QUEL FUT LE RÔLE AMBIGU DU PRÉSIDENT JUGE MAURICE SIMON DANS L'AFFAIRE GREGORY VILLEMIN ?

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Toni Denis

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Mar 15, 2017, 5:21:52 AM3/15/17
to Affaire du petit Grégory : Enigme ou mensonge d' Etat ?

QUEL FUT LE RÔLE AMBIGU DU PRÉSIDENT JUGE MAURICE SIMON DANS L'AFFAIRE GREGORY VILLEMIN ?


Nous l'allons analyser.


Une biographie offerte par l'huma, on n'en trouve pas d'autres sur INTERNET, les descendants sont discrets... ils doivent avoir quelques raisons de n'être pas fiers, de notre couguar endimanché, tiré à quatre épingles, avec la chevelure toujours impeccable, telle celle du cycliste suisse vainqueur du Tour de France : Hugo KOBLET, qui a fini sa course folle contre un arbre, réduit en bouillie ... pas un poil ne dépassait... il devait avoir son peigne à portée de mains, comme notre vieux beau libidineux le Momo ? pour les intimes !


"Le juge Simon
Mercredi, 3 Novembre, 1993
L'Humanité


MAURICE SIMON est président de la chambre d'accusation de la cour d'appel de Dijon, quand, en 1987, le dossier Grégory est confié à cette juridiction par la Cour de cassation. Il repousse son départ à la retraite et se désigne lui-même pour reprendre l'instruction de zéro. Magistrat expérimenté, ancien juge d'instruction, spécialiste des gros dossiers, affable mais discret, Maurice Simon fait figure «d'anti-juge Lambert». Après avoir accumulé un nouveau dossier de 19.000 pages et procédé à plus de 200 auditions, il se fait le principal défenseur de l'innocence de Christine Villemin. Victime d'un accident cardiaque, en 1990, Maurice Simon cédera finalement sa place à Jean Martin et prendra sa retraite."(SIC)


La Police scientifique indique :


"La deuxième phase de l’instruction démarre en mars 1987 lorsque l’arrêt de renvoi de Christine Villemin aux assises est classé par la Cour de Cassation. L’instruction est renvoyée vers la chambre d’accusation de la Cour d’Appel de Dijon qui récupère le dossier en mars 1987.


Le Président de la chambre d’accusation de Dijon, Maurice Simon, soulève de nombreuses interrogations et incertitudes. Après un mois de délibérations, la chambre d’accusation annule une cinquantaine de pièces puis ordonne un supplément d’information.


Le juge Simon, juge expérimenté de 64 ans, obtient la lourde charge du supplément d’information. Dès le départ, l’instruction change brutalement de forme. Le magistrat impose aux avocats, à Christine Villemin, aux parties civiles et aux enquêteurs le respect le plus strict du secret de l’instruction et un silence total avec la presse. Son travail se fait dans le respect du code de procédure pénale.


Son travail minutieux, reconnu par tous, permet de faire progresser le dossier." (SIC)


(Mort de rire ! cordonniers mal chaussés les poulets ne connaissent pas la LOL... )


"Mais en fin d’année 1989, le juge sera lui aussi touché de plein fouet par la folie de l’affaire Grégory. Lors d’une discussion informelle avec un journaliste du « nouveau détective », il est enregistré à son insu sur un magnétophone.


Il déclare que Christine Villemin pourrait bénéficier d’un non lieu ou encore que Bernard Laroche a peut-être enlevé Grégory.


Le 26 octobre 1989, le journal publie « l’interview » du juge Simon. La presse si longtemps mis au silence se déchaîne. L’avocat de la famille Laroche, Me Prompt, assigne Maurice Simon devant un tribunal et lui réclame 450 000 francs de dommages et intérêts pour Marie-Ange Laroche.


Le juge Simon qui se sent trahi et diminué fait des malaises à répétition. Le 28 janvier 1990, il tombe dans le coma victime d’un infarctus. A son réveil, le juge Simon souffre d’amnésie et d’une perte importante de ses qualités intellectuelles.


Un troisième magistrat, le juge Jean-Paul Martin, juge expérimenté de 61 ans prend le relais et poursuit l’instruction de l’affaire Grégory jusqu’en septembre 1992.

