance, ce
qui est
important :
c'est qu'il
est admissible
que Bernard
LAROCHE soit
allé chez
ZONCA, sans
que des
témoins ne
l'aient
aperçu.
On peut
supposer
raisonnablement,
sans aller sur
place, qu'à
proximité de
chez ZONCA, il
n'y a pas un
mirador avec
un cerbère,
qui monte la
garde 24 h /24
?
Les VILLEMIN
nous
ressortent les
chronographes,
en oubliant
encore une
fois de dire
que dans les
années 1980,
ils étaient
presque tous
trafiqués, ce
qui a obligé
le Législateur
a modifié la
Loi...
La précision
de ces
appareils
contrairement
à ce que
disent leurs
avocats qui
sont béotiens
et ne
connaissent
techniquement
RIEN, il ne
pouvait pas
donner la
précision,
qu'ils donnent
à la seconde
près.. : 17 h
32 min 41s.
Il n'y a que
me Chastant
-Morand qui
peut dire une
ineptie
pareille. Ils
s 'étaient
basés sur le
temps donné
par une
horloge
mécanique, qui
ne pouvait pas
être calée sur
l'étalon
horaire
atomique de
MEININGEN type
DCF 77 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_atomique
"- Bernard
LAROCHE pour
se rendre chez
Michel
VILLEMIN, est
d'abord monté
chez lui pour
changer de
voiture, de
son Ami 8 pour
sa 305
Peugeot.
Pourquoi ? Il
aurait été
plus facile
pour lui de
garder l'Ami 8
pour acheter
25 cartons de
six bouteilles
de vins (150b
de 75cl). Il
n'a pu mettre
que 22 cartons
dans son
coffre? et les
trois autres
cartons dans
l'habitacle."(SIC)
COMMENTAIRE :
avec les
jumelles dont
elle parle
dans ses
appels
anonymes
"d'identification""
la" corbeau
femelle,
pouvait-elle
voir de
Lépanges
-sur-Vologne,
ce qui se
passait chez
les LAROCHE à
AUMONTZEY,
puis à LAVAL
au magasin
CHAMPION ?
Où les
VILLEMIN
ont-ils pêché
de tels
détails ?
- Au terme des
enquêtes
successives
Bernard
LAROCHE ne
pourra se
prévaloir
d'aucun alibi
entre sa
sortie de la
maison de chez
Michel
VILLEMIN à 16
h20 min et son
départ pour le
magasin
CHAMPION vers
17 h 50
min(SIC)
COMMENTAIRE :
Les VILLEMIN
ne devraient
pas la ramener
sur ce sujet,
car on
remarque
facilement que
les emplois du
temps qu'ils
ont donnés
pour Christine
BLAISE
VILLEMIN, au
moins trois,
dont celui du
mémoire de Me
Chastant-Morand remis à la Cour d'Accusation de DIJON, en faveur du
non-lieu, sont
tous
mathématiquement
et
matériellement
FAUX ...
Solution
mathématique
IMPOSSIBLE :
LE RÉSULTAT
EST ÉLOQUENT !
"- Pouvait-il
se prévaloir
d'un alibi,
entre 18h25',
lorsqu'il a
croisé à
LAVELINE
DEVANT
BRUYERES,
entre
AUMONTZEY et
BRUYERES, la
voiture des
Albert et
Monique
VILLEMIN
conduite par
leur fils
Michel, et la
prise de son
travail au
tissage ANCEL
de GRANGES SUR
VOLOGNE à
21h00' ?"(SIC)
COMMENTAIRE :
Ça on n'en a
RIEN à foutre,
parce qu'
aussi bien à
18 h 25 min et
a fortiori à
21 h 00 min,
le corps de
Grégory gisait
depuis
longtemps, où
il a été
retrouvé à 50
m en aval de
la passerelle
du type
BAYLET.
QUI POURRAIT
NOUS FAIRE
CROIRE QU'UNE
PERSONNE EN
FRANCE, QUI
APERÇOIT UN
SAC DE MATIÈRE
PLASTIQUE,
DANS UNE
RIVIÈRE, IRAIT
LE SIGNALER
DANS UNE
GENDARMERIE OU
UN
COMMISSARIAT ?
Alors que ce
phénomène est
d'une banalité
quotidienne
chez nous , on
retrouve avec
l'indiscipline
qui nous
caractérise
tout ce que
l'on veut dans
les rivières
et fleuves de
France... ce
qui n'est pas
le cas en
SUISSE par
exemple... ni
à SINGAPOUR,
où les
distributions
de "prunes" ne
sont pas
gratuites.
