2017 /03 /21 : Que faut-il penser du témoignage de Murielle BOLLE ? subornée par les gendarmes, ou non ?

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Toni Denis

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Mar 21, 2017, 1:04:42 PM3/21/17
to Affaire du petit Grégory : Enigme ou mensonge d' Etat ?

Que faut-il penser du témoignage de Murielle BOLLE ? subornée par les gendarmes, ou non ?

La Cour dite "d'Accusation" de DIJON écrit dans le non-lieu : / CITATION

"Entendue à son tour le 31 octobre, puis le 1er novembre 1984, Murielle BOLLE déclara que le 16 octobre précédent à dix-sept heures, lors de sa sortie du CES de BRUYÈRES, elle était montée dans l'autobus de ramassage scolaire dont le chauffeur avait un petit bouc et des moustaches et qu'elle était arrivée à dix-sept heures vingt à AUMONTZEY.

Elle s'était rendue directement au domicile de Louisette JACOB pour y faire ses devoirs de classe. A son entrée, vers dix-sept heures vingt cinq, Bernard LAROCHE était assis dans la cuisine avec son fils sur les genoux et regardait la télévision. Dix minutes plus tard Bernard et Sébastien étaient partis pour aller chercher du vin au magasin CHAMPION de LAVAL .Ils étaient revenus peu après dix-huit heures. Après le dîner elle avait regagné le domicile de son beau-frère en compagnie de celui-ci.

* : "Intrigués par la divergence entre le récit de Bernard LAROCHE et celui de sa belle sœur quant à l'ordre de leur arrivée au domicile de Louisette JACOB et par la discordance entre les déclarations de la jeune fille et celles de quatre de ses camarades de classe ayant affirmé qu'elle n'était pas montée dans l'autobus scolaire mais dans une voiture qui l'attendait à la sortie du collège, les gendarmes entendirent à nouveau de manière plus complète Murielle BOLLE le 2 novembre 1984.

Elle commença par maintenir sa précédente version des faits, concernant notamment le chauffeur de l'autobus, laquelle était inexacte, car le 16 octobre 1984 ce véhicule avait été piloté par un chauffeur occasionnel, Jean-Marie GALMICHE, qui ne portait pas de moustaches et avait des lunettes.

Confondue par ce mensonge Murielle BOLLE admit qu'elle n'avait pas dit la vérité et donna des faits la relation suivante :

A la sortie du CES elle était effectivement montée, non dans le car scolaire, mais dans l'automobile Peugeot 305 gris vert de son beau-frère Bernard LAROCHE. Elle s'était assise à la droite de celui-ci, Sébastien se tenant à l'arrière. Ils étaient passés à CHAMP-le-DUC, à BEAU-FILS et étaient arrivés à LEPANGES-sur-VOLOGNE, localité où elle n'était jamais allée auparavant. Bernard LAROCHE s'y était arrêté deux minutes, était descendu de voiture et était revenu en compagnie d'un petit garçon inconnu, du même âge que Sébastien et coiffé d'un bonnet qu'il avait fait monter à l'arrière. Ils étaient repartis en direction de BRUYÈRES et s'étaient arrêtés à nouveau à LEPANGES.

Son beau-frère s'était absenté un instant. Il ne tenait rien à la main et elle ignorait ce qu'il avait fait. Ils étaient repartis dans l'autre sens et après un trajet d'environ cinq minutes ils étaient parvenus dans un autre village qui, elle l'avait su le lendemain, s'appelait DOCELLES. Bernard LAROCHE était sorti avec l'enfant au bonnet tandis qu'elle-même était restée dans la voiture en compagnie de son neveu Sébastien. Au terme d'un laps de temps dont elle ne put préciser la durée, Bernard LAROCHE était revenu seul et ils étaient rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en passant par BRUYÈRES. Il était alors environ dix-sept heures trente. Bernard LAROCHE était reparti cinq minutes plus tard en disant qu'il allait acheter du vin à LAVAL-sur-VOLOGNE. Il avait pris Sébastien avec lui et était revenu une demi-heure après.

Pendant ce temps elle avait accompli ses devoirs au domicile de Louisette JACOB. Une photographie de Grégory VILLEMIN lui ayant été montrée, elle reconnut qu'il s'agissait bien de l'enfant qui était monté à bord de leur automobile.

Placée en garde à vue à treize heures trente à l'issue de son audition Murielle BOLLE fut entendue à nouveau le même jour de dix-huit heures quinze à dix-huit heures quarante cinq. Elle ajouta quelques détails à son précédent récit: Arrivé à un carrefour dans les hauts de LEPANGES, Bernard LAROCHE lui avait dit, en descendant de voiture "Fais attention à Cibiche" , surnom de Sébastien.

Au retour ils avaient d'abord pris une route barrée dans l'agglomération de LEPANGES; précision dont l'enquête confirma l'exactitude. Au cours du trajet Grégory avait parlé à Sébastien.

A DOCELLES, localité qu'elle ne connaissait pas jusqu'alors, son beau-frère avait garé sa voiture sur une place, avait ouvert la porte arrière et avait appelé l'enfant par son prénom de Grégory. Elle les avait vu partir et ne savait pas où ils étaient allés. Elle avait pensé qu'il emmenait Grégory chez un ami de sa famille.

Le lendemain, 3 novembre 1984 à huit heures trente, après une nuit de repos, Murielle BOLLE maintient ses dernières déclarations et mentionna sur un croquis l'endroit où la voiture de Bernard LAROCHE était stationnée à la sortie du CES et l'emplacement de l'autobus de ramassage scolaire puis l'itinéraire qu'ils avaient suivi jusqu'à LEPANGES. Dans cette localité ils avaient grimpé une grande côte. Lorsqu'ils s'étaient arrêtés la première fois elle avait aperçu le toit d'une maison qui se trouvait plus haut sur la colline.

Elle avait pensé le 17 octobre 1984, en apprenant chez Louisette JACOB l'assassinat de Grégory VILLEMIN et en voyant sur un journal la photographie de l'enfant que LAROCHE était l'auteur du crime. Mais elle n'avait rien osé dire car elle avait peur. A son avis son beau-frère était venu la chercher à la sortie du collège, ce qui ne s'était encore jamais produit, pour qu'elle garde Sébastien qui ne pouvait rester seul en raison de son handicap. Elle expliqua qu'elle avait menti au sujet de l'autobus de crainte que sa sœur et son beau-frère ne fussent inquiétés et aussi parce qu'elle avait un peu peur de ce dernier bien qu'il ne l'eût jamais menacée.

Elle se déclara soulagée d'avoir dit la vérité "car c'était une chose trop grave pour la cacher." Le même jour à dix heures quinze elle affirma que sa déposition était conforme à la réalité et se dit prête à la renouveler devant le juge d'instruction. Au maréchal des logis chef BOUQUET qui attirait son attention sur l'importance de sa déposition et sur la gravité de ses conséquences, elle répondit: "Oui c'est vrai. Je m'en souviens parfaitement. Je m'en souviendrai toute ma vie."

Le 3 novembre 1984 à l'issue de sa dernière audition elle fut examinée par un médecin et elle regagna le domicile de ses parents à L’AVELINE-devant- BRUYÈRES dès la fin de sa garde à vue qui avait cessé à dix heures trente. Son père, Lucien BOLLE, informé en fin de matinée par les gendarmes des révélations de sa fille, s'engagea sous serment à ne pas les divulguer et tient sa promesse .

Le lundi 5 novembre 1984 la jeune fille, entendue par Monsieur LAMBERT de neuf heures quinze à dix heures trente, confirma entièrement ses déclarations aux gendarmes des 2 et 3 novembre précédents et le récit de l'enlèvement de GrégoryVILLEMIN.

Elle précisa que celui-ci était souriant et que Bernard LAROCHE était gentil avec lui. Selon ses dires ils auraient fait demi-tour à l'endroit de leur premier stationnement à LEPANGES et ils ne seraient point passés devant la maison dont elle avait vu le toit. Elle ne put décrire la place de DOCELLES où leur voiture s'était garée et prétendit n'avoir pas vu de rivière à proximité.

Questionnée par le juge d'instruction, hors la présence des gendarmes, au sujet de l'attitude de ceux-ci à son égard, elle répondit "qu’ils avaient été gentils" , qu'ils ne lui avaient jamais dicté ses réponses et qu'elle avait pu parler librement. Elle assura de nouveau qu'elle avait dit la vérité et renouvela sa déposition lors d'un transport sur les lieux organisé par le magistrat instructeur auquel elle montra l'emplacement où le véhicule de LAROCHE était stationné près du collège de BRUYÈRES et le lieu où il s'était arrêté sur les hauts de LEPANGES, mais elle fut incapable de retrouver ensuite l'itinéraire qu'ils avaient suivi.

Il est vrai qu'elle connaissait mal la région car ses parents n'avaient pas de voiture. A l'issue de ce transport sur les lieux elle rejoignit sa famille à L’AVELINE-devant-BRUYÈRES.

Bernard LAROCHE ayant été le même jour, 5 novembre 1984, inculpé d'assassinat et placé sous mandat de dépôt, Murielle BOLLE se rendit le lendemain au Cabinet du juge d'instruction d'EPINAL accompagnée de sa mère, Jeannine LAVABLE épouse BOLLE, et, en présence de celle-ci, rétracta les accusations qu'elle avait portées contre son beau-frère. Revenant à sa première version des faits, elle soutient qu'elle était montée dans l'autobus scolaire le 16 octobre précédent à dix-sept heures et elle prétendit que les gendarmes l'avaient trompée en lui faisant croire que Bernard LAROCHE avait passé des aveux et l'avaient menacée d'un placement en maison de correction et d’une inculpation de complicité d'assassinat si elle n'acceptait pas de le mettre en cause.

Ébranlés par cette rétractation et ultérieurement par les plaintes avec constitution de partie civile déposées le 24 Janvier 1985 par Bernard LAROCHE contre les gendarmes enquêteurs pour faux et usage de faux en écritures publiques, subornation de témoin, menaces de mort et diffusion de fausses nouvelles susceptibles de porter atteinte à la paix publique et le 22 juillet 1985 par les parents de Murielle BOLLE contre les militaires de la gendarmerie ayant entendu leur fille pour faux, usage de faux et subornation de témoin et induits en erreur par les investigations de certains fonctionnaires du service régional de police judiciaire de NANCY qui tendaient à discréditer les témoignages recueillis par leurs prédécesseurs, le juge d'instruction d'EPINAL et, après lui, les magistrats du ministère public et ceux de la Cour d'appel de NANCY écartèrent une éventuelle culpabilité de Bernard LAROCHE en considérant :

- que Murielle BOLLE avait un psychisme fragile et avait craint d'être placée dans une maison de correction,

- qu'elle avait rétracté les accusations portées contre son beau-frère et s'était plainte d'avoir subi des pressions et d'avoir été trompée par les gendarmes,

- que l'itinéraire décrit par elle était incohérent et fantaisiste,

- que les dépositions des témoins qui avaient dit avoir vu Murielle BOLLE monter dans la voiture de LAROCHE le 16 octobre 1984 ou qui avaient constaté son absence dans l'autobus de ramassage scolaire, n'étaient pas crédibles parce qu'à l'exception d'un seul ils avaient fourni des points de repère inexacts ou commis des erreurs,

- qu'il était difficile de concevoir que Grégory VILLEMIN, enfant craintif qui ne suivait pas les adultes, ait pu se laisser prendre par un inconnu et se laisser ligoter sans se défendre et sans crier,

- que LAROCHE ne pouvait avoir la certitude de trouver Grégory VILLEMIN seul devant la maison de ses parents et de ne rencontrer aucun témoin de son rapt,

- qu'il était invraisemblable qu'un assassin se fit accompagner par un tiers pour commettre son crime,

- qu'aucun indice matériel ne désignait LAROCHE comme l'assassin et que les investigations du service régional de police judiciaire de NANCY n'avaient apporté aucun élément nouveau contre lui,

- que selon sept experts nationaux il n'était pas le scripteur de la lettre du 16 octobre 1984 et des autres écrits anonymes,

- qu'il n'avait jamais passé d'aveu,

- que son activité professionnelle était incompatible avec les appels du Corbeau,

- qu'il n'avait aucune raison de tuer Grégory VILLEMIN.

L'information judiciaire provoquée par les plaintes des consorts LAROCHE et BOLLE dont le juge d'instruction de DIJON avait été chargé par un arrêt de la Cour de cassation en date du 27 février 1985 et qui s'est terminée le 23 juin 1988 par une ordonnance de non-lieu confirmée par un arrêt de cette chambre en date du 24 novembre 1988 versé au présent dossier et le supplément d'information ordonné par l'arrêt de ce siège rendu le 25 Juin 1987 ont démontré la faiblesse de cette
argumentation et ont apporté contre Bernard LAROCHE des charges nouvelles de culpabilité.

Il en résulte en effet que Murielle BOLLE est d'une intelligence moyenne mais normale, qu'en dépit de sa jeunesse elle présentait déjà en 1984 une maturité certaine, que selon son entourage, famille, amis, instituteurs, elle avait une personnalité bien affirmée et était digne de foi.

C'est ce que sa sœur Marie-Ange LAROCHE elle-même a déclaré au début de l'enquête.

Après la mise en cause de Bernard LAROCHE les gendarmes ont questionné son père Lucien BOLLE au sujet de la fiabilité du témoignage de sa fille. Il leur a répondu que Murielle était saine d'esprit et pouvait être crue et qu'elle était en bons termes avec sa sœur Marie-Ange et le mari de celle-ci. Rien n'autorise donc à soutenir qu'elle était fragile et influençable ou qu'elle avait des tendances à la fabulation.

Les gendarmes incriminés par les familles BOLLE et LAROCHE se sont défendus d'avoir exercé des pressions sur Murielle BOLLE ou d'avoir manqué de loyauté à son égard et rien de tel n'a été prouvé à leur encontre. Les investigations du juge d'instruction de DIJON ont au contraire contribué à prouver que les enquêteurs avaient usé de beaucoup de prudence et de ménagements avec elle, que pendant sa garde à vue elle avait non seulement bénéficié de temps de repos et pu se restaurer mais qu'elle avait été admise à regarder des émissions de télévision et qu'elle avait passé la nuit non dans les locaux de la brigade de BRUYÈRES mais au domicile d'un gendarme.

Son père étant venu s'enquérir de son sort, elle lui a dit "Ça va bien. Les gendarmes c'est mes copains. Il n'y a pas de problème." Elle a été examinée pendant sa garde à vue par le docteur ROUSSEAU qui était son médecin de famille, qu'elle connaissait bien et qui la connaissait. Il lui a demandé si les gendarmes avaient été corrects avec elle. Elle lui a répondu "Oh oui. Ils ont été vachement sympas."

Le docteur ROUSSEAU a constaté qu'elle ne paraissait nullement traumatisée ou émue par sa garde à vue et qu'elle était au contraire souriante et détendue.

Au surplus si depuis le 30 octobre 1984 les enquêteurs avaient quelques soupçons touchant Bernard LAROCHE, ils ignoraient ce qui avait pu se passer, notamment plusieurs des détails fournis par le jeune témoin, telle l'existence d'un barrage à LEPANGES en raison de travaux de reconstruction du pont de la Vologne sur le chemin départemental 30, indication dont le transport sur les lieux a révélé l'exactitude.

Enfin Murielle BOLLE n'a exprimé aucune doléance contre les gendarmes lors de son audition par le juge d'instruction d'EPINAL et, mise en confiance par ce magistrat, a très librement et hors de toute influence extérieure, réitéré ses accusations contre son beau-frère.

Quant à l'itinéraire, il est vrai que seul l'emplacement de l'autobus et de la voiture de LAROCHE ont été dessinés par elle et que c'est un gendarme qui a tracé un plan approximatif de LEPANGES qu'elle aurait été incapable de dresser de mémoire, mais c'est elle qui a indiqué avec un stylographe le chemin suivi, lequel n'apparaît pas incohérent ou fantaisiste. Si des déclarations sont très suspectes de fausseté, ce sont à l'évidence celles passées le 6 novembre 1984 devant le juge d'instruction d'EPINAL et plus tard devant les divers magistrats qui l'ont entendue. Le greffier de Monsieur LAMBERT a déclaré à Monsieur le Président SIMON qu'elle n'avait plus la spontanéité de la veille et qu'elle semblait réciter une leçon.

Le supplément d'information a établi que le 5 novembre 1984, à son retour dans sa famille et à l'annonce de l'arrestation et de l'inculpation de son beau-frère elle avait été malmenée, notamment par sa sœur Marie-Ange qui l'avait violemment secouée en lui disant "Pourquoi tu as dit ça ? Pourquoi tu as dit ça?" à tel point qu'elle s'était enfuie en pleurant et avait fait une crise de nerfs. ainsi que l'ont révélé ses sœurs Francine BOLLE épouse PAULING et Marie-Thérèse BOLLE épouse CARAMBOLE. Le même soir il y a eu une longue discussion entre Murielle BOLLE et sa mère.

Le sieur Benoît BARBICHETTE, président directeur général de la société CANCEL, employeur de Bernard LAROCHE, a signalé à Monsieur le Président SIMON l'existence d'une dame GOBELIN, infirmière qui avait soigné pendant six ou sept ans, jusqu'à sa mort, Jeannine LAVALLEE, mère de Murielle BOLLE et de Marie-Ange LAROCHE et qui était très bien renseignée sur la famille de sa cliente, mais qui n'avait été jusque là entendue qu'une seule fois et sommairement par le commissaire CORAZZI, sous son nom de jeune fille de Jacqueline TAILBUIS, à propos du comportement de Christine VILLEMIN à laquelle elle avait également donné des soins.

Cette infirmière qui voyait matin et soir Madame BOLLE, atteinte d'un grave diabète, s'était liée d'amitié à cette femme malade et malheureuse et avait reçu ses confidences.

Aux dires de ce témoin, Madame BOLLE qui avait posé à sa fille toutes les questions qui la préoccupaient, avait acquis la conviction que Murielle n'avait pas menti, que Bernard LAROCHE était venu la chercher à BRUYÈRES, l'avait conduite à LEPANGES et avait enlevé l'enfant.

Elle était toutefois persuadée que Murielle n'avait rien fait de mal et elle se refusait à croire que Bernard LAROCHE ait pu tuer lui-même l'enfant.

Elle pensait qu'il avait été manipulé et peut-être relayé par un tiers. L'annonce de la mise en liberté de Jean-Marie VILLEMIN ordonnée le 24 décembre 1987 par la chambre d'accusation de DIJON qu'elle avait sans doute interprétée comme un signe de la culpabilité de son gendre, avait précipité la fin de cette femme, prématurément vieillie par vingt et une grossesses et minée par la maladie et l'inquiétude. Elle était morte une semaine plus tard.

Madame GOLBAIN a confirmé la réalité des pressions exercées par la famille BOLLE sur Murielle, non seulement au moment de sa première rétractation, mais depuis lors. Une autre preuve de l'apparente sincérité des accusations portées par Murielle BOLLE contre son beau- frère a été acquise grâce au supplément d'information.

Monsieur le Président SIMON ayant appris par une multitude de témoins, y compris Marie-Ange LAROCHE, que Louisette JACOB dont :'audition avait été négligée en raison de sa débilité mentale était, malgré sa simplicité d'esprit, douée de bon sens et d'une excellente mémoire et incapable de mentir, décida de la faire entendre d'abord par les gendarmes de la section de recherches de DIJON, puis de recueillir lui-même sa déposition et ce, à deux reprises. Par trois fois Louisette JACOB raconta que Murielle lui avait confié après le crime "en pleurant beaucoup, beaucoup" qu'elle s'était trouvée dans la voiture de Bernard LAROCHE avec Sébastien et Grégory, que Bernard était descendu avec ce dernier et était revenu seul.

Le juge d'instruction et le procureur de la République d' ÉPINAL avaient douté de la fiabilité des témoignages du chauffeur de l'autobus de ramassage scolaire et des compagnes de classe de Murielle BOLLE parce que certains d'entre eux contenaient quelques inexactitudes.