Après un délibéré de plus de quatre mois, le 3 février 1993, une décision de non lieu est prise en faveur de Christine Villemin dans un rapport de 93 pages.


Ce non-lieu expose des facteurs pouvant être responsable de l’échec retentissant de la justice dans ce dossier."(SIC fin de citation )


Quelques dates utiles :


- 28 janvier 1990 : Accident cardiaque du Juge SIMON

- 10 février 1990 : Pression contre le Juge SIMON

- 24 avril 1990 : Communiqué de presse du Juge SIMON

- 20 septembre 1990 : Remplacement du juge SIMON, qui ne peut reprendre l'instruction après une nouvelle opération en juin 1990. Le troisième juge est le président de la Cour d'Appel de Dijon, le Juge MARTIN.

- 3 février 1993: La chambre d'accusation de la Cour de Dijon rend un arrêt de 93 pages : un non-lieu au profit de Christine VILLEMIN (pour absence de charge).

- 16 décembre 1993: Après plus de six semaines de procès, Jean-Marie VILLEMIN est condamné pour assassinat sur la personne de Bernard LAROCHE à 5 ans d'emprisonnement dont un an avec sursis, soit 4 ans d'emprisonnement ferme. - 17 décembre 1993: Condamnation de Jean-Marie VILLEMIN à 908.000 francs indemnités, préjudice moral, matériel, Art 375 en faveur des consorts BOLLE/LAROCHE

- 27 avril 1994 : Pour la première fois les époux VILLEMIN témoignent en direct sur un plateau de télévision à l'émission "la Marche du Siècle". Il faut savoir que toutes les autres émissions (avant ou après celle-ci) ont été réalisées sans leurs accords.

- 28 avril 1994 : La commission d'indemnisation des victimes d'infractions (CIVI) près du tribunal de grande instance D’Évry (Essonne) accorde à chacun des époux la somme de 300.000 Francs de dommage et intérêts - Verser immédiatement à Marie Ange Laroche avec les droit d'auteurs (du livre des époux Villemin) en règlement des condamnations de Jean-Marie Villemin.

- 24 mai 1994: Décès du juge Maurice Simon, en janvier 1990.(Source INTERNET )


ÉTUDIONS LE CAS DU JUGE Maurice SIMON :


Pour l'affaire VILLEMIN qui fût dépaysée par la Cour de Cassation, pour de menues vétilles administratives, sans aucune incidence... de NANCY à DIJON, le juge SIMON eu un comportement qui laisse sceptique même une oie blanche ou un mouton de Panurge ... c'est selon ...


Le Président se désigna lui-même Juge en chef de l'affaire, on n'est jamais mieux soigné que par sa personne... Charité bien ordonnée ... etc. vous connaissez la suite ? et prit la direction des opérations... d'une curieuse manière, très sélective pour le spectateur impartial, qui même :" bon public" à la fin commença à s'énerver... Vous voyez ?


Il enquêta uniquement à décharge contre une "prévenue", vous l'avez deviné, qui était du sexe féminin, lui-même n'étant pas : "entre chèvre et bouc"...mais même " sévèrement burné", tel un Raspoutine, lui déroula même (d'après Me Moser qui a tort d'épiloguer là-dessus)... un beau tapis rouge, en se fendant d'un baise-mains... dont-on ne sait pas s'il ne se prolongea pas par un baise-c... ?


Allez savoir : les voies du Seigneur sont paraît -il impénétrables, mais pas toutes à qui sait les forcer...que ne ferait-on pas pour un pêché de chair ?


On ne sait pas si tous les "prévenus" sont reçus avec pareille déférence obséquieuse ? Vous demanderez à Monsieur FILLON, qui vient de répondre à une très délicate et cérémonieuse invitation d'un juge ? A la tronche qu'il faisait à la sortie, il ne semble pas ? mais peut-être cachait-il trop bien son jeu ?


Le décor est planté... la succube très manipulatrice qui savait user de ces charmes, qui avait : "quel beau cul" (SIC 24 / 04 :1983) pour envouter, fit le reste.