La Cour dite :
"d 'Accusation
" de DIJON
indique :
"Une une dame
Josiane LAHAYE
épouse GUYOT
qui, le 16
octobre 1984
vers 17 heures
30 avait
franchi la
Vologne en
empruntant le
pont Bailey,
avait aperçu
une forme
bleue retenue
par des
pierres. La
prenant pour
un sac
d'ordures en
matière
plastique,
elle n'y avait
pas prêté
attention. Par
la suite, les
enquêteurs
émirent
l'hypothèse
qu'il
s'agissait de
Grégory
VILLEMIN
enveloppé dans
son anorak
bleu."(SIC)
"C'est
possible, mais
entendue à
nouveau le 4
juin 1989 par
des officiers
de police
judiciaire qui
lui ont montré
les vêtements
de l'enfant,
elle ne put
certifier que
c'était bien
lui qu'elle
avait vu."
(SIC)
COMMENTAIRE :
Si Madame
Josiane GUYOT
a eu son
attention
attirée
consciemment
ou
inconsciemment
(*) par une
forme bleue
retenue par
les pierres,
c'est
indiscutablement
qu'elle ne
pensait pas ce
ce fût un
banal sac
d'ordures en
matière
plastique,
parce que dans
ce cas
personne en
France ne va
prévenir
policiers ou
gendarmes, en
perdant 3 ou 4
heures pour
les formalités
administrative.
(*) Carl JUNG
le philosophe
helvète dirait
: " Notre
CONSCIENT
n'est qu'une
coquille de
noix qui vogue
sur l'immense
océan de notre
INCONSCIENT
"(SIC)
On constatera
qu' à 21 h 15
min les
pompiers de
DOCELLES, ne
découvrir à
l'endroit
indiqué :
aucun sac
d'ordures en
matière
plastique, il
découvrir le
corps sans vie
d'un enfant
Grégory
VILLEMIN, dont
les mâchoires
étaient
serrées, ce
qui signifie
d'après les
médecins
légistes,
qu'on était en
présence du
premier signe
de la rigidité
cadavérique,
qui se produit
de trois à
quatre heures,
après le décès
quand le corps
se trouve dans
l'air ambiant.
On peut
supposer que
les médecins
légistes
français, qui
ne sont pas
des médecins
nazis, n'ont
pas fait comme
ces derniers,
des essais de
survie dans
les eaux
glacées de la
BALTIQUE avec
des
prisonniers.
Force est de
constater que
Grégory est
mort entre :
17 h 00 min et
18 h 15 min
Imaginer
l'hypothèse
que Grégory
ait pu être
mis à l'eau,
après l'appel
anonyme
annonçant sa
mort reçu par
Michel
VILLEMIN à 17
h 32 min 41 s,
relève de la
Science de
l'abscons et
même des cons
...
Parce que ça
ne répond plus
à aucune
logique et
parce qu'aussi
AUCUN INDICE
NI TÉMOIGNAGE
NE VIENT EN
SOUTIEN DE
CETTE
HYPOTHÈSE.
PAR CES MOTIFS
: IL EST
INUTILE DE
POURSUIVRE
TOUTE
INVESTIGATION
SUR UNE AUTRE
HYPOTHÈSE CE
SERAIT PERDRE
SON TEMPS
"Il HYPOTHÈSE
CE"- Il (B.L)
a prétendu
avoir passé
cet espace de
temps soit à
son domicile,
soit chez sa
tante
Louisette
JACOB, mais il
n'y a que les
dépositions de
sa belle-sœur
Murielle BOLLE
pour confirmer
ses
allégations
dont la preuve
n'est pas
rapportée avec
certitude".(SIC)
COMMENTAIRE :
"ET ALORS ? "
: dirait
François
FILLON : quand
Jean-Marie
VILLEMIN
couche avec sa
femme qui
l'entend
téléphoner à
deux heures
(du matin) à
JACQUEL, quel
serait à votre
avis les
témoins
possibles ? :
LAROCHE avec
sa longue -vue
à partir
d'AUMONTZEY ou
elle à partir
de son lit ?
"-1 °: Il
existe trois
chronométrages
dans la
procédure sur
la faisabilité
hypothèse
Bernard
LAROCHE. Ce
témoin avait
la possibilité
selon les
aveux de
Murielle
BOLLE, d'être
sur les hauts
de LEPANGES au
plutôt vers
17h10.(1) 1er.