Ces témoignages auraient pourtant mérité d'être pris en considération dans la première phase de l'information car ils présentent une convergence totale sur un point essentiel: Murielle BOLLE n'était pas dans le car de ramassage scolaire quand il a quitté BRUYÈRES le 16 octobre 1984 vers dix-sept heures. Ce fait a été affirmé à de multiples reprises par ces témoins. Sonia PIERSON avait précisé que Murielle, au lieu de prendre le car, s'était dirigée vers une automobile vert kaki garée à côté du parc de stationnement des professeurs, au volant de laquelle se trouvait un homme, véhicule qu'elle avait vu dans les instants suivants, se diriger vers LAVAL-sur-VOLOGNE, c'est-à-dire vers LEPANGES.

Claude RICHARD avait fait une déclaration semblable en donnant des précisions particulières : "J'ai vu Murielle monter à l'avant d'une 305 dont je ne me rappelle plus la couleur... j'ai vu la voiture démarrer et prendre à gauche au bout du parking. En arrivant en haut de l'escalier, j'ai revu la voiture avec Murielle dedans passer sur la route en direction de LEPANGES... je n'ai pas vu le conducteur..." .."c'est la première fois que je voyais Murielle partir en voiture".

Quatre de ces témoignages ont été à nouveau recueillis avec un soin extrême au cours du supplément d'information.

Le chauffeur Jean-Marie GALMICHE, qui n'avait jamais été entendu par la police judiciaire de NANCY, a longuement déposé le 26 janvier 1988 devant Monsieur le Président SIMON: Il a soutenu à nouveau que Murielle BOLLE, dont la chevelure rousse attirait les regards, n'était pas dans le car le 16 octobre 1984. C'est pour lui "une certitude" .

Comme il avait dit également qu'elle y était le 23 octobre, alors que ce jour-là elle avait été absente de sa classe, ce qui avait fait douter de la solidité de son témoignage, il a ajouté : "je suis absolument sûr de ce que je dis. La petite BOLLE pouvait très bien être au collège le 16 et être rentrée chez elle par je ne sais quel moyen et n'être pas allée en classe le 23 mais être rentrée quand même à AUMONTZEY par le car que je conduisais. " Véronique DIDIERLAURENT, également entendue le 25 janvier 1988, a confirmé "qu'elle avait la conviction que Murielle BOLLE n'était pas dans le car le 16 octobre 1984".

Parmi d'autres précisions, elle a ajouté ..."j'ai eu le sentiment lorsque j'ai été entendue par les gendarmes qu'ils auraient plutôt souhaité que je leur dise que Murielle était dans le car le 16 octobre... je ne reviens pas sur ce que j'ai dit." Claude RICHARD a affirmé qu'elle était absolument certaine que le 16 octobre 1984, Murielle BOLLE n'était pas montée dans l'autobus à la sortie des cours, vers cinq - heures du soir, et qu'elle s'était dirigée vers une voiture arrêtée à droite par rapport à la sortie du collège. Les gendarmes n'ayant pas mentionné sur leur procès-verbal, en novembre 1984, quelle voiture elle avait reconnue, la planche photographique D 448 lui a été présentée par l'ancien président de la chambre d'accusation. Claude RICHARD, après un examen très attentif, a désigné le véhicule n°5, c'est-à-dire la Peugeot 305 de Bernard LAROCHE ; le témoin a confirmé que c'était la première fois qu'elle voyait cette voiture qui était passée ensuite avenue de Lattre de Tassigny. Murielle était assise à l'avant droit et le véhicule se dirigeait vers LAVAL- sur- VOLOGNE, étant précisé que depuis LAVAL, et en continuant tout droit, on va à LEPANGES, DEYCIMONT et DOCELLES, mais qu'en tournant à gauche dans LAVAL, on peut rejoindre LAVELlNE ou AUMONTZEY.

Sonia PIERSON, qui n'avait jamais été entendue par la police judiciaire, mais seulement par les gendarmes et par le juge d'instruction LAMBERT, et qui habite avenue de Lattre de Tassigny à BRUYÈRES, a confirmé que le 16 octobre 1984, vers seize heures cinquante cinq, elle avait dit au revoir à Murielle qui, au lieu d'aller vers l'autobus de ramassage, s'était dirigée à droite vers une automobile garée sur l'aire de stationnement des professeurs.

Cette voiture était de couleur vert "neutre" et en tout cas pas d'une teinte de vert éclatant. Le témoin a précisé qu'après avoir monté des escaliers situés entre des HLM et menant à l'avenue Maréchal de Lattre, elle et sa camarade Claude RICHARD avaient vu une voiture passer devant elles en direction de LAVAL et LEPANGES. Elle avait parfaitement reconnu Murielle BOLLE dans cette automobile, mais elle n'a pu donner le signalement du conducteur.

Sa camarade et elle-même s'étaient dit : "tiens, Murielle vient de passer". Au cours de cette audition Sonia PIERSON a expliqué pourquoi elle avait une certitude sur la date du 16 octobre: ..."c'est le lendemain que j'ai appris l'assassinat du petit Grégory..."

En ce qui concerne le fait que précédemment elle avait donné comme autre repère, une opération chirurgicale subie par son père, elle a déclaré: "je dis très sincèrement que sur l'entrée de mon père à l'hôpital, je me suis trompée... ; j'étais très émue et impressionnée. En réalité mon père devait entrer ce jour-là à l'hôpital pour se faire opérer d'un œil, mais il y est entré un peu plus tard. .." .Monsieur PIERSON a été hospitalisé le 12 septembre 1984 pour une blessure et il est retourné à l'hôpital les 12 et 24 octobre 1984. La planche photographique cotée D 448 a été présentée au témoin par Monsieur le Président SIMON qui lui a demandé si elle reconnaissait la voiture dans laquelle elle avait vu passer Murielle BOLLE. Sonia PIERSON a montré immédiatement la photographie n°5 en disant: "c'est celle-là" : il s'agissait de la Peugeot 3 O 5 de LAROCHE.

Au cours d'un transport sur les lieux, le magistrat instructeur s'est attaché à vérifier la crédibilité des témoignages de Claude RICHARD et de Sonia PIERSON. A BRUYÈRES, il a chronométré le temps qu'il fallait depuis la sortie du CES pour gagner à pied l'avenue Maréchal de Lattre de Tassigny en traversant le parc de stationnement du CES et en gravissant les escaliers ainsi que la pente qui conduit au bord de l'avenue Maréchal de Lattre: ce temps est de deux minutes cinquante quatre secondes; il a
parcouru, en automobile, le trajet qu'auraient pu parcourir LAROCHE et Murielle BOLLE depuis ce même parc jusqu'à l'avenue Maréchal de Lattre en direction de LEPANGES et il a chronométré ce parcours: le temps est de quatre minutes cinquante six secondes.

Il ressort de ces vérifications que les deux jeunes filles ont pu voir le véhicule de LAROCHE sur l'aire de stationnement et le voir, à nouveau, avenue de Lattre de Tassigny.

Entendue au sujet de ses contradictions, des invraisemblances de sa rétractation et des témoignages qui la démentaient, Murielle BOLLE s'est obstinée à nier sa présence dans la voiture de LAROCHE lors de l'enlèvement de Grégory VILLEMIN et à rester muette quand une question trop embarrassante lui était posée par les magistrats chargés du supplément d'information. Cette attitude s'explique, semble-t-il, par les pressions de ses proches qui, à partir de l'inculpation de son beau-frère, lui ont toujours imposé le silence. Il en fut ainsi notamment lors de l'enquête provoquée par la lettre adressée au juge d'instruction d'EPINAL par une certaine "Corinne" se disant l'amie de Murielle et relatant des confidences de celle-ci ayant trait à l'affaire, dont il sera question ci-après. Quand elle vint à DIJON le 8 février 1991 pour être entendue par le président de cette chambre; elle était escortée par l'un de ses beaux-frères et par deux de ses frères, individus réputés violents et craints de leur entourage.

La présence de Murielle BOLLE et de Sébastien LAROCHE dans la voiture du ravisseur, jugée initialement invraisemblable par le ministère public, peut s'expliquer par la nécessité de rassurer Grégory VILLEMIN qui connaissait la première pour avoir déjà été gardé par elle, bien que celle-ci n'ait pas semblé en avoir conservé le souvenir et qui aimait jouer avec le second. En outre, au cas où Christine VILLEMIN serait sortie de sa maison au moment de 1'enlèvement de l'enfant, Bernard LAROCHE aurait pu expliquer de manière très plausible que passant dans le quartier avec sa jeune belle-sœur et son fils il avait invité Grégory à se promener quelques instants en compagnie de son petit cousin, ce qui aurait pu paraître très naturel eu égard aux liens de parenté unissant les deux familles.

Quant à la prétendue méfiance de la jeune victime il a déjà été fait justice de cet argument. Grégory VILLEMIN, enfant très vif, très éveillé, n'était nullement timide et n'avait aucune raison de craindre son oncle Bernard, Murielle BOLLE et Sébastien LAROCHE qu'il connaissait déjà.

Les investigations du Service régional de police judiciaire n'ont certes apporté aucune charge nouvelle contre LAROCHE car elles ont été essentiellement orientées en direction de Christine VILLEMIN. Il y en avait pourtant à d'autres que la première enquête avait découvertes mais avait négligées et que le supplément d'information a exploitées et fortifiées.
*
Mesdames Thérèse JACOB épouse BONATO, cousine de Jean-Marie VILLEMIN et de Bernard LAROCHE, et Françoise HATTON épouse MASSON, employées à l'usine SEB de BEAUMENIL ont rapporté les 8 et 9 novembre 1984 aux gendarmes de BRUYÈRES que leur compagne de travail Isabelle BOLLE, sœur de Marie-Ange LAROCHE et de Murielle BOLLE, avait déclaré le 6 novembre 1984 vers quinze heures quarante cinq à la première d'entre elles, puis un peu plus tard à toutes deux que Bernard LAROCHE était allé chercher sa belle-sœur Murielle au CES, qu'il était descendu à DOCELLES, qu'il avait arrêté sa voiture, avait ouvert le coffre et "qu'il l'avait mis à l'eau", sans autre précision ou "qu'il avait mis quelque chose à l'eau".

Questionnée sur la source de cette information, Isabelle BOLLE aurait répondu qu'elle avait entendu raconter cela chez ses parents. Les deux témoins ont réitéré leurs déclarations le 20 mai 1988 devant Monsieur le Président SIMON bien qu'Isabelle BOLLE ait contesté avoir tenu de tels propos.
*
Madame Simone HATTON, retraitée, demeurant aux HLM Gais Champs à LEPANGESsur- VOLOGNE, a raconté le 13 mai 1985 au commissaire principal CORAZZI, le 21 octobre 1985 au juge d'instruction LAMBERT, le 15 mars 1989 aux adjudants DEFIX et BESSON de la Section de recherches de DIJON et le 7 juin 1989 à Monsieur le Président SIMON, qu'au cours de la semaine ayant précédé le crime, elle avait remarqué par trois fois un homme de taille moyenne, aux moustaches tombantes, aux cheveux mi longs ondulés, aux yeux globuleux, vêtu d'une chemise gris clair et d'un blouson ou d'une veste bleu foncé, circulant tantôt dans une voiture gris vert immatriculé

CONSTATATIONS / COMMENTAIRES :

Avant de poursuivre l'analyse du contenu du non-lieu, il est utile de rappeler ce que dit Me Chastand-Morand avec une grande intelligence et une belle perspicacité,  pour ce qui concerne la fiabilité des témoignages humains, puisque ça concerne particulièrement le témoignage que l'on attribue à Murielle BOLLE, qui a été dûment annulé par la Justice, il faut considérer que l'annulation a été implicitement admise par la Cour de Cassation qui a pour mission de veiller à la régularité des procédures :  n'a rien objecté.

Ce soi-disant :témoignage de Murielle BOLLE, ne présente donc plus aucun caractère juridique.

En principe et de Droit, on ne devrait pas pouvoir l'évoquer...

En tout cas, la Cour de DIJON, dont le Président Maurice SIMON, ont violé la Loi en utilisant ce témoignage suborné, a fortiori en le faisant uniquement à charge contre : "un inculpé" assassiné Bernard LAROCHE, qui bénéficiait de la présomption d’innocence, comme tout individu en FRANCE, non jugé.

Toute action judiciaire contre lui, devrait être de fait éteinte... ce fût les cas entre autres : du l'adjudant Pierre Chanal, de Jean -Pierre TREIBER meurtrier présumé de Géraldine GIRAUD et de Katia LHERBIER, et Grégory WIART ... etc. Cette liste n'est pas hélas exhaustive. 

L'avocate écrit dans le mémoire en faveur du non-lieu de Christine BLAISE VILLEMIN  :

-- "Attendu, que c'est à souligner que les témoignages reposent parfois sur des impressions et s'exposent souvent à des risques d'erreurs "

-- " Que cela démontre en tout cas la vulnérabilité des témoignages humains"

-- " Qu'il y a des absurdités, dont une inculpation ne peut s'accommoder"(SIC)

La Cour dite "d'Accusation" de DIJON indique :

"Intrigués par la divergence entre le récit de Bernard LAROCHE et celui de sa belle sœur quant à l'ordre de leur arrivée au domicile de Louisette JACOB et par la discordance entre les déclarations de la jeune fille et celles de quatre de ses camarades de classe ayant affirmé qu'elle n'était pas montée dans l'autobus scolaire, mais dans une voiture qui l'attendait à la sortie du collège, les gendarmes entendirent à nouveau de manière plus complète Murielle BOLLE, le 2 novembre 1984... etc. " (SIC)

COMMENTAIRE :

Il est tout de même sidérant de constater que les soupçons des gendarmes contre Bernard LAROCHE, reposent uniquement sur les divergences entre deux témoignages : celui de lui-même, auditionné pour la première fois le 25 octobre 1984, soit 9 jours après le meurtre de Grégory VILLEMIN, et celui de Murielle BOLLE entendue à son tour le 31 octobre 1984, soit 15 jours
après le meurtre de Grégory VILLEMIN.
 
QUESTIONS :

1/ : --  Qui est capable avec une certitude absolue de donner : " l'ordre des arrivées"(SIC) chez lui, respectivement 9 et 15 jours après le jour considéré ?

2/ : -- Qui s'est trompé ? Bernard LAROCHE ou Murielle BOLLE, puisqu'en répondant à la première question, on ne peut plus qualifier de : "mensonges", de telles erreurs possibles,  difficilement condamnables ? 

3/ : -- Constatons que ni les gendarmes ni la Cour de DIJON ne donne de réponse pour savoir qui dit la réponse représentant la réalité.

La Cour dite "d'Accusation" de DIJON indique que Murielle BOLLE  : / CITATION

"-- A la sortie du CES elle était effectivement montée, non dans le car scolaire, mais dans l'automobile Peugeot 305 gris vert de son beau-frère Bernard LAROCHE. Elle s'était assise à la droite de celui-ci, Sébastien se tenant à l'arrière. Ils étaient passés à CHAMP-le-DUC, à BEAUMENIL et étaient arrivés à LEPANGES-sur-VOLOGNE, localité où elle n'était jamais allée auparavant. Bernard LAROCHE s'y était arrêté deux minutes, était descendu de voiture et était revenu en compagnie d'un petit garçon inconnu, du même âge que Sébastien et coiffé d'un bonnet qu'il avait fait monter à l'arrière. Ils étaient repartis en direction de BRUYÈRES et s'étaient arrêtés à nouveau à LEPANGES.

-- Son beau-frère s'était absenté un instant. Il ne tenait rien à la main et elle ignorait ce qu'il avait fait. Ils étaient repartis dans l'autre sens et après un trajet d'environ cinq minutes ils étaient parvenus dans un autre village qui, elle l'avait su le lendemain, s'appelait D’OCELLES. Bernard LAROCHE était sorti avec l'enfant au bonnet tandis qu'elle-même était restée dans la voiture en compagnie de son neveu Sébastien. Au terme d'un laps de temps dont elle ne put préciser la durée, Bernard LAROCHE était revenu seul et ils étaient rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en passant par BRUYÈRES. Il était alors environ dix-sept heures trente. Bernard LAROCHE était reparti cinq minutes plus tard en disant qu'il allait acheter du vin à LAVAL-sur-VOLOGNE. Il avait pris Sébastien avec lui et était revenu une demi-heure après.

-- Pendant ce temps elle avait accompli ses devoirs au domicile de Louisette JACOB. Une photographie de Grégory VILLEMIN lui ayant été montrée, elle reconnut qu'il s'agissait bien de l'enfant qui était monté à bord de leur automobile."(SIC)

CONSTATATIONS  / COMMENTAIRES  :

1/ -- Il faut constater que le non-lieu, nous donne suivant les témoins pour la couleur de la voiture, qui serait toujours celle de Bernard LAROCHE, une  Peugeot 305,  une multitude différentes de nuances de vert... d'après le catalogue Peugeot, elle était en fait : "gris fumée",  d'après le nuancier du constructeur : "
Gris fumée / métallisée" ( réf : 1306/ TR/E) en l’occurrence ce serait la teinte : "gris vert" qu'aurait été vue ? (SIC)...:  Il y sans doute parmi les témoins quelques daltoniens ?

2/ -- Si l'on en croit le témoignage que le non-lieu attribue à Murielle BOLLE, son beau-frère Bernard LAROCHE serait parti  avec sa voiture personnelle , plaques minéralogiques non maquillées, avec son fils Sébastien, âgé de quatre ans et de sa belle-sœur jeune adolescente surnommée : "bouboule" (SIC) âgée de 15 ans,  pour enlever un enfant Grégory VILLEMIN âgé de quatre ans et pour ensuite accomplir le plus horrible des crimes,

La Cour de DIJON répond à celle similaire de NANCY  :

2.1./ --"La présence de Murielle BOLLE et de Sébastien LAROCHE dans la voiture du ravisseur, jugée initialement invraisemblable par le Ministère Public, peut s'expliquer par la nécessité de rassurer Grégory VILLEMIN, qui connaissait la première pour avoir déjà été gardé par elle, bien que celle-ci n'ait pas semblé en avoir conservé le souvenir et qu' il aimait jouer avec le second."(SIC)

2.2./ -- "En outre, au cas où Christine VILLEMIN serait sortie de sa maison au moment de l'enlèvement de l'enfant, Bernard LAROCHE aurait pu expliquer de manière très plausible que passant dans le quartier avec sa jeune belle-sœur et son fils il avait invité Grégory à se promener quelques instants en compagnie de son petit cousin, ce qui aurait pu paraître très naturel eu égard aux liens de parenté unissant les deux familles."(SIC)

COMMENTAIRES  :

3.1./ -- La Cour dite "d'Accusation " de DIJON nous explique : la présence de Murielle BOLLE et de Sébastien,  jugée initialement invraisemblable par le Ministère Public,"( Il y a de quoi : la constitution d'une telle équipe n'est pas habituelle lors crime aussi terrifiant) ? ) ..." : peut s'expliquer  par la nécessité de rassurer Grégory VILLEMIN" ? ... alors qu'en "réalité" suivant ce même témoignage Bernard LAROCHE partirait seul pour enlever Grégory ? ...   et elle ajoute même pour se contredire totalement : " Quant à la prétendue méfiance de la jeune victime, il a déjà été fait justice de cet argument. Grégory VILLEMIN, enfant très vif, très éveillé, n'était nullement timide et n'avait aucune raison de craindre son oncle Bernard, Murielle BOLLE et Sébastien LAROCHE qu'il connaissait déjà." ? ...

