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Papon, Bousquet et Mitterrand : fin d'un "trio" infernal...

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erictoulouse

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Feb 19, 2007, 4:20:52 AM2/19/07
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Papon, Bousquet et Mitterrand : fin d'un « trio » infernal


Le décès de Maurice Papon, l'un des rares survivants proches de la
mort, évoqués hier dans mon post consacré aux mémoires sélectives,
tombe à point nommé pour rafraîchir précisément des mémoires « à
géométrie variable » assurément avides de vengeances posthumes, mais
oublieuses de leurs propres « crimes contre l’humanité », ici et là
dans le monde d’aujourd’hui - mais hier également : précisément
pendant la Shoah, où des juifs ont dénoncé d'autres juifs en les
envoyant sciemment dans les camps d'extermination nazis ! Que les
derniers n'aient pas eu la nationalité française me semble être une
excuse totalement « irrecevable » - sauf à quiconque d'émettre un avis
contraire !

C’est pourquoi je pose aussi d’emblée ce post dans le cadre de la
lutte contre la superstition moraliste : celle qui admet la prétendue
coexistence des bons et des méchants, des « vertueux », nous, et des «
salauds », eux, en se fondant seulement sur la fiction d’un Bien et
d’un Mal soi-disant absolus, dont les uns et les autres seraient
respectivement les représentants sur Terre. Comme beaucoup l’auront
remarqué, voire dénoncé, les bons reprochent toujours aux méchants ce
qu’ils ont pourtant fait hier, eux-mêmes, et qu’ils referont demain à
la première occasion, quand leurs intérêts de toutes sortes
l’exigeront !

Ils sont tellement bons d'ailleurs, ils aiment tellement les Autres
qu'ils ont comme souci primordial de les faire culpabiliser, au point
d'atteindre à l'absurde ! Ainsi, de nouveaux migrants devenus
français, mais apparemment masos, font culpabiliser les Français, dont
ils sont désormais ; et par conséquent, également responsables des
turpitudes de l'Histoire de France !

Quand est-ce que les humains se décideront, au moins majoritairement,
à admettre, une fois pour toute, cette vérité éternelle rappelée au
monde il y a près de deux mille ans, à savoir qu’il n’y a pas les bons
et les méchants, mais seulement des individus égoïstes, dont aucun
n’est légitimé à se prétendre meilleur que les autres ? A la saint
Glin-glin, comme dab, sauf à pouvoir éradiquer l’hypocrisie, de notre
nature humaine ! ! ! Dire « plus égoïste que moi, tu meurs », ce n’est
pas un gros mot, c’est notre réalité à tous – sauf que « ça »
écorcherait la « g….e » de beaucoup de le dire, tellement « ça » a du
mal à sortir…

Papon est mort, mais au moins a-t-il été jugé et condamné, même si
cela ne fait pas pour autant l’affaire de tous, et notamment celle de
la vérité historique, comme le dossier « Papon : les Français et Vichy
» publié par L’Express du 28 septembre 1990 le souligne. Alors, sauf
si les « censeurs autoproclamés » veulent bien mettre enfin un terme à
leur querelle de mémoires en observant « pudeur et bouche cousue », si
nous parlions aussi de Bousquet et de Mitterrand ?

Certes, d’aucuns rétorqueront que L’Express est un hebdomadaire de
droite, et ils ont raison, mais les mêmes passent trop facilement sous
silence le pacte germano-soviétique conclu entre Staline et Hitler,
tant ils sont habiles à imposer « leur » Histoire sur mesure. Comme si
les historiens n’étaient pas aussi capables de « partialité » que le
premier quidam venu - et nous, pauvres TARÉ(E)S, nous en attendrions
l’objectivité !