Avec les
gendarmes
(D.309) pour
l'enlèvement
et le meurtre
de Grégory
(17h00' -
Départ du CES
BRUYÈRES -
LEPANGES -
DOCELLES -
AUMONTZEY) il
aurait fallu
au minimum 37
minutes 30
secondes. En
ajoutant le
chrono
(SI/D408)
correspondant
à ses achats
et à
l'encaissent
de son tiercé,
il pouvait
être au
magasin
CHAMPION vers
17h48', au PMU
vers 18h06' et
au carrefour à
LAVELINE
DEVANT
BRUYERES
aperçu par
Michel
VILLEMIN et
ses parents
qui
descendaient à
LEPANGESvers
18h16'."(SIC)
CONSTATATION :
(1) Suivant
Murielle BOLLE
: MAIS à
condition de
parcourir :
CES-BRUYERES,
CHAMP-LE-DUC,
BEAUMENIL,
LEPANGES en 04
secondes !
démonstration
: le site
VILLEMIN
indiquait que
Bernard
LAROCHE serait
parti du CES
de BRUYERES à
17 h 05 min
(SIC)... Le
Juge vicelard
pour le coup
SIMON a
chronométré
les 200
premiers
mètres, parc
CES ... avenue
de Lattre de
Tassigny = 4
min 56 s (SIC
non-lieu) :
donc à 17 h 09
min 56...
Bernard
LAROCHE se
trouve avenue
de Lattre de
Tassigny...
pour arriver
sur les "Hauts
de Lépanges "
à 17 h 10 min,
il dispose de
4 SECONDES !
VITESSE : 11
250 km par
heure : Il
avait donc un
Exocet ?
Pourquoi ne
nous l’ a-t-on
pas dit ?
Google nous
indique : av.
de Lattre de
Tassigny à
BRUYERES...
CHAMP -LE-DUC
= 2 km = 3 min
... BEAUMENIL
= 2, 3 km = 4
min
...LEPANGES-SUR-VOLOGNE
= 8, 2 km = 12
min , soit au
total = 19
minutes
Suivant
Murielle BOLLE
: Bernard
LAROCHE
arriverait sur
les “Hauts de
Lépanges” à 17
h 24 min, si
elle part du
CES à 17 h 05
min, comme
indiqué par
les
VILLEMIN...
“ENLEVEMENT” ?
arrêt : 2 mn =
17 h 26 min
... POSTE
LEPANGES = 3
min... = 17 h
29 min ...
arrêt 2 min =
17 h 31 min
... DOCELLES =
5. 7 km = 6
min = 17 h 37
min ... arrêt
15 min = 17 h
52 min Bernard
LAROCHE
repartirait de
DOCELLES à :
17 h 52 min
D’après Google
: en partant à
17 h 05 min +
4 min 56 s + 3
min + 4 min +
12 min ARRIVEE
aux Hauts de
Lépanges à :
17 h 28 min 56
s + arrêt : 2
min ...La
Poste : 3 min
= 17 h 33 min
56 s + arrêt 2
min = 17 h 35
min ...
DOCELLES à :
17 h 41 min...
arrêt : 15 min
= 17 h 56 min
56 s BL
repartirait de
DOCELLES à 17
h 56 min 56 s
DOCELLES = 17
h 48 min 56 s
... AUMONTZEY
= 16. 7 km =
20 min = 18 h
08 min 56 s
... arrêt : 5
min = 18 h 13
min 56 s ...
LAVAL-SUR-VOLOGNE
= 7 km = 9 min
= 18 h 22 min
56 s arrêt 10
min = 18 h 32
min 56 s ...
BRUYERES = 2.
4 km = 4 min =
18 h 36 min 56
s arrêt 5 mn =
18 h 41 min 56
s ...
AUMONTZEY = 7
km = 9 min =
18 h 50 min 56
s
3 + 4 + 12 + 2
+ 3 + 15 + 20
+ 5 + 9 + 10 +
4 + 5 + 9 =
101 min = 1 h
41 min
Temps total :
1 h 41 min
Bernard
LAROCHE en
partant du CES
de BRUYERES à
17 h 05 min,
arriverait à
AUMONTZEY : 18
h 50 min 56 s
= IMPOSSIBLE
IL N’AURAIT
PAS PU CROISER
MICHEL
VILLEMIN à
LAVELINE-DEVANT-BRUYÈRES
à 17 h 15 min
ou 26 min
Google indique
:
LAVELINE-DEVANT-BRUYERES
...
LEPANGES-SUR-VOLOGNE
= 9 km = 12
min
Si la famille
est arrivée à
18 h 40 min ,
elle était à
LAVELINE-DEVANT-BRUYERES
= 17 h 28 min
LES VILLEMIN
indiquaient :
“2e. Avec le
SRPJ (SI/D564)
pour
l'enlèvement
et le meurtre
de Grégory
- (Départ
AUMONTZEY -
BRUYERES -
LEPANGES -
DOCELLES -
AUMONTZEY) il
aurait fallu
au minimum 44
minutes 45
secondes. En
tenant compte
d'un départ à
17 h 00 du CES
BRUYÈRES et
son retour au
carrefour de
LAVELINE -
DEVANT
BRUYÈRES il
aurait fallu
un minimum de
36 minutes 45
secondes.En
ajoutant le
chrono
(SI/D408)
correspondant
à ses achats
et à
l'encaissent
de son tiercé,
il pouvait
être au
magasin
CHAMPION vers
17h47', au PMU
vers 18h05' et
au carrefour à
LAVELINE
DEVANT
BRUYERES
aperçu par
Michel
VILLEMIN et
ses parents
qui
descendaient à
Transversale
18h15'.