Que constate-t-on : Murielle BOLLE indiquerait, qu' après avoir " grimper une grande côte" (*)sur les : "Hauts de Lépanges" ... " Bernard LAROCHE, s'y était arrêté deux minutes, était descendu de voiture et était revenu en compagnie d'un petit garçon inconnu, du même âge que Sébastien et coiffé d'un bonnet qu'il avait fait monter à l'arrière."(SIC)

(*) il faut retenir que Bernard LAROCHE que pour arriver sur les "Hauts de Lépanges"...  aurait grimpé :"une grande côte "... Les VILLEMIN indiquaient sur un plan offert gracieusement un plan sur lequel cette même désignation est reprise deux fois pour la rue des CHAMPS entre le carrefour route de FAING / VAIREL , rue de Bellevue / rue des CHAMPS ... et rue de la BURE. Ils indiquent que le lieu de croisement entre Claude COLIN et un véhicule avec un conducteur "assez corpulent" à l'emplacement d'une ancienne éolienne, chemin de la BURE (ou de l’Orée du bois.
 
3.2./ -- Conclusion : la présence de Murielle BOLLE et de Sébastien, jugée initialement invraisemblable par le Ministère Public," de la Cour d'Accusation de NANCY (SIC), reste entièrement inexpliquée par celle de DIJON que se contredit.

La Cour dite "d'Accusation" de DIJON ne fait au contraire qu'enfoncer le clou, car in fine, par contre coup les deux passagers dont la présence apparaissait insolite, ne serviraient pas à rassurer Grégory... ce a fortiori parce que Grégory ne craignait rien de Bernard LAROCHE, qu'il surnommait : "Popof ". Lequel  pouvait se passer de ses deux : "boulets... un mis à chaque pied... Car ils devenaient plus gênants qu'utiles pour Bernard LAROCHE.

D'après le témoignage qui lui attribué, Murielle indiquerait : "A son avis son beau-frère était venu la chercher à la sortie du collège, ce qui ne s'était encore jamais produit, pour qu'elle garde Sébastien, qui ne pouvait rester seul en raison de son handicap"(SIC)

Que constate-t-on ? : Que "bibiche" (Sébastien) devait être accompagné par Murielle BOLLE, parce que : " son état de santé exigeait une surveillance  constante"(SIC)...il  était assis à l'arrière du véhicule... alors que Murielle BOLLE était assise à l'avant, ce qui n'est pas a priori la meilleure façon de soigner Sébastien... d'autant plus,  qu'il est démontré par la suite que celui-ci n'avait pas besoin de la présence de Murielle BOLLE, puisque le non-lieu nous le démontre  en expliquant, qu'après avoir ramené celle--ci chez Louisette Jacob à AUMONTZEY, Bernard LAROCHE serait reparti avec Sébastien , non assisté par sa garde malade... pour aller acheter 150 bouteilles de vin au magasin CHAMPION de LAVAL

C'est très étrange, si l'on en croit la Cour dite "d'Accusation" de DIJON, puisque que pour l'enlèvement de Grégory,  la présence de Sébastien en définitive, n'a servi  rigoureusement à RIEN... car on nous explique que  Bernard LAROCHE y serait allé seul ...

Il est curieux que  pour aller acheter 150 bouteilles de vin dans un supermarché, ce qui n'est déjà pas très aisé pour un adulte seul, parce que ça exige de trainer plusieurs caddies... pour le coup,  en emmenant avec lui, son  jeune enfant qu'il faut surveiller et sans doute tenir par la main, sinon il a tous les risques de le retrouver après une annonce d'alerte : à l'accueil pleurant et hurlant (c'est du vécu)
Bernard LAROCHE, se condamne ainsi à un handicap supplémentaire, incompréhensible, car il aurait pu  faire garder Sébastien, par Louisette Jacob et Murielle BOLLE, à AUMONTZEY.

Un tel illogisme interpelle,
la Cour dite "d'Accusation " de DIJON, nous fait naviguer dans un bateau en perdition sur l'océan de la Science de l’abscons.

Le témoignage attribué à Murielle BOLLE que reprend illégalement
La Cour dite "d'Accusation" de DIJON est-il crédible sur ces premiers points essentiels évoqués ? : Non : c'est du "grand n'importe quoi", car on est en présence de contractions permanentes"

Elle a raison pour une fois Me Chastant-Morand avocate de Christine BLAISE VILLEMIN  : " il y a des absurdités, dont une inculpation ne peut s'accommoder"(SIC) "Ch'est bien vrai cha ..!" :  disait la mère DENIS, on peut lui emboîter le pas.

  4./ -- La Cour de NANCY a prétendu : "  que l' itinéraire décrit par elle (Murielle BOLLE) était incohérent et fantaisiste"...: apparemment, il ne fait pas sourciller les Magistrats bourguignons... évidemment ils connaissent moins le secteur que ceux de NANCY, peut-être aussi que le POMMARD, le MERCUREY, le GEVREY -CHAMBERTIN... etc.  font-ils plus de dégâts collatéraux ? que les eaux minérale vosgiennes de VITTEL, de CONTREXEVILLE, de WATTWILLER, etc. ?

Il nous faut  donc aller faire un tour chez Google EARTH pour départager ces deux Cours le la "même" République, devant juger suivant les "mêmes" lois, les "mêmes" procédure, en désaccord total sur TOUS les points, des 25 charges pesant sur Christine BLAISE VILLEMIN

Que constate-t-on

4.1./ -- D'après le Juge Maurice SIIMON : Bernard LAROCHE aurait  parcouru 200 m, en 4 min 56 secondes pour que sa voiture soit aperçue par Mesdemoiselles PIERSON et RICHARD , qui se trouvaient avenue de Lattre de Tassigny, c'est à dire sur la départementale D.44, qui est sans contestation la route la plus rapide pour rejoindre ensuite, à Lépanges-sur-Vologne, en vue d'enlever Grégory VILLEMIN.

4.2/-- Alors que Bernard LAROCHE, devrait-être pressé ? :

-- puisqu'il  aurait une lettre à déposer à La Poste de Lépanges-sur-Vologne, avant l'heure de la dernière levée, c'est à dire 17 h 15 min., parce qu'il n'est pas comme le Juge SIMON , qu'il ne connait pas la :"cuisine"interne de La Poste, parce qu'il ne se présente pas non plus dans une gare 4 minutes après l'horaire du train qu'il veut prendre.

-- parce qu'il est déjà 17 h 09 min 56 s et qu'il est encore qu' à 200 m du CES  de Bruyères (départ à "17h 05 min" (SIC site VILLEMIN)...  plus 4 min 56 s (chronométrage juge SIMON) ) et qu'il faut qu'il arrive au minimum à 17 h 10 min sur les "Hauts de Lépanges" pour en 2 minutes en deux minutes enlever Grégory VILLEMIN  (temps donné soi-disant par Murielle BOLLE) :  il lui resterait 3 minutes pour descendre par la voie rapide de chez les VILLEMIN jusqu'à La Poste...et y arriver à 17 h 15 min.

Nota Bene : Murielle BOLLE aurait donné un temps de deux minutes pour l'enlèvement de Grégory VILLEMIN, par Bernard LAROCHE  ? 

Des "Hauts de Lépanges",  point où Bernard LAROCHE aurait pu faire demi-tour à la fourche Faing / Vairel, rue de BELLEVUE / rue des CHAMPS, la distance donnée par Google jusqu'à la maison des VILLEMIN est de 230 mètres... si ce que dirait Murielle BOLLE serait réel,  pour accomplir à pieds 230 m. :  aller /  retour,  soit 460 m si Bernard LAROCHE aurait mis deux minutes, en supposant qu'il aurait trouvé de suite Grégory VILLEMIN,  que personne n'a vu à l'extérieur de sa maison après 17 h 02 min,  nous aurions une vitesse de : 13, 80 km par heure, ce qui est  IMPOSSIBLE avec un enfant... LAROCHE n'était pas non-plus Usain BOLT ...  

-- Que fait-il ... il est  avenue de Lattre de Tassigny, sur la D.44 : la route la plus rapide pour aller à Lépanges-sur-Vologne, et  il part sur la gauche vers la campagne,  faire un tour pour visiter CHAMP-LE-DUC... puis BEAUMENIL ... pour revenir sur la D. 44 et rejoindre Lépanges-sur-Vologne  par on ne sait quelle route entre BEAMENIL et LEPANGES-SUR-VOLOGNE ?

Le plus fabuleux est le temps que doit réaliser  Bernard LAROCHE ... cramponnez-vous, serrez les fesses et les poignées  : EN QUATRE SECONDES, c'est à dire entre  : 17 h 09 min 56 secondes où il se trouve à 200 m du C.E.S Charlemagne,   pour arriver sue les "Hauts-de-Lépanges" à 17 h 10 min ... enlever Grégory en 2 minutes (temps donné par Murielle BOLLE non possible ) il mettrait environ 3 minutes pour descendre à Lépanges et déposer la lettre revendiquant le crime à La Poste, avant 17 h 15 min (horaire de la dernière levée )

CONCLUSION :"L' itinéraire décrit par elle (Murielle BOLLE) était incohérent,  fantaisiste "
(SIC : Cour de NANCY) et même on peut l'ajouter  : débilement pathologique relevant de la Médecine et de sa branche : Psychiatrie.... CQFD

La Cour dite "d'Accusation" de DIJON, poursuit en écrivant que le 2 novembre 1984, d'après le témoignage, qui lui est prêté Murielle BOLLE indiquerait  :

-- "à LEPANGES-sur-VOLOGNE, localité où elle n'était jamais allée auparavant. Bernard LAROCHE s'y était arrêté deux minutes, était descendu de voiture et était revenu en compagnie d'un petit garçon inconnu, du même âge que Sébastien et coiffé d'un bonnet qu'il avait fait monter à l'arrière. Ils étaient repartis en direction de BRUYÈRES et s'étaient arrêtés à nouveau à LEPANGES."(SIC)

-- "Son beau-frère s'était absenté un instant. Il ne tenait rien à la main et elle ignorait ce qu'il avait fait. Ils étaient repartis dans l'autre sens et après un trajet d'environ cinq minutes,  ils étaient parvenus dans un autre village qui, elle l'avait su le lendemain, s'appelait DOCELLES."(SIC)

--"Bernard LAROCHE était sorti avec l'enfant au bonnet tandis qu'elle-même était restée dans la voiture en compagnie de son neveu Sébastien."(SIC)

--"Au terme d'un laps de temps dont elle ne put préciser la durée, Bernard LAROCHE était revenu seul et ils étaient rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en passant par BRUYÈRES."(SIC)

--"Il était alors environ dix-sept heures trente. Bernard LAROCHE était reparti cinq minutes plus tard en disant qu'il allait acheter du vin à LAVAL-sur-VOLOGNE. Il avait pris Sébastien avec lui et était revenu une demi-heure après."(SIC)

--"Pendant ce temps elle avait accompli ses devoirs au domicile de Louisette JACOB."(SIC)

--"Une photographie de Grégory VILLEMIN lui ayant été montrée, elle reconnut qu'il s'agissait bien de l'enfant qui était monté à bord de leur automobile."(SIC)

--"Placée en garde à vue à treize heures trente à l'issue de son audition Murielle BOLLE fut entendue à nouveau le même jour de dix-huit heures quinze à dix-huit heures quarante cinq. Elle ajouta quelques détails à son précédent récit: Arrivé à un carrefour dans les hauts de LEPANGES, Bernard LAROCHE lui avait dit, en descendant de voiture "Fais attention à Bibiche" , surnom de Sébastien."(SIC)

--"Au retour ils avaient d'abord pris une route barrée dans l'agglomération de LEPANGES; précision dont l'enquête confirma l'exactitude. Au cours du trajet Grégory avait parlé à Sébastien."(SIC)

--"A DOCELLES, localité qu'elle ne connaissait pas jusqu'alors, son beau-frère avait garé sa voiture sur une place, avait ouvert la porte arrière et avait appelé l'enfant par son prénom de Grégory. Elle les avait vu partir et ne savait pas où ils étaient allés. Elle avait pensé qu'il emmenait Grégory chez un ami de sa famille."(SIC)

-- "Bernard LAROCHE était sorti avec l'enfant au bonnet tandis qu'elle-même était resté dans la voiture en compagnie de son neveu Sébastien. Au terme d'un laps de temps dont elle ne put préciser la durée, Bernard LAROCHE était revenu seul et ils étaient rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en passant par BRUYÈRES. Il était alors environ dix-sept heures trente. Bernard LAROCHE était reparti cinq minutes plus tard en disant qu'il allait acheter du vin à LAVAL-sur-VOLOGNE. Il avait pris Sébastien avec lui et était revenu une demi-heure après."(SIC)

CONSTATATION :

-- "A Lépanges son beau-frère s'était absenté un instant. Il ne tenait rien à la main et elle ignorait ce qu'il avait fait."? :  On se demande comment Murielle BOLLE aurait pu témoigner spontanément que Bernard LAROCHE ne tenait rien à la main" Puisqu'elle n'était pas censée savoir qu'une lettre avait été envoyée à La Poste de Lépanges-sur-Vologne, qu'elle ne reconnait même pas...

On lui fait dire que Bernard LAROCHE se serait arrêté à Lépanges mais où ? Un bureau de Poste en principe est signalé et facilement reconnaissable ?

-- Le non-lieu fait  indiquer à Murielle BOLLE : " ils (Bernard LAROCHE, Sébastien, Murielle BOLLE et Grégory VILLEMIN)  étaient parvenus dans un autre village qui, elle l'avait su le lendemain, s'appelait DOCELLES...

En principe à l'entrée de tous  les villages de France sont implantés des panneaux indiquant une agglomération... Il suffisait de lire celui placé sur la D.11... pourquoi Murielle BOLLE ne l'a -t-elle su que le lendemain ?

On nous dit également qu'une photographie  de Grégory VILLEMIN, fut montrée à Murielle BOLLE, elle reconnut qu'il s'agissait
bien de l'enfant qui était monté à bord de leur automobile."(SIC)

QUESTION : La Cour de DIJON ne nous prendrait -elle pour des imbéciles ?

-- Elle nous conte que le 2 novembre 1984 : "arrivé à Lépanges, Bernard LAROCHE s'était arrêté deux minutes [...]et était revenu en compagnie d'un petit garçon inconnu de même âge que Sébastien"(SIC)  ... Petit problème : C' était un petit garço "inconnu"... mais alors comment Murielle BOLLE, savait -elle qu' " il était de même âge que Sébastien ? 

-- Elle nous raconte d'une part que Murielle BOLLE avait reconnu Grégory VILLEMIN en voyant sa photographie publiée sur un journal le 17 octobre 1984, chez Louisette JACOB , elle avait alors pensé que Bernard LAROCHE était l'auteur du crime (SIC)


--La Cour de DIJON : muée en avocate déclare que la présence de Murielle BOLLE et de Sébastien LAROCHE dans la voiture du ravisseur, jugée initialement invraisemblable par le ministère public, peut s'expliquer par la nécessité de rassurer Grégory VILLEMIN qui connaissait la première pour avoir déjà été gardé par elle, bien que celle-ci n'ait pas semblé en avoir conservé le souvenir et qui aimait jouer avec le second.

La Cour de DIJON dite : "d'Accusation" de DIJON se mue en avocate de la défense et ose beaucoup plus que celle-ci dans la plus totale aberration, en prenant accessoirement  les citoyens qui représentent la formule consacrée : "AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS", pour des crétins, en effet elle nous raconte qu' avant le crime :  MURIELLE  BOLLE AVAIT  DÉJÀ GARDÉ GREGORY VILLEMIN, BIEN QU' ELLE N' AIT PAS SEMBLE EN AVOIR CONSERVÉ  LE  SOUVENIR.

Cette phrase mérite d'être encadrée en effet elle est parfaitement démonstrative des contradictions  pathologiques
récurrentes dont souffraient les Magistrats félons de DIJON : On nous explique que cette jeune femme est d'un intelligence moyenne mais normale.

Il est vrai comme le disent nos amis belges : " " FRANÇAIS MOYEN ", (célèbre formule inventée par celui qui fut longtemps Maire de LYON :  Édouard HERIOT ) était un pléonasme, car les Français disent-ils,  font toujours les choses à moitié", La COUR DIJON leur donne raison.

Qui peut prétendre qu'une personne d'intelligence moyenne est normale : Est-ce un  dictat ? On nous dit qu'elle est SAINE D'ESPRIT , est - ce un  postulat ? 
Il nous faut chercher la réponse :

Pour résumé d'après la Cour "d'Accusation de DIJON muée en avocate : MURIELLE  BOLLE EST NORMALE, SAINE D'ESPRIT... MAIS A OUBLIE QU' ELLE AVAIT DÉJÀ GARDÉ GREGORY VILLEMIN... en effet dans le témoignage qui lui est attribué elle nous parle de "PETIT GARÇON INCONNU "(SIC) On nous dit qu'elle "AURAIT RECONNU GREGORY VILLEMIN EN VOYANT SA PHOTOGRAPHIE SUR LE JOURNAL LE LENDEMAIN LE 17/10/1984"(SIC)

-- On constate que la Cour dite "d'Accusation " de DIJON se base et valide :  TOUS LES TÉMOIGNAGES RECUEILLIS PAR LE PRÉSIDENT JUGE MAURICE SIMON, QUI SONT TOUS POSTÉRIEURS DE TROIS ANS AUX FAITS CONCERNANT LE MEURTRE DE GREGORY VILLEMIN LE 16 OCTOBRE 1984.

-- On relève dans le témoignage de Murielle BOLLE, qui est LA BIBLE PILIER DE L'ACCUSATION CONTRE BERNARD LAROCHE ET QUE CE TÉMOIN EST INCAPABLE DE SE SOUVENIR QU'IL A GARDÉ GREGORY VILLEMIN 

CONCLUSION : Ces contradictions rédhibitoires  sont la démonstrations de ce qui s'appelle en langage populaire  : " se tirer une balle dans le pied s'autodétruire".

QUESTIONS:

-- Comment peut-on dans ces conditions accorder le moindre crédit au témoignage de Murielle BOLLE, dont-on nous dit et confirme qu'elle a oublié avoir gardé Grégory VILLEMIN, puisqu'elle a besoin d'une photographie pour le reconnaitre,  dont-elle ne pouvait pas méconnaître l'existence puisqu'elle sait son âge (le même que celui de Sébastien (SIC)  ?

-- Quand Murielle BOLLE est qualifié de personne d'intelligence moyenne, mais normale et saine d'esprit,  mais  a oublié avoir gardé Grégory,  quel niveau faut-il donner à tous les  témoins débusqués  par la Cour dite "d’Accusation" de DIJON,  qui ont témoigné entre trois ans et 7 ans après le 16 octobre 1984, pour ce qui concerne Monsieur Claude COLIN  ?

-- Les téléspectateurs qui ont vu à la TV,  les internautes qui ont visionnés la vidéo concernant  les rétractions  de Murielle BOLLE ont des difficultés à suivre l'avis de la Cour de DIJON , souvenez vous : "  C'est pas vrai mon beau-frère est innocent   ... etc. "

-- Comment peut-on manipuler une personne visiblement fragile ?
Jugez -vous même, on dirait une enfant de moins de dix ans ?

https://www.youtube.com/watch?v=gCPph6j5WQ0&index=10&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWX
https://www.youtube.com/watch?v=X_SsGLFfv7E&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWX&index=21

https://www.youtube.com/watch?v=gCPph6j5WQ0&index=10&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWX

https://www.youtube.com/watch?v=Iid6pl2wQuA&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWX&index=18 

Je vous invite à évaluer la journaliste, fonctionnaire,
mollasse, langue de vipère : Isabelle BAECHLER,  à qui on a du mal à retenir le coup de pied au cul qu'elle mériterait pour la faire avancer et être plus convaincante,  moins pleurnicharde .

 On a un exemple édifiant de la qualité putride de notre télévision publique, payée par le contribuable, qui ressemble avec mimétisme à la PRAVDA, la vérité soviétique chère : " au petit père du Peuple" Joseph STALINE

D'après les chronométrages du Juge Maurice SIMON et du SRPJ, qui sont à quelques secondes près, identiques,  on peut facilement aider Murielle BOLLE, à préciser le temps minimum pendant lequel Bernard LAROCHE s'est absenté à Docelles , s'il avait été l'auteur du crime
"
-- Le non-lieu fait  indiquer à Murielle BOLLE : Au terme d'un laps de temps dont elle ne put préciser la durée, Bernard LAROCHE était revenu seul et ils étaient rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en passant par BRUYÈRES.