Par contre : l'autre inculpé Bernard LAROCHE, qui venait de mourir bêtement dans un malheureux et involontaire incident mineur de chasse. Parce qu'il signait paraît-il par des foulages B et L ses chèques et ses lettres de revendication de délégué du personnel ? ...reçu un tout autre traitement...On dit :"une conduite grenobloise"


Bien que mort enterré, et ne pouvant répondre à toute accusation il était devenu le déversoir de ses accusateurs qui faisaient les poubelles et si autant que nécessaire, les remplissaient eux-mêmes...


Parmi ceux-ci le Juge Momo SIMON et son égérie Christine BLAISE VILLEMIN , n'y allèrent pas avec le dos de la cuillère, ils utilisèrent lâchement les grands moyens, à grands coups de pelle et même de pelleteuses !


Maurice SIMON, cloisonna parfaitement l'enquête, fit les choix adéquats, ceux qui allaient dans son sens : de la gendarmerie, qui avait l'occasion d'un match revanche de "belle" contre les policiers, paya des experts pour lui faire les rapports qu'il souhaitait, sélectionna les témoins, rejetant avec mépris ceux qui étaient susceptibles de ne pas partager son avis, dont l'ex-Maire de Docelles,, celui-là même, qui porta le corps de Grégory, quand il fût retrouvé dans les eaux froides de la Vologne, le corps adossé contre un amas de pierres... il proposa en vain ses services...mais Momo fit la sourde oreille.


Le Juge SIMON un tantinet vicelard, travailla au corps... il aimait visiblement cela... les "filles de La Poste", aux portugaises ensablées, valise en carton et  billet de train à 17 h 58 min en gare de Lépange-sur-Vologne en poche, pour quelles reviennent sur leurs témoignages relevés trois ans auparavant... pour en modifier le contenu par une subornation plus subtile que celle de ces lourdauds de Pandore...


Comment pouviez-vous voir le chat de la boulangère de telle position ? il est vrai que la question déjà ardue à répondre, dès le lendemain, devient fatalement impossible à répondre, quand trois ans avaient lessivé la mémoire de nos dames.


Il leur fit le coup du jour erroné... non ! non ! je vous le dis,: " ce n'est pas possible ! moi-même qui intervient avec un sérieux retard à l'allumage, je vous l'affirme : vous vous êtes trompées Mesdemoiselles... vous avez confondu le 15 et le 16 octobre ! Vous avez pris votre belle vessie pour une lanterne".


Sonia Pierson l'écolière du CES s'était trompée de 6 jours en disant qu'elle avait vu la voiture 305 Peugeot le 16 octobre, qu'elle a reconnue tout se suite, sur une planche que le juge SIMON lui avait présenté (SIC)... Il est vrai que depuis très longtemps tous les journaux du coin, avaient publié la photo, il lui était difficile de se gourer...


Malheureusement ayant dit qu'elle se s'en souvenait, car ce fait avait eu lieu le même jour ou son papa est entré à l'hôpital, Manque de bol pour notre Momo, le papa y était bien... entré mais le 10 octobre...


Merde ! alors ! il y avait comme un clou dans le potage, mais qu'importe le témoignage fut validé...


Pour démontrer que Sonia, elle, contrairement à ces béotiennes "portugaises à la con" de La Poste, ne s'était pas trompée, Momo s'arma de son chronomètre ROLEX offert par Séguéla ? et fit une reconstitution... Momo aimait ça... sinon il s'emmerdait à la gendarmerie quartier général de Vilerupt... où il lavait à l'occasion, sa Renault 19


Pour être sûr, il fit le chronométrage du parcours entre le parc du CES où avait été vu le véhicule 305, et la rue de Lattre de Tassigny où il avait été vu une deuxième fois ... et il trouva que le témoignage de Sonia était parfaitement conforme : elle avait bien vu deux fois le véhicule de LAROCHE, puisqu'il a pu mette 4 min et 56 secondes... pour faire ... 200 m...


"Vous vous rendez compte ! ... un véhicule avec ! ... un salon en cuir, en cuir ! " : dirait Me Moser.


Pour le kidnapping qu'on lui reproch, le Bernard, il était cool, il n' y avait pas encore de radar, à Docelles, juste une opération "escargots"... alors de toute façon zen... il ne les aurait pas allumé.