3e. Avec le
juge SIMON
(SI/D408) pour
l'enlèvement
et le meurtre
de Grégory
(17h00' -
Départ du CES
BRUYÈRES (et
non du lycée
Lurçat) -
LEPANGES -
DOCELLES -
AUMONTZEY) il
aurait fallu
48 minutes. En
ajoutant le
temps
correspondant
à ses achats
et à
l'encaissent
de son tiercé,
il pouvait
être au
magasin
CHAMPION vers
17h58', au PMU
vers18h16' et
au carrefour à
LAVELINE
DEVANT
BRUYERES
aperçu par
Michel
VILLEMIN et
ses parents
qui
descendaient à
LEP
LAVELINE-DEVANT-BRUYERES
ANGES vers
18h26'.
Remarque: En
fonction de
certains
chronométrages
et de
l'estimation
des temps
morts, il y a
une variation
d'une dizaine
de minutes
entre les
chronométrages
des premiers
enquêteurs
(Gendarmes
/SRPJ) et
celui du juge
SIMON.
Conclusion: Il
n'y a pas
d'incompatibilité
dans cette
hypothèse,
Bernard
LAROCHE
pouvait être
aperçu sur les
hautes de
LEPANGES
entre17h17' et
17h18'
(voiture
verte) et se
retrouver au
carrefour de
LAVELINE
DEVANT
BRUYERES entre
17h15' et
17h26' (SIC)
COMMENTAIRE :
il est inutile
de faire
l’analyse des
deux derniers
chronométrages
elle n’apporte
rien.
http://www.dailymotion.com/video/x1aeat0_non-elucide-affaire-gregory-villemin-26-01-14_tv
QUE DISENT NOS
MÉDIAS ?
Non élucidé :
affaire
Grégory
Villemin
26/01/14 -
vidéo
Dailymotion
dailymotion.com
Il existe
beaucoup de
contre-vérités
dans ce
reportage...
notamment
générées par
Monsieur
Jean-Marc
BLOCH en
particulier,
Arnaud POIVRE
D'ARVOR se
contente de
l'interroger :
Il est
totalement
faux de
prétendre que
les gendarmes
aient effectué
une
perquisition à
fond de la
propriété des
VILLEMIN,
n'importe qui
sait que ce
sont des
propos
mensongers, de
même il est
aberrant de
soutenir que l
'enfant aurait
été étranglé :
ce serait
oublier, que
l'on a trouvé
de l'eau dans
son estomac,
ce qui ne
serait pas
grave mais
surtout ce qui
est létal dans
ses poumons,
certes en
petite
quantité. Le
Professeur
Duprez après
des analyses
faites à
l'aide d'un
microscope ,
ne trouva dans
l'eau contenue
dans les deux
lobes des
poumons aucune
particules ni
végétales ni
minérales que
charrient
nécessairement
toutes les
rivières ainsi
que la
VOLOGNE.
L' omission de
la
perquisition
fut une FAUTE
majeure de
l'enquête de
la
Gendarmerie, (
toute le monde
le sait ) qui
coûta très
cher, et qui
permis à la
succube de
LEPANGE -SUR-
VOLOGNE : "une
femme
intelligente
et d'une
grande
présence
d'esprit"(SIC)
de se
débarrasser de
toutes les
preuves
compromettantes...
encore
aurait-il
fallu qu'elle
sache où elles
pouvaient se
trouver ? ceci
concerne les
cordelettes (
en réalité du
cordeau ) : "
C'est Jean-
Marie VILLEMIN
qui bricolait"
(SIC C.V. )
L'autre fut la
destruction de
la lettre du
16 octobre
1984,
revendiquant
le
crime...quels
nullards les
gendarmes qui
ont enquêté
(pareil à
celui que
décrivait Jean
FERRAT dans sa
chanson "
Sacré
Félicien")
...chercher
les empreintes
d'un corbeau
malin comme un
renard, qui
les
enfarinaient
depuis 2 ans,
les narguant
jusqu'au
ridicule,
était-ce
perspicace ?
N'était-il pas
naïf de
rechercher les
empreintes
d'un
malfaisant,
qui malgré des
centaines
d'appels
anonymes et
d'exactions de
toute sorte,
ne s' était
jamais fait
prendre et les
avait nargués
?
Jean-Marc
BLOCH, met
même en cause
en douce, les
Policiers en
prétendant
qu'ils
auraient
magouillé pour
mettre
eux-mêmes des
cordelettes
dans la maison
des VILLEMIN,
c'est débile !
vous voyez
Corazzi
fabriquer du
cordeau ? ...
parce que ce
ne sont pas
des
cordelettes,
dont-il
s'agit, mais
bien de
CORDEAU.