1./ : Le temps X min pour aller de la petite place non connue de Docelles, quand Murielle BOLLE  voit Bernard LAROCHE qui accompagne Grégory,  partir et disparaître à sa vue. "A DOCELLES, localité qu'elle ne connaissait pas jusqu'alors, son beau-frère avait garé sa voiture sur une place, avait ouvert la porte arrière et avait appelé l'enfant par son prénom de Grégory. Elle les avait vu partir et ne savait pas où ils étaient allés. Elle avait pensé qu'il emmenait Grégory chez un ami de sa famille."(SIC)

2./ : Le temps estimé pour neutraliser l'enfant , le ligoter et le jeter à l'eau a été de cinq minutes. Pour tenir compte des difficultés qu'aurait rencontrées l'auteur des faits, pour se dissimuler à la vue des occupants des nombreuses maisons entourant les lieux où, dans cette hypothèse, l'enfant aurait été jeté dans le Vologne.(SIC Juge SIMON SI / 578 : 25/07/1988.

3/ : -- Le temps estimé nécessaire pour donner trois appels anonymes pour annoncer le crime :

3.1. / : Un appel à Christine BLAISE VILLEMIN pour savoir que :  "sa mère est en train de le (Grégory) chercher, mais elle ne le trouvera pas "... (D'après les VILLEMIN "Appel anonyme pou Michel VILLEMIN chrono 2 minutes."(SIC)

3.2./ : Un appel aux grands-parents de Grégory Monique et Albert VILLEMIN qui sont absents. (2 minutes)

3.3/ : Un appel à Michel VILLEMIIN qui prévient ses parents
: "Appel anonyme pou Michel VILLEMIN chrono 2 minutes."(SIC)
 
4./ : Le temps estimé pour aller à pieds du local des pompiers à la cabine téléphonique la plus proche, qui se trouve près de La Poste, rue de la Libération  à Docelles, soit 250 m, évalué à 3 minutes minimum ce qui donne une vitesse de 5, 0 km / heure

Nous avons au total : 14 minutes + X le temps pour Bernard LAROCHE et Grégory pour aller de la Place non connue de Docelles, jusqu'au bord du Barba.(1 min mini) :  On peut estimer que Bernard LAROCHE est resté stationné au minimum 15 minutes à DOCELLES.

Nous pouvons constater qu'aucun témoin n'a vu une voiture avec à l'intérieur : "une adolescente dont la chevelure rousse attirait tous les regards"(SIC), et un garçonnet de quatre ans, stationnée, pendant 15 minutes mini, sur une quelconque place de DOCELLES.

Si l'on en croit le témoignage prêté à Murielle BOLLE  : il en résulterait que le véhicule dans le quel elle se trouvait serait resté stationné au minimum 15 minutes, et Murielle BOLLE : "ne put décrire la place de Docelles où leur voiture s'était garée et prétendit n'avoir pas vu de rivière à proximité."(SIC)  : pourtant elle avait eu tout le temps de visionner et de mémoriser parfaitement  cette place, en tout cas plus que les "Hauts de Lépanges " dont-on nous dit qu'elle les avait reconnus

"Le lundi 5 novembre 1984 [...] Murielle BOLLE ne put décrire la place de DOCELLES où leur voiture s’était garée et prétendit n'avoir pas vu de rivière à proximité"(SIC) RÉPONSE : c'est très étrange à DOCELLES, il y en a, à peu près partout , surtout où la Cour de DIJON aurait localisé on ne sait comment le point d'immersion de Grégory VILLEMIN près du local du local des pompiers et de la place de l'EPINE. Il suffit de regarder le plan de cette sur Google EARTH qui nous la fait visiter soit en automobile, soit vue du ciel comme avec un hélicoptère  ?

La Cour dite "d'Accusation" de DIJON, écrit que le 2 novembre 1984, d'après le témoignage, qui est prêté Murielle BOLLE , à Docelles : "Au terme d'un laps de temps dont elle ne put préciser la durée, Bernard LAROCHE était revenu seul et ils étaient rentrés chez Louisette JACOB à AUMONTZEY en passant par BRUYÈRES. Il était alors environ dix-sept heures trente.

CONSTATATIONS :

D'après les chronométrages même dans le cas où Bernard LAROCHE, s'il serait l'auteur du crime,  avait réussi à poster la lettre revendiquant (nous avons vu que c'était IMPOSSIBLE) serait arrivé à 17 h 23 min Les VILLEMIN considéraient que de La Poste il fallait 8 minutes pour arriver au Local des pompiers de Docelles, si l'on ajoute le temps nécessaire de 15 min pour ligoter, noyer,  aller à la cabine puis, téléphoner Bernard LAROCHE serait encore à DOCELLES à 17 h 38 minutes.... On fait dire à Murielle BOLLE se trouvait chez Louisette Jacob à AUMONTZEY ... : à 17 h 30 min. ?

CONCLUSION : Il y a là, une  absurdité, dont une inculpation ne peut s'accommoder"(SIC Me Chastant -Morand )...

Google nous indique que le temps pour se rendre de DOCELLES à AUMONTZEY, en automobile est de 19 minutes pour 16,8 km, en passant par BRUYERES, par la D.44 et D.423 : itinéraire le plus rapide, conditions normales de circulation... Bernard LAROCHE ne pouvait pas être à DOCELLES et chez Louisette JACOB à AUMONTZEY à 17 h 30 min...  parce qu'il n'a pas jusqu'à preuve du contraire, ( en tout cas la Cour de DIJON ne le dit pas ) des dons d'ubiquité, il ne pouvait y arriver d'après les indications de Google qu' à 17 h 57 min ...( 17 h 23 min +15 min + 19 min =17 h 57 min) : ce qui prouve entre autres  que dans ce cas le scénario,  qui a été monté contre Bernard LAROCHE, ne tient pas puisqu'il n'aurait pas pu être vu à la caisse N° 2 du Magasin CHAMPION avant sa fermeture.

RAPPEL DE LA DÉPOSITION DE LA CAISSIÈRE-CHEFFE DU MAGASIN CHAMPION DE LAVAL-SUR-VOLOGNE :/ CITATION  C= cheffe caissière, G ou P = auditeur Gendarme ou Officier de police judiciaire.

C : -- Je suis caissière-chef au magasin Champion.

C : -- D'après les vérifications que nous avons faites,  effectivement un client nommé LAROCHE a bien acheté le mardi 16 octobre 1984 un lot de 150 bouteilles de vin de Bordeaux, pour la somme de 1265 F payés avec un chèque de la Société Générale.

C : -- L'examen de la bande de contrôle prouve que ce monsieur n'a effectué que cet achat, à la caisse n°2.

C : -- Il ne restait qu'une quinzaine de clients derrière lui.

C : -- Compte tenu de l' affluence moyenne du mardi, on peut situer cet achat entre 17h 30 min  et 18 h15 min, heure de clôture de la caisse.

G ou P : -- Question de l'auditeur :  pensez vous que la caissière qui tenait cette caisse pourrait reconnaître le client et situer plus exactement l'heure de l'achat?

C : -- Comment voulez vous que je vous réponde ?

COMMENTAIRE :

En effet : " Comment voulez vous que je vous réponde ? " ... Mais autre question elle justifié : "pourquoi ne pas avoir auditionné l'hôtesse de la caisse N° 2" ?

Cette déposition qui prouve que Bernard LAROCHE, était au magasin CHAMPION à LAVAL-SUR-VOLOGNE bien avant 18 h 15 min,  aurait pu le disculper du crime qu'on lui reprochait, nous allons tous dans les supermarchés et il nous est facile d'évaluer les temps minimum de passage aux caisses.

Il est tout de même affligeant : que des enquêteurs, dignes de ce nom, qu'ils soient de la gendarmerie ou de la police, n'aient pas fait une reconstitution simple, qui aurait donné l'horaire précis où Bernard LAROCHE est sorti de la caisse N° 2 du magasin. CHAMPION

Les enquêteurs auraient  dû epu retrouver le double de tous les tickets des client passés à la caisse N° 2, après Bernard LAROCHE et ensuite définir l'heure précise, à laquelle il est sorti de la caisse N°2 ...On savait qu' "une quinzaine de clients " (SIC)) étaient passés après LAROCHE à la caisse N° 2, avant sa fermeture à 18 heures 15 minutes.

Il n'était pas non-plus très difficile de faire une reconstitution et d'en faire le chronométrage du temps mis par Bernard LAROCHE, entre la sortie de la caisse N° 2 et la fin du chargement des 125 bouteilles de vin dans son véhicule avec au  pied "le boulet"...  qu'il s'était attaché, son jeune fils Sébastien. On aurait connu de manière précise l'heure à laquelle Bernard LAROCHE serait reparti du magasin CHAMPION.

CONSTATATION :

On doit considérer que les enquêteurs et les Magistrats, quels qu'ils soient ont commis une faute grave en omettant de ne pas faire cette reconstitution, quand on sait à quelle heure précise cette caisse N° 2 a été fermée, quand on sait combien de clients sont passés à cette caisse après Bernard LAROCHE, on sait ce qu'ils avaient acheté puisque le magasin possédait  les doubles des tickets de caisse ?

Les enquêteurs ont fauté nous allons tenter de remédier, d'obvier leurs incompétences et leurs carences

S
i l'on en croit le juge Maurice SIMON et son chrono sur Bernard Laroche  :  il repartirait de chez CHAMPION,  le 16 octobre 1984 : à 18 h 18 min

Problème pour le Juge SIMON l'heure de fermeture de la caisse N° 2  est de 18 h 15 min, il y a déjà un clou dans la soupe du juge-magicien... soit 3 minutes après la fermeture de la caisse N° 2

On nous dit qu'il était à la caisse N° 2 Alors  qu'il y avait derrière lui " une quinzaine de clients"

Les tickets ne sont certes pas horodatés,  mais il n'empêche que les enquêteurs auraient dû vérifier avec précision et c'était facile de le faire, chercher le nombre
exact des clients qui sont passés à la caisse N° 2, d' après les  tickets dont la magasin CHAMPION possède les doubles .

Avec ces copies des tickets de caisse le magasin CHAMPION sait se qu'ont acheté tous les client passés à la caisse N° 2, et les enquêteurs pouvaient reconstituer et faire les chronométrages des passages en caisse. 

Nous pouvons avoir nous -mêmes,  nous faire une idée en faisant la queue à une caisse à la supérette du coin de chez nous... Oh ! pardon ! que dis-je ? : la queue ? non la sémantique exige que vous disiez comme à La Poste : " la file d'attente ! N'oubliez pas son slogan  donné à ses employés : ' BRASMA". Vous ne connaissez pas ? Soyons sympa voici son décodage : Bonjour", "Regard", "Accueil", "Sourire", "Merci", "Au revoir "! Vous connaitrez ainsi vos chers (onéreux )  fonctionnaires.

Car il semble bien que pour l'attente chez CHAMPION; le vicieux-magicien, SIMON ait encore triché ?

En évaluant

En effet ... compte tenu du nombre des clients qui sont passés après lui à la caisse ce n'est pas entre 17 h 03 et 17 h 18 min que Laroche serait allé dans ce supermarché, mais bien en avant

Et hélas pour Jean-Marie VILLEMIN, car si Laroche a bien vu, ce qui est prouvé mais pas l'horaire ? ... les VILLEMIN MONIQUE; ALBERT, MICHEL à bord de la TOYOTA à Lavelines -devant -Bruyères ... à 17 h 31 min : comme le dit SIMON ... ils seraient arrivés après Jean-Marie VILLEMIN chez lui à Lépanges sur Vologne et ce serait encore une : IMPOSSIBILITÉ

C'est d'autant plus bizarre qu'à cet horaire : LAROCHE aurait dû croiser Jean-Marie VILLEMIN, qui était sur le chemin du retour de Granges-sur-Vologne... qui serait passé à Aumontzey deux fois... sans voir ses parents ? POURQUOI ? et qui au même moment, rentrait chez lui après une partie de chasse infructueuse au Jacquel ?

Jean-Marie est arrivé rue des Champs à 17 h 40 Minutes... et les gendarmes étaient là... et Christine ? on ne sait pas ce qu'elle a foutu entre 17 h 32 min 41s quand elle a téléphoné à Michel VILLEMIN et 17 h 50 min quand elle a appelé PANDORA ? Mystère ? le repassage du blanc ? de la couleur ? des habits de deuil ?

Ce qui veut dire que pendant le temps qu'a mis Bernard Laroche en empruntant en sens inverse la même route que Jean-Marie VILLEMIN, entre Bruyères et Aumontzey s'il ne l'a pas croisé J-M V ... c'est qu'il y est passé avant ... ou après... mais s'il y était passé avant ... la caisse N° 2 aurait été fermée ... d’où encore : IMPOSSIBLE...

Conclusion le temps pour aller de Bruyères à Aumontzey étant de 5 minutes... il est probable que Laroche était chez Champion entre 17 h 53 min et 17 h 08 min c'est à dire tel qu'il l'a déclaré, ce qui veut dire qu'il n'aurait pas eu le temps matériel de venir de Docelles à Aumontzey puis repartir à Laval-sous-Bruyères aller toucher son tiercé à Bruyères parce que sa vitesse moyenne aurait été largement supérieure à celle qu'a circulé Jean-Marie VILLEMIN de l'ordre de 52 km / heure


Tous ces enquêteurs et Magistrats qui ont commis des fautes graves auraient dû être sanctionnés tel que dans toute salariés du secteur privé... que constate-t-on : ils ont TOUS été promus sauf UN le Juge LAMBERT , le maillon faible, le bouc émissaire chargé de tous les péchés du Monde, alors que l'on ne nous parle JAMAIS  du Procureur, qui a fauté plus que tous les autres , car lui et son Parquet avaient le pouvoir et toutes les lois pour empêcher les entraves à l'exercice de la Justice de tout ordre,  mettre au pli les journalistes, complices d'incitation à la violence et aux crimes.

Ce Procureur aurait dû donner des ordres pour protéger un "inculpée" qu'il savait menacé de mort. Qu' a -t-il fait ?  RÉPONSE : RIEN.. a-t-il été rémunéré ? RÉPONSE : OUI  !


Il est profondément scandaleux qu'un individu ait été inculpé et incarcéré à cause du témoignage d'une enfant peu futée, voire débile, et d'une pseudo experte gâteuse
BERRICHON -SEDEYN, se disant graphologue,  possédant les mêmes tares et  qui faisait dans le divination paranormale  tourner des tables.

Une vidéo  édifiante vous permet de voir dans leurs basses œuvres quelques : "Rats de la VOLOGNE" qui faisaient du chantage contre le juge LAMBERT, dont  une pseudo journaliste,  qui s'est particulièrement distinguée dans le déballage d'âneries de tout ordre et qui démontre  : "un journaliste a le droit de penser ce qu'il veut et a le droit de le dire"... faut-il rappeler que les mêmes critiquaient la PRAVDA ?

 https://www.youtube.com/watch?v=ZOMtJzREaKs&index=27&list=PL2AhLrnyNEiFOsXmWe0nlcY3nSAqWZQWX

Puisque les enquêteurs fatigués usés par leur travail de fonctionnaires se sont démontrés je-m-en-foutistes et incompétents, nous allons obvier à leur carence,  à leur insuffisance, sans faire des calculs de probabilité dignes de Math Sup... en comptant 1 minute par client aux passages aux caisses, 5 minutes pour aller de la caisse N°2 et finir de charger son véhicule, on totalise  : 20 min... qu'il faut ôter de : 18 h 15 min ( horaire de fermeture de la caisse).

Bernard LAROCHE serait reparti du magasin CHAMPION au plus tard  à 17 h 55 min , ce qui correspond à 5 minutes près, au témoignage : "vers dix huit heures" (SIC) , de Bernard LAROCHE entendu par les gendarmes le 25 octobre 1984.

On aurait pu constater que Bernard LAROCHE n'avait pas menti lors de son audition.

D'ailleurs lorsqu'on examine avec soin et en toute équité l'emploi du temps  que Bernard LAROCHE a donné aux enquêteurs, on ne remarque  ni impossibilité matérielle ni
aucun mensonge, telle que ceux détectés sur les différentes moutures (3)  de l' emploi temps  fourni à la Justice par Christine BLAISE VILLEMIN, entre 17 h 02 min à 17 h 32 min 41s.

On doit faire le constat avéré que depuis 33 ans Madam
Christine BLAISE VILLEMIN ne trouve pas le moyen de meubler les 30 minutes les plus importantes de sa vie le 16 octobre 1984. Se prétendre innocente dans ces conditions,  ne peut pas être considéré croyable, car le mensonge est systématiquement accusateur, parce qu' a contrario : un innocent n'a aucun motif de ne pas rendre compte de la vérité, et encore moins de mentir La Cour d'Accusation de NANCY indiquait :  / CITATION

La Cour d'Accusation de NANCY soutenait

"-- que les dépositions des témoins qui avaient dit avoir vu Murielle BOLLE monter dans la voiture de LAROCHE le 16 octobre 1984 ou qui avaient constaté son absence dans l'autobus de ramassage scolaire, n'étaient pas crédibles parce qu'à l'exception d'un seul ils avaient fourni des points de repère inexacts ou commis des erreurs"

CONSTATATION :

C'est le moins que l'on puisse dire jugez plutôt :

--La Cour  dite "d'accusation de DIJON nous raconte,  que le 2 novembre 1984, d'après le témoignage qui lui est prêté, Murielle BOLLE commença par maintenir sa version  des faits, concernant notamment le chauffeur du car scolaire, qui selon elle avait un petit bouc et des moustaches [...] mais était en fait,  un chauffeur occasionnel : Jean-Marie GALMICHE, qui ne portait pas de moustaches et avait des lunettes... Confondue par ce mensonge Murielle admit qu'elle n'avait pas dit la Vérité... [...] etc. (SIC)

CONSTATATIONS / QUESTIONS :

Comment Monsieur GALMICHE que la Cour de DIJON nous qualifie :" de chauffeur occasionnel " aurait-il pu dire alors qu'il était auditionné le 26 janvier 1988, soit plus de trois ans après le 16 octobre 1984, ...( avec le manque de fiabilité des témoignages humains  que dénonce Me Chastant-Morand) :

-- que ce jour là, "Murielle BOLLE, dont la chevelure rousse attirait tous les regards n'était pas dans le car" (SIC) ?

La Cour de DIJON se prend les pieds dans le tapis et s'étale lamentablement, car si Monsieur GALMICHE n'était que "chauffeur occasionnel", cela veut dire simplement qu' en aucun cas il ne pouvait  affirmer "avec certitude" (SIC)  que "ce jour là,  Murielle BOLLE n'était pas dans le car "(SIC) Monsieur de la Palice vous dirait : "parce que les autres jours il ne le conduisait pas...

Quand la Cour de DIJON en rajoute à AUGIAS  : c'est du délire : " Comme il ( Jean-Marie GALMICHE  ), avait dit également qu'elle y était le 23 octobre, alors que ce jour là elle avait été absente de sa classe, ce qui avait fait douter de la solidité de son témoignage, il a ajouté : "je suis absolument sûr de ce que je dis. La petite BOLLE pouvait très bien être au collège le 16 et être rentrée chez elle par je ne sais quel moyen et n'être pas allée en classe le 23,  mais être rentrée quand même à AUMONTZEY par le car que je conduisais. " Véronique DIDIERLAURENT, également entendue le 25 janvier 1988, a confirmé "qu'elle avait la conviction que Murielle BOLLE n'était pas dans le car le 16 octobre 1984"(SIC).