Toujours relaxe... il était sur la D.44... il pouvait aller au plus vite à Lépanges directement... Non ! d'après Murielle, il est parti sur des chemins de traverse visiter la nature parce qu'il faisait beau ce jour-là...


Néanmoins, en partant à 17 h 05 min, en faisant les 200 premiers mètres en 4 min 56 secondes... il a dû abuser sacrément du champignon pour arriver sur "les hauts de Lépanges " à 17 h 13 min...


Il est vrai qu'à La Poste de Lépanges, l'attendait la postière, qui faisait des heures sup... pour recevoir une lettre urgente postée 4 minutes après la fermeture... Vous êtes marrants... il y a des bouchons sur les routes et les meilleures prévisions ne sont pas toujours respectées !


Momo fut embarrassé dès le début de l'enquête, ces ballots de gendarmes avaient trouvé dès le 17 octobre 1984, trois indices compromettants "au point privilégié", contre Christine BLAISE VILLEMIN...: l'empreinte de chaussure de femme relevée ne pouvait pas être celle des écrase-merde de Laroche... la trace de pneu ne pouvait pas venir de sa longue bagnole... et les témoins ont vu un véhicule court laisser des traces d'eau mouillée sur la chaussée.


Notre Poirot de service ne se démonta pas, et nous sortit de son chapeau de magicien un ru infranchissable... d'un seul coup il mit trois indices à la poubelle...


Il fit des essais de flottaison, manque de bol, les mannequins coulaient aussitôt et Denis ROBERT toujours bien présent, où il ne faut pas, se marrait, planqué dans sa BMW, tandis que les plongeurs se décarcassaient pour aller chercher le pantin dans la Vologne...


Non ! Grégory ne pouvait pas avoir été jeté "au point privilégié"... trop discret... Il a été mis à l'eau dans le centre de Docelles, parce qu'après étude du marché, c'était là, où il pouvait y avoir le plus de spectateurs


Au bout de quelques années d'enquête le Momo, a fini par s'apercevoir que le Bernard, n’avait pas pu poster à Docelles son colis encombrant, près du local des pompiers où c'était trop voyant en plein jour, d'autant qu'il n'avait pas Bernard Laroche le temps d'y arriver, bloqué par les vaches sur la route sinueuse de Marcel TRILLAT, à 17 h 32 min 41 s ..."Il aurait fallu qu'il ait beaucoup de chance et un sang froid de tueur professionnel (SIC)


Zut alors ! se dit SIMON Cussonet ... il faut trouver d'urgence un expert pour déplacer l'heure de la mort... c'est ce que font classiquement tous les avocats, quand leur client n'ont pas d'alibi, et pour cause, à l'heure de la mort de leur victime...


Ils cherchent un expert qu'ils paieront force monnaie pour déplacer l'heure du trépas... pour qu'elle corresponde pile poil dans le créneau où le tueur possède un alibi en béton préfabriqué !

C'est ainsi qu'on finira par dire que Grégory avait été jeté dans l'eau : 15 minutes avant d'avoir été trouvé à 21 h 15 min, et que le corps était encore "chaud" ?


Ne nous prendrait-on pas encore une fois pour des cons ?


Pour les scenarii... Simon, malade, aucun magistrat de Dijon ne s'est hasardé à le donner ... Laroche serait seulement le kidnappeur, mais la Cour de Dijon vous dit : quand l'état, il n'est pas nécessaire de chercher le(a) meurtrier (e) ... parce que sans doute : ça fait bien longtemps qu'elle l'avait trouvé(e)


Le juge amoureux épuisé par sa jeune donzelle Laurence LACOUR, prête à tout pour vendre sa soupe, ne put finir son chef-d’œuvre.


Ses excès de libido, lui furent fatals... à plus de 60 ans, lorsque la "zigounette" vous démange encore, comme celle de DSK, vous avez intérêt à prendre des précautions, pour ne pas mourir d'une épectase, comme Félix...pour ne pas perdre votre connaissance qui est sortie par une porte dérobée pour vous laisser passer de vie à Ad Patres Vitam Eternam... Spiriti tuo !