Ceux qui
connaissent le
Commissaire
"un peu"
savent, qu'il
était plus
présent dans
les bars à
filles de joie
de Nancy, plus
actif sur un
terrain de
golf, avec un
pastis à
portée de
mains, que
pour fabriquer
du cordeau, ce
qui est
impossible
sans des
machines
spéciales.
Ce qui est un
comble pour
cet
ex-commissaire
BLOCH, qui se
la pète
d'avoir été
dans la Police
parisienne, se
sont ses
allégations
insensées, pas
étonnant
qu'avec de
telles
aberrations :
20 % des
homicides ne
soient pas
élucidés, sans
compter au
moins autant
ceux qui sont
ignorés parce
que les
médecins,
délivrent des
autorisations
d'inhumer, en
se faisant
feinter ou pas
?
Jean-Marie
VILLEMIN
possédait
forcément du
cordeau,
puisqu'il a
construit
lui-même
l’extension de
sa maison
destinée à un
garage, monté
en parpaings
d'agglomérés
de béton, qui
était encore
sans porte le
16 octobre
1984.
Le cordeau est
un outil
obligatoire
pour de tels
travaux (
c'est ce que
les magistrats
béotiens des
métiers du
bâtiment
nomment des
cordelettes)
Le gendarmes
ont suborné
Murielle
BOLLE, c'est
évident :
comment cette
jeune
adolescente
pas futée pour
deux sous,
(tout le monde
la voit sur la
vidéo
lorsqu'elle se
rétracte...
une enfant de
10 ans ? )
aurait-elle pu
indiquer avec
un
stylographe,
l'itinéraire
fou qu'on lui
prête et
qu'aurait
emprunté
Bernard
LAROCHE ? On
nous prend
pour des
imbéciles...
savait-elle
lire un plan,
quand un
adulte, n'y
arriverait
même pas.
Les gendarmes
ont fabriqué
de toutes
pièces : le
foulage parce
que si le
gendarme Klein
qui s'est fait
abuser, par
ses collègues,
n'a trouvé que
2 initiales
par
foulage...:ce
qui pose
interrogation
est le fait
qu' il n'a
jamais
découvert
aussi par
foulage, le
reste du texte
de la page
précédente du
bloc
d'écriture...
et personne, à
moins d'être
fêlé ou
aliéné,
n'utilise les
blocs
d'écriture
pour
n'inscrire au
bas des
feuillets :
que deux
lettres.
Le foulage
aurait été
instantanément
détecté le 17
octobre 1984,
car cela ne
nécessite
aucun appareil
pour le voir.
Demandez à
Jean KER il
suffit
d'incliner la
feuille placée
sous une
lumière
rasante...
Le gendarme
KLEIN n' a
jamais
présenté le
document dont
la signature
se superposait
parfaitement
d'après lui,
au foulage
découvert sur
la lettre du
16 octobre
1984, s'il
l'avait fait
on aurait pu
rechercher, où
il avait été
signé, et si
comme c'est
probable, il
avait été
signé dans une
gendarmerie,
nous aurions
eu droit à un
grand moment
de solitude.
Ses collègues
ont dû tendre
un piège à
Bernard
LAROCHE pour
le faire
avouer, en
glissant la
lettre du 16
octobre 1984,
sous les
feuillets de
copie à signer
des auditions
par Bernard
LAROCHE...
On connait les
malversations
dont sont
capables des
policiers ou
les gendarmes,
qui ne sont
jamais
sélectionnés
après enquête
de Moralité...
mais plutôt
dans les
couches
inférieures de
la Société et
en constituent
sa lie, celles
qui ne
trouvent aucun
emploi
ailleurs, et
surtout pas
dans le
secteur privé.
Très peu
d'enquêteurs
le font par
vocation, les
gendarmes
Prouteau et
Jambert,
valeureux,
consciencieux,
honnêtes, etc
pétris de
qualités, sont
des
exceptions.
On ne peut que
constater, que
l'un a été
assigné en
Justice pour
des délits qui
lui ont été
imposés par
abus de
pouvoirs,
l'autre qui
avait "logé"
le criminel
Émile LOUIS, a
été retrouvé
"suicidé" ...
sans doute pas
pour lui-même
? ...
Il est
désormais
IMPOSSIBLE
d'exercer en
légitimistes,
genre le
JAVERT des
"Misérables" ,
certains
métiers en
France devenue
République
bananière.