" La petite BOLLE pouvait très bien [...] n'être pas allée en classe le 23 octobre 1984, affirme sans sourciller Jean-Marie GALMICHE, mais pouvait être rentrée quand même à AUMONTZEY par le car que je conduisais. "(SIC) nous dit sans ciller Jean-Marie GALMICHE !

Ça allait " le bocal à cornichons" à BRUYÈRES ? d'après la version de J-M  GALMICHE :  Murielle BOLLE sèche ses cours le 23/10/1984, ce qui est une faute méritant sanctions en milieu scolaire, et néanmoins en défilant devant les autres élèves, voire les professeurs,  comme si rien n'était, elle arrive à 17 h 00 min sur le parc du CES... pour prendre le car scolaire que conduisait Jean-Marie GALMICHE :  Est-ce raisonnablement crédible ? Réponse : certainement pas,  alors qui a commis des erreurs ?

 La Cour de DIJON nous conte que le 2 novembre 1984, d'après le témoignage qui lui est prêté, Murielle BOLLE Indiqua qu'elle était assise à droite de son beau-frère Bernard LAROCHE qui conduisait sa Peugeot 305... ( "assise à droite "? : heureusement,  mais fallait-il le rajouter sur le non-lieu ? sinon à gauche...elle aurait été sur les genoux du conducteur, c'eût été insolite, elle aurait pu se faire remarquer !)

Que faut-il penser du témoignage de Murielle BOLLE ? subornée par les gendarmes, ou non ? (SUITE)

La Cour de DIJON écrit :

" Ces témoignages auraient pourtant mérité d'être pris en considération dans la première phase de l'information, car ils présentent une convergence totale sur un point essentiel: Murielle BOLLE n'était pas dans le car de ramassage scolaire quand il a quitté BRUYÈRES le 16 octobre 1984 vers dix-sept heures. Ce fait a été affirmé à de multiples reprises par ces témoins. Sonia PIERSON avait précisé que Murielle, au lieu de prendre le car, s'était dirigée vers une automobile vert kaki garée à côté du parc de stationnement des professeurs, au volant de laquelle se trouvait un homme, véhicule qu'elle avait vu dans les instants suivants, se diriger vers LAVAL-sur-VOLOGNE, c'est-à-dire vers LEPANGES.

Claude RICHARD avait fait une déclaration semblable en donnant des précisions particulières : "J'ai vu Murielle monter à l'avant d'une 305 dont je ne me rappelle plus la couleur... j'ai vu la voiture démarrer et prendre à gauche au bout du parking. En arrivant en haut de l'escalier, j'ai revu la voiture avec Murielle dedans passer sur la route en direction de LEPANGES... je n'ai pas vu le conducteur..." .."c'est la première fois que je voyais Murielle partir en voiture".

Quatre de ces témoignages ont été à nouveau recueillis avec un soin extrême au cours du supplément d'information.

Le chauffeur Jean-Marie GALMICHE, qui n'avait jamais été entendu par la police judiciaire de NANCY, a longuement déposé le 26 janvier 1988 devant Monsieur le Président SIMON: Il a soutenu à nouveau que Murielle BOLLE, dont la chevelure rousse attirait les regards, n'était pas dans le car le 16 octobre 1984. C'est pour lui "une certitude" .

Comme il avait dit également qu'elle y était le 23 octobre, alors que ce jour là elle avait été absente de sa classe, ce qui avait fait douter de la solidité de son témoignage, il a ajouté : "je suis absolument sûr de ce que je dis. La petite BOLLE pouvait très bien être au collège le 16 et être rentrée chez elle par je ne sais quel moyen et n'être pas allée en classe le 23 mais être rentrée quand même à AUMONTZEY par le car que je conduisais. " Véronique DIDIERLAURENT, également entendue le 25 janvier 1988, a confirmé "qu'elle avait la conviction que Murielle BOLLE n'était pas dans le car le 16 octobre 1984".

Parmi d'autres précisions, elle a ajouté ..."j'ai eu le sentiment lorsque j'ai été entendue par les gendarmes qu'ils auraient plutôt souhaité que je leur dise que Murielle était dans le car le 16 octobre... je ne reviens pas sur ce que j'ai dit." Claude RICHARD a affirmé qu'elle était absolument certaine que le 16 octobre 1984, Murielle BOLLE n'était pas montée dans l'autobus à la sortie des cours, vers cinq - heures du soir, et qu'elle s'était dirigée vers une voiture arrêtée à droite par rapport à la sortie du collège. Les gendarmes n'ayant pas mentionné sur leur procès-verbal, en novembre 1984, quelle voiture elle avait reconnue, la planche photographique D 448 lui a été présentée par l'ancien président de la chambre d'accusation. Claude RICHARD, après un examen très attentif, a désigné le véhicule n°5, c'est-à-dire la Peugeot 305 de Bernard LAROCHE ; le témoin a confirmé que c'était la première fois qu'elle voyait cette voiture qui était passée ensuite avenue de Lattre de Tassigny. Murielle était assise à l'avant droit et le véhicule se dirigeait vers LAVAL- sur- VOLOGNE, étant précisé que depuis LAVAL, et en continuant tout droit, on va à LEPANGES, DEYCIMONT et DOCELLES, mais qu'en tournant à gauche dans LAVAL, on peut rejoindre LAVELlNE ou AUMONTZEY.

Sonia PIERSON, qui n'avait jamais été entendue par la police judiciaire, mais seulement par les gendarmes et par le juge d'instruction LAMBERT, et qui habite avenue de Lattre de Tassigny à BRUYÈRES, a confirmé que le 16 octobre 1984, vers seize heures cinquante cinq, elle avait dit au revoir à Murielle qui, au lieu d'aller vers l'autobus de ramassage, s'était dirigée à droite vers une automobile garée sur l'aire de stationnement des professeurs.

Cette voiture était de couleur vert "neutre" et en tout cas pas d'une teinte de vert éclatant. Le témoin a précisé qu'après avoir monté des escaliers situés entre des HLM et menant à l'avenue Maréchal de Lattre, elle et sa camarade Claude RICHARD avaient vu une voiture passer devant elles en direction de LAVAL et LEPANGES. Elle avait parfaitement reconnu Murielle BOLLE dans cette automobile, mais elle n'a pu donner le signalement du conducteur.

Sa camarade et elle-même s'étaient dit : "tiens, Murielle vient de passer". Au cours de cette audition Sonia PIERSON a expliqué pourquoi elle avait une certitude sur la date du 16 octobre: ..."c'est le lendemain que j'ai appris l'assassinat du petit Grégory..."

En ce qui concerne le fait que précédemment elle avait donné comme autre repère, une opération chirurgicale subie par son père, elle a déclaré: "je dis très sincèrement que sur l'entrée de mon père à l'hôpital, je me suis trompée... ; j'étais très émue et impressionnée. En réalité mon père devait entrer ce jour-là à l'hôpital pour se faire opérer d'un œil, mais il y est entré un peu plus tard. .." .Monsieur PIERSON a été hospitalisé le 12 septembre 1984 pour une blessure et il est retourné à l'hôpital les 12 et 24 octobre 1984. La planche photographique cotée D 448 a été présentée au témoin par Monsieur le Président SIMON qui lui a demandé si elle reconnaissait la voiture dans laquelle elle avait vu passer Murielle BOLLE. Sonia PIERSON a montré immédiatement la photographie n°5 en disant: "c'est celle-là" : il s'agissait de la Peugeot 3 O 5 de LAROCHE.

Au cours d'un transport sur les lieux, le magistrat instructeur s'est attaché à vérifier la crédibilité des témoignages de Claude RICHARD et de Sonia PIERSON. A BRUYÈRES, il a chronométré le temps qu'il fallait depuis la sortie du CES pour gagner à pied l'avenue Maréchal de Lattre de Tassigny en traversant le parc de stationnement du CES et en gravissant les escaliers ainsi que la pente qui conduit au bord de l'avenue Maréchal de Lattre: ce temps est de deux minutes cinquante quatre secondes; il a
parcouru, en automobile, le trajet qu'auraient pu parcourir LAROCHE et Murielle BOLLE depuis ce même parc jusqu'à l'avenue Maréchal de Lattre en direction de LEPANGES et il a chronométré ce parcours: le temps est de quatre minutes cinquante six secondes.

Il ressort de ces vérifications que les deux jeunes filles ont pu voir le véhicule de LAROCHE sur l'aire de stationnement et le voir, à nouveau, avenue de Lattre de Tassigny.

Entendue au sujet de ses contradictions, des invraisemblances de sa rétractation et des témoignages qui la démentaient, Murielle BOLLE s'est obstinée à nier sa présence dans la voiture de LAROCHE lors de l'enlèvement de Grégory VILLEMIN et à rester muette quand une question trop embarrassante lui était posée par les magistrats chargés du supplément d'information. Cette attitude s'explique, semble-t-il, par les pressions de ses proches qui, à partir de l'inculpation de son beau-frère, lui ont toujours imposé le silence. Il en fut ainsi notamment lors de l'enquête provoquée par la lettre adressée au juge d'instruction d'EPINAL par une certaine "Corinne" se disant l'amie de Murielle et relatant des confidences de celle-ci ayant trait à l'affaire, dont il sera question ci-après. Quand elle vint à DIJON le 8 février 1991 pour être entendue par le président de cette chambre; elle était escortée par l'un de ses beaux-frères et par deux de ses frères, individus réputés violents et craints de leur entourage. "(FIN DE CITATION)

CONSTATATIONS :

Sonia PIERSON, une des camarade du CES, témoigne que Murielle BOLLE n'était pas dans le car scolaire, mais s'était dirigée à droite vers une automobile garée sur l'aire de stationnement des professeurs... Cette voiture était de couleur vert "neutre" (un nuance différente, car elle dit vert kaki ?. ) et en tout cas pas d'une teinte de vert éclatant (SIC) après avoir vu Murielle BOLLE monter dans cette voiture, elle l'avait vue de nouveau avec sa collègue Claude Richard, rue de Lattre-de-Tassigny à Bruyères ... (à 200 m du parc) en direction de Lépanges-sur-Vologne (SIC) ... Vous noterez que dans son itinéraire aberrant Murielle BOLLE dit que Bernard LAROCHE serait passe par CHAMP-LE-DUC, ? qui n'est pas dans la même direction ?

Le non-lieu nous indique que Sonia PIERSON avait parfaitement reconnue Murielle BOLLE ... mais elle n'a pas pu donner le signalement du conducteur (SIC)... ?

N'est-ce pas étrange une élève qui voit sa copine prendre place dans un véhicule qu'elle n'avait jamais vu auparavant, parce que ce serait unique , n'est pas intriguée et ne fait pas attention à qui est le conducteur ?

Question : Est-ce crédible ? Réponse : certainement pas.

Le complément d'information constate que Sonia PIERSON s'était trompée en se souvenant du jour du 16 octobre 1984, où elle avait vu Murielle BOLLE monter dans un véhicule parce qu 'il correspondait à celui selon elle identique : à l'entrée à l'hôpital de son père... qui en réalité vérification faite, avait été opéré le 12 octobre 1984... soit 4 jours avant...

On remarquera que bizarrement la Cour de DIJON conteste que "les six filles de La Poste" aient vu Christine BLAISE VILLEMIN, poster une lettre à Lépanges le 16 octobre 1984... en prétextant qu'elle se seraient trompées d' un jour et que c'étaient le 15/10/1984 et non le 16 ? .. mais valide sans ciller le témoignage de Sonia PIERSON, qui elle et c'est une réalité, s'est bien trompée de 4 jours !

Toutefois on ne comprend pas tout, le non -lieu nous dit :" Monsieur PIERSON a été hospitalisé le 12 septembre [...] et y est retourné les 12 et 24 octobre 1984"... alors en fin de compte, on ne sait pas quelle date a confondue Sonia PIERSON : le 12 septembre, le 12 octobre ou le 24 octobre 1984 ? à vous de choisir...

En tout cas : ceci prouve qu'il y a eu un traitement à deux vitesses des témoignages par la Cour de DIJON, ceux qu'elle a retenue avec des incertitudes réelles, et ceux qu'elle a rejeté alors qu'ils étaient de source sûre, ce qui a participé entre autres à son déni de Justice par manque d'équité.

Pour démontrer que Sonia PIERSON était un témoin digne de foi, le toujours vicelard ... (pas que dans son lit de "'couguar" ? )... Juge SIMON, lui a demandé de reconnaître la voiture dans laquelle elle avait vue passer Murielle BOLLE, en lui présentant une planche photographique... comme si elle avait eu besoin de cela ?

La Cour de DIJON nous dit que Sonia PIERSON a montré immédiatement la photographie N°5 en disant "c'est celle-là ! " ... il s'agissait de la Peugeot 305 de LAROCHE "(SIC)

Réponse : Ne nous prenez pas pour :" des jambons" Messieurs les magistrats ! : "ben voyons !"

Seulement : on constate qu' ils oublient, de nous dire ce que le fourbe et manipulateur Juge SIMON savait parfaitement, c'est que depuis plus de trois ans après les faits, Sonia PIERSON avait eu largement le temps de voir dans les tonnes de PPAC des journaux qui furent vendus : la photographie de la voiture de Bernard LAROCHE... et connaître bien d'autres faits plus ou moins véridiques.

Cette réponse n'est pas pertinente du tout, même spécieuse, car elle prouve de manière démonstrative : les manipulations que les Magistrats de la Cour de DIJON se sont permis dans le traitement de l'affaire de Grégory VILLEMIN.

La réponse donnée par la Cour de DIJON selon laquelle les deux jeunes filles ont pu voir le véhicule de LAROCHE sur l'aire de stationnement et le voir de nouveau, avenue de Lattre de Tassigny : 4 minutes 56 secondes, plus tard sort du même tonneau...

Si LAROCHE avait été le kidnappeur de Grégory en voulant poster une lettre à Lépanges avant 17 h 15 min, il serait allé nettement plus vite pour accomplir les 200 premiers mètres de son parcours funeste.... parce que cela donne une vitesse calculée de 2,43 km par heure, c'est à dire en auto, le même temps que mettrait un cul-de-jatte sur la même distance.

Lorsque le Président juge Maurice SIMON après plusieurs années d'investigation s'est aperçu que Bernard LAROCHE, ne pouvait pas accomplir toutes les opérations que reproche la Justice pour la commission du crime à 17 h 32 min 41s horaire, horaire où il a été revendiqué chez Michel VILLEMIN...:

Notre cher (onéreux) Juge SIMON a fait ce que font tous les avocats dont les clients ne possèdent pas d'alibi à l'heure présumée d'un crime : c'est aussi classique que rituel, vous pouvez regarder toutes les affaires criminelles, non élucidées sans doute à cause de cela ? que les chaînes de télévision nous passent et repassent à l'envi, ces roublards d'avocats trouvent tous, sans aucune exception, un expert qui dira que l'heure de la mort d'une victime de crime correspond en fait : pile / poil et même trop bien pour être réelle, à celle où leur client possède un alibi "béton" ... mais c'est du "béton préfabriqué "oublient-ils de dire.

C'est ce que fit le Président juge Maurice SIMON, il trouva un expert, ce n'est pas difficile c'est aussi du classique, comme ils exercent un métier supplémentaire occasionnel pour arrondir leurs fins de mois, ils fournissent les rapports qui vont dans le sens de celui qui les requiert et qui surtout les rémunère ... Ils ne sont pas fous juste un "peu" vénaux"... sinon le client mécontent changerait de crèmerie, vous comprenez mieux ?

Il ne faut jamais oublier la définition normalisée de la QUALITÉ : La voici :

"La qualité d'un produit ou d'un service est l'aptitude de celui-ci, à satisfaire les besoins de l’utilisateur" (NORME NF-X50-109)

Vous avez compris pourquoi TOUS les organismes agréés par l’État, pour des contrôles obligatoires, vous vendent des rapports de complaisance si possible vierges et toujours peu contraignants ? ... et vous reconstitue même, à l'original votre hymen, si Mesdames, vous avez fait "pêcho"; Il font toujours ce qu'il faut pour : "satisfaire les besoins de l'utilisateur" (SIC)

Alors, Le Président juge Maurice SIMON pour argumenter et appuyer cette hypothèse de la mort de Grégory à un horaire proche de celui auquel il a été trouver : à 21 h 15 min, phosphora... en allant chercher le carton d'insuline retrouvé plusieurs semaines après le crime par un employé municipal de DOCELLES, près du monument aux morts, dans une haie bordant le Barda.

Ce coup-ci le Juge Maurice SIMON, nous prend pour demeurés, Il nous bassine avec un point d'immersion qui serait près du local des pompiers de DOCELLES, parce qu'il met ainsi à la poubelle d'un seul coup trois charges qui pesaient sur Christine BLAISE VILLELIMIN, où l'on a jamais trouvé aucun indice, (contrairement "au point privilégié") ...où personne n'a rien vu, pas même une voiture stationnée au minimum 15 minutes avec à l'intérieur une jeune fille dont la chevelure rousse attirait tous les regards, (SIC) un jeune enfant de quatre ans...

A le suivre : on aurait donc un criminel qui près du local des pompiers jetterait le corps d'un enfant à l'eau, qu'il aurait endormi on ne sait pas pourquoi avec de l'insuline...

Il pourrait facilement jeter en même temps le carton avec le nécessaire à l'injection d'insuline dans le Barba, où il aurait disparu pour toujours, ce meurtrier pourtant très malin qui avait réussi malgré trois années de voies de faits malveillants à berner les gendarmes... tout d'un coup devient complètement idiot ... il perds du temps pour faire une centaine de mètres à pieds, pour aller près du monument aux morts de DOCELLES, jeter à hauteur d'homme, pour qu'il soit bien visible dans une haie : le carton d'insuline ..Là, pour le coup, il risque de se faire embarquer par deux solides gaillards en blouse blanche, vers le premier nid de coucous.

QUESTION :

--Ça va les boyaux de la tête ou faut-il consulter un psychiatre ?

La Cour de DIJON nous développe un long et harassant autant que complet développés de témoignages recueillies chez toutes les chaisières et cancanières du département des Vosges, sans la moindre preuve en soutien., pour faire diversion afin d'éviter d'analyser l'essentiel, tout ce qui pourrait aboutir à la manifestation de la VÉRITÉ.

Elle nous trouve des témoins indignes de confiance : mythomanes et mégalomanes tels que le chômeur DERUDER, présent partout à Lépanges-sur-Vologne, à se demander s'il ne serait pas le meurtrier recherché ? ... et le bistrotier CORNILLIE de Docelles, maître en portrait robot Photomaton, qui voit des amoureux adultérins ,ou des gens troubles partout.

Nous trouve infirmière et témoin pour dire que Murielle BOLLE sait faire des piqures... ce que tout le monde sait faire.

La Cour de DIJON nous dit que Murielle BOLLE, est d'une intelligence moyenne mais normale... Tous les téléspectateurs qui l'on vue rétracter son premier témoignage et ceux qui avait raté cet épisode qui regardent la vidéo, aperçoivent une jeune fille pas très futée, qui répond comme un enfant de 10 ans, voire moins.

On nous affirme qu' elle n'est pas sujette à des affabulations, d'ailleurs ce sont ses parents qui le disent ? connaitriez-vous des géniteurs qui diraient que leur progéniture est débile ? ... sans preuve sur Murielle BOLLE, en la revoyant on peut avoir quelques doutes ? On peut croire aussi qu'elle a pu être facilement manipulée.

On nous dit qu'elle aurait été victime de violences physiques et verbales : c'est sans doute vrai... mais il ne faut pas oublier d'admettre que ce serait compréhensible dans les deux cas, où son beau-frère serait innocent, ou coupable, car on ne balance pas en principe un membre de sa famille, cela ne fait pas partie des us et coutumes de notre temps, s'il est innocent il y avait matière à remonter les bretelles de Murielle, nous n'étions pas en 1984 comme aujourd'hui... à risquer la taule pour une fessée...