Alors pour les scenarii possibles vous pouvez demander au CON de SOUSTONS, à Belzébuth, aller sur le forum de ALTRAMENTA où sévissent quelques aliénés. Vous suivez ce lien... ne riez pas :

https://www.atramenta.net/lire/gregory-et-si-cetait/7339


POUR QUELS MOTIFS ET QUEL FUT le rôle ambigu du Président- Juge Maurice SIMON dans l'affaire GREGORY VILLEMIN ? nous l'allons analyser :


Lorsqu' après une étude comportementale du Juge-magicien-amoureux-parti Maurice SIMON, on finit par décrypter sa méthodologie très particulière pour investiguer sur l'affaire de Grégory VILLEMIN, on devine ce qu'il va nous trouver sachant que son objectif assigné, n'était pas de découvrir la vérité d'une énigme qui n'existait pas, mais d'innocenter, coûte que coûte, une "inculpée" mère filicide de son enfant, parce qu'en France comme ailleurs, une de ses filles qui assassine sa progéniture, ce qui est le crime le plus odieux et le plus naturel, qui soit : ça ne valorise pas une Nation toute entière, d'où le recours au : MENSONGE D’ÉTAT... "cachez ce sein que je ne saurai voir ! " disait le Tartuffe de Molière ..." ici, mettons un voile pudique sur pareil drame, qui ne nous honore pas ! ".


Une affaire analogue est celle de la disparition d'une fillette de quatre ans : Madeleine dite : "Maddie" MC CANN, au PORTUGAL, le 3 mai 2007.


Le Commissaire de la Police portugaise Goncalvo AMARAL, avait comme le nôtre CORAZZI, " logé" les suspects, selon lui les parents : les époux MC CANN étaient coupables.


L'affaire suscita un tel émoi, et le déchaînement des médias, d'une ampleur internationale, particulièrement en Grande Bretagne, (puisque ce sont ses ressortissants qui étaient en cause) ... que Le Premier Ministre britannique Gordon BROWN, pour calmer les esprits, dut monter au créneau, avec pour objectif de faire étouffer l'affaire... Il le fît aussi bien que le Juge Maurice SIMON.


Nous avons sans aucun doute eu la même intervention souterraine en France, où un policier écœuré dit sur une vidéo : "Si l'on veut que nous étouffions l'affaire Grégory VILLEMIN, il faut nous le dire" (SIC) : Il avait raison. : "inutile de se faire chier pour rien !": ne dit-on pas vulgairement ?


C'est peut-être pour cet objectif plus plausible, que les menues vétilles (*) rapportées par la Cour de Cassation, ont " justifié" le dépaysement de l'instruction de la Cour de NANCY, à celle de DIJON, et que c'est le Président de celle-ci : Maurice SIMON qui a pris lui-même très personnellement l'affaire en main, en agissant de manière isolée, très cloisonnée, choisissant soigneusement enquêteurs, experts, témoins... etc.


Nous rappellerons qu'à la tête du Pouvoir sévissait un Président surnommé : " le Florentin", dont le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il ne s' est jamais embarrassé ni d'intégrité ni de sentiment, même s'il prononçait pour donner le change, de très beaux discours dont une phrase semblerait s'appliquer à Bernard LAROCHE, abattu le 29 mars 1985, par Jean-Marie VILLEMIN, et que le Juge SIMON a assassiné une deuxième fois, en instruisant à charge contre lui, ce qui est totalement illégal et viole des principes fondamentaux de Droit, puisque l'accusé, et pour cause, ne peut plus se défendre.


On remarquera que la Cour de Cassation, "courroie de transmission" de L’État, qui viole souvent le principe de séparation des pouvoirs, est restée ensuite totalement muette... alors que la procédure du Juge Maurice SIMON et de la Cour de DIJON bafouait la Loi de A à Z.


Notre "Machiavel" mâtiné de "Savonarole" clamait haut et fort à Nevers :


"Toutes les explications du Monde, ne justifieront jamais que l'on ait jeté aux chiens l'honneur d'un homme et finalement sa vie au prix de double manquement... etc. "

Vous retrouverez l'intégralité de ce très beau discours, sans doute écrit par sa : "plume" Eric ORSENNA ? prononcé à Nevers lors des obsèques de Pierre BEREGOVOY


Lorsque le dossier de l'affaire fut transféré à Dijon en mars 1987 : un avocat était très influent, il a toujours su l'être... Me BADINTER, qui lorsqu'on fera le bilan de sa vie, on constatera avec amertume, et tristesse, qu'il aura plus œuvré pour le bien être des assassins que pour leurs victimes et leurs ayants-droit.