Les « vertueux autoproclamés » devraient pourtant se souvenir de leur
propre comportement dans les années 30, qui a conduit à la piteuse
capitulation du radical (de gauche) Daladier à Munich. Cette période
revisitée par Jean Sévillia dans son ouvrage « Historiquement correct
», publié en mars 2003, rappelle à notre mémoire les déclarations et
des faits de l’entre-deux-guerres imputables à la gauche, du style :

« Le peuple français ne veut pas faire tuer des millions d'hommes et
détruire une civilisation pour rendre la vie plus facile aux cent
mille Juifs des Sudètes. » (Le Pays normand, organe de la fédération
socialiste du Calvados)

« Ce sont les Juifs qui veulent la guerre contre l'Allemagne pour
protéger leurs coreligionnaires. » (Georges Bonnet, ministre des
Affaires étrangères, La République de Périgueux, organe du parti
radical)

« Le pays ne sera sauvé que provisoirement par les seules frontières
armées. Il ne peut l'être définitivement que par la race française, et
nous sommes pleinement d'accord avec Hitler pour proclamer qu'une
politique n'atteint sa forme supérieure que si elle est raciale.
» (Jean Giraudoux, écrivain, Commissaire à l'Information dans le
gouvernement Daladier)

Dès 1931, la presse syndicale de la CGT ou de la CGT-U (communiste)
lance des invectives contre les étrangers qui volent le travail des
Français. En novembre de cette même année, la SFIO dépose une
proposition de loi tendant à interdire l'entrée en France des ouvriers
étrangers. Le projet est voté à l'unanimité de la Chambre, radicaux,
socialistes et communistes compris.

En mai 1932, le Cartel des gauches remporte les élections
législatives. Le gouvernement Herriot fait adopter une loi «
protégeant la main d'œuvre nationale ». Le texte précise que les
entreprises passant un marché avec l'État ne devront pas employer plus
de 5% d'étrangers. Cette loi de préférence nationale sera abrogée en
1981, au début du premier septennat de François Mitterrand : lors des
débats, on oubliera de dire que cette législation avait été conçue par
la gauche.

Le 2 août 1933, Daladier étant président du conseil, le ministre de
l'Intérieur, le radical Camille Chautemps, donne cette consigne aux
préfets des départements frontaliers du Nord et de l'Est :

« Il m'a été signalé qu'un assez grand nombre d'étrangers venant
d'Allemagne se présentent à notre frontière et, s'autorisant à tort de
la qualité de "réfugiés politiques", demandent l'accès de notre
territoire et le droit d'y séjourner. Il importe de ne pas céder à de
pareilles sollicitations. L'introduction en France des Israélites
chassés d'Allemagne doit se poursuivre avec une extrême
circonspection. »

Le 14 avril 1937, Max Dormoy, ministre de l'Intérieur socialiste du
gouvernement Blum, prescrit aux préfets de « refouler impitoyablement
tout étranger qui cherchera à s'introduire sans passeport ou titre de
voyage valable ou qui n'aura pas obtenu de visa consulaire s'il est
soumis à cette formalité. »

A partir de 1934, la direction générale de la Sûreté nationale
centralise divers fichiers constitués par l'administration. Cinq
millions de Français et deux millions d'étrangers, classés « suspects
» ou « indésirables » sont mis en fiche. Nommé sous-chef de bureau au
cabinet du directeur de la Sûreté nationale, en 1936, un fonctionnaire
supervise ce fichier général. Il a obtenu cette responsabilité parce
qu'il est bien noté en raison de ses opinions plutôt à gauche, et de
son loyalisme sans faille avec les institutions républicaines. Il
s'appelle René Bousquet ! ! !

Le pacifisme de la gauche dans l'entre-deux-guerres a conduit à la
débâcle de 1940, puis au régime de Pétain (comme les propos ci-dessous
en témoignent) :

« Mieux vaut la servitude que la guerre » (Syndicat national des
instituteurs)
« Tout plutôt que la guerre, tout ! Même le fascisme en Espagne, même
le fascisme en France, même Hitler. » (Roger Martin du Gard, grande
figure progressiste de l'époque)

« Il faut s'entendre avec quiconque veut la paix, avec quiconque offre
une chance, si minime soit-elle, de sauvegarder la paix. Il faut
s'entendre avec l'Italie en dépit de la dictature fasciste. Il faut
s'entendre même avec l'Allemagne d'Hitler. » (Maurice Thorez, député
communiste, Déclaration à l'Assemblée du 2 septembre 1936)

Simone Weil – à ne pas confondre avec Simone Veil – n'hésitait pas à
confier à son ami Gaston Bergery, homme de gauche aussi, qu' « elle
préfère l'hégémonie allemande à la guerre, même si cela doit se
traduire par certaines lois d'exclusion contre les communistes et les
Juifs. » (Sic...)