Il est très drôle Jean KER, le journaleux à l'allure de Beauf '' à la CABU, quand il évoque cet épisode. Il semble scandalisé théâtralement, mais s' il avait été ainsi redressé jadis, aurait-il appris à être plus moral et moins incendiaire et pompier le complice avec Christine BLAISE VILLEMIN, de l'assassinat de Bernard LAROCHE ?

On nous dit et c'est un COMBLE ! : que les gendarmes selon elle, " ont été très gentils "(SIC) pour le coup vous avalez votre dentier, car déjà les adultes qui sont invités avec déférence dans ces lieux très hospitaliers, chics, et de grande culture que sont les gendarmeries, voire les commissariats (pour ne pas faire de jaloux) sont comme l'on dit : "dans leurs petits souliers" et ont l'impression désagréable, d'être sur un gril...

Alors on se doute qu'une jeune fille, qui est encore une enfant retardée ait pu être complétement terrorisée... Elle ne serait pas la seule à qui ont aurait extorqué des aveux, et des faux-témoignages, les exemples dans les annales des affaires criminelles ne manquent pas, ils sont même hélas légion.

Une très bonne mesure a été adoptée : celle de mettre des caméras vidéos lors des auditions, ainsi le juge peut savoir si les règles ont été respectées...dans le cas de Murielle BOLLE restons prudemment sceptiques.

Il faut tenir aussi compte du fait démontré que sur le secteur sévissait dans les gendarmeries de sacrés voyous, comme le chef de la gendarmerie de CORCIEUX qui selon Me Chastant-Morand avait conseillé à Jean-Marie VILLEMIN de lancer des appels anonyme "d’identification" LOL ! (SIC) elle à la sémantique aussi adaptée que sa rhétorique l'avocate des VILLEMIN

D'autres gendarmes ont même conseillé, ce qui est un COMBLE et surtout un délit à Jean-Marie VILLEMIN d'abattre LAROCHE, comme s'il avait besoin de ça, en plus de son épouse et du journaleux fouteur de merde universel -activateur d’incendie Jean KER, de monter le bourrichon de ce tueur fou et borné ?

Nous noterons que les gendarmes incriminés par les familles BOLLE et LAROCHE se sont défendus d'avoir exercé des pressions sur Murielle BOLLE ou d'avoir manqué de loyauté à son égard et rien de tel n'a été prouvé à leur encontre, (SIC).... mais néanmoins ils ont reçu une plainte au derrière, qui si elle les a restabilisés, ce n'est pas pour rien, d'ailleurs bien qu'ayant bénéficié d'un non-lieu... ils ont évité de répliquer pour dénonciations calomnieuses.

La Cour de DIJON nous indique :

"Ébranlés par cette (celle de Murielle BOLLE) rétractation et ultérieurement par les plaintes avec constitution de partie civile déposées le 24 Janvier 1985 par Bernard LAROCHE contre les gendarmes enquêteurs pour faux et usage de faux en écritures publiques, subornation de témoin, menaces de mort et diffusion de fausses nouvelles susceptibles de porter atteinte à la paix publique et le 22 juillet 1985 par les parents de Murielle BOLLE contre les militaires de la gendarmerie ayant entendu leur fille pour faux, usage de faux et subornation de témoin et induits en erreur par les investigations de certains fonctionnaires du service régional de police judiciaire de NANCY qui tendaient à discréditer les témoignages recueillis par leurs prédécesseurs, le juge d'instruction d'EPINAL et, après lui, les magistrats du ministère public et ceux de la Cour d'appel de NANCY écartèrent une éventuelle culpabilité de Bernard LAROCHE. "(SIC)

RÉPONSE :

Il est remarquable de constater que les gendarmes bien qu'ayant sur ces plaintes obtenu une ordonnance de non-lieu, se sont bien gardé après cette décision régalienne de répondre par une plainte pour dénonciation calomnieuse, ils ne devaient pas être sûrs d'être très droits dans leur bottes ?

Peut-on croire que Murielle BOLLE qui ne savait même pas lire un plan, dont les parents ne possédaient pas de voiture, qui n'était jamais allé ni à Lépanges ni à Docelles ait pu à l'aide d'un stylographe désigner l’itinéraire qu'aurait emprunté Bernard LAROCHE, alors que même un adulte n'en serait pas capable ?

CONSTATATIONS :

IL FAUT CONSTATER LA SUBORNATION DÉTECTABLE DE TÉMOIN, CAR RIEN, ABSOLUMENT RIEN dans le témoignage qui est prêtè à Murielle BOLLE et qui a été dûment annulé, qui n'a donc plus aucun caractère juridique, ne constitue des faits nouveaux par rapport à ce que les enquêteurs savaient les jours où elle a été entendue : le 31 octobre 1984, le 2 novembre 1984, le 3 novembre 1984, le 5 novembre 1984.

On nous dit et que ce serait un fait nouveau : qu'elle a indiqué l'existence d'une rue barrée à Lépanges-sur-Vologne ? comme si les gendarmes n'étaient pas informés d'un tel barrage qui exige des autorisations par les autorités administratives.

La Cour dite "d'Accusation" de DIJON explique que le chômeur DERUDER ( qui n'aurait pas reconnu LAROCHE cousin de son épouse ? ) aurait vu un homme a moustaches un peu partout à Lépanges-sur-Vologne le 16 octobre 1984, et même avant, pour faire des repérages et on nous balance que cet hypothétique auteur du crime se serait bêtement empalé sur un barrage dans une rue qui ne menait même pas à DOCELLES ? à qui veut-on faire croire cela ?

On nous dit que le chômeur DERUDER avait pour épouse une cousine de LAROCHE ? aurait-il dans ce cas été obligé de participer à l'élaboration du deuxième portrait robot avec le drôle et ineffable témoin CORNILLIE ? ça ne tient pas debout.

On constate surtout que le témoignage prêté à Murielle BOLLE et qui a été annulé, ne recoupe même pas celui aussi très tardif que douteux de Monsieur Claude COLIN.

D'après ce que l'on a fait dire à Murielle BOLLE : Bernard LAROCHE se serait arrêté sur : "les Hauts de Lépanges" où il aurait fait demi-tour ... un seul endroit permet de faire cette manœuvre : le croisement à la fourche entre la rue des Champs et la rue de Bellevue en direction de Faing / Vairel... croisement qui se trouve d'après Google à 230 m de la maison des VILLEMIN, dont on lui fait dire qu'elle ne voyait que le toit ? ... Elle dit également que Bernard LAROCHE n'était pas passé devant la maison ?

Dans ce cas il est IMPOSSIBLE matériellement que Bernard LAROCHE ait pu croiser Claude COLIN avec sa passagère CLAUDON (qui dit le contraire ! ) chemin de la BURE (ou de l'Orée du bois)

Il y a une totale divergence sur ce point essentiel pour ce qui concerne les deux seuls témoignages contre Bernard LAROCHE de sa présumée équipée qui apparait de toute évidence rocambolesque et même digne du roi UBU.

Alors on va demander secours à Me Chastant-Morand pour départager ce litige, c'est un plagiat, mais à la différence de la bourde de l'avocate la question se pose effectivement :

QUESTION :

Comment les gendarmes qui ont auditionnés Murielle BOLLE auraient-ils pu encore deviner : le 31 octobre, les 2, 3 et 5 novembre 1984, que ce ne serait pas Monsieur Jean-Louis CLAUDON, qui amènerait Madame CLAUDON à la pâture, pour aller chercher les vaches en empruntant le chemin de la BURE (ou Orée du bois), mais Monsieur Claude COLIN, alors qu'il a fallu sept années d'information pour l'apprendre ?

Dès lors, il est définitivement démontré que les gendarmes ont bien suborné Murielle BOLLE, parce qu'il lui aurait dit que Monsieur Claude Colin était passé par le chemin de la BURE, et que Bernard LAROCHE pour croiser Claude COLIN, devait passer impérativement devant la maison des VILLEMIN.

Il suffit de regarder le plan non réalisé par un gendarme mais par Google EARTH pour comprendre.

Le témoignage attribué à Murielle BOLLE : Est-il crédible ? Réponse : absolument pas.

Ce témoignage manifestement suborné, n'apporte aucune précision sur ce que l'on a toujours recherché :

--- Comment le corps du petit Grégory a-t-il été mis dans la VOLOGNE, vivant ou mort ?

--- Comment a -t-il pu flotter pour qu'il se retrouve déposé comme par "un extra terrestre" à 50 m de la passerelle du type Baylet ?

---- Où est le lieu d'immersion ? "au point privilégié" ? ou près du local des pompiers, ou chemin du TRACHET, ou ailleurs ?

RIEN de ce que l'on a fait dire à Murielle BOLLE ne permet de résoudre ces énigmes après analyse de son témoignage on constate qu' on en reste au même point où étaient les gendarmes le 5 novembre 1984, pas une seule avancée dans l'enquête n'émane de ce témoignage. C'est IMPARABLE !

CONCLUSIONS : / CITATION

"La Cour d'appel de NANCY écartèrent une éventuelle culpabilité de Bernard LAROCHE en considérant :

--- que Murielle BOLLE avait un psychisme fragile et avait craint d'être placée dans une maison de correction... : Constatation : la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

--- qu'elle avait rétracté les accusations portées contre son beau-frère et s'était plainte d'avoir subi des pressions et d'avoir été trompée par les gendarmes... : Constatation : la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

--- que l'itinéraire décrit par elle était incohérent et fantaisiste... Constatation : il est plus que fantaisiste et la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

--- que les dépositions des témoins qui avaient dit avoir vu Murielle BOLLE monter dans la voiture de LAROCHE le 16 octobre 1984 ou qui avaient constaté son absence dans l'autobus de ramassage scolaire, n'étaient pas crédibles parce qu'à l'exception d'un seul ils avaient fourni des points de repère inexacts ou commis des erreurs ... Constatation : la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

--- qu'il était difficile de concevoir que Grégory VILLEMIN, enfant craintif qui ne suivait pas les adultes, ait pu se laisser prendre par un inconnu et se laisser ligoter sans se défendre et sans crier... Constatation : craintif ou non, un enfant quel qu'il soit ne se laisse pas ligoter et couvrir les yeux d'un bonnet sans se défendre et sans hurler... la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

--- que LAROCHE ne pouvait avoir la certitude de trouver Grégory VILLEMIN seul devant la maison de ses parents et de ne rencontrer aucun témoin de son rapt... Constatation : C'est une certitude puisque personne ne l'a vu le 16 octobre 1984, ni le 15 octobre 1984, parce qu'il pleuvait et non-plus la semaine précédente, parce que Grégory était malade.. : il était impossible ainsi de faire des repérages la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

--- qu'il était invraisemblable qu'un assassin se fit accompagner par un tiers pour commettre son crime... Constatation : c'est parfaitement exact, même la Cour de DIJON se contredit avec ses propres arguments.

--- qu'aucun indice matériel ne désignait LAROCHE comme l'assassin et que les investigations du service régional de police judiciaire de NANCY n'avaient apporté aucun élément nouveau contre lui...Constatation : la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

--- que selon sept experts nationaux il n'était pas le scripteur de la lettre du 16 octobre 1984 et des autres écrits anonymes... Constatation : la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

--- qu'il n'avait jamais passé d'aveu... Constatation : la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

--- que son activité professionnelle était incompatible avec les appels du Corbeau... Constatation : la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

- -- qu'il n'avait aucune raison de tuer Grégory VILLEMIN.... Constatation : Bernard LAROCHE avait une maison plus cossue que celle des VILLEMIN, en août 1981, quand la zizanie a débuté les VILLEMIN n'avaient pas encore leur salle à manger en chêne, n'avaient pas encore leur salon en CUIR... "vous vous rendez-compte en cuir ! quel luxe ! ": clame théâtral Me Moser... les LAROCHE comme les VILLEMIN possédaient deux voitures... avaient tous les deux un emploi... Par compte les LAROCHE, ce ne dit pas Me Moser, devaient avoir moins de dettes que les les frimeurs VILLEMIN and Co ... la Cour de DIJON n'apporte aucune preuve du contraire.

Si vous n'avez pas tout compris ... on peut faire un dessin ...

Nota Bene : L'analyse qui va suivre Bernard LAROCHE s'est -il rendu ou pas chez son ami Jean-Pierre ZONCA, ne concerne pas le témoignage attribué à Murielle BOLLE, puisque elle n'a pas pu évoquer ce qu'avait fait ou non Bernard LAROCHE, avant que soi-disant il vienne la chercher au CES de BRUYÈRES à 17 h 00 min...

Mais elle est déterminante pour mettre en évidence la façon particulière, voire hors-la-loi, qui pose interrogation, qui a permis à la Cour dite d'Accusation de DIJON, d'aboutir à un non-lieu, aussi INÉDIT en France qu' incroyable : par absence totale de charge au bénéfice d'une inculpée Christine BLAISE VILLEMIN, qu'une autre Cour d'Accusation, celle de NANCY, jugeant suivant les mêmes règles, les mêmes critères, les mêmes lois de la République française ? avait relevé en nombre impressionnant de 25 charges à l’encontre de la même :'inculpée".

Ce qui est INÉDIT est le fait avéré que cette inculpée a réussi à collectionner 25 indices graves pas : OU ... mais... ET concordants, sans être assignée devant une Cour d'Assises, ce qui restera longtemps unique.

Dans l'emploi du temps de Bernard LAROCHE, ce que conteste, La Cour dite d'Accusation de DIJON, est la visite faite au domicile de son camarade de travail Jean-Pierre ZONCA.

On remarque d'emblée qu'à son encontre de manière sélective, donc non équitable, donc illégale, elle remplit sa mission de Cour d'Accusation, a fortiori contre un mort.

EMPLOI DU TEMPS DE BERNARD LAROCHE : / CITATION

Entendu le 25 octobre 1984, puis réentendu de manière plus détaillée le 31 octobre en raison des soupçons dirigés sur lui par Mesdames JACQUIN-KELLER et BERRICHON-SEDEYN, Bernard LAROCHE se déclara étranger au crime et donna de son emploi du temps au cours de l'après-midi du 16 octobre 1984 le compte-rendu suivant:

Il s'était levé à treize heures car il travaillait de nuit. En l'absence de sa femme retenue par son travail à l'usine PROFIL de GERARDMER jusqu'à vingt et une heures, il avait rentré du bois de treize heures à quinze heures trente avec l'aide de sa tante Louisette JACOB.

Vers quinze heures quarante ou seize heures, il s'était rendu en voiture au domicile de son cousin et ami intime Michel VILLEMIN à AUMONTZEY pour y consulter un catalogue.

A seize heures trente il avait regagné le domicile de Louisette JACOB et y avait attendu jusqu'à dix-sept heures quinze son camarade de travail Jean- Pierre ZONCA avec lequel il devait acheter du vin en promotion au supermarché CHAMPION de LAVAL-sur-VOLOGNE.

Cet ami n'étant pas venu, il s'était rendu à son domicile, à GRANGES-sur-VOLOGNE, en compagnie de son fils Sébastien, mais n'y avait trouvé personne. De retour chez sa tante Louisette à dix-sept heures trente il y avait rencontré sa belle-sœur Murielle BOLLE qui, sortie du collège de BRUYÈRES à dix-sept heures, venait d'arriver par l'autobus de ramassage scolaire et regardait la télévision.

Dix minutes ou un quart d'heure plus tard il était reparti en compagnie de Sébastien au magasin CHAMPION où vers dix-huit heures il avait acheté cent cinquante bouteilles de vin, puis de là il s'était rendu un peu après dix-huit heures à BRUYÈRES au café de la Renaissance qui était habituellement fermé ce jour de semaine, mais où il avait néanmoins réussi à percevoir le produit d'un pari-tiercé gagnant. Au retour vers dix-huit heures trente, il avait croisé à LAVELINE-devant- BRUYÈRES la voiture d'Albert VILLEMIN conduite par Michel VILLEMIN ( qui se rendait à LEPANGES pour participer à la recherche de Grégory) .

Il avait ensuite déposé son fils chez Louisette JACOB, avait déchargé le vin dans sa maison, était revenu dîner chez sa tante. A vingt heures il était allé coucher Sébastien et était resté à son domicile jusqu'à son départ pour l'usine à vingt heures quarante cinq.

CONSTATATIONS / RÉPONSE :

La Cour d'Accusation de DIJON et son principal Magistrat le Président-Juge-Amoureux et parti Maurice SIMON, qui enquêtèrent sur un mort assassiné Bernard LAROCHE, ce que leur interdisait la LOI ... le pire étant que le non-lieu le précise lui même avant de débuter son enquête illégale, contestèrent la visite que Bernard LAROCHE a prétendu avoir faite auprès de son ami Jean-Pierre ZONCA, parce que ça les arrangeait, quand ils instruisant à charge avec la même illégalité contre cet ex- inculpé, puisqu’après sa mort , il bénéficiait d'après la Loi : de la présomption d'innocence VITAM ÆTERNAM.


La Cour d'Accusation de DIJON commence le paragraphe : B - CHARGES PESANT SUR BERNARD LAROCHE par : /CITATION

--" Il n'est pas question de proclamer la culpabilité de Bernard LAROCHE. Ce n'est pas le rôle de la Chambre d'accusation, juridiction d'instruction, et l'extinction de l'action publique mise en mouvement contre cet inculpé l'interdit.

Elle embraye aussitôt à l'adresse de ceux qui lui reprocheraient de violer la sacro-sainte présomption d'innocence, de violer le principe de Droit fondamentale dans toute démocratie, qu'un accusé doit pourvoir se défendre, ce qui évidemment n'était plus le cas ni de LAROCHE, mais constatons que ça arrangeait notablement la tâche des magistrats félons dijonnais, mais aussi les deux autres inculpés : Christine BLAISE VILLEMIN et son époux Jean-MARIE, accusé de l’assassinat avec préméditation de Bernard LAROCHE.

On se demande pourquoi Christine BLAISE VILLEMIN ne fût pas elle-même poursuivie par la Justice, pour complicité dans la tentative d'assassinat du 27 février 1985, que le journaliste -activateur d'incendie Jean KER fit avorter après l'avoir lui-même incité...dans une vidéo il nous raconte comment il fit écouter une cassette aux VILLEMIN, qu'il avait lui-même enregistrée, en violant le secret de l'instruction...

C'est vrai qu'il se dédouanait ensuite en racontant comment il avait fait avorter l'assassinat en se rendant chez les LAROCHE ou les VILLEMIN attendaient la victime visée.

Il témoigne sans le moindre sentiment de culpabilité la furie de Christine BLAISE VILLEMIN que la Cour de DIJON, nous ferait prendre pour Mère TERESA : "elle était comme folle, elle me dit espèce de salaud, tu es un salaud, tu nous pousse à tuer Bernard LAROCHE et tu nous trahis, elle était folle comme folle ! "(SIC Jean KER)

La Cour d'accusation de DIJON, explique pourquoi elle a violé la Loi :

-- "Il est toutefois nécessaire d'examiner les charges pesant sur celui-ci puisque la Chambre d'accusation de NANCY dont le ministère public avait, un temps, adopté les motifs, a considéré qu'elles étaient inexistantes afin de concentrer tous les soupçons sur Christine VILLEMIN et, le cas échéant, en vue de rechercher s'il n'aurait pas eu des complices ou ces coauteurs qui resteraient à découvrir."(SIC)

Des vidéos qu'il faut impérativement les revisionner pour comprendre l'affaire de l’assassinat de Grégory VILLEMIN :

http://www.dailymotion.com/video/x6geq3_reportage-2-4-gregory-20-ans-apres_news

http://www.dailymotion.com/video/x6gexs

http://www.dailymotion.com/video/x6geq3_reportage-2-4-gregory-20-ans-apres_news http://www.dailymotion.com/video/x6gexs

-- On met ainsi en évidence les monstrueux mensonges, calomnieux du voyou viscéral, colonel de gendarmerie Étienne SESMAT, qui fait étalage de sa suffisance mâtinée d'une crasse manque d’intelligence, parce qu'il s'est fait enfariner avec la naïveté d'un gamin par les VILLEMIN, surtout par Christine, qui l'a dupé, lui a balancé un coupable avec en paquet cadeau : un mobile : LA VENGEANCE , qui est comme celle de DAUDET : invisible...Cette vidéo témoigne de son immoralité par manque d'intégrité, d'honnêteté, notamment en accusant calomnieusement et d'une façon aussi mesquine que mensongère : le Juge LAMBERT.