Sur des
centaines
d'appels
malfaisants,
les gendarmes
n'ont jamais
débusqué un
seul corbeau,
c'est
lamentable,
mais pas
étonnant les
plaintes de la
plèbe
finissent à la
poubelle,
seules celles
des patriciens
sont prises en
considération,
fussent-elles
mineures
Constatons
qu'un corbeau
vole beaucoup
plus haut
qu'un jeune et
incompétent
colonel de
gendarmerie...
plus jeune
encore que le
Juge LAMBERT,
que l'on
agonit
d'insultes, en
oubliant le
Procureur
local, qui est
resté muet
malgré les
entraves à
l'exercice de
la Justice,
alors qu'il
disposait de
tout un
arsenal pour
faire
respecter la
mission de la
Justice et la
LOI et mettre
sous boisseau
pour réduire
au silence la
meute des "
RATS DE
VOLOGNE" : IL
ne l'a pas
fait.
En fait le
gendarme
SESMAT n'a eu
raison, que
sur un seul et
unique point
dans cette
triste
affaire, ce
meurtre aurait
pu être résolu
en moins de 15
jours... mais
nuance : pas
par lui, par
un enquêteur
moins
suffisant,
plus
perspicace,
plus
intelligent.
Le gendarme
Sesmat par sa
naïveté et sa
méconnaissance
des annales
des
fiilicides,
s'est fait
rouler dans la
farine, comme
un gamin... le
corbeau
l'avait
conditionné
depuis trois
ans...( ou ses
"hommes "
comme il le
dit ?).
La diablesse
leur avait
livré, par ses
manigances,
ses
auto-exactions,
ses
malveillances
bien ciblées :
un coupable...
et en paquet
cadeau un
mobile : LA
VENGEANCE qui
comme
l'Arlésienne
n'apparait
jamais, alors
qu'on la
cherche
toujours...
Le Juge et
parti :
Maurice SIMON
? doit la
chercher
encore après
son
"épectase"...
Les excès de
libido ne sont
pas bons pour
la santé d'un
"couguar", ni
pour les
jugements de
Justice
équitable.
Les gendarmes
outre leurs
erreurs
monumentales,
se sont
comportés tels
des voyous,
Ils ont
informé les
VILLEMIN,
avant et après
le crime. Ils
ont conseillé
aux VILLEMIN
de donner des
appels
anonymes, ce
qui est
illégal, et le
résultat est
le brouillage
des pistes et
leur
incapacité à
trouver quoi
que ce soit,
de débusquer
un seul
corbeau.
Le gendarme
SESMAT,
ignorait les
statistiques
des annales
des
infanticides
qui lorsqu'ils
sont perpétrés
par les
parents, (donc
dans les cas
de filicides),
indiquent que
dans plus de
90 % des cas :
les mères sont
coupables...,(c'est la conclusion qu'ont tirée les policiers dans une
affaire
similaire
celle de Tania
PARNISARI, qui
elle est
passée en
jugement aux
Assises.)
C'est le crime
le plus
horrible et en
même temps le
plus naturel,
la mère donne
la vie, et
considère
pouvoir donner
la mort, les
mères Folcoche
n'existent pas
que dans les
romans.
Ainsi le
gendarme
SESMAT assène
péremptoirement à ceux qui lui reprochent : "pourquoi vouliez-vous que
nous fassions
une
perquisition ?
Ce sont les
VILLEMIN qui
sont les
victimes...
C'est grave
une
perquisition
"(SIC) : ben !
voyons !
CORAZZI lui
répond :"on
fait une
visite
domiciliaire"...
L'enfant n'a
pas été
étranglé, mais
noyé chez LUI,
comme les
petits chats
qu'on noie
dans un seau
pour éliminer
la portée que
l'on ne veut
pas...
Il avait peu
d'eau dans les
poumons, parce
que le corps a
été transporté
à plat-ventre
dans le coffre
d'une
automobile.
Cette eau
était de la
ville, sans
les particules
minérales, et
végétales, que
nécessairement
charriait la
VOLOGNE.
Le rapport du
Pr DUPREZ a
été daubé...
pourtant
personne ne
l'a jamais
contesté,
c'est
paradoxalement
le seul !
Notons que le
corps de
Grégory a été
incinéré alors
que les
analyses ADN
se
vulgarisaient
dans les
années 2 000
Quel que soit
l' état d'une
dépouille, la
loi attribuée
à Lavoisier,
nous enseigne
: "que rien ne
se perd, rien
ne se crée,
tout se
transforme ".
Une analyse
aurait pu être
faite, la
Justice a
autorisé la
destruction de
preuves
matérielles,
c'est
imparable,
mais elle
devait avoir
quelques
raisons ?
Le transport
du corps mort
et ficelé de
l'enfant dans
un coffre de
voiture, sans
doute à plat
vendre, a vidé
par gravité
l'eau de ses
poumons.