Le premier ministre était le futur Président de la République Monsieur Chirac, dont-on sait ou pas ? : qu'il fût celui qui fit inscrire l'abolition de la peine de mort dans la Constitution le 19 février 2007, par le Parlement réuni en congrès. Les deux autres ne l'avaient fait que par la Loi en 1981.


Ces remarques liminaires sont destinées à expliquer quelle fût la mission qui fût assignée au Président - Juge-amoureux-couguar et parti, Maurice SIMON de la Cour de DIJON, parce qu'on ne comprendrait pas toutes ses manipulations, et qu'il ait instruit à décharge à l'égard de Christine BLAISE VILLEMIN, et à charge à l'encontre d'un mort : Bernard LAROCHE.


(*) Décision de renvoi par la Cour de Cassation dans l'affaire VILLEMIN Grégory / CITATION :


"Sur pourvoi de l'accusée, la Chambre criminelle de la Cour de Cassation a, par arrêt du 17 mars 1987, annulé l'arrêt de la Chambre d'accusation de NANCY en ses dispositions relatives à Christine VILLEMIN et a renvoyé la cause et les parties devant la Chambre d'accusation de la Cour d'appel de DIJON :


1) au motif que la juridiction d'instruction du second degré avait refusé d'annuler un rapport déposé le 21 janvier 1989 par les experts CECCALDI et CLEMENT concernant l'examen des cordelettes et l'analyse de la salive déposée sur des timbres et des enveloppes bien qu'aucune pièce du dossier n'indiquât que ce dernier expert, non inscrit sur l'une des listes prévues par l'article 157 du Code de procédure pénale, eût prêté serment.


2) au motif que la Chambre d'accusation de NANCY avait refusé d'annuler le rapport des docteurs WERNER et KOHLER de l'Office fédéral allemand de police criminelle bien que ce rapport n'eût pas été signé par le second expert au mépris de l'article 166 du Code de procédure pénale.


3) au motif qu'aucun texte n'autorisait la Chambre d'accusation de NANCY à ordonner le retrait du dossier d'écritures des parties faisant référence à des actes de la procédure antérieurement annulés.


La Cour de Cassation a décidé en outre que pour le cas où la Chambre d'accusation de céans déclarerait qu'il existe contre Christine VILLEMIN des charges suffisantes d'avoir commis le crime qui lui est imputé, elle renverrait cette inculpée devant la Cour d'assises de la Côte d’Or. ( SIC fin de citation)


CONCLUSION : "Chauffe MARCEL" a répondu la Cour de DIJON : " notre Président n'aura pas à se fendre d'une grâce honteuse du genre de celle de Jacqueline SAUVAGE... Circulez il n'y a rien à voir... et si vous n'êtes pas heureux, allez vous faire voir chez les Grecs ! "


Ainsi soit-il !


Quelques vidéos intéressantes :


https://www.youtube.com/watch?v=XcjuHRsuoyQ
https://www.youtube.com/watch?v=yDsiER3ca4U
https://www.youtube.com/watch?v=ZeczocLUUPQ
http://www.ina.fr/video/CAG03011826
https://www.youtube.com/watch?v=jviUJOmUeEM

Toni Denis

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Mar 15, 2017, 9:55:29 AM3/15/17
to Affaire du petit Grégory : Enigme ou mensonge d' Etat ?

Pour démontrer que Sonia, elle, contrairement à ces béotiennes "portugaises à la con" de La Poste, ne s'était pas trompée, Momo s'arma de son chronomètre ROLEX offert par Séguéla ? et fit une reconstitution... Momo aimait ça... sinon il s'emmerdait à la gendarmerie XONRUPT-LOMGEMER, quartier général de .. près du lac... où il lavait à l'occasion, sa Renault 19, où aux frais du contribuable il a passé du bon temps... " pouvou que ça doure" disait LETIZIA RAMOLINO...

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