-- Les caractéristiques du pseudo journaliste : pompier, activateur d'incendie, provocateur, et menteur, complice de l'assassinat de Bernard LAROCHE, de Paris-Match : Jean KER : le beauf ' vendeur de soupes frelatées.

-- Les commentaires infâmes, d'odeur pestilentielle, d'un œuf punais, d'un réel manque d'intelligence et de décence de la pseudo journaleuse : Catherine TARDREW.

-- Les mensonges et l'étonnement théâtral de Christine BLAISE VILLEMIN à la clinique le 29 mars 1985, lorsque Laurence LACOUR , amie des assassins, lui annonce que son mari a tué Bernard LAROCHE... à rapprocher et à comparer avec l'interview de Jean KER, sur la tentative d’assassinat qu'il avait fait avorter le 27 février 1985... pour apprécier la manipulation et le sens des mises en scène dont a usés l'auteure du crime... pour berner tout ce qui l'entourait.

-- Les défenseurs Me MOSER et Me Chastant - Morand, qui feraient prendre, sa vessie pour une lanterne au physicien relatif : EINSTEIN... mais qui s'étalent souvent en se prenant les pieds dans leur soutane perdant toges et épitoges.

-- Les révélations de la pseudo-experte graphologue, gâteuse, à la voix chevrotante : BERRICHON-SEDEYN, médium, voyante à ses heures, pour prédire l'avenir... prévoyant que l'auteur du crime n'avouerait jamais... (... au départ on pensait, qu'elle était sérieusement atteinte... mais finalement,à la réflexion ... il faut reconnaître qu' elle avait raison : l'auteure (au féminin) n'a jamais avoué... )

CONSTATATION SIDÉRANTE : C'est à cause des voyances prémonitoires, des inepties de BERRICHON-SEDEYN, BERRICHON-SEDEYN, plus celles aussi ineptes du témoignage attribué à Murielle BOLLE, que Bernard LAROCHE , fut avec des indices incertains, plus que discutables, le 5 novembre 1984, inculpé d'assassinat et placé sous mandat de dépôt par le Juge LAMBERT.

Cette une des seules fautes non pardonnable, qui peut être reproché à celui-ci.

La Cour d'accusation de DIJON, conteste la visite qu'aurait faite Bernard LAROCHE à son ami Jean-Pierre ZONCA, parce quesi elle se serait déroulée suivant les dires de celui-ci, il n'aurait pas ainsi pu commettre le crime contre Grégory VILLEMIN, en prétendant que personne n'aurait vu Bernard chez Jean-Pierre ZONCA .

Les VILLEMIN donnaient ces informations qu'ils offraient aux internautes en août / septembre 2010 intitulé :"Le 16 octobre... " ( pour les retirer brutalement le 10 septembre 2010... Un internaute avait découvert des anomalies rédhibitoires. )

"Dans l'hypothèse Bernard LAROCHE :/ CITATION

"Il a été démontré par le recoupement des témoignages recueillis, que Bernard LAROCHE est contredit au moins à quatre reprises sur son emploi du temps : (Commentaire : Christine BLAISE VILLEMIN bien plus, mais ses mensonges sont caractérisés )

- Une première fois, sur son périple à GRANGES SUR VOLOGNE vers 15 h 50 min, avant d'aller chez Michel VILLEMIN.(SIC)

- Une deuxième fois lorsqu'il affirme qu'il avait été convenu avec son ami ZONCA (démenti par ce dernier), d'acheter du vin au magasin CHAMPION, ce 16 octobre 1984.(SIC)

- Une troisième fois lorsqu'il dit, qu'il serait monté directement chez lui après l'encaissement de son tiercé, alors que ce dernier avait pris la direction de chez ses beaux parents, lors du croisement à LAVELINE DEVANT BRUYÈRES, aperçu par Michel VILLEMIN et les parents de celui-ci qui descendaient à LEPANGES SUR VOLOGNE. "(SIC)

COMMENTAIRE : cette indication est totalement fausse, car si Bernard LAROCHE avait tourné à gauche, en direction de ses beaux parents, à Laveline-devant-Bruyéres, lorsqu'il rentrait chez lui à AUTMONZEY, il n'aurait pas pu croiser sur cette route, la voiture conduite par Michel VILLEMIN, ce qui est exact puisque leurs témoignages se recoupent des appels de phares de Bernard LAROCHE, sur la route d'AUMONTZEY, d'où arrivaient les grands parents dans leur voiture TOYOTA, conduite par Michel VILLEMIN.

Vous êtes à ce sujet invités à décoder cette phrase du livre "le 16 octobre "de Jean-Marie VILLEMIN, qui se mord la queue et qui aboutit à une impossibilité qui prouve ses mensonges, si vous trouvez prévenez-le ...

- Une quatrième fois, avec sa belle sœur Murielle BOLLE, sur la présence de l'un par rapport à l'autre au domicile de la tante Louisette JACOB. (SIC)

COMMENTAIRE :

On ne peut pas qualifier cette inversion d'ordre d'arrivées : de mensonge Jean-Marie VILLEMIN devrait demander à Me Chastant-Morand de lui expliquer ce qu'elle pense de la fiabilité des témoignages humains... en outre, faudrait-il lui rappeler que des inversions son épouse en a faites beaucoup... et bien plus graves... en particulier concernant sa sortie de chez elle : le16 octobre 1984, alors que c'était au départ de la promenade de Monsieur Bernard COLIN, qu'elle situe en mentant parc que ça l'arrange : au retour...: CE QUI EST IMPOSSIBLE...

Son " schéma horaire " donne encore une autre version, car il est prétendu que Monsieur Bernard COLIN serait de retour de sa promenade à 17 h 33 min (SIC)

... en lui rappelant aussi que depuis 33 ans, on attend que Christine BLAISE VILLEMIN meuble de manière cohérente son emploi du temps de : 17 h 02 min à 17 h 33 minutes, le 16 octobre 1984... ce qu'avec plus de trois moutures elle n'a jamais réussi à faire. Ce qui est une réalité non contestable.

"- Les témoignages de Gérard GAUDEL, puis de Marie Thérèse BARADEL née GAUDEL la sœur de Gérard, amis à Bernard LAROCHE. Devant le SRPJ, ils déclareront avoir vu Bernard LAROCHE avec son ami 8 break, le 16 octobre 84 à Granges Sur Vologne vers 15h50' : " nous lui avons fait salut de la main "? Il résultera de ces témoignages indiscutables parce qu'étayés par la référence au disque contrôlographe du camion de Gérard GAUDEL que Bernard LAROCHE est allé chez ZONCA avant de venir chez Michel VILLEMIN.(SIC)

COMMENTAIRE : Les VILLEMIN sont pris la main dans le sac, car La Cour d'Accusation de DIJON a toujours considéré que Bernard LAROCHE n'était pas allé chez son ami Jean-Pierre ZONCA, le 16 octobre 1984, pour le seul motif que personne ne l'aurait vu.

Les VILLEMIN apportent la preuve du contraire en affirmant que Bernard LAROCHE serait allé chez ZONCA...avant d'aller chez Michel VILLEMIN, donc qu'il s 'y était rendu...mais que personne ne l'a vu non-plus ...

Ce qu'il faut retenir est le fait démontré que Bernard LAROCHE, y soit allé avant ou après chez ZONCA, n' a aucune importance, ce qui est important : c'est qu'il est admissible que Bernard LAROCHE soit allé chez ZONCA, sans que des témoins ne l'aient aperçu.

On peut supposer raisonnablement, sans aller sur place, qu'à proximité de chez ZONCA, il n'y a pas un mirador avec un cerbère, qui monte la garde 24 h /24 ?

Les VILLEMIN nous ressortent les chronographes, en oubliant encore une fois de dire que dans les années 1980, ils étaient presque tous trafiqués, ce qui a obligé le Législateur a modifié la Loi...

La précision de ces appareils contrairement à ce que disent leurs avocats qui sont béotiens et ne connaissent techniquement RIEN, il ne pouvait pas donner la précision, qu'ils donnent à la seconde près.. : 17 h 32 min 41s.

Il n'y a que me Chastant -Morand qui peut dire une ineptie pareille. Ils s 'étaient basés sur le temps donné par une horloge mécanique, qui ne pouvait pas être calée sur l'étalon horaire atomique de MEININGEN type DCF 77 :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_atomique

"- Bernard LAROCHE pour se rendre chez Michel VILLEMIN, est d'abord monté chez lui pour changer de voiture, de son Ami 8 pour sa 305 Peugeot. Pourquoi ? Il aurait été plus facile pour lui de garder l'Ami 8 pour acheter 25 cartons de six bouteilles de vins (150b de 75cl). Il n'a pu mettre que 22 cartons dans son coffre? et les trois autres cartons dans l'habitacle."(SIC)

COMMENTAIRE : avec les jumelles dont elle parle dans ses appels anonymes "d'identification"" la" corbeau femelle, pouvait-elle voir de Lépanges -sur-Vologne, ce qui se passait chez les LAROCHE à AUMONTZEY, puis à LAVAL au magasin CHAMPION ?

Où les VILLEMIN ont-ils pêché de tels détails ?

- Au terme des enquêtes successives Bernard LAROCHE ne pourra se prévaloir d'aucun alibi entre sa sortie de la maison de chez Michel VILLEMIN à 16 h20 min et son départ pour le magasin CHAMPION vers 17 h 50 min(SIC)

COMMENTAIRE : Les VILLEMIN ne devraient pas la ramener sur ce sujet, car on remarque facilement que les emplois du temps qu'ils ont donnés pour Christine BLAISE VILLEMIN, au moins trois, dont celui du mémoire de Me Chastant-Morand remis à la Cour d'Accusation de DIJON, en faveur du non-lieu, sont tous mathématiquement et matériellement FAUX ... Solution mathématique IMPOSSIBLE : LE RÉSULTAT EST ÉLOQUENT !

"- Pouvait-il se prévaloir d'un alibi, entre 18h25', lorsqu'il a croisé à LAVELINE DEVANT BRUYERES, entre AUMONTZEY et BRUYERES, la voiture des Albert et Monique VILLEMIN conduite par leur fils Michel, et la prise de son travail au tissage ANCEL de GRANGES SUR VOLOGNE à 21h00' ?"(SIC)

COMMENTAIRE : Ça on n'en a RIEN à foutre, parce qu' aussi bien à 18 h 25 min et a fortiori à 21 h 00 min, le corps de Grégory gisait depuis longtemps, où il a été retrouvé à 50 m en aval de la passerelle du type BAYLET.

QUI POURRAIT NOUS FAIRE CROIRE QU'UNE PERSONNE EN FRANCE, QUI APERÇOIT UN SAC DE MATIÈRE PLASTIQUE, DANS UNE RIVIÈRE, IRAIT LE SIGNALER DANS UNE GENDARMERIE OU UN COMMISSARIAT ?

Alors que ce phénomène est d'une banalité quotidienne chez nous , on retrouve avec l'indiscipline qui nous caractérise tout ce que l'on veut dans les rivières et fleuves de France... ce qui n'est pas le cas en SUISSE par exemple... ni à SINGAPOUR, où les distributions de "prunes" ne sont pas gratuites.

La Cour dite : "d 'Accusation " de DIJON indique :

"Une une dame Josiane LAHAYE épouse GUYOT qui, le 16 octobre 1984 vers 17 heures 30 avait franchi la Vologne en empruntant le pont Bailey, avait aperçu une forme bleue retenue par des pierres. La prenant pour un sac d'ordures en matière plastique, elle n'y avait pas prêté attention. Par la suite, les enquêteurs émirent l'hypothèse qu'il s'agissait de Grégory VILLEMIN enveloppé dans son anorak bleu."(SIC)

"C'est possible, mais entendue à nouveau le 4 juin 1989 par des officiers de police judiciaire qui lui ont montré les vêtements de l'enfant, elle ne put certifier que c'était bien lui qu'elle avait vu." (SIC)

COMMENTAIRE :

Si Madame Josiane GUYOT a eu son attention attirée consciemment ou inconsciemment (*) par une forme bleue retenue par les pierres, c'est indiscutablement qu'elle ne pensait pas ce ce fût un banal sac d'ordures en matière plastique, parce que dans ce cas personne en France ne va prévenir policiers ou gendarmes, en perdant 3 ou 4 heures pour les formalités administrative.

(*) Carl JUNG le philosophe helvète dirait : " Notre CONSCIENT n'est qu'une coquille de noix qui vogue sur l'immense océan de notre INCONSCIENT "(SIC)

On constatera qu' à 21 h 15 min les pompiers de DOCELLES, ne découvrir à l'endroit indiqué : aucun sac d'ordures en matière plastique, il découvrir le corps sans vie d'un enfant Grégory VILLEMIN, dont les mâchoires étaient serrées, ce qui signifie d'après les médecins légistes, qu'on était en présence du premier signe de la rigidité cadavérique, qui se produit de trois à quatre heures, après le décès quand le corps se trouve dans l'air ambiant.

On peut supposer que les médecins légistes français, qui ne sont pas des médecins nazis, n'ont pas fait comme ces derniers, des essais de survie dans les eaux glacées de la BALTIQUE avec des prisonniers.

Force est de constater que Grégory est mort entre : 17 h 00 min et 18 h 15 min

Imaginer l'hypothèse que Grégory ait pu être mis à l'eau, après l'appel anonyme annonçant sa mort reçu par Michel VILLEMIN à 17 h 32 min 41 s, relève de la Science de l'abscons et même des cons ...

Parce que ça ne répond plus à aucune logique et parce qu'aussi AUCUN INDICE NI TÉMOIGNAGE NE VIENT EN SOUTIEN DE CETTE HYPOTHÈSE.

PAR CES MOTIFS : IL EST INUTILE DE POURSUIVRE TOUTE INVESTIGATION SUR UNE AUTRE HYPOTHÈSE CE SERAIT PERDRE SON TEMPS

"Il HYPOTHÈSE CE"- Il (B.L) a prétendu avoir passé cet espace de temps soit à son domicile, soit chez sa tante Louisette JACOB, mais il n'y a que les dépositions de sa belle-sœur Murielle BOLLE pour confirmer ses allégations dont la preuve n'est pas rapportée avec certitude".(SIC)

COMMENTAIRE :

"ET ALORS ? " : dirait François FILLON : quand Jean-Marie VILLEMIN couche avec sa femme qui l'entend téléphoner à deux heures (du matin) à JACQUEL, quel serait à votre avis les témoins possibles ? : LAROCHE avec sa longue -vue à partir d'AUMONTZEY ou elle à partir de son lit ?

"-1 °: Il existe trois chronométrages dans la procédure sur la faisabilité hypothèse Bernard LAROCHE. Ce témoin avait la possibilité selon les aveux de Murielle BOLLE, d'être sur les hauts de LEPANGES au plutôt vers 17h10.(1) 1er. Avec les gendarmes (D.309) pour l'enlèvement et le meurtre de Grégory (17h00' - Départ du CES BRUYÈRES - LEPANGES - DOCELLES - AUMONTZEY) il aurait fallu au minimum 37 minutes 30 secondes. En ajoutant le chrono (SI/D408) correspondant à ses achats et à l'encaissent de son tiercé, il pouvait être au magasin CHAMPION vers 17h48', au PMU vers 18h06' et au carrefour à LAVELINE DEVANT BRUYERES aperçu par Michel VILLEMIN et ses parents qui descendaient à LEPANGESvers 18h16'."(SIC)

CONSTATATION :

(1) Suivant Murielle BOLLE : MAIS à condition de parcourir : CES-BRUYERES, CHAMP-LE-DUC, BEAUMENIL, LEPANGES en 04 secondes ! démonstration : le site VILLEMIN indiquait que Bernard LAROCHE serait parti du CES de BRUYERES à 17 h 05 min (SIC)... Le Juge vicelard pour le coup SIMON a chronométré les 200 premiers mètres, parc CES ... avenue de Lattre de Tassigny = 4 min 56 s (SIC non-lieu) : donc à 17 h 09 min 56... Bernard LAROCHE se trouve avenue de Lattre de Tassigny... pour arriver sur les "Hauts de Lépanges " à 17 h 10 min, il dispose de 4 SECONDES !

VITESSE : 11 250 km par heure : Il avait donc un Exocet ? Pourquoi ne nous l’ a-t-on pas dit ?

Google nous indique : av. de Lattre de Tassigny à BRUYERES... CHAMP -LE-DUC = 2 km = 3 min ... BEAUMENIL = 2, 3 km = 4 min ...LEPANGES-SUR-VOLOGNE = 8, 2 km = 12 min , soit au total = 19 minutes

Suivant Murielle BOLLE : Bernard LAROCHE arriverait sur les “Hauts de Lépanges” à 17 h 24 min, si elle part du CES à 17 h 05 min, comme indiqué par les VILLEMIN... “ENLEVEMENT” ? arrêt : 2 mn = 17 h 26 min ... POSTE LEPANGES = 3 min... = 17 h 29 min ... arrêt 2 min = 17 h 31 min ... DOCELLES = 5. 7 km = 6 min = 17 h 37 min ... arrêt 15 min = 17 h 52 min Bernard LAROCHE repartirait de DOCELLES à : 17 h 52 min

D’après Google : en partant à 17 h 05 min + 4 min 56 s + 3 min + 4 min + 12 min ARRIVEE aux Hauts de Lépanges à : 17 h 28 min 56 s + arrêt : 2 min ...La Poste : 3 min = 17 h 33 min 56 s + arrêt 2 min = 17 h 35 min ... DOCELLES à : 17 h 41 min... arrêt : 15 min = 17 h 56 min 56 s BL repartirait de DOCELLES à 17 h 56 min 56 s

DOCELLES = 17 h 48 min 56 s ... AUMONTZEY = 16. 7 km = 20 min = 18 h 08 min 56 s ... arrêt : 5 min = 18 h 13 min 56 s ... LAVAL-SUR-VOLOGNE = 7 km = 9 min = 18 h 22 min 56 s arrêt 10 min = 18 h 32 min 56 s ... BRUYERES = 2. 4 km = 4 min = 18 h 36 min 56 s arrêt 5 mn = 18 h 41 min 56 s ... AUMONTZEY = 7 km = 9 min = 18 h 50 min 56 s

3 + 4 + 12 + 2 + 3 + 15 + 20 + 5 + 9 + 10 + 4 + 5 + 9 = 101 min = 1 h 41 min

Temps total : 1 h 41 min

Bernard LAROCHE en partant du CES de BRUYERES à 17 h 05 min, arriverait à AUMONTZEY : 18 h 50 min 56 s = IMPOSSIBLE IL N’AURAIT PAS PU CROISER MICHEL VILLEMIN à LAVELINE-DEVANT-BRUYÈRES à 17 h 15 min ou 26 min

Google indique : LAVELINE-DEVANT-BRUYERES ... LEPANGES-SUR-VOLOGNE = 9 km = 12 min

Si la famille est arrivée à 18 h 40 min , elle était à LAVELINE-DEVANT-BRUYERES = 17 h 28 min

LES VILLEMIN indiquaient :

“2e. Avec le SRPJ (SI/D564) pour l'enlèvement et le meurtre de Grégory

- (Départ AUMONTZEY - BRUYERES - LEPANGES - DOCELLES - AUMONTZEY) il aurait fallu au minimum 44 minutes 45 secondes. En tenant compte d'un départ à 17 h 00 du CES BRUYÈRES et son retour au carrefour de LAVELINE - DEVANT BRUYÈRES il aurait fallu un minimum de 36 minutes 45 secondes.En ajoutant le chrono (SI/D408) correspondant à ses achats et à l'encaissent de son tiercé, il pouvait être au magasin CHAMPION vers 17h47', au PMU vers 18h05' et au carrefour à LAVELINE DEVANT BRUYERES aperçu par Michel VILLEMIN et ses parents qui descendaient à Transversale 18h15'.