La solution de
l'affaire de
Grégory
VILLEMIN, est
des plus
simples, mais
il faut deux
conditions :
savoir lire,
et avoir
poursuivi ses
études jusqu'à
CM2, pour
pouvoir
ajouter des
temps.
Christine
BLAISE
VILLEMIN est
coupable
d'avoir mis
fin aux jours
de son fils
Grégory le 16
octobre 1984,
entre 17 h 02
min et 17 h,
08 min : le
temps qu'a mis
Monsieur
Bernard COLIN
et son chien
dalmatien pour
arriver au
croisement que
balayait
M.MELINE
(situé 10 m au
dessus de chez
les VILLEMIN),
après avoir
été dépassé
par la RENAULT
5 noire de la
mère de
l'enfant,
montant la rue
de BELLEVUE.
Les VILLEMIN
indiquaient
sur leur site
qu'il fallait
faire : " les
schémas
horaires" de
chaque
protagoniste
concluant : "
LE RÉSULTAT
EST ÉLOQUENT"
: Ils avaient
RAISON ...mais
le 10
septembre 2010
il se sont
empressés de
retirer tous
leurs
documentes
émis sur
Internet.
Demandez-leur
POURQUOI ? on
ne veut plus
aider les
internautes ?
et continuer à
les prendre
pour des
"pommes" ?
C'est
mathématique...
Comme au
sudoku : il
n'y a dans
cette affaire
qu'une seule
et unique
solution. Les
"math" se
fichent des
sentiments,
qui vont de la
sensiblerie, à
la haine, qui
obèrent
résultats et
jugement,
elles sont une
Science
exacte.
La succube
avait élaboré
un plan
diabolique à
long terme, et
l'a respecté à
la lettre...
sans jamais
faire
demi-tour, le
poursuivant
imperturbablement
: son but
était de
conditionner
les enquêteurs
pour qu'ils
orientent leur
soupçons
d'emblée après
la mort
programmé de
son enfant,
contre celui
qui d'après
elle avait
quelques
motifs d'en
vouloir à son
père adoptif
Albert
VILLEMIN,
c'est à dire
Jacky
VILLEMIN, dit
: "LE
BÂTARD,", en
offrant aussi
: son mobile
aux enquêteurs
: LA
VENGEANCE.
On comprend
mieux ainsi,
en les
relisant, le
sens du
contenu des
lettres et
appels
anonymes qui
apparait au
premier abord
mesquin et
débile. Il ne
l'était pas du
tout, on
devine les
motifs
programmés du
comportement
de l'auteure
du crime,
brouiller les
pistes, et
cibler un faux
coupable en
lui trouvant
un mobile.
Normal : Jacky
VILLEMIN
pouvait être
jaloux de ses
demi-frères,
pour n'avoir
pas avoir été
traité dans la
famille, d'une
manière
équitable...
C'est ce que
tout individu
pourrait
raisonnablement
penser... même
si c'était
complètement
faux.
Manque de
chance, le
jour du crime,
Jacky VILLEMIN
avait un
solide alibi,
ce que ne
pouvait pas
prévoir
l'auteure du
crime.
On ne
programme pas
la réparation
d'un toit en
octobre, on en
profite pour
la faire quand
il fait
beau... ce qui
était le cas
le 16 octobre
1984.
Les gendarmes
qui comme
d'habitude
n'avaient rien
fait après les
plaintes,
celles de la
populace ne
les concernent
pas ... ils ne
s' occupent
que de celles
des friqués.
Ils n'ont mis
personne sous
écoutes, ce
fut un gros
bobard... La
preuve :
Aucune des
bandes
enregistrées
ne l' a été
par les
gendarmes...
Mais le 16
octobre 1984,
ils se sont
trouvés fort
dépourvus ...
et dans le
caca... avec
un enfant mort
sur les bras.
Alors pour
rattraper leur
je
m-en-foutisme,
ils ont
cherché à se
dédouaner par
rapport aux
VILLEMIN, en
les
considérant
d'emblée pour
victimes et en
taillant en
pièces un
coupable
montré du
doigt par le
corbeau :Jacky
VILLEMIN, avec
le mobile de
vengeance
offert et
livré "gratos"
: en paquet
cadeau aux
enquêteurs,
par le corbeau
qui avait
préparé
soigneusement
et
méthodiquement
son sale coup,
éliminer son
enfant.
Jacky VILLEMIN
ayant un
solide alibi,
la diablesse a
changé son
fusil
d'épaule, dans
la famille on
sait faire, le
dirigeant vers
Bernard
LAROCHE...
mais lui
n'avait aucun
mobile de
VENGEANCE...
alors on
cherchera LA
VENGEANCE elle
est aux
abonnés
absents
...jusqu'à la
fin des temps.