Fouiller dans les poubelles de l’Histoire, quarante ans après des
faits que je suis le dernier à nier, présente du positif et du
négatif. Par une bizarrerie de l’Histoire, à savoir l’arrivée de la
gauche au pouvoir en 1981, cette gauche vertueuse des années 30 s'est
refait une virginité à bon compte, mais son ex– grand leader
photographié en bonne compagnie, celle d’officiers nazis, ne peut pas
échapper à son passé, devant l'Histoire !

Toutefois, ce n’est qu’après avoir lu l’extrait ci-dessous du dossier
d’Eric Conan, « La vraie vie de René Bousquet », publié dans L’Express
du 28 septembre 1990, que chacun pourra apprécier à sa « juste valeur
» ce propos tenu par François Mitterrand sur son ami René Bousquet :

« Un ami reste un ami en toutes circonstances, et quoi qu’il ait
fait ! »…

Qu’a donc fait René Bousquet, durant cette période noire, pour que
Mitterrand lui conserve une amitié indéfectible pendant près de 50
ans ? Rien de plus ni de moins que l’ex-président de la République
française, à savoir mettre ses services à la disposition de Vichy dans
sa politique « collaborationniste » antijuive, sinon pourquoi la
francisque..? !

A propos du radical-socialiste René Bousquet (1909-1993), adoubé par
les empereurs du radical-socialisme toulousain, Maurice Sarraut
(sénateur et patron du quotidien régional La Dépêche) et son frère
Albert (député et ministre quasi permanent sous la IIIe République),
puis devenu Secrétaire général de la police du régime de Vichy de mai
1942 au 31 décembre 1943, Eric Conan écrit notamment :

« Les SS décidèrent donc, sur une base de « camaraderie policière», de
laisser quelque autonomie au secrétaire général à la police de Vichy,
à condition qu'il dirige ses troupes « dans le même esprit que la
police allemande, c'est-à-dire lutte contre le communisme, les
saboteurs de tous ordres, les terroristes ». Le caractère hautement
bénéfique de ce choix sera confirmé, un an plus tard, par Heinrich
Himmler lui-même, après sa rencontre secrète - durant plus de cinq
heures - avec le chef de la police française, à Paris, en avril 1943.

René Bousquet joua ainsi un rôle déterminant dans la participation de
la police aux opérations de déportation des juifs. Dès mai 1942, il
s'était déjà montré plus que coopératif en demandant à Reinhard
Heydrich (venu lui annoncer l'évacuation prochaine des juifs apatrides
de la zone occupée) s'il ne pouvait pas également déporter les juifs
apatrides enfermés, depuis un an et demi, dans les camps de la zone
sud. Les Allemands, qui s'avouent un peu surpris, saisissent l'offre:
dès le 17 juillet, trois trains de 1 000 personnes partiront, chaque
semaine, de la zone non occupée.

Le 2 juillet 1942 a lieu la rencontre décisive de René Bousquet et
Karl Oberg pour la préparation des arrestations des 16 et 17 juillet,
dans la région parisienne (rafle du Vel' d'Hiv'). En échange de
l'ajournement des déportations de juifs français, René Bousquet
propose de «faire arrêter les juifs étrangers dans toute la France».
Les Allemands, qui n'espéraient pas que les choses se passeraient si
bien et voyant tout l'intérêt de procéder par «étapes», sautent sur
l'occasion.