3e. Avec le juge SIMON (SI/D408) pour l'enlèvement et le meurtre de Grégory (17h00' - Départ du CES BRUYÈRES (et non du lycée Lurçat) - LEPANGES - DOCELLES - AUMONTZEY) il aurait fallu 48 minutes. En ajoutant le temps correspondant à ses achats et à l'encaissent de son tiercé, il pouvait être au magasin CHAMPION vers 17h58', au PMU vers18h16' et au carrefour à LAVELINE DEVANT BRUYERES aperçu par Michel VILLEMIN et ses parents qui descendaient à LEP LAVELINE-DEVANT-BRUYERES ANGES vers 18h26'.

Remarque: En fonction de certains chronométrages et de l'estimation des temps morts, il y a une variation d'une dizaine de minutes entre les chronométrages des premiers enquêteurs (Gendarmes /SRPJ) et celui du juge SIMON.

Conclusion: Il n'y a pas d'incompatibilité dans cette hypothèse, Bernard LAROCHE pouvait être aperçu sur les hautes de LEPANGES entre17h17' et 17h18' (voiture verte) et se retrouver au carrefour de LAVELINE DEVANT BRUYERES entre 17h15' et 17h26' (SIC)

COMMENTAIRE : il est inutile de faire l’analyse des deux derniers chronométrages elle n’apporte rien.

http://www.dailymotion.com/video/x1aeat0_non-elucide-affaire-gregory-villemin-26-01-14_tv

QUE DISENT NOS MÉDIAS ?

Non élucidé : affaire Grégory Villemin 26/01/14 - vidéo Dailymotion dailymotion.com

Il existe beaucoup de contre-vérités dans ce reportage... notamment générées par Monsieur Jean-Marc BLOCH en particulier, Arnaud POIVRE D'ARVOR se contente de l'interroger :

Il est totalement faux de prétendre que les gendarmes aient effectué une perquisition à fond de la propriété des VILLEMIN, n'importe qui sait que ce sont des propos mensongers, de même il est aberrant de soutenir que l 'enfant aurait été étranglé : ce serait oublier, que l'on a trouvé de l'eau dans son estomac, ce qui ne serait pas grave mais surtout ce qui est létal dans ses poumons, certes en petite quantité. Le Professeur Duprez après des analyses faites à l'aide d'un microscope , ne trouva dans l'eau contenue dans les deux lobes des poumons aucune particules ni végétales ni minérales que charrient nécessairement toutes les rivières ainsi que la VOLOGNE.

L' omission de la perquisition fut une FAUTE majeure de l'enquête de la Gendarmerie, ( toute le monde le sait ) qui coûta très cher, et qui permis à la succube de LEPANGE -SUR- VOLOGNE : "une femme intelligente et d'une grande présence d'esprit"(SIC) de se débarrasser de toutes les preuves compromettantes... encore aurait-il fallu qu'elle sache où elles pouvaient se trouver ? ceci concerne les cordelettes ( en réalité du cordeau ) : " C'est Jean- Marie VILLEMIN qui bricolait" (SIC C.V. )

L'autre fut la destruction de la lettre du 16 octobre 1984, revendiquant le crime...quels nullards les gendarmes qui ont enquêté (pareil à celui que décrivait Jean FERRAT dans sa chanson " Sacré Félicien") ...chercher les empreintes d'un corbeau malin comme un renard, qui les enfarinaient depuis 2 ans, les narguant jusqu'au ridicule, était-ce perspicace ?

N'était-il pas naïf de rechercher les empreintes d'un malfaisant, qui malgré des centaines d'appels anonymes et d'exactions de toute sorte, ne s' était jamais fait prendre et les avait nargués ?

Jean-Marc BLOCH, met même en cause en douce, les Policiers en prétendant qu'ils auraient magouillé pour mettre eux-mêmes des cordelettes dans la maison des VILLEMIN, c'est débile ! vous voyez Corazzi fabriquer du cordeau ? ... parce que ce ne sont pas des cordelettes, dont-il s'agit, mais bien de CORDEAU.

Ceux qui connaissent le Commissaire "un peu" savent, qu'il était plus présent dans les bars à filles de joie de Nancy, plus actif sur un terrain de golf, avec un pastis à portée de mains, que pour fabriquer du cordeau, ce qui est impossible sans des machines spéciales.

Ce qui est un comble pour cet ex-commissaire BLOCH, qui se la pète d'avoir été dans la Police parisienne, se sont ses allégations insensées, pas étonnant qu'avec de telles aberrations : 20 % des homicides ne soient pas élucidés, sans compter au moins autant ceux qui sont ignorés parce que les médecins, délivrent des autorisations d'inhumer, en se faisant feinter ou pas ?

Jean-Marie VILLEMIN possédait forcément du cordeau, puisqu'il a construit lui-même l’extension de sa maison destinée à un garage, monté en parpaings d'agglomérés de béton, qui était encore sans porte le 16 octobre 1984.

Le cordeau est un outil obligatoire pour de tels travaux ( c'est ce que les magistrats béotiens des métiers du bâtiment nomment des cordelettes)

Le gendarmes ont suborné Murielle BOLLE, c'est évident : comment cette jeune adolescente pas futée pour deux sous, (tout le monde la voit sur la vidéo lorsqu'elle se rétracte... une enfant de 10 ans ? ) aurait-elle pu indiquer avec un stylographe, l'itinéraire fou qu'on lui prête et qu'aurait emprunté Bernard LAROCHE ? On nous prend pour des imbéciles... savait-elle lire un plan, quand un adulte, n'y arriverait même pas.

Les gendarmes ont fabriqué de toutes pièces : le foulage parce que si le gendarme Klein qui s'est fait abuser, par ses collègues, n'a trouvé que 2 initiales par foulage...:ce qui pose interrogation est le fait qu' il n'a jamais découvert aussi par foulage, le reste du texte de la page précédente du bloc d'écriture... et personne, à moins d'être fêlé ou aliéné, n'utilise les blocs d'écriture pour n'inscrire au bas des feuillets : que deux lettres.

Le foulage aurait été instantanément détecté le 17 octobre 1984, car cela ne nécessite aucun appareil pour le voir. Demandez à Jean KER il suffit d'incliner la feuille placée sous une lumière rasante...

Le gendarme KLEIN n' a jamais présenté le document dont la signature se superposait parfaitement d'après lui, au foulage découvert sur la lettre du 16 octobre 1984, s'il l'avait fait on aurait pu rechercher, où il avait été signé, et si comme c'est probable, il avait été signé dans une gendarmerie, nous aurions eu droit à un grand moment de solitude.

Ses collègues ont dû tendre un piège à Bernard LAROCHE pour le faire avouer, en glissant la lettre du 16 octobre 1984, sous les feuillets de copie à signer des auditions par Bernard LAROCHE...

On connait les malversations dont sont capables des policiers ou les gendarmes, qui ne sont jamais sélectionnés après enquête de Moralité... mais plutôt dans les couches inférieures de la Société et en constituent sa lie, celles qui ne trouvent aucun emploi ailleurs, et surtout pas dans le secteur privé.

Très peu d'enquêteurs le font par vocation, les gendarmes Prouteau et Jambert, valeureux, consciencieux, honnêtes, etc pétris de qualités, sont des exceptions.

On ne peut que constater, que l'un a été assigné en Justice pour des délits qui lui ont été imposés par abus de pouvoirs, l'autre qui avait "logé" le criminel Émile LOUIS, a été retrouvé "suicidé" ... sans doute pas pour lui-même ? ...

Il est désormais IMPOSSIBLE d'exercer en légitimistes, genre le JAVERT des "Misérables" , certains métiers en France devenue République bananière.

Sur des centaines d'appels malfaisants, les gendarmes n'ont jamais débusqué un seul corbeau, c'est lamentable, mais pas étonnant les plaintes de la plèbe finissent à la poubelle, seules celles des patriciens sont prises en considération, fussent-elles mineures

Constatons qu'un corbeau vole beaucoup plus haut qu'un jeune et incompétent colonel de gendarmerie... plus jeune encore que le Juge LAMBERT, que l'on agonit d'insultes, en oubliant le Procureur local, qui est resté muet malgré les entraves à l'exercice de la Justice, alors qu'il disposait de tout un arsenal pour faire respecter la mission de la Justice et la LOI et mettre sous boisseau pour réduire au silence la meute des " RATS DE VOLOGNE" : IL ne l'a pas fait.

En fait le gendarme SESMAT n'a eu raison, que sur un seul et unique point dans cette triste affaire, ce meurtre aurait pu être résolu en moins de 15 jours... mais nuance : pas par lui, par un enquêteur moins suffisant, plus perspicace, plus intelligent.

Le gendarme Sesmat par sa naïveté et sa méconnaissance des annales des fiilicides, s'est fait rouler dans la farine, comme un gamin... le corbeau l'avait conditionné depuis trois ans...( ou ses "hommes " comme il le dit ?).

La diablesse leur avait livré, par ses manigances, ses auto-exactions, ses malveillances bien ciblées : un coupable... et en paquet cadeau un mobile : LA VENGEANCE qui comme l'Arlésienne n'apparait jamais, alors qu'on la cherche toujours...

Le Juge et parti : Maurice SIMON ? doit la chercher encore après son "épectase"... Les excès de libido ne sont pas bons pour la santé d'un "couguar", ni pour les jugements de Justice équitable.

Les gendarmes outre leurs erreurs monumentales, se sont comportés tels des voyous, Ils ont informé les VILLEMIN, avant et après le crime. Ils ont conseillé aux VILLEMIN de donner des appels anonymes, ce qui est illégal, et le résultat est le brouillage des pistes et leur incapacité à trouver quoi que ce soit, de débusquer un seul corbeau.

Le gendarme SESMAT, ignorait les statistiques des annales des infanticides qui lorsqu'ils sont perpétrés par les parents, (donc dans les cas de filicides), indiquent que dans plus de 90 % des cas : les mères sont coupables...,(c'est la conclusion qu'ont tirée les policiers dans une affaire similaire celle de Tania PARNISARI, qui elle est passée en jugement aux Assises.)

C'est le crime le plus horrible et en même temps le plus naturel, la mère donne la vie, et considère pouvoir donner la mort, les mères Folcoche n'existent pas que dans les romans.

Ainsi le gendarme SESMAT assène péremptoirement à ceux qui lui reprochent : "pourquoi vouliez-vous que nous fassions une perquisition ? Ce sont les VILLEMIN qui sont les victimes... C'est grave une perquisition "(SIC) : ben ! voyons ! CORAZZI lui répond :"on fait une visite domiciliaire"...

L'enfant n'a pas été étranglé, mais noyé chez LUI, comme les petits chats qu'on noie dans un seau pour éliminer la portée que l'on ne veut pas...

Il avait peu d'eau dans les poumons, parce que le corps a été transporté à plat-ventre dans le coffre d'une automobile. Cette eau était de la ville, sans les particules minérales, et végétales, que nécessairement charriait la VOLOGNE.

Le rapport du Pr DUPREZ a été daubé... pourtant personne ne l'a jamais contesté, c'est paradoxalement le seul ! Notons que le corps de Grégory a été incinéré alors que les analyses ADN se vulgarisaient dans les années 2 000

Quel que soit l' état d'une dépouille, la loi attribuée à Lavoisier, nous enseigne : "que rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ". Une analyse aurait pu être faite, la Justice a autorisé la destruction de preuves matérielles, c'est imparable, mais elle devait avoir quelques raisons ?

Le transport du corps mort et ficelé de l'enfant dans un coffre de voiture, sans doute à plat vendre, a vidé par gravité l'eau de ses poumons.

La solution de l'affaire de Grégory VILLEMIN, est des plus simples, mais il faut deux conditions : savoir lire, et avoir poursuivi ses études jusqu'à CM2, pour pouvoir ajouter des temps.

Christine BLAISE VILLEMIN est coupable d'avoir mis fin aux jours de son fils Grégory le 16 octobre 1984, entre 17 h 02 min et 17 h, 08 min : le temps qu'a mis Monsieur Bernard COLIN et son chien dalmatien pour arriver au croisement que balayait M.MELINE (situé 10 m au dessus de chez les VILLEMIN), après avoir été dépassé par la RENAULT 5 noire de la mère de l'enfant, montant la rue de BELLEVUE.

Les VILLEMIN indiquaient sur leur site qu'il fallait faire : " les schémas horaires" de chaque protagoniste concluant : " LE RÉSULTAT EST ÉLOQUENT" : Ils avaient RAISON ...mais le 10 septembre 2010 il se sont empressés de retirer tous leurs documentes émis sur Internet. Demandez-leur POURQUOI ? on ne veut plus aider les internautes ? et continuer à les prendre pour des "pommes" ?

C'est mathématique... Comme au sudoku : il n'y a dans cette affaire qu'une seule et unique solution. Les "math" se fichent des sentiments, qui vont de la sensiblerie, à la haine, qui obèrent résultats et jugement, elles sont une Science exacte.

La succube avait élaboré un plan diabolique à long terme, et l'a respecté à la lettre... sans jamais faire demi-tour, le poursuivant imperturbablement : son but était de conditionner les enquêteurs pour qu'ils orientent leur soupçons d'emblée après la mort programmé de son enfant, contre celui qui d'après elle avait quelques motifs d'en vouloir à son père adoptif Albert VILLEMIN, c'est à dire Jacky VILLEMIN, dit : "LE BÂTARD,", en offrant aussi : son mobile aux enquêteurs : LA VENGEANCE.

On comprend mieux ainsi, en les relisant, le sens du contenu des lettres et appels anonymes qui apparait au premier abord mesquin et débile. Il ne l'était pas du tout, on devine les motifs programmés du comportement de l'auteure du crime, brouiller les pistes, et cibler un faux coupable en lui trouvant un mobile.

Normal : Jacky VILLEMIN pouvait être jaloux de ses demi-frères, pour n'avoir pas avoir été traité dans la famille, d'une manière équitable... C'est ce que tout individu pourrait raisonnablement penser... même si c'était complètement faux.

Manque de chance, le jour du crime, Jacky VILLEMIN avait un solide alibi, ce que ne pouvait pas prévoir l'auteure du crime.

On ne programme pas la réparation d'un toit en octobre, on en profite pour la faire quand il fait beau... ce qui était le cas le 16 octobre 1984.

Les gendarmes qui comme d'habitude n'avaient rien fait après les plaintes, celles de la populace ne les concernent pas ... ils ne s' occupent que de celles des friqués. Ils n'ont mis personne sous écoutes, ce fut un gros bobard... La preuve : Aucune des bandes enregistrées ne l' a été par les gendarmes... Mais le 16 octobre 1984, ils se sont trouvés fort dépourvus ... et dans le caca... avec un enfant mort sur les bras.

Alors pour rattraper leur je m-en-foutisme, ils ont cherché à se dédouaner par rapport aux VILLEMIN, en les considérant d'emblée pour victimes et en taillant en pièces un coupable montré du doigt par le corbeau :Jacky VILLEMIN, avec le mobile de vengeance offert et livré "gratos" : en paquet cadeau aux enquêteurs, par le corbeau qui avait préparé soigneusement et méthodiquement son sale coup, éliminer son enfant.

Jacky VILLEMIN ayant un solide alibi, la diablesse a changé son fusil d'épaule, dans la famille on sait faire, le dirigeant vers Bernard LAROCHE... mais lui n'avait aucun mobile de VENGEANCE... alors on cherchera LA VENGEANCE elle est aux abonnés absents ...jusqu'à la fin des temps.

C'est pour cela que Maurice SIMON le juge aussi magicien qu'amoureux, ( juge et partie).. a toujours cherché le mobile de la VENGEANCE qui est comme l' Arlésienne : on en parle TOUJOURS dans cette affaire, mais on ne la voit JAMAIS.

Stupides les arguments de SESMAT sur ce points, pour trouver un mobile contre Bernard LAROCHE.

En 1981, lorsque la zizanie a commencé : les VILLEMIN ne possédaient pas ni la salle en manger en chêne, ni le salon en cuir... en cuir ... vous vous rendez compte" : clame Me Moser, qui vous fera prendre votre vessie pour un lanterneau.

Mais les "GISCARD " ne gagnaient en réalité que : 10 000 F en 1983... une misère ! (appel du 24 avril 1983)... et avaient plus de dettes que d'argent comptant.

Me Moser fait mourir de rire en qualifiant de "GISCARD" les VILLEMIN ? n'importe quoi ! Il travaillait dans une usine pourrie où personne ne veut aller parce que ça pue, et ça colle ... et il était fayot "garde-chiourme" , d'ailleurs il le dit lui-même : "un chef c'est un surveillant !", (SIC) lors de l'appel anonyme du 24 avril 1983.

Me Moser comme le gendarme Sesmat, n'a jamais visité une usine , ça se remarque ! Un délégué du personnel ne peut pas envisager les mêmes perspectives de carrière qu'un "fayot"... : une balance.

C'est une constante dans toute entreprise et devenir délégué du personnel est un choix et même une vocation suicidaire.

Très drôle aussi Me CHASTANT-MORAND, elle s'est prise souvent la soutane dans le tapis... de belles bourdes et de gros mensonges... comme la rencontre aussi imaginaire qu'impossible du troisième type à l'entrée de la ferme de Madame CLAUDON à 17 h 32 min 41 s...

Au Loto vous pouvez jouer ces numéros ... vous aurez les mêmes possibilités de gagner que l'existence de cette rencontre imaginaire montée de toutes pièces par le collège des avocats véreux... Même si vous l'organisez vous n'arriverez pas à faire converger quatre faits indépendants, en un point précis dans un créneau de 30 secondes

Petites questions :

-- pourquoi Christine BLAISE VILLEMIN et Jean KER n'ont-ils pas été poursuivis pour complicité de tentative de meurtre le 27 février 1985 ?

-- Pourquoi le Procureur BENEY n'a-t-il jamais indiqué à l'Opinion Publique sur quel appel anonyme enregistré, avait été découverte la voix du locuteur féminin ?

CONSTATATION :

" SUBLIME , FORCEMENT SUBLIME ! l'auteure du crime... " Croyez le bien : elle avait raison Marguerite : "Hiroshima mon amour !"... ne retenons que le résultat, en oubliant le titre à objectif commercial... Les "rats de la VOLOGNE" ont fait bien pire

CONCLUSION :

Il ÉTAIT IMPOSSIBLE A BERNARD LAROCHE D’ARRIVER SUR LES HAUTS DE LEPANGES A 17 h 10 minutes... ARRÊTÉ A : 230 mètres DE LA MAISON DE GREGORY VILLEMIN, IL ÉTAIT IMPOSSIBLE QU’ IL PUISSE L’ENLEVER EN DEUX MINUTES ... POUR ARRIVER A LA POSTE AVANT 17 h 15 minutes ( dernière levée ) MÈME S’ IL Y ÉTAIT ARRIVE, IL LUI AURAIT ÉTÉ IMPOSSIBLE DE TÉLÉPHONER DE DOCELLES A 17 h 32 min 41 S (temps nécessaire : arrêt Poste : 2 min ... DOCELLES = 5.7 km = 6 min .... arrêt : 6 + 1 + 5 + 3 + 2 + 2 + 2 = 21 min... : SOIT : 17 h 15 min + 21 min = 17 h 36 min au delà de 17 h 32 min 41 s

LE TEMOIGNAGE ATTRIBUE A MURIELLE BOLLE N'EST PAS CREDIBLE : ELLE FUT SUBORNEE, SI LES GENDARMES NE L'ONT PAS POURSUIVIE APRES AVOIR BENEFICIE D' UN NON-LIEU : ILS ONT DES RAISONS ... DEMANDEZ - LEUR POURQUOI ?


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