C'est pour
cela que
Maurice SIMON
le juge aussi
magicien
qu'amoureux, (
juge et
partie).. a
toujours
cherché le
mobile de la
VENGEANCE qui
est comme l'
Arlésienne :
on en parle
TOUJOURS dans
cette affaire,
mais on ne la
voit JAMAIS.
Stupides les
arguments de
SESMAT sur ce
points, pour
trouver un
mobile contre
Bernard
LAROCHE.
En 1981,
lorsque la
zizanie a
commencé : les
VILLEMIN ne
possédaient
pas ni la
salle en
manger en
chêne, ni le
salon en
cuir... en
cuir ... vous
vous rendez
compte" :
clame Me
Moser, qui
vous fera
prendre votre
vessie pour un
lanterneau.
Mais les
"GISCARD " ne
gagnaient en
réalité que :
10 000 F en
1983... une
misère !
(appel du 24
avril 1983)...
et avaient
plus de dettes
que d'argent
comptant.
Me Moser fait
mourir de rire
en qualifiant
de "GISCARD"
les VILLEMIN ?
n'importe quoi
! Il
travaillait
dans une usine
pourrie où
personne ne
veut aller
parce que ça
pue, et ça
colle ... et
il était fayot
"garde-chiourme" , d'ailleurs il le dit lui-même : "un chef c'est un
surveillant
!", (SIC) lors
de l'appel
anonyme du 24
avril 1983.
Me Moser comme
le gendarme
Sesmat, n'a
jamais visité
une usine , ça
se remarque !
Un délégué du
personnel ne
peut pas
envisager les
mêmes
perspectives
de carrière
qu'un
"fayot"... :
une balance.
C'est une
constante dans
toute
entreprise et
devenir
délégué du
personnel est
un choix et
même une
vocation
suicidaire.
Très drôle
aussi Me
CHASTANT-MORAND,
elle s'est
prise souvent
la soutane
dans le
tapis... de
belles bourdes
et de gros
mensonges...
comme la
rencontre
aussi
imaginaire
qu'impossible
du troisième
type à
l'entrée de la
ferme de
Madame CLAUDON
à 17 h 32 min
41 s...
Au Loto vous
pouvez jouer
ces numéros
... vous aurez
les mêmes
possibilités
de gagner que
l'existence de
cette
rencontre
imaginaire
montée de
toutes pièces
par le collège
des avocats
véreux... Même
si vous
l'organisez
vous
n'arriverez
pas à faire
converger
quatre faits
indépendants,
en un point
précis dans un
créneau de 30
secondes
Petites
questions :
-- pourquoi
Christine
BLAISE
VILLEMIN et
Jean KER
n'ont-ils pas
été poursuivis
pour
complicité de
tentative de
meurtre le 27
février 1985 ?
-- Pourquoi le
Procureur
BENEY n'a-t-il
jamais indiqué
à l'Opinion
Publique sur
quel appel
anonyme
enregistré,
avait été
découverte la
voix du
locuteur
féminin ?
CONSTATATION :
" SUBLIME ,
FORCEMENT
SUBLIME !
l'auteure du
crime... "
Croyez le bien
: elle avait
raison
Marguerite :
"Hiroshima mon
amour !"... ne
retenons que
le résultat,
en oubliant le
titre à
objectif
commercial...
Les "rats de
la VOLOGNE"
ont fait bien
pire
CONCLUSION :
Il ÉTAIT
IMPOSSIBLE A
BERNARD
LAROCHE
D’ARRIVER SUR
LES HAUTS DE
LEPANGES A 17
h 10
minutes...
ARRÊTÉ A : 230
mètres DE LA
MAISON DE
GREGORY
VILLEMIN, IL
ÉTAIT
IMPOSSIBLE QU’
IL PUISSE
L’ENLEVER EN
DEUX MINUTES
... POUR
ARRIVER A LA
POSTE AVANT 17
h 15 minutes (
dernière levée
) MÈME S’ IL Y
ÉTAIT ARRIVE,
IL LUI AURAIT
ÉTÉ IMPOSSIBLE
DE TÉLÉPHONER
DE DOCELLES A
17 h 32 min 41
S (temps
nécessaire :
arrêt Poste :
2 min ...
DOCELLES = 5.7
km = 6 min
.... arrêt : 6
+ 1 + 5 + 3 +
2 + 2 + 2 = 21
min... : SOIT
: 17 h 15 min
+ 21 min = 17
h 36 min au
delà de 17 h
32 min 41 s
LE TEMOIGNAGE
ATTRIBUE A
MURIELLE BOLLE
N'EST PAS
CREDIBLE :
ELLE FUT
SUBORNEE, SI
LES GENDARMES
NE L'ONT PAS
POURSUIVIE
APRES AVOIR
BENEFICIE D'
UN NON-LIEU :
ILS ONT DES
RAISONS ...
DEMANDEZ -
LEUR POURQUOI
?