« Vu que les juifs de nationalité française ne devaient, pour le
moment, pas être arrêtés, Bousquet se déclara prêt à faire arrêter les
juifs étrangers, dans toute la France, par une action réalisée en
commun et en quantité souhaitée par nous», rapportèrent-ils comme une
victoire. Cet engagement de René Bousquet à assurer l'exécution des
rafles de juifs étrangers sera approuvé, le 3 juillet, par Pierre
Laval. Grâce à eux, la France est le seul pays d'Europe dans lequel
des juifs séjournant dans un territoire non occupé par les Allemands
furent déportés.

Les rafles de la région parisienne (qui aboutirent, notamment, à
l'épisode tragique des milliers d'enfants séparés de leurs parents
dans les camps de Pithiviers et de Beaune-la-Rolande) se révèlent
moins fructueuses que prévu: de nombreux juifs, prévenus par certains
policiers bienveillants ou des tracts de la résistance juive, y
échappèrent. Le responsable de la police de Vichy s'efforce, donc, de
faire mieux dans la zone sud.

Afin d'augmenter le rendement de la grande rafle, prévue pour le 26
août, il adresse aux préfets de sa propre initiative et par télégramme
secret, de nouvelles instructions annulant les précédentes
dispositions réglementaires, qui mettaient à l'abri des arrestations
certaines catégories d'enfants. Désormais, ceux de moins de 18 ans et
les pères et les mères ayant un enfant de moins de 5 ans ne sont plus
épargnés. Le 22 août, il recommande aux préfets de sévir contre les
fonctionnaires manquant de zèle: «Vous n'hésiterez pas à briser toutes
les résistances que vous pourrez rencontrer dans les populations et à
signaler les fonctionnaires dont les indiscrétions, la passivité ou la
mauvaise volonté auraient compliqué votre tâche.»

Il décide aussi que les opérations seront massives mais rapides, ainsi
que le souligne Ernst Heinrichsohn de la Gestapo, dans un rapport du
17 août: «Ces rafles sont de grande envergure, car M. Bousquet estime
qu'il est préférable d'arrêter tous les juifs en une seule grande
rafle que de procéder à plusieurs rafles isolées, lesquelles
permettraient aux juifs de se cacher ou de fuir à destination des pays
neutres frontaliers.»

Malgré toutes ces précautions les résultats ne satisfont pas le chef
de la police qui s'adresse, à nouveau, aux préfets, par télex, le 30
août:

«Attire votre attention sur écart sensible entre nombre israélites
étrangers recensés et nombre arrêtés. Stop. Poursuivre et intensifier
opérations police en cours avec tout le personnel police et
gendarmerie disponible.»

Certains enfants, réfugiés dans des foyers après l'arrestation de
leurs parents, le 26 août, furent ainsi récupérés par les policiers
français et rassemblés dans le camp de Rivesaltes, avant leur départ
pour l'Allemagne.

Dans son concours à la déportation des juifs, la logistique française
fut déterminante: arrestations effectuées par les policiers, grâce à
leur fichier; transport et internement dans des camps de concentration
français. Opérations énormes que les Allemands n'auraient jamais pu
réaliser seuls. Cet engagement minutieux, voire tatillon, dans
l'exécution des crimes nazis n'empêche pas René Bousquet de jouer un
rôle essentiel de conseiller auprès de Pierre Laval.

Quand, rituellement, vers 18 heures, le chef du gouvernement quitte
l'hôtel du Parc pour sa résidence de Châteldon, trois personnes de
confiance filtrent les coups de téléphone qu'il reçoit: Jean Jardin,
Charles Rochat, secrétaire général du Quai d'Orsay, et René
Bousquet... «J'étais le collaborateur le plus proche de Laval»,
confirmera-t-il, lui-même, après la guerre. Le chef du gouvernement
lui fait souvent lire ses discours. René Bousquet précisera, en 1952,
que, Laval lui ayant soumis le fameux discours contenant sa plus
célèbre phrase - «Je souhaite la victoire de l'Allemagne parce que
sans elle le bolchevisme s'installerait partout dans le monde» - il
l'avait mis en garde, jugeant celle-ci «excessive et inopportune».
Tout en ajoutant: «C'est très exactement ce que déclaraient quelques
hommes d'État isolés mais lucides, en Europe et ailleurs, en cette
même année 1942.»

Et lorsque, à la suite des rafles de l'été 1942, quelques évêques et
cardinaux se réveillent et protestent, c'est René Bousquet qui a
l'idée de génie de les faire taire en menaçant les subventions et les
privilèges fiscaux des écoles catholiques... Suggestion que Laval
adoptera, en octobre, avec un succès certain auprès de la hiérarchie
catholique. » [Fin de citation]

« Pudeur et bouche cousue », donc, sur cette période, durant laquelle
les compromissions avec l’ennemi n’ont épargné aucun milieu :
fonctionnaires, chefs d'entreprise, médecins, cinéastes, acteurs,
etc., sans oublier la foule des anonymes acclamant Pétain sur son
passage par dizaines, voire centaines, de milliers, comme l'attestent
des images d’archives des années 40...

Alors, Papon, peut-être, mais aussi ses deux acolytes incontestables,
dont l’un est même parvenu à la magistrature suprême avec le concours
des « vertueux », moins vertueux qu’il ne paraît, mais « ambigus »
plutôt ! Espérons, au moins, que la disparition de ce « trio »
infernal permettra à la France de regarder ailleurs que dans son
rétroviseur ! Cela tient précisément aux diverses communautés, ce sur
quoi je reste encore dubitatif aussi longtemps que subsisteront des
intérêts de toutes sortes à « grapiller »...

fda

unread,
Feb 19, 2007, 5:37:03 AM2/19/07
to
erictoulouse wrote:
> Papon, Bousquet et Mitterrand : fin d'un « trio » infernal
>
>
> Le décès de Maurice Papon, l'un des rares survivants proches de la
> mort, évoqués hier dans mon post consacré aux mémoires sélectives,
> tombe à point nommé pour rafraîchir précisément des mémoires « à
> géométrie variable » assurément avides de vengeances posthumes, mais
> oublieuses de leurs propres « crimes contre l’humanité », ici et là
> dans le monde d’aujourd’hui - mais hier également : précisément
> pendant la Shoah, où des juifs ont dénoncé d'autres juifs en les
> envoyant sciemment dans les camps d'extermination nazis ! Que les
> derniers n'aient pas eu la nationalité française me semble être une
> excuse totalement « irrecevable » - sauf à quiconque d'émettre un avis
> contraire !
>
> C’est pourquoi je pose aussi d’emblée ce post dans le cadre de la
> lutte contre la superstition moraliste : celle qui admet la prétendue
> coexistence des bons et des méchants, des « vertueux », nous, et des «
> salauds », eux, en se fondant seulement sur la fiction d’un Bien et
> d’un Mal soi-disant absolus, dont les uns et les autres seraient
> respectivement les représentants sur Terre. Comme beaucoup l’auront
> remarqué, voire dénoncé, les bons reprochent toujours aux méchants ce
> qu’ils ont pourtant fait hier, eux-mêmes, et qu’ils referont demain à
> la première occasion, quand leurs intérêts de toutes sortes
> l’exigeront !

Deux paragraphes, et il n'en est toujours pas au *fait* .

*APPRENDS A REDIGER, BORDEL* ! Personne ne te lira jamais tant que tu ne
fais un peu attention à rendre ton style plus digeste. Tiens,
d'ailleurs, lassé de te voir tourner autour du mot, j'ai interrompu ma
lecture en ce point précis. D'autres, sans doute avant.

cassian st lazarre

unread,
Feb 20, 2007, 3:31:53 AM2/20/07
to

L'ignorance des médias m'époustoufle toujours.
Un homme avec sa médaille ne doit entrer en taule, il laisse sa
médaille dehors, c'est une règle immuable
Un homme ne doit être enterré avec ses médailles militaire.
Pourquoi ?
La raison est simple c'est le fait qui est la récompense et non
l'homme.
J'ai appris cela en 1959

normall...@gmail.com

unread,
Aug 4, 2012, 7:07:31 AM8/4/12
to
joli et ca empêche toute vanité
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